IL VA FAIRE LE TOUR DU MONDE AVEC CETTE CITROËN DS DE 1969 !

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++ WEBTUBE : Les anciennes voitures et des fous comme Gérard Klein… On adore

Gérard Klein rêve encore à 80 ans, c’est ainsi que l’acteur animateur se présente avec sa DS Jaune qu’il emmène sur les routes de France du 7 au 31 Août 2023, à la rencontre des français tous les jours et en direct de 10h à 12 h sur Sud Radio, avant de partir en Amérique en 2024.Vous voulez contacter Gérard et connaître les dates et les villes qu’il visite : rendez vous sur www.gerardrevencore.fr

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Derrière les barreaux de Fresnes, une grande majorité d’étrangers

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Après des semaines d’émeutes, le débat est récurrent : y-a-t-il un lien entre immigration et délinquance ? À Fresnes, premier élément de réponse. Dans cette vieille prison françaises, plus de la moitié des incarcérés sont étrangers…

Il est 8 heures, ce mardi 29 novembre. Devant la large et haute porte bleu roi de la prison de Fresnes, à vingt kilomètres au sud de Paris, un petit groupe emmitouflé attend dans le froid. Il y a là, autour de la députée RN de Gironde Edwige Diaz, membre du bureau exécutif et vice-présidente du RN, quatre députés RN de la commission des lois, Stéphane Rambaud, Gisèle Lelouis, Marie-France Lohro et Timotée Houssin et une députée de la commission des affaires sociales, Bénédicte Auzanot, accompagnés de leurs attachés parlementaires et de cinq journalistes. Tous ont franchi un premier rideau, un mur surmonté de barbelés dont la porte est gardée et munie d’un passage levant. Ils ont longé les hautes murailles de la prison, sont passés sous les guérites. Sas, examen des bagages et habits, portes qui se déverrouillent et… nouvelle enceinte.

Edwige Diaz a été désignée par le groupe RN de l’Assemblée pour travailler sur la future loi sur l’immigration, dite loi Dussopt-Darmanin, du nom des deux ministres du Travail et de l’Intérieur. Un projet de loi ultra-sensible « pour l’asile et l’immigration dans la République ». Si sensible que l’exécutif donne la nette impression d’y aller… à reculons. Le texte qui devait déboucher en fin d’année devrait passer en Conseil des ministres en janvier puis au Sénat avant de revenir, en mars ou avril, à l’Assemblée. Avec près de six mois de retard. Le temps, pour la petite délégation, de creuser le sujet, d’arpenter le terrain et de visiter les prisons de France.

À Fresnes, rien ne semble avoir bougé depuis la construction de l’ensemble en 1898. Ni le vaste porche d’entrée, ni les trois immenses bâtiments qui barrent de part en part le quadrilatère ceint de murs, les « divisions », ni les murs d’enceinte surmontés de miradors. La délégation sillonne ce lieu d’Histoire. Les trois « divisions » sont desservies par des couloirs voûtés : 5 à 6 mètres de plafond à vue de nez, parquet au sol, fresques au mur représentant d’anciens prisonniers célèbres.

Chaque « division » est identique : vaste couloir central coiffé d’un filet (pour parer aux chutes volontaires des détenus qui enjamberaient les parapets), trois étages à droite et à gauche percés de petites portes de bois, basses, étroites. Sur chaque porte, un verrou manuel, une impressionnante serrure et un œilleton. Le tout, d’époque. Il règne une douce chaleur. En dépit des volumes, les prisonniers n’ont pas froid. Une odeur indéfinissable, de promiscuité, d’humidité et de nourriture tiède flotte dans l’air confiné. De temps à autre, un éclat de voix déchire le silence et résonne sous les voûtes. On ne distingue pas les propos, mal prononcés ou plus probablement hurlés en langue étrangère. Ils sont un ou deux par cellule de 10 à 12 m2. Le confort est sommaire : lit étroit, lavabo minuscule, cuvette de WC, table format poche, petite étagère.

Lorsqu’il fait froid comme aujourd’hui, les détenus laissent passer l’heure de la promenade et préfèrent rester au chaud dans leur cellule. Ils n’y vivent pas à plus de deux, actuellement, mais passeront à trois par cellule, bientôt, si les effectifs montent encore.

Chaque pensionnaire a droit à une heure et demie de sortie chaque jour, par groupes d’une trentaine de détenus, dans une minuscule courette entourée de murs de 6 mètres surmontés de barbelés. Des cours, on aperçoit les minces rubans de tissu anarchiques qui relient les unes aux autres les fenêtres des cellules : les prisonniers incarcérés se passent ainsi des produits ou de la drogue, achetés ou apportés lors des visites. Régulièrement, les employés nettoient ces fils que les prisonniers rétablissent aussitôt.

Le directeur, affable, attentif, répond à toutes les questions. Lorsqu’il sèche, ses services, papiers et chiffres en mains, complètent.

Fresnes respire encore l’Histoire de France. La prison verrouilla les écrivains Jean Genêt, Marc Sangnier (arrêté par la Gestapo), Robert Brasillach avant son exécution, Sacha Guitry, les politique Pierre Laval, Joseph Darnand, l’industriel de l’automobile Louis Renault. Brasillach, l’auteur des poèmes de Fresnes, reconnaîtrait sans difficulté le décor : rien ne semble avoir changé. Plus récemment, le collaborateur Paul Touvier, le patron d’Elf Loïk Le Floch-Prigent ou le tueur en série Michel Fourniret ont habité les cellules.

Mais Edwige Diaz n’est pas venue voir le décor de cette vieille prison française restée dans son jus. « Le but, c’est de savoir précisément quel est le nombre d’étrangers détenus ici », explique la députée. Le petit groupe a la réponse dès le début de la visite, dans les locaux de l’administration. « Fresnes abrite 1.915 détenus, dont… 887 étrangers », détaille un fonctionnaire pénitentiaire. Chiffres à fin novembre 2022, donc. Les étrangers détenus à Fresnes sont eux-mêmes issus de… 82 nationalités ! Et le nombre de doubles nationalités est inconnu. La tour de Babel échafaudée par le mondialisme se révèle là dans toute sa nudité. L’envers du discours sur l’intégration et le vivre ensemble parle de lui-même. Certaines nationalités sont mieux représentées que d’autres. En tête, les Algériens devancent en nombre les Marocains, les Tunisiens et les Roumains.

La proportion d’étrangers laisse les visiteurs sans voix. « Les chiffres déconcertent, je ne m’attendais pas à cela », confie Edwige Diaz qui précise que les prisons françaises détiennent environ un quart de ressortissants étrangers en moyenne. La France abrite 72.809 détenus au 1er novembre 2022, selon le ministère de la Justice« Ces chiffres valident notre conviction sur le lien entre immigration et délinquance, entre surpopulation carcérale et immigration », détaille la députée.

Un désastre pour les Français qui subissent les méfaits d’une population criminogène venue souvent illégalement. Des Français qui payent ensuite très directement sur leurs deniers le prix de la mise hors d’état de nuire des malfrats en prison, voire le coût de leur récidive et de leur réinsertion. « Ces personnes sont accueillies aux frais du contribuable : chaque détenu coûte environ 110 euros par jour », précise Edwige Diaz. Le prix d’un hôtel de bonne tenue. Chaque mois, un détenu coûte ainsi à la collectivité quelque 3.300 euros, deux fois le SMIC mensuel brut.

Comme si le maintien de l’ordre chez ses propres ressortissants ne suffisait pas, la France juge, défend, condamne et incarcère ainsi à ses frais une population de malfrats accourus du monde entier, souvent illégalement. Pour Edwige Diaz, trop, c’est trop. « Ce n’est pas aux Français trahis dans leur élan de générosité de régler les frais engendrés par la criminalité et la délinquance, tranche la députée. Nous sommes favorables à l’expulsion des délinquants étrangers. Ils effectueront (ou non d’ailleurs, peu importe !) leur peine dans leur pays d’origine : en tout cas, ils partent. Et ne reviennent pas. » De quoi mettre un terme, sans frais excessifs, à la surpopulation des prisons, thème cher à la gauche. C’est la NUPES qui devrait être contente !

Marc Baudriller, Article publié initialement le 03/12/2022 dans Boulevard Voltaire

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Le gouvernement lorgne sur l’argent des retraites du privé

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++ WEBTUBE : C’est vrai que cela fait tâche dans le paysage Français. Un système de retraite (l’Agirc-Arco) qui fonctionne et qui rend les gens heureux. S’en est trop, il faut absolument de Macron, Lemaire et sa clique mettent leur grain de sel dans cette mécanique bien huilée et efficace pour : 1) nous faire les poches et 2) rendre ce système rapidement déficitaire et obliger ces nantis de retraités à se relever les manches pour se trouver des petits boulots pour leur fin de mois…. Ben voyons

Bruno Lemaire a le sens de l’humour dilaté comme jamais. Il en faut une bonne dose, en effet, quand on est depuis six ans ministre de l’Économie sous la présidence d’Emmanuel Macron, pour oser donner des leçons sur la dette publique. Dans un entretien ahurissant donné à France-Info le 25 juillet, le petit maître de Bercy a professé « qu’une dette trop lourde c’est insupportable et que c’est un danger pour la nation française ». Qui croirait que, depuis qu’il est à Bercy, la dette publique a cru de 800 milliards d’euros en six ans, soit une augmentation de 27 % ! Elle dépasse aujourd’hui 3 000 milliards d’euros. La main sur le cœur et le portefeuille, le ministre s’en émeut et veut, pour sortir du rouge, « récupérer », en 2024, la moitié de la trésorerie détenue par les opérateurs d’État (CNRS, Pôle emploi, etc.) : soit un peu moins de 1,3 milliard d’euros au total. En regard, les seuls intérêts de la dette s’élèvent à 41 milliards en 2023 et augmenteraient jusqu’à 71,2 milliards en 2027 !

À en croire Le Maire, cette charge constituerait aujourd’hui le premier poste de dépenses de l’État. Il en omet un autre : les dépenses de retraites, qui « pèsent » quelque 338 milliards d’euros. Et c’est justement du côté des retraites que le gouvernement pourrait bien être tenté de chercher de quoi combler ses déficits (à commencer par ceux des régimes de la fonction publique).

L’Agirc-Arrco, régime de retraite complémentaire des salariés du privé, dispose de près de 68 milliards d’euros de réserve de financement, ce qui n’est pas considérable au regard des pensions de retraite versées chaque année (86,5 milliards d’euros en 2022), mais représente pour l’État une manne alléchante. Les organisations partitaires gestionnaires du régime ne l’ignorent pas et s’en inquiètent. Selon La Dépêche, des « responsables d’employeurs » soupçonnent le gouvernement de vouloir « utiliser cet argent afin de financer de nouvelles dépenses liées à la réforme des retraites ». Le quotidien toulousain citait, au mois de juillet, l’ancien président du Medef, Geoffroy Roux de Bézieux, ou le vice-président de la Confédération des petites et moyennes entreprises, Éric Chevée, qui demandait au gouvernement de « clarifier ses intentions ».

Or, les réserves de l’Agirc-Arrco résultent des prélèvements opérés sur les cotisants. L’appropriation par l’État de cet argent et son utilisation à d’autres fins que le paiement des pensions des retraités affiliés à ce régime constituerait donc une spoliation flagrante.

Le feuilleton du transfert des cotisations à l’Urssaf

Les réserves ne sont pas la seule cible du pouvoir. En 2019, le gouvernement inscrivait, dans la loi de financement de la Sécurité sociale (LFSS) pour 2020, le transfert du recouvrement des cotisations de l’Agirc-Arrco à l’URSSAF – autrement dit, à l’administration. Cette mesure, qui devait entrer en vigueur le 1er janvier 2022, devait permettre à l’État de mettre la main à discrétion sur les ressources du régime, soit environ 90 milliards d’euros annuels de cotisations. Au passage, il était prévu que l’Urssaf facturerait à l’Agirc-Arrco cette captation de ses ressources, en prélevant des frais de gestion dont l’enveloppe augmenterait de 5 % dès 2024 : la cerise en pourboire sur le gâteau volé !

Toutefois, en raison de vives résistances à son projet, exprimées notamment par la présidente de l’Agirc-Arrco, Brigitte Pisa, par un rapport très critique du Sénat et par des campagnes de pétitions comme celle organisée par l’association Sauvegarde Retraites, l’application de la mesure fut reportée par deux fois, au 1er janvier 2023, puis 2024. Finalement, Élisabeth Borne l’annula, par le biais d’un article de la réforme des retraites, elle-même incluse dans la loi de financement de la Sécurité sociale rectificative. Fin du feuilleton ? Non ! Car au mois d’avril, le Conseil constitutionnel a annulé l’annulation, en considérant qu’elle n’avait pas sa place dans la loi de financement rectificative.

Aujourd’hui, le transfert des cotisations de l’Agirc Arrco à l’Urssaf reste donc programmé dans la loi. Certes, Elisabeth Borne s’est engagée à réinscrire son annulation dans le prochain projet de loi de financement de la Sécurité sociale, examinée à l’automne prochain ; mais le contexte a changé depuis l’annonce de son abandon par le Premier ministre, en janvier 2023 : en pleine contestation de la réforme des retraites, le gouvernement avait alors intérêt à désamorcer ce conflit supplémentaire avec les organisations gestionnaires de l’Agirc-Arrco. C’est moins le cas aujourd’hui, même si les négociations avec les syndicats se poursuivent. Élisabeth Borne tiendra-t-elle sa promesse (en politique, elles n’engagent souvent que ceux qui les reçoivent…) ou cédera-t-elle à la tentation de prendre le contrôle du pactole des cotisations du privé, convoité par Bercy ?

Éric Letty, Boulevard Voltaire

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Les journalistes du JDD n’osent pas dire combien Bolloré les a achetés…

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++ WEBTUBE : Convictions de pacotille , tout s’achète surtout des journalistes aussi peu crédibles que ceux du JDD. Avec une bonne prime de départ tout est rentré dans l’ordre. Circulez il n’y a plus rien à voir. Bienvenue à Geoffroy Lejeune qui va rapidement rehausser le niveau du JDD qui était devenu une feuille de chou.

Franchement, chapeau les gars.

Ces journalistes du JDD viennent de donner à tout le pays une sacrée leçon. Ils ont résisté pendant six semaines contre le fascisme et son arrivée dans cet hebdomadaire. C’était Fort Alamo. Malheureusement, ils n’ont pas eu les renforts attendus et ont donc dû capituler. Comme ils disent dans leur dernier communiqué : « Ils n’ont pas gagné. » Étrange manière d’annoncer qu’on a perdu.

Notez que ces journalistes combattants n’étaient quand même pas des légionnaires. Ils n’avaient ni leur abnégation ni leur courage. La bataille du JDD ce n’était quand même pas Camerone.

On rappellera au lecteur qui ne le saurait pas que le 30 avril 1863, à Camerone au Mexique, 60 légionnaires firent le serment de se battre jusqu’à la mort contre une armée entière de Mexicains. Ils furent finalement vaincus et moururent tous après un combat héroïque qui coûta de terribles pertes aux Mexicains.

Héroïsme qui est invariablement commémoré chaque année par la Légion étrangère.

Au JDD, le combat fut héroïque, mais jamais ces vaillants journalistes combattants ne mirent leur vie en jeu.

Restons sérieux. Le combat ne s’est pas mené les armes à la main, mais à coup de communiqués et d’articles délirants dans les colonnes des journaux bien-pensants. Une prise de risques maximale.

Ces pauvres journaleux, qui ont joué aux résistants se levant contre les hordes fascistes qui envahissent le pays et souhaitent mettre en coupe réglée les médias du pays, n’ont au final été que les pitoyables acteurs rejouant jusqu’à plus soif la mauvaise pièce du « péril fasciste ».

On n’oubliera pas à ce sujet ce que Lionel Jospin, ex-leader du PS avant d’être Premier ministre, en disait sur France Culture le 27 octobre 2007 et qu’il répétera à plusieurs reprises au cours des années suivantes :

« Pendant toutes les années du mitterrandisme nous n’avons jamais été face à une menace fasciste et donc, tout antifascisme n’était que du théâtre. Nous avons été face à un parti, le Front National, qui était un parti d’extrême droite, un parti populiste aussi à sa façon, mais nous n’avons jamais été dans une situation de menace fasciste et même pas face à un parti fasciste. »

Il le redira également dans son livre Lionel raconte Jospin,  dans lequel il écrit :

« Je trouve ridicule la manière dont l’ensemble de la gauche, extrême gauche comprise, s’est ralliée bruyamment à Jacques Chirac sous le prétexte d’une croisade anti fasciste. Tout odieux que soit le Front National, il n’y avait pas en France de menace fasciste et la victoire du candidat de droite était absolument certaine sans onction socialiste. »

Normalement, tout individu intellectuellement honnête et objectif se rend compte à ce moment que depuis l’arrivée de Mitterrand au pouvoir en 1981, il s’est fait rouler dans la farine avec cette invention grotesque du péril fasciste qui menacerait le pays.

Et pourtant, cela continue de plus belle de nos jours. Cela fait donc 42 ans que cette théorie débile fait ses ravages et qu’un nombre considérable d’idiots font semblant d’y accorder du crédit.

C’est d’ailleurs le cas à Libération, qui fait sa «une» sur l’arrivée de Geoffroy Lejeune au JDD le 1er août, d’une manière absolument répugnante mais bien dans le style de ce journal immonde.

Geoffroy Lejeune serait donc le « saigneur » du JDD. Celui qui va égorger les courageux journalistes résistants. Alors voyons voir comment à l’occasion de son arrivée Geoffroy Lejeune a arrosé les murs du sang des journalistes résistants.

En réalité, en lieu et place de la boucherie annoncée par l’ineffable Libération, il y a eu une longue négociation avec les représentants des journalistes, en grève depuis 6 semaines.

Donc, quelles épouvantables conditions ont été faites aux courageux journalistes résistants dans l’accord trouvé avec les horribles Lagardère et surtout Bolloré (qui est en train de racheter Lagardère) ?

Tout d’abord, il est important de savoir que le salaire moyen d’un journaliste (pas les stars bien sûr) se situe à environ 2.500€ par mois. Donc, après une dizaine d’années d’ancienneté, on peut considérer que le salaire tourne autour de 3.000€ par mois.

L’accord qui vient d’être signé entre les représentants des journalistes et les patrons du JDD (Bolloré) a prévu les conditions suivantes :

  • 2 mois de salaire par année d’ancienneté, plafonné à 15 ans maximum.
  • 1 mois de salaire par année au-delà des 15 ans d’ancienneté.
  • 3 mois de salaire minimum pour ceux qui viennent d’arriver.

Rappelons que personne n’est obligé de partir. S’il le souhaite le journaliste peut rester ou sinon invoquer sa « clause de conscience ».

Tout cela c’est bien beau, mais en monnaie sonnante et trébuchante, qu’est-ce que cela représente ?

Si l’on prend comme salaire, le salaire moyen de la profession (2.500€) , cela donne :

  • 20 ans d’ancienneté = 15 X 5.000€ (2 mois/an) + 5 X 2.500€ (1 mois/an) … 87.500€.
  • 15 ans d’ancienneté = 15 X 5.000€ (2 mois/an) … 75.000€.
  • 10 ans d’ancienneté = 10 X 5.000€ (2 mois/an) … 50.000€.
  • 5 ans d’ancienneté = 5 X 5.000€ (2 mois/an) … 25.000€.
  • 2 ans d’ancienneté = 2 X 5.000€ (2 mois/an) … 10.000€.
  • 1 an d’ancienneté = 3 mois … 7.500€.

Avec un salaire de 3.000€ par mois, les chiffres s’envolent :

  • 20 ans d’ancienneté = 15 X 6.000€ (2 mois/an) + 5 X 3.000€ (1 mois/an) … 105.000€.
  • 15 ans d’ancienneté = 15 X 6.000€ (2 mois/an) … 90.000€.
  • 10 ans d’ancienneté = 10 X 6.000€ (2 mois/an) … 60.000€.Avec un salaire de 6.000 euros (fréquent pour un chef de service), cela fait le double…Avec un salaire de 12.000 euros (fréquent pour un rédacteur en chef), cela fait le quadruple !
  • On a vu pire comme conditions de départ. Même Médiapart, qui ne peut pas être accusé de collusion avec les « fascistes », le reconnaît en déclarant que ces conditions de départ sont très avantageuses et que les journalistes sont « soignés »… pas saignés.Boulevard Voltaire du 1er août indique à ce sujet :« À titre comparatif, le licenciement d’un salarié en CDI prévoit au minimum un quart de mois de salaire mensuel par année jusqu’à dix ans, puis un tiers de salaire par année supplémentaire. »La seule à faire tache dans le paysage médiatique étant la journaliste de Libération, Alexandra Schwartzbrod, qui propose de marquer ce jour d’une « pierre noire dans l’histoire de la presse ». Mais là, ce n’est plus une opinion, cela relève de la médecine.Un dernier mot.S’ils étaient logiques avec les principes qu’ils prétendent défendre, ces journalistes « résistants » ne devraient pas accepter cet argent puisqu’il vient de Bolloré, celui qui veut liquider la presse « libre » et imposer une presse d’extrême droite à tout le pays. C’est d’autant plus vrai que demander l’application de ce dispositif s’appelle « faire jouer la clause de conscience ».Curieusement les journalistes « résistants » du JDD ont sur le sujet des pudeurs de gazelle.Pas un ne semble décidé à refuser cet argent sale et qui pue puisque venant d’un « fasciste ».Mais où ai-je la tête, n’est-il pas vrai que l’argent n’a pas d’odeur ?Donc tout est sauf pour ces journalistes résistants, fors l’honneur. Mais en ont-ils seulement ?

Bernard GERMAIN, Riposte Laïque

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Randonnée à la montagne : horreur, je n’ai vu que des Blancs !

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Témoignage exclusif. De passage dans nos belles montagnes, j’ai cheminé sur les sentiers de randonnées, et sur les routes des grands cols, avec les courageux cyclistes.

Et horreur, je n’ai vu que des Blancs, je me serais cru en Afrique du Sud du temps de l’apartheid, en Russie du temps du communisme, ou dans l’Allemagne d’Adolf Hitler !

Le soir, je suis allé au restaurant, et pareil, que des Blancs !

Libération avait donc raison, en signalant la blanchitude du peloton du Tour de France, et c’est même pire que cela ! Heureusement, notre Choupinet national va y remédier…

Pierre Cassen dans Riposte Laïque

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Suède : des migrants toxicomanes dangereux pullulaient dans une banlieue de Stockholm désertée par la police. Après avoir tout essayé, les jeunes du quartier se sont résolus à utiliser la violence, mettant fin au problème

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++ WEBTUBE : Excellente initiative, il faudrait le même comportement dans nos banlieues françaises et même dans certains de nos villages ou villes moyennes puisque le phénomène du deal de drogue se développe un peu partout en France. En suite si cela fonctionne on pourra commencer à faire la grève de l’impôt. En effet si le citoyen prend à sa charge lui-même la sécurité on pourra s demander à quoi sert de financer la Police puisqu’elle est d’aucune utilité dans ces endroits là.

Pendant des mois, les habitants de Husby ont tiré la sonnette d’alarme auprès de la police.

Des toxicomanes vivaient dans leurs caves et leurs débarras, ils volaient et cambriolaient des voitures.

Mais rien n’a changé et les jeunes ont fini par se faire justice eux-mêmes.

Nous avons l’impression de ne pas être pris au sérieux. Nous avons dû prendre nos propres mesures”, déclare un habitant du quartier âgé de 18 ans.

Depuis plusieurs mois, les habitants de Husby rencontrent des problèmes avec les toxicomanes sans-abri qui passent la nuit dans les garages, les sous-sols, les entrepôts et les écolodges.

Dans les espaces vides de Husby, situé au nord-ouest de Stockholm, les gens s’entassaient entre des matelas et des couvertures sales, des déchets et des seringues, sans accès au chauffage ou à l’eau.

Il y a des seringues partout ici, dans les garages et les cours. C’est un danger pour nos enfants qui jouent ici”, déclare un habitant du quartier.

Plusieurs personnes interrogées par Aftonbladet affirment que les agresseurs sont apparus au début du mois d’avril.

Au début, les habitants pensaient que les problèmes étaient principalement liés aux seringues qui jonchaient le sol, mais au bout d’un certain temps, plusieurs vols personnels et cambriolages ont été commis en lien avec les toxicomanes.

Ces personnes sont très vulnérables. Elles sont sans papiers et seront expulsées du pays alors qu’elles n’ont nulle part où aller. Ils sont désespérés et ont essayé d’obtenir de l’argent en volant des gens et en entrant par effraction”, explique un officier de police travaillant dans la région.

Les habitants signalent également des vols dans la mosquée, des vitres de voitures brisées et, dans certains cas, des tentatives de viol.

Le phénomène est très répandu. Par exemple, plusieurs femmes se sont fait voler leur téléphone portable alors qu’elles se rendaient à la buanderie ou au magasin”, explique un officier de police.

Les signalements se sont multipliés
Au cours du printemps et de l’été, les vols et les cambriolages se sont poursuivis et de plus en plus de signalements ont été reçus par la police, mais aussi par des sociétés de logement qui possèdent des locaux là où les personnes dorment.

Nous avons même reçu des tuyaux à ce sujet de la part de criminels. Ils s’inquiètent pour leurs familles qui vivent dans le quartier. S’ils nous contactent, c’est que c’est grave“, explique un officier de police de la région.

Mais malgré plusieurs signalements, les vols et les cambriolages se poursuivent, tandis que l’inquiétude des habitants grandit.

On se sent frustré de voir que personne ne fait rien pour résoudre la situation. Nous parlons de vols, de cambriolages, de tentatives de viol. Notre quartier a été durement touché par les fusillades et nous nous sommes efforcés de le sécuriser. Si cela s’était produit dans un autre quartier, comme Danderyd, Djursholm, dans le centre ville, nous aurions reçu de l’aide dès que nous aurions donné l’alerte. Mais les autorités ne se soucient pas de ce qui se passe ici”, déclare un habitant.

Même les policiers interrogés par Aftonbladet se sont dits frustrés et résignés.

Je sais qu’à une occasion, nous avons renforcé notre présence, mais seulement pendant une semaine. Ce qui devrait se passer, c’est que vous vous asseyiez et que vous parliez aux gens, que vous parliez aux sociétés de logement. Il est facile de souder ces espaces, par exemple. J’ai travaillé dans plusieurs quartiers de Stockholm et cela n’aurait jamais été accepté dans d’autres quartiers. C’est ce qui me met en colère”, déclare un policier.

Les jeunes passent à l’action

Au printemps ou au début de l’été, un certain nombre de jeunes ont décidé de “prendre les choses en main”, car ils craignaient que les personnes âgées, les jeunes ou les personnes voyageant seules ne soient prises pour cibles.

Les jeunes se sont retrouvés le soir et ont commencé à rechercher les agresseurs.

Nous avons fait plusieurs signalements à la police, mais nous avons l’impression de ne pas avoir été pris au sérieux, car il n’y a pas eu de changement. Nous avons donc décidé de rechercher ces agresseurs et d’essayer de dialoguer avec eux”, explique l’un des jeunes.

Il a demandé à rester anonyme, mais il dit avoir 18 ans et avoir vécu dans le quartier toute sa vie. Selon lui, une quinzaine de jeunes se sont présentés le soir.

Nous avons essayé de leur parler pour qu’ils arrêtent de voler et de dévaliser, mais ces personnes sont sous l’emprise de diverses substances et drogues et ne sont pas réceptives au dialogue. Beaucoup d’entre eux sont également armés et l’un d’eux nous a attaqués une fois. Nous avons riposté”, explique-t-il.

Formation d’un “groupe d’autodéfense

À plusieurs reprises au cours du printemps et de l’été, des consommateurs de drogue ont été retrouvés sévèrement battus dans les rues et dans divers espaces, tandis que des vidéos montrant des jeunes en train de les poursuivre circulaient.

Les jeunes ont commencé à riposter et à former un groupe d’autodéfense. Ils sont désespérés et ont peur qu’il arrive quelque chose à leurs familles. Ils ne veulent pas que d’autres personnes soient volées, alors ils ont recours à la violence”, explique un officier de police.

Et c’est ainsi que le problème s’est aggravé. Pour la police, les rapports ne concernaient plus les vols et les cambriolages, mais aussi les agressions de sans-abri.

Pour les habitants, la peur et l’anxiété n’ont cessé de croître. Beaucoup ont témoigné qu’ils n’osaient plus se rendre seuls au magasin ou à la laverie.

À plusieurs reprises, des réunions ont été organisées entre la police, les jeunes et les organisations à but non lucratif à Husby, mais sans résultats concrets.

C’est également dans ce cadre qu’Aftonbladet a été contacté à propos de la situation.

C’est un problème qui doit être reconnu. Les habitants de Husby ne se sentent pas pris au sérieux, tandis que les sans-abri passent un très mauvais moment”, explique un officier de police.

Trahison des autorités

En ce début de juillet, le soleil brille sur Husby. La place est envahie par l’odeur des fruits chauds provenant des étals installés sur la place près du supermarché et du métro.

Deux ou trois semaines se sont écoulées depuis les derniers rapports de vols et d’agressions. Les matelas, les drogues et les seringues qui étaient éparpillés dans les garages et les cages d’escalier ont été enlevés et les portes des éco-lodges ont été barricadées.

Les habitants ne savent pas où se trouvent maintenant les sans-abri, mais beaucoup pensent qu’ils se sont rendus dans d’autres parties de la région de Järva.

Soar, 26 ans, et Osman, 25 ans, sont tous deux actifs au sein de Upprustningen i Husby – une organisation à but non lucratif qui s’occupe de promenades nocturnes, d’aide aux devoirs et de plaidoyer dans les zones vulnérables.

Je voudrais commencer par dire qu’il est inacceptable que les jeunes aient eu recours à la violence. À Upprustningen, nous condamnons la violence et le fait de se faire justice soi-même, déclare Soar, avant de poursuivre :

Mais le fait est que ce sont les jeunes qui les ont fait fuir et qui ont mis fin au problème. C’est tragique et c’est une trahison de la part des autorités.

Soar et Osman affirment qu’au cours de leurs promenades nocturnes, ils ont rencontré plusieurs des jeunes qui se sont rassemblés pour former le “groupe d’autodéfense”, comme l’appellent les habitants et les officiers de police.

Ce sont des jeunes qui n’ont jamais commis de délit auparavant. Ce sont de gentils garçons que nous rencontrons souvent lorsque nous sortons et avec lesquels nous entretenons de bonnes relations. Le fait qu’ils aient fini par recourir à la violence en dit long sur la gravité de la situation”, poursuit M. Soar.

Et même si la situation s’est calmée, ou a peut-être cessé à Husby, les habitants du quartier font preuve d’une grande résignation.

On nous a toujours dit de contacter les autorités si nous avions besoin d’aide. On nous a reproché de ne pas avoir alerté la police plus tôt. C’était l’occasion rêvée pour eux de nous montrer que nous pouvons obtenir de l’aide si nous la demandons, mais rien ne s’est passé”, déclare M. Osman.

“Plein d’aiguilles
Osman et Soar montrent les endroits où les agresseurs ont passé la nuit, où les vols ont eu lieu et où les voitures dans lesquelles les cambriolages ont eu lieu étaient garées.

Cet endroit était plein de seringues. Nous y trouvions souvent de la drogue, cachée dans de petits espaces. De nombreux vols ont également eu lieu ici. Vous devriez pouvoir vous déplacer librement dans votre quartier sans avoir peur”, déclare Soar, en montrant divers endroits dans un garage.

Aftonbladet a également vu plusieurs photos et vidéos de ce à quoi ressemblaient les lieux avant qu’ils ne soient nettoyés ou fermés.

Lorsqu’ils se promènent entre les immeubles de Husby, ils s’arrêtent souvent pour saluer les gens qu’ils croisent et disent qu’ici, tout le monde se connaît. Tous deux décrivent le quartier comme étant familial et accueillant, avec une communauté forte où les habitants veillent les uns sur les autres.

Lorsque vous vivez dans un quartier comme celui-ci, vous voulez qu’il reste sûr. Nous nous sommes beaucoup battus pour cela. Nous voulons que les habitants se sentent en sécurité lorsqu’ils sortent. Mais comment peuvent-ils se sentir ainsi si rien ne se passe lorsqu’ils portent plainte ? explique M. Osman.

Si nous vous parlons aujourd’hui, c’est pour souligner l’échec de la police, des autorités et des hommes politiques dans cette affaire. La police est intervenue lorsque nous avons donné l’alerte, mais les agresseurs n’ont pas bougé et les vols se sont poursuivis. Nous appelons cela de l’esbroufe : ils viennent ici et font de l’esbroufe quelques fois, mais il n’y a pas de changement concret”, déclare Soar.

Inquiétude quant à l’aggravation des problèmes
Soar et Osman comparent également Husby à d’autres quartiers de Stockholm.

  • C’est en comparant avec un autre quartier, en dehors des endroits où vivent nos dirigeants et nos hommes politiques, que nous voyons la différence entre la façon dont nous sommes traités et la façon dont ils sont traités. Ils ne permettraient jamais que cela se produise”, déclare Osman.

Tous deux estiment également qu’il s’agit en fin de compte d’une question politique.

Nous avons eu ce problème au printemps, mais demain, ce pourrait être autre chose. On a l’impression qu’il y a une approche déshumanisante des banlieues”, dit Soar.

Enfin, il ajoute que l’on craignait que la situation ne s’aggrave encore, que d’autres civils ne soient blessés et que le problème ne s’installe dans le quartier.

Il a fallu plusieurs mois avant que les agresseurs ne soient chassés de nos garages, de nos portes et de nos sous-sols, et cela semble s’être terminé pendant la période où ils étaient actifs à Husby.

Sentiments de résignation

Plusieurs jeunes qui faisaient partie du groupe dit d’autodéfense se disent aujourd’hui résignés.

C’est très triste que cela se soit produit et je suis vraiment désolé pour les personnes que nous avons ciblées, car nous comprenons tous qu’elles sont très vulnérables, mais je me suis aussi senti obligé de protéger ce quartier et ma famille. Le recours à la violence est vraiment la dernière solution”, a déclaré le jeune homme de 18 ans, qui a demandé à rester anonyme.

En même temps, il se dit très inquiet que la situation se reproduise.

Il y a beaucoup d’inquiétude à ce sujet, parce qu’on a l’impression que le problème a été mis sous le tapis par les autorités. En même temps, il y a aussi un sentiment de déception. Une fois que l’on a signalé, et que l’on recommence, rien ne se passe”, poursuit-il.

Comme beaucoup d’autres personnes avec lesquelles Aftonbladet s’est entretenu, il compare la situation à ce qu’il pense qu’elle aurait été si elle s’était produite dans une autre région.

Si cela s’était produit à Danderyd ou à Östermalm, il y aurait eu un changement immédiat, mais ici, à Husby, il ne se passe rien. On se sent impuissant”, dit-il.

Aftonbladet, Via FDSouche

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« C’est leur hypocrisie qui scandalise » : des sextapes révèlent la double vie d’ultra-conservateurs en Iran où l’homosexualité est passible de peine de mort

Articles     : Aout 2023Juillet 2023Juin 2023Mai 2023 – Facebook : https://www.facebook.com/profile.php?id=100069673161887 Twitter : https://twitter.com/OrtfNews

++ WEBTUBE : Quelque soit la Religion, quelque soit le régime (Occidental, communiste ou islamique) c’est toujours la même chose, c’est la loi du “Faites ce que je dis, pas ce que je fais). C’est la même chose chez les écolos où un certain Nicolas Hulot prêche l’écologie mais possède 6 ou 7 voitures de forte cylindrées. Tous ces militants de gauche qui demandent toujours plus d’immigration mais qui n’habitent pas là où les migrants sont “parqués” ! A vous dégouter de la politique et de la nature humaine.

Des images mettant en scène plusieurs responsables ultra-conservateurs se livrant à des relations homosexuelles ont envahi les réseaux sociaux iraniens. Dans ce pays où l’homosexualité est passible de peine de mort, le régime iranien a tenté de nier et de dissimuler les vidéos : une façon de “sauver la face”, selon un ancien membre des autorités religieuses avec qui s’est entretenu la rédaction des Observateurs de France 24.

Le 18 juillet dernier, une vidéo publiée sur la chaîne Telegram “Gilan News” a dévoilé des images de Reza Seghati, le directeur général du bureau du ministère de la Culture de la province du Guilan, en train de s’adonner à des pratiques sexuelles. Sur l’enregistrement, on le voit avoir un rapport avec un autre homme. Reza Seghati ne semble pas réaliser qu’il est filmé. L’homosexualité est illégale en Iran et peut-être passible de peine de mort.

[…]

France24

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Emmanuel Macron vante la mise en oeuvre d’une “politique de peuplement” afin de disperser les migrants dans toute la France : “Nous avons toujours été un pays d’immigration et nous continuerons de l’être”

Articles     : Aout 2023Juillet 2023Juin 2023Mai 2023 – Facebook : https://www.facebook.com/profile.php?id=100069673161887 Twitter : https://twitter.com/OrtfNews

++ WEBTUBE : On sait bien que Macron exécute les consignes (ordres ?) de l’Union Européenne qui rêve de voir notre continent peuplé de main d’œuvre à bon marché même si cela va à l’encontre d’une bonne intégration et assimilation de ces nouvelles populations. Ce qui compte c’est les résultats et les performances économiques…. l’âme du pays, l’UE et M. Macron n’en ont rien à faire ! Il serait temps de se révolter et de monter à ce “petit valet” de l’UE que l’esprit Français n’est pas mort. Faites suivre.

Immigration, émeutes… le chef de l’État a accordé une interview au Figaro Magazine, en marge de son déplacement en Nouvelle-Calédonie fin juillet.

« Ces émeutes ne sont pas un sujet d’immigration actuelle, précise-t-il. C’est un sujet plus large de difficultés de certaines villes, de difficultés socio-économiques, de difficultés d’intégration dans certains cas et de fonctionnement de la démocratie à l’heure des réseaux sociaux. »

Alors que son ministre de l’Intérieur avait dressé le profil des émeutiers, disant étudier les statistiques, le président de la République a calmé le jeu. « Quand on regarde les choses de manière lucide, 90 % des personnes interpellées sont des Français. Après, on n’a pas de statistiques ethniques dans notre pays. Il y a des Français issus de l’immigration, d’autres qui ne sont pas issus de l’immigration. »

Le chef de l’État a livré quelques indices sur sa politique en matière d’immigration à la rentrée, sans livrer d’exclusivité fracassante. « Nous avons toujours été un pays d’immigration et nous continuerons de l’être », assure-t-il.

(…) Emmanuel Macron a en revanche vanté la mise en œuvre d’une « politique de peuplement » car il craint l’émergence en France de sociétés vivant « dos à dos ». « Beaucoup de gens disent Non, nous, on ne veut pas voir de nouveaux arrivants chez nous. Moi, je pense qu’on intègre d’autant mieux qu’on le fait de manière diffuse. Si vous mettez toutes les familles ukrainiennes qui arrivent dans les mêmes endroits, vous ne les intégrez pas », explique-t-il.

Le Parisien

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« Nous sommes musulmans, ne faites pas ça devant nous » : Un danseur poignardé à mort après des insultes homophobes à New York

Articles     : Juillet 2023Juin 2023Mai 2023Avr. 2023  – Facebook : https://www.facebook.com/profile.php?id=100069673161887 Twitter : https://twitter.com/OrtfNews

++ WEBTUBE : L’Europe n’est pas le seul continent touché. Aux Etats-Unis aussi des incidents avec les musulmans commencent à se produire régulièrement. Ici un cas à New-York. Tout cela finira mal à moins que comme chez nous tout le monde laisse faire…

O’Shae Sibley, danseur professionnel âgé de 28 ans, est mort poignardé ce week-end à New York après une altercation dans une station-service. Selon les témoins, il exécutait des pas de voguing sur une musique de Beyoncé quand un groupe d’hommes s’en est pris à lui.

Selon le récit des médias américains, dont le New York Times, O’Shae Sibley exécutait des pas de voguing sur une musique de Beyoncé quand un groupe d’homme a commencé à proférer à son encontre des insultes, en particulier homophobes. Les images de surveillance vidéo montrent une altercation avec un groupe d’hommes. “Il n’y a rien de mal à être gay”, auraient lancé en chœur Otis et O’Shae Sibley, avant que le ton monte. “Ils répondaient ‘nous sommes musulmans, ne faites pas ça devant nous‘”, poursuit un témoin de la scène auprès du New York Daily News cité par LGBTQ Nation. C’est alors que l’un des hommes poignarde O’Shae Sibley avant de s’enfuir. Le jeune homme sera déclaré mort aux urgences. Une unité de police spécialisée dans les crimes de haine a été chargée de l’enquête, et les enquêteurs estiment que l’arrestation de l’individu recherché, mineur, “n’est qu’une question de temps”rapporte CBS.

[…]

TETU

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Médine invité par les écolos : quand EELV méprise la France et la République

Articles     : Juillet 2023Juin 2023Mai 2023Avr. 2023  – Facebook : https://www.facebook.com/profile.php?id=100069673161887 Twitter : https://twitter.com/OrtfNews

++ WEBTUBE : Au moins avec EELV (Les verts) on sait où va la France. Au désastre. Ce qui est bien c’est que leurs actes sont en accord avec leurs idées… Leur université d’été avec ses invités en est le reflet.

Qui dit saison estivale dit universités d’été des partis politiques. Pour marquer le coup et faire parler d’eux, Europe Écologie Les Verts (EELV) vient d’annoncer la présence du sulfureux rappeur Médine à leurs journées d’été qui se tiendront du 24 au 26 août prochains au Havre. Un choix assumé par les instances du parti écologiste, alors même que le chanteur normand multiplie depuis plusieurs années les provocations contre la France et les partis de droite.

Cette annonce n’est pas passée inaperçue. Ce lundi 31 juillet, les organisateurs des journées d’été du parti écologistes ont dévoilé la présence inattendue du rappeur Médine pour « un atelier d’explication de texte » sur le thème « La force de la culture face à la culture de la force »« Dans ses textes, il dit parfois des choses écolo, d’autres pas écolo », se justifie Léa Balage El-Mariky, organisatrice de l’événement, comme le rapporte Le Figaro. Selon cette adjointe à la mairie du XVIIIe arrondissement de Paris, Médine « s’est beaucoup exprimé après la mort de Nahel, sur le racisme dans la police. On a ça en commun, même si on ne le fait pas vraiment de la même manière ». Marine Tondelier, secrétaire nationale du parti, qui assume et revendique cette invitation, a, elle aussi, confié avoir « beaucoup de combats communs » avec le rappeur.

Anti-RN et anti-France

Mais quels sont donc les combats que le parti écologiste partage avec Médine ? Il y a tout d’abord son combat contre le Rassemblement national, sans aucun doute. Depuis plusieurs mois, le rappeur installé au Havre multiplie les provocations à l’encontre du parti à la flamme. Le 1er mai dernier, à l’occasion de la venue de Marine Le Pen dans la ville de Seine-Maritime, il avait ainsi organisé une contre-manifestation. L’objectif : faire savoir à la députée du RN « qu’on ne veut pas d’elle et de ses troupes au Havre », expliquait le rappeur sur son compte Twitter. Un mois plus tôt, lors d’un concert à Agen, Médine proposait à son public de frapper une piñata à l’effigie de membres du Rassemblement national et de Reconquête. Toujours dans le cadre de sa tournée 2023, le chanteur avait également mis en ligne une vidéo dans laquelle on le voyait lancer des fléchettes sur les portraits de Frédéric Cabrolier, député RN du Tarn, et de Bernard Carayon, maire LR de Lavaur (Tarn). Pour rappel, les deux hommes s’étaient opposés à la venue de Médine à Albi pour « risque de troubles à l’ordre public ».

À ce premier combat politique s’ajoute un autre combat civilisationnel. Comme nous le confiait Bernard Carayon, en mars dernier, « Médine est un ennemi de la République et des valeurs françaises ». Il suffit, pour s’en rendre compte, de regarder de plus près le texte de ses chansons. Nombreuses d’entre elles peuvent en effet être interprétées comme des hymnes anti-France. En 2008, dans l’un de ses titres, il chante ainsi : « Laïcité liberticide, qui viole nos droits civiques sans préservatif. » Sept ans plus tard, il recommence avec « Don’t Laïk » : « Je scie l’arbre de la laïcité avant qu’on le mette en terre […] Je me suffis d’Allah pas besoin qu’on me laïcise. » Et il poursuit : « Crucifions les laïcards comme au Golgotha. » Dans le clip de cette chanson, Médine mime l’égorgement avant de filmer un buste de Marianne tagué. Ces propos lui avaient valu de se faire traiter de « rappeur islamiste » par Aurore Bergé, aujourd’hui membre du gouvernement. Médine, qui a également produit un album intitulé Jihad, avait alors porté plainte contre l’élue des Yvelines.

Il n’est donc pas étonnant que l’on retrouve le chanteur à une conférence du Parti des indigènes de la République, parti politique anti-France qui développe une sémantique jugée antisémite et homophobe. Médine lui-même avait, dans une vidéo exhumée par Marianne, repris le terme « tarlouze », une insulte homophobe, selon plusieurs associations LGBT. Par ailleurs, depuis la mort de Nahel, le rappeur alimente l’hostilité contre les forces de l’ordre en apportant son soutien à toutes les présumées victimes de violences policières. Ce ne sont pas les élus écologistes, premiers à taper sur la police, qui le contrediront.

À ce sujet — Cesse-t-on d’être une femme quand on est élue RN ? Oui, la preuve par Médine

Si les Verts, avec cette invitation, cherchaient à faire parler de leurs journées d’été, le pari est réussi. Mais ce coup de communication en dit long sur l’idéologie des écolos. Comme le résume l’avocat Gilles-William Goldnadel, au micro de Sud Radio« ces gens-là n’ont aucune agressivité pour la mouvance islamiste. La seule personne qu’ils détestent, c’est le mâle blanc. » Tout un programme…

Clémence de Longraye, Boulevard Voltaire

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