La grenade dégoupillée que Collomb a balancée dans les pattes d’Édouard Philippe, lors de la passation de pouvoir, brise l’omerta sur l’immigration, que les autorités de ce pays imposent au peuple depuis trente ans.
C’est d’abord François Hollande qui avait clairement annoncé « la partition », dans le livre « Un président ne devrait pas dire ça ». Sujet explosif vite enterré.
La sécession des territoires ? « Comment peut-on éviter la partition ? Car c’est quand même ça qui est en train de se produire : la partition. »
Et aujourd’hui, c’est au tour du ministre de l’Intérieur d’enfoncer le clou et de reconnaître que la France court à la catastrophe, car avec Macron, tout empire dans des proportions dramatiques.
Ce qu’a déclaré le premier flic de France est annonciateur de lendemains tragiques et même de guerre civile, parce que des dirigeants irresponsables ont trahi le peuple, en lui vendant une société multiculturelle paradisiaque qui n’existe nulle part dans le monde.
Le « vivre ensemble », va inévitablement se transformer en choc frontal entre des communautés qui ne partagent plus rien en commun.
Évoquant l’explosion des zones de non-droit, ces quartiers où règne la « loi du plus fort », celle des caïds et des barbus, Collomb a carrément évoqué la menace de guerre civile.
« On vit côte à côte, je crains que demain on ne vive face à face, nous sommes en face de problèmes immenses ».
Tel est le discours d’un ministre de l’Intérieur après 18 mois d’exercice en tant que responsable de la sécurité des Français ! Ahurissant !
Il avoue, en quittant le navire, ce que les Français de souche, les Français « pure laine », pour employer une expression de nos amis québécois, savent et craignent depuis des lustres.
Mais qu’a-t-il fait en 18 mois ? Ou bien Macron l’a empêché d’agir, et il devait démissionner dans les trois mois, ou bien il a fait preuve d’incompétence et d’une soumission coupable durant 18 mois.
Cette désintégration de la société, une évidence que les lanceurs d’alerte annoncent depuis des décennies, et qui devrait mobiliser toutes les énergies du pays pour éviter sa libanisation et son éclatement, a aussitôt été minimisée par les médias, certains occultant carrément le discours de Collomb.
Tout va bien, le peuple peut dormir tranquille.
Mais si pour une fois Collomb parle vrai et fait le juste constat, le remède qu’il propose sera pire que le mal.
Ce n’est certainement pas avec davantage de mixité que la France va surmonter l’échec de l’intégration. La mixité, c’est la diffusion du mal.
La mixité ne peut se concevoir qu’avec des populations qui partagent une même vision de leur avenir. Ce qui n’est pas le cas pour des millions d’immigrés qui refusent de s’intégrer et qui sont plus sensibles au discours de haine des barbus qu’au discours républicain.
Le bilan Macron et Collomb est des plus explicites :
1000 agressions gratuites par jour, avec très souvent un égorgé du jour.
130 mosquées salafistes qui prêchent la haine de la République.
Entre 500 000 et 1000 000 clandestins jamais expulsés.
Seulement 7000 places de prison supplémentaires sur les 15 000 promises.
30 000 armes illégales circulent dans les banlieues.
20 000 radicalisés inscrits au fichier FSPRT.
Sur les 1600 détenus pour terrorisme ou radicalisation, 450 seront libérés en 2019. Les bombes humaines de demain.
Des centaines de zones de non-droit et de zones sensibles.
L’État a totalement perdu le contrôle de la situation pour la simple raison qu’il refuse l’épreuve de force avec les racailles des quartiers, qui y font régner leur propre loi.
Adeptes de la politique de l’autruche et cédant aux délires immigrationnistes de Bruxelles, nos dirigeants ont encouragé une invasion qu’ils ne maîtrisent plus.
L’intégration est un échec monumental, mais le mal est si profond que le pouvoir est devenu l’otage de millions d’immigrés. Il a peur.
Tétanisés par le souvenir des émeutes de 2005, tous nos dirigeants ont capitulé, espérant éviter l’inévitable confrontation que vient d’annoncer Collomb.
Dans un pays où les policiers sont présumés coupables au moindre incident et les racailles systématiquement victimisées, il n’y a pas grand chose à espérer.
On n’oublie pas l’affaire Théo, ce délinquant qui avait refusé un contrôle d’identité et qui s’est retrouvé à l’hôpital, avec Hollande à son chevet dans l’heure qui suivait.
Non seulement les policiers ont été traînés dans la boue, mais Hollande n’a même pas daigné se rendre au chevet d’autres policiers, également hospitalisés après avoir été brûlés vifs dans leur voiture par des racailles de banlieue.
Une odieuse marque de mépris envers ceux qui assurent notre protection. Par cette attitude ignoble, Hollande a déshonoré un peu plus sa fonction.
Nos policiers ont plus à craindre de leur hiérarchie et du pouvoir totalement acquis aux immigrés que des voyous qu’ils traquent.
La France court à la catastrophe. Et que fait Macron ? Il aggrave la situation.
Le nombre de visas longue durée est passé de 227000 en 2016 à 262000 en 2017. Il est en augmentation de 16 % en 2018 !
Le nombre de demandeurs d’asile a dépassé les 100 000 en 2017 et va exploser en 2018.
Certains quartiers de Paris se transforment en dépotoirs du tiers-monde.
Toutes les structures d’accueil sont saturées. On impose partout des migrants, y compris dans les villages les plus reculés, qui voient leur quotidien bouleversé quand il ne devient pas carrément invivable.
La France est en train de s’effondrer économiquement et de se désintégrer, et tout ce que Macron et la bobosphère qui le vénère ont dans leur collimateur, ce sont les patriotes qui défendent leur identité et leur patrimoine culturel.
En Italie, Salvini sanctionne les maires immigrationnistes.
Tandis que Macron, en bon démocrate, veut sanctionner les pays qui refusent l’accueil de migrants, alors que 66 % des Français ne veulent plus d’immigration.
Tout est dit. L’un aime et protège son peuple, l’autre le méprise et le condamne à des lendemains tragiques.
D’ici 2022, Macron a largement le temps d’exercer son pouvoir de nuisance afin d’enfoncer le dernier clou sur le cercueil de la France de nos ancêtres. C’est ça, le mondialisme !
Comment un président, qui a capitulé et donné raison aux squatteurs de Notre-Dame-des-Landes au détriment des paysans historiques, au mépris de la démocratie, au mépris de toutes les décisions de justice, pourrait-il reconquérir les quartiers ? Impensable !
Son credo, c’est le renoncement permanent face aux communautarismes et à la délinquance. C’est un islam conquérant qui se propage en France.
Il est plus facile d’envoyer des Rafale bombarder la Syrie, un pays qui ne nous a jamais agressés, que de rétablir l’ordre républicain dans les banlieues !
Jacques Guillemain (Riposte laïque)