Conformément au code de bonnes pratiques de la statistique européenne, la Direction générale des étrangers en France (DGEF) du ministère de l’intérieur a mis en place un calendrier de publication des statistiques annuelles entrant dans le champ de la migration et de la protection internationale.
Ainsi, dans le respect des règles de la statistique publique, sont diffusées le 16 janvier 2018 une première estimation de l’admission au séjour ainsi que les données provisoires relatives à la délivrance des visas aux étrangers, aux éloignements des étrangers en situation irrégulière, à la demande d’asile et à l’acquisition de la nationalité française.
I. Les visas et les titres de séjour
Après le repli de 2016, le nombre de visas délivrés repart à la hausse en 2017 (+ 11 %), avec un total de 3 420 395 visas délivrés. Les visas de court séjour Schengen augmentent de 11,5 %, sous l’effet de la nette progression des visas touristiques, notamment pour les ressortissants chinois, indiens et russes. La Chine reste le premier pays d’origine des titulaires de visas, avec 849 550 visas délivrés en 2017 (+ 18,7 % par rapport à 2016).
La primo-délivrance des titres de séjour progresse de 13,7 % en 2017, avec un total de 262 000 titres de séjour délivrés, sur la base d’une première estimation. Cette évolution traduit en premier lieu l’augmentation des premiers titres de réfugiés et de bénéficiaires de la protection subsidiaire : 35 825, en forte hausse (+56,5 %).
Toujours sur la base d’une première estimation, l’immigration professionnelle augmente de 20,5 % ; elle représente 11 % de l’ensemble.
La loi du 7 mars 2016 a créé une nouvelle catégorie de titre, le « Passeports talent ». Dans ce cadre, 27 656 titres de séjour ont été délivrés depuis le 1er novembre 2016 (8 746 premiers titres et 18 910 titres en renouvellement).
En 2017, 88 095 premiers titres de séjour ont été délivrés à des étudiants, après 73 600 en 2016, ce qui représente le plus haut niveau jamais atteint.
L’immigration familiale, qui représente la plus grande part du flux migratoire, est en légère hausse (+ 2,2 %).
Par ailleurs, après l’entrée en vigueur de la loi du 7 mars 2016, 304 000 cartes de séjour pluriannuelles avaient déjà été délivrées au 31 décembre 2017.
II. L’éloignement des étrangers en situation irrégulière
En 2017, les éloignements forcés d’étrangers en situation irrégulière sont en hausse de 14,6 %, à 14 859 après 12 961 en 2016. Par ailleurs, dans le contexte du rétablissement des contrôles aux frontières intérieures, les non admissions d’étrangers en situation irrégulière prononcées à nos frontières augmentent fortement (85 408 en 2017 après 63 732 en 2016, +34 %).
Les retours forcés de ressortissants de pays tiers vers les pays tiers s’établissent à 6 596 en 2017, après 6 166 en 2016, ce qui constitue leur plus haut niveau depuis 2010. Ce sont ces retours forcés qui sont les plus représentatifs de l’action des forces de l’ordre et des services des préfectures dans la lutte contre l’immigration irrégulière. Enfin, les retours aidés progressent de 32 %.
III. L’asile
En 2017, 100 412 demandes d’asile y compris mineurs accompagnants ont été introduites à l’OFPRA, soit 17 % de plus qu’en 2016.
Le nombre de demandes d’asile enregistrées au niveau des guichets uniques atteint 121 200 y compris mineurs accompagnants.
La procédure Dublin représente 36 % de la totalité de ces demandes d’asile. La proportion de personnes relevant de la procédure Dublin a fortement augmenté par rapport à 2016.
En 2017, le premier pays de provenance des primo-demandeurs d’asile à l’OFPRA, y compris mineurs accompagnants, est l’Albanie, suivie de l’Afghanistan, de la Syrie, d’Haïti et du Soudan.
Le nombre de personnes s’étant vu octroyer en France une protection est de 32 011 en 2017 après 26 499 en 2016 (+ 21 %). Le taux d’admission au statut en première instance par l’OFPRA passe de 28,4 % à 26,8 %. Le taux d’admission final au statut, après prise en compte des décisions de la CNDA, passe de 37,7 % en 2016 à 35,8 % en 2017.
IV. L’acquisition de la nationalité française
En 2017, le nombre des acquisitions de la nationalité française par décret et par déclarations (mariage, ascendants de français, frères et sœurs de français) a connu une baisse de 5,7 %.
Cette évolution traduit une diminution des acquisitions par décret qui passent de 68 067 en 2016 à 65 654 en 2017 (soit -3,5 %).
Le nombre d’acquisitions par déclarations diminue de 13% (18 020 en 2017 contre 20 708 en 2016).
Publié le 15 janvier 2018 – par Marc Noé (dans Riposte Laïque)
La guerre a toujours fait partie de la nature humaine et ce n’est pas près de changer. N’en déplaise aux doux rêveurs adeptes du « Peace and Love », slogan qui peut séduire les plus crédules et les plus faibles, mais qui ne tient pas une seconde devant les dures réalités de la vie. Ainsi, mettez un agneau dans un champ et introduisez-y un loup affamé et vous constaterez d’emblée que, il y a maintenant quelques siècles, LA FONTAINE ne s’était pas trompé : « La raison du plus fort est toujours la meilleure. »
LA GUERRE, POINT FORT DE LA SÉDENTARISATION
Et il en va ainsi depuis que le monde est monde. Déjà, dans la Préhistoire, les conflits étaient fréquents entre tribus qui se disputaient des points de cueillette, des zones de chasse, des zones d’habitat ou d’alimentation en eau.
Avec l’introduction de l’agriculture, lors de la révolution du Néolithique, les choses n’allaient pas s’arranger : la sédentarisation consécutive à l’agriculture accentuait encore la notion d’espace vital, d’instinct de conservation et de protection des sols travaillés.
Et plus la population augmentait, plus celle-ci avait besoin d’un espace vital sans cesse plus grand qu’il fallait bien défendre contre les visées des communautés voisines qui n’étaient pas nécessairement amies. Cela ne fit encore que s’accentuer lorsque naquirent les domaines royaux et les rapports de féodalité pour ce qui touche l’Occident. Nous sommes ici bien loin « des imbécillités proférées par certaines bonnes âmes de gauche » qui voudraient faire croire que n’importe qui pouvait traverser n’importe quelle Terre et s’y installer selon son bon vouloir (Voir l’article du Gaulois : Identité Nationale – Nos Racines). C’est précisément le contraire qui se produisait. Et celui qui contrevenait à la règle du Territoire « inviolable » risquait fort d’y jouer jusqu’à sa propre vie.
LES CIVILISATIONS SE DÉVELOPPENT, VIVENT ET MEURENT
Puis, au fil des siècles, les différentes Races de la Terre produisirent de multiples civilisations avec leurs mœurs propres, leurs codes distincts, leurs religions respectives, leur génie particulier. Beaucoup d’entre elles périrent et disparurent… D’autres survécurent mais au prix de luttes acharnées. Toujours la raison du plus fort.
De nos jours, on peut estimer que les civilisations qui perdurent sont : la Blanche, la Noire, l’Asiatique, et une quatrième l’Orientale et Moyen-Orientale. Cette dernière étant plus basée sur une « religion » que sur une quelconque appartenance raciale ou ethnique : l’islam pour l’essentiel.
Jusqu’à il y a peu, chacune de ces civilisations disposait globalement de son propre continent. Ce qui n’évitait nullement les guerres de temps à autre mais générait principalement beaucoup d’échanges et de commerce. Les Peuples n’ont jamais attendu « Bruxelles » et la « mondialisation » pour se rencontrer et échanger. Il serait grand temps que « politiques » et médias cessent de raconter de pareilles stupidités.
De toutes ces civilisations, et que cela plaise ou non, c’est surtout l’Homme Blanc qui, par curiosité et esprit d’aventure vraisemblablement, se sera montré le plus entreprenant, le plus conquérant, le plus explorateur, le plus inventif… Ce qui ne veut pas dire que celui-ci se soit toujours tenu de manière irréprochable… et là, je pense notamment aux Conquistadors Espagnols en Amérique du Sud, aux colons blancs d’Amérique du Nord, aux Britanniques face aux Aborigènes d’Australie, aux esclavagistes de toutes Races et nationalités … la liste n’étant pas exhaustive. Dans tous ces domaines, bien peu de Peuples peuvent aujourd’hui prétendre avoir toujours été… « Blancs comme neige ». Ces propos n’ont donc rien à voir avec un quelconque racisme : ils ne sont que l’expression d’un simple constat. Et il faudrait avoir un « cerveau » bien malade pour y voir autre chose ! Quoi qu’il en soit, et tant pis pour les atrophiés du bulbe, les choses sont ainsi.
L’HISTOIRE REVUE ET CORRIGÉE AU DÉTRIMENT DU BLANC
Or, depuis un certain temps, la culpabilisation de l’Homme Blanc touche à des extrémités telles que celui-ci croule désormais sous une avalanche de reproches et de demandes de repentance. Quelques exemples parmi d’autres :
Les Blancs auraient empêché les Noirs d’Afrique de se développer à cause de la colonisation. Il faut être parfaitement ignare pour proférer ce genre d’insanités. Les premières colonies blanches remontent en effet aux années 1860- 1870. Avant, à certains endroits sur les côtes africaines, il n’existait que quelques comptoirs commerciaux tenus par des civils Blancs et datant principalement du XVIIème siècle. Ces comptoirs n’étaient nullement des colonies mais des points de commerce et d’échanges – des magasins – avec les tribus locales et des points de ravitaillement pour les navires cinglant vers les Indes (Bois, eaux nourriture…). Ici, nulle intervention des Blancs sur le développement des Tribus Noires qui vivaient parfaitement selon leurs coutumes, leurs Traditions et leur religion. Rien ne venait entraver un éventuel développement.
Et pendant que les Blancs s’étaient développés depuis des siècles en Occident de la manière que l’on connait, personne n’avait alors empêché les Peuples Noirs de faire de même chez eux, y compris dans des directions différentes. Mais aujourd’hui, les idéologues ont la prétention d’affirmer le contraire.
Même chose pour l’île de la Réunion que beaucoup considèrent comme étant une « Terre Noire » que les « méchants Blancs » se seraient sauvagement approprié sur le dos des « gentils Noirs ». Or, c’est en 1638 que le navire Saint-Alexis accoste l’île et que son capitaine en prend possession au nom du roi de France, Louis XIII. À cette époque, l’île est totalement inhabitée. On est loin des contes à dormir debout véhiculés par les « antiracistes-anti-Blancs ». De 1646 à 1649, l’île, concédée par Richelieu à la première Compagnie de Indes Orientales, accueille ses premiers habitants : une douzaine de mutins exilés de Madagascar. Et c’est en 1649, que le capitaine Lebourg est envoyé par le commandant de Fort-Dauphin, Etienne de Flacourt, pour prendre à nouveau possession de l’île (au lieu-dit la Possession) et la baptiser « Île Bourbon ».
Et nous pourrions multiplier ainsi les exemples tendant à présenter l’Homme Blanc comme un sempiternel prédateur… même si certaines « choses » ne jouent pas nécessairement en sa faveur, il ne faut tout de même pas exagérer.
Car quelles Races, quels Peuples actuels peuvent s’enorgueillir d’une Histoire sans taches !… D’autant que beaucoup de pseudo historiens actuels jugent les faits historiques au travers du prisme déformant des valeurs – ou fausses valeurs – d’aujourd’hui qui n’avaient pas cours aux époques considérées.
LA SITUATION ACTUELLE
Aujourd’hui, et là aussi que cela plaise ou non, la plupart des sciences et des technologies sont d’origine « Blanche ». Ça aussi, ce n’est pas non plus de l’idéologie mais un simple constat. Ces sciences et ces technologies sont désormais répandues sur l’ensemble de la Terre et tous les Peuples ont la possibilité d’en profiter ou de se les assimiler.
Il n’est que de considérer les ONG qui sont quasiment toutes dirigées par des Blancs et qui viennent en aide aux Peuples moins « chanceux » pour se débrouiller seuls en cas de catastrophes. Ici, les exemples ne manquent pas et point n’est besoin de les citer. Et malgré cela, ce sont encore et toujours les Blancs qui sont taxés de racisme et de méchanceté !!! Cela commence à devenir lassant…
Aujourd’hui, les faux « migrants » débarquent en France et en Europe sans autorisation. D’emblée, ils sont pris en charge, logés et nourris… mais c’est encore et toujours l’Homme Blanc qui est mauvais.
En France comme en Europe, on constate une recrudescence des actes anti-Juifs, mais « ON » se garde bien de dire quels sont ceux qui les perpétuent conformément à ce que leur commande l’islam. Alors, on culpabilise l’ensemble de la population encore majoritairement blanche pour ne pas discriminer. Là, l’amalgame est autorisé !
« ON » nous livre en pâture des tas de gens accusés de pédophilie en oubliant de préciser que les mahométans ont le droit d’épouser et de coucher avec des mineures de moins de 10 ans. En cela, leur prophète en est un exemple typique.
« On » nous a parlé également de viols collectifs par des « migrants », notamment en Allemagne, au moment des Fêtes de Fin d’Année. Mais là aussi, les faits ont été minorés. Certains mouvements gauchistes et féministes – un comble ! – prenant fait et cause pour les violeurs, parlant de leur misère sexuelle et prétextant que cela faisait partie de leur culture ! Alors pourquoi tous ces clandestins se gêneraient-ils ?…
Si le viol fait partie de la culture de ces « migrants-envahisseurs », il serait plus que temps que l’Homme Blanc leur montre comment il sait régler le problème… toujours en fonction de sa propre culture, naturellement !
Il n’est jusqu’aux derniers évènements touchant au harcèlement sexuel qui viennent mettre en cause le comportement de l’Homme, dès l’instant qu’il est blanc. Et c’est vrai que nous assistons en ce moment à un déferlement de calomnies, de procès d’intention, principalement de la part de féministes abruties d’idéologie. Certaines d’entre elles allant jusqu’à prétendre que la galanterie masculine constitue une forme de harcèlement. Pauvres imbéciles ! Pour ce genre de harpies, l’Homme – Blanc surtout – devient ainsi l’ennemi, le prédateur présumé, le violeur en puissance…
UNE OFFENSIVE CONTRE L’HOMME BLANC
En fait, bien naïf serait celui qui ne voit pas en tout cela une large offensive contre les Hommes Blancs coupables simplement d’être Blancs et de se comporter encore comme des Hommes.
Ici, le propos peut-être illustré par les propos d’Anne LAUVERGEON, ex-présidente d’Areva et grande copine de Nicolas SARKOZY.
Il faut savoir que ces propos ont donné lieu à un procès intenté par l’Agrif (Alliance Générale contre le Racisme et pour le respect de l’Identité Française et chrétienne) de Bernard ANTONY qui se trouva déboutée de ses « poursuites pour discrimination » contre Anne LAUVERGEON. Encore un comble : d’après le juge, l’Homme Blanc peut donc être discriminé et bafoué ! Pour ces gens-là, le mieux serait d’ailleurs qu’il disparaisse.
Aujourd’hui, faire preuve d’anti-racisme est un comportement médiatiquement formaté et un point de passage obligé dans toute discussion. Tout le monde connait le « Je ne suis pas raciste, mais… ». Mais le racisme ant-Blanc est désormais devenu le racisme le plus répandu.
►Et pourtant, a-t-on déjà vu « SOS-Racisme », le « MRAP » ou la « LICRA » prendre la défense d’un Blanc persécuté ?… JAMAIS !
ALORS, HOMME BLANC, RÉVEILLE-TOI !
Reproduction autorisée avec la mention suivante :
Marc NOÉ pour FPI-Le Gaulois
http://francepresseinfos.blogspot.fr/
Ancien Maire-Conseiller Général de Seine-et-Marne
International d’Athlétisme
Sur le même sujet voir aussi l’article du Gaulois :
Le moins qu’on puisse dire, sans m’attribuer le mérite, bien sûr, est que le message paraît passé, parce que l’année 2018 commence fort, quant à la défense de la liberté d’expression.
Ce sont d’abord ces cent femmes qui, derrière Catherine Deneuve, Catherine Millet, Brigitte Lahaie et Elisabeth Levy, ont lancé un formidable appel, intitulé « Défendons une liberté d’importuner indispensable à la liberté sexuelle ».
Un véritable pavé dans la mare, qui tord le coup à 40 ans de propagande féministe, uniquement tournés contre les mâles blancs européens hétérosexuels, de la part de mouvements dirigés par des gauchistes, par ailleurs souvent lesbiennes. Un cri de femmes libres, qui refusent la dictature du Parti unique des femmes, comme l’a si bien dit Elisabeth Levy.
Naturellement, le lynchage politico-médiatique a commencé, et des jours durant, les initiatrices ont été bassement calomniées, mais elles ont parfaitement répondu, et su exprimer un sentiment largement répandu dans les société française : les féministes hystériques haineuses coincées du slip commencent sérieusement à faire chier la France entière !
A peine la polémique commençait-elle à s’éteindre que le formidable Donald Trump se retrouvait au cœur d’un nouveau scandale. Il « aurait dit » devant des sénateurs américains (dont un seul confirme l’information, un démocrate, par ailleurs) qu’il ne voyait pas pourquoi les Etats-Unis devraient accueillir des ressortissants de « pays de merde ». Ce n’est pas une déclaration publique, ce serait un échange privé. Et cela suffit pour enflammer le monde entier, et faire la « une » de tous les journaux télévisés. Au lieu, comme le fit Marcus Graven, de s’interroger sur ce que pouvait être un « pays de merde » (ce qu’est en train de devenir la France), c’est qui insultera au mieux le président des Etats-Unis.
Et l’ineffable Jack Lang, voulant venger les opprimés du monde entier, s’est laissé aller à qualifier Donald Trump de « président de merde ». Cela a dû empêcher de dormir l’hôte de la Maison Blanche, et a valu à « Djack » une volée de bois vert de la part de notre ami Arsène Rouletabille, qui a effectué quelques rappels utiles sur la carrière de Lang.
Puisque, comme je le souhaitais, la parole se libère sur un ensemble de sujets tabous, je vais donc, à mon tour, revendiquer un droit, comme ces femmes qui demandaient celui d’être importuné. Moi, au contraire, je revendique le droit de ne pas être importuné par l’islam, dans mon pays la France.
Je revendique le droit de ne pas être importuné d’abord par le nombre. Dix millions de musulmans présents sur le territoire français, c’est une agression qui menace tout simplement l’équilibre démographique de la France. Comme le disait Michel Onfray, si les choses continuent ainsi, dans 50 ans, les musulmans seront majoritaires en France, et les lois de l’islam auront remplacé la loi des hommes, en Europe.
Je revendique le droit de ne pas être importuné par la visibilité : les voiles, les kamis, les djellabas, les boucherie halal, les mosquées, les prières illégales, bientôt les muezzin, et tout signe qui marque la progression de la conquête islamique en France.
Je revendique le droit de ne pas être importuné par la peur que fait subir cette religion qui n’en est pas une, comme le démontre régulièrement notre ami René Marchand.
Dans une enquête réalisée en Basse-Saxe, huit pour cent des étudiants musulmans soutiennent la propagation violente de l’État islamique. Certains montrent même de la sympathie pour les attentats terroristes. Cette surprenante conclusion controversée apparaît dans le chapitre 4, sous-section 1. « L’extrémisme et l’islamisme fondamentaliste » est le sous-titre de ce paragraphe et comprend seulement quelques pages. Il fait partie de l’étude remise la semaine dernière sur les causes de la criminalité des migrants, menée par le scientifique criminel Christian Pfeiffer.
Pfeiffer, qui a effectué des recherches pour le compte du ministère fédéral des Affaires familiales, examine principalement dans son étude, le lien entre la violence et l’immigration. Les auteurs rapportent, entre autres, les résultats d’un sondage réalisé en 2015 auprès des étudiants, qui n’avait pas encore été rendu publique. Ils indiquent une proportion considérable d’élèves musulmans qui approuve la violence et la terreur islamiques.
Depuis 1998, l’Institut de recherche criminologique de Basse-Saxe (KFN) sonde régulièrement les étudiants de Basse-Saxe au sujet de la criminalité – en 2015, des données sur les attitudes islamistes ont également été collectées et ce, pour la première fois. 10.638 adolescents de neuvième année ont été interrogés, dont 500 ont déclaré être de confession musulmane. Tous les musulmans n’ont pas commenté l’ensemble des déclarations qui leur ont été présentées – environ 280 d’entre eux y ont répondu. Les auteurs soulignent que le groupe est relativement restreint, mais ils considèrent tout de même que les résultats sont dignes d’intérêt.
L’analyse a montré qu’une personne sur trois (29,9%) parmi les élèves musulmans qui ont fourni des réponses, peut « très bien imaginer devoir se battre et risquer sa vie pour l’islam« . L’affirmation selon laquelle « les lois islamiques de la charia, pour lesquelles, par exemple, l’adultère ou l’homosexualité doivent être sévèrement punis, sont bien meilleures que les lois allemandes » a trouvé un écho favorable chez 27,4% des sondés.
Il est frappant que même l’État islamique (EI) et les attentats terroristes soient perçus positivement par certains d’entre eux. Par exemple, 8,0% des jeunes musulmans qui ont répondu croient qu’il est juste que leurs frères croyants du Moyen-Orient essaient de fonder un État islamique par la guerre; 3,8 pour cent ont même répondu positivement à la phrase suivante: « Les musulmans sont autorisés à atteindre leurs objectifs, au besoin par des attaques terroristes. »
Près d’un cinquième des élèves était d’accord avec la déclaration: «Les musulmans sont opprimés dans le monde entier; ils doivent donc se défendre par la force»(19,8%). Presque autant tiennent pour exacte l’expression: « Il est du devoir de chaque musulman de combattre les incroyants et de répandre l’islam dans le monde » (18,6%). Un peu moins d’un cinquième a également trouvé que «les ennemis de l’Islam» doivent être attaqué avec la plus grande sévérité (17,7%). Le niveau d’approbation est légèrement plus élevée chez les élèves masculins que chez les femmes – mais les différences ne sont pas significatives.
Nicolas Bay à Elsa Freyssenet (Grand reporter aux Echos) : «Les chiffres officiels du gouvernement montrent que ceux qui viennent en France, viennent pour l’immense majorité d’entre eux pour des raisons économiques. Est-ce que vous savez par exemple que le premier pays “pourvoyeur” de demandeurs d’asile vers la France est l’Albanie ? Donc ils ne fuient pas la guerre, ils fuient des situations économiques difficiles. Le deuxième pays, vous savez lequel c’est ? C’est Haïti. Ils fuient pas la guerre, ils fuient des situations économiques. Et la Syrie arrive bien après !»
– LCI, 10 janvier 2018, 21h19
Plus de 200 migrants africains ont franchi, samedi, la double barrière frontalière qui sépare le Maroc de l’enclave espagnole de Melilla, ont indiqué les autorités espagnoles, précisant que plusieurs d’entre eux et un policier ont été blessés, d’après l’AFP.
Le nombre de migrants qui ont tenté d’entrer en Europe via l’Espagne a grimpé en 2017 : 22 900 sont arrivés dans le pays, selon les données de l’agence européenne Frontex. Soit plus du double qu’en 2016.
La laïcité est loin d’être une valeur acquise. Des mouvements islamistes ont entrepris un travail de propagande dans certains quartiers. Et les effets sont ressentis jusque dans les écoles.
LCI
03/01: (78) Trappes: fondamentalisme musulman+communautarisme: dérive (source)
03/01: (62) Prison pour un migrant Afghan qui avait forcé un barrage de CRS (source)
01/01: (94) Plusieurs Blacks tabassent une policière au sol et cassent tout (source)
Vidéo à regarder et à méditer !
– Les prières de rue par des musulmans
– La profanation de la tombe du soldat inconnu à l’Arc de Triomphe par des marocains
– L’hommage au Bataclan
Le 11 NOVEMBRE, 21 H 00, PLACE DE L’ÉTOILE : LE SOIR DE L’OUBLI
Le Maroc et la Tunisie se sont qualifiés ce samedi 11 novembre pour la Coupe du monde. Une scène de joie fraternelle qui s’est clôturée par une bataille rangée entre casseurs et CRS à quelques mètres de la tombe du soldat inconnu. Mais au-delà de la violence physique, une autre, bien plus symbolique, s’est emparée des Champs-Élysées dans l’indifférence générale.
Il est 20 h 45, lorsque je m’engage en voiture sur la place de l’Étoile. Klaxons frénétiques, tétris de voitures, piétons déambulant sur la route. Le désordre s’installe et me voilà à l’arrêt, piégé dans le souk de la diversité.
En moins d’une heure, ce sont plusieurs milliers de Maghrébins en transe qui saturent littéralement les Champs-Élysées. Fumigènes, feux d’artifice, drapeaux tunisiens et marocains : suis-je encore en France ?
Célébrer la qualification de son pays d’origine à un mondial de football est légitime, bloquer les Champs-Élysées pour exercer son droit au bonheur multiculturel est discutable, créer le chaos alors que se déroule au même endroit une cérémonie en hommage aux héros et victimes de la Première Guerre mondiale est tout simplement inadmissible.
Car à seulement quelques mètres de la chienlit, sous le majestueux drapeau français de l’Arc de Triomphe, une commémoration officielle est en cours. Le « Comité de la Flamme sous l’Arc de Triomphe – Flamme de la Nation » organisait une veillée traditionnelle au tombeau du Soldat inconnu. Autorités civiles et militaires, anciens combattants, saint-cyriens, scouts, je les discerne depuis le tumulte. Ils se tiennent droit, ils sont fiers, immobiles et alignés ; ils ont fait le déplacement pour honorer la mémoire de ceux qui se sont battus pour une France libre. Mais ce soir-là, piégés à l’épicentre d’une marée humaine en plein délire, ces hommes de valeur font davantage penser aux derniers instants d’une légion romaine avant le sac de Rome.
J’entends l’orateur évoquer avec gravité les bombardements allemands, les tranchées, le courage des poilus. Des « wallah » étouffent son discours.
Je discerne le roulement martial du tambour inviter au recueillement. Des pétards déglinguent son rythme.
Je déplore la sonnerie aux morts, profanée par les hurlements anarchiques.
Ce 11 novembre soir, sur les Champs-Élysées, le respect et la mémoire nationale ont volé en éclat sous les obus laxistes du vivre ensemble. Je voudrais rendre hommage et saluer la dignité imperturbable de ces hommes, de ces jeunes, qui commémoraient, sur la même place, un événement bien plus important que la qualification à un Mondial. Ce 11 novembre, sur les Champs-Élysées, deux sociétés se sont frôlées sans se toucher. Liberté, Égalité, Fraternité ?
UNE VRAIE HONTE POUR NOTRE PAYS !!! Et ces imbéciles de journalistes racontent que Paris était en liesse hier soir, Paris, la France ce n’est pas le Maroc …