Les réseaux sociaux puis la presse ont largement fait écho de cette agression filmée dans le métro sur la ligne 9.
La scène est violente : un homme titubant agresse une femme qui reste impassible à ses insultes. « Wallah tu vas plus rigoler », menace le suspect. Puis, d’un coup, l’homme la frappe au visage, un homme s’interpose et la vidéo se stoppe. Une scène relayée notamment par Pierre Sautarel (Fdesouche) et qui a fait réagir Marlène Schiappa.
« Arrête de m’emmerder, me regarde pas comme ça », poursuit-il. « Moi, je t’enc***, je te connais pas. Je vais tellement te déserter la tête la prochaine fois, je vais tellement te faire du mal, tu vas tellement souffrir tu vas devoir fermer ta bouche », ajoute l’individu. Une scène d’une rare violence filmée par un témoin.
Selon nos informations, l’homme a été repoussé par des témoins au moyen, notamment, d’une bombe à poivre vraisemblablement utilisée par l’homme qui filmait la scène. Le suspect avait déjà été interpellé la veille, puis placé en cellule de dégrisement. Il présentait alors un taux d’alcoolémie très bas. Contrairement à ce que nos confrères de BFM disaient, l’homme n’était absolument pas sous emprise significative d’alcool. Les forces de l’ordre avaient été contraintes de le relâcher car aucun dépôt de plainte n’avait été déposé alors.
Le suspect serait en garde à vue depuis 10 heures ce matin à la demande du parquet. Au moment où nous écrivons ces lignes, aucune plainte n’a été déposée.
Un profil inquiétant
En fouillant un peu, on s’aperçoit que le principal suspect n’en est pas à son coup d’essai. De source bien informée, il aurait été interpellé une dizaine de fois, la plupart pour des faits à caractère sexuel, dans le quartier. Inscrit au Fichier des auteurs d’infractions sexuelles, il est connu pour suivre et insulter des femmes dans la rue. Puis, parfois, de les frapper lorsqu’elles ont le malheur de s’opposer à lui.
Il a, par ailleurs, été interpellé quelques jours après avoir attouché une jeune fille de 17 ans et l’avoir menacée avec un pistolet. Sa jeune victime l’avait reconnu dans la rue, quelques jours plus tard, et donné l’alerte.
Pour rappel, le harcèlement sexuel est puni au maximum de deux ans d’emprisonnement et 100.000 euros d’amende. D’après nos informations, l’individu serait soumis à un traitement médicamenteux et suivi par un psychiatre.
Pour Emmanuel Macron, les sondages se suivent, se ressemblent et prennent tous la même pente. Celle de la descente. Ainsi le baromètre IFOP du JDD enregistre, pour janvier, « un net recul de 4 points », à 30 % seulement d’opinions favorables. Édouard Philippe suit la même courbe, avec un -3.
Ces sondages sont de plus en plus alarmants pour le président de la République.
D’abord, il n’avait pas connu un tel recul depuis novembre 2018 et le début de la crise des gilets jaunes. Tout se passe comme s’il retombait dans les mêmes ornières et si ce qu’avait révélé cette crise de ses faiblesses structurelles était toujours là, mal cicatrisé.
Ensuite, le détail de cette chute montre que, désormais, après qu’il a perdu le peuple, c’est le cœur même de son électorat qui se détache de lui. En effet, il perd 3 points chez les retraités et 6 points chez les cadres et les professions intellectuelles supérieures. Pire : il perd 10 points dans son électorat du premier tour de 2017 ! Et il enregistre un -5 dans celui de Fillon et -8 auprès des sympathisants MoDem. Ce sont les fragiles fondations du château de sable du macronisme qui sont en train de s’éroder sérieusement.
La raison majeure de cette chute n’est pas à chercher ailleurs que dans la réforme des retraites, mais celle-ci agit, à l’instar de la crise des gilets jaunes, non pas comme un simple épisode conjoncturel, « une mauvaise passe », mais un révélateur des carences de fond de la personnalité d’Emmanuel Macron. L’épisode des gilets jaunes l’avait montré coupé du peuple. Là, on découvre qu’à l’occasion de cette réforme des retraites, Emmanuel Macron et son monde méconnaissent la réalité des situations – dégradées – des classes moyennes : fonctionnaires, enseignants, avocats, professionnels de santé, militaires … Un comble pour celui qui s’était voulu la voix du sérieux et de la raison, notamment face à une Marine Le Pen regardée de haut lors du débat de l’entre-deux-tours. Un masque est tombé : le sérieux et la technicité d’Emmanuel Macron, ce n’était qu’un vernis. Un de plus.
Désormais, les Français semblent avoir tiré un trait sur Emmanuel Macron. Un autre sondage – Elabe pour BFM TV – indiquait, en début de semaine, que 69 % d’entre eux estimaient qu’il ne serait pas réélu en 2022. Avec le septennat, un Président pouvait se tirer d’une telle impopularité. Plus avec le quinquennat. Ce qui attend Emmanuel Macron, vu ces tendances de fond, c’est un destin à la Hollande, avec l’impossibilité de se représenter, comme nous le disions dès l’été 2015.
Surtout, ce qui accroît le doute, même chez les plus indulgents à son égard, c’est le manque de psychologie, de prudence d’Emmanuel Macron : comment avoir eu l’idée d’imposer cette réforme mal préparée, illisible, anxiogène à un pays qui sortait de la crise impressionnante des gilets jaunes ? Les Français ne comprennent pas : le Président qui avait eu si peur, qui avait failli être évacué de Paris un samedi de décembre, avait-il déjà oublié cet incendie mal éteint ?
Il y a, chez lui, une forme d’inconscience et de légèreté dans le traitement de cette crise profonde de la société française déchirée et traversée de multiples tensions. Et l’on ne peut qu’être surpris et très inquiet en observant les issues qu’il cherche pour s’extirper de cette impopularité : rouvrir de nouveau les cicatrices de la guerre d’Algérie, en la comparant à la Shoah, coche, dans un autre domaine, certes symbolique mais tout aussi sensible et potentiellement explosif, toutes les cases des erreurs précédentes : intervention inopportune, erreur d’appréciation intellectuelle et historique, méconnaissance de l’état de l’opinion sur ces questions.
Emmanuel Macron donne l’impression de ne rien apprendre de ses erreurs. C’est regrettable pour lui. C’est inquiétant pour le pays.
L’affaire Mila – à l’origine, une vulgaire empoignade de cours de récréation – a été abondamment commentée et de nombreux masques sont déjà tombés, à commencer par celui du délégué général du Conseil français du culte musulman (CFCM), Abdallah Zekri.
De même, l’intervention alambiquée de notre garde des Sceaux, qui a semblé entériner le retour du délit de blasphème, aura permis aux observateurs les plus progressistes de prendre conscience du double jeu des macronistes à l’égard des islamistes. Le masque du gouvernement luttant contre le salafisme est donc tombé. Au cours des débats passionnés provoqués par l’affaire, des observateurs plus conservateurs ont également pu faire admettre à leurs interlocuteurs que si Mila avait insulté Jésus-Christ, elle n’aurait reçu aucune menace de mort. Le masque qui cachait la vacuité intellectuelle de ceux qui renvoient dos à dos « toutes les religions » est ainsi tombé à son tour.
Des commentateurs encore plus avisés ont su, de leur côté, démasquer tout à la fois ceux qui s’interdisent de critiquer l’islam au nom du respect et ceux, parmi les musulmans, qui s’indignent de bonne foi. Ainsi, questionnée par Guillaume Roquette pour Le Figaro, Ferghane Azihari a assené trois vérités bien ciselées : premièrement, a-t-il expliqué, « la liberté d’expression n’a pas été conceptualisée pour que l’on puisse parler de météo, mais pour que l’on puisse aussi tenir les propos les plus outranciers sans être inquiété physiquement ». Ensuite, a-t-il précisé, « assimiler la critique de l’islam à du racisme, c’est sous-entendre que les musulmans sont une espèce de sous-hommes incapables de prendre une distance critique à l’égard de leur religion ».
Pour lui, c’est précisément là un présupposé raciste. Et comme il ne souscrit pas à ce racisme et à cette infantilisation, Ferghane Azihari a finement ajouté : « Les musulmans doivent être capables d’entendre que leur religion puisse être perçue comme nuisible, délétère ou rétrograde sans que cela ne déchaîne ce genre de passions […] et si, ma foi, ils ne sont pas capables de le faire, c’est bien que leur religion a un problème. »
Mais il restait encore d’autres groupes à démasquer. Pour ce faire, il faut à la fois rappeler les propos de l’avocat de Mila et se livrer à un petit exercice d’imagination… Imaginons donc que Mila ait insulté Jésus-Christ et qu’une horde de catholiques vengeurs ait inondé les réseaux sociaux d’injures homophobes accompagnées de menaces de viol et de meurtre ! Des tombereaux d’insultes offusquées se seraient abattus sur l’Église ; tous les dignitaires de la République, du procureur concerné jusqu’au président de la République, y seraient allés de leur petite déclaration publique ; un rassemblement de soutien aurait été organisé sur la place du Trocadéro et tous les mouvements de gauche auraient répondu présent. Des heures d’émissions auraient été consacrées aux lynchages des ignobles cathos appelant au meurtre ; et les responsables locaux des associations lycéennes se seraient relayés sur les plateaux pour proposer à Mila de l’accueillir dans leur établissement…
Or, que dit Maître Richard Malka, l’avocat de Mila ? Que l’on ne trouve pas de lycées susceptibles d’accueillir Mila, en garantissant sa sécurité, et qu’elle n’a reçu aucun soutien d’aucune association de gauche, pas même des associations féministes ou LGBT.
Et là, les masques sont tombés par dizaines : beaucoup d’associations, pour la plupart subventionnées, ne sont pas là pour défendre les opprimés mais pour faire du bruit médiatique au service du pouvoir, au prix d’une lâcheté et d’une incohérence qu’il faut être aveugle pour ne pas voir.
Sur RT, ça chauffe ! Nader Allouche (doctorant en Histoire) ose dire clairement : « L’islam est la religion d’un prophète pédophile ». Le contradicteur Gamal Abina, enfumeur professionnel et soutien à Tariq Ramadan, ainsi que la journaliste, sont au bord de la nervous breakdown :
Qui est ce Nader Allouche ? Il explique pourquoi il a signé l’appel des 101 musulmans contre le port du voile…
Il avait fait partie d’une délégation de journalistes musulmans qui avait accepté une invitation en Israël. Démarche intéressante, même si ses propos sur ses « frères palestiniens », peuvent laisser circonspects quelques lecteurs.
Qui est ce Gamal Abina, l’opposant agressif du formidable Nader Allouche ?
L’épidémie de coups de couteau reprend… Sous le silence complice des journalistes et des politiques qui cachent le lien entre couteau et immigration muzz.
Voilà comment on traite les jeunes filles dans la France de Macron-Belloubet-Castaner :
À Nantes, les travailleurs de la nuit reconnaissent que les coups de surins sont quotidiens : « Avant, il s’agissait d’incivilités mais désormais, ce sont des agressions au cutter, au tesson de bouteille…, estime Cyril, responsable de bar. Une collègue s’est fait planter au couteau pendant sa pause cigarette, près de la gare. Les boulangers qui commencent tôt, les pharmacies qui ferment tard, les clients qui rentrent chez eux, tout le monde est concerné. L’un des problèmes est que les forces de l’ordre ne sont pas assez nombreuses. Et quand un agresseur est interpellé, il est relâché très vite. » https://www.20minutes.fr/societe/2706411-20200129-nantes-coups-couteau-quotidien-alarment-professionnels-nuitt
Paris d’Hidalgo, l’enfer des riverains des salles de shoot : « On voit des gens qui se shootent dans la rue directement et les images sont clairement d’une violence infinie. Moi, j’élève des enfants. Imaginez qu’ils voient cela chaque jour : il y a des bagarres, de l’insécurité, du deal… », raconte ce témoin. Et d’ajouter : « On a vu évoluer le dealer, qui a changé de voiture depuis 2016, ce qui est quand même étonnant. Tout cela pourquoi ? Parce qu’il y a une zone de non-droit qui s’est installée (…) au milieu de 500 familles. On nous a parlé de l’accompagnement de ces gens, alors qu’il n’y a rien du tout, pas de médecins. »https://www.valeursactuelles.com/societe/insecurite-bagarres-deals-images-lappui-un-riverain-evoque-les-salles-de-shoot-115607
Comme Marin, encore un brillant jeune homme dont la vie a été détruite par des racailles : « Dix-neuf personnes ont été interpellées entre lundi et mercredi dans plusieurs quartiers de la ville. Lors des perquisitions menées chez les nourrices, les policiers ont mis la main sur 1,5 kilo de cannabis, 60 grammes de cocaïne, une arme de poing ainsi qu’une somme de 7 200 euros en liquide. » On appréciera les peines implacables distribuées par notre « justice » ! https://france3-regions.francetvinfo.fr/auvergne-rhone-alpes/rhone/lyon/lyon-jeremy-victime-agression-gratuite-decembre-vient-sortir-du-coma-1780865.html
Sénégal, l’abomination des écoles coraniques : « Tous coupables ! » a titré en Une le quotidien sénégalais Libération, tandis que le site d’information teledakar.net dénonçait une « barbarie sans fin ». L’ONG Human Rights Watch a dénoncé en juin le fait que de nombreux « talibés » (élèves d’une école coranique) étaient forcés à mendier par leur maître et soumis à des violences et des négligences qui ont entraîné la mort d’une quinzaine d’entre eux ces deux dernières années. »https://fr.metrotime.be/2020/01/31/actualite/puni-un-eleve-a-ete-battu-a-mort-dans-une-ecole-coranique-senegalaise/
C’est ainsi que par la violence et la stupidité Allah assoit son règne…
Depuis l’annonce du plan de paix de Donald Trump, un silence assourdissant résonne au Moyen-Orient. À quelques exceptions près, très peu de pays font entendre leur désaccord avec ce deal, que tous jugent défavorable aux Palestiniens. Pourquoi? Sputnik France a posé la question à Christian Chesnot, journaliste spécialiste du Moyen-Orient.
Il fut un temps où les leaders du monde arabe étaient vent debout et parlaient presque d’une seule voix lorsqu’il s’agissait de la question palestinienne. Cette époque semble aujourd’hui révolue. Depuis, l’équilibre géostratégique dans la région a connu une telle métamorphose qu’il est aujourd’hui difficile de rendre clairement compte de la position de certains pays de la région vis-à-vis de la Palestine et d’Israël.
Le 27 janvier dernier, des pays du Golfe comme Bahreïn, Oman et les Émirats arabes unis avaient dépêché des officiels pour la présentation du plan de paix au Moyen-Orient de Donald Trump. Les Émirats arabes unis ont même publiquement considérés le plan comme «sérieux» et ont dit qu’il «s’agissait d’un point de départ important pour un retour aux négociations». Une rupture totale avec la traditionnelle alliance arabe autour de la cause palestinienne.
Pourquoi cette volte-face? Christian Chesnot, journaliste spécialiste du Moyen-Orient, auteur avec Georges Malbrunot du livre Nos très chers émirs, publié aux éditions Michel Lafon en 2016, nous livre quelques clés de lecture afin de mieux comprendre un système d’alliance en pleine métamorphose.
Sputnik France: On entend très peu les pays arabes commenter le «plan de paix» de Donald Trump. Pourquoi ce silence?
Christian Chesnot: «Il y a tout de même un pays qui a beaucoup réagi, c’est la Jordanie. Ils sont en première ligne, notamment car les Israéliens vont se saisir de la vallée du Jourdain, et parce qu’ils ont accueilli beaucoup de Palestiniens par le passé. Pour le reste, ce silence s’explique de différentes manières.
En Égypte, le général Sissi est très proche des Israéliens. Les deux pays ont signé un accord sécuritaire pour lutter contre Daech* dans le désert du Sinaï. De plus, l’Égypte vient également de signer un contrat d’importation de gaz israélien.
Ensuite, il y a les pays du Golfe, notamment les puissances comme l’Arabie saoudite et les Émirats, qui depuis longtemps prônent une normalisation des relations avec Israël. Cela s’explique par le fait que les pays du Golfe et Israël ont un ennemi commun, qui s’appelle l’Iran et qu’au nom de cette lutte, il y a une alliance légitime. Il y a aussi une proximité des leaders émiratis et saoudiens avec le Président Trump, ce qui facilite ce rapprochement.»
Sputnik France: Le temps de la solidarité arabe inconditionnelle à la cause palestinienne est-il révolu?
Christian Chesnot: «Il y a toujours eu deux niveaux de solidarité. D’une part, il y a les dirigeants arabes, qui ont une solidarité à géométrie variable, et qui ont souvent instrumentalisé la cause palestinienne en fonction de leurs intérêts. D’autre part, il y a les peuples, qui eux sont toujours solidaires avec les Palestiniens, et qui ne comprennent pas que l’on puisse arriver à un accord aussi désastreux pour les Palestiniens.»
Sputnik France: Les dirigeants, dont la solidarité est à géométrie variable, ne redoutent-ils pas une forme de pression populaire qui pourrait les mettre en danger?
Christian Chesnot: «Pas dans les pays du Golfe, en tout cas. Tout simplement parce qu’il n’y a pas d’opinion publique. Il y a un État providence très fort et pas de partis politiques, pas de presse libre… Ce n’est donc pas dans ces pays-là que l’on va voir des mouvements populaires en soutien aux Palestiniens. En Égypte, au Liban, en Jordanie, en Syrie, en Irak, là, c’est peut-être possible, mais ces pays, tant les peuples que les dirigeants ont d’autres préoccupations plus immédiates. Et ce, même si ce traité vise clairement à enterrer la défaite des Palestiniens.»
Sputnik France: Quel a été le rôle de ces pays du Golfe dans l’élaboration de ce plan de paix? Des hauts responsables de Bahreïn, d’Oman et des Émirats arabes unis étaient présents à la présentation de ce plan…
Christian Chesnot: «Les pays du Golfe étaient en coulisse durant les négociations. On a vu Jared Kushner [Haut conseiller du président des États-Unis et “médiateur dans le conflit israélo-palestinien”, ndlr] se rendre souvent en Arabie saoudite, aux Émirats et d’autres pays du Golfe. C’est gagnant-gagnant, ils peuvent ainsi normaliser leurs relations avec Israël et peuvent donc renforcer le camp hostile à l’Iran. Aussi, ils estiment que la cause palestinienne appartient un peu au passé et que les Palestiniens n’ont pas su saisir certaines opportunités à certains moments clés.
Après, on peut se poser la question: est-ce un calcul judicieux? Il faut rappeler que l’Arabie saoudite est gardienne des lieux saints musulmans et que ce pays joue un rôle important dans le monde musulman, et Jérusalem est tout de même le troisième lieu saint de l’Islam. À court terme, ils vont certainement se réjouir, mais à moyen ou long terme, il pourrait y avoir un retour de flamme qui peut leur coûter cher.»
*Daech est une organisation terroriste interdite en Russie.
Ah ils ont l’air malin aujourd’hui, les crétins qui se sont ouvertement moqué de Boris Johnson, lui mettant tous les bâtons possibles dans les roues… à commencer par les odieuses injonctions à revoter de la part de certaines personnalités, véritables ordures patentées se prétendant seuls juges de bons ou mauvais votes des citoyens, et prédisant les pires catastrophes à cause du Brexit !
Aujourd’hui ils sont amers, parce que c’est ce vendredi qu’officiellement la Grande-Bretagne quitte la nocive Union européenne. Et Boris pavoise, après être passé par toutes sortes d’émotions, les affres de la défaite comme les joies du succès.
Dans son bureau du 10 Downing Street, Boris Johnson jubile. On le comprend. Après trois ans et demi en enfer, celui qui a dû traverser tant de déserts triomphe enfin du destin. Il était hostile à la construction européenne depuis toujours ; le Brexit a fini par l’emporter et il se retrouve au centre de la fête. Enfin, le Royaume-Uni largue les amarres.
Les citoyens britanniques qui se sont prononcés officiellement pour le Brexit le 23 juin 2016, et dont les cadors mondialistes de l’UE ont cru jusqu’au bout qu’ils pourraient faire fi de leur vote, peuvent aujourd’hui enfin se réjouir, même si tout n’est pas pour autant résolu puisque les modalités de leur relation future avec l’UE restent encore à définir.
Nous, en France, on n’a pas encore cette chance, parce que nous avons (par notre faute puisque votant encore trop souvent pour eux !) une véritable armée de traîtres à la nation, installés à demeure dans les plus hautes fonctions de l’État, et que pour être certains que rien ne viendra contrarier leurs grandes manœuvres pour s’y maintenir, ils se gardent bien de nous questionner sur les questions dérangeantes… dont ils connaissent d’ores et déjà les réponses.
D’ailleurs la seule et unique fois où ils s’y sont résolus, pour entrer dans cette infernale UE qu’ils s’appliquaient à nous vendre comme un idéal de bonheur et de prospérité… cela s’est traduit par la félonie de Sarkozy, qui s’asseyant sur le NON majoritaire, a bidouillé son traité de Lisbonne, nous y enchaînant contre notre gré !
Ce scélérat, qui après avoir annoncé son retrait de la vie politique est toujours en coulisse en train de manigancer pour un éventuel retour… peut toujours danser la danse du ventre ou celle des sept voiles pour que je revote pour lui, et je pense que nous sommes heureusement légion à ne pas avoir oublié et n’avoir jamais pardonné cette infernale trahison !
On peut dire ce que l’on veut du général de Gaulle sur ses erreurs ou ses manquements, il est néanmoins le seul à s’être conduit proprement, en respectant la volonté du peuple qu’il avait sollicité, et en en tirant immédiatement la conclusion qu’il devait quitter le pouvoir. Tous ces fourbes qui osent se dire « gaullistes » sont pourtant bien incapables de suivre son exemple puisque la grandeur de la France et le bonheur de ses citoyens passent bien après leur intérêt personnel !
Les Américains ont Donald Trump qui passe son temps à faire de pieds-de-nez magistraux à ses détracteurs néanmoins têtus, se cassant régulièrement les dents sur ce roc, en réussissant ce qu’il annonce…
Les Russes ont Vladimir Poutine qui mène une politique équitable pour ses concitoyens et se donne les moyens de faire respecter son pays…
Les Hongrois ont Viktor Orban, qui n’a pas hésité à ériger un mur pour protéger son pays des hordes de sauvages éructant et menaçants qui sévissent partout en Europe…
Les Italiens ont Matteo Salvini carrément adulé par une majorité grandissante, pour sa préférence affichée de l’intérêt de la nation avant l’acceptation d’un envahissement décrété par l’UE…
Et les Anglais, grâce à Boris Johnson, et malgré un maire musulman à Londres, et les mêmes islamo-collabos s’activant à la perte de leur identité, vivent aujourd’hui ce que nous appelons de nos vœux les plus chers : ils quittent l’UE… les veinards !
Nul doute que tous ces hommes précieux pour leurs pays savent également s’entourer de collaborateurs à leur image, ayant prioritairement le souci de la sécurité de leurs concitoyens et le respect de leurs identités nationales.
Nous, on a le dangereux freluquet cinglé qui, avec sa clique de traîtres et de dégénérés, nous mène tambour battant à l’abattoir avec l’ouverture béante de nos frontières, justement à l’heure où il est plus qu’urgent de les fermer à double tour !
Nous, on a un prétendu Président (normalement de tous les Français) qui narguent la tranche de ceux qu’il méprise… en affichant ses préférences ethniques dans d’écœurantes et provocantes photos, ou en soulignant sa bassesse et son cynisme, comme par exemple la toute récente avec un tee-shirt très controversé…
À l’issue de son déjeuner avec des dessinateurs et des éditeurs à Angoulême, Jul a offert à Emmanuel Macron un T-shirt représentant un petit chat éborgné pour dénoncer l’utilisation par la police de LBD durant les manifestations
Car pendant que la France est en plein chaos, avec les manifestations des Gilets jaunes (précisément éborgnés « sur ordre » du pouvoir, cela ne fait aucun doute malgré les paroles présidentielles !), des agriculteurs, des infirmier(e)s, des enseignants, des pompiers… POUR de meilleures conditions de vie, et donc CONTRE la « fausse-réforme-vrai-coup-tordu » des retraites…celui qui devrait se remettre en question et écouter réellement les citoyens en colère n’a d’autre priorité que d’aller se balader à Angoulême au Salon de la BD où il créé une nouvelle fois la polémique par une attitude incompatible avec son rôle… bien qu’il s’en défende en l’aggravant par de nouveaux mensonges !
Pauvre de nous ; avec de tels tarés, ce n’est pas demain que nous fêterons le Frexit… sauf si un sensationnel premier coup de semonce est donné aux représentants de ces cuistres aux toutes prochaines municipales, en éjectant de leurs mairies tous les traîtres à la Nation qui sévissent actuellement… tout en prétendant que le diable serait le RN… quant au contraire ceux qui œuvrent sous cette étiquette enregistrent des satisfecit puisque réalisant ce qu’ils ont promis !
Bien évidemment, le bouffon qui nous a légué Macron en lui mettant le pied à l’étrier avec un maroquin de ministre pour complaire aux meneurs de l’ombre, et qui n’a toujours pas compris pourquoi il était préférable de ne pas se présenter à sa propre succession, se permet d’exprimer « sa tristesse » au lieu de savourer le plus discrètement possible tous les avantages et privilèges qui lui restent « acquis » en tant qu’ancien Président !
Cela commence à s’agiter en Macronie et l’inquiétude gagne visiblement du terrain chez ces pleutres, puisqu’il est déjà évident que les élus LREM sont en mauvaise posture… même si les journaleux vendus au pouvoir annoncent parfois des sondages bien improbables où Macron comme Philippe seraient en hausse !
D’où les dernières manigances pour recommander aux candidats de ne pas afficher leur appartenance politique ; véritable volonté délibérée de tromper le monde !
Aux citoyens de ne pas s’y laisser prendre, en votant massivement pour les candidats qui présentent un programme en osmose avec leurs vœux, et donc en cessant enfin de se focaliser sur le « tout sauf le RN », refrain archi-usé de tous les traîtres passés et présents qui n’ont que cet argument bidon pour se démarquer du seul parti qui, n’ayant jamais gouverné, n’a donc aucune responsabilité dans la gabegie actuelle, quel que soit le domaine, et surtout pas sur les mains le sang des victimes des tueurs islamistes !
31/01 minuit. Après trois ans d’intenses tractations, le Royaume-Uni ne fait officiellement plus partie de l’Union européenne. Des discussions doivent encore avoir lieu entre Londres, Bruxelles et les autres pays européens pour définir les contours précis de ce départ.
En effet, le Royaume-Uni entre à compter du 1er février dans une phase de transition durant laquelle ses relations resteront inchangées avec les 27 jusqu’au 31 décembre 2020, date de la fin de ladite période.
Dans la Cité phocéenne, la drogue se vend partout, dans les quartiers nord comme en centre-ville. Autrefois tenu par le milieu corse, le trafic de stupéfiants est aujourd’hui dominé par les caïds maghrébins que rien ne semble inquiéter.
Marseille, cité des Oliviers, 10 heures du matin. Ici comme ailleurs, le trafic commence de bonne heure. Autour d’une voiture garée devant l’immeuble, quatre ou cinq jeunes guetteurs sont sur le qui-vive. On les repère à leur air nerveux car on ne sait jamais. Des fois que la police viendrait jeter un œil dans leurs affaires… En attendant, malgré le plan Castaner contre la drogue annoncé à grand fracas à la mi-septembre, celles-ci vont bon train, au vu et au su de tous.
À l’entrée de l’immeuble sur la droite un adolescent sans doute comorien monte la garde assis sur sa chaise. Nous grimpons les escaliers et parvenons au deuxième étage. Des graffitis tachent les murs dégradés. Ici, on s’arrête. Des «choufs», mot qui veut dire «regarde» en arabe, montent la garde. Une barricade faite de bric et de broc bloque le passage et un vendeur, «le charbonneur», propose ses produits aux chalands qui ne viennent pas du quartier. Il est impossible de passer et les résidents de l’immeuble doivent emprunter l’ascenseur s’ils veulent sortir de chez eux.
(…) Direction la Castellane. Ici, c’est plus de 80.000 euros par jour que le trafic génère, voire 100.000 euros selon certains. (…) Armand T., plus de quinze ans de prison, fut un des caïds des quartiers nord durant les années 1990. De père arménien et de mère corse, cet ancien proche de la Brise de mer qui connaît aussi bien le milieu corse que celui des voyous maghrébins a vu le trafic changer sur le plan sociologique. « Aujourd’hui, comme chacun sait, ce sont les Maghrébins qui dominent le trafic ; les Corses sont encore puissants dans le domaine des machines à sous et des jeux, mais sur le plan de la drogue ils sont sur le déclin. Aux Corses les jeux et les machines à sous. Aux Arabes le shit.»
(…) En attendant, le plan Castaner ne fait pas plus peur que cela aux caïds des quartiers nord. Omar justifie le trafic de stupéfiants pour des raisons sociales. « Grâce à nous, les gens de notre communauté ont à manger et ils ont accès aux soins. Quelque part, nous nous substituons à l’État. Nous investissons dans le tissu économique et achetons des sociétés de services. Nous avons créé une contre-société Quelques minutes plus tard, il ajoute: « Bien sûr qu’il y a des liens et des ponts entre les barbus des cités et nous. Comme eux, nous sommes dans le djihad. Ils ne consomment évidemment pas de drogue, moi non plus je n’en prends pas, mais nous faisons vivre notre communauté. C’est nous qui avons libéré Marseille en 1944, pourquoi n’aurions-nous pas le droit de manger ? Marseille n’est plus à Jean-Claude Gaudin, elle est à nous.»
Pour autant on ne peut éviter la question : certains « barbus », terme qui désigne les musulmans prosélytes, prennent-ils part au trafic, comme cela se répète un peu partout? Pour Thierry R., ex-policier qui travaillait pour la DST dans les années 1990 et que nous rencontrons à Aix-en-Provence, cette hypothèse est crédible.