Vaulx-en-Velin : plusieurs jours de violences urbaines, des appels sur les réseau sociaux à “faire la guerre” ce week-end.

Articles  : Nov. 2020Oct. 2020Sept 2020Août 2020

La commune de Vaulx-en-Velin était quadrillée par des patrouilles de policiers ce jeudi soir. La préfecture du Rhône a en effet décidé de réagir après des violences urbaines cette semaine. Pour rappel, ce mardi soir, plusieurs individus ont tiré des mortiers d’artifice contre les façades du commissariat de la ville de l’est lyonnais. Le lendemain, des affrontements avaient éclaté dans le même quartier. De nouveau, des émeutiers avaient utilisé de puissants feux d’artifice contre les policiers mobilisés, et notamment les CRS. Un de leurs véhicules avait été endommagé. […] Reste à savoir si cette opération va véritablement faire revenir l’ordre à Vaulx. Pas si sûr à en croire certains messages diffusés sur les réseaux sociaux appelant à “faire la guerre comme à l’époque, en ramenant tous les mortiers, pour niquer les decks” dès ce weekend.

Lyon Mag

Après l’interpellation de plusieurs trafiquants de drogue, les tensions sont fortes dans le quartier de la Thibaude. Dimanche soir, le commissariat a été la cible des tirs de mortier. […] depuis dimanche, quand les véhicules de police passent à la Thibaude, ils peuvent recevoir des projectiles, ou être sous les feux d’artifice, comme on le voit sur la vidéo diffusée sur les réseaux sociaux. […]

Le Progrès

Violences dans l’Éducation nationale: quand la mort de Samuel Paty délie les langues

Articles  : Nov. 2020Oct. 2020Sept 2020Août 2020

Sputnik : https://fr.sputniknews.com/france/202011201044804692-violences-dans-leducation-nationale-quand-la-mort-de-samuel-paty-delie-les-langues/

Agressions physiques et verbales, refus des minutes de silence, apologie du terrorisme, dénonciations calomnieuses: à travers la France, les cas se multiplient. Longtemps minimisés par leur hiérarchie, ils semblent aujourd’hui en pleine expansion. Ou bien est-ce la parole qui se libère enfin?

Un mois après la décapitation de Samuel Paty, les établissements scolaires ont signalé pléthore de réactions hostiles à son endroit. Pire encore, des manifestations de soutien au terroriste Abdoullakh Anzorov et des menaces de décapitation ont été dénoncées à plusieurs reprises, émanant parfois d’élèves de classe primaire.

Une mise en lumière sordide de la brutalité quotidienne vécue par le corps enseignant, dont la détresse est le plus souvent tue, voire étouffée, raconte Barbara Lefebvre au micro de Sputnik. Pour cette enseignante et philosophe, la lâcheté est «systémique» au sein de l’éducation nationale.

Une «lâcheté systémique»

Et le phénomène n’est pas neuf: elle avait déjà tiré la sonnette d’alarme en 2002 en contribuant l’ouvrage collectif, Les Territoires perdus de la République –antisémitisme, racisme et sexisme en milieu scolaire (Éd. Mille et une nuits), qui fait toujours autorité en a matière:

«L’Éducation nationale, bien plus que l’Armée, c’est vraiment la Grande muette. On nous oblige à taire nos problèmes en nous expliquant que l’Éducation nationale est déjà tellement dépréciée qu’il faut faire corps. Pendant des années, les profs se sont faits complices par leur silence. Ceux qui ont parlé sous leur vrai nom, pas sous pseudonyme, se comptent sur les doigts d’une main.»

Une chape de plomb qui se vérifie alors que Le Monde a récemment publié les échanges de mails entre Samuel Paty, ses collègues et sa hiérarchie. On y découvre une désolidarisation assumée de la part de certains professeurs, lesquels prennent soin de préciser qu’ils ne le soutiennent pas, qu’ils refusent de «se rendre complice», ou encore qu’«il [Samuel Paty, ndlr] a donné des arguments à des islamistes». Peur des représailles, pressions de syndicats aux positions ambivalentes, selon Barbara Lefebvre: les causes du silence sont multiples. Et le privé n’échappe pas non plus à cette politique de l’étouffement, prévient-elle, c’est même souvent pire. «Lorsqu’un enseignant ou un élève se fait agresser ou harceler, en général ce sont eux qui sont obligés de quitter l’établissement, rarement l’inverse.»

«C’est la loi de l’omerta, et rien n’y changera»

Selon l’enseignante, aujourd’hui chroniqueuse pour RMC et LCI, il n’y a absolument pas de recrudescence des menaces et actes de violence, seulement une libération de la parole: «Aujourd’hui, on a enfin des enseignants qui ont le courage de dire ce qui se passe dans les classes en termes de violence et d’apologie du terrorisme.» Un feu de paille? «Puis c’est à nouveau la loi de l’omerta et rien n’y changera, pas même la mort de Samuel Paty», déplore Barbara Lefebvre.

Une situation qui en rappelle une autre. En 2018, après le braquage en plein cours d’une enseignante avec une arme factice, le hashtag #pasdevague était lancée sur Twitter. Massivement repris par des professeurs à bout, il accompagnait leur dénonciation du manque de soutien de leur hiérarchie face aux agressions subies, d’une violence inouïe, et le silence déraisonnable auquel ils se heurtaient.

Deux ans plus tard, la détresse n’a visiblement pas été entendue et un sentiment de déjà-vu s’observe depuis un mois avec un nouveau regain de visibilité des violences, souvent fruit du mimétisme. Mimétisme familial d’abord, lorsque des élèves de CM2 justifient la mort de Samuel Paty, répétant ce qu’ils ont sans doute entendu à la maison. Mimétisme social ensuite, lorsque des lycéens s’identifient au tueur et menacent leurs enseignants de subir le même sort.

Des enseignants terrorisés et des élèves qui jouent à leur faire peur

Récemment, l’Éducation nationale a enregistré pas moins de 400 signalements d’élèves refusant d’honorer la minute de silence à Samuel Paty. Parmi eux, 20% sont le fait d’élèves d’école primaire. Cette semaine, quatre collégiens âgés de 13 à 14 ans ont été arrêtés après avoir tagué le mur de leur collège au nom de l’enseignement assassiné, suivi de la mention «vous êtes tous morts». Un lycéen de 17 ans a aussi été placé en garde à vue pour avoir menacé sa professeure de décapitation. Des paroles amplifiées par l’actualité brûlante, mais qui sont à ranger dans le lot des provocations récurrentes que subit le corps professoral, estime Barbara Lefebvre:

«Il y a une grande part de provocation provenant d’élèves qui savent qu’ils sont protégés et tout-puissants. Lorsqu’un élève dit, devant toute la classe, à son enseignante qu’il va lui “faire une Samuel Paty”, en général, c’est qu’il ne le fera pas; avant cela, il aurait dit “faire une Merah” ou une “Kouachi”. On est dans le domaine de la provocation menaçante.»

Une accumulation de petits drames. Dans l’attente d’une nouvelle tragédie?

Probables Black-out en France cet hiver, le résultat d’une «politique d’apprentis sorciers»

Articles  : Nov. 2020Oct. 2020Sept 2020Août 2020

Sputnik : https://fr.sputniknews.com/france/202011201044804569-probables-black-out-france-resultat-politique-apprentis-sorciers/

Des coupures de courant pourraient survenir cet hiver en cas de pic de demande. Une conséquence du confinement et de la dépendance française au nucléaire, selon Barbara Pompili. L’essayiste Fabien Bouglé y voit plutôt la conséquence d’une politique énergétique pilotée par l’idéologie et teintée d’amateurisme. Analyse.

La France trop dépendante du nucléaire? C’est l’une des raisons avancées par Barbara Pompili, ministre de la Transition écologique, pour expliquer les coupures de courant que pourraient subir les Français cet hiver. Invitée par BFMTV, celle-ci s’est montrée à moitié rassurante, assurant qu’il n’y aurait pas de «black-out, à priori, si on reste dans le cadre d’un hiver normal.»

Les choses se corsent en revanche pour la ministre lorsque celle-ci annonce qu’«en cas de grosse vague de froid, il faudra faire de la régulation… À l’extrême, on peut envisager des coupures d’électricité, mais des coupures très courtes», confirmant ainsi un réel problème d’alimentation énergétique. Problème qui d’après elle trouve son origine dans le confinement, le calendrier de maintenance des centrales électriques ayant été perturbé au printemps par le confinement.

Des black-out, la faute au nucléaire? Une «fake news absolue»

«On n’est pas en Union soviétique», lance alors le présentateur, médusé à l’idée qu’un pays comme la France puisse être confronté à une telle situation. Visiblement piquée au vif par la remarque, Barbara Pompili rétorque alors que ceci est dû au «gaspillage» énergétique des Français ainsi que le fait que la France serait «trop dépendante d’une seule énergie». Une référence claire à la filière nucléaire.

Une «fake news absolue», s’emporte au micro de Sputnik l’essayiste Fabien Bouglé, auteur du livre Éoliennes: la face noire de la transition écologique (Éd. du Rocher, 2019).

«C’est vraiment l’hôpital qui se moque de la charité! Jamais le nucléaire ne serait responsable de ces black-out! C’est le contraire; c’est la politique d’apprentis sorciers du gouvernement, qui n’a de cesse de détruire notre sécurité électrique en France, qui conduit à ces résultats. On est toujours dans le déni!»

Pour le porte parole du Réseau Ulysse, réseau national anti-éolien et ancien vice-président de la Fédération Environnement durable, si des coupures de courant surviennent en France cet hiver, la responsabilité est à chercher du côté de la «politique déplorable» du gouvernement en matière énergétique, à savoir la dénucléarisation couplée au recours à des énergies intermittentes.

La crise du Covid-19 aurait-elle donc bon dos? Reprenant les chiffres de Réseau de transport de l’électricité (RTE) pour 2018, Fabien Bouglé souligne l’important écart entre le facteur de charge du nucléaire et de l’éolien, «le parc éolien français ne fonctionne qu’à 21,1% de sa capacité maximale de production», martèle-t-il, contre près de 80% pour le nucléaire, soulignant ainsi la stabilité d’une telle source d’approvisionnement.

«Le black-out est dû à cette désorganisation totale du réseau électrique»

Ainsi, diminuer la part du nucléaire dans le mix énergétique au profit d’énergies intermittentes (éolien et solaire) entraine-t-il nécessairement une «instabilité», nécessite le recours à des installations thermiques (gaz, charbon) pour pallier les creux de production. Depuis la fermeture de Fessenheim, la France a ainsi rouvert ses centrales à charbon, «le plus fort émetteur de gaz à effet de serre», s’insurge Fabien Bouglé, qui y voit «le comble du paradoxe».

«Ce qui est incroyable dans la politique d’apprentis sorciers de nos gouvernants actuels, c’est qu’à cause de l’intermittence des éoliennes, ont est obligé de rouvrir des centrales à charbon. Le black-out est dû à cette désorganisation totale du réseau électrique lié à l’installation des éoliennes», affirme-t-il.

Si la fermeture de Fessenheim a fait plaisir aux partis écologistes, cette installation était «amortie et avait une durée de vie de 20 ans encore», souligne Fabien Bouglé. Sa mise à l’arrêt prématurée devrait au passage coûter aux contribuables français 377 millions d’euros à titre de dédommagements à Engie, sans parler des investissements de modernisation qui y furent effectués avant la privatisation du groupe.

«On est en train d’aller dans le mur», estime l’essayiste. Pour lui, si les autorités françaises persistent dans cette voie, les épisodes de pénurie d’approvisionnement énergétique pourraient devenir bien plus fréquents en France et pas forcément qu’en hiver. Un comble pour un pays qui fut précurseur en matière tant de nucléaire que d’indépendance énergétique, estime Fabien Bouglé, qui renvoie au livre d’Hervé Machenaud, ancien directeur chez EDF et membre du comité exécutif du groupe: La France dans le noir; les méfaits de l’idéologie en politique énergétique (éd. Manitoba/Les Belles Lettres).

En guise d’illustration, Fabien Bouglé évoque le cas de la Californie, où les installations éoliennes et solaires n’avaient pas pu faire face à l’explosion de la demande en climatisation cet été. Résultat, cet État se voulant à la pointe en matière d’écologie, avait dû lancer à plein régime ses centrales au gaz tout en imposant durant plusieurs jours des coupures tournantes d’électricité.

En cas de vague de froid, les années passées déjà, la production maximale des réacteurs nucléaires français, épaulée par celle des installations hydroélectriques et même de centrales à charbon, peinait à satisfaire la demande. Des pics de demande durant lesquels la France compte sur les importations d’énergie depuis les pays voisins ou la limitation de production des industries très énergivores. On comprend dès lors que dans une telle situation, la fermeture d’une centrale comme celle de Fessenheim, qui avec ses deux réacteurs de 900 MW chacun, fournissait 2,29% de l’électricité française, crée un déséquilibre difficile à compenser.

Barbara Pompili, «Ayatollah de l’éolien»?

Le rapport avec la centrale apparait d’autant plus évident que Barbara Pompili, durant son intervention télévisée, évoque «un degré de baisse d’électricité» qui «est l’équivalent de la production de deux réacteurs nucléaires». Face aux reproches qui fusent depuis sur les réseaux sociaux de la part de ceux qui y voient une conséquence de la décision de fermer Fesseinheim, RTE a volé au secours de la ministre.

«La ministre ne disait pas que l’on avait besoin de deux réacteurs en plus», déclare le gestionnaire à LCI, avant de développer: «cela fait quatre ans que l’on communique sur des hivers tendus, car nous sommes dans une période de transition avec des fermetures de moyens de production polluants du parc thermique et le développement des énergies renouvelables qui est en cours.»

En somme, lier la fermeture de Fessenheim au déficit énergétique de la France, pourtant annoncé par la ministre comme égal à la capacité de production de la centrale alsacienne, serait une mauvaise interprétation de la pensée complexe de Barbara Pompili. Ce soutien, en tout cas, n’étonne pas l’essayiste, qui revient sur la manière dont plusieurs proches de François Hollande ont été recasés à la tête de RTE, tels que François Brottes, député PS à l’origine de la première loi énergétique du quinquennat Hollande ou Xavier Piechaczyk, le conseiller énergie de l’ancien Président socialiste.

«C’est-à-dire que les patrons de RTE –entreprise en charge du raccordement des éoliennes au réseau– sont des promoteurs de l’éolien depuis des années. On voit bien le conflit d’intérêts et pourquoi ils défendent la politique de Barbara Pompili, qui est une Ayatollah de l’éolien.»

à son avis, «il n’est pas trop tard» pour revenir sur «des décisions absurdes». Il rappelle que «la France est l’un des pays les plus vertueux au monde en termes de gaz à effet de serre, puisque grâce à notre nucléaire et à notre hydraulique, on a l’électricité la plus décarbonée au monde!»

Reste à savoir si ceux qui plaident pour la fin du nucléaire n’ont pas déjà remporté la bataille de l’opinion. Selon une étude BVA menée en avril 2019, non seulement les Français sous-estiment la part du nucléaire dans l’approvisionnement énergétique du pays, mais près de deux tiers d’entre eux (69%) estimaient que la production d’électricité nucléaire contribuait au dérèglement climatique. Un comble.

La chanson du jour, Diamonds – The Boxer Rebellion

A la première écoute, la chanson du jour pourrait passer inaperçue mais en réécoutant plusieurs fois ce morceau la magie opère et on se sent soudain l’irrésistible envie de réécouter cette chanson. Alors laissez vous tenter… vous reprendrez bien quelques diamants.

Jean Castex : pas de retour à l’« antéconfinement », les mesures restrictives perdureront

Articles  : Nov. 2020Oct. 2020Sept 2020Août 2020

Jusqu’à quand allons-nous supporter cette mascarade ? Jusqu’à quand nos vieux emprisonnés dans leurs EHPAD ? Jusqu’à quand la guignolade du masque en tout temps et en tout lieu ? Jusqu’à quand les commerces fermés ? Jusqu’à quand l’interdiction du sport ? Jusqu’à quand les gamins privés de socialisation ?

Assurément, jusqu’à ce que mort s’ensuive.

Pas de la maladie, non, mais de la peur instillée au quotidien à mesure qu’on nous prive des gestes élémentaires de la vie. La mort économique et sociale d’une France où l’on nous transforme en veaux jour après jour, histoire, sans doute, de donner corps à la prophétie du général de Gaulle dont tout le monde, aujourd’hui, revendique la filiation…

Comme Philippe Douste-Blazy, qui se « désolidarise » du film Hold-up où il apparaît pourtant abondamment, abandonnant tout à coup les attributs du courage qui lui avaient poussé, les Français acceptent sans rechigner les injonctions aussi liberticides que contradictoires. Il y en a bien quelques-uns, audacieux, qui de temps en temps énoncent quelques vérités d’évidence, tel ce docteur barbichu dont j’ai oublié le nom, habitué des plateaux, qui, remisant ses assurances sanitaires au vu des piètres résultats du reconfinement, a osé déclarer, l’autre jour, que « vivre, c’est aussi bon pour la santé ». Grande découverte scientifique !

Qu’importe, le Monsieur Déconfinement ne veut plus déconfiner. Ce qui lui a valu son costume de Premier ministre est, aujourd’hui, le sujet de son mea culpa : c’est ma faute, c’est ma faute, c’est ma très grande faute, dit-il, je n’aurais pas dû vous laisser sortir. Alors, il nous prépare au long tunnel de l’hiver, et plus si affinités, afin de donner aux Français une « perspective » jusqu’à « l’été prochain ». Et pourquoi pas Noël 2021, ou 2025, ou jamais ?

« Peut-être que nous avons déconfiné un peu trop », dit Castex, « peut-être, aussi, que le peuple français a cru que cette épidémie était derrière nous et que les gestes barrières n’ont pas été respectés avec suffisamment de zèle ». Il s’emmêle les pinceaux, assure, d’un côté, que la possibilité d’une deuxième vague et d’un reconfinement était « prévue, anticipée » (sic) et, de l’autre, qu’« il était extrêmement difficile d’anticiper la brutale accélération pandémique ». Anticipée par qui, prévue comment ? Par la fabrication de faux positifs en masse via un test dont chacun admet qu’il n’est pas fiable ?

En attendant la Saint-Glinglin et le droit – peut-être – d’aller marcher dans le sable, Français, soyez sages. Augmentez vos doses de tranquillisants et portez le masque, y compris à la maison, même si « on a l’impression que “M. Virus” n’y pénètre pas ».

Hélas, les commerçants seront tous morts avant la Saint-Glinglin, mais les plates-formes de vente en ligne, elles, seront florissantes. Avant un très hypothétique Noël à l’air libre se profile, en effet, le Black Friday (le 27 novembre), « un vendredi noir qui n’a jamais aussi bien porté son nom », comme l’écrit Sophie Coignard, dans Le Point. Mais si « les commerçants privés d’activité n’entendent pas assister en spectateurs à un événement que les plates-formes de vente en ligne préparent avec frénésie et renoncer ainsi à trois jours de forte activité traditionnellement consacrés aux achats de Noël », le Premier ministre n’entend pas céder. Fermés ils sont, fermés ils resteront, foi de Castex !

C’est donc la bagarre au sommet entre Bruno Le Maire, qui annonce, lundi, une réouverture possible des petits commerces, ce 27 novembre, et Jean Castex, qui dément aussitôt car il ne veut pas capituler devant « une opération commerciale », rejoint, dans la foulée, par un Olivier Véran tétanisé à l’idée de finir devant les tribunaux si la France se remet à tousser.

Ces gens-là se sont découvert une passion : l’interdiction. Quelque chose me dit que c’est pour longtemps.

Boulevard Voltaire

La stratégie gagnante de Donald J. Trump

Articles  : Nov. 2020Oct. 2020Sept 2020Août 2020

Deux semaines après l’élection présidentielle, on ne connaît toujours pas le nom du vainqueur. En revanche, on commence à saisir plus clairement la stratégie développée par les avocats de la Maison-Blanche. Une stratégie probablement réfléchie depuis plusieurs mois.

L’actuel président et ses équipes savaient, depuis le début, que les élections de 2020 seraient les élections du siècle en raison des enjeux planétaires et de la volonté irrépressible des démocrates de reprendre le pouvoir dont ils s’estiment avoir été illégitimement privés, quatre ans plus tôt : l’inattendu vainqueur n’a jamais été adoubé par le système.

Et quand il est question de vie ou de mort, tous les coups sont permis. La gigantesque fraude était donc largement anticipée et Trump l’avait évoquée dès 2018.

Aussi, l’arrêt soudain du décompte des voix dans les six swing states durant la nuit du 3 au 4 novembre annonçait le tout début du coup d’État électoral lancé par des démocrates pour qui la fin justifie les moyens. Même les plus vils.

Le 7 novembre, Joe Biden annonçait publiquement sa victoire et les médias du monde s’empressèrent de relayer la nouvelle, dressant un portrait dithyrambique du 46e président des États-Unis. Annonce dépourvue de tout fondement légal, l’actuel président n’ayant pas admis sa défaite.

Bien au contraire, son équipe de campagne et ses avocats déposèrent un recours pour que soient ordonnées des enquêtes préliminaires.

Les premiers résultats ont convaincu le general attorney (procureur général) William P. Barr qu’un dossier d’instruction devait être ouvert, mettant ainsi en branle les autorités policières et judiciaires dans chaque État concerné. Des milliers d’agents ont été mobilisés et sont toujours à pied d’œuvre.

Selon les avocats du président, il en ressortirait déjà des preuves édifiantes et des centaines de témoignages sous serment : incohérences statistiques, faux bulletins, faux électeurs, intrusion malveillante dans le logiciel Dominion…

De quoi peut-être assurer la réélection de Donald J. Trump de la façon qui suit.

Un nouveau décompte des voix a été demandé par l’équipe de campagne présidentielle avec l’appui des autorités fédérales. Là s’est posée une difficulté : les modalités électorales dépendent des autorités locales (l’État) et celles de Pennsylvanie, par exemple, ont fait savoir, il y a quelques jours, qu’elles s’y opposaient.

On s’y attendait et cela ne compromet pas le plan. Pourquoi ?

Parce que la finalité n’est probablement pas de recompter les bulletins mais de montrer à la Cour suprême que les cas de fraude sont suffisamment avérés et généralisés pour invalider les élections dans les États concernés.

Maîtres Powell et Giuliani ont annoncé détenir suffisamment d’éléments pour atteindre cet objectif.

Dans ce cas, aucun des deux candidats ne pourra se prévaloir des 270 grands électeurs requis. Or, que prévoit la Constitution, dans un tel cas de figure ?

C’est simple : si, au 14 décembre, le collège électoral ne parvient pas à élire un président, celui-ci sera élu par la Chambre des représentants (12e amendement de la Constitution).

Et là, vous pourriez vous dire que c’est mal engagé pour Trump, la Chambre étant majoritairement démocrate. Eh bien, non, car il y a une subtilité : chaque État dispose d’une seule voix, indépendamment de sa taille. Avec 30 États républicains et 20 démocrates, vous commencez à comprendre la stratégie…

En résumé, la réélection de Donald Trump est une configuration plausible et il n’est pas exclu que les démocrates se soient, une fois encore, laissé prendre dans le piège qu’il leur a tendu. Si c’était le cas, ils ne s’en remettraient probablement pas et les médias qui leur sont inféodés subiraient une disgrâce à la hauteur de leur forfait.

Je peux, évidemment, me tromper car, en matière politique, la prévision est un sport à haut risque. Néanmoins, chaque jour qui passe conforte la vraisemblance d’un tel scénario.

Boulevard Voltaire

Logiciel Dominion : – 2,7 millions de voix pour Trump, + 500 000 pour Biden !

Articles  : Nov. 2020Oct. 2020Sept 2020Août 2020

Tandis que le camp démocrate s’entête à nier la fraude, qui s’avère chaque jour plus gigantesque, Trump et ses enquêteurs ne lâchent rien.

Le lien ci-dessous montre les magouilles frauduleuses qui ont sévi dans plusieurs États, évidemment à sens unique, pour dépouiller Trump et lui voler la victoire.

Le logiciel Dominion a supprimé plus de 2,7 millions de votes dans tout le pays, et transféré plus de 500 000 votes de Trump à Biden

Suite aux révélations faites par Sydney Powell quant à la gigantesque fraude informatique, capable d’inverser le verdict, Trump a twitté dimanche soir :  “J’ai gagné l’élection”, affirmant que Dominion Voting System avait truqué le résultat avec son logiciel de dépouillement.

“Donald Trump a relayé jeudi dans un tweet, en lettres capitales, des informations de la chaîne conservatrice One America News Network (OANN) selon lesquelles le logiciel Dominion aurait          « effacé 2,7 millions de votes Trump à travers le pays », et que des centaines de milliers de votes qui lui étaient destinés avaient été attribués à Joe Biden dans des États utilisant la technologie Dominion.”

Mais niant la machination à l’échelle nationale, puisque 28 États ont utilisé le logiciel Dominion, la gauche américaine, ainsi que ses valets européens, osent encore affirmer que “L’élection du 3 novembre a été la plus sûre de toute l’histoire des États-Unis” ! Les tricheurs, ça ose tout !

Trump, parfaitement au fait de ce qui l’attendait dans ce combat truqué, nous avait prévenus qu’il ne gagnerait pas dans les urnes, mais seulement après un long combat judiciaire. Nous y sommes et le rusé milliardaire, si décrié en Europe, sait parfaitement où il va, malgré les innombrables obstacles que le système mondialiste met sur son chemin.

Pendant quatre années, la gauche a tout fait pour le déboulonner, l’accusant des pires turpitudes et lançant contre lui une procédure de destitution qui a pitoyablement échoué.

Cette fraude électorale, hallucinante par sa dimension, n’est donc que l’arme ultime que le camp mondialiste utilise pour écarter cet ennemi du politiquement correct, qui défend le peuple de l’Amérique profonde.

Mais cette arme pourrait bien se retourner contre les ennemis de la démocratie, qui ont essayé de trahir le peuple en falsifiant l’élection. Une ignominie sans nom.

Et la presse a beau brailler “pas de preuves”, suite aux terribles accusations de Sidney Powell, celles-ci sont d’abord réservées à la justice qui se met en marche.

Évidemment, avec une telle machination qui n’a été possible qu’avec des complicités à tous les niveaux de l’administration, le combat est long et difficile. Mais Trump le savait.

Selon Sydney Powell, des membres éminents du FBI et de la CIA sont mouillés. Une enquête criminelle s’impose pour débusquer ces complices de la conspiration.

Il reste près de quatre semaines pour confondre les tricheurs et annuler les élections partout où la fraude a été aussi massive qu’incontestable.

C’est à la justice et aux enquêteurs de livrer les preuves et à la Cour suprême de trancher.

Mais dans cette course à la vérité et à la justice, un deuxième élément interpelle. C’est la visite de Mike Pompeo en Europe.

En effet, que viendrait donc faire cet émissaire de Trump en Europe et au MO, si le sort de celui-ci est définitivement scellé et si Biden est d’ores et déjà le 46e président des États-Unis ? Cela n’a aucun sens.

https://www.europe1.fr/international/en-visite-a-paris-mike-pompeo-veut-rappeler-que-trump-est-encore-president-des-etats-unis-4005243

Une tournée diplomatique sans lendemain, pour une administration qui ne sera plus là dans deux mois ? Foutaises que tout cela !

Rappelons-nous la petite phrase de Pompeo, l’air narquois, à ceux qui s’impatientent  et réclament la transition en douceur depuis le 4 novembre.

“Il y aura bien une transition en douceur… vers un deuxième mandat de Donald Trump”.

Nul n’est devin, mais je ne serais pas surpris que Pompeo soit venu voir les dirigeants européens pour leur signifier, preuves à l’appui, qu’ils ont adoubé Biden un peu vite. On imagine la gueule de bois de Macron et des médias si Trump est finalement consacré pour un deuxième mandat !

Chez RL, le champagne coulera à flots.

Car si les dirigeants et journalistes européens ne détiennent aucun élément prouvant la fraude, il serait tout de même consternant que le président des États-Unis, l’homme le plus puissant du monde qui met 60 millions de dollars dans la bataille judiciaire, n’ait aucun élément sérieux pour refuser la défaite depuis le 4 novembre.

Ses chance de l’emporter sont donc bien réelles.

Patience, les amis, l’avenir pourrait être des plus réjouissants… même si les forces du Mal sont toutes- puissantes.

Jacques Guillemain, Riposte Laïque

Les restaurants ne devraient rouvrir qu’en début d’année 2021

Articles  : Nov. 2020Oct. 2020Sept 2020Août 2020

Selon une information révélée le 16 novembre par Le Point, restaurants, bistrots, brasseries, bars et cafés ne devraient pas rouvrir à l’occasion des fêtes de Noël et de la Saint-Sylvestre : « La réouverture des établissements de restauration n’interviendrait pas avant le 15 janvier, voire le 1er février 2021. »

De nombreux établissement risquent de ne pas se relever

La première fermeture lors du confinement généralisé, durant la première vague de l’épidémie de Covid-19, avait eu lieu du 14 mars au 2 juin, et même jusqu’au 15 juin pour les établissements parisiens ne disposant pas de terrasse. Puis est survenue l’instauration d’un couvre-feu, dans 54 départements, durant l’automne. À présent, l’ensemble des restaurants ne reçoit plus de clients depuis le 30 octobre. La seule activité de vente à emporter est autorisée. Ce deuxième confinement, qui pourrait donc se prolonger jusqu’au début de l’année prochaine, est un nouveau coup dur pour ce secteur déjà très touché.

Selon l’hebdomadaire, cette mesure drastique « est envisagée à l’heure actuelle par le gouvernement afin de lutter contre la propagation du coronavirus en France, selon une source proche du dossier en contact direct avec Bercy ». Un nouveau coup pour un secteur très durement touché depuis le printemps par les conséquences du Covid-19.

Malgré le plan de soutien mis en place avec le chômage partiel, le PGE (prêt garanti par l’État) ou encore la mise en place d’un fonds de solidarité jusqu’à 10.000 euros par mois équivalant à la perte du chiffre d’affaires, de nombreux établissement risque de ne pas se relever de cette fermeture prolongée et devraient faire faillite.

« Aucun cluster n’a été déclaré dans nos établissements »

Le 20 octobre dernier, des chefs et patrons de restaurants de toutes catégories, du simple bistrot au restaurant étoilé, avaient publié une tribune pour interpeller Emmanuel Macron, un véritable appel au secours. Ils réclamaient, en particulier, un moratoire sur les loyers (et non le simple report), l’annulation des charges patronales durant l’état d’urgence sanitaire, l’ouverture du chômage partiel aux gérants majoritaires, et l’aménagement des règles comptables pour éloigner le spectre des faillites inexorables.

« Nous sommes la richesse de la France et la fierté des Français. Mais notre art de vivre si singulier et si unique au monde court un grand danger », déclaraient-ils, tout en rappelant leur incompréhension devant la dureté des mesures prises. « Aucun cluster n’a été déclaré dans nos établissements », ajoutaient-ils.

Guillaume Bigot : ” Immigration, une chance pour la France ?”

Articles  : Nov. 2020Oct. 2020Sept 2020Août 2020

Tiens on aborde “timidement” ce sujet sur une grande chaîne. Il faudrait une vraie prise de conscience nationale et qu’on arrête de “voiler” la face sur ce sujet (avec ou sans jeu de mots).

Manifestation pro-Trump à Washington : les antifas et des militants #BLM menacent et agressent des supporters de Trump.

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Des affrontements ont éclaté dans les rues de Washington, la capitale des États-Unis, ce samedi 14 novembre, après la gigantesque manifestation des militants favorables à Donal Trump. Des petits groupes d’ultra gauche s’en sont pris aux partisans du président des États-Unis qui conteste toujours sa défaite face à Joe Biden la semaine dernière.

Les attaques se sont portées majoritairement sur des femmes et les personnes âgées…quel courage ! Les images….

EN IMAGES – Des milliers de partisans de Donald Trump, dont des «Proud Boys», se sont rassemblés dans la capitale samedi 14 novembre pour contester la défaite de leur candidat.

Des milliers de partisans de Donald Trump, dont des groupuscules de droite, ont afflué dans les rues de Washington ce samedi 14 novembre, plusieurs jours après la défaite de leur candidat aux élections présidentielles. L’objectif ? Soutenir la théorie d’une éventuelle fraude défendue par le président sortant.

Malgré l’absence de preuve d’un piratage du scrutin, confirmée par les autorités électorales, les manifestants ont crié «Quatre ans de plus! Quatre ans de plus!» et «USA! USA!» devant Freedom Plaza, tout en agitant des drapeaux «Trump 2020» et des panneaux «Halte au vol».