. Ce qui change au 1er décembre 2023 ? (Pas grand chose et beaucoup de poudre aux yeux)

Articles     : Dec. 2023Nov. 2023Oct. 2023Sept 2023 – Facebook : https://www.facebook.com/profile.php?id=100069673161887 Twitter : https://twitter.com/OrtfNews

++ WEBTUBE : A chaque début de mois des changements (ou de la poudre aux yeux, au choix). Voici la liste de ce qui va changer au 1er décembre 2023 Deux millions de Français devraient bénéficier de la prime de Noël, mise en place en 1998 par le gouvernement de Lionel Jospin, et sera versée le vendredi 15 décembre 2023. Elle concernera les personnes qui touchent certains minima sociaux, comme les bénéficiaires du RSA (Revenu de solidarité active), de l’Allocation de solidarité spécifique (ASS), de l’Allocation équivalent retraite (AER) ou de la Prime forfaitaire pour reprise d’activité.

Cette aide exceptionnelle sera versée par la Caisse d’allocations familiales (Caf) ou la Mutuelle sociale agricole (MSA), précise le site du gouvernement et son montant variera en fonction de la composition du foyer. Elle s’élèvera à 152,45 € pour une personne seule. Un couple sans enfant touchera 228,67 €, alors qu’une famille avec quatre enfants recevra 442,10 €.

Pour les classes moyennes, qui les cadeaux de Noël, ce sera comme tout le reste : plein pot.

Par ailleurs, l’Etat a mis en place une aide d’urgence (prise là encore sur l’argent des contribuables) pour les personnes se déclarant victime de violences conjugales. L’aide lui sera automatiquement versée par la CAF, sans contrôle préalable. Concrètement, une personne qui se retrouve dans ce type de situation pourra demander une aide d’urgence qui lui sera automatiquement versée pour lui garantir ses premiers jours, ses deux, trois premières semaines où elle pourra partir. Ensuite, elle sera accompagnée, soutenue avec l’ensemble des services de l’État qui se mettent à sa disposition pour garantir que le départ soit un départ réel et qu’elle ne retourne pas au domicile. L’aide sera en moyenne de 600 euros avec un minimum de 243 euros, un montant qui variera selon les ressources et le nombre d’enfants.

Vu l’Etat de déliquescence de l’administration, on imagine déjà les filous et les escrocs se frotter les mains, quelques années après les fraudes à la taxe Carbone, ou aux aides Covid, ou à la TVA. C’est le contribuable qui va régaler !

Dans 15 jours, la liste des véhicules éligibles au bonus écologique sera communiquée par l’Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie (Ademe). L’Etat prendra là encore de l’argent aux contribuables pour en inciter d’autres à s’endetter sur des voitures beaucoup plus chères que d’habitude. Le montant de l’aide est fixé à 27 % du coût d’acquisition toutes taxes comprises, pour l’acquisition d’une voiture particulière, peut-on lire sur le site du ministère de l’Économie. Le bonus est plafonné à 5 000 € pour les particuliers et 3 000 € pour les personnes morales.  L’Etat ne dit pas ce qui se passe en terme de capacité électrique du pays le jour où des millions se seront laissés berner par les promesses de la voiture électrique et de ces bonus.

Le 1er décembre toujours, les malus des nouveaux retraités du principal régime de retraite Agirc-Arrco prendront fin. Instaurés le 1er janvier 2019, ces malus minoraient de 10% la pension complémentaire de ceux qui partaient à la retraite à l’âge légal, ayant le nombre de trimestres requis et pouvant donc prétendre à taux plein… mais qui refusaient de travailler un an de plus jusqu’à 63 ans. Avec le passage de l’âge de retraite de 62 à 64 ans, la mesure n’a plus lieu d’être et est donc supprimée.

Fin d’une autre distribution d’argent public avec la fin de la prime vélo. Il était possible de recevoir 150 € pour l’achat d’un vélo classique, et jusqu’à 400 € pour l’achat d’un vélo à assistance électrique. Là encore, il sera intéressant de savoir comment ces versements ont été contrôlés.

Sinon, ce qui ne change pas : les prix augmentent. Alimentairement, énergétiquement. L’appauvrissement est important. La population autochtone peine à se loger. L’immigration se poursuit. Le service public s’effondre. Celui de la Santé est à l’agonie. La sécurité des citoyens n’est plus assurée quasiment nulle part. Et les gogos ferment les yeux. Joyeux Noël !

 Breizh-info.com

. Pourquoi l’État matraque les gens bien et laisse proliférer délinquance et terrorisme ordinaire

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++ WEBTUBE : C’est une question qui hante les gens bien, la population civilisée, “ceux qui éduquent leurs gosses“. On a enfin la réponse. Ou plutôt, on en connaît les raisons depuis des lustres, mais elles deviennent désormais de plus en plus manifestes à tout un chacun. Un mélange de bouée de secours, de mise en scène du “faire” et de répression contre un peuple anesthésié mais craint. Explications. (des explications qu’il est important de savoir formuler et qu’il faut divulguer. Car mettre un nom sur les choses, en comprendre le fonctionnement est le premier pas vers la possibilité d’une réaction).

Les faits autour du meurtre raciste de Crépol ont ramené sur le devant de la scène ce que nous n’avons de cesse de dénoncer. Il y a en France – et dans la plupart des pays Occidentaux – des communautés de racailles qui agressent, violent, tuent les gens bien. Cette violence quotidienne est laissée telle quelle, entretenue même, car les institutions – qui ne jouissent plus de la confiance qui les légitime – en ont besoin pour sidérer le peuple, qui, une fois terrorisé s’en remet à elles pour assurer sa sécurité, se raccroche à l’État comme à une bouée de secours. Quand les autres enfants nous martyrisent dans la cour de récréation, on se réfugie dans les jupes de la maîtresse, même si cette dernière est méchante et qu’on ne l’aime pas trop.

Dans un court essai d’une clairvoyance édifiante (1), le philosophe suisse Eric Werner résumait à la perfection les raisons de ce laisser-faire institutionnel :

“Le pouvoir encourage donc le désordre, le subventionne même, mais ne le subventionne pas pour lui-même, ne le subventionne que pour l’ordre dont il est le fondement, au maintien duquel il concourt. L’ordre par le désordre, voilà la formule. Désordre politique, mais aussi moral, social, culturel (car tout se tient en la matière). Autant que possible, le pouvoir s’emploie à brouiller les cartes, à priver les individus de leurs repères coutumiers. L’objectif est de les déstabiliser, de les rendre étrangers à leur propre environnement. La réalité les fuit, leurs sens sont anesthésiés. Ils ignorent d’où ils viennent et où ils vont, ne savent même pas bien souvent de quoi l’on parle. Parfois aussi c’est l’émeute, les casseurs entrent en scène. Mais, là encore, qu’y faire ? Sus à l’obsession sécuritaire. Un même mouvement entraîne ainsi toute chose, seul le pouvoir échappe à l’universelle dissolution. L’individu se raccroche donc à lui comme à une bouée miraculeuse.”

À cette thèse, qui est désormais une explication vérifiable quotidiennement, s’ajoute la persécution de ces mêmes braves gens dès lors qu’ils comprennent (ex. la censure sur les réseaux sociaux ou les peines infligées pour délits d’opinion) ou qu’ils expriment leur mécontentement. Une répression dont les militants patriotes sont coutumiers, mais qui a éclaté au grand jour avec les Gilets Jaunes. Grâce au délire sur l’”ultradroite” absolument gigantifiée, on atteint un stade nouveau : des petits gars qui ne sont ni hooligans, ni skinheads, ni crapules, en font actuellement les frais, emprisonnés pour avoir manifesté devant la cité dont proviennent les assassins de Thomas. Aucune violence, aucune dégradation n’ont eu lieu. Les prétendues agressions aux policiers – qui les ont chargés sans sommation – demeurent introuvables sur les reprises des télé-caméras. Et pour avoir collé des affiches “Justice pour Thomas”, six personnes ont été arrêtées, un couple a été perquisitionné et leurs économies ont été séquestrées, et ce alors que l’affichage sauvage relève, rappelons-le, de la simple amende et en aucun cas d’une garde à vue avec perquisition !

Il ne s’agit pas d’une dérive, encore moins d’un complot, mais de l’emballement d’un mode opératoire intrinsèque aux démocraties multiculturelles qui ont besoin d’un ennemi désigné pour épouvanter leurs populations disparates et méfiantes. En agitant le péril de l’ “ultradroite”, on crée l’ennemi intérieur et on fait croire que l’on agit, que l’on travaille d’arrache-pied pour le vivre-ensemble. L’État leurre les braves gens qui ne se sentent pas concernés, ceux-là même qu’il ne protège pas. Le fait que Gérald Darmanin se vante d’avoir évité une “guerre civile” en interdisant les rassemblements pour Thomas et en faisant charger les manifestants patriotes est particulièrement éclairant. La “guerre civile” n’est évoquée que lorsque les citoyens lambda affichent leur colère, en aucun cas quand les cités mettent à feu l’espace public. Quelques mois plus tôt, ces mots n’étaient pas employés alors que les barbares brûlaient les voitures, attaquaient les commissariats et dévalisaient les commerces. Un deux poids, deux mesures éclatant. Reste à savoir combien de temps cela peut durer. Reste à savoir si une telle injustice – l’impunité pour les racailles, la répression pour les patriotes et les “gens normaux” – est le fruit d’une démesure ou si ces mêmes autorités savent ce qu’elles font, certaines d’avoir anesthésié la population, certaines qu’en la traquant, qu’en la frappant (Gilets Jaunes, Manif pour Tous), qu’en l’accablant d’amendes folles (75.000 € pour les jeunes militants de l’Alvarium) ils mineront toute velléité de réaction. Riches de l’exemple des Gilets Jaunes, dont l’élan avait été brisé notamment par les risques physiques et économiques qu’il encourrait alors  d’aller protester.

Car les institutions savent une chose. Que c’est de ces gens-là que peut naître une révolution. C’est au sein des gens bien, responsables, travailleurs, jusqu’alors paisibles qu’un autre modèle de société peut être ébauché. Dangereux, il faut donc les affaiblir, les enchaîner, leur couper les jambes dès qu’ils relèvent la tête. Tel n’est pas le cas des racailles, qui bien qu’extériorisant leur rejet de la France et de ses habitants, trouvent tout à fait leur compte dans cette pré-guerre civile larvée : ils agressent, pillent, détruisent et reçoivent de l’argent public pour le retour au calme ! Une avant-guerre civile que l’État a tout intérêt à la maintenir telle (les deniers qui sortent de ses caisses provenant de toute façon de nos poches), et qui ne débouchera sur une guerre que si deux factions se font face. Entre les gens bien habitués au confort d’un côté et les dealers, “grands frères”, et imams qui profitent d’un système qui leur offre tant de l’autre, rien n’est moins sûr. Ces derniers n’ayant d’ailleurs pas (encore?) d’autre modèle de société pour supplanter l’actuelle.

Quant à ceux qui transforment les meurtres de Thomas, Enzo, Lola,  Maxime, Laura, Anthony, Alban et les autres – paix à leur âme – en “faits divers”.. quand il s’agit bel est bien d’un fait de société, ceux qui jubilent ou pensent simplement que la giga-droite mérite une telle répression, qu’ils se détrompent. Personne n’est à l’abri, ni de la violence de la rue, ni de la persécution policière. Ils pourront être un jour ou l’autre dans le viseur, pour avoir défendu leur femme, leur enfant, pour avoir voulu soutenir leur voisin victime des racailles, pour une parole déplacée. Parce qu’on est tous le nazi d’un autre.

Audrey D’Aguanno

(1) Eric Werner, L’avant guerre civile, L’Age d’homme, 1999. Un essai à lire absolument.
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. Politiciens, vous ne savez que mettre en danger de mort le peuple français

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++ WEBTUBE : Vous avez semé l’angoisse de l’avenir chez les natifs, que vous avez dépossédés de leur pays. En 2 000 ans d’histoire, on n’a jamais vu pareille trahison envers le peuple. Les Français ont peur pour leurs enfants. Qui aurait pensé il y a trente ans, que notre nation millénaire serait détruite en une seule génération ?

De droite comme de gauche, vous êtes les fossoyeurs de la France, vous êtes responsables et coupables de tous les crimes commis par des immigrés qui sèment la violence et la terreur dans nos rues. L’antiracisme à sens unique, la justice à deux vitesses, l’éternel procès des natifs parce qu’ils sont blancs, ça suffit.

C’est vous qui cultivez le racisme antiblanc en culpabilisant les natifs de ce pays, coupables de tous les crimes pour l’éternité,  et en cultivant le droit à la différence. C’est vous qui avez raté l’intégration en diabolisant le FN et en exonérant nos immigrés de tout effort d’assimilation.

Vous êtes tous hyper-protégés par des gardes du corps, tandis que les citoyens sont livrés à la haine des islamistes et du racisme antiblanc, ce racisme omniprésent que vous niez depuis toujours, alors qu’à Crépol pas moins de neuf témoins ont entendu les agresseurs, tous d’origine immigrée, crier qu’ils voulaient “planter des Blancs”.

L’essentiel de la criminalité étant d’origine immigrée, vous cachez systématiquement l’identité des coupables, avec les médias complices, mais vous vous empressez de livrer le nom d’un criminel dès lors qu’il est gaulois. Il suffit de lire ce lien pour comprendre que Jack Lang dit vrai. Il y a bien les deux tiers de nos détenus qui sont musulmans. 

https://programme.ericzemmour.fr/securite

Avec 3 000 agressions gratuites par jour, dont 1 000 déclarées et 120 attaques au couteau quotidiennes, vous ne pouvez plus cacher que les immigrés sont surreprésentés dans la criminalité.

Entre 1960 et 2023, les chiffres de la délinquance ont quintuplé. Paris est devenue une ville dangereuse et les JO sont bien partis pour se transformer en fiasco sécuritaire.

Mais vous ne savez que combattre une ultra-droite marginale qui ne tue personne. 

On estime le nombre de militants d’ultra-droite à 3 000 pour toute la France.

Et selon la police, il y aurait 2 % de radicalisés parmi nos musulmans. Ce qui donne 200 000 fanatiques pour 10 millions de musulmans sur notre sol.

Où est donc la menace principale ?  Qui tue au cri de Allahu akbar ? La France est le pays d’Europe le plus touché par le terrorisme et les agressions.

Depuis de Gaulle et Pompidou, plus un seul homme d’État n’a gouverné la France. Ce ne sont que de misérables petits politiciens qui se sont succédé et ont détruit l’héritage des Trente Glorieuses. La France ? Elle peut bien disparaître dans le tourbillon mondialiste, seule compte la carrière de ces fossoyeurs de la nation.

De Gaulle doit se retourner dans sa tombe. La France, vous l’avez entièrement détruite.

Notre pays est ruiné avec  3 000 milliards de dettes. La pauvreté explose avec une immigration de masse de déshérités le plus souvent illettrés, inutiles à une économie moderne.

Vous avez détruit le petit commerce, vous avez saccagé l’industrie et le monde ouvrier, vous assassinez l’agriculture et nos paysans en les livrant à une concurrence déloyale.

Vous avez liquidé le nucléaire, notre filière d’excellence, pour plaire aux illuminés de l’écologie. Vous avez tué les surgénérateurs Superphénix et Astrid, domaine où nous avions 30 ans d’avance et qui nous assurait de l’énergie à profusion pour mille ans.

Nos écoliers sont devenus des crétins avec vos méthodes pédagogiques délirantes. On peut avoir le bac avec trois fautes à chaque ligne et en étant nul en maths. Les diplômes sont dévalorisés comme jamais.

Notre système de santé s’est effondré. Nous sommes l’hôpital du tiers monde, mais des millions de Français n’ont plus les moyens de se soigner. Priorité aux sans papiers avec l’AME.

L’armée est laminée avec un misérable budget de 47 milliards, alors que les seuls intérêts de la dette coûtent 50 milliards et bientôt 70 milliards avec les taux qui s’envolent. La dotation annuelle de nos armées en obus de 155 mm correspond à la moitié de ce que les Russes tirent quotidiennement. Nos stocks sont vides mais nous aidons l’Ukraine !

La police n’a plus aucune autorité. C’est par milliers que gendarmes et policiers démissionnent, écœurés d’être abandonnés par un pouvoir lâche, qui donne toujours raison aux racailles des cités par peur des émeutes.

Bientôt, plus personne ne voudra être policier, enseignant, soignant, pompier, pour se faire tabasser sans droit de se défendre.

Plus rien ne fonctionne. Les transports, la Poste, la SNCF, sont à l’abandon. 

Tous ces secteurs faisaient notre fierté il y a quarante ans, quand la France savait tout faire, ne connaissait ni chômage ni insécurité et surfait sur une croissance à la chinoise.

Vous avez saccagé le droit de propriété au profit des squatteurs qui restent inexpulsables.

Vous avez tué la liberté d’expression au nom du politiquement correct.

Vous avez liquidé la légitime défense, y compris à domicile, où tout agresseur et intrus venu vous voler ou vous tuer peut porter plainte pour séquestration illégale, si vous avez la chance de le maîtriser en attendant la police.

En résumé, nous sommes gouvernés par des lâches qui n’ont fait que combattre le FN et les patriotes. Le résultat de cet aveuglement est que nos politiques sont devenus les otages de nos millions d’immigrés, par peur des émeutes et de la guerre civile. Macron rase les murs, comme tous ses ministres.

Mais la guerre civile est déjà là. Les émeutes, les crimes racistes antiblancs, l’islamisme conquérant sont en constante expansion devant un pouvoir tétanisé qui ne sait que se coucher.

Pourtant, un Zemmour serait en mesure de sauver le pays, tant son programme musclé est à la hauteur du défi. Mais le peuple français n’a pas encore pris la mesure de la catastrophe.

Est-ce que la tragédie de Crépol, symbole du racisme antiblanc qui anime une partie de nos immigrés, va ouvrir les yeux des citoyens ? Est-ce que la classe politique va enfin réaliser que le multiculturalisme est un leurre et que l’islam ne compose avec aucune autre culture dès lors qu’il est en position de force ? À suivre…

En attendant, tous nos politiques ayant eu une parcelle de pouvoir depuis quarante ans sont coupables de haute trahison. De Gaulle leur a légué un paradis, ils en ont fait un enfer.

Jacques Guillemain, Riposte Laïque

. La Grande répartition des migrants clandestins en France

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. Nettement plus de 1 million d’étrangers en situation irrégulière en France

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++ WEBTUBE : Une occultation criminelle par les pouvoirs publics
Selon Jean-Paul Gourevitch et le rapport au Parlement sur les étrangers en France de l’année 2019, le nombre des migrants irréguliers est par définition inconnu. Ce n’est pas tout à fait exact. Un rapport du Sénat de 2006 fait état de manière détaillée de méthodes d’estimation de l’immigration irrégulière présentées dans un rapport de référence établi en 1998 pour Eurostat. Pourtant aucune étude de ce type n’a été menée car, à ce jour, ni le Conseil national de l’information statistique « (CNIS) ni l’Union européenne ni les pouvoirs publics n’ont exprimé une demande de chiffrage des clandestins en France. C’est donc bien une volonté politique criminelle des pouvoirs publics qui écarte toute évaluation de l’immigration clandestine par l’INSEE.

Des estimations en progression mais particulièrement incertaines
En 2017 Gérard Collomb avait estimé le nombre d’ESI à environ 300 000, soit moins que celui des bénéficiaires de l’AME ce qui constituait une triste blague.
Jean-Paul Gourevitch, dans sa monographie n 27 de 2012, a estimé, à l’issue d’un travail fouillé, le chiffre de l’immigration irrégulière à 680 000. Dans son étude 2023, il a « adopté » le chiffre de 800 000 pour la métropole et l’outre-mer. On ne peut que s’étonner que son estimation des ESI n’ait progressé que de 18 % en 10 ans.
De même il apparaît étonnant que cette estimation soit légèrement inférieure à celle, récente, de Damarnin qui a affirmé qu’aujourd’hui notre pays compte entre 600 000 et 900 000 irréguliers alors que cet aigle de la politique française est particulièrement prédisposé à sous-estimer ce type de chiffres.

C’est d’ailleurs ce qui a amené Pierre Cassen, dans un article du 23 novembre 2023, a exprimé sa crainte que l’on ait dépassé le million depuis longtemps. C’est ce point de vue que je partage depuis plusieurs années, comme démontré ci-dessous.
Le calcul du nombre de clandestins sur la base du chiffre des bénéficiaires de l’AME
Les trois méthodes proposées dans un article de 2019

Trois méthodes ont été proposées et précisément décrites dans un article du 27/11/ 2019.
– Une méthode à partir des flux d’ESI depuis 2011.
– Une deuxième méthode qui appliquait le ratio d’ESI du 93 aux populations des départements les plus concernés par l’arrivées d’illégaux.
– Une troisième méthode fondée sur le multiplicateur du nombre de bénéficiaires de l’AME.
Les chiffres de l’immigration clandestine ainsi proposés par les trois méthodes étaient compris à l’intérieur d’une fourchette entre 1 015 000 et 1 600 000 ESI.

C’est la dernière méthode qui qui est apparue comme celle offrant le plus de garanties quant aux résultats obtenus qui a été retenue dans le livre « Immigration, l’épreuve des chiffres ».
La méthode issue du rapport de l’Assemblée nationale sur l’action de l’État dans le département de Seine-Saint-Denis de 2018.
En mai 2018 un rapport d’information a été remis à l’Assemblée nationale sur l’action de l’État en Seine-Saint-Denis. Au sein de ce rapport angoissant, car ce département échappe désormais largement à l’autorité de l’État, il convient de retenir un passage important et révélateur :
« Le département est un sas d’entrée de la France par l’aéroport Roissy-Charles-de-Gaulle » … « Sur le flot d’entrants figurent des personnes désireuses de demeurer en France mais ne disposant pas des titres de séjours les y autorisant » … « Ces hommes, femmes et enfants sont une réalité démographique avec laquelle les pouvoirs publics doivent compter. Or, ces derniers n’arrivent pas à les dénombrer. Selon les estimations des interlocuteurs rencontrés par les rapporteurs, ces personnes en situation irrégulière seraient entre 150 000, 250 000 personnes voire 400 000 ».

L’ incertitude se reflète dans les estimations données par le directeur de l’Immigration du ministère de l’Intérieur lorsqu’il fut entendu par les rapporteurs du rapport d’information : « le chiffre de 150 à 200 000 personnes est crédible, si l’on s’appuie sur le calcul consistant à multiplier par trois les 56 000 ou 57 000 bénéficiaires de l’AME… ». Cette estimation, également reprise par le préfet de Seine-Saint-Denis, lors de son audition par les rapporteurs et qualifiée de “crédible”, peut être affectée d’une marge d’erreur de 33 %.

Si l’on applique le coefficient d’extension 3 cité ci-dessus au nombre total de bénéficiaires de l’AME en 2019 estimé à environ à 335 000, on aboutit à un chiffre de 1 000 000.
Mais comme l’a indiqué le directeur de l’Immigration du ministère de l’Intérieur qui devait savoir ce dont il parlait, le chiffre de l’AME est minoré par rapport au public potentiellement concerné. Le préfet du 93 qui avait forcément un aperçu de la réalité de son département, a repris, lors de son audition, cette méthode d’estimation, qualifiée de crédible, avec une marge d’erreur de 33 %.

C’est la raison pour laquelle cette marge d’erreur devrait se traduire par une augmentation du coefficient multiplicateur. Ainsi le haut de la fourchette obtenu par cette méthode serait de 1 000 000*1,33 = 1 330 000.
Il fallait rajouter l’évaluation du nombre de clandestins dans deux départements d’outre-mer la Guyane et Mayotte :
• dans son ouvrage : « la déferlante » Jean-Philippe Lévêque rappelle (page 175), alors que la population guyanaise s’élevait officiellement à 285 000 habitants à la fin de 2019, que, selon le président du tribunal administratif, 30 % de la population vivant en Guyane étaient d’origine étrangère ce qui représenterait à peu près 85 000 clandestins ;
• pour ce qui est de Mayotte la moitié de la population était de 256 000 personnes en 2017 selon l’INSEE Première. Selon le député LR de Mayotte, Mansour Kamardine, le nombre de clandestins dans ce département était compris entre 64000 et plus probablement 100 000.

Au final nous pouvions arriver à un nombre total d’ESI avoisinant 1 500 000. Par prudence j’ai retenu pour les besoins de mon livre le chiffre de 1 300 000.

Considérations sur cette méthode

Dans son étude de 2023, Jean-Paul Gourevitch conteste mon extrapolation à partir de la Seine-Saint-Denis vers la France entière comme n’étant pas scientifiquement recevable. Elle a été pourtant confirmée par le parlementaire responsable du rapport au cours de l’entretien que j’ai eu avec lui.
Pour ma part je conteste le terme de méthode scientifique concernant les calculs liés à l’immigration. Celle-ci est le domaine du flou et de l’à peu près dans un contexte que j’ai appelé la pénombre de l’immigration. Dans ces conditions, évoquer un tel caractère scientifique est une vue de l’esprit. D’ailleurs dans son ouvrage, Gourevitch retient un moyen terme entre Gérard Collomb et Stéfanini, soit 600 000. Il n’y a rien là de scientifique et se référer au chiffre de Collomb ne semble pas recevable.

Un an après mon article de 2019, Patrick Stefanini, dans son ouvrage « immigration ces réalités qu’on nous cache » paru en 2020, a utilisé cette même méthode, mais en se limitant au seul coefficient 3, soit un résultat de 900 000 hors les Drom.

L’ONG “Médecins du monde” a rendu public en octobre 2019 un rapport sur l’accès aux soins des personnes, majoritairement étrangères, qui se rendent dans ses centres en France. Dans ce rapport, il est souligné qu’environ 85 % des personnes en situation administrative irrégulière ne relèveraient pas de l’AME. En effet, les personnes se présentant dans les centres d’accès aux soins de cette ONG sont dans des situations de non-recours à leurs droits, soit parce qu’elles ne savent pas comment procéder, soit parce que les dispositifs sont saturés et les délais allongés.
Le bon ratio ne serait plus alors de 3, mais de 6,5 – ce qui donnerait plus de 2 millions de clandestins…

Bien entendu “Check News Libération”a protesté vigoureusement dans un article du 9/10/2019, avec des arguments peut être valables, mais trop techniques pour être perçus par tout un chacun et à l’évidence orientés.
Ceci étant, 2 millions de clandestins, c’est beaucoup et probablement beaucoup trop. Encore qu’aujourd’hui…
(Cette question a été confirmée dans un article de Réseau international du 23 octobre 2023 signé Yves Guéchi).

L’affaire du verbatim
J’ai souhaité consulter le verbatim des auditions réalisées dans le cadre du rapport de la Commission d’enquête. Ne le trouvant pas sur Internet, j’ai appelé les services de l’Assemblée nationale en octobre 2020. En effet, ces auditions sont souvent riches en informations et en révélations. Les auditionnés quittent leur retenue et d’ailleurs ils y sont tenus par la Loi.

Il m’a été répondu fort poliment que ce verbatim, sur instructions du président de la Commission, était parti aux archives et n’était pas destiné à être communiqué au public. L’accès à sa communication ne serait pas possible avant 25 ans. C’est en soi révélateur de son intérêt. Bravo pour le respect des citoyens !

Alors j’ai contacté téléphoniquement un des parlementaires responsables dudit rapport. Au cours d’une discussion cordiale, celui-ci lui m’a cependant affirmé qu’il n’avait pas été établi de compte-rendu des auditions ; ce qui semble difficilement crédible.

En revanche, trois points très intéressants de notre discussion doivent être retenus :
1°- La question de l’immigration clandestine, et plus particulièrement celle de son évaluation chiffrée, est traitée par les pouvoirs publics dans « un flou complet », expression que mon interlocuteur a répétée à plusieurs reprises et qui, à elle seule, démontre l’indignité des responsables ;
2°- Il a confirmé la validité de la méthode de calcul consistant à multiplier par 3 le nombre de bénéficiaires de l’AME du directeur de l’Immigration du ministère de l’Intérieur et du préfet du 93 ;
3°- Le ratio de 3 est vraisemblablement minoré et représenterait plutôt le bas de la fourchette. C’est la raison pour laquelle cette marge d’erreur devait se traduire par une augmentation du coefficient multiplicateur.

Qu’en est-il aujourd’hui ?
En 2022, selon un rapport d’information de la commission des finances de l’Assemblée nationale publié en mai 2003, il y avait précisément au 30 septembre 2022, 403 144 (arrondi à 403 000) étrangers en situation irrégulière bénéficiaires de l’AME.

L’application du coefficient 3 donne : 40300 x 3 = 1 209 000 ESI.
À ce chiffre il convient d’ajouter le nombre cité par Gourevitch au titre de Mayotte qui n’est pas concernée par l’AME : 150 000.

Résumé chiffré :
Application du coefficient 3 : 1 209 000
Mayotte : 150 000
Sous total : 1 359 000
(Nombre minimum d’ESI)
Coefficient 1 complémentaire appliqué au titre de l’incertitude : 403 000
Total : 1 762 000
(Version haute du nombre d’ESI)

Conclusion
Sur la base du nombre de bénéficiaires de l’AME en 2022, le nombre d’ESI présents en France en 2022 peut être estimé entre 1 359 000 et 1 762 000.

André Posokhow, Riposte Laïque

. Marie-Hélène Thoraval et Dorothée Pacaud : la résistante et la soumise

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++ WEBTUBE : On pourrait trouver quelques ressemblances physiques entre Marie-Hélène Thoraval et Dorothée Pacaud. Ce sont deux femmes qui ont dépassé la cinquantaine, mais n’ont pas encore atteint la soixantaine. Elles sont toutes deux maires de villes moyennes, plus de 10.000 habitants, mais moins de 30.000. Elles ont des enfants, sont hétérosexuelles, ont encore un mari, ce qui est de plus en plus rare. L’une ne cache pas une appartenance droitière à LR, l’autre a la gauche honteuse, mais des pratiques de gauche bien affirmées.

Mais dans les faits, tout oppose ces deux femmes, confrontées dans leurs communes, avec des données fort différentes, aux questions de l’immigration qui sont indissociables de celles de l’islam et de l’insécurité.

Elles sont toutes les deux menacées de mort, nous dit-on. On doit prendre très au sérieux les menaces qui touchent Marie-Hélène Thoraval, tout simplement parce qu’elle a rompu la loi du silence, et a décidé, après la mort de Thomas, de dénoncer tous les fléaux qui gangrènent sa ville, et plus particulièrement le quartier de La Monnaie, que nous appelons une zone islamisée.

Elle a rendu public le fait que les racailles qui ont assassiné Thomas étaient venues pour tuer du Blanc. Elle a relayé la demande des parents de requalifier l’assassinat de “raciste”. Elle a expliqué que 150 millions avaient été utilisés pour ce quartier, qui est le mieux traité de la ville, et que toutes les constructions avaient été vandalisées, au fur et à mesure, par certains habitants. Elle a expliqué que lors des dernières émeutes, tous les commerces avaient été saccagés et pillés, sauf ceux qu’elle a appelés “communautaires” et que nous appellerons musulmans. Elle a également affirmé, à la grande fureur des parents, que tous les enfants arrêtés, dont Darmanin a voulu cacher l’identité le plus longtemps possible, étaient descendants de délinquants et qu’ils reproduisaient un mode de vie. Elle a dit son ras-le-bol devant la culture de l’excuse, en permanence mise en avant par la gauche, mais aussi par des pans de la droite molle, très molle.

Bien évidemment, ces vérités lui valent des inimitiés, et surtout des menaces de mort, de viols, de décapitation et autres gentillesses, de la part des soldats d’Allah et de gauchistes, unis pour détruire la France par la haine et la terreur. Les racailles islamisées voulaient même organiser une manifestation devant l’Hôtel de Ville, après avoir fait déambuler leur milice dans les rues de Romans, en insultant et menaçant les habitants du centre-ville. Elle affirme, et c’est incontestable, être soutenue par des millions de Français qui lui demandent de refuser de se taire et de tenir bon. Son entretien accordé au JDD, ce jour, ne va pas arranger son cas, puisque, selon la doxa dominante, le journal dirigé par Geoffroy Lejeune serait d’extrême droite, et quiconque se réclame de la gauche n’aurait pas le droit de s’y exprimer.

https://www.lejdd.fr/politique/marie-helene-thoraval-maire-de-romans-sur-isere-beaucoup-de-francais-me-supplient-de-tenir-bon-140086

Justement, Dorothée Pacaud, nouveau maire de Saint-Brevin-les-Pins, a fait partie des signataires qui se sont permis, derrière les journalistes macronistes et gauchistes, de s’opposer, durant six longues semaines, au fait que le propriétaire du journal, Arnaud Lagardère, et celui qui détient le vrai pouvoir, Vincent Bolloré, aient décidé de nommer à la tête de l’hebdomadaire du dimanche Geoffroy Lejeune, considéré comme un proche d’Éric Zemmour. Le totalitarisme de la gauche a éclaté au grand jour, durant cette période où une caste a prétendu interdire à des journalistes, qui osent ne pas penser comme la majorité de la profession, d’exercer leur métier. Et en bonne soumise à la doxa dominante, Dorothée Pacaud a participé lâchement à la lapidation de la nouvelle équipe du JDD. Il suffit de lire, chaque dimanche, le contenu remarquable, mesuré, et très pluraliste (des ministres du gouvernement y donnent des entretiens) pour comprendre que derrière cette campagne, il y avait la volonté affichée de s’opposer au pluralisme de la presse.

Dorothée Pacaud est une petite professeur au visage sévère et à l’allure austère, qui n’a jamais été élue maire par les habitants, mais qui a profité de l’incendie de la maison de Yannick Morez pour se retrouver à la tête de la ville. Comme tous les bien-pensants, et sans la moindre preuve, tel Erwan Chartier au Poher, elle a accusé l’extrême droite d’être responsable de cette agression, alors qu’on sait que la piste d’extrême gauche, fort probable, n’a pas été explorée.

Elle a été la plus virulente militante du conseil municipal pour accueillir 110 migrants, tous hommes seuls, juste à côté d’une école maternelle et primaire, à La Pierre Attelée. Elle a offert des salles à des associations payées pour participer à l’invasion de la ville et de la France. Elle a multiplié les plaintes (avec l’argent de la collectivité) contre les patriotes qui refusent cette folie qui met en danger la vie des enfants du quartier, celle de leurs parents, et de tous les habitants. Elle a insulté les membres du Collectif de Préservation de la Pierre Attelée, les qualifiant de racistes et les classant à l’extrême droite. Elle s’est victimisée, se disant menacée de mort, sans jamais apporter la moindre preuve, alors qu’elle ne court aucun risque, chacun sachant que les seules vraies violences en France viennent des islamistes et des gauchistes, qui la soutiennent, puisqu’elle fait leur politique.

Par prudence, nous ne la qualifierons pas de “collabo”, mais juste de soumise à l’idéologie dominante, avec l’invasion migratoire, l’insécurité et l’islamisation du pays qui s’ensuit, donc de la mise en danger des Français, et des Brevinois.

Dans quelques jours, les premiers arrivants devraient s’installer dans le Cada de Saint-Brevin.

Pendant ce temps-là, Thomas est mort, à Crépol, près de Romans, poignardé par des racailles au profil de ceux qui viendront s’installer à Saint-Brevin.

Pendant ce temps-là, Fabienne, une infirmière de 68 ans, a été, à Lille, massacrée, violée, poignardée, égorgée, par un migrant au profil de ceux qui viendront s’installer à Saint-Brevin.

Pendant ce temps-là, un homme de 86 ans, à Pau, a été mortellement frappé par deux cambrioleurs au profil de ceux qui viendront s’installer à Saint-Brevin.

Pendant ce temps-là, dans une galerie marchande de la Région parisienne, un couple de 73 ans a été sauvagement massacré à coups de couteau par un migrant au profil de ceux qui viendront s’installer à Saint-Brevin.

Sans parler de dizaines d’autres de coups de couteau, voire de coups de marteau, comme ce samedi soir, à Paris. Sans parler du climat de terreur que vivent les Français dans toutes les villes où les racailles à couteau font la loi.

Comme le disait Éric Zemmour, “Ce sont toujours les Thomas qui tombent et ce sont toujours les Chahid qui les tuent”.

Or, pour l’instant, à Saint-Brevin, il n’y a que des Thomas, mais bientôt, les Chahid vont arriver, à cause d’une élue comme Dorothée Pacaud qui, par inconscience ou dogmatisme, ou les deux, met en danger la vie de ses administrés.

Marie-Hélène Thoraval, malgré son appartenance à LR, symbolise une France qui redresse la tête, refuse de mourir et combat la dictature des racailles et de leurs complices.

Dorothée Pacaud incarne la collaboration d’une élue avec la gauche et le pouvoir macroniste, qui veulent faire disparaître la France et remplacer les Français.

Entre ces deux femmes, il y aura toujours la frontière qui sépare les résistantes et les soumises.

Cyrano, Riposte Laïque

. Il était parmi les jeunes patriotes à Romans-sur-Isère samedi dernier. Il témoigne et dénonce les mensonges de la presse mainstream [Interview]

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++ WEBTUBE : Pierre d’Herbais, que nos lecteurs ont déjà pu lire sur Breizh-INfo.com, a rencontré un jeune patriote qui était à Romans-sur-Isère samedi dernier. Avec son témoignage, il veut remettre l’histoire à l’endroit et démonter les mensonges de la presse mainstream.

Depuis quelques jours, une partie de la presse mainstream salit à la fois Thomas (en déformant la réalité du drame de Crépol et en cherchant toutes les excuses du monde à des racailles venues armées dans un bal de village), tout en vomissant sur « l’ultra droite », en réalité sur des manifestants dont le seul « crime » est de dénoncer ce meurtre..et tous les autres.

 Breizh-info.com

. Cesária Évora en musique et en image

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++ WEBTUBE : Ana Sofia Fonseca est l’invitée de Certains l’aiment Fip pour son documentaire sur la légendaire diva aux pieds nus.

. Studios Disney : le wokisme ne paye plus

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++ WEBTUBE : Cette année, les fameux studios fondés par Walt Disney fêtent leur centenaire. L’occasion de faire la fête ? Pas pour ses actionnaires, semble-t-il. En effet, Bob Diger, son PDG, vient de faire repentance, à l’occasion du DealBook Summit, prestigieux événement organisé par le New York Times : « Les créateurs ont perdu de vue ce que devait être leur objectif numéro un. Nous devons d’abord divertir. Il ne s’agit pas d’envoyer des messages. »

Venant de celui qui, dès le début des années 2000, a poussé la firme aux grandes oreilles à basculer dans le progressisme militant, voilà qui ne manque pas de sel et encore moins de ketchup. Surtout quand cet homme de 72 ans profite de l’occasion pour battre sa coulpe sur la poitrine de ses salariés. Car le baiser homosexuel de Buzz l’éclair (2022), la nouvelle Petite Sirène (2023), héroïne du folklore danois, désormais incarnée par l’actrice noire Halle Bailey, c’est lui ; sauf à considérer qu’il ne soit pas le patron de sa propre entreprise.

Sans oublier Blanche-Neige et les sept nains, version new-look prévue à l’horizon 2025, avec « créatures magiques » en guise de nains et une Rachel Zegler affirmant, à propos de son interprétation : « Blanche-Neige ne sera pas sauvée par le prince. Et elle ne rêvera pas du véritable amour. Elle rêve de devenir la leader qu’elle sait pouvoir être. » Bref, de quoi donner, par anticipation, des sueurs froides aux actionnaires plus haut évoqués, rien qu’à imaginer une Blanche-Neige façon Angela Davis. Car il y a un facteur à ne pas négliger : le royaume enchanté de l’oncle Walt demeure avant tout celui du roi dollar.

Quand l’action Disney perd la moitié de sa valeur…

La preuve en est que du point de vue du box-office, les bides s’enchaînent depuis quelques années. Échecs critiques, tout d’abord, ce qui n’est pas le plus grave, mais, surtout, échecs publics ; ce qui l’est plus. Et quand on sait les budgets faramineux qui sont en jeu (pas un film ne se fait à moins de deux cent millions de dollars, somme généralement à doubler avec les frais de promotion), ça ne rigole plus.

À ce sujet — Sus au wokisme : la lingerie Victoria’s Secret renoue avec le joli

Et celui qui rigole encore moins, c’est le fameux Nelson Peltz, activiste boursier à la tête du fonds Trian, qui a déjà investi trois milliards de dollars dans les studios Disney : « Depuis que nous avons donné à Disney l’occasion de prouver qu’il pouvait redresser le navire, […] les actionnaires ont perdu 70 milliards de dollars… » Résultat ? La cotation boursière de cette entreprise n’est plus que de 170 milliards de dollars. Soit moitié moins qu’il y a deux ans.

Si l’on résume, en admettant que le wokisme ait payé un jour, force est de reconnaître qu’il ne paye plus. Et ça, à Hollywood, ça ne pardonne pas. À ce propos, on est d’ailleurs en droit de se demander par quelle aberration ces décideurs, tous issus des écoles les plus prestigieuses, ont pu commettre de telles erreurs de débutants. Car la marque Disney, depuis sa création, a toujours été portée sur ces valeurs traditionnelles et familiales, fédératrices par nature ; donc tournées vers un grand public qu’il convient plus d’émerveiller que d’éduquer.

Même le cinéma marginal n’est plus à l’abri du wokisme

Pour le cinéma militant, il y avait John Waters, par exemple, l’un des premiers à mettre en scène transsexuels et drag-queens et assumant crânement sa marginalité, quoiqu’il soit à son tour victime du wokisme, n’hésitant pas à affirmer au Point, le 10 mai 2023 : « Même RuPaul [drag-queen américaine emblématique, NDLR] ne peut plus utiliser l’expression “tranny”, mot familier pour qualifier les personnes trans, jugé trop offensant. […] Aujourd’hui, la censure vient davantage de la gauche que de la droite. »

Mais cela, les nouveaux dirigeants de Disney semblent l’ignorer, confondant grand public et public de niche. D’où ce réveil brutal, façon Victoria’s Secret, célèbre marque de lingerie obligée d’en revenir à ses fondamentaux historiques : faire défiler de jolies filles aux formes généreuses.

En d’autres termes, c’est le retour du principe de réalité. Réalité de l’argent, principalement ; en l’occurrence plus efficace que l’appel à la plus élémentaire des décences ou du simple bon sens.

Nicolas Gauthier, Boulevard Voltaire

. Strasbourg : le sapin de Noël victime du militantisme écolo

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++ WEBTUBE : Comme chaque année, le sapin de Noël trône au centre de la place Kléber de Strasbourg. Cette année, le 30 novembre, sur les coups de 17 heures, à l’heure où tous se pressent autour du sapin pour assister au lancement des illuminations, des militants écologistes de Dernière Rénovation ont troublé la fête. Contournant le dispositif de sécurité, l’un d’entre eux a déployé une banderole « Dernière Rénovation », les deux autres militants ont aspergé de peinture orange les branches inférieures de l’arbre sous les regards interloqués des touristes...

Leur message : dénoncer la COP28 de Dubaï inaugurée le même jour. Sur leur chasuble est inscrit ce slogan : «  COP28, criminal gang ». Ils ont été arrêtés par l’intervention d’un agent de la sécurité et par un touriste excédé : « C’est Noël, allez emmerder Macron », a-t-il lancé en arrachant la banderole, selon BFMTV. Les forces de l’ordre sont arrivées rapidement et les militants se sont laissé interpeller sans opposer aucune résistance.

Haut de près de 30 mètres, enguirlandé de quelque 7 kilomètres de câbles électriques, ce conifère fait la fierté du Christkindlemärket (marché de l’Enfant Jésus). Sa renommée le précède. En 2022, ce ne sont pas moins de 2,8 millions de visiteurs, selon les estimations de la ville, qui ont foulé les pavés de ce marché de Noël. Un record de fréquentation pour cette capitale de Noël !

Ce sapin avait résisté, en 2020 à l’idéologie écologiste. En effet, alors que le maire de Bordeaux Pierre Hurmic (EELV) décidait de remplacer « l’arbre mort » traditionnel du centre-ville par un sapin en verre recyclé, le maire de Strasbourg Jeanne Barseghian (EELV) avait réitéré son souhait de maintenir la tradition strasbourgeoise née en 1570. Mais cette fois-ci, les activistes écolos ont eu raison de l’arbre de Noël. Leur acte autoqualifié de « résistance civile non violente » s’apparente plutôt à un acte de vandalisme.

À ce sujet — Idéfix et le sapin de Noël

Hélène Laporte : « Ça n’a rien d’écologique comme réaction »

Hélène Laporte, députée RN du Lot-et-Garonne et vice présidente de l’Assemblée nationale, relève l’absurdité de ce geste. Elle commente auprès de BV : « C’est complètement stupide, ça n’a rien d’écologique comme réaction ». En effet, la députée RN explique que ce sapin est lui-même un symbole d’écologie : il respecte les principes de gestion durable de l’Office national des forêts. Il aura une seconde vie, précise-t-elle, une partie sera recyclée et le bois sera confié à une association qui le transformera en instruments de musique. « Je ne comprend pas ce symbole, poursuit-elle. C’est du saccage qui correspond à leur étiquette politique. Ils saccagent et ils détruisent, comme quand ils peinturlurent une œuvre d’art ou crèvent les pneus des 4×4. »

Hélène Laporte souligne que ce sapin de Noël ravit les enfants pendant des semaines et  offre un bonheur visuel gratuit à ces familles, dans un contexte économique très difficile où les plaisirs de Noël ne sont plus à la portée de tous. Elle conclut, excédée : « Faire parler d’eux, faire le buzz en faisant croire qu’ils vont sauver la planète… Ils ne sauvent rien, ils dégradent. »

Le groupe d’opposition à la municipalité a publié un communiqué de presse. Jean-Philippe Vetter, élu municipal LR, l’a transmis à BV, manifestant son mécontentement : « Nous devons condamner les méthodes contre-productives et dommageables adoptées par certains groupes. » Jeanne Barseghian, maire EELV de la ville de Strasbourg ne s’est pas (encore) exprimée publiquement sur le sujet. Contacté par BV, le collectif Dernière Rénovation n’a pas encore donné suite à notre demande.

Raphaelle Claisse, Boulevard Voltaire