Articles : Nov. 2020 – Oct. 2020 – Sept 2020 – Août 2020
Alors que le collectif Sleeping Giants vient d’annoncer, sur les réseaux sociaux, que Decathlon retirait ses publicités de CNews, un ancien collaborateur de la chaîne de magasins de sport témoigne.
Decathlon a décidé de retirer ses publicités de CNews en raison des « discours de haine » qui y seraient tenus. Une annonce faite sur Twitter par le collectif Sleeping Giants qui refait surface. Par « discours de haine », la chaîne de vêtements de sport vise les chroniqueurs et présentateurs qui y apportent leur talent et leurs éclairages. Parmi ceux-ci, Éric Zemmour, évidemment, mais aussi Pascal Praud, Gabrielle Cluzel ou Charlotte d’Ornellas.
J’ai toujours considéré que la pire des inélégances, dans la vie, était de cracher dans la soupe qui nous a nourris. Pendant des années, Decathlon était la mienne : j’ai ainsi été cadre au sein de l’entreprise, avec quelques responsabilités de gestion d’équipe dans les locaux du « siège ».
J’ai décidé de démissionner, il y a quelques mois, lassé des implications au quotidien du politiquement correct de cette boîte où le gilet n’est pas jaune mais bleu, où l’on entend façonner une société multiculturelle où, forcément, l’on défend la planète tout en la polluant.
On se souvient de la polémique, en février 2019, autour du « hijab de running », conçu « pour rendre le sport accessible à toutes », mais que la marque finit par renoncer à commercialiser. En interne, on enrageait contre ces Gaulois déjà réfractaires. Mais certains se vengèrent : « Tu as vu, on a mis un skieur noir en couverture de notre magazine », est-on un jour venu se vanter auprès de moi.
Mais ce n’est que l’arbre qui cache la forêt. Tout, chez Decathlon, s’articule autour des principes les plus délirants de l’époque.
La libération d’entreprise voulue par son PDG Michel Aballea et au nom de laquelle toute hiérarchie est perçue comme un autoritarisme rend impossible de faire une remarque à un employé qui arriverait systématiquement en retard (« il ne faut pas mettre trop de pression et puis c’est oublier les jours où il est arrivé à l’heure ! »), d’évaluer les éléments de son équipe (dans celle où j’évoluais, certains éléments obtenaient des chiffres jusqu’à 15 fois supérieurs à ceux des moins productifs), d’inculquer quelques principes nobles et sains, comme l’implication, la responsabilité ou l’esthétisme.
Tout, au bout du compte, est amusement au nom de la « festivocratie ». Des groupes de travail sont conçus pour se pencher sur le bonheur dans l’entreprise. En fait, de ces heures de discussions, je n’ai jamais entendu d’autres propositions que de mettre davantage de plantes et de fleurs dans le cadre de travail ou de créer des pièces où chacun peut aller… se reposer. Pourtant, nulle part ailleurs que chez Decathlon je n’ai vu autant de personnes mal dans leur peau, tantôt frustrées de faire le travail à la place des autres qui se savaient à l’abri dans une boîte « où il faut beaucoup pour se faire virer », tantôt lasses de « pisser bleu », selon l’expression bien connue dans l’entreprise.
Tandis que j’étais pressenti pour prendre des responsabilités dans un autre service, je fus rabroué par une néo-féministe jusque dans le style : « Et pourquoi toujours des hommes ? » Un autre jour, on me fit corriger la revue destinée aux clients, non sans avoir pris soin de me donner un guide en écriture inclusive.
J’ai toujours pensé qu’il ne faut pas faire trop de politique au travail. Je taisais donc mon côté identitaire, réac, conservateur, comme beaucoup d’autres le faisaient. Parfois, les langues se déliaient un peu à la machine à café, mais jamais totalement : cela valait mieux pour notre tranquillité.
Pendant des années, lorsque j’engageais de nouveaux collaborateurs, je vantais cette entreprise où « chacun est libre d’écrire son histoire, où l’on fait du sport, où on a le droit à l’erreur ». Avec le temps, j’y ai de moins en moins cru, à mon tour mal à l’aise de voir que la liberté n’y vaut que pour ceux qui ne s’écartent pas du droit chemin.
Decathlon veut façonner une société qui n’est pas celle que souhaitent une majorité des Français. Si nous ne faisons pas plier ces entreprises qui s’arrogent le droit de décider quels propos ont droit de cité, nous aurons perdu notre combat. À notre tour de montrer notre force collective : soutenons Zemmour, Praud, Cluzel et d’autres, retirons notre confiance à Decathlon !
Boulevard Voltaire
Boycott de Décathlon suite…..
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Pour rappel l’article initial : http://rutube.fr/2020/11/21/interpelle-par-des-militants-dextreme-gauche-decathlon-boycotte-les-creneaux-publicitaires-de-cnews-jusqua-la-fin-de-lannee/
Ce vendredi 20 novembre, par l’intermédiaire d’un simple tweet, le groupe Decathlon a confirmé vouloir retirer ses publicités de CNEWS pour la fin d’année 2020, pour marquer son désaccord avec “l’orientation délétère” de la chaîne. Une annonce qui divise profondément les internautes sur Twitter.
Réactions sur twtitter
Pakistan : foule immense aux funérailles d’un islamiste à l’origine de manifestations anti-françaises.
Articles : Nov. 2020 – Oct. 2020 – Sept 2020 – Août 2020
Des foules immenses se sont rassemblées samedi à Lahore (est) pour les funérailles de Khadim Hussain Rizvi, fondateur d’un parti islamiste radical, dont la rhétorique incendiaire a attisé ces dernières semaines au Pakistan la colère à l’encontre de la France au sujet des caricatures du prophète Mahomet. Les autorités n’ont pas donné le nombre de participants, qui, selon des observateurs locaux, s’élevait à plusieurs centaines de milliers, la plupart ne respectant pas le port du masque obligatoire pour stopper une seconde vague de l’épidémie menaçant le Pakistan.
Khadim Hussain Rizvi, 54 ans, qui avait fondé en 2015 le Tehreek-e-Labbaik Pakistan (TLP), un influent mouvement extrémiste, est mort jeudi dans un hôpital de Lahore, après des difficultés respiratoires et une forte fièvre. Les causes de son décès ne sont pas connues et aucun test pour le Covid-19 ou une autopsie n’ont été pratiqués. […]
Avec ses discours parsemés d’obscénités et ses gesticulations théâtrales, il a instrumentalisé la question du blasphème, brûlante au Pakistan, où même des allégations non prouvées d’offense à l’islam peuvent entraîner assassinats et lynchages. […]
Le message de Rizvi pourrait aussi avoir inspiré Zaheer Hassan Mahmoud, le Pakistanais accusé d’avoir grièvement blessé au hachoir deux personnes près des anciens locaux de Charlie Hebdo en septembre à Paris. Ce dernier “regardait abondamment” ces derniers temps les vidéos du TLP, selon la justice française. […]
La chanson du jour, E penso a te – Papik
Pour changer un peu, la chanson du jour sera une chanson d’amour. Evidemment son chanteur est italien. Laissez vous emporter par le son de la trompette qui amène toute la douceur et la délicatesse nécessaire quand on se retrouve à deux pour partager les plaisirs de la vie… Allez c’est dimanche tout est permis.
I-Média n°323 – Hold-Up : colère, approximations et mépris médiatique
Articles : Nov. 2020 – Oct. 2020 – Sept 2020 – Août 2020
01:42 L’image de la semaine Les journalistes de Quotidien se transforment en zélés auxiliaires de police.
05:23 Hold-Up : colère, approximations et mépris médiatique C’est un documentaire qui a été vu en quelques jours par des millions de Français. À la fois pertinent et approximatif, voire parfois mensonger, Hold-Up n’en est pas moins un symbole frappant de cette colère sourde qui traverse la société française.Une colère à laquelle les médias répondent par un mépris hallucinant.
34:14 Revue de presse
40:45 USA : violences des antifas et fraude électorale Aux États-Unis, la mobilisation des partisans de Trump continue, moquée par les médias français.MOINS
« Quotidien » : informateur de police à ses heures (les plus sombres ?)…
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Boulevard Voltaire
On connaissait déjà les pratiques douteuses de l’émission sarcastique de Yann Barthès, se moquant de tout ce qui n’est pas idéologiquement correct, ne respectant rien hormis la doxa et allant donc jusqu’à inventer l’autodafé symbolique télévisé (quand le présentateur avait dédaigneusement balancé Valeurs actuelles par-dessus son épaule) ou, pire, le piratage industriel confraternel (en diffusant illégalement l’intégralité d’un dossier de Valeurs actuelles pour saborder économiquement le journal). Des méthodes peu déontologiques de journalistes qui « ont fait profession d’humilier des anonymes » selon Ingrid Riocreux, et qui avaient d’ailleurs été dénoncées par le Syndicat des éditeurs de la presse magazine.
Là, « Quotidien » pousse le bouchon un peu plus loin en pratiquant la délation auprès des forces de l’ordre. Sous prétexte de « couvrir » un rassemblement pour la messe devant la cathédrale de Rennes, la « journaliste » Sophie Dupont, aussi ironique que son maître, précise bien « On a été très attentif, on a tout écouté » et s’étonne de voir les fidèles chanter. « Qu’est-ce qui est légal, qu’est-ce qui ne l’est pas ? À quel moment on franchit la limite du rassemblement cultuel qui, lui, est interdit sur la voie publique ? » Elle ne peut s’empêcher de s’adresser aux forces de l’ordre. Son arrogance l’entraîne jusqu’à rappeler au policier que « le ministre de l’Intérieur souhaitait que l’on verbalise dès ce week-end ».
Face à l’impassibilité de ce dernier rétorquant que la manifestation est déclarée, ne pouvant visiblement pas supporter l’absence de réaction des policiers, et espérant peut-être secrètement voir tout ce joli petit monde chapelet à la main menotté, elle retourne à la charge insistant lourdement : « Là, ils ont prié ! » Une façon de faire suffisamment gênante pour que même France Inter s’en indigne. En témoigne ce tweet embarrassé de Stéphane Jourdain, rédacteur en chef numérique, se demandant si sa consœur est journaliste ou auxiliaire de police ?
« Les catholiques commençaient à se diviser, et “Quotidien” est arrivé pour les unir tous de nouveau. Les ressources de Dieu sont sans limites », observe Pierre Wolf-Mandroux. Rien de nouveau, en somme, chez Yann Barthès et ses émissions idéologiques. Si ce n’est que l’émission persiste et signe : faux journalistes mais vrais délateurs, faux contre-pouvoirs médiatiques mais bons soldats du régime, faux résistants mais vrais collabos. À chacun ses méthodes. Bisous.
Inefficacité du remdésivir : finalement, l’OMS confirme les conclusions du professeur Raoult
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Boulevard Voltaire
Il était cher, il était bien, il sentait bon la guérison. Olivier Véran le recommandait chaudement. « Cher professeur Raoult, mais qu’attendez-vous pour distiller le remdésivir dans les veines de vos malades ? »
Manque de chance, pas de bol et patatras ! L’OMS indique, dans son dernier communiqué, que le remdésivir ne vaut pas un clou. Inefficace dans le soin du Covid-19. Présente « la possibilité d’importants effets secondaires », dixit les experts du « Groupe de développement des directives » de l’OMS, dans le rapport relayé par Le Parisien, le 20 novembre.
Le professeur Raoult se marre. Comme il en témoigne dans l’une de se dernières vidéos, le ministère assurait la promotion de l’élixir salvateur : « On reçoit de la Direction générale de la santé un mail qui nous dit qu’on va pouvoir utiliser gratuitement le remdésivir. » Tournée générale !
Une incitation qui intervenait parallèlement à un forcing visant à discréditer l’hydroxychloroquine. L’Union européenne commandait, début octobre, le remdésivir par citernes. 500.000 doses, comme le rappellent Les Échos. Les bienfaiteurs de l’humanité étaient à Bruxelles. Gilead, au taquet, envoyait moult prospectus à l’IHU de Marseille et aux autres : remdésivir à volonté, un pin’s offert, profitez du Black Friday, tout doit disparaître !
Opération rapportée par le professeur Raoult dans une de ses dernières vidéos : « Et peu de temps après le mail de la Direction générale de la santé, on reçoit un papier de Gilead (vendeur du remdésivir) qui nous dit que “compte tenu que l’Europe a acheté pour un milliard de notre médicament, on peut vous en distribuer gratuitement” ».
Partant de ce nouveau rapport, les bienfaiteurs bruxellois se trouvent placés devant plusieurs options. La plus simple : tout jeter à la poubelle. La déchetterie la plus proche ou le tri sélectif. Un milliard de plus ou de moins… Ne chipotons pas. Ou bien écouler les 500.000 doses petit à petit dans les menus de la cafétéria. Bœuf sauté au remdésivir. Banane flambée sauce Gilead.
Une piscine, une pataugeoire à députés remplie du précieux liquide ? Ou la solution de l’extrême : le soin forcé. Même aux citoyens en bonne santé ! On ne sait que choisir.
En bref, au-delà de l’information médicale, ce rapport de l’OMS peut nous amener à cette conclusion suivante : seul un vaccin désapprouvé conjointement par l’Union européenne et le gouvernement Macron aura quelque chance d’amener 100 % de la population à se prémunir du Covid-19 ! La recherche médicale avance à grands pas.
La chanson du jour, Piano Boy – Parov Stelar
Et si on se relaxait un max avec ce thème très jazzy qui nous donne envie de bouger. Un très bon jazz, fusion, piano et trompette, vocal…on adore !
Conférence de presse : comment ses avocats vont faire gagner Trump
Articles : Nov. 2020 – Oct. 2020 – Sept 2020 – Août 2020
Jean-Patrick Grumberg (Riposte Laïque)
La conférence de presse de l’équipe des avocats de Trump en deux mots : époustouflante, incroyable ! Jamais je n’aurais pu croire l’étendue de ce que j’ai entendu et vu.
Dreuz a suivi en direct la conférence de presse des avocats que le Président Trump a sollicités pour dénoncer et faire annuler la fraude massive de l’élection 2020.
Dreuz a rapporté en détail toutes les accusations de fraude, jour après jour, comme je pense aucun autre média, en langue française ou en anglais, ne l’a fait.
La réalité est même au-delà de ça.
- Certains médias nient totalement l’existence des fraudes.
- D’autres affirment qu’elles ne reposent sur aucune preuve – en faisant mine d’ignorer les centaines de déclarations sous serment de témoins visuels. L’ancien maire de New York et avocat Rudy Giuliani, qui dirige l’équipe des avocats de Trump, a déclaré lors de cette conférence qu’une déclaration sous serment est une preuve, en droit. Elle peut être acceptée ou rejetée par le juge, mais c’est une preuve. En disant qu’il n’existe aucune preuve, les journalistes montrent qu’ils ne connaissent rien au sujet, qu’ils ignorent totalement le droit, qu’ils ne savent pas de quoi ils parlent – mais je ne vous apprends rien en vous disant cela.
Voici les extraits significatifs de la conférence de presse, qui a duré 1 h 30. Je dois dire qu’avant cette conférence, j’avais une opinion mitigée sur Giuliani. J’ai trouvé que cet homme, qui à lui tout seul a décimé la mafia new-yorkaise dans les années 70 quand il était le procureur de l’État, se vantait beaucoup mais qu’il accomplissait peu. Son intervention me l’a présenté sous un angle plus rassurant et solide.
Rudy Giuliani :
Nous avons de quoi plus que doubler l’avance de Biden en termes de preuves. Nous avons au moins un millier de témoignages. Nous en recevons tous les jours plus.
Lorsque nous avons commencé cette enquête, ce qui est apparu est une fraude dans de nombreux États, selon presque le même schéma partout. C’était comme un seul plan pour exécuter une fraude électorale dans des grandes villes, des grandes villes contrôlées par les Démocrates, des grandes villes contrôlées par les Démocrates avec une longue histoire de corruption.
Pennsylvanie
La marge est de 84 000 voix pour Biden. Mais 687 000 bulletins de vote ont été acceptés sans contrôle : il s’agit de bulletins de vote par correspondance. C’est ce qu’a dit Carter il y a 20 ans. Même le NYT a écrit sur le danger du vote par correspondance.
Ils ont triché mais ils ont fait des erreurs :
– L’une de leurs erreurs a été d’expulser les inspecteurs. Dans d’autres parties des États-Unis, il y avait des inspecteurs. Pas là.
– Autre erreur : si vous avez fait une faute sur votre bulletin et que vous vivez à Philadelphie ou à Pittsburgh – des villes à majorité Démocrates, vous étiez autorisé à la réparer. Si vous viviez dans une zone « pro-Trump », vous n’aviez pas eu cette possibilité. C’est illégal. Des centaines de témoins ont témoigné sous serment. Ce sera facile à prouver devant les tribunaux.
Puis il y a 17 000 bulletins provisionnels. 16 000 sont illégaux. Qu’est-ce qu’un bulletin provisionnel ?
– Je me présente ici pour voter aujourd’hui.
– On me dit « mais vous avez déjà voté ».
– « J’ai voté moi ? Non, je n’ai pas voté ! »
– « Vous avez voté par procuration ».
– « Non, je ne l’ai pas fait ! »C’est arrivé 16 000 fois à Pittsburgh. Autant de gens avec une mauvaise mémoire à Pittsburgh ?
Pourquoi ? Quand ils avaient une erreur sur un bulletin, les Démocrates ont dit « signez-le pour quelqu’un d’autre, le gars pourrait ne pas se présenter ». Et 16 000 se sont présentés.
Pourquoi ne pas autoriser les gens à inspecter ? Parce qu’ils savaient qu’ils allaient utiliser ces bulletins de vote pour faire monter Biden. La seule façon de le faire, c’était en trichant. Même les inspecteurs Démocrates n’étaient pas autorisés, parce qu’ils avaient peur qu’eux aussi dénoncent la fraude. Et c’est ce qu’ils ont fait.
Nous avons perdu des avocats dans cette affaire parce qu’ils ont été menacés.
Michigan
J’ai le témoignage sous serment d’une personne qui a été assignée au vote. Elle a déclaré : « On m’a demandé d’antidater les votes par procuration plus tôt que la date limite ».
Elle l’a dit sous serment !
Vous [la presse] pouvez dire qu’elle ment, mais vous ne pouvez pas dire qu’il n’y a pas de preuves. La prochaine fois que vous le direz, vous mentirez. Vous pouvez la contre-interroger, mais c’est une preuve.
Autre chose : pourquoi ne demandaient-ils pas de pièces d’identité ? Parce qu’ils savaient que les personnes qui ne sont pas autorisées à voter voteraient.
Ils n’ont pas fait ça dans les endroits neutres, dans des villes Républicaines, seulement dans des villes corrompues.
Cela signifie qu’ils n’ont pas tenu compte de l’ordre de la Cour suprême.
Vous, la presse, c’est votre travail de lire les déclarations sous serment, pas de dire qu’elles n’existent pas.
300 000 votes que nous pouvons identifier sont des fraudes dans le Michigan [l’écart est de 150 000 votes pour Biden]. C’est une affaire très importante, qui a été soulevée par un individu.
Wisconsin
Petite marge pour Biden, 20 000 votes. Leurs plans étaient similaires : à Milwaukee, Madison, des inspecteurs non autorisés à inspecter.
Le Wisconsin n’autorise pas le vote par correspondance. Il est illégal d’envoyer du courrier, vous devez en faire la demande personnellement.
60 000 votes à Milwaukee et 40 000 à Madison qui n’ont pas de demande. Cela ne s’est produit dans aucune autre région du Wisconsin. Si vous comptez simplement cela, c’est Trump qui a gagné.
Le sur-vote.
Qu’est-ce que le sur-vote : c’est si 200 % des personnes inscrites votent. Cela signifie que quelqu’un a voté deux fois, ou une personne hors de l’État a voté. Ce sont des votes illégaux. La plupart des comtés n’ont pas 100 % des votes. La norme maximum habituelle, c’est 80 %. Nous avons plus de 300 % de votes dans certains comtés.
L’une des raisons pour lesquelles le bureau n’a pas certifié c’est parce que c’était le cas : il y a eu un grand nombre de votes excédentaires, de sur-votes.
Géorgie
Un grand procès sera intenté demain. Mêmes problèmes. Nous avons de nombreux doubles votes, des électeurs hors de l’État, des intimidations. Etc.
Arizona : nous allons intenter un procès, nous en sommes en train de rassembler des preuves.
Nouveau-Mexique et Virginie : cela va vous surprendre. Ils suivront probablement.
Nous avons de quoi plus que doubler l’avance de Biden en termes de preuves. Nous avons au moins un millier de témoignages. Nous en recevons tous les jours plus.
Toute cette fraude était prévue à l’avance, la même chose s’est présentée dans plusieurs villes, en même temps.
Nous avons utilisé une machine à voter vénézuélienne pour compter notre vote !
Biden est en tête à cause des bulletins de vote illégaux utilisés après l’élection.
Sidney Powell évoque une autre partie du scandale :
La plupart de nos bulletins de vote sont comptés en dehors des États-Unis.
L’argent des communistes s’est immiscé massivement dans le processus : Venezuela, Cuba, Chine.
Les machines comptaient 0,7 voix par vote pour Trump et 1,25 pour Biden. Ainsi sur 10 votes Trump en était compté 7. Sur 10 votes Biden 12,5 ! Un glissement algorithmique faussant les résultats de plusieurs millions de voix. Une fraude massive. [Note de la rédaction : il faut bien comprendre que prouver cela prend du temps, et que cela a peu de chances de tenir devant un juge : c’est devant l’opinion publique que Trump devra remporter ce procès-là, pas devant la cour, aussi il doit poursuivre cette enquête statistique jusqu’au bout].
Nous avons un témoin très fort, il a travaillé pour Smartmatic (Dominion). Il a intenté un procès. Il était avec Hugo Chavez et l’a vu opérer les machines de vote Smartmatic.
Le logiciel peut retourner les votes, prendre les votes de Trump pour les donner à Biden. C’est pourquoi ils ont arrêté le comptage au milieu de la nuit.
La fraude est visible avec des statistiques et elle est corroborée par des témoignages.
Les dirigeants de Dominion ont déménagé du jour au lendemain, on ne les trouve nulle part.
Les dirigeants de Smartmatic sont associés au gouvernement vénézuélien de Maduro.
Nous avons la preuve que 345 000 votes en faveur de Biden ont été injectés à 20 minutes d’intervalle dans la machine.
Il y a des algorithmes pour changer les résultats, des algorithmes pour détruire les votes.
Il existe des vidéos montrant comment un ado avec un téléphone portable peut pirater les machines de vote.
Une enquête criminelle à grande échelle doit être immédiatement menée par le gouvernement fédéral et les États.
Le Texas a rejeté les systèmes du Dominion. Il a été utilisé pour frauder d’autres élections dans d’autres pays.
C’est stupéfiant, déchirant, exaspérant et anti-patriotique. Et nous ne nous laisserons pas intimider, nous en avons assez, et nous allons prouver que Trump a gagné l’élection.
Nous ne serons pas intimidés. Nous n’allons pas reculer. Nous allons nettoyer ce gâchis, maintenant. Le Président Trump l’a emporté haut la main. Nous allons le prouver et nous allons reconquérir les États-Unis d’Amérique pour les personnes qui votent pour la liberté.
Jenna Ellis
Ce dont nous avons parlé aujourd’hui, c’est ce que vous pouvez vous attendre à voir au tribunal. C’est ce que cachent les fake news.
S’adressant aux journalistes : ceci est le tribunal de l’opinion publique. À cause des fake news, si vous étiez membres du jury, je vous rejetterais à 100 %.
Et de nombreux employés de Dominion nous ont contactés pour dénoncer la fraude.
Giuliani sur les fake news
Nous sommes frustrés par ce que nous lisons dans la presse, quand vous dites que nous n’avons pas de preuves. Le témoignage sous serment est une preuve.
Nos votes sont comptés en Allemagne et en Espagne par un allié de Chavez. C’est un problème majeur. Mais nous avons suffisamment de preuves pour renverser l’élection.
S’adressant à la salle remplie de journalistes, qui ne semblent pas du tout concernés, comme si on parlait de banalités : « Mon Dieu, que devons-nous faire, pour que vous disiez la vérité au peuple ! »
De quoi avez-vous besoin de plus pour faire votre travail et informer le peuple américain !
Je connais le crime, je le sens. Je peux prouver que Trump a gagné.
Notre but est de contourner le rideau de fer de la censure. Il y a des faits, tout cela est arrivé. Les déclarations sous serment sont vraies. Vous les cachez.
Sidney Powell
Notre pays a vu son vote compté dans un pays étranger, par des associés à un pays étranger hostile. Que devons-nous faire pour que le FBI se réveille ! C’est le 1775 de notre génération.
Un journaliste lance à Powell : « Kraken ? »
Powell : « Nous ne devrions plus jamais utiliser la machine de Dominion et Smartmatic dans ce pays. »
Giuliani
C’est une attaque massive contre l’intégrité de la Démocratie. Ce n’était pas une idée individuelle. Ils ont fait la même chose dans dix grandes villes corrompues. Ils ont choisi les endroits où ils pouvaient le faire. Ils ont choisi des villes où ils ont des juges, des élus, et un shérif qui refusera d’exécuter une ordonnance du tribunal.
Ne pas inspecter des bulletins de vote de 700 000 personnes est stupéfiant.
Je ne sais pas si Biden est au courant ou non, je ne sais pas s’il décide ou combien est décidé pour lui.
Dans le Michigan, la secrétaire d’État n’a rien dit sachant que les votes sont envoyés en Allemagne par une société vénézuélienne ? Peut-être sont-ils incompétents, ou qu’ils ne veulent pas savoir. Vous pensez qu’elle est crédible ?
C’est honteux ce qu’ils ont fait aux citoyens du Michigan.
Si j’étais encore au gouvernement, il y aurait beaucoup de gens arrêtés à l’heure actuelle parce qu’il y a beaucoup de causes prouvables.
Autre chose : nous n’avons pas un seul procès qui a été rejeté. Aucun. C’est une fake news. Des procès engagés par des personnes privées ont été rejetés, et à juste raison parce qu’ils n’avaient pas présenté de preuve. Trump, nous, n’avons aucun procès rejeté.
La censure est presque aussi dangereuse que la fraude.
- voici la carte des procès et recomptages qui peuvent apporter la victoire à Trump (copie écran du tableau de la conférence de l’équipe des avocats de Trump) :
Conclusion
Faire honnêtement son métier de journaliste consiste à rapporter les informations, les faits, et les commenter. Pas à faire des plans sur la comète et des spéculations sur le futur. Ne comptez donc pas sur moi pour déborder de mon rôle et faire comme mes confrères, ces incapables crétins qui vous disent ce que sera demain en vous faisant croire que c’est de l’information.
Ne me demandez pas de vous dire si les actions en justice vont aboutir et si Donald Trump va remporter l’élection.
Jean-Patrick Grumbert (Riposte Laïque)
Interpellé par des militants d’extrême gauche, Decathlon boycotte les créneaux publicitaires de CNews jusqu’à la fin de l’année.
Articles : Nov. 2020 – Oct. 2020 – Sept 2020 – Août 2020
*** Avis de Rutube.fr : Dans la mesure du possible à votre tour boycottez cette enseigne ! ***
Le collectif Sleeping Giants France a annoncé jeudi soir que le groupe Decathlon retirait ses publicités de CNews (groupe Canal+) pour Noël et songeait à le faire aussi pour l’année 2021. […]
Sleeping Giants France se présente comme un collectif citoyen de lutte contre le financement du discours de haine. À l’origine, il s’agit d’un mouvement né aux États-Unis en 2016 suite à l’élection de Donald Trump. Son but est de faire pression sur les annonceurs pour qu’ils arrêtent de soutenir les médias qui véhiculent un discours raciste, sexiste, xénophobe, homophobe ou antisémite. […]