Des coups de feu ont été tirés et un homme a été poignardé à la tête après que des voyous armés de machettes et de haches aient tendu un guet-apens à un automobiliste avant de s’acharner sur sa voiture.
Les images montrent le moment où la BMW blanche fait marche arrière dans une rue car elle est bloquée par une voiture noire.
En 2017, 182 dealers de crack ont été arrêtés dans les couloirs du métro parisien. On les appelle les « modous ». Pour lutter contre ce fléau, une équipe passe ses journées à les traquer.
Publié le 9 mars 2018 – par Jacques Guillemain sur Riposte Laïque.
La catastrophe migratoire est imminente, pour la simple raison que l’Etat ne cherche aucunement à l’éviter. Il subit, totalement impuissant. A quoi sert-il ?
Non seulement il estime que le tsunami venu d’Afrique va s’amplifier, mais sa seule priorité est de prévoir le financement de cette politique d’accueil suicidaire.
Le cas des mineurs isolés, MNA, est la parfaite illustration de l’incapacité de l’Etat à stopper l’invasion. C’est la brasse coulée généralisée, puisqu’un mineur est inexpulsable.
Et le regroupement familial suivra plus tard…
Notre politique est délirante.
La population en Afrique étant passée de 300 millions à plus d’un milliard d’habitants entre 1960 et 2018, sans que le PIB du continent ait suivi, qu’en sera t-il en 2050, c’est à dire demain, quand la population africaine atteindra 2,5 milliards d’habitants ?
La France a accueilli 50 000 jeunes étrangers l’an dernier. Beaucoup sont de faux mineurs, mais les contrôles sont inexistants !
Les départements ont pris en charge 25 000 mineurs pour un coût démentiel de 50 000 euros par mineur et par an, soit au total 1,250 milliards pour l’année.
Je rappelle que plus du tiers de nos paysans survit avec moins de 350 euros par mois, soit 4000 euros par an, donc 12 fois moins que ce que coûte un mineur isolé.
La grande différence est qu’un paysan, loin d’être à la charge du contribuable, nourrit 60 personnes en travaillant 80 heures par semaine sans jamais prendre de vacances.
Si l’immigration est une richesse pour la France, elle ne l’est ni pour le contribuable, ni pour nos paysans qu’on laisse crever car pour eux les caisses sont désespérément vides.
Mais pour les mineurs isolés, c’est le branle-bas de combat généralisé. Et de l’argent, on va en trouver !
Inspections générales de l’Administration, des Affaires sociales, de la justice et Assemblée des départements de France, ADF, sont mobilisées.
Les départements, responsables de l’aide sociale à l’enfance, en appellent à l’Etat qui ne donne que 1250 euros par mineur sur une dépense totale annuelle de 50 000 euros ! Problème connu.
Et au sein de l’Assemblée des départements de France, on envisage le pire :
“Il faudra que l’Etat ait prévu quelle sera sa participation si, demain, 75 000 ou 100 000 jeunes étrangers se présentent au guichet de l’aide sociale à l’enfance en un an”.
100 000 mineurs = 5 milliards de dépenses supplémentaires ! La France court à la faillite.
Le contribuable n’est pas près de voir la facture s’alléger.
C’est démentiel.
Le pays entier est en train de couler, l’argent manque partout, dans l’armée, les hôpitaux, les maisons de retraite, le monde agricole.
Nous avons 2200 milliards de dettes, mais nous dépensons 50 000 euros par an et par mineur isolé qui arrive en France !!
A titre de comparaison :
Salaire médian annuel : 21600 euros
Salaire moyen annuel : 27000 euros
Retraite moyenne annuelle : 16800 euros.
Revenu moyen en Afrique subsaharienne : 1000 euros par an.
Conclusion :
Un mineur isolé coûte au contribuable 50 fois ce que gagne un habitant du Sahel en un an. Sans parler du coût futur avec le regroupement familial.
Un pays qui laisse crever ses paysans qui le nourrissent et dépense des dizaines de milliards pour sa politique d’immigration, est condamné à disparaître.
Ne boudons pas notre plaisir. C’est en anglais, mais les images parlent. C’est à 3 minutes. L’autre s’approche en levant la main sur Tommy et en disant : je peux te tuer. La réponse est immédiate. Bravo Tommy.
Tommy était en Italie pour faire un reportage sur les agressions commises par les migrants. Il évoque avant le coup de poing qui nous réjouit un certain nombre d’agressions sexuelles commises par les migrants, certaines se terminant par un meurtre comme récemment en Italie et il reprend des images d’un reportage que nous vous avions montré il y a quelque temps, quand une journaliste en reportage dans la gare de Termini ( Rome) squattée par des migrants était agressée en direct.
[Mère de trois enfants, Petra Paulsen est née en 1966 à Hambourg. Elle est mariée et vit au Schleswig-Holstein. Elle enseigne la biologie et la chimie.]
Elle a écrit une lettre pleine d’émotion à la chancelière fédérale Merkel qui fit le tour des journaux. Plus d’un million de personnes ont vu son message sur Youtube. C’est au plus tard depuis sa participation à l’émission « Comment va l’Allemagne » de la ZDF [chaîne publique] qu’un large public a appris à la connaître. […]
Lorsqu’un nombre incalculable de gens venant du Proche-Orient et d’Afrique du Nord ont soudainement afflué de façon incontrôlée en Allemagne à l’automne 2015, cette professeur de lycée s’est posé la question : « Mais que se passe-t-il donc ici ? » Elle s’est mise à la recherche de ce qui se cache derrière une évolution qui prend de plus en plus la forme d’un désastre, pour l’Allemagne comme pour l’Europe.
L’auteur a commencé à faire des recherches et à collecter des faits. Ce faisant, sa curiosité analytique a embrassé un vaste champ thématique : depuis les conséquences catastrophiques de l’immigration sur la sécurité intérieure en passant par la baisse de niveau de l’éducation et la déformation démographique et mentale de la société, jusqu’à la perte fatale de la conscience historique – mais surtout l’échec lourd de conséquences de la chancelière fédérale Merkel pour qui elle avait naguère voté.
[…] [Ce livre] est un signal d’alarme adressé à tous ceux qui ne comprennent pas ce qui est en train de se passer dans ce pays.
Source
[…]
[Paulsen :] « De plus en plus de gens sentent que quelque chose ne va pas dans ce pays, même si l’on essaie de rendre tabou, de minimiser et de relativiser tout ce qui ressemble quelque peu à une critique et n’est pas dans la ligne de la politique gouvernementale. »
[…] elle est entrée cette semaine à la place 17 dans la liste des bestsellers du « Spiegel ». Mais en réalité on a malheureusement l’impression qu’elle aussi enfonce des portes ouvertes, et que de plus en plus de gens croient vraiment qu’on leur cache des vérités essentielles […]
CHRONIQUE – Pour Eric Zemmour, les électeurs des pays européens donnent tout le temps tort aux formations politiques immigrationnistes.
(…) En Italie après l’Allemagne, en Autriche après le Brexit: à chaque fois, l’immigration s’impose comme le thème majeur des élections. À chaque fois, elle déboulonne les sortants et offre la victoire aux formations les plus déterminées à la combattre. Merkel puis Renzi sont les grandes victimes, l’AFD puis la Ligue, les grands vainqueurs.
Nos médias expliquaient il y a peu que la coupure se situait entre l’est et l’ouest de l’Europe, entre des sociétés encore archaïques qui n’avaient pas de longue tradition démocratique, celles de l’Est, et les nôtres, vieilles démocraties admirables, sociétés multiculturelles détachées de leurs racines chrétiennes, États de droit impeccables.
Tout cela n’était qu’un mythe. Les élections en Europe de l’Ouest prouvent que les peuples occidentaux sont d’accord avec les dirigeants de l’Est. L’alliance est à portée de main. Ceux qui se lamentaient sur la coupure du continent peuvent se consoler. Mais la réconciliation se fera sur le dos des élites occidentales. Et sur leurs fameuses «valeurs» érigées en principes fondateurs de l’Union.
C’est là le nœud gordien de ce drame historique. La vague migratoire inouïe que nous subissons n’est pas un effet secondaire de l’Union européenne. Elle est la quintessence de son idéologie – on pourrait dire de sa philosophie qui, hantée par le souvenir hitlérien, considère qu’une nation ne repose plus sur un peuple ni sur une terre, mais sur des valeurs ; que les frontières sont des barrières inutiles et même nuisibles au commerce ; que les hommes sont interchangeables, simples producteurs et consommateurs sans passé, racines ni identité ; que les États n’ont le droit ni de repousser les étrangers qui viennent sur leur sol, ni de les discriminer en conservant des privilèges (sociaux) à leurs nationaux, ni même de les assimiler à la culture dominante de leur nation.
C’est ce qu’à Bruxelles on appelle avec emphase les sociétés ouvertes et l’état de droit. On dit communément que l’Europe a laissé l’Italie seule face à la vague migratoire qui déferle sur ses côtes. C’est pire que cela. L’Europe, par la jurisprudence de ses juges, a obligé l’Italie à accueillir tous ceux qui voulaient l’envahir, à sauver toutes les embarcations, à la plus grande joie des passeurs, et lui a pratiquement interdit de les renvoyer chez eux.
Cette révolte des peuples occidentaux, au cœur des pays fondateurs de l’Union, menace l’Europe comme jamais. À Bruxelles, on doit désormais choisir: défendre les fameuses «valeurs» ou subir les coups de bélier des peuples. C’est une question de vie ou de mort. Pour l’Europe, mais aussi pour les nations qui la composent. Lamartine disait: «Toutes les fois qu’une théorie est en contradiction avec le salut d’une société, c’est que cette théorie est fausse ; car la société est la vérité suprême.»
Publié le 7 mars 2018 – par Pierre Cassen Christine Tasin (Riposte laïque)
Le « Djihad silencieux » : un journaliste israélien confirme que la France est la première étape du Califat
Le journaliste israélien Zvi Yehezkeli est l’auteur du documentaire, sous-titré par Résistance républicaine, « Le djihad silencieux ». Déguisé en religieux palestinien, avec une caméra cachée, il multiplie les rencontres avec la hiérarchie de l’UOIF, devenue depuis « Les Musulmans de France », et nombre de militants de cette mouvance.
On y découvre l’ampleur de l’implantation de cette organisation, qui ne cache guère ses objectifs : utiliser les lois françaises, qui sont une aubaine pour eux, pour renforcer l’influence des disciples d’Allah sur le pays, et le conquérir sans le sabre, mais par le nombre et l’influence.
Le double discours, entre celui qui est tenu aux autorités françaises et celui qui est tenu, en interne, y est démontré, sans la moindre ambiguïté.
La France y est clairement désignée comme devant être la première étape du Djihad par le cheikh Youssouf Al-Qaradawi (qui appelle les musulmans à finir le travail d’Hitler contre les juifs), qui intervint même au Congrès de l’UOIF, au Bourget, en 2010. On y voit des cassettes et des livres, interdits dans de nombreux pays musulmans, être en vente libre au cœur de Paris. On entend clairement un appel au djihad, lancé depuis la trop célèbre mosquée Omar, rue Jean-Pierre Timbaud, à Paris.
Ce que dénoncent, depuis plus de dix ans, Riposte Laïque, Résistance républicaine et nombre de patriotes y est confirmé de manière éclatante. Et pourtant, ce sont ces résistants qui sont persécutés par l’Etat français, qui finance sans vergogne ceux qui veulent que notre pays devienne terre d’islam, et le disent.
Après ce documentaire, les poursuites contre tous les Français qui dénoncent l’islamisation de notre pays doivent être levées.
« Le djihad silencieux », de Zvi Yehezkeli, doit être diffusé, et commenté, sur tous les grands médias français, et le journaliste israélien y être invité.
Il doit être vu par tous les députés de notre pays, qui doivent demander, d’urgence, la tenue d’une mission parlementaire sur la compatibilité entre l’islam et la France, et les mesures à prendre pour mettre fin à la stratégie de conquête, montrée dans ce documentaire, des Frères musulmans.
C’est l’avenir de notre pays, et de sa civilisation qui est en jeu. Plus personne ne peut prétendre qu’il ignore ce qui se passe.
Après ce film, ceux qui continueront, par leur passivité et leur silence complice, à mentir aux Français et à cautionner l’islamisation de notre pays, devront être considérés comme des traîtres, et jugés en conséquence.
Riposte Laïque et Résistance républicaine, quant à eux, malgré la répression qui touche leurs animateurs, vont accentuer, avec tous les patriotes disponibles, les informations et les actions, pour qu’un maximum de Français se mobilisent pour sauver le pays, comme en 1940.
Si l’on en croit le gouvernement fédéral, les frontières allemandes ne sont plus ouvertes depuis longtemps. L’arrivée incontrôlée de centaines de milliers de réfugiés, cela appartient au passé, et la route des Balkans est fermée. Bien plus de 10 000 demandeurs d’asile continuent pourtant d’arriver chaque mois. Dans la seule année 2017, 186 644 nouveaux demandeurs d’asile ont été enregistrés. […]
Mais comment tous ces gens arrivent-ils chez nous, alors que l’Allemagne n’est entourée que de pays tiers sûrs ? […]
C’est notamment pour cette raison que l’Office fédéral pour les migrations et les réfugiés (Bamf) demande aux demandeurs d’asile par quelle route ils sont venus. Cette autorité veut également savoir comment les réfugiés sont arrivés en République fédérale, que ce soit à pied, en train, en voiture, en car ou en avion.
Notre journal s’était déjà adressé l’an passé au Bamf pour obtenir des chiffres précis, mais la seule réponse qu’on lui avait faite avait été que ces données avaient certes été collectées, mais n’avaient pas été évaluées statistiquement. […]
Une question adressée au gouvernement fédéral par Leif-Erik Holm, député AfD au Bundestag, apporte par contre un peu plus de clarté. Le vice-président du groupe avait demandé quel était le pourcentage des demandeurs d’asiles qui, interrogés par le Bamf, avaient indiqué être arrivés en Allemagne en avion. La réponse du ministère fédéral de l’Intérieur mérite d’être connue : près de 30 pourcent.
[…]
Selon nos informations, une grande partie d’entre eux a utilisé des avions venant de Grèce, d’Italie et de Turquie. […]
[Leif-Erik Holm :] « Si vraiment un demandeur d’asile sur trois entre en Allemagne en avion, ce serait un énorme scandale. »
L’homophobie n’est pas morte. Loin de là. Voici une scène ordinaire de l’homophobie crasse au centre Commercial Carrefour Colmar à Rueil Malmaison le samedi 3 mars à 19H.[…]
« Aujourd’hui samedi 3 mars 2018 vers 19h00 alors que je passe en caisse avec mon ami, une femme d’à peu près 25 ans accompagnée de sa fille de 4 ans pousse violemment nos achats sur le tapis de caisse et dépose les siens.
[…] La femme nous a traité de sales gros pédés….de tarlouses….qu’on avait pas le droit de vivre en France quand on est pédales pour reprendre son expression.
Les insultes ont continué en arabe ensuite…« Sales shbeb…..en Algérie les mecs comme vous on les égorge….»
[…] Elle a pris son portable en appelant quelqu’un de son entourage en lui disant qu’il y avait deux clients PD qui ne méritait pas de vivre et qu’il fallait les buter…[…]
Un vigile arrive…. […] La cliente le connaissais et lui demande comment il va. Et elle continue auprès du vigile en disant qu’on était deux PD et qu’on devait crever. Mon ami et moi on insisté auprès du vigile pour que ca s’arrête. Et là incroyable le vigile de carrefour nous demande de nous calmer. […] Au final on s’est fait insulter et menacer de mort sans que le personnel de carrefour n’intervienne. Le vigile nous a demandé de payer et de partir sans faire d’émeute…
Publié le 2 mars 2018 – par Gérard Brazon Les Sud-Africains sont-ils racistes ? N’en déplaise à nos Obono, Ndiaye, Diallo, Avia, Noël, et d’autres, il s’avère que oui. Le racisme anti-blanc existe bel et bien en Afrique du Sud comme d’ailleurs il existe en France, aux USA et dans d’autres pays.
Le Parlement sud-africain a donné mardi le coup d’envoi d’une réforme de la Constitution pour autoriser l’expropriation sans compensation des terres agricoles au profit de la majorité noire, un sujet très sensible qui agite la vie politique du pays. (Source)
A cette lecture, on commence à comprendre pourquoi les colons blancs des USA n’ont laissé aucune chance aux Indiens d’Amérique, du Canada, que les Anglais n’ont laissé aucune chance aux Aborigènes d’Australie ! La méthode d’extinction des revendications a été efficace. Les Néerlandais, Français et Allemands d’Afrique du Sud (Les Boers) ont eu des pudeurs que les Anglais n’ont jamais eues !
Les blancs sont-ils devenus les bêtes noires des Africains. De tous les Africains ? Si nous en jugeons par les réactions de nos « français noirs » issus de l’Afrique, on peut se poser des questions ! Pour ma part, je pense que les noirs ne sont pas différents et qu’ils connaissent bien le racisme pour le pratiquer eux-mêmes. Qu’ils n’aiment pas les blancs. Certes, je ne généralise pas, mais je ne suis pas sûr qu’un noir lambda prenne parti pour un blanc dans la rue, si ce blanc était victime d’une agression par d’autres noirs ! Que l’on ne me fasse pas le discours sur l’esclavage, j’ai déjà répondu sur ce sujet !
L’Afrique du Sud, commence réellement le 6 avril 1652 avec l’arrivée du commandant néerlandais Jan van Riebeeck dans la baie de la montagne de la Table où il fonde Le Cap. D’un point de vue historique, il n’y avait pas de noirs à l’arrivée des blancs sur la pointe du Cap.
Ils étaient essentiellement des protestants fuyant les persécutions catholiques. Dire qu’il n’y avait pas d’état digne de ce nom, n’est pas insulter les noirs qui vivaient plus à l’Est à l’époque. Dire qu’il y a eu des confrontations entre les noirs et les blancs serait idiot. Nous sommes au 17ème siécle, en 1652. D’autant plus que les blancs se contentaient dans un premier temps, de rester sur les côtes. Les noirs peu nombreux d’ailleurs, vivaient en tribus dans les terres de l’Est.
Les blancs reproduisaient ce qu’ils avaient vécu. Ils ont fait pendant des années ce que les premiers colons ont fait dans les territoires devenus plus tard les USA ou l’Algérie.
En 1685, soit 36 ans après, le nombre des colons est de 800. Ce sont essentiellement des fermiers, des artisans ou des manutentionnaires. Ils sont rejoints en 1688 par 238 huguenots français chassés des villages du Sud-Luberon par la révocation de l’Édit de Nantes et installés par le commandeur Simon van der Stel dans la vallée d’Olifantshoek pour y développer la viticulture sur des terres riches en alluvions. Ces nouveaux colons sont instruits et vont marquer très fortement de leur empreinte la culture blanche sud-africaine, apprenons-nous sur Wikipédia.
On s’aperçoit que ce ne fut pas une armée d’occupation et si les noirs l’avaient voulu, les blancs seraient repartis, ou ils auraient été tués sur place. Mais encore, aurait-il fallu qu’il y ait des noirs à cette époque sur cette terre vierge !
La première manifestation d’une identité africaine des blancs de la colonie fut faite en 1706 par un jeune hollandais qui refusa la prédominance de son pays d’origine. C’est la volonté de suprématie hollandaise qui poussa les premiers boers à aller plus loin dans les terres vers l’Est ! Cela nous rappelle les USA et ses colons, sauf qu’en Afrique du Sud, il n’y avait pas d’indiens.
Il fallut, avec cette remontée des Boers vers l’Est, loin du Cap, attendre 1779 pour que la rencontre se fasse avec les Xhoras, une tribu noire. A 1500 km du Cap, et à 700 km à l’intérieur des terres. Imaginez que vous débarquez à Marseille, et que vous trouvez votre premier gaulois en Picardie. Les Xohras venaient de l’Afrique centrale et eux se dirigeaient vers le Sud.
Pour ceux qui se poseraient la question des Zoulous : la patrie d’origine des Zoulous semble se situer dans la région de la Tanzanie moderne. Leur présence en Afrique du Sud actuelle, remonterait au XIVe siécle. Tout comme les Xhosas qui se sont installés dans cette Afrique du Sud actuelle, au cours des vagues migratoires bantoues antérieures. (Source)
À la fin du XVIIIe siècle, la population blanche est majoritairement issue des Pays-Bas, des États de langue allemande et de France. Ainsi, au moins 14 000 Allemands se sont installés dans la colonie du Cap entre 1652 et 1792, dépassant le nombre des huguenots français. En 1795, la population d’origine européenne compte alors 20 000 personnes et se trouve dépassée par celle des esclaves (25 000 individus).
Puis vint les emmerdeurs d’Anglais, et tout se mit à déraper… comme d’hab !
Tout cela pour dire que les noirs n’ont pas plus de droits sur cette terre que les blancs, sauf à dire que c’est la couleur majoritaire d’un continent qui prime et alors nous pouvons poser la même question sur l’Europe blanche, l’Asie jaune, etc. Chacun chez soi en fonction de la couleur ? Aberrant n’est-ce pas. Surtout pour les Diallo, Obono, Sy, Ndiaye, Avia, Noël, etc. Sans compter les quelques membres adhérents au CRAN, etc.
A une très large majorité, les députés d’Afrique du Sud ont adopté une motion mettant en place une commission chargée de réviser à cette fin l’article 25 de la loi fondamentale d’Afrique du Sud. Près d’un quart de siècle après la chute de l’apartheid, la question de la redistribution des terres reste très controversée. Souvent, la redistribution se solde par un échec. Les nouveaux propriétaires sont contraints de jeter l’éponge, incapables d’assurer la rentabilité de leur exploitation par manque de formation, de moyens ou d’accès aux marchés.
Le nouveau président Cyril Ramaphosa a promis une réforme agraire destinée à « panser les plaies du passé ». De quel passé parle-t-il ? Celui des Boers venus de loin, fuyant la persécution et s’installant sur une terre vierge de présence humaine, ou celui de l’Apartheid ? Règlement de compte ou justice ?
Au Zimbabwe voisin, l’ex-président Robert Mugabe a lancé dans les années 2000 une réforme agraire fondée sur l’expropriation brutale des fermiers blancs. Elle a plongé le pays dans une misère noire. D’un pays exportateur, il devint importateur de tout, y compris du minimum vital pour vivre. Ce pays du temps de la Rhodésie était prospère, mais avait le défaut d’être franchement raciste. Toutefois, chacun pouvait manger à sa faim. La justice était blanche et il valait mieux de ne pas avoir affaire à la justice si l’on était noir.
Les noirs sont-ils plus heureux aujourd’hui ? Je pense qu’ils ont loupé leur indépendance ! Les « opprimés » commettent toujours la même erreur. Ils font confiance à leurs libérateurs. Nous l’avons vu dans tous les pays qui ont obtenu leur indépendance. Le pire étant le Liberia, jamais colonisé qui lui, ne doit son existence qu’à l’implantation des noirs américains anciens esclaves. Ceux-ci se dépêchèrent de mettre en esclavage les locaux, et de vivre comme leurs anciens maîtres !
Je pense qu’il y a un temps pour tout et que chaque pays avance à sa vitesse. L’Europe, les frontières des Nations européennes ne se sont pas construites en 10 ans ! L’Afrique avance lentement ! Les blancs voulaient accélérer le tempo. Ils avaient de l’avance, la connaissance, une histoire européenne. L’Afrique tribale n’avait pas toute cette connaissance, ces techniques, ces savants, etc. Il fallait sans doute l’attendre, et l’accompagner.
L’Apartheid fut un choix désastreux. Exproprier les blancs d’une terre qui leur appartient, ou leurs ancêtres sont enterrés est un autre choix désastreux.
L’Afrique du Sud autrefois puissante et riche, mais injuste, va tomber dans la misère, et ne sera pas plus juste pour autant ! Nous avons l’Algérie comme exemple, elle se fit sans les « pieds noirs ». C’est une Algérie indépendante aujourd’hui, où même Nelson Mandela soutenait le FLN.
Nous savons désormais que la jeunesse fuit ce pays, et que l’Algérie sombre. Nous pouvons à coup sûr, dire que l’Afrique du Sud ouvre une page noire de son histoire, et que son avenir est bien sombre.