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#webtube : Alcool, cannabis, cocaïne, médicaments détournés (ou consommés quotidiennement) : la Bretagne se noie dans une vague d’addictions qui frappe toutes les générations. Tandis que la demande de soins explose, les structures sont saturées, laissant des milliers de malades, de toxicomanes, de personnes en détresse psychiatrique ou psychologiques, sans solution. Derrière les statistiques notamment de l’OFDT (Observatoire français des drogues et des tendances addictives), des vies brisées, des familles abandonnées, et un système de santé au bord de la rupture.
Une région en première ligne
En Bretagne, une réalité glaçante s’impose : l’addiction est devenue une urgence sanitaire et sociale.
Selon l’Observatoire français des drogues et des tendances addictives (OFDT), la région dépasse régulièrement les moyennes nationales, notamment chez les jeunes. À 17 ans, seulement 8,7 % n’ont jamais bu d’alcool, contre 19,4 % en France. Plus inquiétant encore, près d’un garçon breton sur deux (47 %) admet au moins trois alcoolisations massives par mois, contre 28 % au niveau national.
Chez les adultes, 7,9 % consomment de l’alcool quotidiennement — un chiffre qui reste l’un des plus élevés de France. En 2023, les hôpitaux bretons ont recensé 14 425 passages aux urgences liés à l’alcool, soit près de 40 par jour. La mortalité n’est pas en reste : 11,3 % des décès liés à une maladie alcoolique du foie, contre 7,9 % au plan national. « On parle souvent de la Bretagne festive. Mais derrière, on enterre trop de jeunes chaque année à cause d’une biture de trop ou d’un accident de la route sous alcool. C’est devenu notre quotidien », nous confie un urgentiste à Brest.
Cannabis, cocaïne, médicaments : la polyconsommation gagne du terrain
L’alcool n’est que la face visible de l’iceberg. Le cannabis est désormais massivement expérimenté en Bretagne : 55,4 % des adultes déclarent en avoir déjà consommé (50,4 % nationalement), et 36,4 % des jeunes de 17 ans, soit 7 points au-dessus de la moyenne française.
Les drogues dites « festives » ne sont plus marginales. Cocaïne, MDMA, kétamine : la jeunesse bretonne est plus exposée que dans d’autres régions. Au niveau national, 1,1 million d’usagers de cocaïne et 750 000 d’ecstasy ont été recensés en 2023. La Bretagne suit cette tendance, dopée par l’essor de filières d’approvisionnement via les ports et festivals.
À cela s’ajoute le détournement massif de médicaments. Opioïdes, benzodiazépines, codéine : autant de substances accessibles qui installent une dépendance insidieuse. En France, 467 000 usagers problématiques de drogues ont été recensés en 2022.
La détresse est partout. La Bretagne compte 982 décès prématurés par an liés au tabac avant 65 ans. Les addictions traversent toutes les catégories sociales : ouvriers, étudiants, chômeurs, cadres. Mais elles frappent plus fort dans un contexte de chômage, de précarité et de solitude. « J’ai commencé à boire pour tenir pendant mes études. Puis j’ai ajouté le cannabis, et enfin la cocaïne en soirée. Aujourd’hui, à 26 ans, je ne sais plus comment m’en sortir. On m’a dit d’attendre deux mois pour un rendez-vous. Je n’ai pas deux mois », témoigne Clara, étudiante à Rennes.
La pandémie, les crises économiques et l’inflation ont aggravé les vulnérabilités. Dans les services de soins, certains parlent d’un « cocktail explosif » où désespoir et produits addictifs s’entretiennent mutuellement.
L’offre de soins : un mur infranchissable
Face à cette vague, les structures spécialisées sont débordées. La Bretagne dispose de 16 Consultations Jeunes Consommateurs (CJC), qui suivent un peu plus de 2 000 jeunes. Chaque CJC prend en charge en moyenne 131 adolescents ou jeunes adultes par an — un chiffre dérisoire au regard de la demande.
Les CSAPA (Centres de soins, d’accompagnement et de prévention en addictologie) sont en tension permanente. Dans les Côtes-d’Armor comme en Ille-et-Vilaine, les délais d’attente pour un premier rendez-vous dépassent souvent un mois et demi à deux mois. « Quand on dit à un patient en crise qu’il doit attendre huit semaines, on le condamne à replonger. Et parfois à mourir », témoigne, amer, un médecin addictologue de Saint-Brieuc.
Les hôpitaux de jour en addictologie sont saturés. Les SSR (soins de suite et réadaptation) incluent les addictions, mais les places sont limitées. Les files d’attente s’allongent, et beaucoup de patients abandonnent avant d’obtenir un suivi.
Les proches ne savent plus comment gérer. « Mon fils de 19 ans alterne entre alcool et cannabis. On a frappé à toutes les portes. On nous renvoie de service en service. On nous dit qu’il faut attendre. Mais lui, il ne peut pas attendre. Nous non plus », raconte Marie, mère à Quimper, les larmes aux yeux. Les équipes médicales, elles, s’épuisent. Entre manque de lits, de psychologues, et salaires insuffisants, beaucoup sont résignés, mais vivent cela particulièrement mal. « Nous sommes en sous-effectif chronique. Certains jours, on a plus d’appels que de places disponibles pendant des semaines. Nous devons choisir qui traiter en priorité. C’est une souffrance éthique terrible », explique Nathalie, infirmière dans le Morbihan.
Addictions et suicides : une alarme qui retentit même en été
Contrairement aux idées reçues, la douceur estivale n’apaise pas les détresses. Les tentatives de suicide liées aux addictions sont en hausse en Bretagne, y compris durant l’été. De plus en plus de patients arrivent aux urgences après avoir mêlé alcool et médicaments. « L’alcool est un puissant dépressif. Quand il s’associe aux anxiolytiques ou aux antidépresseurs, le risque suicidaire est multiplié. Et nous voyons de plus en plus de cas », alerte un psychiatre de Brest.
L’explosion des addictions n’est pas seulement un drame individuel. Elle menace la cohésion sociale : hausse des violences domestiques, conjugales, des comportements dangereux, accidents de la route, absentéisme au travail, déscolarisation des jeunes. La spirale addictive alimente aussi la petite délinquance et la violence de rue. Sans réaction, c’est toute une société qui risque l’implosion : familles brisées, services publics paralysés, système judiciaire engorgé.
Que faire ?
Les soignants réclament des mesures d’urgence :
- Plus de places dans les CSAPA et SSR addictologiques ;
- Un recrutement massif de psychologues, médecins et infirmiers spécialisés ;
- Une politique de prévention ambitieuse, notamment dans les lycées et universités ;
- Une lutte impitoyable contre les trafics, mais aussi une réflexion sur les causes sociales de la dépendance. « On ne vaincra pas l’addiction uniquement par la répression. Tant que la société offrira le vide et le désespoir, les jeunes iront chercher l’oubli dans les substances », conclut un addictologue du CH de Nantes.
La Bretagne, comme le reste de la France, est confrontée à une crise sanitaire majeure, mais les signaux y sont plus criants encore : plus d’alcool, plus de cannabis, plus de polyconsommations chez les jeunes. Or, les moyens restent dramatiquement insuffisants. Si rien n’est fait, le coût humain et social sera colossal. Addictions, suicides, violences : autant de symptômes d’une société en perte de repères. Derrière chaque chiffre, il y a une vie en suspens.
Il est temps de regarder l’addiction en face, de s’interroger sur ses causes profondes (l’effondrement sociétal en est une), et de prendre les mesures…pour éviter demain, un chaos psychologique et psychiatrique qui pourrait devenir incontrôlable.
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. La France endettée. Peut-on dire l’indicible ?
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#webtube : Décidément, la période que nous vivons semble propice aux remises en question de choses considérées comme acquises et, en quelques sortes, immuables. Depuis des décennies, on nous a fait croire que l’Europe ne pouvait qu’être « fédérale », à l’exclusion de toute autre forme. Pour accélérer le fédéralisme et le rendre irréversible, quoi de mieux que ligoter tous les pays dans le carcan d’une monnaie unique ? Quelques voix s’étaient élevées contre, mais elles furent ignorées, et la pensée unique étalée dans les médias « bien-pensants » a fait le reste.
Pourtant l’Euro, ou plutôt la BCE, n’étaient que le résultat d’un mécanisme de prise de contrôle de la finance élaboré depuis longtemps. L’origine de cette lente évolution de la monnaie, qui aurait dû rester un outil au service des peuples, en un moyen de mise en servitude de ces derniers remonte à plusieurs siècles et il est probable qu’il n’était pas dans l’intention de ses premiers acteurs de s’enrichir démesurément comme certains l’ont fait depuis.
Pour raccourcir l’histoire, le grand tournant pour le peuple français s’est produit en 1973, lorsque, contrairement à une pratique courante et très répandue à l’époque, l’État français s’est vu contraint de financer les déficits résultants de l’adoption de budgets non équilibrés en empruntant auprès des banques privées. L’énorme différence était que la Banque de France pouvait prêter sans intérêts alors que les banquiers privés (ils faut bien qu’ils vivent) le font moyennant le versement d’intérêts.
Comme le disait Napoléon Bonaparte, « la main qui donne est au-dessus de celle qui reçoit »
Bien sûr, les bonnes âmes moralisatrices nous rappellent à l’envi qu’une dette doit être remboursée et qu’il serait « malhonnête » de ne pas le faire. On nous le dit mais, concernant les dettes publiques, aucun dirigeant politique ne l’a jamais fait. Pourquoi ?
Le système caché
Venons en maintenant aux mécanismes qui permettent de créer de la dette pratiquement sans limite. C’est un système très simple dans son principe, mais qui a été complexifié volontairement pour décourager ceux qui voudraient s’y aventurer de trop près.
Tout le monde croit que, pour prêter de l’argent à quelqu’un, il faut posséder soi-même l’argent en question. Ainsi, la quantité de monnaie en circulation n’est pas altérée par les emprunts effectués. Les riches prêtent aux pauvres qui leur rendront ensuite grâce à l’argent qu’ils vont gagner. Cela vaut pour le commun des mortels, mais pas pour les banques, et encore moins pour les banques centrales.
Les banques ont le l’argent. Cela s’appelle des « fonds propres ». On les trouve sous forme d’actions qui représentent le capital de la banque et de réserves qui peuvent être de toute nature (immobilier, liquidités, etc) mais elles possèdent également l’argent des déposants, ceux qui ont un compte dans la banque. Ces comptes sont considérés comme des « fonds propres ».
Pourtant, l’argent que la banque prête ne provient que très faiblement de ces fonds propres. Dans la réalité, la banque prête de l’argent qu’elle n’a pas mais qu’elle crée pour la circonstance. Cela s’appelle le « système des réserves fractionnaires ».
Pour ce qui concerne les dettes publiques (celles créées par les États), il y a plusieurs cas. Aux États-Unis, la Réserve Fédérale, créée en 1913, bien qu’établissement privé propriété de banques privées, à le privilège exclusif de contrôler la monnaie américaine. Le Trésor américain émet des « bons du Trésor » qui sont envoyés à la Réserve Fédérale qui, en contrepartie, imprime des dollars qui généreront des intérêts payés par les contribuables américains. Les USA sont un cas un peu particulier en raison de la double nature du dollar, à la fois monnaie domestique et monnaie internationale.
La BCE (Banque Centrale Européenne) ne peut pas (en principe et de par les traités) financer les États de l’UE. Elle le fait néanmoins, mais indirectement, en rachetant les dettes des États aux banques qui émettent les emprunts et les mettant dans la colonne des actifs de son bilan. Une banque centrale ne pouvant pas faire faillite par définition, les banques privées sont donc assurées de leur survie. Ce qu’il faut retenir de tout cela est que chaque billet de banque centrale représente une dette et que si, par aventure, on remboursait toutes les dettes, il n’y aurait plus aucun billet en circulation, ce qui poserait un sacré problème.
Et c’est bien là le cœur de tout ce système. Les banquiers ne tiennent pas du tout à ce qu’on leur rembourse l’argent qu’ils nous prêtent car il leur faudrait le détruire immédiatement pour ne pas augmenter le masse monétaire en circulation. Par contre, les intérêts que nous versons représentent de l’argent réel, gagné « à la sueur de notre front » et plus la dette augmente, plus les intérêts augmentent. C’est un système très pervers et c’est la raison pour laquelle de plus en plus de pays veulent rompre avec l’argent-dette pour aller vers un système de monnaie stable qui, comme le disait de Gaulle, ne peut être que celui de l’étalon-or, dans lequel il est impossible de créer de la monnaie si on ne dispose pas d’une quantité d’or correspondante.
Jean Goychman
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. Dette : Bayrou accuse les « boomers » tout en évacuant l’immigration
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#webtube : Le Premier ministre vient d’accuser les générations du baby-boom d’être responsables de la dette et de vivre dans un confort indécent sur le dos des jeunes générations.
« Si on crée le chaos, qui vont être les victimes ? Les premières, ce seront les plus jeunes des Français à qui devront payer la dette pendant toute leur vie et on a réussi à leur faire croire qu’il fallait encore l’augmenter (…), tout ça pour le confort de certains partis politiques (qu’il ne cite pas) et pour le confort des boomers, comme on dit, qui de ce point de vue-là considèrent que tout va bien »
Bayrou ment comme un arracheur de dents parce qu’il refuse par lâcheté de s’attaquer aux vraies causes de la dette, que sont l’immigration de déshérités peu productifs et la colossale fraude sociale. Sur 50 milliards de fraude, seul 1 milliard est détecté chaque année car il n’y a aucune volonté politique de s’atteler à ce fléau. On peut percevoir plusieurs fois le RSA sous diverses identités.
Monsieur Bayrou, vous avez peur de dire la vérité sur la dette, mais il vous faut un coupable, un coupable de préférence qui ne fait pas grève, qui ne manifeste pas, qui ne saccage pas les villes, qui ne brûle rien, qui ne pille pas les magasins, qui ne fraude pas et qui respecte la loi, un coupable trop vieux pour se faire entendre dans la rue, c’est-à-dire un coupable inoffensif comme les paisibles « boomers », qui selon vous vivent dans l’opulence sur le dos des jeunes. Vous osez tout.
– Vous oubliez, monsieur le Premier ministre, que les « boomers » ont travaillé jusqu’à 65 ans une bonne partie de leur carrière, avec seulement trois semaines de congés payés et au rythme de 45 heures par semaine.
– Vous oubliez que durant les Trente Glorieuses, les boomers et leurs aînés ont propulsé la France au premier rang des nations européennes, avec une croissance à la chinoise, un niveau de vie qui augmentait de 3 % par an, pour devenir le 5e du monde derrière les États-Unis, la Suisse, la Suède et le Luxembourg.
– Vous oubliez que si la France ne travaille pas assez, c’est la faute des élus comme vous, qui ont fait croire aux jeunes générations que la retraite à 60 ans, la semaine de 35 heures et les 5 semaines de congés payés, pouvaient être financées par l’emprunt perpétuel sans besoin de créer des richesses par leur travail.
– Vous oubliez sciemment de citer les véritables causes de la dette car vous avez peur de toucher à l’immigration, sujet tabou de plus en plus explosif. Mais la peur de la vérité ne fera jamais une bonne politique. Mettre les sujets qui fâchent sous le tapis font de vous un Premier ministre aussi incompétent qu’inutile, qui va tout aggraver. Vous refusez de traiter les causes de la dette.
– Vous oubliez que vous faites partie de cette classe politique qui a détruit le pays en accueillant des millions de déshérités, qui coûtent 3,4 % de PIB chaque année, selon les études les plus sérieuses. Au bas mot 100 milliards par an.
https://observatoire-immigration.fr/limpact-de-limmigration-sur-leconomie-francaise
– Vous oubliez que l’immigration dégrade les comptes publics. Selon l’OCDE, les recettes budgétaires apportées par les immigrés ne financent que 86 % des dépenses publiques qui leurs sont affectées – avec des écarts évidents selon les types d’immigration.
– Vous oubliez que l’AME qui soigne les sans-papiers sans limitation de dépenses explose d’année en année, alors que des Français modestes ne se soignent plus faute de moyens suffisants.
– Vous oubliez de vous attaquer aux retraites encore payées à des centenaires étrangers disparus depuis des lustres.
– Vous oubliez que la France accorde une retraite de 1000 euros (1600 pour un couple) à des étrangers de 65 ans qui n’ont jamais travaillé ni cotisé en France, pendant que certains paysans ayant travaillé toute leur vie 70 heures par semaine, parfois sans vacances ni week-ends, perçoivent 350 euros de retraite.
– Vous oubliez qu’on loge chaque nuit à l’hôtel 52 000 migrants, y compris des clandestins, pendant que des natifs dorment dans leur voiture.
– Vous oubliez de dénoncer la gigantesque fraude sociale, sujet tabou par excellence. Usurpation d’identité, fraude à la carte vitale, faux documents, fausses déclarations de paternité, mariages blancs, autant de fléaux qui plombent notre budget social qui atteint 960 milliards, record du monde, soit 32 % du PIB. Si la France se situait dans la moyenne européenne, soit 27 % de son PIB, notre budget social serait de 810 milliards. Mais vous distribuez le social sans aucun contrôle.
Conclusion
Réflexion faite, inutile de vous accorder un sursis jusqu’au vote du budget. Vous venez de confirmer que votre place n’est plus à Matignon. Vous manquez trop de courage pour vous attaquer aux vrais problèmes. Vous avez promis la vérité au peuple, mais vous vous dérobez comme tous les élus. Voici ce que dit l’OID dans sa conclusion sur le coût de l’immigration :
« Si les immigrés possédaient le niveau de qualification des natifs et affichaient le même taux d’emploi, le PIB serait majoré de 3,4 % (plus de 100 milliards) et les recettes fiscales gagneraient 1,5 point de PIB (45 milliards). »
Mais vous jugez plus facile et surtout plus prudent de taxer les retraités.
Partez, monsieur le Premier ministre. La France et les Français n’ont plus besoin de vous.
500 000 immigrés arrivent chaque année, dont seulement 10 % avec un contrat de travail. Et selon l’Insee, la part du social dans les revenus d’un natif est de 6 %, tandis qu’elle est de 16 % pour un immigré extra-européen. Tout est dit.
La dette ne peut donc que s’alourdir.
Jacques Guillemain, Riposte Laïque
Complément d’info :
https://www.bvoltaire.fr/bayrou-le-boomer-qui-parle-mal-aux-boomers
. Londres : le carnaval de Notting Hill fait encore sensation cette année
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#webtube : Pour une raison surprenante, c’est Londres et non Paris qui accueille le plus grand festival noir d’Europe. Cette année encore, le carnaval de Notting Hill a tenu toutes ses promesses.
On trouve très peu de Pakistanais ou d’Indiens, mais encore un certain nombre de Blancs.
Nothing normal about Notting Hill carnival. pic.twitter.com/tQ2q4Cj7Jr
— Catch Up (@CatchUpFeed) August 27, 2025
Ils recréent même leur habitat naturel.
Source : D.P.
. Minneapolis (US) : un homme transgenre tire dans un église
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#webtube : Un homme a ouvert le feu dans une église catholique. Dernières nouvelles : le tireur est un homme transgenre de 22 ans qui a publié un manifeste sur YouTube. Par respect pour l’enquête et les victimes, ces informations ne seront pas divulguées pour le moment, mais les archives existent.
Breaking: Shooter is a 22 year old biological male transgender who posted a manifesto on YouTube.
— Rob O'Donnell (@odonnell_r) August 27, 2025
Out of respect for the investigation and victims I am withholding those specifics at this time but have it archived pic.twitter.com/XTJU8OASh6
Le suspect, dont l’identité est connue, a publié une vidéo au moment de la fusillade qui aurait été enregistrée la veille alors qu’il préparait ses armes. Sur les chargeurs, on pouvait lire « pour les enfants » et « tuer Donald Trump ».
Suspect whose identity is known posted a video at the time of the shooting allegedly recorded a day prior preparing his weapons. Writing on magazines said “for the Children” and “kill Donald Trump” pic.twitter.com/5TXcejwOja
— Rob O'Donnell (@odonnell_r) August 27, 2025
Le suspect présumé a enregistré une longue vidéo dans laquelle il montre des armes et ce qui semble être un dessin du lieu où il s’est poignardé, en disant « là où je me suis suicidé ».
Alleged suspect recorded a lengthy video laying out weapons and what possibly is a drawing of the shooting location where he stabbed it with a knife saying “where I kill myself”. pic.twitter.com/Dkq2nBabMA
— Rob O'Donnell (@odonnell_r) August 27, 2025
Source :D.P.
. À partir du 29 août, les #Gueux sur les parkings, à la rencontre du pays réel
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#webtube : Aux côtés des agriculteurs, de nombreuses professions sont désormais de la partie sous la bannière des #Gueux. Vendredi 29 août commencera une semaine de mobilisation pour les Gueux. Et si le mouvement avait débuté avec les seuls automobilistes et motards comme partenaires organisés, bien d’autres organisations l’ont rejoint depuis les premiers rassemblements contre les zones à faibles émissions (ZFE).
Contacté par BV, Alexandre Jardin confirme l’ampleur grandissante d’un mouvement qui vise d’autres objectifs et s’ouvre à d’autres organisations socio-professionnelles. « Les Gueux ont réussi à fédérer la plupart des agriculteurs, avec la Coordination rurale, qui nous a rejoints officiellement, mais aussi au-delà. Même au sein de la FNSEA, il y a des gens qui se disent, aujourd’hui, que cela ne serait pas idiot de réfléchir ensemble. » La semaine à venir va attirer aussi bien d’autres métiers, « producteurs, commerçants, prestataires de services, concernés par l’application de la loi PPE3 sur l’énergie et le risque d’une très forte augmentation des factures d’électricité, mais porteurs aussi d’autres combats qui leurs sont propres ».
Quel dénominateur commun peut-il donc rassembler un si vaste parterre de professionnels, auquel il faut ajouter les particuliers ? « On se bat contre les ZFE, on se bat contre la PPE3, les DPE (diagnostic de performance énergétique), nous combattons cause après cause, mais le fil rouge de tout cela, pour les entreprises comme pour les particuliers, c’est le pouvoir d’achat. C’est cela qui nous fédère tous, précise le fondateur et animateur des Gueux, pour qui le problème qui se pose est simple : vous voulez consommer français, des produits de bonne qualité, avoir un niveau de vie correct, ne pas subir un nivellement par le bas ? Ça sous-entend d’avoir plus de pouvoir d’achat et, donc, de refuser les taxes qu’on vous impose, parfois déguisées, comme le doublement de votre facture d’électricité. »
Ras-le-bol des villes et ras-le-bol des champs
Pour la Coordination rurale (CR), renfort de poids dans le dispositif, rejoindre ce dernier était une évidence, explique Véronique Le Floch à BV : « Aujourd’hui, les agriculteurs sont aussi des gueux. Nous rencontrons les mêmes problèmes, nous sommes asservis, manipulés, comme des marionnettes. » Le ras-le-bol des champs rejoint donc le ras-le-bol des villes… « Nous sommes les petites mains, ceux qui nourrissent et font vivre, qui permettent de créer de la valeur ajoutée. Donc, à un moment, ça suffit, on ne peut plus être asphyxié en permanence, être manipulé, subir des charges qui deviennent insupportables, on parle beaucoup d’impôts en France, mais il est temps de parler aussi des charges, de l’électricité, de la PPE 3. » La CR a mis en place un calendrier qui commencera le 29. « Nous serons tout d’abord à la Foire de Châlons, avec pour mot d’ordre “manger français”, parce que cela seulement permet de sauver nos assiettes, nos emplois, notre économie. »
À ce sujet — [L’INVITÉ] « Avec Les Gueux, contre les ZFE », il veut soulever la France

La Coordination rurale a conçu des visuels spécifiques pour sa campagne de rentrée avec les #Gueux.
Une rencontre pédagogique avec les Français, qui se prolongera, ensuite, un peu partout en France (les rendez-vous seront indiqués sur le site de la CR), afin de faire ressortir les vrais enjeux : « On fera des comparatifs, car cela n’a pas les mêmes conséquences d’acheter français et acheter de l’importation », alerte Véronique Le Floch, car « il faut comprendre que lorsque nous achetons un produit importé, nous importons aussi un système social, qui entraînera peut-être un jour nos revenus à la baisse, une forme d’exploitation et la perte de notre propre système social français, qui est hors normes. Voilà ce à quoi nous pourrions alors avoir renoncé. Parce que nous l’aurons tué. »
Sur les parkings, à la rencontre des Français
Aux côtés des agriculteurs, de nombreuses professions sont désormais de la partie sous le mot-dièse des Gueux. Un afflux qui a contraint à structurer un mouvement qui fonctionnait, jusqu’à présent, dans une relative autogestion spontanée. Afin de fédérer les organisations et de coordonner leurs actions, Alexandre Jardin a fait appel à Jean-Vincent Chantreau, président de l’Union française des pêcheurs-artisans, qui précise à BV les grandes lignes de l’organisation de cette semaine d’action. « À partir du 29, de nombreuses professions vont agir de concert : des associations de commerçants, des professionnels de l’alimentaire, boulangers, charcutiers, traiteurs, bistrotiers et, bien sûr, nous-mêmes les pêcheurs. » Mais ce n’est pas tout. « Nous pourrons aussi compter sur les personnels de santé et bien d’autres encore. Et je n’oublie pas les taxis, qui ont prévu de commencer un mouvement, début septembre. » Dans de nombreuses villes de France, ajoute Jean-Vincent Chantreau, « des rassemblements statiques vont être organisés sur les parkings des supermarchés, en périphérie des villes, pour que ça soit accessible à tous, parce que tout le monde va y faire ses courses, et parce que ce qui fédère tout le monde, actuellement, c’est le pouvoir d’achat ». Le site lesgueux.fr indiquera, dès le 28 août, les lieux, dates et horaires des rendez-vous.
Etienne Lombard, dans BV
. « Raise the colours » : la réponse des nationalistes anglais à l’immigration
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#webtube : Éric Zemmour participera à la manifestation du 13 septembre à Londres. Depuis quelques jours, les rues de plusieurs villes britanniques voient flotter les couleurs de l’Union Jack et de la croix de saint Georges, symboles du Royaume-Uni et de l’Angleterre. « Montrer à ce pays d’où viennent nos racines et lui dire que nous sommes en train de le récupérer », explique Nick Tenconi, chef de l’organisation politique TPUK, qui s’est rallié à l’opération baptisée « Raise the colours ».
Operation Raise the Colours is in full swing! I'm honoured to have done my part – keep up the great work! 🏴🇬🇧 pic.twitter.com/zLuPqSm7Ol
— Nick Marcel Tenconi (@NickTenconi) August 19, 2025
Un mouvement né d’une colère
Né il y a plusieurs semaines, le mouvement s’est poursuivi tout l’été, notamment lors de manifestations contre des centres d’hébergement pour migrants, dont l’un accueillait un délinquant sexuel. L’initiative a ensuite pris de l’ampleur après que des municipalités comme Birmingham ou Tower Hamlets ont décidé de faire retirer les drapeaux anglais hissés sur des lampadaires, des ronds-points ou des ponts, tout en laissant flotter les couleurs palestiniennes dans l’espace public. Une décision qu’une partie de la droite britannique a jugée insupportable, voyant à travers ces décisions le symbole d’une Angleterre honteuse d’elle-même, et décidant d’y opposer l’affirmation de la fierté nationale.
Depuis plusieurs années, déjà, le sujet crispe une partie de l’opinion chez nos voisins d’outre-Manche. La résurgence de l’affaire des grooming gangs, ces derniers mois, a encore accentué la colère, tandis qu’en janvier, le gouvernement britannique annonçait l’arrivée de près de 37.000 migrants clandestins en 2024 – un chiffre en forte hausse par rapport à l’année précédente. Face à cette situation, le camp des nationalistes et patriotes redouble de détermination pour faire entendre son mécontentement contre la politique migratoire du gouvernement travailliste de Keir Starmer.
Reprise par le lanceur d’alerte et activiste Tommy Robinson, plusieurs fois condamné par la Justice britannique pour diffamation, trouble à l’ordre public, outrages au tribunal, hooliganisme ou agression, l’opération, malgré la visée indubitablement politique, semble exprimer la lassitude d’une partie de la population, excédée par des politiques migratoires imposées depuis des années.
Elle a sans surprise atteint les sommets politiques, puisque Robert Jenrick, député de Newark, a témoigné de son soutien et de sa participation en hissant un drapeau, avant de déclarer : « Tandis que les conseils municipaux qui détestent la Grande-Bretagne retirent nos propres drapeaux, nous les hissons haut. » Il a aussi appelé à n’être « qu’un seul pays, sous le drapeau de l’Union ».
Raise The Colours! 🇬🇧
— Robert Jenrick (@RobertJenrick) August 21, 2025
While Britain-hating councils take down our own flags, we raise them up.
We must be one country, under the Union Flag. pic.twitter.com/fTXmEa3V3F
Le drapeau national, un symbole du fascisme ?
Non mécontents de compter dans leurs rangs Elon Musk, qui a démontré son soutien en publiant, sur X, une photo du drapeau anglais, les Britanniques ont cru à une nouvelle belle surprise lorsqu’il a été demandé au Premier ministre Keir Starmer, du Parti travailliste, son avis sur le mouvement, et que le porte-parole de ce dernier a répondu qu’il était « un patriote » et que les Britanniques devaient « absolument » arborer les drapeaux britanniques et anglais… avant de rétropédaler et de préciser, par la suite, qu’il n’était pas au courant des événements à Birmingham ou à Tower Hamlets lorsqu’il avait tenu ces propos.
De fait, au Royaume-Uni comme en France, la tendance semble plutôt à la diabolisation de ces démonstrations de patriotisme. En France, la presse de gauche s’est empressée d’appuyer ce discours en dénonçant une utilisation « fasciste » des couleurs britanniques et cet « étalage de “fierté nationale” », comme l’a exprimé Libération, ce mardi 26 août.
Rendez-vous le 13 septembre
Ces critiques ne dissuaderont pas Éric Zemmour de se rendre à Londres, le 13 septembre, pour la prochaine manifestation anti-immigration organisée par Tommy Robinson. L’événement vise à rassembler le plus de patriotes possible et promet d’être « le plus grand festival de liberté d’expression du Royaume-Uni », selon le fondateur de l’English Defence League.
🇫🇷 Je répondrai présent à l’invitation de Tommy Robinson, le 13 septembre pour me tenir aux côtés des centaines de milliers de Britanniques qui manifestent contre la submersion de nos pays.
— Eric Zemmour (@ZemmourEric) August 26, 2025
🇬🇧 I will be present at Tommy Robinson's invitation on September 13 to stand alongside…
Alienor de Pompignan, dans BV
. Hélas, Trump a négocié… Une extraordinaire interview de Stéphane Séjourné
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#webtube : Dans une interview lunaire au Figaro, le vice-président de la Commission européenne montre une naïveté confondante. Il est l’une des voix d’Emmanuel Macron, un peu comme le truculent Jean-Noël Barrot. Une des têtes parlantes de l’hydre macroniste. Vous l’avez peut-être oublié pendant les vacances, mais Stéphane Séjourné est aujourd’hui vice-président exécutif de la Commission européenne pour la prospérité et la stratégie industrielle. Ce n’est pas une blague. Autant dire qu’il est le tenancier d’un champ de ruine. Mais, comme un choucas juché sur un cadavre, Séjourné continue d’administrer aux Français une démonstration d’orgueil mondialiste particulièrement obtuse, contre les chiffres et les faits les plus évidents.
Son interview au Figaro de ce 27 août est un modèle d’aveuglement volontaire. Les 15 % de droits de douane infligés par Trump de manière léonine à une UE au comble de la veulerie, incapable de défendre les intérêts de ses habitants, en témoigne de manière spectaculaire. Bayrou lui-même a parlé de « soumission » européenne… Mais Séjourné, lui, est satisfait : « Le mandat qui a été donné à la Commission, avec un consensus total, était très clair : éviter l’escalade et écarter un “no deal”, explique-t-il. Ursula von der Leyen l’a appliqué à la lettre. » En clair, réjouissons-nous, cela aurait pu être bien pire… Avec des avocats de ce calibre, la Justice n’aurait plus besoin de procureurs… « Le rapport de force n’était pas en faveur des Européens », explique piteusement Séjourné, un peu plus tard. Pourtant, l’Europe dispose d’une population supérieure à celle des États-Unis (449 millions d’habitants, contre 340 millions). Et puis, on croyait que Trump était nul, fou, incapable de mettre ses réformes à exécution. On croyait, aussi, que la France serait bien plus puissante dans l’Europe, que l’UE en remontrerait au monde entier… On allait voir ce qu’on allait voir. Une fois de plus, on voit…
Apprendre les bases d’une négociation
Quant au président de la République, il a été « l’un des plus en pointe parmi ceux qui ont tenté de durcir cette négociation », nous explique le merveilleux Séjourné, façon saint Jean Bouche d’or. Cet accord, c’est donc un peu le bilan du président de la République française. L’imam caché de l’UE a encore frappé et c’est la France qui se découvre des bleus au corps.
Séjourné fait d’autres aveux, dans ce monument de langue bois. Le successeur de Thierry Breton y est contraint pour masquer le spectacle terrible du Waterloo européen : « Notre faiblesse tient à la structure même de l’Union européenne. Tout est imbriqué et Trump a lié des sujets différents – commerce, défense, enjeux territoriaux comme le Canada ou le Groenland – alors qu’ils ne relèvent pas tous de l’Union européenne », déplore-t-il. Eh oui, sortir du cadre de la compétence de son interlocuteur, mettre la barre haut, faire peur, impressionner, promettre le pire : l’UE a expérimenté la base de ce qu’on appelle une négociation, quel que soit le secteur et quelle que soit l’époque. Que Séjourné s’en étonne a de quoi inquiéter ceux que ce gentil naïf payé plus de 20.000 euros bruts mensuels à 40 ans est censé défendre : les Français et les Européens. Il faut offrir d’urgence un cours de première année de BTS action commerciale à Stéphane Séjourné ! « L’accord est loin d’être parfait, mais il est bien meilleur que ce qu’ont obtenu tous les pays de la planète, dont le Royaume-Uni et le Japon », ose notre vice-président. Le Japon est pourtant essentiellement à 15 %. Quant au Royaume-Uni, il est l’un des pays qui ont le mieux négocié. Seul, sans l’UE, il obtient un taux de 10 % (contre 15 % pour l’UE) sur l’essentiel de ses produits. Les vins et les spiritueux, grande richesse française, n’ont finalement pas été exemptés. Un désastre.
L’Ukraine ? Si on arrive à peser et à participer aux négociations, « ce sera un succès », assure notre européiste stipendié. Il faut savoir réduire ses ambitions pour pouvoir présenter ses échecs comme des succès. Cette leçon simple est assimilée. Mais l’UE a aussi promis 600 milliards d’investissements aux États-Unis et un chèque de 750 milliards pour des achats d’hydrocarbures. Séjourné bredouille : ces dépenses « relèvent in fine du secteur privé ». Oui, mais hélas, certains Français attendent leurs revenus du même secteur privé, qui a le devoir de rester compétitif… Ce n’est pas fini : Séjourné veut signer le Mercosur : « Il faut résoudre la question des inquiétudes de nos agriculteurs », balaye-t-il. La France propose des pistes… Il faut aussi signer le CETA, l’accord entre l’UE et le Canada ! Quand tout démontre que vous faites fausse route, il devient urgent d’accélérer.
Théorie du maillon
Contradiction ? Séjourné a trouvé les coupables de ces échecs patents : l’opposition, bien sûr. « De nombreuses forces politiques sont complices d’un affaiblissement sans précédent de la France », lance-t-il, avec le culot qui caractérise le macronisme. Macron n’y est donc pour rien. Nos gouvernants depuis plus de dix ans sont blancs comme neige et innocents comme l’agneau de prairie au printemps.
À une dernière question, Séjourné répond : « Je ne crois pas que [la France] soit le maillon faible, mais elle doit redevenir le maillon fort ». Une théorie du maillon qu’il faudra éclaircir. Mais pas question de changer quoi que ce soit ! Encore moins de lâcher la barre. On ne change pas une équipe qui perd. Pas question, non plus, d’interroger une doctrine européiste dont tous les indicateurs montrent qu’elle mène le pays droit dans le mur économique, politique et sociétal.
En 2019, tout juste élu eurodéputé, Stéphane Séjourné expliquait, doctement : « L’Europe change beaucoup la vie des gens. C’est méconnu en France, mais les dossiers que nous traitons […] changent la vie quotidienne des gens. » Pas faux, l’UE fait de la France, jour après jour, un pays plus ruiné et soumis que la veille. Mais l’UE aura sans conteste amélioré la vie de Stéphane Séjourné. C’est toujours cela de pris.
- Marc Baudriller, dans BV
. Trump triomphe : l’immigration illégale au plus bas depuis 60 ans
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#webtube : Dès le début de son mandat, en janvier 2025, l’administration Trump a mis en œuvre une série de mesures draconiennes. Donald Trump aurait-il réussi son pari contre le chaos migratoire ? En 2025, les États-Unis enregistrent une baisse historique de l’immigration illégale – un phénomène inédit depuis les années 1960. Selon les données des autorités frontalières, les traversées illégales à la frontière sud ont chuté à des niveaux record, avec seulement 8.450 arrestations en février, contre 155.000 en moyenne sous l’administration Biden. Cette performance, saluée par les républicains, s’explique par les politiques musclées de Donald Trump : déploiement militaire, fin du programme « catch and release » (attraper et relâcher) et coopération renforcée avec le Mexique.
Une politique de fermeté sans précédent
Dès le début de son mandat, en janvier 2025, l’administration Trump a mis en œuvre une série de mesures draconiennes. Les agents frontaliers ont reçu des directives claires pour expulser rapidement les migrants sans traitement prolongé des demandes d’asile. En février, les appréhensions à la frontière sud-ouest sont tombées à 8.347, soit une baisse de 94 % par rapport à février 2024. Le déploiement de 3.000 militaires supplémentaires et l’arrêt des programmes d’asile de l’ère Biden, comme CBP One (application permettant aux migrants de prendre rendez-vous avec l’administration pour demander une protection humanitaire), ont amplifié cet effet. La coopération avec le Mexique, qui a intercepté 622 migrants en février, a également joué un rôle clef.
Les chiffres parlent d’eux-mêmes : en juillet 2025, les appréhensions ont encore diminué, atteignant 4.598 – un record absolu. Le 28 juin, seulement 136 migrants illégaux ont été interceptés, une journée historique selon le Département de la Sécurité intérieure. Cette chute s’accompagne d’une réduction des « gotaways » (fugitifs non détectés) de 90 % par rapport à l’année précédente. Cependant, ces mesures suscitent des critiques et rencontrent une vive résistance desdites « villes sanctuaires » démocrates.
Une politique plébiscitée par les républicains
Aux États-Unis, la capacité de détention de l’ICE est saturée, à 117 %, avec 45.000 migrants détenus, posant des défis logistiques. Malgré ces obstacles, l’administration Trump vise un million d’expulsions par an, un objectif ambitieux mais coûteux. Exemple frappant : CBP One a laissé place à CBP Home, qui encourage les auto-expulsions et offre un bonus de départ de 1.000 dollars et un transport gratuit à chaque illégal.
Pour les républicains, Trump a transformé une crise en succès, redorant son image de leader inflexible. Les sondages montrent que 85 % d’entre eux soutiennent sa gestion, contre seulement 19 % des démocrates, révélant une fracture politique profonde. Si la baisse des traversées illégales est indéniable, les critiques soulignent que des facteurs externes, comme les efforts du Mexique dès 2024, ont contribué à la tendance. Trump, lui, martèle que la frontière est « fermée », un message qui contente largement ses partisans. Malgré les débats, Trump semble avoir tenu sa promesse : rétablir l’ordre à la frontière. Peut-on blâmer un président qui applique strictement son programme ?
Julien Tellier, dans BV
. La fille de Boualem Sansal : le sort de mon père intéresse-t-il le président Macron ?
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#webtube : L’écrivain de 80 ans, atteint d’un cancer, a été condamné à 5 ans de prison par le régime d’Alger Dans une lettre publiée ce mercredi par Le Figaro, la fille de Boualem Sansal, Sabeha Sansal, souligne que le président Macron n’a jamais témoigné de sympathie ni répondu à l’appel à la libération de son père, malgré une lettre ouverte envoyée en avril par elle et sa sœur. Elle affirme que « quand un écrivain est bâillonné, c’est l’universel qui est atteint ».
Elle insiste sur le fait que l’enjeu de la détention de Boualem Sansal dépasse son cas personnel : il s’agit selon elle d’une question de liberté d’expression, de dignité humaine et de respect du droit international.
Sabeha Sansal appelle à une mobilisation internationale pour obtenir la libération de son père, et demande à la France et à ses partenaires de ne plus considérer cette affaire comme secondaire.
Elle dénonce également l’attitude du pouvoir algérien, qu’elle qualifie de « fermeture et d’opacité« , et rappelle que son père n’a jamais exercé d’autre mission que celle d’écrivain
Cette publication intervient dans le cadre d’une nouvelle dégradation des relations entre Paris et Alger, laissant craindre à terme la rupture des relations diplomatiques entre les deux pays.
Mardi 26 août, l’ambassade de France à Alger publiait un communiqué annonçant que la Paris allait accorder moins de visas aux Algériens. Elle y explique que c’est une conséquence de la «dégradation de la relation bilatérale», puisque les agents expatriés qui devaient prendre leur poste à la rentrée ne sont pas arrivés. «Cette année, le ministère algérien des Affaires étrangères n’a pas donné suite à l’essentiel des demandes de visas d’accréditation sollicités pour ces personnels», précise le communiqué. «Cette situation aura pour conséquence une capacité limitée à instruire les demandes de visas pour la France.»
Alger a immédiatement répliqué en qualifiant ce communiqué d’«inacceptable». La diplomatie algérienne, qui reproche à l’ambassade de «s’adresser directement à l’opinion publique algérienne», estime que le gouvernement français continue de gérer la question des visas «par le chantage, le marchandage et l’intimidation». Elle rappelle que la non-accréditation d’agents français n’est qu’une mesure de réciprocité au refus de Paris, depuis plus de deux ans, de valider la nomination de diplomates algériens (trois consuls généraux, six consuls et quarante-six agents consulaires algériens).
En l’absence de l’ambassadeur de France, rappelé «pour consultations» en avril, le chargé d’affaires français a été convoqué, ce mercredi 27 août, au ministère algérien des Affaires étrangères.
Cette dernière séquence intervient surtout après la publication dans Le Figaro d’une lettre d’Emmanuel Macron appelant François Bayrou à «plus de fermeté» et de «détermination» envers Alger. Les autorités algériennes ont répondu en annonçant mettre fin à «la disposition, à titre gracieux» de biens immobiliers «appartenant à l’État algérien au profit de l’ambassade de France».
Cette atmosphère de défiance éloigne un peu plus la perspective d’une libération pour Boualem Sansal. L’écrivain franco-algérien de 80 ans, détenu en Algérie depuis novembre 2024, a été condamné en appel en juillet à cinq ans de prison ferme. Au-delà des motifs officiels de sa condamnation, le régime algérien ne lui pardonne pas sa condamnation de l’islam :
https://ripostelaique.com/boualem-sansal-lislam-est-le-mal-absolu-de-notre-temps.html
Henri Dubost, Riposte Laïque