Un séminaire pour collégiens à la mosquée de Vigneux avec un prédicateur lisant un texte appelant à combattre ceux qui nient la divinité d’Allah

Observatoire de l’islamisation

Mohamed Nadhir Al-Khanoussi est un prédicateur et imâm sunnite qui anime une chaîne Youtube à succès, intitulée Din-ul Qayyima. Il consacre une vidéo aux fameux « 40 hadith » de l’imâm Nawâwi (1233-1277) , une des meilleures ventes de livres musulman en France. Et pour cause l’auteur est un des plus grands contributeurs de l’école sunnite chaféite. 

Mohamed Nadhir lit sans mise en garde son contenu qui prescrit de « verser le sang des apostats » (hadith n°14 écouter) , et le hadith n° 8 : «Il m’a été ordonné de combattre les hommes jusqu’à ce qu’ils témoignent qu’il n’est d’autre divinité digne d’être adorée sauf Allah, et que Mohammed est Son Messager». (l’écouter ici)

Malheureusement, la mosquée de Vigneux-sur-Seine l’invite ce jeudi 13 février 2020 à animer un séminaire pour les jeunes. Ce n’est pas étonnant car le 2 décembre dernier la mosquée à invité le « directeur scientifique » de l’école de charia des Frères Musulmans en France l’IESH de Château-Chinon, Larbi Bechri.

Jamel Debbouze n’est pas le bienvenu à Pontivy

Riposte Laïque

La venue de Jamel Debbouze n’est pas du goût de tous les Pontivyens qui ont toujours à l’esprit le sinistre passé de l’humoriste.

La famille du jeune Jean-Paul Admette, décédé, livre un témoignage poignant :

« Combien de temps, on va souffrir comme ça dans notre cœur ? »

Le 17 Janvier 1990, Jean Paul ADMETTE, fils de Michel et Marlène ADMETTE, est poussé sur la voie ferrée en gare de Trappes. Un train qui arrive à 150 km à l’heure le faucha et laissera aussi des séquelles à Jamel Debbouze, cette célèbre main qu’il cache obstinément dans ses poches.

Dans un article publié il y a 11 mois, Marlène Admette affirme : « C’est bien Jamel Debbouze qui a poussé mon fils sous le train ».

https://www.focusur.fr/actualites/2019/03/28/mon-fils-ete-assassine-par-jamel-debbouze/?fbclid=IwAR3qqnsob_o4VtoCxwCpEHg63f5Yx4JdD2bRk-KEn4QpXMhzWKC6eRD3V8Y

Certes, tous les tribunaux ont accordé un non-lieu à l’acteur. Mais la mère n’en démord pas : « Jamel Debbouze est l’assassin de mon fils, c’est lui qui a poussé mon fils sous le train. Immédiatement après l’accident, plusieurs témoins du drame ont affirmé sans hésitation que c’est Jamel Debbouze qui avait poussé mon fils sur la voie ferrée. C’est à ce moment-là que Jamel a lui-même été blessé à la main. Le seul problème est que les témoins ont tous retourné leurs vestes, quand ils sont arrivés au commissariat de Saint-Cyr-l’École, tous sauf une jeune fille, Edwige Anzouana, qui persistera dans ses déclarations. »

Jamel était venu sur l’île de La Réunion en janvier. À cette occasion les Admette ont rappelé à l’humoriste le passé, un passé que l’enfant de Trappes avait intérêt, semble-t-il, à dissimuler. Ses représentations ont donc été annulées pour cause de « maladie ».

 » Il n’est pas malade. Il a eu peur, c’est pour cette raison qu’il n’est pas venu. Mais on ne lâchera pas. Il faut que la vérité éclate » conclut Michel, le père de la victime. Jamel Debbouze était connu comme un délinquant, comme un voleur de voitures à Trappes. »

« Jamel est venu chercher mon fils ce jour de 17 janvier 1990 chez nous à Guyancourt. Il était 17 h. Il était accompagné de deux autres personnes Ils ont obligé mon fils à monter dans le bus, puis dans le train. Et ensuite le drame est arrivé. »

« Tout ça parce que Jamel, qui n’a jamais été le copain de mon fils contrairement à ce que certains ont prétendu, a piégé mon fils en lui cachant qu’il était accompagné de voyous qui en voulaient, tout comme lui, à son blouson ; blouson que l’on a d’ailleurs jamais retrouvé. »

Jamel, son crime lui aurait coûté sa main

« On ne nous a rendu que le corps. Oui je dis que c’est bien Jamel qui a tué mon fils en organisant cette embuscade et en poussant mon fils sur la voie ferrée » dénonce Marlène.

Par solidarité et dans un souci d’apaisement, des Pontivyens réclament l’annulation du spectacle. « L’actualité démontre qu’il faut parfois du temps pour faire surgir des vérités ! »

Ils clament : « Aidons la famille du jeune Admette à obtenir la confrontation qu’elle réclame ! ».

A suivre…

Terroristes musulmans : libérés de prison, ils ne seront pas expulsés !

Riposte Laïque

Alors que Castaner se félicite régulièrement de son bilan sécurité, nombreux sont ceux qui tirent la sonnette d’alarme à propos de la libération de nombreux jihadistes dans les deux années qui viennent.

https://www.lopinion.fr/edition/politique/jihadistes-liberes-nouvelle-menace-208791

D’ici 2022, ce sont en effet 146 terroristes musulmans qui vont recouvrer la liberté, nous rappelle Guillaume Larrivé, le spécialiste du terrorisme chez les Républicains. Ces bêtes fauves vont constituer une terrible menace pour le peuple français, car chacun sait que la prison n’a aucun effet dissuasif, mais qu’elle est au contraire le terreau de la radicalisation, où s’épanouit la haine de la France.

Dans nos prisons, 900 détenus ont été identifiés comme islamistes radicalisés. Parmi eux, 531 sont incarcérés pour actes terroristes.

43 d’entre eux seront libérés en 2020, puis 57 en 2021 et enfin 46 en 2022. Autant de bombes à retardement menaçant la sécurité nationale. Les exemples ne manquent pas.

En novembre, à Londres, c’est un terroriste condamné en 2012 à 16 ans de réclusion, mais libéré en 2018, qui tue deux personnes après avoir suivi un programme de déradicalisation.

En 2016, c’est un condamné libéré sous bracelet électronique, candidat au jihad en Syrie, qui égorge le père Hamel en pleine messe.

Et le 2 février, encore à Londres, c’est un détenu à peine sorti de prison qui poignarde trois personnes en pleine rue.

Pendant que nos policiers et nos services de renseignement s’activent sans relâche et ont pu déjouer 61 attentats en quelques années, ces libérations de terroristes ne font que saboter le travail des forces de sécurité. La politique pénale antiterroriste est à repenser dans le sens d’une fermeté inflexible, avec des condamnations beaucoup plus longues et sans remise de peine.

Avec plus de 260 morts et plus de 1 000 blessés, victimes innocentes du terrorisme islamique, il n’y a aucun état d’âme à avoir envers ces fanatiques qui ensanglantent le pays.

La DGSI exerce une surveillance étroite des terroristes libérés les plus dangereux, mais combien passent à travers les mailles du filet faute d’effectifs suffisants ?

Après avoir purgé leur peine en totalité, les terroristes étrangers doivent être expulsés. Ils ne le sont pas.

Guillaume Larrivé réclame une loi permettant de placer en rétention judiciaire tous les terroristes dès leur sortie de prison. La liberté et la sécurité des Français passent avant celles des terroristes.

40 000 salafistes vivent chez nous et veulent faire sécession, nous dit-il. Et 55 000 islamistes de la mouvance des Frères musulmans diffusent un islam politique conquérant, en vue de soumettre la République.

Détruire la cohésion nationale et faire de la France le premier califat d’Europe, où règnera la charia, tel est leur objectif. La survie de la France dépend de la volonté politique de l’Élysée. Mais Macron est-il l’homme de la situation, alors que les jihadistes qui se sont retournés contre la France et ont combattu nos soldats en Irak et en Syrie n’ont même pas été déchus de la nationalité française ? Il est permis d’en douter.

Pour conclure, je citerai une magnifique phrase du général de Gaulle, que nous rappelle Guillaume Roquette :

« Il n’y a qu’une  fatalité. Celle des peuples qui n’ont pas assez de force pour se tenir debout et qui se couchent pour mourir ».

Combien d’années encore va durer la passivité du peuple français, pour ne pas dire la soumission, face aux multiples exigences communautaristes, face aux provocations quotidiennes des islamistes, face aux trahisons et aux mensonges incessants des élus ?

Voilà quarante ans que l’immigration ronge le pays au point de le désintégrer, mais le peuple vote encore à chaque élection contre le Rassemblement National, en maintenant au pouvoir tous ceux qui ont échoué et qui détruisent son avenir. Un tel acharnement à s’autodétruire dépasse l’entendement.

En 2022, les Français vont-ils enfin se redresser ou se coucher pour mourir ? Vont-ils sauver la France du naufrage identitaire ou lui porter le coup de grâce ? Le pire est à craindre.

Carte vitale: quand la sécu fait disparaître les fraudeurs

Sputnik

La Direction de la Sécurité sociale avance le nombre de 609.000 cartes Vitale en trop circulant en France. Annonce qui survient deux jours après que sa directrice a admis, sous serment devant le Parlement, l’existence de 2,6 millions de cartes Vitale surnuméraires. Retour sur un miracle administratif qui masque un tabou français.

Certains multiplient les pains, d’autres divisent les fraudeurs. Mathilde Lignot-Leloup, à la tête de la direction de la Sécurité sociale (DSS), a admis mardi 11 février, devant la Commission parlementaire sur la fraude aux prestations sociales, qu’«environ» 2,6 millions de cartes Vitale en trop étaient en circulation dans l’Hexagone. En somme, une carte Vitale sur douze en France serait potentiellement utilisée par un fraudeur.

«Nous sommes en train de poursuivre les travaux avec l’ensemble des régimes d’assurance maladie pour faire en sorte d’expliquer les raisons de cet écart, lorsqu’elles se justifient et le cas échéant de réduire ces écarts», a développé la haute fonctionnaire, sur un ton laconique, devant les députés.

Visiblement pas très à l’aise sur cette thématique, Mathilde Lignot-Leloup, qui venait de prêter serment, évoque les progrès établis ces dernières années par la DSS avec le renforcement des «outils juridiques» pour mieux «détecter et lutter» contre la fraude sociale et souligne le «travail» encore «en cours pour réduire» l’«écart, à fin 2019, de 2,6 millions» entre le nombre de cartes et celui d’ayants droit, insistant à plusieurs reprises sur le fait que ses chiffres sont éloignés de ceux du rapport d’enquête parlementaire.

Un rapport, corédigé par la sénatrice UDI Nathalie Goulet et la députée LREM Carole Grandjean, publié début en septembre 2019, où le nombre de cartes Vitale surnuméraires (différence entre le nombre de cartes Vitale valides et le nombre d’assurés) s’élevait à 5,2 millions, c’est-à-dire exactement deux fois plus que le chiffre avoué par la directrice de la Sécu.

«Cela représente 8,75% des cartes» vitales, remarquait Patrick Hetzel, député Les Républicains (LR) de la 7e circonscription du Bas-Rhin et Président de la Commission parlementaire. Ce dernier rappelle que l’Inspection générale des affaires sociales (IGAS) et l’Inspection générale des finances (IGF) avaient, en 2013, estimé dans un rapport conjoint à 8 millions le nombre de cartes actives en trop dans le pays.

Ce nombre de 2,6 millions de cartes Vitale en trop, avancé par la directrice de la Sécurité sociale, s’avère donc jusqu’à présent être le plus optimiste concernant l’ampleur d’une fraude dont la note pour les comptes publics pourrait s’avérer particulièrement salée.

«Si je vous suis, avec 2,6 millions de cartes actives en trop, on arrive à 4,5% de cartes actives en trop, ce qui sur 200 milliards de prestations servies correspond à 9 milliards de fraude [potentielle, ndlr]. Quelque part, vous êtes d’accord avec ce chiffre», lançait Michel Zumkeller à la directrice de la sécurité sociale.

Le député UDI de la 2e circonscription du Territoire de Belfort, lors de sa question, reprenait la règle de trois déjà utilisé par la Cour des comptes dans son rapport. «La carte en elle-même ne permet pas de bénéficier de prestations d’assurance maladie supplémentaires», balaiera Mathilde Lignot-Leloup, ne partageant pas cette analyse liant automatiquement un «montant de prestations et de fraudes» à un «écart technique à un moment donné» entre le nombre de cartes et celui de bénéficiaires légitimes.

Pourtant, l’estimation de la fraude de Michel Zumkeller n’est pas si importante. Charles Prats évoquait «potentiellement 14 milliards d’euros» de fraude par an par les personnes nées à l’étranger. Ce magistrat, spécialiste de la lutte contre la fraude fiscale et sociale, s’appuyait sur les conclusions de la Police aux Frontières (PAF) et de l’INSEE pour avancer un taux statistique de fraudes sur le fichier des personnes nées à l’étranger (NIR) qui s’élèverait à 10,4%.

Il faut pourtant croire que cette évaluation, particulièrement basse par rapport aux autres estimations données jusqu’à présent du nombre de fraudeurs potentiels aux prestations sociales, était encore trop élevée. 48 h après cette audition qui a fait les choux gras de la presse, la DSS a, par voie de communiqué de presse, avancé un tout autre chiffre. Selon ce document, que le président de la commission Patrick Hetzel a retwitté, le nombre de cartes surnuméraires serait très précisément de 609.000 fin 2019… soit deux millions de moins que le montant annoncé –sous serment– par la directrice de cette même DSS.

Entre tabou et aveu de faiblesse

Il faut dire que le dossier, sur la table depuis des années, est particulièrement embarrassant pour les services de l’État. Au-delà du seul aveu d’échec, il s’avérerait être un aveu de laxisme, voire de complaisance à l’égard d’un phénomène bien connu et identifié.

Politiquement, comment justifier qu’en France, pays où les contribuables subissent la plus forte pression fiscale au monde, l’administration ne soit pas en mesure de stopper une telle hémorragie? Rappelons que la réforme actuelle des retraites est motivée, selon le gouvernement, par les chiffres du Conseil d’orientation des retraites (Cor) qui estime à entre 8 et 17 milliards le déficit du régime de retraite en 2025.

La fraude sociale est sans nul doute un tabou en France, où il est politiquement d’usage de pointer du doigt des patrons ou des contribuables peu scrupuleux pour expliquer le déficit du système social tricolore. Par exemple, sur le site aide-sociale.fr, on retrouve une infographie visant à démonter certaines idées reçues et où les montants des fraudes au RSA, arrêts maladie et prestations familiales sont respectivement comparés au montant des fraudes à l’Impôt sur les sociétés (IS), aux cotisations sociales (salaires non déclarés) et à l’Impôt sur le revenu (IR).

Sauf que contrairement aux fraudes à l’IS, aux cotisations et à l’IR –qui sont le fait d’individus cachant leurs revenus– aboutissant à un manque de rentrées d’argent dans les caisses de l’État, la responsabilité de cette fraude aux prestations sociales incombe cette fois directement aux services de l’État, qui n’ont su contrôler les sorties d’argent de leurs caisses.

Une attitude tant de hauts fonctionnaires que de responsables politiques, une désinvolte à l’égard de la gestion de l’argent des Français, que dénonçait à notre micro Eudes Baufreton, délégué général de Contribuables associés.

«J’ai entendu dire, à plusieurs reprises, qu’il y avait tout un business de Cartes vitales. Des gens qui n’étaient pas assurés louaient pour la journée une carte vitale afin de bénéficier de toutes les prestations auprès des professionnels de santé. La location était entre 100 et 150 euros la journée, me disait-on», relatait-il.

Nous l’interrogions à l’époque de la publication du fameux rapport de Nathalie Goulet et de Carole Grandjean, qui s’attardait notamment sur certains errements de l’administration en matière de contrôle, comme le simple fait que l’on retrouvait dans ses fichiers 3,1 millions de centenaires. Un chiffre s’expliquant en partie par les difficultés de récupération par les autorités françaises des actes de décès d’ayant-droits vivant à l’étranger, ou encore par la non-déclaration des décès par les familles des défunts.

La Saint-Valentin à la sauce Griveaux

Riposte Laïque

Coup de tonnerre sur Paris ce jour de Saint-Valentin, Benjamin Griveaux – collaborateur de Dominique Strauss-Kahn de 2003 à 2007 – renonce à sa candidature à Paris.
Des vidéos publiées sur le site

https://www.pornopolitique.com/post/benjamin-griveaux-fr

montrent un bandard fou.

Ces vidéos envoyées à une jeune femme sont accompagnées de textes où Griveaux dit que la famille et les enfants sont une prison. Les intitulés des branlettes, comme « Cadeau avant dîner » seront appréciés des amateurs de films pornos.

Griveaux, sourire niais, donneur de leçons comme tous les politicards, voulant créer des parcs dans Paris pour protéger les enfants et la famille, a une drôle de façon de protéger la sienne. Même si c’est son excuse pour renoncer à sa candidature.

Sur fond (de veau) gris :

« Je ne suis pas prêt à nous exposer davantage, ma famille et moi, quand tous les coups sont désormais permis, cela va trop loin. C’est pourquoi j’ai décidé de retirer ma candidature à l’élection municipale parisienne. »
Un comique, Griveaux. Un clown triste ce matin-là.

Il a fourni la cartouche et se plaint des réseaux sociaux. LREM les félicite quand il s’agit de poursuivre les patriotes, de magnifier les dénonciations de toutes les crapuleuses associations qui nous guettent 24 heures sur 24 sur un mot, quand il s’agit de balancer aux juges ceux qui ne pensent pas mondialisation, bienfaits de l’immigration et autres conneries libérales.

Dans sa campagne, Benjamin Griveaux mettait en avant famille et enfants. Ils étaient censés donner un sens à son activité politique.

« Nous avons un deal : j’emmène mes deux enfants tous les matins à l’école, sauf quand j’ai une matinale… J’essaie aussi d’être à la maison deux soirs par semaine pour les coucher, et le week-end, je sanctuarise des moments pour aller au musée, voir un film ou faire des manèges avec eux. Pour moi, c’est vital : être au gouvernement demande 150 % d’énergie et mes enfants m’en donnent une grosse partie… J’avais quitté la politique en 2014 pour des raisons de fond et parce que mon deuxième enfant arrivait … En fait, ce sont mes enfants qui ont redonné du sens à mon engagement politique »
Closer, 27 décembre 2018

« Je serai le maire des enfants et du quotidien des parents »
Le Journal du Dimanche, 17 août 2019

« Avec ma femme, évidemment, on parle, quand je lui ai dit que j’avais l’intention de me lancer dans la campagne parisienne, c’est évidemment avec son soutien, sinon ce n’est pas possible. Je ne peux pas avoir de vies imperméables l’une à l’autre… Je l’aime beaucoup. Je ne ferais pas ce que je fais si elle n’avait pas été là »
Purepeople, 4 octobre 2019

Sa femme, Julia Minkowski, petite-fille d’Alexandre Minkowski, auteur du Mandarin aux pieds nus, avec qui Benjamin a eu trois enfants, complétait le portrait du charmeur de serpent :

« Pendant la campagne, on avait un rythme totalement destructuré, mais j’ai la chance d’avoir un compagnon pour qui il n’y a rien de plus important que la famille« .
Gala, 22 juin 2018

Elle ne doit pas être déçue.

Sur toutes les chaînes, sur TF1, sur France 2, de Rioufol à Mouchard-Joffrin, c’est le lamento de la protection de la vie privée, que le public n’a pas à s’immiscer dans la chambre à baiser des politicards, que l’on n’est pas aux États-Unis, que l’on est révulsé par la publication de telles images que pourraient voir des enfants (ça c’est la sainte nitouche d’Ornella et sa foi catho qui souhaite que celui qui a mis en ligne les branlettes de Benjamin soit poursuivi)…
Tous parlent d’anonymat, de poubelles des réseaux sociaux… de vie politique détruite.

En premier lieu, celui qui a mis les vidéos sur Internet n’est pas anonyme. Il revendique son action.
Il s’agit du Russe Piotr Pavlenski, un artiste russe réfugié en France, où il a obtenu l’asile politique le 4 mai 2017. Difficile de voir un complot fomenté par Poutine dans ces images de celui qui fuyait devant un transpalette et jouait le transpalette au plumard.

Piotr Pavlenski a expliqué son action par le hiatus entre les propos de Griveaux et ses pratique : « C’est quelqu’un qui s’appuie en permanence sur les valeurs familiales, qui dit qu’il veut être le maire des familles et cite toujours en exemple sa femme et ses enfants. Mais il fait tout le contraire », dit-il à Libération.

En second lieu, Piotr Pavlenski met en évidence l’abysse qu’il y a entre les propos, les promesses, les mains sur le cœur des politicards et leur réalité de bobards, de branlettes physiques et mentales.
La vie politique française est dans le ruisseau.
À qui le reprocher ?
À Piotr Pavlenski ou à celui qui se touche comme un ado et envoie ses exploits par vidéo à la dame de ses pensées.

La diffusion des vidéos du bandard fou sont une œuvre de salubrité publique.