Par Francois le 16/12/2018
(Merci à Imjustadreamer)
Par Francois le 16/12/2018
(Merci à Imjustadreamer)
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France Télévisions assure qu’il n’y a « aucune volonté de masquer cette pancarte », ajoutant qu’il « faut raison garder en ces temps de complotisme ».
Le Monde
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Contacté par CheckNews, France 3 nous explique qu’il s’agit d’une «erreur humaine». «Une enquête est en cours. Une personne opérationnelle est intervenue, la rédaction en chef n’a pas décelé la modification. Nous allons communiquer très rapidement pour donner des explications et diffuser la photo d’origine».
Checknews
Source Riposte Laïque, Publié le 15 décembre 2018 – par Jacques Guillemain
On se demande parfois s’il y a un matheux au sein de l’Insee, tant ses conclusions sont alambiquées et mensongères. Rien de bien nouveau, cet institut ne nous a jamais habitués à la rigueur des chiffres quand il s’agit d’immigration.
C’est ainsi que l’Insee vient de nous livrer les derniers chiffres de la fécondité des Françaises, qui n’est plus que de 1,92 enfant par femme, après des années où cet indice tournait autour de 2.
Les maternités de plus en plus tardives expliquent cette baisse de fécondité.
Mais, nous dit l’Insee, la fécondité des femmes immigrées reste stable à 2,7 enfants par femme en 2015 et 2016.
Et d’ajouter sournoisement que leur contribution à la fécondité en France reste « limitée », soit de l’ordre de 0,1 enfant par femme ! ( Figaro du 16/12/2018 )
Les bras m’en tombent. Cette présentation trompeuse est scandaleuse. L’Insee n’est pas là pour politiser ses travaux mais pour informer le citoyen. Comment un organisme officiel peut-il oser sortir de telles énormités ? Ce qui importe, c’est le pourcentage des naissances et certainement pas le taux de fécondité !
Autrement dit, femmes immigrées ou pas, le taux de fécondité reste inchangé, donc l’apport de l’immigration serait marginal. Tel est le message de l’Insee. C’est archifaux et trompeur et surtout intellectuellement malhonnête.
Alors, décortiquons ces chiffres pour livrer la vérité.
Tout d’abord, toujours selon l’Insee, il y avait en 2013, donc avant le tsunami migratoire de 2015, près de 5,9 millions d’immigrés en France (nés à l’étranger ) et 6,8 millions de descendants de la deuxième génération.
Respectivement 9 % et 10,4 % de la population de 2013.
Car l’Insee ne comptabilise pas les immigrés de troisième génération qui sont comptabilisés parmi les natifs.
Ce qui donne 12,7 millions d’immigrés et descendants, donc 19,4 % de la population 2013.
La part des Européens s’est effondrée depuis 20 ans et ne représente plus que le tiers de l’immigration, les deux tiers restants étant d’origine extra-européenne.
Les chiffres de l’immigration venue d’Afrique ayant explosé depuis 2015, on peut considérer que la part des femmes immigrées d’origine extra-européenne est de 15 %. C’est un minimum, car il faudrait ajouter les descendants de troisième génération non comptabilisés.
Donc 85 % de natives et 15 % de femmes immigrées pour nos calculs.
Taux de fécondité global 1,92 enfant par femme. Taux des immigrées 2,7, selon l’Insee.
Sur 100 femmes, cela donne :
100 x 1,92 = 15 x 2,7 + 85 x Y avec Y = taux de fécondité des natives.
192 naissances = 40,5 naissances immigrées + 151,5 naissances de souche.
Taux de fécondité des natives = 151,5/ 85 = 1,78.
Donc sur 192 naissances, la part d’origine immigrée extra-européenne est de 40,5/192 = 21 % des naissances totales.
Ce qui parle bien davantage que 0,1 enfant de plus par femme !
1,78 enfant pour les natives et 2,7 enfants pour les immigrées, ce serait un écart négligeable pour nos grosses têtes de l’Insee, au prétexte que ces dernières sont encore minoritaires !
Par ailleurs, le chiffre de 2,7 enfants par femme immigrée est minoré. Avec l’arrivée des Africaines, il est plus proche de 3,5.
Donc, tous les chiffres de l’Insee sont faux et n’ont d’autre but que de masquer l’ampleur du tsunami migratoire et du changement de peuplement qui s’opère d’année en année.
Les derniers chiffres connus du dépistage de la drépanocytose, maladie génétique qui touche essentiellement les populations extra-européennes, montrent qu’en 2016, ce sont 40 % des nouveau-nés de métropole qui ont été dépistés.
Chiffre très élevé car il convient de remonter sur plusieurs générations pour vérifier s’il y a un sujet à risque parmi les ascendants.
Ces données ont d’ailleurs disparu depuis 2016 pour masquer l’ampleur de l’immigration au peuple français. Transparence de nos élus comme toujours !
En résumé, si on s’en tient aux chiffres de l’Insee, largement minimisés, on voit que la population de souche diminue de 10 % à chaque génération, tandis que celle des extra-européens augmente de 35 %.
Mais la réalité est bien pire.
Le taux de fécondité des natives est plus proche de 1,7 enfant par femme et celui des immigrées est sans doute proche du double à 3,4 compte tenu de la fécondité des Africaines.
15 x 3,4 + 85 x 1,7 = 51 + 144 = 195. Ordre de grandeur de cette réalité.
51/195 = 26 % des naissances qui sont extra-européennes.
Ce qui veut dire qu’à chaque génération, la population de souche diminue de 15 % et celle des immigrés augmente de 70 %.
Chiffres auxquels il faut ajouter l’immigration annuelle, largement minorée par l’Insee, une fois de plus, en jouant sur le solde migratoire, une donnée qui masque totalement les arrivées extra-européennes.
Sur 800 000 naissances annuelles on totalise donc 208 000 naissances d’origine immigrée et 592 000 naissances de souche.
Mais avec un taux de mortalité bien plus élevé chez les natifs du papy boom que chez les immigrés qui sont beaucoup plus jeunes.
Vers 2050, les natifs seront donc minoritaires. On est très loin des berceuses que nous chante régulièrement l’Insee !!
Le Grand remplacement est bien une réalité qui se voit au grand jour, mais ce n’est qu’une illusion si on écoute l’Insee. Il n’y a donc aucune éthique au sein de cet organisme ?
Source Riposte Laïque, Publié le 15 décembre 2018 – par Sébastien Jallamion
Sébastien Jallamion invité de Balance Ton Post sur C8 le 14/12/2018
Cela partait peut-être d’un bon sentiment, ou peut-être pas, mais quand l’un des assistants de Cyril Hanouna m’a contacté à plusieurs reprises pour me demander mon avis sur la question des fichés S et de la radicalisation islamique, en vue de préparer l’émission, je me suis dit qu’il allait probablement pleuvoir des choses étranges. À moins qu’il ne s’agisse d’une prise de conscience, rendue possible à travers la gravité de ce qui se passe aujourd’hui dans notre pays ?
Quoi qu’il en soit, je me suis dit que toute occasion donnée de pouvoir éclairer l’opinion devait être saisie, y compris dans une émission pour le moins racoleuse, dont j’avais déjà remarqué le faible niveau à travers sa première édition consacrée au port du voile intégral.
C’est dans cet état d’esprit que je suis arrivé dans les studios, que j’ai rejoint une des loges des invités où j’ai pu faire connaissance avec Christophe Schmitt, délégué FO pénitentiaire dans le Grand Est, avec qui nous avons eu des échanges forts intéressants.
Puis vint l’heure du direct, et nous rejoignîmes le plateau.
L’animateur me demanda pourquoi j’avais été fiché S, et au bout de quelques phrases s’empressa de donner la parole à l’un de ses chroniqueurs avant que ne soient servis les sempiternels « ça n’a rien à voir avec l’islam », « pas d’amalgame », et autres dénis de réalité auxquels nous sommes, hélas, tous habitués et qui portent une lourde responsabilité dans l’incapacité aujourd’hui que nous avons de poser collectivement le problème sur la table afin de rechercher des solutions efficaces.
Le seul contradicteur, en dehors des élus, à avoir pu aborder le véritable fond du problème, à savoir l’existence d’une idéologie au nom de laquelle agissent les terroristes, fut Pierre Martinet, ancien membre du service action de la DGSE, ce qui lui valu d’être coupé à plusieurs reprises, au point que je n’ai pas pu m’empêcher de demander à Éric Naulleau de bien vouloir le laisser finir.
À l’évidence, toute critique de l’islam était interdite sur le plateau, au point que l’on aurait cru assister à un rassemblement des Frères musulmans. Et nous avons été plusieurs à faire ce constat hors antenne.
Par ailleurs, n’ayant pas pu en placer une, je me suis demandé pourquoi on m’avait invité sur le plateau, ce qui n’a fait que conforter mon idée selon laquelle il n’y a absolument rien à attendre de ce genre de médias.
Que Cyril Hanouna se rassure : il y a de fortes chances pour qu’il refasse la même émission, encore, et encore… Mais ça sera bien entendu sans moi !
Sébastien Jallamion
La « marche contre Marrakech« , à l’appel d’associations de droite et d’extrême droite flamandes opposées au pacte de l’ONU sur les migrations, devrait avoir lieu dimanche à Bruxelles, mais sous la forme d’une manifestation « statique« , tout comme une contre-manifestation.
« Aucun débordement » toléré
La marche, organisée par plusieurs associations de droite et d’extrême droite flamandes comme KVHV, NSV, Schild & Vrienden, Voorpost et Vlaams Belang Jongeren, qui dénoncent le pacte de l’Onu sur les migrations, formellement approuvé lundi à Marrakech (Maroc), avait dans un premier temps été interdite par le ministre-président bruxellois, Rudi Vervoort, et par le bourgmestre de Bruxelles, Philippe Close (tous deux PS). Tout comme une contre-manifestation à l’appel d’une quarantaine d’organisations sur fond de possible irruption de hooligans.
Mais le Conseil d’Etat a suspendu vendredi soir l’interdiction des manifestations défavorables et favorables au pacte des Nations unies sur les migrations.
Prenant acte de la décision du Conseil d’Etat, les autorités bruxelloises ont prévenu samedi dans un communiqué qu’elles ne tolèreraient « aucun débordement » dimanche et que la police prendrait toutes les mesures nécessaires pour maintenir l’ordre sur le territoire de la Région.
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RTBF
Asile et migration: une manifestation statique «contre Marrakech» attendue à Bruxelles
D’abord interdite par la Ville de Bruxelles, et la région, la manifestation contre le pacte migratoire de l’ONU a finalement été autorisée par le Conseil d’Etat.
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Manifestation statique
Prenant acte de la décision du Conseil d’Etat, les autorités bruxelloises ont prévenu samedi dans un communiqué qu’elles ne tolèreraient «aucun débordement» dimanche et que la police prendrait toutes les mesures nécessaires pour maintenir l’ordre sur le territoire de la Région.
Et la «marche contre Marrakech» devrait – au lieu d’un cortège partant et revenant à la gare du Nord – se limiter à une manifestation statique sur le rond-point Schuman, au coeur du quartier européen de Bruxelles.
Sur la page Facebook de l’événement, quelque 12.000 personnes ont annoncé leur intention d’y participer alors que 36.000 autres ont manifesté de « l’intérêt».
Le Soir
LIEN Facebook : https://www.facebook.com/events/747920088904663/
FIGAROVOX/TRIBUNE – Lundi dernier, le chef de l’État annonçait la tenue d’un grand débat national sur l’immigration. Depuis, Édouard Philippe est revenu sur cette proposition. Yves Mamou voit dans ce brusque revirement l’expression d’un malaise gouvernemental sur un sujet pourtant préoccupant pour les Français.
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Poser la question de l’immigration – surtout après trois années de pic migratoire – revient forcément à interroger une population qui souffre, tant du terrorisme islamiste que des conflits liés à la multiculturalité. Or le gouvernement donne le sentiment d’agir comme s’il n’était au courant de rien. Est-il pensable que les résultats des multiples sondages publiés année après année sur le sujet, n’aient jamais atteint les plus hautes sphères de l’État? Tout journaliste un peu averti sait – et le baromètre sur la «confiance» que le Cevipof, le centre de recherche de Science Po, publie chaque année, le confirme – qu’avec une massive régularité, les Français condamnent aux deux tiers des voix, l’immigration de masse qui sévit en France depuis trente ans.
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Le Figaro