Blog

La France est championne du monde de foot… et des violences festives !

La France est championne du monde de foot ! Joie sans mélange ? On aurait pu le croire, si Paris, Grenoble, Villefranche-sur-Saône, Mulhouse, Nice, Nantes, Bordeaux, Fougères, Redon, Nancy, Châlons-en-Champagne, Lyon, Rouen, Menton, Marseille, Bastia, Saint-Chamond, Aix-les-Bains, Annecy, Annemasse, Bourgoin-Jallieu… et j’en passe n’avaient connu leur nuit de violences en tout genre, avec, pour finir, 292 gardes à vue et 45 policiers et gendarmes blessés !

Aurait-on pu voir pareils agissements en Russie, en Turquie, en Iran ou en Arabie-Saoudite ? Qu’est-ce qu’un Pouvoir qui n’a pas le pouvoir de faire respecter l’ordre civil le plus élémentaire ? Que dire d’un pays qui s’enorgueillit des « Droits de l’Homme » et se révèle incapable d’assurer la paix sociale en des jours de liesse nationale ? Que doivent penser ceux dont les biens matériels ont été détruits par des individus à qui ils n’ont jamais fait le moindre mal, puisqu’ils ne les connaissent même pas ? Est-ce cela le « vivre-ensemble » à la française ?

Moi qui ne suis pas un fou de foot, je m’étais pris à rêver, en ce dimanche 15 juillet 2018, d’une France unie et fraternelle ! J’oubliais alors que la réalité balaye bien souvent nos rêves les plus beaux, en nous enfonçant toujours davantage dans les pires incohérences, à l’instar de ces millions de personnes qui hurlent pour un 4-2 français et se taisent contre la défrancisation d’un 9-3 !

J’avais donc oublié que la réalité est toujours politique, et que la politique se joue de nous… par le pain et les jeux !

Maurice Vidal dans “Riposte Laïque”

Football : si cela continue, dans 10 ans, il ne restera plus un Blanc chez les Bleus

Publié le 14 juillet 2018 – par Paul Le Poulpe : “Riposte laïque”

C’est curieux, il y a 20 ans, quand l’équipe de France a été sacrée championne du monde, les antiracistes, ceux qui viennent de réussir à faire supprimer le mot « race » de la constitution, à la demande du président de la Licra, Mario Stasi (cela ne s’invente pas) n’avaient à la bouche que le mot Black-Blanc-Beur, qui devait remplacer Bleu-Blanc-Rouge, jugé trop Gaulois.

Pourtant, lorsque le coup d’envoi de la finale avait été donné, il y avait sur le terrain 7 Gaulois, 2 originaires d’Afrique noire (Desailly et Thuram), un Kanak (Karembeu) et Zidane, originaire d’Afrique du Nord. Cette équipe était donc majoritairement gauloise, quoi qu’en disent les adeptes du multiculturalisme.

20 ans plus tard, les choses ont bien changé. Sur les 23 Bleus retenus par Deschamps, 16 ont des racines africaines très visibles, ce que ne manquent pas de relever les journaux africains, mais aussi les suppôts de l’invasion migratoire comme Le Courrier International, Le Monde ou Libération. Et pourtant, ce fait est dissimulé, car le Onze titulaire ne réflète pas la marginalisation des Gaulois. En effet, cinq joueurs français de souche sont titulaires de l’équipe type, complétée par deux métis et quatre Africains noirs. Au début de la compétition, il ne devait y en avoir que trois, mais les latéraux, Pavard et Hernandez, ont su gagner leur place au détriment de Sidibé et de Mendy, ce qui a changé le visuel de l’équipe.

Chose étonnante, alors que les antiracistes stigmatisaient ceux qui, comme Jean-Marie Le Pen ou Alain Finkielkraut, osaient évoquer le fait que cette équipe de France ne ressemblait pas au pays pour lequel elle jouait, cela devient, à présent, un argument de fierté repris par tous ceux qui expliquent que parler de la couleur des gens, c’est être raciste.

Chose étonnante encore, les footballeurs noirs, qui se disent en permanence victimes du racisme, sont les seuls qui parlent de la couleur de peau des Blancs, comme si cela était une obsession. Nul n’a oublié le témoignage de Christophe Dugarry, rappelant à « l’antiraciste Thuram » que, dans les vestiaires, au soir de la victoire de 1998, celui-ci appelait « les Blacks » à faire une photo ensemble, se faisant sermonner ensuite par Franck Leboeuf, qui lui avait demandé quelle serait sa réaction si lui demandait aux Blancs de faire une photo ensemble.

C’est également le Guyanais Bernard Lama qui, dans un livre, qualifie son rival de 1998 dans les buts, Fabien Barthez, de « Blanc ». Imaginez ce dernier qualifier lui aussi le gardien de but du PSG de l’époque de « noir »…

Chose étonnante encore, tous les antiracistes professionnels, qui hurlent parce qu’il n’y aurait pas assez de diversité dans les instances élues (sans réfléchir à l’apport des élus de la diversité, qui, trop souvent, utilisent leur mandat pour reproduire des pratiques claniques), n’ont rien à redire sur la sur-représentation de la diversité dans cette équipe de France.

Par ailleurs, le football est un magnifique résumé du Grand Remplacement qui se met en place. En 1998, les Gaulois étaient majoritaires. En 2018, ils sont devenus minoritaires. Il suffit de regarder la liste qu’a retenue le sélectionneur des Espoirs français Bernard Diomède (antillais) pour comprendre que, dans dix ans, il n’y aura plus aucun Blanc en équipe de France ! Cela provoquera sans doute chez Rokhaya Diallo et Houria Bouteldja l’orgasme de leur vie !

http://www.fdesouche.com/1040735-equipe-de-france-la-liste-des-u19-joueurs-espoirs-pour-leuro-2018-de-football

Cette sélection, qui devrait poser des questions à l’ensemble de la classe politique, n’est que la conséquence de la politique des centres de formation des grands clubs professionnels français : de l’Africain, de l’Africain, de l’Africain. Ce que confirmait l’ineffable Guy Roux, invité par Macron à Moscou, quand il entraînait Auxerre : 80 % d’Afrique noire, 10 % d’Afrique du Nord et 10 % de Gaulois ! Et cela donne cette sélection de Bernard Diomède, par ailleurs ancien Auxerrois. Et là, les anti-colonialistes se taisent, sur ce véritable pillage des forces vives d’un Continent. Faut-il rappeler que, à cause de ces critères, les clubs français sont passés à côté d’un Griezmann, d’un Valbuena, et de combien d’autres « petits blancs », jugés pas assez costauds pour devenir professionnels ? Et faut-il rappeler que quand un courageux Directeur Technique National français voulut remettre en cause cette politique des « Gros blacks » dans les centres de formation, et évoqua la double nationalité de nombre de ces joueurs, qui, ensuite, choisissaient leur pays d’origine, la crapule Plenel et le faux anti-raciste Thuram le qualifia de raciste, et que l’ensemble de la presse le lyncha, ainsi que Laurent Blanc, accusé d’avoir prêté une oreille complaisante à ces propos.

La suite, on la connaît, et si cela continue ainsi, Griezmann, Giroud, Lloris, Pavard et Hernandez auront été les derniers des Mohicans !

Et cela ne dérangera certainement pas les élites de ce pays, qui ont décidé que les nôtres devaient disparaître.

Le nombre de mosquées salafistes grimpe encore en 2018 pour arriver à 152

Le Figaro rapporte aujourd’hui que, hors préfecture de police de Paris qui en compte vingt, le nombre de mosquées salafistes en province atteint le nombre de 132. Ce malgré les quelques fermetures de mosquées à Aix-en-Provence, Marseille et Ecquevilly. A titre de comparaison, un rapport consacré au salafisme du SCRT mentionnait 120 mosquées salafistes hors Paris dans un rapport de juin 2016. Ce rapport à l’époque faisait état d’une hausse de 170% du nombre de mosquées de ce courant entre 2010 et 2016.

Emmanuel Macron a, à plusieurs reprises, annoncé son refus d’interdire le salafisme et les Frères Musulmans en France, se contentant de s’en référer à la justice lorsque des prêches tombent sous le coup de la loi. Mais l’imâm de la Grande Mosquée de Toulouse a beau évoquer un combat à mort contre les juifs en se filmant et diffusant le prêche sur la chaine Youtube de la mosquée, sans que cela n’entraine ni la fermeture de cette base de l’islamisme, ni l’expulsion de l’imâm algérien.

Défense du CRS de Nantes, abandonné par Collomb, lynché par la presse


Le policier « assume le caractère illégitime de son acte » titre BFM dans son édition de la mi-journée. Chapeaux bas, Messieurs !! Nous sommes au-delà des procès de Moscou, au-delà des séances d’autocritique, au-delà de « L’aveu » de Costa-Gavras. Un policier en service dans un quartier où des bandes rivales s’affrontent, parfois avec des armes à feu, se retrouve aux prises avec un délinquant recherché. Celui-ci, au volant de son véhicule, effectue des embardées, ou tout au moins se débat pour ne pas se laisser interpeller, se plaçant ainsi lui-même dans une situation périlleuse, est abattu par un membre des forces de l’ordre.

Dans un contexte de criminalité ultra violente, et sur fond de menace terroriste, le policier, contraint de réagir en une fraction de seconde, juge qu’une sortie d’arme est nécessaire pour procéder à l’arrestation d’un individu potentiellement très dangereux. L’agent est alors sans doute en proie à une montée de stress intense, rendue plus aiguë par le dilemme que représente une sortie d’arme sur la voie publique. Il sait que son geste, loin d’être anodin, l’expose à de rigoureuses sanctions disciplinaires, voire pénales. Il sait aussi qu’il constitue le moyen ultime pour contraindre un individu à se soumettre à ses injonctions. S’il laisse filer sans réagir un terroriste ou un braqueur, il lui sera reproché d’avoir commis une faute professionnelle. S’il braque son arme sur un simple fumeur de joints, il lui sera reproché d’avoir commis une faute professionnelle.

Le suspect se trouvant au volant de son véhicule, la tension est extrême car la voiture peut devenir une arme par destination et son habitacle dissimuler un pistolet ou un revolver. Le CRS de Nantes doit donc dans le même temps, d’une part, gérer « physiquement » une scène instable, où les actes codifiés d’un contrôle d’identité laissent brusquement place à une altercation confuse, et, d’autre part, analyser « mentalement » les dispositions de l’article L.435-1 du code de la sécurité intérieure réglementant l’ouverture du feu. Tout cela dans un environnement hostile, entouré de témoins pouvant se métamorphoser en agresseurs, sous les objectifs de smartphones malveillants. Un peu comme si on demandait au pilote d’un avion dont le moteur serait en flammes de participer dans sa cabine à un concours de fléchettes. La situation n’est pas tenable.

Peut-être le CRS a-t-il quelque part enfoui dans le fond de sa mémoire le cas de Amine Bentounsi. Braqueur multirécidiviste en cavale, il avait été abattu à Noisy-le-Sec (Seine-Saint-Denis) en 2012 par un policier après lui avoir lancé une grenade qui s’était révélée factice. Le policier auteur du tir avait été condamné à 5 ans de prison avec sursis, conformément aux réquisition de l’avocat général, Rémi Crosson du Cormier, dénonçant « un tir de panique, et non de riposte » du gardien de la paix. Oui, Monsieur l’Avocat Général, quand un fugitif jette dans votre direction une grenade, fût-elle factice (mais ça, c’est après qu’on l’apprend), il est possible, voire humain, de ressentir une certaine panique. Monsieur Rémi Crosson du Cormier aurait d’ailleurs pu revêtir un uniforme de police, se munir d’un Sig Sauer, et aller patrouiller en Seine-Saint-Denis pour nous expliquer la différence entre « un tir de panique, et un tir de de riposte ».

Mais revenons à nos moutons nantais. Le CRS réalise qu’il a effectué un tir. Dans cette zone grise, l’utilisation d’une arme n’entre jamais dans les petites cases prévues par le législateur, assis bien tranquillement sous les ors des palais de la République. Sauf exception, l’usage de son arme s’effectue toujours dans un « entre-deux » ou l’intentionnel et l’accidentel se distinguent difficilement.

Conscient que dans un pays où des policiers peuvent être accusés d’avoir violé une racaille avec leur bâton de défense (ailleurs que dans la backroom d’une boîte gay), l’agent se dit qu’il va devoir quelque peu modifier sa version des faits pour assurer sa survie professionnelle. On peut imaginer la pression que lui ont fait subir les pouvoirs pour qu’au cours d’une garde à vue il reconnaisse que son tir était accidentel. « Oui, j’avoue être coupable de dérives bourgeoises et avoir trahi le camarade Staline » on disait à l’époque.

Que le malheureux ne compte pas sur sa hiérarchie, et pas davantage sur Collomb pour le défendre ! Ils vont participer à la curée…

Seul le Rassemblement national aura le courage d’organiser un rassemblement de soutien aux policiers, perturbé par les antifas, que les autorités protègent honteusement.

Car ça y est les médias aux ordres du pouvoir tiennent leur homme ! Le responsable n’est pas le délinquant recherché par l’autorité judiciaire qui tente de se soustraire à son interpellation, c’est le flic ! Celui-là même qui a assassiné tous les Adama, tous les Bentounsi, tous les Zyed et Bouna.

Paul Le Poulpe (dans “Riposte Laïque”)

https://www.lemonde.fr/police-justice/article/2017/03/10/un-policier-condamne-en-appel-a-5-ans-de-prison-avec-sursis-pour-avoir-tue-un-fugitif-d-une-balle-dans-le-dos_5092860_1653578.html

Invasion migratoire africaine : ces terribles vérités qu’on cache aux Français

*
« Ce qu’on ne vous dit pas sur la crise migratoire », titre le Figmag.

Immigration et asile : ce ne sont que mensonges et trahisons. Tout est orchestré pour détruire la France. Macron est un personnage éminemment diabolique.

L’asile est devenu la principale filière clandestine.

Les Français doivent savoir que les demandes d’asile baissent partout en Europe sauf en France, devenue la destination privilégiée des migrants.

Tout clandestin arrivant en France est assuré de l’impunité et de la régularisation à terme, tant les recours sont illimités pour éviter l’expulsion, comme nous le verrons plus loin.

C’est le résultat du discours de Macron, qui fait de l’immigration une fatalité à laquelle il va falloir se résigner avec l’explosion démographique en Afrique, un continent perdu, incapable de se sortir de la misère malgré ses immenses ressources naturelles.

Pour Macron, il faut subir l’invasion. Et sa loi asile-immigration n’est qu’une fumisterie de plus pour faire croire qu’il agit. Mais plus personne n’est dupe.

64% des citoyens ne lui font plus confiance (Kantar-Sofres)

71% jugent sa politique injuste (Odoxa-Dentu Consulting)

65% la jugent inefficace. (Odoxa-Dentu Consulting)

L’article du Figmag nous rappelle quelques réalités que le pouvoir cache aux Français. Artisan de l’invasion afin d’accélérer la mixité de la société, Macron fait tout pour maquiller les chiffres du désastre identitaire qu’il orchestre sciemment.

Tout d’abord Gérard Collomb annonce 300 000 clandestins en France, alors que leur nombre augmente de plusieurs dizaines de milliers chaque année, notamment avec les déboutés du droit d’asile jamais expulsés.

Un rapport parlementaire, pour le seul département de la Seine-Saint-Denis, département de moins de 2 millions d’habitants, les estime entre 150 000 et 400 000 !!

400 000 pour le seul département du 9-3, mais 300 000 pour toute la France !
20% de clandestins dans le 9-3, mais 0,05% dans toute la France !

C’est dire le machiavélisme du pouvoir pour tromper les Français.

En ce qui concerne les demandes d’asile, elles ont explosé en 2017, dépassant les 100 000 candidats, record historique.

Mais pour les 5 premiers mois de 2018, elles sont en hausse de 15%.

On peut donc tabler sur 115 000 demandeurs sur l’année, dont seulement 5% seront expulsés, selon la Cour des Comptes.

Petit rappel à l’usage du migrant économique, arrivé d’un pays sûr. Ahurissant !

Le tandem Macron-Collomb ose nous parler de fermeté avec sa loi asile-immigration, alors que ce n’est que débandade généralisée.

Tout d’abord, il faut savoir qu’un migrant n’est soumis à aucun délai pour demander l’asile.

S’il est arrêté sans papiers, il fait sa demande auprès de l’Ofpra, qui a 6 mois pour la traiter.

S’il est débouté, il fait un recours devant la Cour nationale du droit d’asile.

On lui accorde alors une aide juridictionnelle que le contribuable se fait un plaisir de financer.

Ce recours est suspensif.

S’il échoue, le clandestin est donc soumis à une obligation de quitter le territoire français. OQTF

Mais il oppose alors un nouveau recours devant le Tribunal administratif.

Si le Tribunal administratif confirme l’OQTF, le clandestin se retourne vers la Cour administrative d’appel.

En fin de parcours, il peut soumettre encore son dossier à l’Ofpra.

En cas d’ultime refus, il peut aussi se présenter comme “étranger malade”, donc inexpulsable.

Le but du jeu, pour tout migrant parfaitement informé de ses droits et du maquis des procédures d’asile, est d’atteindre le délai de 5 ans, le jackpot au delà duquel il sera automatiquement régularisé, en vertu de la circulaire Valls de 2012, qui a permis de régulariser 30% de clandestins de plus en 5 ans !!

Une circulaire dévastatrice que Macron a refusé de supprimer !

On l’aura compris, tout est fait pour détruire le pays. C’est une entreprise de démolition de la nation française minutieusement organisée.

Macron n’a même pas touché à la loi de 2016, qui a raccourci de 5 à 2 jours le délai accordé aux policiers pour étayer les dossiers de reconduite d’un clandestin.

Mais si d’aventure un débouté du droit d’asile est en passe d’être expulsé par avion, les associations pro-migrants s’organisent pour empêcher le décollage de l’appareil.

Un guide pratique circule sur le net, pour mobiliser les passagers contre cette “déportation”, en faisant pression sur les policiers accompagnateurs et sur l’équipage.

En fait, tout repose sur la volonté du commandant de bord qui a le dernier mot.

Pour ma part, je n’ai jamais refusé d’embarquer un clandestin expulsé, étant systématiquement du côté de la loi et l’ordre, donc des policiers accompagnateurs.

Hélas, trop de CDB font le choix de la tranquillité et débarquent le clandestin. Il est tellement plus facile de renoncer !

Selon Eric Ciotti, des avions modulables pouvant transporter des passagers ou servir de bombardiers d’eau, sont en cours d’achat pour éviter les expulsions par voie commerciale. Réelle volonté de régler le problème ou simple poudre aux yeux…A suivre !

Ensuite, pour renvoyer un clandestin, encore faut-il qu’il ne se déclare pas apatride.

Maghreb et Afrique noire sont évidemment réticents à reprendre leurs ressortissants. Il faut dire que la manne des transferts de capitaux envoyés au bled et en brousse par les immigrés est vitale pour les pays.

Ces pays n’accordent pas les laissez-passer consulaires indispensables à toute expulsion.

Et comme Paris ne veut en aucun cas conditionner sa coopération avec ces pays, à une politique d’expulsion, aucun clandestin ne repart dans son pays d’origine.

Il va de soi que toute l’Afrique, et même au delà, connaît la musique !

Le coût exact de la politique migratoire est évidemment tenu secret.

Plusieurs études ont chiffré ce coût entre 80 et 100 milliards par an, si on inclut toutes les dépenses induites.

La Cour des Comptes a chiffré en 2015 le coût d’un demandeur d’asile à 13724 euros. On appréciera la précision à l’euro près, alors que la France ne sait pas combien elle héberge de clandestins à un demi-million près !

Le coût de l’asile dépasse 2 milliards. L’AME, qui soigne les sans papiers mieux que les Français, atteint 1 milliard par an.

Un mineur isolé coûte aux départements 50 000 euros par an.

En 2016, ils étaient 13 000 et en 2017, ils étaient 25 000, dont 60% de faux mineurs, selon un rapport sénatorial. Faites le compte !

Car pour pratiquer une radio des os et détecter un faux mineur, il faut l’accord de celui-ci et une autorisation du juge judiciaire.

Un mineur isolé, c’est à terme 10 personnes arrivées en France, avec le regroupement familial élargi accordé par Macron.

En conclusion, Macron et sa clique parlementaire, sont aux commandes dans le seul but de promouvoir une société multiculturelle qui va tuer notre France millénaire.

Salvini ayant fermé les ports italiens et Merkel étant sur un siège éjectable, c’est Macron qui se pose en défenseur de la politique d’accueil européenne, avec son nouvel allié espagnol, le socialiste Sanchez.

Si les Français ne veulent pas voir leur pays devenir un pays du tiers-monde totalement désintégré, en proie à l’insécurité et à l’appauvrissement généralisé, ils devront se débarrasser du président le plus machiavélique que la France ait connu.

Les élections européennes seront l’occasion pour les patriotes, les identitaires et autres lépreux qui aiment leur pays, de dire non au mondialisme et au vivre ensemble.

Car le vivre ensemble version Macron, c’est donner les clés de la France aux immigrés, sans aucune contrepartie. C’est accélérer le Grand Remplacement et le changement de civilisation.

Jacques Guillemain (Riposte laïque)

Châteaudouble, 300 habitants, bientôt 72 migrants : la mort d’un village français

Le village de Châteaudouble dans le Var (83), est assommé par la nouvelle : à partir de septembre, il recevra 72 migrants. Pour un village de 300 habitants, cela fait un peu beaucoup, non ? Ces migrants seront d’origine africaine sub-saharienne.

http://www.varmatin.com/faits-de-societe/ce-village-de-dracenie-va-accueillir-des-refugies-en-septembre-242261

Il est vrai que des migrants, Draguignan, ville proche et sous préfecture du Var, en a déjà jusqu’à plus soif. Trois mosquées dans la ville, dont une presque dans le centre ancien. Il y a quarante ans « ils » commençaient à arriver et se tenaient immobiles le long des murs, pour se confondre avec eux, pour les tenir, ou pour marquer leur présence ?… Aujourd’hui le quartier historique de Draguignan est complètement phagocyté. Les nouveaux venus ne sont plus debout contre les murs à attendre Allah sait quoi mais ils dealent, cassent, et détroussent les rares passants venus d’ailleurs et surveillés par des guetteurs. Quand ils ne les agressent pas physiquement. Surtout les mamies sans défense, c’est plus facile.

A Draguignan autrefois la rue de l’Observance et la rue de Trans étaient des rues paisiblement habitées par les avocats, les nobles, les bourgeois. Ils sont tous partis. Ils ont été… remplacés, comme le dit si bien Renaud Camus. Le quartier s’est dégradé et les belles maisons du seizième siècle ont été partagées en petits appartements mal entretenus, mal famés car habités majoritairement par…des remplaçants. Là aussi de très jeunes filles sont étroitement voilées, même au plus fort de la canicule. Le costume provençal, qui avec ses tissus colorés met en valeur cou, cheveux, décolleté et chevilles, est pourtant nettement plus seyant.

C’est dans ce centre ancien qu’un chat a été atrocement torturé par un « diversitaire » en décembre dernier. Vous me direz, ce n’était qu’un chat…mais n’était-ce pas une séance d’entraînement ? Le coupable a été condamné à six mois de prison ferme. Mais comme les peines inférieures à deux ans ne sont pas exécutées depuis l’ineffable passage taubiresque, il est certainement dans la nature. Prêt à recommencer, puisque la récidive n’est plus punie.

Le maire de Draguignan sans étiquette Richard Strambio, prudent, dit que la ville est trop pauvre pour accueillir encore des migrants.

Aussi le sous-préfet de Draguignan, Philippe Portal, a-t-il pensé à mettre les migrants un peu plus loin : il ne faut pas abuser des bonnes choses… Alors, pourquoi ne pas les envoyer au diable, euh, pardon, les mettre à Châteaudouble ?…

Châteaudouble est un village perché à 540 mètres d’altitude au bord d’une falaise, au dessus de la rivière Nartuby. Un havre de paix et de tranquillité dans lequel les habitants se livrent aux joies simples de la campagne. On y cultive l’olivier et la vigne. On y va à la pêche ou à la chasse. Ou à la cueillette des champignons. Ses passages voûtés, ses calades, ses nombreux restes templiers lui donnent un charme magique.

https://static.ripostelaique.com/wp-content/uploads/2018/07/Capturemigrants-600×268.png

Son église, ses trois chapelles, ses oratoires, sa tour sarrasine du VIIIe siècle faite pour voir arriver les envahisseurs Barbaresques et sonner l’alarme, marquent ses origines, difficilement conciliables avec l’islam.

Aussi les migrants ne sont-ils pas les bienvenus à Châteaudouble, qui a toujours résisté aux invasions. Le maire Georges Rouvier, sans étiquette, et aux affaires depuis longtemps, explique qu’il y a 480 habitants sur les lieux, 300 à Chateaudouble même, les autres dans le village de Rebouillon. Il n’a pas pu parler avec ses administrés, qui ont été prévenus par la presse. Il est bien forcé de dire qu’il « fait confiance », mais l’inquiétude transperce ses propos.

Quel mouche immigrationniste insensée a piqué Philippe Portal ?… Que feront les migrants à Châteaudouble, à part y mettre le bazar ?…

Pas d’emploi à part l’huile d’olive (non hallale) et la parfumerie (mais l’islam interdit de se parfumer). Les transports sont rares, surtout depuis l’effondrement de la D 955 reliant Châteaudouble à Draguignan à la suite de la crue de la Nartuby en juin 2010. Mais ne vous inquiétez pas : le problème de transport n’existe que pour les autochtones. Pour les migrants pas de problème, un minibus et un chauffeur seront à leur disposition.

Comment occupera-t-on les migrants et passeront-ils leur temps à aller à… Draguignan dont on voulait, justement, les éloigner ?…

A Châteaudouble, pas de collège encore moins de lycée, pas de médecin, il faut aller se faire soigner… à Draguignan, qui est à 25 km de petites routes sinueuses, à l’hôpital où récemment un « déséquilibré » a fait des siennes en criant allah akhbar et simulant un bruit d’explosion :

http://islamisation.fr/2018/05/24/draguignan-il-crie-allah-akbar-dans-un-hopital-six-mois-de-prison-ferme/

On mettra les migrants dans une maison de retraite achevée il y a peu de temps et convertie en centre d’accueil, avec 22 studios tous neufs et deux appartements. On ne dit pas qui paiera les charges, encore le con-tribuable ?…On ne dit pas non plus si les Châteaudoublains eux mêmes sont bien logés ?

A l’heure du pastis, les migrants seront malvenus sur la place du village, surtout s’ils troublent l’apéritif, souvent accompagné de saucisson (car on n’a pas toujours le temps de préparer l’aïoli, qui n’est jamais hallale non plus), par des menaces peu amènes et peu conviviales.

Mais, dira-t-on, les Châteaudoublains n’ont que ce qu’ils méritent : les 480 habitants ont voté massivement Macron au second tour des présidentielles en 2017.

https://www.lesechos.fr/elections/resultats/presidentielle/provence-alpes-cote-d-azur/var-83/chateaudouble-83300/

Notez que Marine faisait de son côté 45 % des voix ce qui n’est pas si mal, 30 % au premier tour. Dix pour cent des électeurs ont donc fait la différence. Comme quoi nous sommes gouvernés par une minorité. Les Bolcheviques aussi étaient une minorité.

Il faudra que les habitants pensent sérieusement à trouver un autre candidat la prochaine fois, s’il est encore temps de préserver leur cadre de vie.

Non loin de là, un couple d’agriculteurs retraités de ma connaissance, doit se réjouir que la route soit coupée entre eux et Châteaudouble. Cela leur évitera peut-être les chapardages et autres « incivilités » habituelles des migrants. Cependant ils ne manqueront pas de se scandaliser du projet de donner 200 euros par mois à chaque migrant plus le gîte et le couvert. Eux ont une toute petite retraite bien qu’ils aient travaillé avec acharnement toute leur vie, et ils ont construit leur maison de leurs propres mains.

Ils aimeraient bien avoir autant que ces parasites ne fuyant aucune guerre, n’ayant jamais cotisé, et promis (promus?) à l’oisiveté faute de possibilités et de désirs d’intégration. L’oisiveté, mère de tous les vices…

Mettre des migrants à Châteaudouble, ou comment apporter dans les campagnes le désordre social, la délinquance, la criminalité même, après les avoir mis dans les villes, qui n’en peuvent plus.

Mettre des migrants à Châteaudouble, ou comment détruire la paix des lieux en y introduisant un assistanat injuste, au détriment des populations locales, et des revendications religieuses contraires à la laïcité et aux mœurs des lieux.

Mettre des migrants à Châteaudouble, et dans tous les petits villages tranquilles de France et de Navarre, ou comment détruire les bases d’une civilisation millénaire. Ou comment islamiser totalement le territoire.

Châteaudouble, ou comment détruire les campagnes, quand on a déjà détruit les villes.

La coupe est pleine et va bientôt déborder, comme la rivière Nartuby qui régulièrement emporte tout sur son passage. Mais elle, on la domestique, on l’endigue, on la canalise. Pas l’immigration.

Le sous-préfet lutte contre la Nartuby, mais ne lutte pas contre l’islamisation.

On dit que les habitants de Châteaudouble ont vaillamment résisté aux Romains (une bataille importante contre l’envahisseur romain a eu lieu dans le périmètre), et aux Allemands. Faisons-leur confiance pour résister encore et encore…

Sophie Durand

La propagande médiatique de Macron me fait penser à l’appel du muezzin

Tout le monde se rappelle cette image d’Emmanuel rabrouant un cheminot qui en défendant son statut souhaitait défendre son salaire, notre président opposant le salaire dudit cheminot à celui de l’agriculteur de 350 € par mois sans que ce dernier se mette en grève, manière de culpabiliser le conducteur de trains.

La réforme de la SNCF est motivée par un souci d’économie et d’efficacité.

Déjà tous les services publics croulent sous le manque de moyens (cf mon article du 15 janvier 2018 « à propos du manque de moyens présummé de la France »).

Un collège d’expert va bientôt rendre son rapport dénommé Cap 22 sur les économies à faire pour le train de vie de l’État.

C’est devenu le credo du quinquennat, il faut traquer la dépense inutile, la dépense de trop.

Il est devenu impératif de remédier au perpétuel déficit budgétaire qui mène le pays à la faillite, nous avons des engagements européens en matière d’endettement à tenir, et nous venons à peine de sortir de la procédure de déficit excessif.

Certains au pouvoir ont fait le bon diagnostic, le pays a vécu au-dessus de ses moyens pendant plus de 40 ans, il va falloir en payer le prix désormais, être entre les mains des créanciers c’est abdiquer sa souveraineté car on n’est plus libre de sa politique économique et sociale, au moindre faux pas c’est le taux des intérêts de la dette qui s’envole, l’Italie vient d’en faire l’expérience.

Or ce qui impressionne à l’heure actuelle c’est le décalage entre la situation réelle d’un pays en faillite et l’expression médiatique qui s’abat sur l’auditeur et le téléspectateur moyen dans tous les débats publics des organes de propagande nazillonne de grande écoute.

Nazillone car toute voix qui s’écarte du dogme est vouée aux gémonies, voire interdite d’antenne quand ce ne sont pas des attaques ad hominem dont la violence rappelle les régimes totalitaires. Il est devenu patent que le fascisme droit de l’hommiste a réellement pris le pouvoir des canaux de l’information autorisée.

Que ce soit sur les chaînes de télévision ou dans les radios généralistes on n’entend que la voix des associations mondialisto-droits de l’hommistes, d’écrivains, acteurs, réalisateurs et autres artistes prescripteurs, des politiciens LREM et apparentés PS/Modem etc.. et de la gauche moraliste qui viennent tenter de rendre responsable et essayer de guider le pauvre peuple imbécile de France en venant lui administrer son quotidien rappel de vaccin au devoir d’accueil de toute l’Afrique.

C’est bien simple, à chaque fois que je jette un œil et tend une oreille discrète à ces émissions pour les masses à éduquer c’est pour moi un peu comme le rappel à l’ordre moral perpétuel du muezzin qui harangue du haut de sa tourelle en prenant Mahomet à témoin, seuls quelques débats d’économistes sur des chaînes spécialisées comme BFM Business continuant à alerter sur l’état catastrophique du pays.

J’ai utilisé la métaphore du muezzin pour vous faire comprendre à quel point ça me dépayse comme un autre utiliserait une parabole médicale en vous narrant à quel point ces émissions agissent sur lui comme un remède, matin, midi et soir il faut bien la prendre sa gélule du salut de l’âme si on veut que la force reste avec soi car les temps sont décidément troubles.

J’en fais l’aveu, je me régale de ces émissions puisque je me gondole régulièrement la houppe, pour reprendre l’expression d’une collègue de bureau j’en reste « pissé de rire » tel que vous me lisez quand une intervenante minaude qu’il y a de la place pour tout le monde ici car la France est un pays riche, 6° puissance mondiale ajoute sans désemparer la péronnelle.

C’est d’une telle arlequinade que je suis obligé d’embrayer sur le même ton de la minaude en faisant remarquer qu’elle oublie un peu vite la dette la poupée.

La France un pays riche, ça se saurait dans la finance mondiale et Emmanuel ne chercherait pas à grignoter du blé dans tous les coins et à tous les étages des greniers des Ministères pour donner des gages aux créanciers.

La France un pays riche, allez donc demander à une infirmière des hôpitaux publics dont la tâche relève pour moitié du sacerdoce et pour l’autre moitié de l’apostolat si elle se sent riche dans les moyens dont elle dispose pour soulager sa patientèle.

Quant à la France « puissance mondiale », même avec l’Union c’est d’impuissance mondiale dont il s’agit quand on voit que Donald peut décider de qui peu commercer avec qui sur la planète sans que les guignols de Bruxelles ne lèvent le petit doigt, empêchés qu’ils sont à rajuster leur couche qui déborde.

Ben oui, essayez donc de tenir la couche et lever les pognes en même temps, vous m’en direz des nouvelles, c’est le principe de réalité qu’on appelle ça en philosophie, à un moment il faut faire un choix bien qu’ici ce ne soit pas le choix de Sophie.

Attention, ne me faites pas écrire ce que je n’ai pas dit, que l’Europe est un continent d’impuissants, je précise bien que ce sont les politiciens qui sont impuissants dans l’incontinent et pas nécessairement tous les habitants.

Une langue affûtée dans la remarque acerbe lancerait que s’ils sont si impuissants, dans une génération on va en être débarrassé s’ils ne peuvent pas se reproduire, et de se frotter les paluches la donzelle du verbe.

Pas si mécanique je réponds, d’une part il y a toujours ce phénomène de cooptation qui fait que si la sottise ne se transmet plus du gène elle peut se transmettre de l’acquis, d’autre part sait-on de manière sûre et irrémédiable si la science a définitivement tranché au sujet de la génération spontanée ? On voit bien des naissances dans des éprouvettes non ????

Je reste donc prudent, si excessivement qu’on m’appelle Cassandre au bureau, imaginant les pires choses quand il n’y a rien de visible et ne voyant rien quand on me donne à voir.

Je pars en effet du principe que si l’on me donne si facilement à voir c’est que l’on me cache quelque chose d’autre à ne pas voir ailleurs. C’est une astuce de mon ami Saint Thomas qui m’a aussi appris à ne jamais voir la lumière des lanternes dans les vessies et surtout à ne jamais boire dans ces dernières, il m’en a rapporté les dangers.

Or question dépenses publiques je viens d’avoir une information précise qui recoupe grandement ce qui s’écrit un peu partout.

De notoriété un mineur étranger isolé coûterait dans les 50 000 € l’an à la collectivité qui en a la charge, savoir le service de l’enfance des Conseils Généraux que l’on peut rebaptiser en Conseils Généreux.

Une association droit de l’hommiste qui a saisi le tribunal administratif contre le Conseil Général des Bouches du Rhône nous a dévoilé le coût de ladite prise en charge dans ce département en 2014 : il était de 224,75 € par jour ( LE MONDE | 04.06.2018 | ).

Je traduis en mois, soit je pose 30 jours que je multiplie par 224,75 € = 6 742,50 € par mineur isolé par mois et pour 12 mois égale 80 910 €.

Si le Saint Patron petit père du Peuple de l’Elysée estime qu’un cheminot payé 2 500 €/mois, qui en contrepartie rend tout de même quelque service au pays en transportant en brinquebalant son quota de travailleurs vers leur chagrin, ruine la Nation, alors j’interpelle Sa Béatitude Emmanuel : qu’en est-il d’un mineur isolé dont le présent ne rapporte rien et dont le futur est si peu assuré et si improbable qu’on peut estimer qu’il a 90 % de chances de rester une charge pour la Nation compte tenu du chômage de masse qui affecte le pays ?

J’ajoute, Emmanuel, que je vois dans ce qui se passe dans la pratique de nos régions une gravissime et insoutenable discrimination au détriment du natif au profit de l’apport extérieur.

Il y a en France 3 millions d’enfants pauvres, le seuil de pauvreté étant fixé à 1512 €/mois de revenus pour un couple avec un enfant ( les Echos du 4/4/2017 ).

Si les Conseils Généreux sont capables de dépenser 6700 €/mois pour un mineur étranger il est alors scandaleux qu’ils laissent dans le dénuement le plus total 3 millions de petits français qui ne mangent bien souvent qu’un repas par jour.

D’autant que l’argent dépensé ainsi pour ces mineurs étrangers est le fruit de la sueur prélevée sur la laine desdits pauvres parents de français au travers de leurs impôts locaux, leur TVA, impôt de consommation et impôts directs s’ils en paient par le biais des inévitables dotations de l’état aux collectivités.

J’ai bien une solution qui va faire hurler mais aura le mérite de faire bouger les lignes : je propose à tous les pauvres de France qui n’ont pas 6 700 € de revenus mensuels d’abandonner leurs enfants aux services de l’enfance de leur département.

J’entoure la mesure d’un zeste de moralité avant que l’on me traîne sur la roche tarpéienne, il ne s’agit pas d’un abandon d’enfant pur et simple mais d’un abandon économique pour le bien-être d’enfants déshérités : puisque le service de l’enfance de votre département est capable de dépenser 224 € par jour tirés de vos ressources pour des mineurs étrangers isolés, alors ces services départementaux ont obligation d’en dépenser autant pour votre progéniture qui n’en profite pas à ce jour.

C’est de la simple égalité de traitement, c’est Constitutionnel et prévu au Traité Européen.

Si le Conseil général recherche les parents français pour leur rendre leurs enfants au motif qu’ils ne peuvent prendre en charge toute la misère du monde, alors il faudra exiger qu’ils en fassent de même pour les autres mineurs étrangers et qu’ils les renvoient dans leurs foyers.

Si le Conseil Généreux refuse la prise en charge de tous les enfants français devenus mineurs isolés, ce seront alors tous les membres de cet organe local qui devront à titre personnel être traînés au pénal pour discrimination.

Croyez-moi, quelques scandales de ce genre bien médiatisés ouvriront le débat dans le pays sur les prises en charge et les dépenses des départements, plus largement sur l’avenir que veulent bâtir les Français pour leur pays.

J’ai bien sûr dans la besace d’autres solutions pour réconcilier les Français et apaiser les relations entre pro-migrants et anti-migrants.

Comme on vient de le voir le pays n’a plus les moyens de ses prétentions, il n’empêche qu’à titre personnel il y a des gens qui ont envie de migrants, c’est leur droit.

Il suffirait que le Ministère des solidarités et de la santé crée un site internet d’adoption que l’on pourrait appeler « adopteunmigrant.com » par exemple.

Chaque pro migrant qui le souhaite pourrait ainsi postuler pour adopter le nombre de personnes désirées par nationalité, religion, etc.. sans que cela nuise aux finances du pays, car il est entendu que l’adoptant prendra en charge directement et intégralement son ou ses protégés et en sera indéfiniment responsable.

J’ai hâte de voir les noms des pro migrants s’afficher sur le site, bien sûr il sera de bonne guerre de brocarder tous ceux qui viennent donner des leçons à tous les Français sur les plateaux TV mais qui, quand il s’agit de se payer d’exemple, en sont incapables.

Ce sera un peu l’heure de vérité, ainsi si une personne comme Yann Moix par hypothèse refusait toute adoption cela aurait l’avantage de renvoyer ses éreintements des patriotes au rang de logorrhée sans crédibilité.

Son sens de l’honneur l’obligerait sans aucun doute à migrer illico pour éviter la honte, à sa place je ne me regarderais plus dans une glace, ne pas joindre le geste à la parole, quelle dysharmonie de la personne.

Jean d’Acre (Riposte Laïque)