Pacte des Migrations : La question taboue des chiffres, le coût de l’immigration « un déficit annuel de 12,2 milliards pour la France »

Source FDsouche

Derrière le “Pacte des Migrations” de l’ONU, la question taboue du coût et des chiffres de l’immigration
A l’heure de la signature à Marrakech le 10 décembre du pacte “historique” (officiellement “non contraignant”) des pays membres des Nations Unies qui vise en fait à “faciliter” (mot qui revient plus de 60 fois dans le document de 34 pages) la migration, et pas seulement à la réguler, il est important de revenir sur l’aspect financier des mouvements de population en général dans nos pays développés post-coloniaux sommés d’accepter depuis des décennies, et sans sélection aucune, toute la misère du monde.

Souvent passé sous silence et abusivement polémisé lorsqu’il est débattu, ce coût incroyable de l’immigration (légale et illégale) permet de penser que ce n’est pas en termes de bénéfices pécuniaires qu’il convient de comprendre les mesures immigrationnistes auxquelles voudraient nous faire souscrire les Nations Unies, l’Union Européenne et moult lobbies cosmopolitiquement corrects et autres minorités idéologiques tyranniques. D’évidence, si le succès du « projet migratoire » ne se situe pas sur le plan économique, contrairement à une idée reçue que nombre d’experts ont invalidée, c’est qu’il se situe ailleurs.

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Coût de l’immigration : un déficit annuel de 12,2 milliards pour la France

Le déficit budgétaire (c’est-à-dire dépenses moins recettes) de l’immigration légale a été chiffré par Gourévitch à 8,5 milliards d’euros, et à 3,7 milliards pour la seule immigration illégale, soit un total de 12,2 milliards pour l’année 2016, sachant que les dépenses pour l’immigration illégale se sont encore accrues en 2017-2018. Il convient d’ajouter à cela les investissements publics dans l’éducation et les programmes d’intégration (que le Pacte migratoire onusien adopté le 11 décembre à Marrakech préconise encore d’augmenter et systématiser) dont on ne peut encore évaluer la rentabilité, puis les investissements extérieurs telle l’aide publique au développement censée diminuer les flux migratoires et dont l’effet est nul puisque la migration (légale et illégale ) en provenance des pays tiers n’a cessé d’augmenter et augmente avec l’augmentation du niveau de vie en Afrique. Comme si ce manque à gagner ne suffisait pas (rappelons que la dette extérieure de la France s’élève 162% du PIB (presque 3 000 milliards d’euros), le financement public de l’immigration a encore très sensiblement augmenté en 2018.

Les bénéfices économiques de l’immigration : de très faible à rien du tout

En avril 2018, Xavier Chojnicki, Lionel Ragot et Ndeye-Penda Sokhna publiaient un rapport sur « l’impact budgétaire de 30 ans d’immigration en France » et concluaient que la contribution nette des immigrés a «généralement été négative sur l’ensemble de la période » (1979-2011). Or la longueur de la période peut déjà biaiser l’étude dans la mesure où elle dilue la problématique de ces dernières années puisque les années 1980-90 étaient encore (bien que ce fut le début d’un processus immigrationniste incontrôlé) le temps d’une migration moindre et d’autant mieux intégrée que fonctionnaient encore, à minima, les mécanismes d’absorption par la population autochtone en France.

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Après le coût économique, les coûts « annexes » : sociétaux, culturel, politiques, qui s’inscrivent dans une durée nécessairement plus longue encore…
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L’immigration – en particulier musulmane – a un impact sur le court et le long terme, avec notamment la diffusion de pratiques culturelles visibles qui transforment les paysages urbains de façon notable. Entre la prolifération de vitrines halal, dont le « mécréant » sait bien qu’il désigne la limite entre le « pur » et « l’impur », les crèches sacrifiées et les signes chrétiens en recul alors que le voile prolifère alors qu’il est porteur d’un message pas seulement religieux et d’ailleurs hostile à la culture dite « d’accueil », c’est le sentiment de légitimité même des tenants de ladite culture qui est fragilisé. Or comme le rappelle Michèle Tribalat dans son ouvrage Assimilation, la fin du modèle français, cette légitimité est primordiale dans le travail même d’assimilation des nouveaux arrivants par la société française. De même, la transmission de la culture musulmane est bien plus forte que celle des chrétiens ou encore des athées : c’est donc une modification en profondeur et sur plusieurs générations qui se fait dans la société française.

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Valeurs Actuelles





Les « icônes de la diversité » ? Parlons-en !

Source “Boulevard Voltaire”

Bien au chaud dans la crèche de la « diversité » trônait l’intouchable santon Mehdi Meklat. Pensez donc ! Pascale Clark, marraine sur son berceau. La bonne fée Taubira en couverture des Inrocks avec lui, à la joie des résiduels lecteurs de l’hebdo-perfusé-Pigasse. La fondation Cartier. Cinq pages dans Le Monde Magazine, genre Ceaușescu-brosse-à-reluire. Et France Inter. Le Bondy Blog. Libé. Télérama !

Mehdi était alors titularisé comme dur faisant frémir les bourgeoises-caviar : après le voyou-terroriste Cesare Battisti, la proto-racaille Meklat des banlieues chaudes – fils spirituel de l’apache-années 30 de Berthe Silva : « C’est un mauvais garçon/Il a des façons pas très catholiques/On a peur de lui/Quand on le rencontre la nuit. »

Mais un jour, patatras !

Rattrapé par son « moi virtuel », « double fictif maléfique » du nom beaufissime de « Marcelin Deschamps », Mehdi explose en vol. « Faites entrer Hitler pour tuer les Juifs »… et les bonnes femmes, et les « PD »… même panier ! Les victimes du terrorisme, en prime. Propos « antisémites, sexistes, homophobes, racistes, discriminatoires et stigmatisants (ouf) ». Là, même pour le noyau dur du fan-club Mehdi, la pente est trop rude.

Exil de Mehdi à Tokyo. dix-huit mois plus tard, l’ex-coqueluche-bobo revient. Il a tout compris. Tout s’explique. « Militant antiraciste », « enfermé dans son identité ». Le pauvre Mehdi, qui ne « connaissait pas les codes » est « victime du racisme de la société française ». Foudroyante d’originalité, l’excuse : après « Dr. Jekyll et Mr. Mehdi », « Les Deux Orphelines ».

Bien sûr, Mehdi est amnistié d’avance dans son bercail d’origine. Fils prodigue ! Tous lui ouvrent les bras, Grasset, le livre, Quotidien et L’Obs, la promo. Cela dit, à la place de Mehdi, on serait prudent quand même. La France où il revient a changé. La plèbe franchouillarde s’y agite. Pas sûr que le coup de « Marcelin Deschamps » ait séduit tout le monde – Mehdi dira-t-il merci pour l’avertissement salutaire ? Qui sait ? Au moins est-il prévenu.

Avant la France et Mehdi Meklat, il y eut la Belgique et Oussama Atar. En Octobre 2010, les murs de Bruxelles crient « Sauvons Oussama Atar l’“oublié belge” des odieuses prisons de Bagdad »… jeune idéaliste mourant d’un fatal cancer ! Les usuelles frangines-pleureuses d’Oussama sanglotent, tous voiles dehors. Les idiots-utiles-gauche-écolos, Amnesty International et la Croix-Rouge sont de la manif.

Accéléré avant. Libéré en 2012, en fuite peu après, Oussama Ata émerge en 2016. En pleine forme, il est « coordinateur des attentats de Paris et de Bruxelles ». La Libre Belgique n’a plus qu’à geindre sur « la grande candeur des responsables belges face à des djihadistes dont l’art de la dissimulation et de la victimisation est de très haut niveau ». Replié en Syrie, Oussama Atar « Abou Ahmed » rigole – pas longtemps : de mécréantes forces spéciales lui ont, depuis, offert un aller simple au paradis. Immanente ou pas, justice est faite – le flou artistique s’impose ici.

Autre icône télé, rayon bienséance-médias, le migrant clandestin Omar Ba. Le chouchou « sénégalais écume les plateaux de télévision et les radios, publie tribunes et entretiens, multiplie les conférences ». Ses deux livres (2008 et 2009) narrent une « épopée largement inventée » par un « faussaire » et un « escroc ».

Au Sahel, où on rit volontiers, on a adoré que Ba « fasse gober des histoires aux Toubabs (Blancs) ». Victime d’un grave syndrome de Stockholm, son éditeur gémit que les migrants comme Ba sont « obligés de mentir pour survivre en Europe ». Bien sûr.

Voici la première galerie de nos « icônes de la diversité ». Bientôt la seconde – elle sera plus réjouissante – affligeante encore.





Nicolas Bay : «La crise des Gilets Jaunes est aussi liée à l’arrogance de Macron qui pose enlacé avec des voyous aux Antilles et dit aux chômeurs d’aller faire la plonge en traversant la rue»

Nicolas Bay (RN) : « La crise des Gilets Jaunes c’est d’abord une crise fiscale, un pouvoir d’achat en berne, les Français qui paient toujours plus d’impôts mais ont le sentiment d’avoir en contrepartie toujours moins, au bénéfice de certains qui viennent dans notre pays, sont nourris et soignés gratuitement sans avoir à cotiser. (…) Une crise politique, les Français ne se reconnaissent pas dans une Assemblée Nationale qui ne les représente pas. Il faudrait la proportionnelle intégrale et le référendum d’initiative populaire. (…) Une crise liée à l’arrogance d’Emmanuel Macron, le fait qu’il pose enlacé avec des voyous aux Antilles et dise aux jeunes chômeurs de se débrouiller et d’aller faire la plonge en traversant la rue. Tout ça, les Français l’ont en mémoire, les Français qui ont été insultés à l’étranger par Emmanuel Macron qui les traitait de Gaulois réfractaires. »
BFM TV, 10 décembre 2018, 9h38