La bombe démographique qui va tuer la France : les vrais chiffres

La bombe démographique n’est pas seulement en Afrique, continent qui a vu sa population quadrupler depuis l’indépendance, ou en Algérie, dont la population a été multipliée par cinq depuis 1962.

En 2017, 28 % des naissances sont issues d’au moins 1 parent né hors UE ! (INSEE)

La bombe démographique se trouve aussi en France, non pas par l’explosion des naissances, qui tournent autour de 800 000 depuis des années, mais par le changement de population qui s’opère peu à peu.

https://www.insee.fr/fr/statistiques/2381382
Et télécharger ensuite le document détaillé de 1998 à 2017.

En 1998, il y a eu 767 906 naissances en France.

Dont 590 160 issues de 2 parents nés en France et 144 607 naissances avec au moins 1 parent né hors UE.

En 2017, il y a eu 769 553 naissances.

Dont 527 120 issues de 2 parents nés en France et 213 553 naissances avec au moins 1 parent né hors UE.

Ce qui signifie qu’en 20 ans, la part des naissances issues de 2 parents nés en France, a diminué de 11 %.

Tandis que la part des naissances dont au moins 1 parent est né hors UE a augmenté de 47 %.

Mais ces chiffres ne reflètent qu’en partie l’explosion de l’immigration depuis le regroupement familial en 1975.

Car l’INSEE ne comptabilise les immigrés et les descendants d’immigrés que sur 2 générations.

Donc, tout descendant d’immigrés, mais dont les parents sont nés en France, est comptabilisé comme Français de souche et non pas comme descendant d’immigrés.

La part des naissances dont au moins 1 parent est né à l’étranger hors UE est de 28 % en 2017.

Mais pour avoir une idée exacte des naissances d’origine immigrée au sens large, avec au moins un parent originaire d’un pays hors UE, il n’existe qu’un seul moyen :

Prendre en compte les chiffres de dépistage de la drépanocytose, maladie génétique qui ne touche quasi exclusivement que les populations extra-européennes.

Les immigrationnistes peuvent bêler au racisme dès qu’on utilise cette donnée, mais si les statistiques ethniques étaient autorisées comme dans la plupart des pays occidentaux, l’INSEE pourrait faire son travail d’information.

Avec Internet, il est toujours possible de contourner l’omerta sur l’immigration de masse. Enfin, pour l’instant…

Tout citoyen a le droit d’être informé de l’évolution démographique de son pays, du moins dans une démocratie digne de ce nom où le mot liberté a encore un sens !

La dernière mise à jour date de 2016. Mais ces statistiques vont disparaître.

http://www.fdesouche.com/906357-drepanocytose-la-carte-du-grand-remplacement-mise-a-jour-chiffres-2016#

En 2016, 39,39 % des bébés nés en métropole ont subi les tests de dépistage de la maladie. Les chiffres explosent d’année en année.

En 2017, on dépasse donc les 40 %.

En résumé, en 2017, sur 769 553 naissances, on sait que 28 % sont issues d’au moins 1 parent né hors UE.

Et 40 % sont issues d’au moins 1 parent d’origine immigrée hors UE (qu’il soit né en France ou hors UE).

À ces 40 %, il convient d’ajouter l’immigration extra-européenne que l’INSEE ne chiffre jamais, se contentant d’un solde migratoire complètement trompeur, puisqu’il comptabilise aussi les expatriés français, actifs ou retraités, afin de minimiser la part des arrivées extra-européennes qui sont en augmentation.

On sait que le nombre de visas de séjour explose.

Il est de 262 000 en 2017, soit une augmentation de 13,7 % sur un an.

Chiffre auquel il faut ajouter les clandestins. 100 migrants arrivent chaque jour à Paris. Combien en France ? 300 ? 500 par jour ?

La France a accueilli 25 000 mineurs isolés en 2017. On en attend 35 000 en 2018.

Le Grand Remplacement est bien une réalité.

Rappelons qu’avec un taux de fécondité tombé à 1,6 enfant par femme chez les natives, la population de souche diminue de 20 % à chaque génération.

Chez les femmes immigrées, le taux de fécondité remonte avec l’arrivée des Africaines particulièrement prolifiques.

Avec un taux de fécondité de 3,6 enfants par femme, la population d’origine extra-européenne augmente de 80 % à chaque génération.

Quand la génération du baby-boom aura entièrement disparu, celle qui forme les gros bataillons de retraités, la France ne sera plus très loin du basculement.

Rappelons aussi qu’en Europe, il y a eu davantage de décès que de naissances et que la population n’a pu augmenter que par l’immigration.

https://www.la-croix.com/Monde/Europe/Sans-apport-migratoire-population-europeenne-aurait-perdu-1-million-dhabitants-2017-2018-07-12-1200954638

http://www.fdesouche.com/1016161-est-il-vrai-quen-europe-lintegralite-de-la-croissance-demographique-est-due-a-limmigration

Pas besoin d’être devin pour comprendre qu’à ce niveau d’immigration, l’intégration est devenue mission impossible.

Dans trente ans, les minorités extra-européennes seront devenues majoritaires avec les bouleversements qu’on imagine.

Un enfant sur cinq naît de parents musulmans. Un chiffre multiplié par 4 depuis le regroupement familial.

La France de nos ancêtres les Gaulois a fini d’exister.

C’est un désastre qui se prépare pour les générations futures. Mais quand un peuple vote depuis 40 ans pour les mêmes immigrationnistes, il n’est pas à plaindre, il est complice et artisan de sa propre disparition.

Quand les Hongrois se battent et refusent de disparaître en fermant leurs frontières, les Français en redemandent et continuent de creuser leur tombe.

On ne peut pas empêcher tout un peuple de se suicider.

Jacques Guillemain (dans Riposte laïque)





Éric Zemmour / Hapsatou Sy : petit détour par un cours de français dans une 3e de REP+

Loin des insultes, la polémique entre Éric Zemmour et Hapsatou Sy a eu le mérite d’attirer l’attention sur la fonction intégratrice des prénoms de tradition française. Il ne s’agit pas de contester la nationalité française d’une Hapsatou, d’un Mounir ou d’un Mohammed, mais de constater, simplement, que la généralisation de prénoms issus de la diversité est un frein puissant à la compréhension de la culture française, et de ce qui en fait peut-être sa gloire : la littérature. Et, donc, à l’intégration.

Si Hapsatou avait passé quelques heures de cours avec mon collègue de français, dans mon collège REP+ de banlieue, elle aurait peut-être compris ce que voulait dire Éric Zemmour : les parents d’immigrés qui piochaient naguère dans la liste des prénoms français traditionnels donnaient ainsi à leurs enfants un accès insoupçonné et unique à la culture française et à sa littérature. Mais aujourd’hui, dans des classes où ces prénoms ont quasiment disparu, que se passe-t-il ?

Réponse par deux scènes véridiques vécues l’an dernier dans une classe de 3e.

Au cours de l’année, l’inspection de lettres avait proposé un sujet de brevet correspondant aux nouvelles exigences de l’examen. Il s’agissait d’un extrait de la belle nouvelle de Gide, Geneviève, ou la confidence inachevée. Le texte était simple, court, et mettait en scène une amitié naissante entre deux lycéennes. Certes, il y avait des marques d’accord qui auraient dû leur permettre de deviner que le narrateur était une narratrice, mais pour la moitié de la classe, Geneviève était un prénom parfaitement inconnu, étranger et, l’inculture s’ajoutant à l’inattention, Geneviève – que beaucoup eurent du mal à recopier sans faute – devint un garçon. La première Geneviève qu’ils avaient rencontrée, c’était dans ce texte de Gide. Et la rencontre se passa mal…

Mais cette même génération de 3e n’était pas au bout de ses peines. Juin arriva et l’épreuve du vrai brevet : le célèbre texte d’Uranus, de Marcel Aymé, mettant en scène le cafetier, immortalisé par Depardieu, fasciné par la récitation des alexandrins de Racine et la douleur d’Andromaque. On sait quels cris ont poussés certains professeurs de lettres : on avait osé demander à des élèves de 3e de différencier une subordonnée relative d’une conjonctive et de transformer un passage du discours direct au style indirect. Sans doute des collègues qui n’avaient pas vu que Najat Vallaud-Belkacem et ses épigones n’étaient plus aux commandes. Mais le pire des copies n’était pas dans l’incapacité des élèves à répondre à ces questions de grammaire. Non : les confusions étaient bien plus affligeantes, de nouveau, au simple niveau des personnages. Mais qui était Léopold ? Là encore, c’était le premier Léopold que nos élèves rencontraient de leur vie. Était-ce le professeur ? Et cette Andromaque, un guerrier ?

Conclusion : la littérature française jusqu’à la seconde moitié du XXe siècle est devenue incompréhensible à une grande partie des élèves issus de la diversité. Et il n’y a pas que leurs lacunes en vocabulaire, en syntaxe et en orthographe qui soient en cause. Il y a aussi leur bain culturel et onomastique, réduit et ethnocentré. L’une des voies d’accès privilégiées vers la littérature, la voie de l’empathie, aurait pu être celle de la communauté des prénoms avec les personnages et les auteurs. Mais le choix de la diversité coupe un peu plus ces élèves de la culture et de la littérature qui devraient être la leur. Dans ce sens, oui, le choix systématique de prénoms issus de la diversité est une injustice (en latin : une injuria, une injure) faite à la France et à sa littérature. Une façon de lui dire – pour rester policé : je ne te connais pas.

Il faudrait qu’Hapsatou Sy prenne conscience que la France n’a pas commencé il y a dix ou vingt ans avec la généralisation des prénoms de la diversité, mais la Chanson de Roland, Racine, Chateaubriand, Gide, Marcel Aymé et quelques autres méritent peut-être que quelques petits René, Geneviève et Jean reviennent peupler nos classes. Cette diversité-là serait nécessaire. Pour le bien de tous.





Zemmour a raison : la preuve par Benalla

La polémique lancée par Hapsatou Sy a eu le mérite de braquer le projecteur sur ce qui était naguère un vecteur d’intégration, et aujourd’hui de différenciation, voire de communautarisme ou de rejet de la France : le choix ou la francisation du prénom. C’est une réalité sociale, historique, et un signe – un de plus – de la faillite de l’intégration de ces dernières décennies. On peut le déplorer violemment comme Éric Zemmour ou, au contraire, s’en réjouir, tout aussi violemment, mais on ne peut contester le fait. Les chiffres et les courbes établies par Jean Robert pour le site Fdesouche à partir des données fiables de l’INSEE sont éloquentes : le nombre de prénoms issus du calendrier grégorien s’est effondré en cinquante ans, passant de 85 % à 26 %, de 1965 à aujourd’hui. Et ils n’ont pas été remplacés par des prénoms tibétains ou japonais. C’est l’un des nombreux signes d’un Grand Remplacement. Objectif et constatable par tous.

Il fut une époque, pas si lointaine, où beaucoup de familles d’origine maghrébine, précisément dans un souci d’intégration, donnaient à leurs enfants des prénoms français. Et puis l’habitude s’arrêta. Les professeurs furent les premiers témoins de cette évolution.

Il est curieux que l’on n’ait pas apporté au débat l’exemple d’une personnalité qui fit pourtant, elle aussi, l’actualité de la semaine, pour d’autres raisons : Alexandre Benalla. BFM TV nous a révélé, il y a quelques semaines, l’histoire de la francisation de son prénom. Né à Évreux et déclaré à l’état civil Maroine Benalla par son père, il fut à plusieurs reprises menacé d’être enlevé et emmené au Maroc par ce père violent. Sa mère avait donc demandé et obtenu un changement de prénom : Maroine fut autorisé officiellement à s’appeler Alexandre. Par ce geste de francisation du prénom, elle a voulu pour son fils un destin français. Et, dans les raisons qu’a avancées le Président Macron pour justifier son choix de l’embaucher et de le garder à l’Élysée, il y avait, précisément, le choix de promouvoir « un profil différent ». Nul doute que l’ascension sociale extraordinaire de ce fils d’immigré d’Évreux à l’enfance difficile ait séduit Emmanuel Macron et qu’il ait eu le projet d’en faire un exemple, un symbole de la réussite de l’intégration. Malheureusement, la belle histoire a mal tourné. Mais cela n’enlève rien au fait que la question du prénom francisé y jouait un rôle clé. La mère d’Alexandre Benalla et le Président Macron avaient donné raison à Éric Zemmour.





La chroniqueuse Hapsatou Sy méprise le prénom Marie

La récente polémique entre Éric Zemmour et la chroniqueuse Hapsatou Sy, sur le plateau de Thierry Ardisson, à propos des prénoms attribués en France, a suscité un débat houleux dans l’opinion publique, avec en filigrane la question de l’identité française. Les réactions se multiplient dans les médias, sur YouTube et les réseaux sociaux sur le point de savoir si les prénoms qui ne figurent pas dans le calendrier napoléonien font partie ou non de notre patrimoine français.

Hapsatou Sy, qui est une femme française d’origine sénégalaise et de confession musulmane, reproche à Éric Zemmour de lui avoir manqué de respect en affirmant publiquement, sur le plateau de télévision, que son prénom à consonance africaine ne fait pas partie de l’Histoire de la France et qu’il constitue en lui-même une insulte envers notre pays. Hapsatou Sy rappelle que son prénom lui a été donné par sa famille et qu’il est directement rattaché à son identité personnelle. Se sentant insultée, Hapsatou Sy menace aujourd’hui de déposer plainte contre Éric Zemmour et elle bénéficie d’un très large soutien parmi les journalistes, les célébrités issues de l’immigration et de la part de toute la communauté afro-musulmane française.

Un point important n’a toutefois pas été soulevé dans le cadre de cette polémique. Lorsque l’on écoute attentivement le débat entre Éric Zemmour et Hapsatou Sy, cette dernière affirme, au début de la discussion, que le prénom Marie n’inspire absolument rien à sa mère. Hapsatou Sy déclare textuellement : « Vous auriez souhaité que ma mère m’appelle comment ? Qu’elle m’appelle Marie, un prénom qui ne lui inspire absolument rien ? »

Le prénom Marie est pourtant intimement relié à la France, c’est un prénom emblématique de notre pays qui est ancré dans l’Histoire française.

D’un point de vue religieux, le prénom Marie fait directement référence au nom de la Sainte-Vierge dans la religion catholique qui demeure la première religion en France. La France est une terre de tradition chrétienne qui a été baignée par 2 000 ans de christianisme qui se perpétuent encore aujourd’hui à travers les nombreuses églises, les sanctuaires dédiés à la Vierge Marie et les lieux de pèlerinage où ont été recensées les apparitions mariales de la Sainte-Vierge, notamment à Lourdes. Il faut rappeler également que, sur un plan historique, le Royaume de France fut consacré à la Vierge Marie.

D’un point de vue républicain, le prénom Marie représente également un symbole. C’est le prénom qui était le plus donné aux femmes françaises pendant tout le 20e siècle. Des personnalités prestigieuses ont porté ce prénom, notamment la physicienne Marie Curie qui a beaucoup contribué aux progrès de la science et qui est la première femme au monde à avoir été couronnée du prix Nobel. Le prénom Marie est également étroitement lié, au niveau étymologique, au prénom Marianne qui est l’emblème de la citoyenne française au sein de la République française.

Ainsi, quand Mme Hapsatou Sy affirme, devant de nombreux téléspectateurs, que le prénom Marie ne représente rien pour sa mère, on est en droit de se demander où est l’enracinement de sa famille dans notre paysage français. Hapsatou Sy ne peut pas affirmer, d’un côté, son amour de la France et son attachement à notre pays et se moquer par ailleurs du prénom Marie qui est véritablement inscrit au cœur de l’Histoire de notre nation. Hapsatou Sy doit comprendre que le respect n’est pas à sens unique, il ne concerne pas uniquement sa famille mais l’ensemble des citoyens français. J’ai moi-même de nombreuses personnes prénommées Marie au sein de ma famille et parmi mes amies et pour lesquelles j’exige également de la politesse de la part de Mme Hapsatou Sy.

L’attitude de Hapsatou Sy, qui a balayé d’un revers de main le prénom Marie au cours de cette émission télévisée, sans que personne ne lui en fasse le reproche, est assez caractéristique d’une dérive, d’une facilité qu’ont les personnes issues de l’immigration à piétiner l’Histoire de la France, à renier notre héritage à la fois chrétien et républicain, à vouloir faire table rase du passé dans le seul but d’imposer une autre culture dans notre pays et de se venger, d’une façon implicite, de la colonisation française.

Voici la vidéo entre Éric Zemmour et Hapsatou Sy sur le plateau télévisé de Thierry Ardisson. Écoutez bien les propos tenus par Hapsatou Sy sur le prénom Marie au début de cet échange. D’une certaine façon, Hapsatou Sy a également insulté le peuple français et toutes les citoyennes de notre pays qui se prénomment Marie.

Et n’oublions pas que l’islamisation et la colonisation de la France passent aussi par le choix des prénoms.

Louise Langlois (dans Riposte laïque)





Communautarisme : Le journal des élèves d’un lycée de Courbevoie (92) primé au « Concours National de la Presse Jeune »

Faites vous votre opinion ci-dessous:

« Kaléïdo’scoop », concours national de la presse jeune, est organisé par l’association Jets d’encre à l’attention des journalistes jeunes entre 11 et 25 ans. Le concours permet de valoriser l’expression authentique de la jeunesse, qu’elle soit accompagnée ou spontanée, de dizaines de milliers de jeunes à travers la France. Cette pratique originale est un vecteur important de l’éducation à la citoyenneté et au maniement d’un outil fondamental pour la démocratie : la presse.

Cette année, le prix « coup de cœur » du jury a été attribué au lycée professionnel Painlevé de Courbevoie (92).

Les 6 exemplaires déjà édités sont disponibles à cette adresse : http://www.lyc-painleve-courbevoie.ac-versailles.fr/PPL-Actus

Quelques extraits « choisis » du journal :



















Urgent – Pétition pour la liberté d’expression d’Éric Zemmour

« Je ne suis pas d’accord avec ce que vous dites, mais je me battrai pour que vous ayez le droit de le dire ! »

Cher lecteur, vous le savez sans doute, c’est pour cette phrase célèbre que notre Boulevard s’appelle Voltaire. Elle devrait être la devise, bien sûr, de toute presse libre et indépendante.

Aujourd’hui, sous prétexte de combattre une supposée « incitation à la haine », une pétition circule, initiée par Hapsatou Sy, exigeant qu’Éric Zemmour soit interdit de médias. Nous ne pouvons qu’être profondément indignés par cette initiative. C’est en argumentant et non en le bâillonnant que l’on s’oppose à son adversaire dans un débat d’idées.

Peu importe que vous soyez d’accord ou non avec Éric Zemmour. À travers lui, c’est toute la liberté d’expression dans notre pays qui est gravement menacée. Nous avons toutes les raisons d’être inquiets, et c’est maintenant qu’il faut réagir.

Oui, nous voulons qu’Éric Zemmour ait le droit de s’exprimer !

Signez et faites signer ICI !





Hapsatou Sy : l’exemple de Cat Stevens

Ce nom ne dira pas grand-chose aux plus jeunes, mais il faut savoir que Cat Stevens était une immense star de la chanson dans les années 70. Né à Londres, son père était d’origine grecque, sa mère anglaise. Au firmament de sa gloire, Cat Stevens a été séduit par cette belle religion qu’est la religion musulmane, l’islam.

Il a tout quitté, il est devenu musulman et il a changé de nom. Il est devenu Yusuf Islam. Il s’est totalement assimilé dans ce nouveau peuple qui l’accueillait et c’est probablement par respect pour cet accueil et par désir de montrer son implication qu’il a adopté un nom arabe.

Sans, pour autant, renoncer à son identité propre.

Au fil des années, il s’est rendu compte qu’il faisait fausse route et que cette magnifique religion était, en fait, détournée et devenue un instrument politique de soumission, de haine et de mort. Alors, il est redevenu Cat Stevens. A-t-il renié son passage dans le monde musulman ?

Que nenni, il se produit désormais sous le nom de Yusuf Cat Stevens pour montrer qu’il ne renie rien, et il a encore plus de talent.

Si Hapsatou Sy avait deux sous d’intelligence, elle aurait remercié Éric Zemmour de l’inciter à se prénommer Corinne pour attester de son profond désir d’assimilation à la France, à ses valeurs, à son histoire. Et respecter ainsi l’accueil qui lui est fait. Cette hystérie autour de cette affaire montre à l’évidence que l’on subit, en France, une forme grave de « colonisation à l’envers » en victimes consentantes. C’est d’autant plus idiot que c’est un match nécessairement « perdant/perdant ».

Alors, écoutons plutôt tous ensemble cette magnifique chanson de Yusuf Cat Stevens How Can I Tell You That I Love You

Comment puis-je te dire que je t’aime ?





Médine au Bataclan : mais, au fait, qui a mené le combat et qui a, encore une fois, fermé les yeux ?

La nouvelle est donc tombée vendredi 21 septembre, à peine un petit mois avant la date du concert et après trois longs mois de lutte patiente et déterminée. Oui, trois mois pour que l’inimaginable n’ait pas lieu. La preuve que ce n’était pas si inimaginable que cela. Pour certains, pour beaucoup. Qui observaient, se disant peut-être : bon, s’il n’y a que la « fachosphère » qui bouge, ça passera. Et pendant trois mois, ça a failli passer. Car, il faut bien le reconnaître, si la « fachosphère » n’avait pas réagi, dénoncé, apporté les preuves des liens de Médine avec des associations islamistes, la chose serait passée.

Alors, oui, il y a eu la mobilisation des familles des victimes, et notamment de ce père déterminé, Patrick Jardin, et une plainte déposée. Il semble que ce soit cela qui ait poussé Médine – et tous ceux qui le soutenaient – à céder. Au bout de trois mois… reconnaissant, de ce fait, que cela était indécent.

Mais que penser de cette prise de conscience – mais en est-ce vraiment une ? – à retardement ? Quand les choses sont indécentes, cela saute aux yeux, pas besoin de démonstration en trois parties : un Indignez-vous devrait suffire. Ben non, face à l’islamisme indécent, il n’y a pas d’Indignez-vous qui tienne. On est dans la complaisance, l’accommodement, la soumission, le pourquoi pas ? Et l’on se trouve une foule de prétextes, le plus indécent ayant, sans doute, été celui de la liberté d’expression. Et il y avait encore des imbéciles pour lancer, samedi matin, des tweets dans ce sens.

Pourquoi donc a-t-il fallu tout ce temps ? Toujours pour la même raison : ceux qui font la pluie et le beau temps en France – les autorités, la majorité, etc. – étaient aux abonnés absents. Et le Président ? Lui qui est si prompt à exhorter, parfois à parler cash, on aurait aimé l’entendre ? Soit en version vulgaire : « Médine au Bataclan, c’est dingue ! » Soit en version Sylvain Fort : « Il y a des choses qui ne se font pas, à certains endroits. Le Bataclan est un lieu de mémoire. » Soit en mode Brigitte, qui aurait pu être émue par le cri de ce père de victime. Une première dame, ça sert à ça, non ?

Non, tous étaient occupés à regarder ailleurs. Président. Premier ministre. Gouvernement. Ministre de la Culture. Majorité. Et une bonne partie de l’opposition. Votre député ? Votre maire ? À droite, Marine Le Pen et Laurent Wauquiez avaient pris position dès le 10 juin. Mais Valérie Pécresse ? Alain Juppé ? Et combien d’autres à gauche, à LREM et dans la droite centriste ? Dans Le Figaro, Mathieu Bock-Côté pointait le doigt vers ces innombrables divisions de lâches :

Ils furent peu nombreux dans le paysage politique, médiatique et intellectuel à mener cette bataille, laissée pendant un temps à la mouvance identitaire, comme si on abandonnait aux marges radicales le monopole du combat frontal contre l’islamisme. Les élites politiques, elles, semblent absentes, comme s’il fallait réduire l’événement au statut de fait divers. Il y a pourtant des limites à faire semblant de ne rien voir. […] Il y a des choses qu’on ne devrait pas avoir à interdire pour qu’elles ne se fassent pas. C’est normalement la fonction de la décence.

On comprend donc qu’il n’y ait, au lendemain de cette victoire, aucun triomphalisme de la part de ceux qui se sont mobilisés pour que Médine ne chante pas au Bataclan. « Goût amer », disait justement Nicolas Dupont-Aignan, comme Mathieu Bock-Côté. Que le père d’une jeune fille assassinée au Bataclan ait dû courir les plateaux télé – du moins, ceux qui acceptaient de l’entendre – pour quémander un peu de respect pour la mémoire de son enfant et des dizaines de victimes de l’islamisme en dit long sur notre société et ceux qui nous gouvernent. Indécents.

Il ne faudra donc pas qu’ils s’étonnent, tous ces responsables qui ont fait mine de ne rien voir ou de regarder ailleurs, quand leurs électeurs, à leur tour, regarderont ailleurs.





Guerre d’Algérie : “On a rien fait de mal”, estime Éric Zemmour

DÉBAT – Emmanuel Macron a reconnu jeudi 13 septembre que la France était responsable dans la disparition de Maurice Audin. “Il n’a pas reconnu un fait historique, il reconnaît la responsabilité de la France, c’est pas la même chose, il n’y avait aucune responsabilité de la France” selon Éric Zemmour.





Pour Médine, rappeur islamiste franco-algérien, la guerre d’Algérie n’est pas terminée

Publié le 16 septembre 2018 – par Louise Langlois

En pleine polémique sur le geste du Président Macron concernant l’affaire Maurice Audin qui ne fait que réveiller les vicissitudes sur la guerre d’Algérie, il est important de rappeler les paroles du rappeur islamiste Médine sur cette sombre page de l’histoire.

Dans sa chanson « Alger Pleure », le rappeur Médine se fait le porte-parole du peuple algérien, notamment des immigrés franco-algériens qui vivent sur notre territoire français et pour qui la guerre d’Algérie n’est toujours pas terminée.

Pour Médine, comme pour de nombreux Franco-algériens, ces événements passés ne sont pas digérés, la rancœur et le ressentiment restent à jamais gravés dans un coin de leur mémoire. Tout le vocabulaire de Médine va dans le sens de la victimisation du peuple algérien avec une soif de vengeance qui s’exprime à travers ses textes de rap.

Plus dangereux encore, c’est le fantôme à la fois du FLN et du FIS algérien qui semble avoir traversé les rives de la Méditerranée pour resurgir en France dans la bouche de Médine avec toute cette logorrhée islamique pleine de haine et de paroles de représailles.

Car tout le drame des Algériens, et des musulmans en général, c’est qu’ils sont incapables de faire la paix et d’aller vers le pardon. Leur religion coranique leur enseigne la fierté, la vengeance et la domination. L’islam enferme les musulmans dans la rumination et la soif de revanche.

Alors que la France a su se réconcilier avec l’Allemagne après deux guerres mondiales sanglantes, dans l’unique objectif d’offrir un avenir de paix aux nouvelles générations européennes, les algériens sont incapables d’aller vers cet avenir paisible et de faire le deuil d’un passé révolu. Le rappeur Médine nous le rappelle dans chacune de ses chansons en exhortant son auditoire à prendre les armes contre le peuple français plutôt que de faire le choix de la paix.

Vidéo de Médine : « Alger Pleure »