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°° WEBTUBE : Cette chanson mélange nostalgie, tristesse, solitude, bonheur, calme, gratitude. Sa force c’est que vous pouvez toujours ressentir chacun de ces sentiments en détail. Ce morceau dégage une sorte de sérénité, de plénitude et de bien-être. A écouter au milieu d’un environnement urbain pour apaiser le stress.
°° WEBTUBE : This song blends nostalgia, sadness, loneliness, happiness, calm, and gratitude. Its strength is that you can always feel each of these feelings in detail. This song exudes a kind of serenity, fullness, and well-being. Listen to it in the middle of an urban environment to relieve stress.
. Andrés Villavicencio témoigne de la situation au Venezuela
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°° WEBTUBE : Andrés Villavicencio est un jeune Vénézuélien qui a été contraint de fuir son pays après qu’une vidéo de lui lisant les résultats d’un bureau de vote – montrant le candidat de l’opposition en tête devant le président sortant Nicolás Maduro – soit devenue virale.
Maduro, successeur d’Hugo Chávez, est devenu président après la mort de Chávez en 2013. Il fait l’objet d’accusations croissantes de régime autoritaire et de répression, en particulier depuis 2015, sa version des politiques socialistes du chavisme ayant conduit à une grave crise économique et politique. 7,7 millions de Vénézuéliens ont fui le pays, poussés par la violence, la pauvreté et les violations des droits de l’homme, notamment la répression de l’opposition politique, la censure de la presse et l’érosion des institutions démocratiques.
Lors de l’élection présidentielle vénézuélienne de 2024, Maduro a été déclaré vainqueur par le Conseil national électoral, un résultat largement condamné comme frauduleux par la communauté internationale.
Villaviencio a parlé à Álvaro Peñas europeanconservative.com de son voyage vers l’Espagne et de ses espoirs pour l’avenir du Venezuela. Nous avons traduit cette interview pour vous.
Tout a commencé le 28 juillet, lorsque, après avoir participé au processus électoral en tant que témoin, vous avez lu les résultats en public. En d’autres termes, vous avez simplement relaté un fait.
Andrés Villavicencio : C’est exact, j’étais témoin électoral au centre « Instituto Paraguaná Privado » de la municipalité de Carirubana, dans ma ville, Punto Fijo. C’était la huitième fois que j’étais témoin électoral là-bas, et je peux témoigner que, par exemple, lors des élections qui ont opposé Capriles à Chávez, ce dernier a gagné avec 55 % des voix. Cependant, le 28 juillet, Edmundo González a obtenu 82 % des voix. Nicolás Maduro n’a obtenu que 195 voix, tandis qu’Edmundo González en a obtenu 1 046.
Mon bureau de vote ne se trouve pas dans un quartier conservateur de classe moyenne, mais dans un quartier ouvrier où il y a beaucoup de tensions sociales et où le chavisme a beaucoup joué avec la faim, utilisant la distribution des cartes de rationnement à des fins de coercition et pour servir ses objectifs politiques. Le résultat d’Edmundo dans un tel quartier est une preuve suffisante pour savoir que nous avions gagné les élections.
Pourquoi pensez-vous que cette vidéo a tant contrarié le régime ?
Andrés Villavicencio : Parce qu’ils ne voulaient pas que les procès-verbaux soient lus et que la fraude électorale qu’ils commettaient soit vue. Une fraude qu’ils ont commise même dans le dos des témoins électoraux socialistes, qui dans de nombreux cas sont rentrés chez eux en pleurant parce qu’ils savaient qu’ils avaient perdu. Quelques heures plus tard, ils ont annoncé leur victoire sans montrer les résultats, et huit mois après les élections, le gouvernement de Maduro n’a toujours pas présenté de résultat ventilé par États et localités. Pourquoi ne le font-ils pas ? Parce qu’il y a 32 000 feuilles de décompte et qu’il est impossible de frauder en faisant correspondre les chiffres avec ces feuilles de décompte, dont nous avons 85 % et que nous avons rendues publiques. Dans ces 85 %, Edmundo l’emporte à 70 contre 30, et la différence est si grande que même si Maduro avait les 15 % restants, il perdrait quand même les élections.
Le lendemain, vous avez commencé à être surveillé et votre passeport a été annulé.
Andrés Villavicencio : Oui, d’abord, il y a eu un véhicule sans plaque d’immatriculation et deux personnes masquées qui ont tenté d’entrer chez moi en se faisant passer pour des techniciens, mais comme ils n’y sont pas parvenus, ils ont commencé à prendre des photos et à filmer la maison. Cela s’est répété à plusieurs reprises, mais ils n’ont pas essayé d’entrer à nouveau. Puis, le 6 août, j’ai vu sur les réseaux sociaux que de nombreux Vénézuéliens, essentiellement des journalistes critiques, des politiciens de l’opposition et des témoins électoraux, avaient vu leur passeport annulé arbitrairement. Je n’ai pas été surpris de voir que le mien avait été annulé, même s’il expirait en octobre 2031, et j’ai compris le message : vous ne pouvez pas partir.
C’est à ce moment-là que vous avez fui votre domicile ?
Andrés Villavicencio : Non, j’ai quand même décidé de rester, mais le 10 août, une camionnette s’est garée devant chez moi, et cette fois, elle avait une plaque d’immatriculation. J’en ai pris une photo et j’ai contacté un ami dans une agence d’État. Cinq minutes plus tard, j’ai reçu un bref appel téléphonique : « Si tu peux partir, pars, car ton arrestation est imminente et ils vont t’emmener à l’Helicoide [une prison gérée par les services de renseignement] ».
À ce moment-là, je savais que je n’avais que deux options : me rendre à l’Helicoide, un centre connu pour la torture, ou m’échapper. La décision était claire. J’ai dit au revoir à ma famille et j’ai passé deux appels avant de retirer la carte de mon téléphone : le premier pour trouver un endroit où me cacher et le second pour que quelqu’un m’aide à me rendre en Colombie. J’ai eu la chance qu’il y ait une coupure de courant, ce qui est assez fréquent au Venezuela, et j’ai profité de l’obscurité pour quitter ma maison. Finalement, je suis arrivé à Maracaibo, la dernière grande ville près de la frontière, et en empruntant une « trocha », un chemin irrégulier à travers la jungle, je suis entré en territoire colombien.
Une fois en Colombie, comment as-tu réussi à te déplacer ?
Andrés Villavicencio : J’ai pris un taxi et je suis allé à Maicao, une ville frontalière. Là-bas, j’ai acheté une carte téléphonique et j’ai appelé ma famille pour leur dire que j’étais en sécurité. J’ai ensuite appelé une personne à Medellín qui m’avait contacté à cause d’une vidéo dans laquelle je dénonçais le harcèlement dont j’étais victime et qui m’avait proposé de m’aider au cas où je devais fuir en Colombie. Cet ami m’a indiqué comment me rendre à Medellín et, une fois chez lui, j’ai pu réfléchir à la suite des événements. J’avais deux options en tête : les États-Unis ou l’Espagne. L’option américaine, sans visa, présentait de nombreux risques et j’ai finalement décidé de prendre l’avion pour Madrid.
Avez-vous pu prendre l’avion alors que votre passeport avait été annulé ?
Andrés Villavicencio : Oui, car l’annulation était arbitraire et n’a pris effet qu’à l’intérieur du Venezuela. Si vous êtes à l’intérieur, vous ne pouvez pas partir, et si vous êtes à l’extérieur, vous ne pouvez pas entrer, mais en dehors du Venezuela, le passeport est valide jusqu’à sa date d’expiration.
Une fois à Madrid, avez-vous demandé l’asile politique ?
Andrés Villavicencio : Oui, même si avant de prendre l’avion à Medellín, j’avais mis en ligne une vidéo sur les réseaux sociaux pour raconter ce qui s’était passé ces derniers jours et les raisons qui m’avaient poussé à quitter le Venezuela. La vidéo est devenue virale et m’a aidé à obtenir l’asile, même si je n’aurai pas de réponse définitive avant le 22 avril.
J’ai vu votre discours lors de la grande manifestation de septembre à Madrid en faveur de la démocratie au Venezuela. Je vois que vous n’avez pas l’intention d’oublier ce qui se passe dans votre pays.
Andrés Villavicencio : Non, bien sûr que non. Je rêve de retourner dans mon pays la semaine suivant la chute du régime Maduro et lorsque la liberté sera rétablie. La reconstruction du Venezuela est le plus grand projet et la plus grande opportunité pour toute l’Amérique latine, car nous disposons d’une quantité énorme de ressources naturelles et de richesses. Je dis toujours que Dieu a créé le Venezuela un après-midi où il était particulièrement heureux, mais malheureusement, nous avons eu des gouvernements socialistes qui nous ont délibérément appauvris afin d’exercer un contrôle social. Et ils l’ont fait en colonisant les institutions afin qu’il n’y ait pas de contre-pouvoir.
La dégradation au Venezuela a commencé lorsqu’ils ont détourné le pouvoir judiciaire et nommé un socialiste militant au poste de procureur général pour mettre fin à la séparation des pouvoirs. Les institutions du régime ne protègent pas le peuple des abus de pouvoir, elles servent à protéger Maduro et à le maintenir au pouvoir. C’est pourquoi chaque pays qui sent qu’il entre dans une dérive totalitaire doit défendre le pouvoir judiciaire, car c’est la porte qui ouvre la boîte de Pandore.
Vous êtes-vous senti soutenu en Espagne ?
Andrés Villavicencio : Oui, je suis très fier et reconnaissant envers la grande majorité des Espagnols qui comprennent et soutiennent le peuple vénézuélien, et seul un petit groupe d’extrême gauche s’est rangé du côté du régime. Comme l’ancienne ministre Irene Montero, qui a publié le 28 juillet un tweet affirmant que le chavisme avait gagné et que les résultats devaient être acceptés, alors qu’elle n’a jamais vu de sa vie un registre électoral et n’avait aucune preuve de la victoire de Maduro. Ceci n’est qu’une preuve de son caractère antidémocratique. Un autre cas est celui de Juan Carlos Monedero, qui a donné il y a quelques mois un cours sur les droits de l’homme, dans l’Helicoide ! Il est difficile d’imaginer plus grande faillite morale et misère spirituelle que de donner un cours sur les droits de l’homme dans un centre de torture.
Malgré les pressions internationales, le gouvernement Maduro ne semble pas près de tomber à court terme. Le chavisme a des alliés sur le continent et à l’étranger, comme la Russie qui vient d’élargir sa coopération avec le régime. Comment voyez-vous la situation ?
Andrés Villavicencio : Je revendique d’abord le travail de María Corina Machado et je suis très fier d’avoir voté pour elle aux primaires d’octobre 2023. Je revendique également Edmundo González qui a été contraint à l’exil, mais qui est toujours le président élu du peuple vénézuélien. Sans oublier ceux qui continuent à exercer des pressions internes, faisant preuve d’un véritable héroïsme. Le régime n’a toujours pas présenté les registres électoraux, il manque de légitimité et il lui est impossible de se maintenir au pouvoir. Je ne sais pas quand cela se produira, mais je suis certain que le régime s’effondrera et que la liberté reviendra au Venezuela.
Pensez-vous que l’administration Trump va adopter une politique plus agressive envers le régime Maduro ?
Andrés Villavicencio : Je ne suis pas d’accord avec tout ce que fait l’administration Trump, mais son équipe des affaires étrangères est composée de personnes comme le sénateur Diaz-Balart, qui est le fils d’exilés cubains et dont la famille connaît de première main la misère du communisme. Ou la députée María Elvira Salazar, qui représente une circonscription comptant de nombreux Cubains et Vénézuéliens en Floride. De plus, le fait que le secrétaire d’État soit Marco Rubio, un descendant de réfugiés cubains, est quelque chose que de nombreux Vénézuéliens n’auraient pas cru possible. Ils savent ce que le peuple vénézuélien endure et je suis convaincu que cette administration exercera beaucoup plus de pression pour aider à libérer le Venezuela.
Breizh-info.com
. Nantes. Menacé, harcelé, agressé : le calvaire d’un étudiant de droite dans une université sous la terreur de la gauche
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°° WEBTUBE : À Nantes, un étudiant de droite, que nous appellerons Julien, a accepté de témoigner anonymement pour Breizh-info.com. À 22 ans, il a décidé de quitter l’université après des mois de violences physiques et psychologiques liées à ses convictions politiques. Un récit glaçant d’une réalité trop souvent passée sous silence dans les milieux universitaires, mais également dans un monde politique totalement inféodé au gauchisme, ces dernières semaines en sont des témoignages. Un témoignage qui rappelle les violences que subissent les étudiants dans les facultés marquées à gauche, à Rennes comme à Nantes, pour ne citer que la Bretagne.
Breizh-info.com : Que vous est-il arrivé exactement à l’université de Nantes ?
Julien : Je suis en troisième année d’Histoire sur le Campus du Tertre à Nantes. Je suis arrivé à la fac avec tout d’abord l’envie d’étudier, mais étant également attaché à la vie politique, avec l’envie de débattre, de m’investir dans la vie étudiante. La première année, j’ai étudié uniquement. Puis la seconde, j’ai commencé à distribuer quelques tracts pour un syndicat de droite et à coller quelques autocollants ici ou là sans toutefois prendre ma carte ou militer activement. Rien d’extrême, je ne me reconnais pas particulièrement dans les mouvances radicales. J’apprécie aussi bien un Retailleau, qu’un Wauquiez ou que Philippe de Villiers. Mais cela a suffi pour que je sois rapidement ciblé.
Les premières semaines, j’ai reçu des insultes. Ensuite, des tracts que je distribuais ont été arrachés de mes mains, jetés par terre, piétinés. Puis sont venues les intimidations plus directes. Une tape violente sur la nuque dans le hall, un croche-pied dans un couloir. Une fois, je me suis retrouvé au sol, sous les rires d’un petit groupe. Et personne n’a bougé.
Breizh-info.com : Vous avez aussi été victime d’atteintes à votre domicile ?
Julien : Oui. J’ai manifestement déjà été suivi. Mon appartement a été tagué à deux reprises. Une fois, on a écrit « FAF » sur ma porte. Une autre fois, de la mousse expansive dans ma serrure J’ai porté plainte, photos à l’appui (NDLR : nous avons pu consulter une des plaintes déposées). Aucune suite pour le moment. On m’a même demandé si ce n’était pas un « canular entre étudiants ». Comme si c’était une blague.
Breizh-info.com : Avez-vous alerté les responsables de l’université ?
Julien : Non. C’est peine perdue. Vous avez vu ce que pense la directrice de l’Université de la droite ? J’en ai surtout discuté avec d’autres étudiants, pour le coup pas du tout politisés. On m’a écouté, on m’a conseillé de ne pas « envenimer les choses ». En clair : tais-toi. J’ai tenté d’alerter quelques élus locaux. Aucun n’a répondu. Ni la mairie, ni la région, ni même les parlementaires. Je pense qu’ils ont peur. Peur d’être taxés de complicité avec « l’extrême droite » s’ils défendent un étudiant simplement de droite.
Breizh-info.com : Avez-vous identifié vos agresseurs ?
Julien : Pas pour mon domicile. Pour les coups de pression à la faculté, oui, bien sûr. Ils font ce qu’ils veulent dans cette université. Il y a aussi des étudiantes, militantes féministes, qui viennent vous menacer, vous insulter. Et si vous réagissez, vous êtes aussitôt accusé de « violence sexistes » ou « patriarcales ». On vous piège, on vous pousse à bout.
C’est un climat toxique. Il suffit qu’un visage ne plaise pas, qu’un look ne plaise pas, qu’un propos soit mal interprété, et vous êtes catalogué, ostracisé, harcelé. Finalement ceux qui prônent la tolérance au quotidien sont les personnes les plus intolérantes que je connaisse, aucun dialogue n’est possible.
« J’ai perdu confiance en mon avenir universitaire »
Breizh-info.com : Quel impact cela a-t-il eu sur vous ?
Julien : J’ai commencé à faire des crises d’angoisse. Je n’arrivais plus à dormir, je redoutais d’aller en cours. Je regardais partout, tout le temps. Et puis je me suis mis à faire des malaises, à perdre pied. Mon médecin a diagnostiqué un burn-out. À 22 ans… Alors j’ai décidé d’arrêter. De quitter la fac prochainement, de toute façon, j’ai l’impression d’être dans une voie de garage. Je vais chercher du travail, dans le bâtiment peut-être. Travailler, voir des gens normaux, loin de cet entre-soi militant et délétère. J’ai perdu confiance en mon avenir universitaire. Je n’ai pas envie de me battre seul face à ces gens qui ont tous les droits. Je n’en ai pas la force, ni les moyens.
Breizh-info.com : Que voudriez-vous dire aux responsables politiques et universitaires ?
Julien : Il faut que ça cesse. Que chacun puisse s’exprimer, militer, débattre, sans peur. Aujourd’hui, si vous êtes de gauche, vous êtes célébré. Si vous êtes de droite, vous êtes ciblé. Ce n’est pas ça, la démocratie.
Je lance un appel : qu’on protège tous les étudiants. Qu’on respecte toutes les opinions. Et qu’on fasse enfin la lumière sur ce qui se passe dans les universités comme celle de Nantes. J’ai des amis à Rennes 2, ils voient la même chose sans la subir. Ce n’est pas juste mon histoire. Beaucoup d’autres n’osent pas parler.
Propos recueillis par la rédaction de Breizh-info.com
Breizh-info.com
. Trump – Chine – UE : La guerre économique a commencé – Philippe Murer dans Le Samedi Politique
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°° WEBTUBE : Le 9 avril, la hausse des tarifs douaniers décidée par Donald Trump doit entrer en vigueur. Finalement, au dernier moment, tout est suspendu pour 90 jours, sauf la sentence la plus forte, 125% de droits de douane pour les produits en provenance de Chine ( puis 145%) !
Quelle partition Donald Trump joue-t-il ? Peut-il réindustrialiser l’Amérique ? Dans quel but ? Quel avenir pour l’abyssale dette américaine de près de 30 000 milliards de dollars ? Ces choix, résolument tournés vers le protectionnisme vont-ils se conjuguer à la métamorphose géopolitique de Washington ? 🇨🇳 La Chine, elle, a déjà annoncé des mesures-miroir avec 84% puis 125% de droits de douane pour les produits américains. De quoi lancer officiellement le grand affrontement du XXIème siècle entre la Chine et les États-Unis. 🇪🇺 Face à cette lutte, l’Union européenne et la France de surcroît pourrait s’engouffrer dans la brèche ouverte par Donald Trump et prendre le chemin de la réindustrialisation et donc de l’émancipation. Sans surprise, ce n’est pas le choix de nos dirigeants, campés sur leurs obsessions du libre-échange et de la mondialisation qui a pourtant appauvri les peuples et les nations. 🎙 Pour en parler, Philippe Murer, économiste, cofondateur du Mouvement Politique Citoyen et auteur de Sortir du capitalisme du désastre publié aux éditions Jean-Cyrille Godefroy (disponible ici : https://boutiquetvl.fr/accueil/philip…. Il décrypte la stratégie de Trump, cartographie les dépendances liées à la mondialisation et les faiblesses européennes…
. Le poète de la rue… une histoire d’aujourd’hui
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°° WEBTUBE : Molière découvre un poète de Fontenay-aux-Roses 352 ans après son décès. Le bus ? Ses passager ? Rien à carrer ! C’est ça le vivre ensemble aujourd’hui dans nos rues.
🇫🇷 Fontenay-aux-Roses : Un ingénieur du son méprise le « vivre ensemble » et utilise une barrière pour bloquer la route à un bus, le temps de tourner son clip… pic.twitter.com/SrKWoP2Vab
— Wolf 🐺 (@PsyGuy007) April 10, 2025
. La chanson du jour, Jethro Tull – Bourée
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°° WEBTUBE : Retour sur ce bon vieux classique du jazz rock alternatif, basé sur la « Suite en mi mineur pour luth » de Bach. Peu importe combien d’années se sont écoulées depuis sa sortie en 1969, ce morceau reste toujours frais et unique. Quelle mélodie et quelle interprétation !
°° WEBTUBE : A look back at this good old alternative jazz rock classic, based on Bach’s “Suite in E Minor for Lute.” No matter how many years have passed since its release in 1969, this piece remains fresh and unique. What a melody and what a performance!
. La fin de la mondialisation ? Trump et l’accélération d’un bouleversement global
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°° WEBTUBE : Il est des moments où les plaques tectoniques de l’Histoire se mettent à grincer avec une brutalité inédite. Des instants de bascule où ce qui semblait immuable vacille. Ce que nous vivons en ce moment est de cet ordre-là. Après les soubresauts géopolitiques – de la guerre en Ukraine à la contestation de l’ordre mondial par les BRICS – le séisme gagne désormais l’économie. Et ce n’est pas un frémissement. C’est un renversement de paradigme, un coup de hache porté au tronc pourri de la mondialisation dérégulée.
Par un geste aussi simple que symboliquement explosif – le rétablissement de barrières douanières – Donald Trump a brisé le tabou fondateur de l’ordre globalisé post-1991. L’Amérique, mère du libre-échange mondialisé, envoie valser les dogmes qu’elle avait imposés au reste du monde. Et avec eux, une élite technocratique transnationale qui n’a eu de cesse, depuis trente ans, de dissoudre les nations dans un bouillon marchand sans frontières, sans peuples, sans racines.
Le projet de Trump ? Réindustrialiser. Redonner du pouvoir aux travailleurs. Remettre la production au cœur de l’économie réelle. Redonner aux États leur souveraineté monétaire, énergétique, industrielle. Bref, reconstruire ce que le capitalisme financier – celui de BlackRock, des forums de Davos et des cercles de Bruxelles – avait méthodiquement démantelé.
Ce n’est pas un simple revirement politique. C’est un acte de guerre économique et idéologique contre un système dont l’Union européenne est aujourd’hui le dernier bastion politique.
Quand Trump coupe les financements de l’USAID, c’est toute une nébuleuse d’ONG, de fondations, de réseaux médiatiques “progressistes” qui voit sa perfusion s’interrompre. Car ces structures n’étaient pas des philanthropes : elles servaient à préparer les esprits, à formater les élites, à faire entrer les nations récalcitrantes dans le moule mondialisé par la petite porte des « valeurs universelles ». Trump referme cette porte. Et c’est un choc.
L’Europe, déjà fragilisée par sa perte de compétitivité, sa dépendance énergétique et sa crise démographique, se retrouve en première ligne. Le discours du sénateur J.D. Vance à Munich n’était pas une mise en garde. C’était un ultimatum. Adaptez-vous au monde qui vient. Ou disparaissez. Une phrase qui résonne comme une sentence pour une Union européenne qui répond par plus de centralisation, plus de censure, plus de fuite en avant fédéraliste.
Les signes sont là : annulation d’élections, suppression de médias dissidents, encadrement croissant de la parole publique. Le camp mondialiste, acculé, se cabre. Mais en agissant ainsi, il dévoile sa nature profonde : celle d’un pouvoir post-national qui, pour se maintenir, doit désormais piétiner les principes démocratiques qu’il prétend incarner.
La confrontation ne fait que commencer. Elle est inévitable. D’un côté, un modèle fondé sur les peuples, les frontières, le travail réel. De l’autre, un empire d’abstractions, de normes et de marchés. La tension entre ces deux visions du monde est désormais ouverte, frontale. Et la France, comme la Bretagne, devra tôt ou tard choisir son camp.
La mondialisation ne s’effondre pas en silence. Elle crie, elle griffe, elle accuse. Mais elle tombe. Et ceux qui auront su reconstruire sur ses ruines une économie enracinée, une souveraineté restaurée et un peuple debout, auront écrit l’acte de naissance du monde d’après.
L’effondrement est en cours. À nous d’en faire une renaissance.
David Prenvide (inspiré du tweet ci-dessous)
#Chronique_d_un_effondrement-Et soudain tout s’accélère
— Frédéric Aigouy (@frederic_RTfr) April 7, 2025
Jusqu’à présent cantonné à la sphère géopolitique, le grand bouleversement vient d’entrer avec fracas dans la sphère économique: en imposant ses tarifs douaniers, Donald Trump a pris le diable de la mondialisation débridée… pic.twitter.com/L9TgkOxsGc
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. Les maires des petites villes et villages tentent d’endiguer l’insécurité
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°° WEBTUBE : Une interdiction de consommer de l’alcool et de se réunir à plus de trois personnes : c’est l’ultime solution qu’a trouvée le maire de cette petite commune pour lutter contre les incivilités. À Colombier-Saugnieu, Pierre Marmonier affirme avoir épuisé tous les recours pour endiguer le problème. Il a dû se rendre à l’évidence : seule la manière forte semblait efficace face à la poignée de délinquants troublant la paix de ce village de 2.700 âmes, en banlieue lyonnaise.
Sollicité par des habitants excédés, l’élu a donc décidé d’interdire les regroupements de plus de trois personnes et la consommation d’alcool dans plusieurs zones du village. À l’origine de ces mesures radicales, de nombreuses plaintes visant des jeunes désœuvrés, souvent âgés d’une quinzaine d’années, certains déjà majeurs. « Une cinquantaine de pétards ont été sciemment passés par-dessus mon portail. Des coups de sonnette, jusqu’à 200 par jour. Des jets de pierres, des insultes graves », témoigne une habitante, auprès de BFM TV.
Saint-Omer : la mairie saisit le procureur
Colombier-Saugnieu est loin d’être la seule petite commune à voir sa sécurité se dégrader, au point d’obliger les élus à prendre de nouvelles mesures. À Saint-Omer, dans le Pas-de-Calais, c’est la longue rue d’Arras qui pose problème, révélait un reportage de BFM TV diffusé le 5 avril. Des rondes policières ont été renforcées dans cette ville qui compte 14.600 habitants et la mairie a annoncé avoir saisi le procureur pour réclamer la mise en place d’une cellule de veille. Elle serait chargée de faire face aux problématiques rencontrées par les riverains et commerçants qui se plaignent d’une augmentation de l’insécurité. Ceux qui évoquent des violences « quasi quotidiennes », verbales ou physiques, accusent des sans-abri d’être à l’origine de ce climat.
À Bosgouët, un petit village de moins de 800 habitants dans l’Eure, le maire a signé, au début du mois d’avril, un « protocole de participation citoyenne » pour affronter le même problème. Il a également installé des caméras de surveillance pour endiguer les incivilités récurrentes, selon Paris Normandie.
Le Territoire de Belfort en alerte
Une problématique également dénoncée, fin mars, par les maires du Territoire de Belfort lors de l’assemblée générale de l’Association des maires du département. Parmi différentes thématiques, celle de la sécurité est « récurrente », selon L’Est républicain. Trafic de stupéfiants, commerces de nuit qui dérangent : les raisons sont suffisantes pour faire intervenir la puissance publique. L’État a fait fermer plusieurs établissements, en quelques mois. Selon les informations relevées par le journal local, la sécurité se dégrade sur l’ensemble de ce territoire, « y compris dans les villages ». Au début de l’année 2025, les violences sexuelles se sont, ainsi, envolées de 54,64 % sur un an, selon Ville-data.com.
L’héritage des émeutes de 2023
Les émeutes de l’été 2023 avaient par ailleurs été un terrain propice à ce genre de dégradation de la tranquillité dans les petites et moyennes villes, comme en témoignait un reportage de CNews consacré à la commune de Bressuire, dans les Deux-Sèvres. Une bande d’une vingtaine d’individus avaient profité de la tension à l’échelle nationale pour faire un raid en centre-ville et piller des établissements. À Romans-sur-Isère, quelques mois avant le drame de Crépol, le quartier de la Monnaie avait déjà fait parler de lui. Durant la période d’émeutes, une cinquantaine d’individus avaient répandu la terreur dans ce quartier de 2.700 habitants, durant la nuit du 1er au 2 juillet.
De petites villes en villages, les mêmes scènes se répètent. Les maires alertent, les habitants craquent et les mesures se durcissent. En vain. Le sentiment d’insécurité n’est plus « de l’ordre du fantasme »…
Alienor de Pompignan, dans BV
. [MIEUX VAUT EN RIRE] Delogu complotiste ?
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°° WEBTUBE : Cette semaine, dans Mieux vaut en rire, Agnès Pannier-Runacher n’a rien retenu des gilets jaunes, la députée PS Estelle Mercier combat le sexisme en commission des finances et Anne Hidalgo a sauvé le PS, avec ses 1,7 % à la présidentielle.
. Poutine veut démilitariser l’Ukraine, l’UE veut la réarmer : mauvaise pioche !
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°° WEBTUBE : La frénésie de réunionites guerrières et de discours belliqueux qui s’est emparée des chancelleries européennes devient de plus en plus grotesque. Sans armées conséquentes, divisés comme jamais, totalement désemparés par la défection de Washington et surtout vexés d’être mis à l’écart des négociations qui se déroulent entre Poutine et Trump, les Européens s’agitent pour tenter d’exister dans le règlement du conflit ukrainien. Mais c’est le bon sens qui fait cruellement défaut à ces têtes brûlées, totalement inconscientes de leur faiblesse.
ous ces crétins devraient gesticuler un peu moins et essayer de comprendre le Tsar :
– Poutine mène une guerre existentielle après 35 années de trahisons et de mensonges de l’Occident, qui n’a cessé de nuire à la Fédération de Russie en rêvant de la dépecer ;
– Le Tsar ne cédera jamais la Crimée ni les quatre oblasts du Donbass rattachés à la Russie. Et si la situation l’exige, il aura recours à l’arme nucléaire tactique ;
– Il ne signera aucun traité de paix avec Zelensky, un saltimbanque mafieux et corrompu qu’il juge illégitime depuis que son mandat a expiré il y a un an ;
– Il ne négociera pas avec les Européens qui l’ont trahi en torpillant les accords de Minsk ;
– Il n’acceptera aucune paix aussi longtemps que ses objectifs ne seront pas atteints :
1°) démilitarisation de l’Ukraine
2°) dénazification du régime
3°) neutralité avec impossibilité d’intégrer l’Otan
Poutine refuse que des troupes européennes, donc de l’Otan, stationnent en Ukraine, que ce soit sous protection ou non de l’article 5. Mais Macron persiste sans avoir les moyens de ses prétentions.
Il est clair que les nains militaires européens n’ont toujours pas compris que les Russes tiennent tête à cinquante nations sans avoir eu recours à une mobilisation générale. Poutine recrute autant de volontaires chaque mois que Zelensky perd de soldats sur les 1 200 km du front.
Si la Russie entrait en guerre contre l’Otan, option que Poutine n’a jamais écartée, ce sont 20 millions de soldats qu’elle pourrait mobiliser. En comparaison, les armées européennes ne parviennent même pas à honorer leurs quotas de recrutement annuels.
Pour toutes ces raisons, on voit mal à quoi riment toutes ces gesticulations de Macron et de Starmer. Non seulement les volontaires ne se bousculent pas pour rejoindre la coalition, mais l’Europe est incapable d’assurer des garanties de sécurité à l’Ukraine sans le soutien américain, avec notamment une protection aérienne crédible.
Comment régler autrement que par les armes un problème majeur où tout compromis est impossible ?
– Les Européens jugent inacceptable la démilitarisation de l’Ukraine ;
– Poutine ne fera la paix que lorsque cette démilitarisation sera acquise et irréversible.
En fait, l’Europe veut s’engager dans une mission de paix armée qui pourrait durer des années. Autant dire que c’est un fardeau qui dépasse ses moyens.
La solution d’une paix durable n’est certainement pas un conflit larvé entre la Russie et l’Otan, qui s’éterniserait comme le conflit israélo-palestinien, tel que les Européens le programment. La seule solution crédible passe par l’acceptation d’une paix aux conditions du Tsar.
Les Occidentaux peuvent brailler, mais ils n’avaient qu’à respecter les accords de Minsk pour éviter la guerre, au lieu de persécuter les populations russes du Donbass.
Quant à la souveraineté territoriale de l’Ukraine, ceux qui la mettent en avant pour combattre la Russie sont les mêmes qui ont dépecé la Serbie en décrétant l’indépendance unilatérale du Kosovo en 2008, au mépris du droit international.
Puisque l’Occident russophobe ne connaît que la loi du plus fort, c’est sur le terrain militaire que se réglera le conflit. Il n’y aura pas de paix aussi longtemps que les causes de cette guerre n’auront pas été éliminées et que des garanties de paix durables ne seront pas clairement définies.
Le Tsar le répète depuis février 2022 mais l’Occident refuse d’écouter et préfère gesticuler tout seul. La prochaine réunion de Ramstein, où cinquante nations discuteront de l’aide à l’Ukraine, se déroulera sans la présence du secrétaire d’État à la Défense américain.
Des palabres sans lendemain puisque c’est l’Ours russe qui détient la clé du problème, fort de son armée de pointe, de ses 6 200 têtes nucléaires et de ses inestimables ressources géologiques. Autant d’atouts que ne possèdent pas les Européens qui ont préféré investir dans le social depuis 1990. On ne joue pas les Rambo après 35 ans passés à se prélasser sur un canapé.
Avant d’évoquer le réarmement de l’armée ukrainienne, les Européens feraient mieux de se préparer à son effondrement.
Jacques Guillemain, Riposte Laïque