Prisons françaises sous la coupe des islamistes et colère des matons


Le monde carcéral est en crise et ses salariés en colère.

Et on le comprend. Il est à l’image de notre pays mis à mal par des hordes de politiciens incapables et malhonnêtes, de hauts fonctionnaires incompétents et des tas de parasites gauchistes crétins qui se mêlent de tout : un pays en ruine.

Un système pénitentiaire totalement obsolète, insuffisant (euphémisme !), ridicule, archaïque, moyenâgeux et des règles carcérales qui défient l’entendement. La gauche est passée par là, avec ses préjugés imbéciles et décadents et son éternelle tolérance idiote.

On ne croirait pas que les taulards sont là pour purger une peine parce qu’ils ont commis des délits graves ou des crimes de sang, parfois après d’innombrables récidives et sans le moindre état d’âme !
De plus, inégalité de traitement qui s’oppose à la loi française.
Des prisons toutes différentes, des vieilles toutes pourries et inhabitables, des neuves toutes modernes et confortables.
Des situations inacceptables dans un pays qui se prétend civilisé ou avancé.

La prison ne doit pas être un lieu de mort, mais pas non plus un havre de paix, une sorte de Club Med pour criminels.

La prison est une punition, une sanction dite « pénale » qui repose sur une condamnation légitime de privation de liberté, à l’issue d’un procès légal, devant une cour de justice composée de juges professionnels appliquant le droit, lui-même créé et surveillé par les élus du peuple. Du moins tout cela en théorie.
En pratique, on sait que le droit est très fluctuant, aléatoire, opaque et souvent approximatif, car la justice est laxiste, soumise à l’exécutif et de plus en plus à des « consignes » gouvernementales qui n’ont rien à voir avec la loi et sont donc illégales. Le droit est une chose, mais la vraie justice équitable en est une autre, car l’homme n’est pas honnête.

Mais que peut-on faire, à part une révolution par la force des armes… ?

Que peut-on penser lorsqu’on voit la police tabasser à coups de matraques des gardiens de prison désespérés (tout comme les flics, d’ailleurs) en grève et en manifestation pour des raisons parfaitement légitimes que n’importe qui peut comprendre… Quel est l’Etat dégénéré et violent qui dresse ses fonctionnaires contre d’autres de ses fonctionnaires, au lieu de tenter le dialogue et d’améliorer les choses pour tous…

En vérité, c’est tout un pays qui part à la dérive.
On nous dit que c’est un problème de budget, d’argent, de dette… Mais il me semble que nos dirigeants n’ont pas vraiment de problèmes d’argent, ni personnels, ni dans leur mission qui leur permet de jongler avec beaucoup d’argent et de vivre dans le luxe de la République.

Nous payons toujours plus d’impôts et la contrepartie que nous en recevons à travers les services publics est de plus en plus mince. Une vraie peau de chagrin. On se demande vraiment où vont nos impôts.

L’argent de nos impôts et de nos charges sociales est dilapidé par nos dirigeants politiques. Les dépenses de l’état sont scandaleuses par rapport à la situation du pays affichée par l’état lui-même. Notamment une dette extérieure astronomique (+/- 2500 milliards d’euros).

La dette n’est qu’une farce. Une excuse à cracher à la face du peuple pour le culpabiliser, alors que c’est l’Etat, sur des décennies qui a creusé cette dette. De toute façon, personne ne remboursera cette dette, aujourd’hui, car les états trouvent toujours des moyens politiques ou mafieux pour ne pas le faire.

Parlons des subventions aux associations, par exemple. C’est un poste budgétaire énorme et qui échappe totalement à tout contrôle intelligent et démocratique.
Des centaines de milliers d’associations en France, pour la plus grande partie stériles et inutiles, perçoivent des subventions hallucinantes. Parmi elles, notamment, des associations à vocation politique, amies des dirigeants, ou encore religieuse et cultuelle qui sont grassement subventionnées en totale contradiction avec la loi de 1905.

Sans l’argent public, ces associations n’existeraient pas.
Elémentairement, une association loi de 1901 devrait pouvoir répondre à un véritable besoin d’une population et fonctionner sur les cotisations de ses membres, ce qui est le cas de certaines et même pas mal, car les subventions ne sont pas accordées à toutes. Ce qui est tout à leur honneur.
Mais d’autres associations n’existent que pour pomper des subventions de l’état ou des collectivités locales par des artifices et des pressions politiques souvent invisibles.
Et tout cet argent n’est généralement pas perdu pour tout le monde et tombe dans les poches des dirigeants (on se souvient, par exemple, de « l’Association pour la Recherche contre le Cancer » (l’ARC) créée par Jacques Crozemarie, et dont 80% des énormes rentrées d’argent tombaient dans sa poche. Il fut condamné à la suite d’un procès pour abus de confiance.

J’ai toujours considéré qu’une entreprise, un commerce, tout comme une association ne peut exister légitimement que si elle est capable de s’autosuffire. Dans le cas contraire, elle doit disparaître.
C’est ce qui arrive aux commerces honnêtes. Mais pas aux grandes entreprises ou aux banques qui sont toujours renflouées par des fonds publics, en dépit de leur incapacité à l’autosuffisance et donc de leur inutilité. C’est inadmissible.

Toute cette digression pour souligner, entre autres, que nos dirigeants ne donnent pas à notre pays les orientations budgétaires prioritaires dont il a besoin.

Le problème de l’administration pénitentiaire rejoint celui des autres institutions et administrations françaises : armée, police, justice, éducation (enseignement), santé, etc.

Elles sont méprisées et vouées à disparaître, dans un grand élan de folie des états.
Le vrai rêve de nos dirigeants serait d’ouvrir et de supprimer toutes les prisons une fois pour toutes, car eux ne se sentent pas concernés par la criminalité, se sentant, à tort, protégés dans leurs tours d’ivoire par des armées de gardes du corps…

Aujourd’hui, l’Etat refuse d’entendre les Français et notamment ses fonctionnaires, refuse de bâtir les 100 000 places de prison indispensables, refuse d’écouter et de satisfaire les salariés de l’administration pénitentiaire et les renvoie à leurs trousseaux de clefs. L’Etat sera responsable de tout ce qui pourra en découler…

Le problème des prisons, outre la surpopulation carcérale, c’est aussi celui du mélange des détenus dangereux avec ceux qui ne présentent pas de danger criminel et qui se sentent aussi à chaque instant menacés par les autres. C’est aussi l’islamisation par la violence dans le milieu pénitentiaire et la radicalisation de certains musulmans et, pire encore, de certains convertis à l’esprit fragile et perturbé au sein des prisons qui sont, comme on le sait, souvent de pires intégristes que les musulmans d’origine eux-mêmes, par zèle, pour se faire bien voir et bien traiter, ou par stupidité. La vie dans une prison n’a rien à voir avec la vie en dehors d’une prison et les lois n’y ont plus cours. C’est la loi du plus fort et du plus violent.

A cela, il faut ajouter toutes sortes de trafics de téléphones, d’armes, de drogues, d’explosifs, etc.
Contre tout cela, les « matons » (les gardiens) n’ont à peu près rien d’autres à opposer pour faire leur travail que leurs mains nues, parfois des matraques, rarement des tasers et jamais des armes à feu, à part ceux qui sont dans les miradors, quand il s’y trouve quelqu’un.

Dans les prisons, en fait, les détenus sont souvent mieux armés que les gardiens.
Par ailleurs, ils n’ont pas le droit de faire leur travail rationnellement, pas de fouilles au corps, pas de fouille des cellules, pas de sanctions possibles, pas de mitard (cellule disciplinaire). Ils ne sont même pas préparés ni formés correctement pour faire ce travail. Ils n’ont pas de formation au combat corps à corps ou « close combat » et certains ne sont même pas dans une stature ni une forme physique suffisante, alors que c’est un métier qui nécessiterait parfois d’avoir une formation de commando.

Certes, ils reçoivent généralement une formation psychologique pour détecter et comprendre certains comportements, ainsi que pour aider les détenus qui le souhaitent à recevoir les bases de leur future réinsertion par les services concernés. En cela, le rôle des surveillants est aussi important.

Mais ils subissent toute la journée l’agressivité et les insultes de certains de ces criminels et de ces détraqués religieux, se font cracher à la face, reçoivent des jets d’objets contondants, de liquides corporels, de nourriture, etc.

Accepteriez-vous de faire ce travail pour 1500 euros par mois en débutant, sachant que vous irez chaque jour travailler la peur au ventre, que vous ne dormirez plus et que vous finirez peut-être par vous suicider… ?

Non, nos braves matons ont droit à notre respect et à notre gratitude de faire ce boulot « de merde » et nous devons les soutenir et les encourager dans leur combat. Ce sont le plus souvent de braves types, de braves pères et mères de famille, qui risquent leur peau tous les jours sous le plus grand mépris de l’Etat, leur patron.

Pour ma part, en ce qui concerne les terroristes musulmans et les « radicalisés », je suis pour un « Guantanamo » français dans une île paumée, gardée par des chiens, des robots et des « Rambos » à la gâchette facile…

Le laxisme d’état français de ces 40 dernière années a conduit à la situation où les racailles et les musulmans n’ont pas peur d’aller en prison ni de mourir et ont fait des prisons françaises leurs centres de formation et de communication et de hauts lieux de l’islamisation de notre pays.

Ils ont des armes, des téléphones et tout ce que peut espérer avoir un grand criminel. Ils sont logés, chauffés, bien nourris, blanchis, divertis et ils ont plein d’avantages (frigo et télévision dans la cellule, salles de sport…) dont doivent rêver de nombreux français pauvres, SDF ou petits retraités qui, eux, doivent se nourrir dans les poubelles…

Dans nos prisons, ils sont chez eux, ils font ce qu’ils veulent et ils ne risquent rien. En tout cas pas d’aller en prison…!
On comprend la colère de nos gardiens et ils devraient se fâcher encore plus fort. Qu’est-ce qu’ils risquent ? Qu’on leur fasse un trou au cul…?
Ce pays est tombé à un niveau qui nécessite soit un Poutine, soit une guerre civile qui fera des millions de morts. Sinon, de toute façon, le pays est mort !

« Les prisons françaises sous la coupe des islamistes » :

http://www.parismatch.com/Actu/Societe/Les-prisons-francaises-sous-la-coupe-des-islamistes-1441511

Tout va tellement mal en France, aujourd’hui que de nombreux français, jeunes ou moins jeunes et des retraités, partent loin de ce pays où ils sont nés parce qu’ils se rendent compte que leur pays ne les défend plus, mais fait tout pour construire leur échec et qu’ils n’ont donc plus aucune chance d’y réussir leur vie.

Chaque année, 200 000 jeunes adultes quittent la France pour une vie meilleure ailleurs. Parmi eux, 100 000 reviennent. Perte sèche pour la France qui voit ses cerveaux et ses compétences fuir à l’étranger. Comme quoi, la vie en France est loin d’être idéale…

Laurent Droit (Riposte Laïque)