Sur LCI, quatre journalistes ont choisi de hausser le ton contre les scoops successifs de Mediapart, jusqu’à demander en direct à Mickaël Hajdenberg, du pôle Enquête du site, de livrer les noms de ses sources… Récit et montage.
On les imagine aisément marchant la main dans la main pour l’urgence migratoire et pour l’urgence climatique.
En 2013, nous avons eu notre Jeanne d’Arc kosovar. Elle s’appelait Leonarda Dibrani et la grâce touchante qui émanait d’elle fit qu’on l’appela simplement Leonarda. Elle était toute jeune et pour des dizaines de milliers de collégiens et de lycéens, elle devint leur sœur.
L’histoire pathétique de Sainte Leonarda prit place dans tous les catéchismes des associations bien-pensantes. Elle n’avait que quinze ans et les policiers l’avaient interpellée dans un car scolaire pour lui faire rejoindre ses parents en voie d’expulsion vers le Kosovo. Jamais, ô grand jamais, la France n’avait connu une telle horreur !
Le père de Leonarda était un voleur et un escroc notoire. Il avait falsifié ses papiers, triché sur des documents fabriqués de toutes pièces. Il habitait un logement payé par l’État. Et pour ses filles touchait abusivement des aides financières.
Finalement, les Dibrani prirent dans un avion en direction du Kosovo. L’émotion redoubla, à telle enseigne que François Hollande s’abaissa jusqu’à téléphoner aux Dibrani pour trouver avec eux un arrangement susceptible de calmer la colère dans notre jeunesse révoltée.
Par dizaines, les journalistes de la presse écrite et audiovisuelle défilèrent au domicile de Leonarda pour recueillir pieusement ses paroles. Le père était derrière elle, surveillant chacun de ses mots. Il fallait payer pour chaque entretien ! Et les journalistes, toute honte bue, payaient comme les clients qui vont chez les putes.
Aujourd’hui, en 2019, Sainte Greta a pris la place de Sainte Leonarda. Elle parle comme elle : « je ne suis qu’une enfant ». Comme elle, elle est devenue un symbole. Celui de la cause climatique, Leonarda ayant été une icône de la détresse des migrants. Comme elle, Greta a ses parents derrière elle. Ils lui dictent ce qu’elle doit dire.
Autre ressemblance avec les Dibrani : les Thunberg se font de l’argent sur le dos de leur fille. Sa mère a écrit un livre sur son combat. Il se vend très très bien et ça rapporte de l’argent au ménage qui en a bien besoin. Une différence toutefois entre les deux filles. L’affaire Leonarda était une petite supercherie à l’échelle française, l’affaire Greta est une très grande supercherie à l’échelle mondiale.
Près de 35 000 « féministes »( mâles, femelles, trans, inter et de genre non-binaire, et compagnie…) ont signé cette pétition désirant mettre fin à la présence d’hôtesses sur les podiums d’arrivée du Tour de France ; il paraît que c’est horriblement sexiste :
La presse de propagande s’en est saisi avec gourmandise, puisque c’est dans l’air du temps et que cela fait partie de ces « combats » sociétaux qui ne mangent pas de pain ; « combats » qui ont autant de répercussion sur le quotidien douloureux des Français qu’un plat de nouilles chinoises à la sauce Schiappa sur le budget de son inutile secrétariat.
Quitte à pétitionner, activité qui m’a toujours semblé assez stérile, on aurait préféré qu’une telle mobilisation ciblât une autre « activité culturelle » particulièrement prolifique en clips inondant la toile depuis de nombreuses années : le rap. En effet qu’y a-t-il de plus dégradant, avilissant et répugnant que l’image des femmes véhiculée par la majorité des rappeurs d’origine maghrébine ou subsaharienne, entre putain de cité et champ de labour pour tournante ? Rappelons-nous la polémique au sujet du rappeur Nick Conrad étranglant une femme légèrement vêtue et sensée représenter la France. Une pétition à ce propos ? Que nenni… Et l’ineffable Booba dont Osez le Féminisme appréciera cet extrait :
Pas de pétition non plus ? Un article de Paris eVous nous donne un bel échantillonnage de la diarrhée verbale de quelques fameux rappeurs . Extraits :
Orelsan, Sale Pute : « Je t’emmènerai à l’hôtel je te ferai tourner dans ma villa romaine/ Tu suces pour du liquide tu te casses à marrée basse/ Pét& !#e tu mériterais seulement d’attraper le DAS/ Le seul liquide que je t’ai donné c’est mon sperme/ Si j’te casse un bras, considères qu’on s’est quitté en bons termes. »
Booba, Jour de Paye : « Si y a des biatch partout, c’est que j’suis dans la boîte/ Si ca fait mal, que tu cries, tu jouis, c’est que j’suis dans ta chatte. »
Booba, Pourvu qu’elles m’aiment : « En effet je suis un thug, un drôle d’animal/ J’ai de quoi te siliconer si jamais tu vieillis mal/ Gangster et gentleman, c’est dans le mille que je tire/ Je fais mal mais je fais jouir si tu vois ce que j’veux dire. »
Busta Flex, J’aime bien ton Boule : « Ca commence par un S.M.S, ça finit à l’hôtel, j’te donne un faux numéro d’phone-tel et tu gobes/ J’te regarde dans les yeux, j’te dis que t’es belle et tu gobes/ Tu dis que tu n’as pas trop de rapports charnels/ Une fois montée en selle, tu détrônes Julia Chanel/ Ne t’attends pas à un roulage de pelle, t’as beau mettre du rimmel/ c’est criminel mais c’est ton c#l qui m’interpelle ».
TTC, Girlfriend : « J’aime les chattes/ Quand je rentre dans la boite/ J’ai la trique/ Toutes les chattes des p#tes sont moites/ C’est pratique/ Elles vont frotter toute la nuit/ P#te, je suis ton mac alors suce ma b !te gratuit ». Etc…
Alors les pétitionnaires, ça ne vous chiffonne pas davantage que deux bises et un bouquet de fleurs au maillot jaune ? Évidemment, le cycliste est un mâle blanc et les rappeurs sont issus de ce qu’il est convenu d’appeler la « diversité » qui, forcément, nous enrichit, jusque dans les manuels d’histoire des lycéens…
Après plusieurs décennies d’expérimentation en France, quel bilan peut-on tirer de l’enrichissement culturel et des apports civilisationnels que nous auraient faits les Arabo-musulmans et les Noirs d’Afrique ?
Et d’abord que savions-nous de ces populations avant les années 70 ? Le souvenir, dont personne ne peut être nostalgique, des expositions coloniales et des zoos humains d’avant la Grande Guerre s’étant perdu, que connaissions-nous des cultures arabo-musulmanes avant l’invasion, c’est à dire avant la fin des années 60 ? En gros : le couscous et les boulettes que les Pieds- noirs nous avaient rapportés dans les années 60, vaguement la musique arabo-andalouse d’Enrico Macias et, ce qu’on avait pu entrevoir de très loin dans des films comme Pépé le Moko, Casablanca, ou Casbah, ou lire dans l’album de Tintin Le crabe aux pinces d’or. Les plus cultivés d’entre nous avaient lu Charles de Foucauld ou Théodore Monod, qui nous avaient fait entrevoir une vision mythique et idéalisée de ces cultures. Et c’est à peu près tout, c’est-à-dire rien du tout.
Et à part ça ? À part ça, rien de plus ou presque. Enfin là, je parle de la majorité d’entre nous, car les Pieds-noirs connaissaient évidemment ces cultures ainsi que quelques rares chercheurs du CNRS, voyageurs et explorateurs qui en savaient un peu plus que le Français moyen et propageaient une vision idéalisée et expurgée de tout ce qui pouvait contredire leur idéologie tiers-mondiste et mondialiste favorable au métissage universel. Il est à noter que certains Pieds-noirs et certains africanistes rêvent encore aujourd’hui d’une coexistence idéalisée avec les Arabes musulmans ou avec les populations issues de l’immigration subsaharienne.
Pareillement pour les cultures d’Afrique noire On avait lu Tintin au Congo, et pour les plus lettrés, les récits d’Albert Schweitzer et de Joseph Kessel. Les plus cultivés avaient lu les récits de René Caillé et vu le Mandat, le chef d’œuvre du réalisateur sénégalais Ousmane Sembene (à recommander car très instructif sur la mentalité des Noirs d’Afrique).
Voilà où on en était au début des années 70 On ne savait rien ou à peu près de la réalité de ces cultures puisque le territoire national métropolitain en avait été jusque là préservé. Et surtout, personne ne savait ce que l’islam apporterait réellement de prégnance et de violence, une fois répandu sur notre sol.
Et quel conditionnement a-t-on subi à partir des années 70 ? Une propagande tiers-mondiste, immigrationniste, pro-métissage de tous les instants et la propagation sur tous les médias et écrans d’une vision irénique des sociétés musulmanes et d’Afrique noire. Ainsi que le martellement continu de la culpabilité du Blanc pour l’esclavage, la colonisation et le prétendu pillage de ces pays et, maintenant pour sa simple condition de Blanc. Bref, un conditionnement de tous les instants visant à nous affaiblir et à nous rendre responsables de la dette que nous aurions à l’égard de ces populations et qui nous rendrait débiteurs et obligés pour l’éternité ; au point de tout leur devoir et surtout l’accueil sans limite et sans contrepartie sur notre sol, ainsi que l’obligation de les entretenir à vie ; même une fois repartis chez eux.
Quelles conséquences objectives suite à la venue massive de ces populations ? On a appris toute une série de mots nouveaux : Allahu akbar, djihad, califat, halal, kouffar, haram, ramadan, niqab, Aïd el-Kebir, salafiste, djihadiste, sunnite, chiite, imam, moudjahid, charia, fatwa, burqa, tchador… bref, tout un vocabulaire exclusivement lié à l’islam, pas du tout amical ni compatible avec nos mœurs. On a découvert de nouvelles tenues vestimentaires : voile partiel ou intégral pour les femmes, qamis et djellabas pour les hommes, burkini à la piscine. On a découvert les prières de rue, les cortèges de mariage qui pourrissent la vie dans les centres-villes. On a vu proliférer les kebabs qui empestent les pieds d’immeubles et rendent insupportable la vie des copropriétaires dans les étages supérieurs. Les interdits religieux se sont imposés dans tous les secteurs de notre vie sociale : à l’école, dans les cantines, dans les entreprises, dans les transports, dans les piscines, dans l’armée, dans les abattoirs, dans le commerce, dans la rue, absolument partout. On a découvert une nouvelle architecture, celles des 2 500 mosquées construites en quelques années aux frais des contribuables et avec la complicité des élus en infraction avec tous les principes de la laïcité et de la séparation des cultes et de l’État. On a aussi découvert de nouveaux produits de consommation de masse : haschich, cocaïne et drogues de toutes sortes vendues par des réseaux spécialisés ultra-majoritairement issus de la diversité africaine et arabo-musulmane. On a appris de nouvelles locutions et le langage des jeunes s’est globalement enrichi, « nique ta mère » ayant ouvert la voie à un nouveau champ sémantique. On a vu s’importer sur notre sol les conflits religieux du Moyen-Orient entre musulmans et avec les autres religions. Enfin, on a vu la laïcité se dissoudre sous les accommodements raisonnables et donc notre pacte républicain régresser au point de ne plus exister, puisque la confrontation et la partition sont désormais envisagées par nos responsables politiques au plus haut niveau. Pour nombre de musulmans, la charia est devenue supérieure à la loi française qu’ils refusent de respecter. On a vu les Juifs devoir quitter leurs quartiers en banlieue parisienne et certains fuir vers Israël ou à l’étranger. Les femmes ne peuvent plus circuler sans être importunées. Les féminicides et les sénilicides se sont multipliés. Les massacres de masse sont apparus tout comme les égorgements et les poignardages quotidiens pratiqués à la sauvette sur des inconnus toujours blancs par des fanatiques toujours musulmans ; qu’ils soient jugés irresponsables ou non, qu’on nous en révèle les noms ou qu’on les occulte pour minimiser l’ampleur du phénomène. La délinquance et la violence de rue sont devenues incontrôlables et certains quartiers sont devenus des mini califats contrôlés par des mafieux et des salafistes. La revendication identitaire des musulmans est de plus en plus assumée, arrogante et surtout violente et antifrançaise. On voit désormais des manifestations de masse arborant des drapeaux algériens, turcs, tunisiens ou marocains hurlant la haine du Blanc, du Français de souche et se livrant à la casse et au pillage. Enfin, les symboles de la France sont quotidiennement profanés : cimetières, églises, basilique de Saint-Denis et même Panthéon et Arc de Triomphe.
Venant d’Afrique noire, qu’a-t-on vu venir ? Rien qui nous fasse réellement progresser. Des joueurs de foot, des rappeurs, des joueurs de tamtam, quelques comiques et musiciens de talent, une certaine diversité chromatique dans la vêture, des boubous, la gouffa au gouvernement (voir ce mot sur Google images), des cloaques dans nos villes, une surnatalité incroyable, des maladies qu’on croyait éradiquées, des coûts sociaux impossibles à contenir, une violence endémique et des problèmes sociaux de toutes natures : de voisinage, d’insertion au travail, à l’école. Bref, rien qui nous ait réellement enrichis et pour finir, la discrimination positive qui impose des nullités à certains postes y compris de gouvernement (gouffa) pour faire croire que l’intégration est possible.
Et au juste, qu’ont-ils inventé et quels pourraient être leurs apports ? Si toute la civilisation (agriculture, urbanisme, architecture, organisation sociale, commerce, techniques) vient du monde arabe et oriental, de la Perse antique, du croissant fertile situé entre Tigre et Euphrate ou de l’Égypte antique et plus loin de Chine, tout cela était connu et nous avait été transmis par les Grecs et les Romains bien avant l’apparition de l’islam. Pour ainsi dire, l’islam n’a rien apporté de nouveau au monde, même si certains érudits musulmans ont collationné, transmis et parfois enrichi des éléments de savoir antérieurs. Ainsi, même l’algèbre provient de l’antiquité égyptienne et babylonienne. Et le mot arabe « algèbre » apparu dans le livre « Kitāb al-mukhtaṣar fī ḥisāb al-jabr wa-l-muqābala » du mathématicien Al-Khwarizmi, écrit à Bagdad au début du IXe siècle ne fait que reprendre des éléments de géométrie et des algorithmes bien antérieurs. Non seulement l’Islam n’a quasiment rien apporté de nouveau au plan des techniques ou des sciences, mais au contraire, il a quasiment stérilisé tout progrès technique et civilisationnel. Qu’ont inventé les musulmans dans la période récente, quels ont été leurs apports techniques, quelles ont été leurs évolutions civilisationnelles depuis le VIIe siècle ? Aucun. Si bien qu’on peut dire que l’Islam a figé le savoir brillant du monde arabe ainsi que son évolution sociale. Quant aux Noirs d’Afrique, qu’ont-ils inventé qui nous soit utile ? Rien. D’où sans doute leur complexe lorsqu’ils se confrontent au reste du monde qui a tout inventé. Le complexe d’infériorité des Noirs est la cause de leur malheur et pour certains de leur vindicte lorsqu’ils se confrontent aux autres civilisations plus avancées au plan technique et civilsationnel. Au crédit des civilisations subsahariennes, on peut porter le fait que jusqu’à une époque récente, à la différence des nôtres, elles n’avaient pas massivement pollué la planète. Ce n’est désormais plus le cas puisque leur surnatalité incontrôlée et leur incapacité à produire les ressources qui leur sont nécessaires conduisent à la catastrophe démographique et écologique.
Bref, l’enrichissement de la France par l’immigration d’origine arabo-musulmane et africaine s’est résumé à un certain folklore d’Afrique noire, au couscous et aux boulettes. Pour le reste, nous avons à subir l’ensauvagement de notre société, et surtout l’introduction invasive de l’Islam qui écrase, et de loin, toutes les autres conséquences, même positives lorsqu’elles existent, de l’immigration.
Pour finir, l’introduction de l’Islam se résume à la violence, à la guerre de religion que l’on voit se développer sur notre sol et très probablement à terme à la multipartition territoriale. Tel est le bilan du prétendu enrichissement dont nous assomment les remplacistes. Il ne porte pratiquement aucune conséquence positive. Il nous écrase sous l’Islam, que rien n’arrête et qui n’apporte aucun progrès et au contraire fait tout régresser.