Tours (37) : trois demandeurs d’asile, deux Albanais et un Mongol, condamnés après une agression homophobe

Trois hommes ont été condamnés en comparution immédiate vendredi à des peines allant de 3 à 10 mois de prison ferme, après l’agression d’un mineur à Tours, en Indre-et-Loire. Les trois prévenus, deux Albanais et un Mongol, étaient poursuivis pour agression et violences à caractère homophobe perpétrées mercredi dans le jardin de la préfecture de la ville. Le caractère homophobe n’a été retenu que pour l’un des prévenus, souligne France Bleu. Un homme d’origine congolaise, venue au secours du mineur, a lui aussi été agressé…

Dans un premier temps, l’un des trois agresseurs – tous demandeurs d’asile et vivant dans le même foyer – s’en est pris verbalement au jeune homme estimant qu’il avait une allure efféminée. «Toi, t’as l’air d’une fille», a lancé l’homme de 23 ans, avant de frapper le jeune homme. «C’était une plaisanterie. J’étais totalement ivre», a tenté de se défendre l’agresseur face au tribunal.

Un Congolais d’une trentaine d’années s’interpose alors pour défendre le jeune homme, avant qu’une rixe n’éclate. «Vas-y, tue-le, tue-le !», dit l’un des deux Albanais à son cousin. Un ressortissant mongol se mêle alors à la bagarre « sans savoir de quoi il s’agit», explique la police. […] Le défenseur du mineur est à son tour frappé et reçoit des coups de poing ainsi que des coups de bâton et de tournevis. […]

Les deux Albanais ont été condamnés à sept et dix mois de prison, le Mongol à trois.

news.yahoo




Médine au Bataclan : peuple français, tu ne peux pas laisser faire cela…

Lettre ouverte au peuple français concernant le devoir de mémoire du 13 novembre 2015

Le 13 novembre 2015, une atroce tuerie s’est déroulée au Bataclan, salle de spectacles située au 50, boulevard Voltaire à Paris. Ce soir-là, la barbarie islamiste a frappé, fait couler le sang de tant d’innocents et a coûté la vie à 90 spectateurs assassinés dans des conditions épouvantables.

Les 19 et 20 octobre prochains, moins de 3 ans plus tard, le chanteur de rap Médine Zaouiche se produira au Bataclan, présence choquante et inacceptable pour de très nombreux Français.

Comment tolérer la venue d’un vociférateur de paroles anti-françaises, cultuelles et claniques dans un lieu où l’« horreur absolue » – pour reprendre les propos d’Arnaud Lagardère, propriétaire du Bataclan depuis le 11 septembre 2015 – laisse à jamais son empreinte ?

Comment admettre un individu ayant chanté « Crucifions les laïcards comme à Golgotha », véritable sacrilège pour les victimes et immense déshonneur pour la France ?

Comment considérer que cette programmation n’est pas une insulte intolérable et odieuse à la mémoire des 130 victimes de la soirée du 13 novembre 2015 en plein Paris ?

Cet individu se proclame le chantre de la lutte anti-extrême droite, avec la complaisance du pouvoir en place.

Il ne peut y avoir de considérations politiques dans un crime de masse comme celui du 13 novembre 2015 et en particulier au Bataclan puisque les victimes furent prises au piège d’une atrocité et d’une sauvagerie sans nom, d’autant plus que les forces d’intervention ce soir-là ont tardé à intervenir et ont fait preuve de dysfonctionnements anormaux, édifiants et condamnables.

Il ne peut en aucun cas, donc, s’agir d’une récupération politique, non, cela est exclu. Il ne peut s’agir, non plus, d’une instrumentalisation de la douleur des familles des victimes et de la souffrance des rescapés, traumatisés à vie par cette tuerie.

Oui, les crimes perpétrés à Paris et au stade de France le 13 novembre 2015 sont des crimes contre l’humanité. Aussi l’État Français doit-il enfin prendre la mesure de cette réalité et classer ces crimes dans le devoir de mémoire de la Nation.

Pour ce faire, il faut mettre un terme au déni de guerre et nommer l’adversaire qui n’est pas le terrorisme mais l’islam conquérant et radical.

Comment encore tolérer la venue d’un artiste sous le couvert fallacieux d’une liberté d’expression à deux vitesses, réservée désormais aux propagateurs de haine islamisés, tel Médine Zaouiche, proche des indigènes de la République, qui n’hésite pas à traiter racialement et haineusement les Blancs ainsi « Je hais les Blancs depuis Rodney King », « Ces porcs blancs vont loin/Passe-moi une arme de poing » et les Françaises de « crasseuses de souche », tandis qu’on opprime la liberté d’expression de tous les Français qui veulent faire respecter nos principes fondateurs et ancestraux ?

La question n’est pas, pour le Bataclan, d’enliser le devoir de mémoire sous la provocation de l’affaire Médine : non, il convient que le Bataclan ne soit plus exploité en tant que salle de spectacles et devienne à jamais un Mémorial !

Aujourd’hui, le Bataclan est devenu un « Golgotha », un Oradour-sur-Glane du 21e siècle. Nous ne pouvons pas nous contenter d’une plaque boulevard Voltaire devant le Bataclan. Nous laisser prendre au piège trompeur du « show must go on » est inacceptable.

Le Bataclan doit devenir un lieu sacré de mémoire et de recueillement ! Face à la mémoire des victimes, le maintien de spectacles ne peut subsister !

Dans ce lieu, la France a enduré le pire massacre depuis la dernière guerre : l’État français, à ce jour, ne semble pas avoir cherché à faire reconnaître le 13 novembre 2015 comme un jour international de deuil, alors que le 11 mars est la journée internationale des victimes du terrorisme, en mémoire de l’attentat de Madrid du 11 mars 2004.

Pourtant, l’assaut du Bataclan par les forces de l’ordre a constitué une véritable zone de guerre telle que nos soldats en affrontent la dure réalité en OPEX.

Respecter nos morts, c’est donc se donner les moyens de répondre militairement à cette guerre que nos politiciens ont de plus en plus de mal à étouffer, empêtrés dans leur clientélisme avec des puissances étrangères, fossoyeuses de notre Nation !

Le Qatar n’est-il pas l’actionnaire privilégié du groupe Lagardère ? Et ce n’est pas une fake news !

Aujourd’hui, le silence s’impose, ainsi que le respect des morts !!

Nous exigeons donc un mémorial du 13 novembre 2015 au Bataclan, en hommage à toutes les victimes de cette journée effroyable.

Nous en voulons aussi un à Nice ! Et aussi des monuments aux Morts partout où des Français ont été arrachés effroyablement à la vie, victimes civiles d’une guerre implacable !

Nos morts ne peuvent finir à la rubrique des faits divers !

Les lieux où ils sont fauchés ont une mémoire ! Elle doit être marquée !

Le Bataclan résonne encore des cris de souffrance et de terreur du peuple français ! Ne les étouffons pas sous les paroles d’un représentant qui se rit de nos douleurs. Il ne s’agit pas de Médine Zaouiche, simple maillon, mais de l’État qui doit faire son devoir en censurant tout spectacle au Bataclan.

Affichez partout ce tract sur les panneaux d’affichage publics, dans le pays tout entier :

L’heure n’est plus à l’impuissance, l’heure est à l’action. Rendez-vous, pour celles et ceux qui le peuvent, au Bataclan les 19 et 20 octobre à 19 heures (réservation trajet bus depuis la province au mail suivant memorial.bataclan@gmail.com)

La Vox Populi doit être enfin entendue et respectée.

La France vivra et restera fidèle à ses principes. Nos Morts seront honorés.

Aussi, pour ce mémorial du Bataclan, je propose l’inscription suivante :

À la mémoire des 130 victimes de la soirée du 13 novembre 2015.

Nous qui songions, la veille encore, à la vie, au bonheur, à nos parents, à nos proches, unis dans la mort, nous sommes partis tragiquement, victimes de la barbarie islamiste.

Ami, passant, en ce lieu sacré, souviens-toi toujours de la tuerie du Bataclan et respecte la mémoire de tous ceux qui sont morts ici, dans Paris et au stade de France, le 13 novembre 2015.

Oui, n’oublie jamais cela !

Que cette tragédie reste toujours présente et vivante afin qu’elle ne se reproduise plus et que la France continue à incarner la liberté et la justice, sans laisser la vérité sous séquestre !

Le 1er septembre 2018

Christian Piquemal
Président du Cercle de Citoyens Patriotes
Membre du Conseil National de la Résistance Européenne




Corse : un professionnel de santé menacé avec une arme pour avoir demandé à une femme d’enlever son voile islamique

Un professionnel de santé en Haute-Corse a été menacé mercredi par un homme armé qui s’est présenté comme le mari d’une femme voilée à laquelle le soignant avait demandé de retirer sa burqa, selon des sources concordantes.

Une enquête pour violence volontaire avec arme a été ouverte et confiée à la brigade de gendarmerie de Penta di Casinca (Haute-Corse), a indiqué la procureure de la République de Bastia, Caroline Tharot.

Le 5 septembre, le mari en question serait venu dans le cabinet de ce professionnel de santé et l’aurait menacé avec une arme de poing », a-t-elle ajouté, précisant que les enquêteurs cherchaient à déterminer si la femme voilée souhaitait être examinée ou si elle accompagnait juste son enfant.

Le praticien « a déposé plainte le 5 septembre » et a « parlé d’un voile qui pourrait ressembler à une burqa (un voile intégra) », a ajouté la magistrate.

Le Figaro