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#webtube : Après la censure de la loi Duplomb et de la loi dite “Philippine”, la droite dénonce un coup de force des juges. Deux décisions en l’espace de 24 heures qui en disent long sur le pouvoir grandissant du Conseil constitutionnel. Ce 7 août, les sages de la rue Montpensier ont censuré deux mesures législatives cruciales. L’allongement de la rétention des étrangers « présentant de forts risques de récidive », de 90 à 210 jours, dite « loi Philippine » en hommage à la jeune fille retrouvée morte dans le bois de Boulogne en septembre 2024, a ainsi été retoqué par le Conseil constitutionnel, saisi par les élus de gauche. Cette loi prévoyait notamment d’allonger le maintien en détention en centre de rétention administrative (CRA) des étrangers qui, à l’instar du meurtrier présumé de Philippine, présentent un profil dangereux pour la société. Mais pour le Conseil constitutionnel, sur le fondement de l’article 66 de la Constitution qui dispose que « nul ne peut être détenu arbitrairement », il s’agirait là d’une mesure « pas proportionnée ». Le même jour, les sages de la rue Montpensier, à nouveau saisis par les élus de gauche et d’extrême gauche, ont censuré la loi Duplomb, un autre texte législatif, pourtant adopté par les députés. Ils ont considéré que les dérogations autorisant l’utilisation du produit de la famille des néonicotinoïdes n’étaient pas assez encadrées par ce texte de loi. Forcément, ces deux décisions, prises coup sur coup, ont longuement fait réagir la classe politique.
La gauche crie victoire
À gauche, tout d’abord. Si les élus socialistes, écologistes et insoumis ne se montrent pas très bavards sur la censure de la loi Philippine (ont-ils honte d’avoir saisi le Conseil constitutionnel à ce sujet ?), ils sont en revanche bien plus loquaces sur le retoquage de la loi Duplomb. Sandrine Rousseau, notamment, exprime un « grand soulagement » après cette décision qui confirme, selon elle, que « le gouvernement Bayrou est une imposture idéologique totale ». Mathilde Panot, chef de file des Insoumis à l’Assemblée, se félicite également de cette décision : « La loi Duplomb soutenue par la Macronie, la droite et l’extrême droite est censurée. » Et Boris Vallaud, président du groupe socialiste, abonde : « Une victoire pour la santé humaine et environnementale, un soulagement pour des millions de Français-es » (sic).
La droite fustige le Conseil constitutionnel
À droite, les politiques s’insurgent contre le pouvoir disproportionné du Conseil constitutionnel. « Pour le Conseil Constitutionnel, protéger les Français compte seulement quand il s’agit d’achever nos agriculteurs en leur interdisant un produit autorisé partout en Europe – et qui restera autorisé partout dans nos maisons… En revanche, le principe de précaution ne vaut pas quand il s’agit de retenir des immigrés illégaux qui ont tué ou violé et présentent un fort risque de récidive », s’insurge ainsi François-Xavier Bellamy, député Les Républicains au Parlement européen. « Comment les Français peuvent-ils accepter que nos institutions deviennent otages d’un détournement si manifestement politique ? Il devient vital que la démocratie reprenne le pouvoir », plaide l’eurodéputé. Laurent Wauquiez n’en pense pas moins : « Le Conseil constitutionnel fait très fort, aujourd’hui. Chez nos voisins, les étrangers peuvent être maintenus en rétention jusqu’à 18 mois. En France, le Conseil constitutionnel interdit de dépasser 90 jours. […] Quand reprendrons-nous enfin la main ? » « Le niveau d’ingérence des juges constitutionnels devient un vrai problème pour notre démocratie », poursuit-il.
Dans les rangs du Rassemblement national, même son de cloche. Matthieu Valet, député à Bruxelles, fustige : « Les juges viennent de censurer une loi qui visait à mieux expulser ceux qui n’ont rien à faire en France. […] Leur spécialité ? Supprimer toute nouvelle loi votée par les députés du Peuple pour protéger les Français. Visiblement, ils préfèrent plus de victimes plutôt que moins de voyous. » « En se comportant comme un législateur alors qu’il n’en détient pas la légitimité démocratique, le Conseil constitutionnel scie la branche sur laquelle il est assis », ajoute Marine Le Pen. De son côté, Éric Zemmour, président de Reconquête, écrit : « De décision en décision, notre pays s’enfonce dans le gouvernement des juges. Le Conseil constitutionnel fait de la politique en s’appuyant sur des textes qui n’auraient jamais dû avoir valeur constitutionnelle. Il faut remettre nos institutions à l’endroit. » Et Éric Ciotti de conclure : « Le Conseil constitutionnel outrepasse ses prérogatives, dicte sa loi et gouverne à la place du peuple ! Une caste confisque nos institutions et dénature l’héritage du général de Gaulle. Mettons fin à cette dérive dans les urnes ! »
Loi Duplomb : de décision en décision, notre pays s’enfonce dans le gouvernement des juges.
— Eric Zemmour (@ZemmourEric) August 8, 2025
Le Conseil constitutionnel fait de la politique, en s’appuyant sur des textes qui n’auraient jamais dû avoir valeur constitutionnelle.
Il faut remettre nos institutions à l’endroit.
Clémence de Longraye, dans BV
. Cambrioleurs pourchassés dans l’Oise : quand les villageois se rebiffent
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#webtube : Grâce à la solidarité et à la mobilisation de ses voisins, un couple a échappé au pire, dans un petit village de l’Oise. Une scène digne d’un film américain. Dans la soirée du lundi 4 août, la petite commune de Pontpoint, dans l’Oise, a été le théâtre d’un événement peu banal. Tout a commencé par un appel téléphonique reçu par un habitant nommé Loris, alors qu’il sortait de son domicile familial. « Les voisins se font tabasser par des cambrioleurs ! », lui lance alors son frère, à l’autre bout du fil. N’écoutant que son courage, le jeune homme rebrousse chemin et se rend chez les voisins d’à côté, où son frère et son père sont déjà arrivés. « Mon frère a entendu appeler à l’aide, a-t-il ensuite rapporté au Parisien. Il a sauté le muret et a vu la mamie qui essayait de s’échapper vers le portail et se faire traîner. »
Débute alors une véritable chasse à l’homme pour rattraper les malfrats. Les deux frères rameutent leurs proches, mais aussi les passants croisés sur leur chemin. « Les cambrioleurs sont partis par les champs au-dessus de l’église jusque dans la forêt de Pontpoint, explique Loris. Les gens du tabac les ont vus passer et se sont mis à leur poursuite. »
Pontpoint (60) : des voisins sauvent un couple de retraités tabassés à coups de barre de fer par des cambrioleurs, chasse à l’homme dans le village
— Fdesouche.com est une revue de presse (@F_Desouche) August 5, 2025
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Grâce à cette mobilisation citoyenne, les gendarmes sont parvenus à mettre la main sur les suspects. « Actuellement, trois hommes âgés de 17 à 20 ans sont en garde à vue », a indiqué le procureur de la République de Senlis, qui a ouvert « une enquête de flagrance confiée à la brigade des recherches de Senlis pour vol aggravé par plusieurs circonstances ».
Les victimes, sérieusement blessées, ont été prises en charge à l’hôpital et par une association chargée de leur apporter le soutien psychologique nécessaire. « S’ils n’étaient pas intervenus, il y aurait sûrement eu un drame », raconte Jean-Louis, l’oncle de Loris, qui s’est lui aussi mobilisé pour retrouver les auteurs. Et le neveu d’ajouter : « La dame est traumatisée, elle s’est vue mourir. »
De son côté, le maire de Pontpoint, Bruno Dauguet, a exprimé son soutien au couple agressé. « Nous [lui] devons [d’être] toujours dévoué pour la commune », a-t-il confié, au sujet du mari blessé, précisant que ce dernier avait réalisé « une bonne partie des décorations aux entrées et sorties du village ».
L’inquiétant phénomène du home-jacking
Les home-jackings semblent se multiplier, en France, depuis le début de l’année. Samedi 26 juillet, deux touristes brésiliens ont été victimes d’une de ces violentes attaques dans l’appartement qu’ils louaient pour leurs vacances, dans le XIVe arrondissement de Paris. Menacés avec un couteau sous la gorge, ils ont été contraints de livrer leurs téléphones et de l’argent liquide.
Plus tôt dans le mois, le 4 juillet, l’influenceuse Soraya Riffy, 30 ans, a été ligotée avec de l’adhésif à son domicile et tabassée par trois individus, qu’elle soupçonne aussi de viol alors qu’elle avait perdu connaissance. La jeune femme est sortie de l’événement traumatisée.
Mais ce type de cambriolages ne vise pas exclusivement les personnalités et habitants des centres urbains. « Cela peut toucher n’importe qui », confirme Agathe Foucault, porte-parole de la police nationale. Même les hameaux les plus paisibles. On en a eu la preuve au printemps dernier, à Moutiers-en-Cinglais, un petit village du Calvados. Dans la nuit du 16 au 17 mai 2025, un couple et ses deux enfants ont été réveillés en pleine nuit par une équipée venant vraisemblablement de banlieue parisienne. Les trois « jeunes » les ont ligotés et torturés dans l’espoir de leur soutirer leurs biens les plus précieux. Une nuit d’horreur que même TF1 n’a pas eu le cœur de passer sous silence.
En mai dernier, un couple et ses 2 enfants ont été victimes d'un home jacking très violent dans un hameau calme du Calvados.
— 🇫🇷 fred le gaulois 🇫🇷 Uniondesdroites 🐱🐱 (@FredGaulois) August 1, 2025
Les 4 malfrats ont même blessé leur gamin de 4 ans pour connaître l'endroit où se trouvait un coffre qui n'a jamais existé.
Ils sont repartis avec 10000 €… pic.twitter.com/NInYiwQDSa
À ce sujet — Dans un hameau normand, une famille torturée : 4 suspects interpellés et mis en examen
Ces attaques illustrent le recul de l’État dans sa capacité à tenir le territoire. Débordant des cités et des villes, l’insécurité s’abat désormais aussi sur les bourgs. Plus aucun lieu ne semble épargné par ces bandes qui pillent, agressent et détruisent tout sur leur passage, comme au temps des razzias barbaresques.
La vulnérabilité des zones reculées
Face à ce phénomène de prédation grandissant, l’État apparaît bien impuissant. Emmanuel Macron n’a-t-il pas lui-même annoncé l’avènement de la « société de vigilance », invitant, en quelque sorte, les citoyens à se débrouiller par eux-mêmes ? Les malfaiteurs, eux, ont reçu le message cinq sur cinq. Ils ont bien compris que les moyens mis en œuvre pour les neutraliser étaient dérisoires, notamment en milieu rural où les effectifs sont réduits et les temps d’intervention des gendarmes souvent allongés. Livrés à eux-mêmes, les habitants des zones reculées, jusqu’alors préservées, n’ont plus d’autres choix que de s’organiser et apprendre à se défendre. Tout le monde n’a pas la chance d’avoir un voisin comme Loris.
Jean Kast, dans BV
. 9 août 1945 : Nagasaki, une ville sacrifiée pour la paix mondiale
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#webtube : La capitulation de l’empire du Soleil-Levant mit un terme à la 2nde guerre mondiale, mais pas au calvaire des Japonais. Le 9 août 1945, à 11h02, un grondement sourd fend le ciel au-dessus de Nagasaki. Quelques secondes plus tard, une lumière aveuglante efface une partie de la ville. Aujourd’hui, 80 ans après, cette date reste gravée dans l’Histoire comme l’un des moments les plus tragiques du XXe siècle et aussi comme celui qui permit d’entrevoir l’issue d’un conflit sanglant. En effet, le bombardement atomique de Nagasaki, comme celui d’Hiroshima trois jours plus tôt, a précipité la capitulation de l’empire du Soleil-Levant, scellant ainsi à jamais la fin de la Seconde Guerre mondiale.
Un monde en guerre
En 1945, alors que l’Allemagne nazie a déjà capitulé, le Japon continue de se battre. Le pays est alors encerclé, son économie ruinée et ses grandes villes incendiées par les bombardements conventionnels. Cependant, l’idée même de reddition est impensable, pour les dirigeants japonais. La voie du guerrier que ces derniers suivent, le Bushidô, valorise l’honneur et le sacrifice au détriment de la défaite, même au prix de la mort.
Du côté américain, la guerre a déjà coûté plusieurs centaines de milliers de vies (plus de 400.000). Les combats dans le Pacifique, notamment à Iwo Jima et Okinawa, ont révélé l’extrême ténacité de l’armée japonaise, prête à se battre jusqu’au dernier homme. L’état-major estime qu’une invasion du Japon, prévue pour novembre 1945, pourrait provoquer entre 250.000 et un million de morts parmi les troupes américaines. Un tel bilan est jugé inacceptable.
Cependant, les États-Unis disposent désormais d’une arme nouvelle, dont la puissance apocalyptique a été démontrée en 1945 lors d’un essai dans le désert du Nouveau-Mexique. Le président Truman, après avoir lancé un ultimatum resté sans réponse, autorise alors l’emploi de la bombe atomique pour contraindre le Japon à une capitulation immédiate et sans conditions.
À ce sujet — [HISTOIRE] Septembre 1945, la capitulation du pays du Soleil levant
Hiroshima et Nagasaki
Le 6 août 1945 à 8h15, le bombardier américain Enola Gay largue sur Hiroshima « Little Boy », une bombe à l’uranium. La détonation équivaut à 15.000 tonnes de TNT. Une boule de feu s’élève vers les cieux et embrase l’atmosphère : la température grimpe à plus de 5.000 °C. En une fraction de seconde, des dizaines de milliers de personnes sont pulvérisées. Les survivants, brûlés vifs ou irradiés, errent tels des morts-vivants parmi les décombres de leur ville en cendres. Le bilan humain est effroyable : environ 140.000 morts avant la fin de l’année 1945, des victimes qui s’ajouteront aux morts militaires et civils japonais durant ce conflit : au total, plus de deux millions de militaires, entre 500.000 et un million de civils. Bien d’autres périront, dans les années suivantes, victimes de cancers et de maladies liées aux radiations. Malgré cet enfer déclenché sur Terre, Tokyo ne manifeste toujours aucun signe clair de reddition.
Face à l’obstination du gouvernement japonais, les États-Unis décident de frapper une seconde fois. Le 9 août 1945, une seconde bombe, « Fat Man », cette fois au plutonium, est ainsi embarquée à bord du B‑29 Bockscar. La cible initiale, Kokura, est épargnée à cause d’une couverture nuageuse trop dense. Les pilotes se dirigent alors vers Nagasaki, une ville portuaire industrielle nichée entre les montagnes.
À 11h02, la bombe explose à 500 mètres d’altitude. L’effet est tout aussi dévastateur qu’à Hiroshima. Environ 80.000 personnes périssent face à la déflagration qui détruit tout sur plusieurs kilomètres. Par miracle, le jardin de l’Immaculée, le couvent franciscain fondé sur les hauteurs de la ville par le moine polonais Maximilien Kolbe, mort à Auschwitz en 1941, est épargné. On dit même que les personnes qui s’y étaient réfugiées furent préservées des radiations.
Face à cette nouvelle apocalypse, le gouvernement japonais n’a plus aucun choix. Le 15 août, l’empereur Hiro-Hito s’adresse ainsi à la nation pour annoncer solennellement la capitulation et donc la fin de la guerre.
Les hibakusha, des victimes invisibles
Pour atteindre la paix, deux villes entières auront dû être rayées de la carte et plus de 200.000 vies auront dû être sacrifiées. Cependant, la capitulation ne mit pas un terme au calvaire des Japonais. En plus de devoir subir le joug d’une occupation américaine, des milliers de survivants, appelés hibakusha, durent apprendre à vivre avec les séquelles physiques et psychologiques des explosions. Pendant des décennies, ils furent considérés comme des pestiférés et, malheureusement, ostracisés dans la société. Mais au-delà des ruines, des cendres et des larmes, les survivants ont choisi de faire de leur douleur et de leur souffrance un message contre l’utilisation des armes nucléaires. En 2019, lors de la visite du pape François à Nagasaki et à Hiroshima, le souverain pontife avait déclaré : « En à peine un instant, tout a été dévoré par un gouffre noir de destruction et de mort. De cet abîme de silence, aujourd’hui encore, on continue d’entendre, fort, le cri de ceux qui ne sont plus. » « Au nom de toutes les victimes des bombardements et des expérimentations atomiques, ainsi que de tous les conflits, élevons ensemble un cri : plus jamais la guerre, plus jamais le grondement des armes. »
Eric de Mascureau, dans BV
. Le Royaume-Uni, colonie de son ex-empire et otage de ses minorités
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#webtube : Les Britanniques blancs, interdits de MI5, ne peuvent plus défendre leur pays. Rappelons que la discrimination positive est interdite par la loi en Grande-Bretagne. Mais les lois, comme chacun sait, sont faites pour s’asseoir dessus quand les gouvernements y trouvent leur compte.
C’est ainsi que la sécurité intérieure au Royaume-Uni est désormais réservée aux minorités noire, asiatique ou métisse. Anglais de souche s’abstenir, le MI5 (Military Intelligence, Section 5), équivalent de notre DGSI (Direction générale de la Sécurité intérieure), est devenu le fer de lance du racisme antiblanc, officialisé par le gouvernement. Jugez plutôt :
Critères pour postuler au stage de renseignement organisé par le MI5
– être étudiant universitaire en fin de cursus
– être de nationalité britannique
– être issu d’une minorité ethnique
– être issu d’un milieu défavorisé
De quelles minorités s’agit-il ?
– Asiatique ou Britannique d’origine asiatique : Indien, Pakistanais, Bangladais, Chinois ou autre origine asiatique
– Noir, Noir britannique : Caribéen, Africain ou toute autre origine noire
– Origine mixte : Caribéen blanc et noir, Africain blanc et noir, Blanc et asiatique ou tout autre origine mixte
– Autre groupe ethnique minoritaire
– Autre Blanc (par exemple, Tsiganes roms, Voyageurs écossais ou Voyageurs irlandais)
Discrimination sociale
Fils de riche, même noir ou asiatique, s’abstenir.
On sait depuis longtemps que la justice britannique, comme celle du Canada ou de la France, est de plus en plus défavorable aux Blancs, mais là, c’est un racisme antiblanc officialisé qui interdit aux jeunes Britanniques de souche de protéger et de défendre le pays dont ils ont hérité.
Et quand on connait l’histoire de cette grande nation qui a régné sur tous les continents, il y a de quoi se demander s’il n’y a pas une volonté délibérée du monde occidental de se suicider.
Être blanc est devenu un handicap au Royaume-Uni, et pas seulement pour intégrer le MI5, mais également dans la vie quotidienne ou face à la justice.
La grande nation millénaire, celle de la reine Victoria, est devenue la colonie de son ex-empire, avec la bénédiction de ses dirigeants, mais contre l’avis du peuple de souche, dernier servi au guichet social.
Explication officielle :
« Le renseignement britannique ne cherche pas à recruter les meilleurs mais à respecter des quotas, les minorités étant sous-représentées. »
Voilà qui a le mérite d’être clair. Les meilleurs sont indésirables s’ils sont blancs ou riches.
L’immigration de masse finira par tout emporter. On assiste en Europe à un formidable nivellement par le bas, quand les quotas ethniques prennent le pas sur la sélection au mérite.
Ce grand suicide collectif qui touche le monde occidental , mais surtout l’Europe, est incompréhensible. Mais rien ne semble pouvoir le stopper. Ce sont 500 millions d’Européens qui creusent leur propre tombe dans l’allégresse, en réprimant sévèrement tous ceux qui s’opposent à cette entreprise de démolition du patrimoine culturel hérité de nos aînés. Comprenne qui pourra.
Il est vrai que toutes les civilisations finissent par disparaître, mais rien ne presse.
Jacques Guillemain, Riposte Laïque
. La destruction de la France se poursuit et s’accentue
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#webtube : Les émeutes s’étendent et se disséminent. Elles ont cessé, car en France quasiment tout s’arrête en juillet-août, mais il ne fait aucun doute qu’elles reprendront cet automne.
Le Journal du Dimanche a publié voici quelques semaines une carte montrant l’étendue des dégâts. Les émeutes qui ont eu lieu à Paris, suite à un match de football il y a deux mois, se reproduiront aussi, tôt ou tard.
Des émeutes telles que celles qui ont suivi la mort du jeune criminel musulman Nahel Merzouk se reproduiront aussi, pour peu qu’un autre jeune criminel musulman soit tué par la police lors d’un contrôle.
Mais les émeutes qui ont eu lieu dans des petites villes de France n’ont reposé sur aucun prétexte discernable, et uniquement sur une volonté de confrontation avec l’ordre établi, et sur un appétit de destruction qui signifie quelque chose : des fractions désormais importantes de la population vivant sur le sol français détestent la France et rejettent l’ordre établi.
Dès lors que l’immigration venant des pays d’origine des émeutiers se poursuit, la possibilité qu’il soit remédié à cette situation relève, pour l’heure, de l’utopie. La situation, à coup sûr, va devenir plus alarmante encore, et les agressions et les meurtres atroces qui s’ajoutent aux émeutes vont devenir plus fréquents.
Les policiers ne réagiront qu’avec parcimonie, par peur de se retrouver en prison, et les juges resteront laxistes.
Cet automne, dès le mois de septembre, on prévoit déjà des manifestations et des grèves : c’est logique. Manifestations et grèves sont la réponse à la française à une situation économique qui se détériore, et indépendamment de l’insécurité, la situation économique en France se détériore.
Le nombre de gens classés comme pauvres atteint désormais plus de 15 pour cent de la population. Le chômage réel est bien plus élevé que les chiffres officiellement publiés. Les fermetures de petites et moyennes entreprises s’accumulent. La paupérisation de la population est réelle, et la misère gagne du terrain.
La marge d’action d’un gouvernement est très minime, et celle d’un gouvernement nul tel que le gouvernement français actuel est plus minime encore. La France a le record du monde des prélèvements obligatoires et des dépenses publiques.

J’ai dit dans un article récent que la France se dirige vers un orage parfait. Je le pense plus que jamais, et je dois le dire, je ne vois pas d’issue.
La culture économique de la population française est faible, sauf au sein d’une petite minorité. Les dirigeants politiques disant pleinement la vérité sur la situation sont rares et, pour la plupart d’entre eux, infiniment trop peu écoutés.
Les remèdes qui auraient pu être utilisés il y a vingt ans sont aujourd’hui très difficilement utilisables car la situation s’est, depuis, considérablement aggravée.
Une baisse drastique des dépenses publiques impliquerait une baisse elle-même drastique des dépenses dites « sociales » : dans un contexte où des millions de gens vivent d’assistances diverses, et n’auraient plus rien sans celles-ci, cela semble inenvisageable. Couper totalement les assistances aux gens qui ne sont pas de nationalité française et aux immigrants illégaux provoquerait chaos et insurrection.
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Réduire fortement les coûts de fonctionnement du gouvernement et faire des coupes profondes dans le nombre de fonctionnaires susciterait vite une grève générale.
Baisser fortement les impôts pour redonner du dynamisme aux entreprises créerait des déficits budgétaires abyssaux et une explosion de la dette publique, alors que la dette publique est déjà très élevée.

Déréglementer ? Quasiment aucun parti politique n’y serait favorable, et 90 pour cent des médias sont aux mains de journalistes de gauche et d’extrême gauche qui pousseraient des hauts cris.
Renoncer aux lubies écologistes mortifères qui tuent l‘agriculture française et font exploser le coût de l’électricité ? Aucun parti politique ne le propose.
Expliquer sans circonlocutions aseptisées l’immigration islamique et ses conséquences, l’évolution géopolitique du monde, la réalité de l’explosion de l’antisémitisme et de la violence en France, le coût des lubies écologiques françaises est devenu impossible.

La liberté de l’information en France est en voie de disparition et le nombre de sujets qu’il est impossible d’aborder en France s’accroît chaque année, tout comme le nombre de penseurs et d’analystes qui sont exclus des grands médias, ce qui aboutit à ce que la connaissance sur ces sujets devient absente.
Je souhaiterais, je l’ai dit, une arrivée au pouvoir du Rassemblement National en 2027, et peu m’importe qu’on me dise qu’économiquement le RN reste plutôt socialiste : tous les partis politiques susceptibles d’accéder au pouvoir en France sont plutôt ou carrément socialistes,
Mais si au moins une action contre les flux migratoires qui expliquent largement les émeutes, la violence et les déficits publics se trouvait menée, ce serait un pas dans la bonne direction.
Ce serait juste un pas. Mais un pas, malgré tout.
Si ce pas n’est pas fait, dans un quart de siècle, peut-être moins, il y aura encore sur les cartes de géographie un pays appelé la France, mais ce pays sera devenu un pays islamisé du tiers-monde.

Il n’est même pas certain que des touristes venus de pays encore développés le visiteront, car la sécurité n’y sera plus assurée.
Dois-je redire que cela me rend infiniment triste ?
© Guy Millière pour Dreuz.info et Riposte Laïque
. Marseille (13) – « Quand ils tombent sur nous, ils ne reviennent pas » : à la Parade, des habitants organisent des patrouilles façon milice contre les nuisances
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#webtube : Selon La Provence, à Marseille (13e), dans le quartier de la Parade Haute, des habitants excédés par des nuisances (protoxyde d’azote, musique, déchets, feux d’artifice) organisent depuis quelque temps des patrouilles nocturnes aux allures de milice.
Ils portent un brassard “Sécurité La Parade” fait maison et interviennent en petits groupes auprès des jeunes qu’ils jugent responsables.
François* explique : « On est polis, courtois mais fermes […] sept fois sur dix, ça se passe bien. »
Luc* relate : « Ça arrive qu’on nous insulte […] Une fois, un type a sorti un couteau. »
Les rondes s’appuient sur un groupe WhatsApp où sont partagés signalements et photos de véhicules suspects, avec des interventions rapides.
FDS
. Gros plan sur la rédaction d’« Éléments » : Daoud Boughezala
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#webtube : Notre site Webtube s’inspire de temps en temps d’articles de la revue Eléments. Nous leur rendons hommage en diffusant cet article paru le 4 aout dernier. Merci à eux. Voici donc une série d’entrevues afin de vous faire mieux connaître les différents membres – anciens et nouveaux – de la rédaction de notre revue. Entre parcours intellectuel, inclinations artistiques, goûts culinaires et petites marottes, vous saurez tout sur ceux qui composent la famille d’« Éléments ». Premier à passer sur le gril : Daoud Boughezala
ÉLÉMENTS : Vous faites partie des « piliers » de la revue depuis maintenant plusieurs années. Pouvez-vous nous raconter comment vous avez découvert Éléments et comment s’est réalisé le « rapprochement » avec sa rédaction ?
DAOUD BOUGHEZALA. Qu’il est étrange de me voir qualifié de « pilier » d’une revue dans laquelle je n’aurai jamais cru écrire. Lorsque je l’ai découverte en 2008-2009, dans le cadre d’un mémoire de sciences politiques sur la Nouvelle Droite, Éléments me paraissait inaccessible. Certes, Alain de Benoist m’avait alors reçu fort courtoisement, m’ouvrant sa caverne d’Ali Baba pour que j’y puise les ouvrages qui m’intéressaient. Par la suite, au détour d’une soirée littéraire, j’ai fait la connaissance d’Olivier François, qui m’a introduit dans ce petit milieu. Entre-temps, j’avais intégré la direction de la rédaction de Causeur. En 2012, j’y ai publié les bonnes feuilles de Mémoire vive, les souvenirs d’AdB publiés sous forme d’entretiens avec François Bousquet. Quelques années plus tard, j’ai écrit trois articles dans Éléments sous le pseudonyme de Jean de Lavaur (hommage à mon grand-père maternel auquel je dois tant…) afin de rester fidèle à Causeur, au moins en apparence. À mon départ du magazine, Pascal Eysseric et François Bousquet m’ont fait l’amitié de m’ouvrir leurs pages. Depuis, j’y jouis d’une grande liberté, ce qui me rend fier comme Artaban !
ÉLÉMENTS : Vous avez collaboré à divers magazines et revues, comme Causeur, L’Express ou Marianne, quel regard portez-vous sur l’état de la presse en France et la « crise » qu’elle connaît depuis maintenant un temps certain. Selon vous, la presse a-t-elle encore de l’avenir ?
DAOUD BOUGHEZALA. Vous préférez que je sois sincère ou optimiste ? La « crise » que vous évoquez m’a l’air d’un déclin inéluctable. Les temps de lecture décroissent et de moins en moins de gens sont prêts à dépenser leur écot pour lire la presse. Je ne les blâme pas. Ainsi va le monde aux temps des écrans et d’Internet. C’est une mutation anthropologique majeure par rapport aux Trente Glorieuses.
Cette crise de la demande n’exonère pas les journaux de leurs responsabilités. Sont-ils trop moutonniers ? Sans doute. Les titres plus audacieux sont-ils récompensés de leurs efforts ? Rarement. À mesure que la rentabilité de la presse chute, les derniers investisseurs prêts à s’y risquer sont de grands groupes en quête d’influence. Cela ne risque pas d’arranger nos bidons.
Ceci dit, si la presse papier peut mourir, la presse survivra certainement sous une forme ou sous une autre…
ÉLÉMENTS : Le journalisme est-il pour vous une vocation ? Qu’est-ce qui vous a conduit dans cette voie ?
DAOUD BOUGHEZALA. Pas vraiment. Je n’ai jamais mis les pieds dans une école de journalisme. Je suis entré dans la carrière un peu par effraction, en publiant d’abord occasionnellement sur le site causeur.fr avant que ses dirigeants Gil Mihaely et Élisabeth Lévy me mettent le pied à l’étrier en me recrutant. C’est un métier que j’ai appris sur le tas, ce qui n’est pas plus mal.
ÉLÉMENTS : Quelles sont, selon vous, les spécificités de la revue Éléments, ses forces, mais aussi ses éventuelles faiblesses ?
DAOUD BOUGHEZALA. Éléments a un demi-siècle. Une communauté de lecteurs et de sympathisants porte cette revue unique en son genre. À mes yeux, le paganisme qui en constitue la colonne vertébrale renvoie au « polythéisme des valeurs » (Max Weber) qu’Alain de Benoist aime opposer au monothéisme. Indépendamment des querelles théologiques, j’y vois une formidable aventure intellectuelle, un combat de gens sérieux qui ne se prennent pas au sérieux. La plume de François Bousquet, parfois trempée dans la ciguë, m’enchante toujours, m’amuse souvent et m’éblouit souvent. À moins de posséder une culture encyclopédique, chacun élargit la sienne et aiguise sa pensée en lisant Éléments. Sa force est aussi de surprendre, comme j’ai tâché de le faire en donnant la parole à Jean-Claude Milner. Et de nouvelles surprises surviendront à la rentrée…
Quant aux faiblesses, la revue en a certainement. D’abord, les défauts de ses qualités : trop riche, trop longue, trop dense. Je ne connais personne qui la lise du début à la fin, mais est-ce bien grave ? Un point me semble également perfectible : mieux faire apparaître la structure des rubriques. Pour le reste, discutons-en entre camarades !
ÉLÉMENTS : Vos sujets d’articles sont très éclectiques mais vous vous intéressez néanmoins grandement à la situation au Proche-Orient. D’où vient cette inclination ?
DAOUD BOUGHEZALA. J’ai grandi dans le pays arabe d’où est originaire et réside ma famille paternelle : la Tunisie. De 1987 à 2005, j’y ai observé les retombées de la situation au Proche-Orient, des jouets-répliques de missiles Scud (que je réclamais en vain à mes parents !) de la Première guerre du Golfe aux manifestations pour la Palestine pendant l’Intifada. Sous un régime autoritaire séculier tel que celui de Ben Ali, j’ai vu de plus en plus de femmes se voiler, les cafés et restaurants fermer pendant le Ramadan, et la bigoterie exercer un contrôle social pesant.
Une fois étudiant, pendant l’année universitaire 2007-2008, un stage à l’ambassade de France en Syrie m’a immergé dans une société bien plus conservatrice. Sous Assad comme sous Ben Ali, le régime avait conclu un accord tacite avec sa société : réislamisez-vous, pourvu que nous conservions le monopole du pouvoir politique… et de la corruption. À Damas, tous les dimanches matin, je me rendais à la Haute Cour de sûreté de l’État pour entendre un juge sosie miniature de Saddam Hussein condamner de pauvres hères, supposément Frères musulmans ou salafistes, en les traitant de sales sionistes, sous les dorures d’un salon en faux Louis XV…
Toutes ces expériences ont nourri mon intérêt pour la région, que j’ai approfondi lors d’un voyage ferroviaire de trois semaines à travers l’Iran. Malgré les pesanteurs de la République islamique, le pays avait alors trente ans d’avance sur la Syrie.
Quand les printemps arabes ont déferlé sur la Tunisie, l’Égypte, la Syrie et bien d’autres, sans être grand clerc, je ne me suis guère bercé d’illusions. Ceux qui confondaient la « révolution du jasmin » avec le Printemps de Prague n’ont jamais discuté avec une campagnarde tunisienne croyant que les islamistes allaient lui assurer bonheur et prospérité en réservant l’emploi aux hommes. Sic transit…
ÉLÉMENTS : De l’immersion dans la communauté Tamoul parisienne aux plongées dans la « France périphérique », vous êtes spécialiste des « reportages de terrain ». Y’en a-t-il un qui vous a plus particulièrement marqué ?
DAOUD BOUGHEZALA. Il y a cinq ans, j’avais couvert pour L’Express le salon « Désir d’enfant ». Le titre annonce clairement la couleur : exploiter le désespoir de couples infertiles pour leur vendre des PMA ou des GPA. L’atmosphère y était particulièrement sordide. Je me souviens notamment d’une entreprise ukrainienne de mères porteuses proposant toute une gamme de prix (jusqu’à 20 000 euros…) en fonction du lieu de naissance de l’enfant. Par pudeur, la rémunération – au lance-pierre – des mères porteuses était évidemment tue.
C’est un triste concentré de l’époque : au nom des sacro-saints droits individuels, des marchands du Temple exploitent de faibles femmes aux marges de l’Occident. J’en étais reparti avec un porte-clés en forme de spermatozoïde et un sacré mal de bide.
ÉLÉMENTS : Vous réalisez également de nombreuses entrevues avec des personnalités du monde politique, littéraire et intellectuel. Là encore, une rencontre vous-a-t-elle laissé un souvenir plus spécialement vif ?
DAOUD BOUGHEZALA. Rachel Ertel, papesse de la littérature yiddish en France, m’avait très gentiment reçu pour la revue Livr’arbitres, que vous connaissez bien. Cette nonagénaire a un itinéraire et une œuvre exceptionnels. Je pourrais vous citer d’autres interprètes aux destins moins spectaculaires mais aux propos tout aussi profonds, comme le traducteur de Kafka Jean-Pierre Lefebvre qui m’a fait relire Le Procès sous un nouvel angle.
ÉLÉMENTS : En dehors de vos activités de journaliste, quels sont vos hobbys et centres d’intérêt ?
DAOUD BOUGHEZALA. J’aime nager, lire dans les cafés, flâner avec un être cher, découvrir de nouvelles destinations comme récemment Mantoue et Crémone, m’ouvrir à des mondes inexplorés. Depuis un an, j’apprends le persan. C’est à la fois une gymnastique pour les neurones et un bain de l’esprit. À l’heure où nos compatriotes ânonnent « pas de souci » à tout bout de champ,
j’admire tout particulièrement le ta’arof, art iranien de la courtoisie aux mille et une formules rituelles.
ÉLÉMENTS : Êtes-vous gourmet et gourmand ? Quel est votre plat préféré ?
DAOUD BOUGHEZALA. Les deux, mon général ! Plutôt bec sucré, j’ai déjà fait le tour de Paris pour dégoter un Paris-Brest ou des chouquettes d’exception. Si je devais choisir un seul plat, ce serait une madeleine de Proust : l’omelette norvégienne que je dégustais chaque année à Pâques chez Fouillade à Argentat (Corrèze).
ÉLÉMENTS : Enfin, pour conclure, comme nous sommes en pleine période estivale, pouvez-vous nous donner votre destination de vacances préférée et/ou rêvée ?
DAOUD BOUGHEZALA. Le Caffè San Marco de Trieste. Des gâteaux austro-hongrois, un grand étal de libraire et une décoration restée dans son jus : que demander de plus ?
Revue Eléments
. Ion Mischevca (Historien moldave) : « Le Green Deal l’UE ressemble à la planification centrale soviétique »
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#webtube : Ion Mischevca est un historien et journaliste moldave connu pour ses critiques virulentes du néo-marxisme et de la bureaucratie européenne. Il est l’auteur de Qui sommes-nous ? Essai historique sur les 100 ans de la Grande Union et Manifeste pour l’unification : un antidote au néo-marxisme et au progressisme. S’exprimant lors d’une table ronde sur le pacte vert de l’UE lors de la conférence MEGA à Chişinǎu, Mischevca a fait valoir que le programme climatique de l’Union ressemble à la planification centrale soviétique : descendant, non démocratique et déconnecté des réalités économiques et scientifiques.
S’appuyant sur l’expérience de la Moldavie sous le communisme, il a averti que le pacte vert risque de sacrifier la prospérité, la souveraineté et la liberté de l’Europe au nom d’un idéal environnemental irréalisable.
Notre confrère Álvaro Peñas l’a interviewé pour The European Conservative, traduction par nos soins;
Vous comparez le Green Deal de l’Union européenne aux projets menés par l’Union soviétique. Qu’ont-ils en commun ?
Ion Mischevca : La Moldavie est un pays post-soviétique, et bien qu’il y ait quelques différences avec ce que nous avons vécu ici, il existe de nombreuses similitudes avec le concept du Green Deal européen. Cette idée est née de la présidente de la Commission, Ursula von der Leyen, et de bureaucrates qui n’ont jamais été élus par personne. Pourtant, ils décident ce que les agriculteurs doivent faire, comment les usines doivent fonctionner, etc.
Il s’agit fondamentalement du même type d’économie centralisée que celle que nous avions en Union soviétique, dirigée par des bureaucrates du Parti qui n’avaient été élus par personne. Bien sûr, dans la constitution de l’Union soviétique, il était question de démocratie populaire, mais comme c’est le cas aujourd’hui à Bruxelles, c’était complètement antidémocratique. Khrouchtchev, Brejnev, Andropov et tous les autres ont gouverné par des « diktats », comme le fait aujourd’hui la Commission européenne : nous avons besoin de quotas, nous ne pouvons pas produire ceci ou cela, etc. Et, comme à l’époque, tous ces plans sont très beaux sur le papier.
Cela semble très familier, mais la réalité était très différente.
Ion Mischevca : Oui, en Moldavie, nous avions une économie centralisée et productive sur le papier, mais c’était une fausse réalité. L’économie centralisée, planifiée et régulée que préconise aujourd’hui Bruxelles est quelque chose de complètement communiste et nous n’en voulons pas ; nous l’avons déjà combattue et nous ne voulons pas revivre cela.
Il existe également un faux sentiment de culpabilité qui s’est emparé des dirigeants de l’Union européenne : nous avons été des colonisateurs et nous devons maintenant aider tous les pays du monde, intégrer les immigrants illégaux dans nos sociétés, etc.
Cette idée est absurde alors que plus de la moitié des pays européens ont eux-mêmes été colonisés à un moment donné. La Moldavie était une colonie de l’Union soviétique, tout comme la Pologne, la Roumanie, la Hongrie et la Lituanie. Nous avons été victimes et nous ne pouvons pas nous sentir coupables de ce que nous n’avons pas fait. Nous ne pouvons donc pas accepter que des bureaucrates non élus à Bruxelles utilisent le passé colonial de l’Europe comme justification pour imposer aujourd’hui des politiques drastiques de réduction des émissions de carbone. De plus, même si nous réduisions nos émissions à zéro, quel serait l’impact environnemental sur le monde ? Il serait pratiquement négligeable, car nous n’émettons que 7 à 8 % des émissions mondiales, tandis que des pays comme la Chine, l’Inde et les États-Unis continueront à polluer.
Même si nous fermions toutes nos usines, comme le souhaitent les partisans du Pacte vert, nous ne sauverions pas la planète.
Les Soviétiques ont-ils également utilisé la culpabilité pour contrôler leurs États satellites, comme vous le suggérez aujourd’hui pour l’UE ?
Ion Mischevca : C’est exact, et c’est une autre similitude avec ce que fait Bruxelles aujourd’hui. Les pays occupés devaient accepter tous les sacrifices exigés parce qu’ils avaient été du mauvais côté de l’histoire, ils avaient soutenu le fascisme. En réalité, il n’y avait pas de mauvais camp, car les deux systèmes, le fascisme et le communisme, sont des frères idéologiques.
Une autre similitude réside dans la manière dont la « science » est considérée comme une vérité incontestable, utilisée pour étouffer le débat et imposer une idéologie. Nous l’avons vu pendant la pandémie, avec de nombreuses restrictions au nom de la science, alors qu’il n’y avait pas d’unanimité au sein de la communauté scientifique. Aujourd’hui, on nous dit que la « science » a décidé que l’UE doit réduire ses émissions de carbone, sous peine de catastrophe. La même chose s’est produite en Union soviétique : l’athéisme et le marxisme étaient la science, et si vous n’obéissiez pas, vous étiez non seulement contre le régime, mais aussi contre la science.
Si les émissions de l’UE ne représentent qu’une si petite partie du tableau mondial, l’ensemble du programme climatique n’est-il qu’une distraction pour détourner l’attention de problèmes plus profonds ?
Ion Mischevca : Bien sûr, l’Union européenne tente de masquer les vrais problèmes : l’immigration massive, la crise économique et immobilière, la guerre culturelle, etc. Au lieu de s’attaquer à ces réalités, on dépense beaucoup d’argent pour lutter contre la pollution, alors que notre continent est très peu polluant. Nous avons des centaines de réglementations, ce qui nous rapproche également de l’Union soviétique.
Prenons l’exemple du recyclage. Je suis favorable au recyclage, mais le problème est que les usines qui fondent le plastique sont très polluantes, si bien qu’au final, nous obtenons le contraire de ce que nous voulions. En Moldavie, nous recevons beaucoup de déchets médicaux provenant de l’Union européenne. Que faisons-nous de ces déchets ? Nous les enfouissons sous terre ! Pour sauver la planète, nous polluons le sol.
Derrière tout cela se cache une idée marxiste : les gens ordinaires ne devraient pas posséder de biens, ni terre, ni bétail, ni voiture, rien. Si une personne n’a pas de biens, elle est vulnérable et dépendante de l’État ; on peut la rendre obéissante et lui faire partager n’importe quelle opinion. Si vous privez une personne de ses biens (« vous n’aurez rien et vous serez heureux »), vous lui retirez sa liberté. Fondamentalement, l’Union européenne est aujourd’hui une construction néo-marxiste.
Qui profite de cette révolution verte ?
Ion Mischevca : Il existe de nombreux groupes de pression et militants écologistes qui sont fondamentalement néo-marxistes, mais qui ont fait de ce programme leur mode de vie parce qu’il y a beaucoup d’argent en jeu. Mais les principaux bénéficiaires sont des pays comme la Chine, qui occupent l’espace laissé vacant par les Européens. Il semble qu’à Bruxelles, les bureaucrates et les politiciens se soucient davantage de « rendre sa grandeur à la Chine » que de défendre nos intérêts. Je me suis rendu dans cinq pays de l’UE au cours de l’année écoulée et, dans tous ces pays, j’ai constaté une invasion de produits chinois, moins chers et de moindre qualité, qui ne sont pas soumis à la réglementation excessive que nous appliquons à nos produits.
Bruxelles parle désormais de réindustrialisation, mais après des années de désindustrialisation de l’Europe, pouvons-nous prendre ce revirement au sérieux ?
Ion Mischevca : La guerre en Ukraine n’a pas commencé en 2022, mais en 2014, et elle a montré l’hypocrisie de l’establishment européen. Après l’occupation de la Crimée et la création des régions séparatistes de Donetsk et Lougansk, l’UE a poursuivi la construction du Nord Stream et a continué à acheter du gaz à la Fédération de Russie, renforçant ainsi Poutine et lui donnant tout l’argent dont il avait besoin pour mener une guerre totale en 2022. Il faut remonter à 2014 pour avoir une vue d’ensemble et comprendre que, jusqu’à très récemment, ils ont financé la guerre. Aujourd’hui, ils veulent la réindustrialisation, mais ils auraient dû y penser avant de fermer les centrales nucléaires et les centrales à charbon.
Mais le changement est urgent et nécessaire. J’étais en Espagne en mars lorsque la grande panne d’électricité s’est produite. Je travaillais sur une base de données Microsoft, qui disposait de sa propre alimentation électrique, mais je suis sorti dans la rue et j’ai vu une ville où rien ne fonctionnait. La panne était due à un afflux massif d’énergie verte, c’est la raison officielle, et le réseau électrique du Portugal, de l’Espagne et du sud de la France a été déconnecté.
Dans leur empressement à promouvoir cette énergie verte, ils ne pensent pas aux conséquences. Comme le dit l’écrivain conservateur Douglas Murray : « Cette culture woke, cette hystérie verte, ces nouvelles idées néo-marxistes avancent trop vite et sans prendre de précautions. »
Nous devons nous arrêter et réfléchir à tout ce qui est fait si nous voulons éviter une catastrophe et mettre fin à la censure que Bruxelles veut imposer à tous ceux qui ne partagent pas la même opinion. Comme l’a dit JD Vance, « sans liberté d’expression, il n’y a pas de liberté », et il a tout à fait raison.
Vous avez souligné les conséquences concrètes, comme les décès lors de la coupure d’électricité en Espagne, mais personne n’assume la responsabilité. Pourquoi n’y a-t-il jamais de responsabilité lorsque les politiques écologiques échouent ?
Ion Mischevca : Ce manque de responsabilité est également très soviétique. Ils prennent des décisions qui façonnent notre avenir, mais lorsque ces décisions se révèlent mauvaises, personne n’est tenu responsable. Au lieu de cela, ils se cachent derrière de vagues affirmations de décisions collectives, d’autorités supérieures ou rejettent la faute sur la société dans son ensemble. Les expulsions, les meurtres et les famines perpétrés par l’Union soviétique n’étaient pas seulement l’œuvre d’un régime abstrait : ils ont été commis par des individus, des personnes avec un nom et un visage, qui ont pris et exécuté ces décisions. Les mauvaises décisions prises au sein de l’Union européenne ont également un nom et un visage.
. L’insuffisant accord contre l’immigration clandestine qui traverse la Manche
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#webtube : « Le Royaume-Uni y gagnera une immigration choisie et nous renverra les migrants qu’ils ne veulent pas », déplore le RN. Sur le terrain de l’immigration, le ministre de l’Intérieur s’évertue à communiquer sur la dynamique qu’il tente d’insuffler. En date, deux actions à prendre en compte. En ce début de mois d’août, Le Figaro révèle que depuis le mois de janvier, ce sont 64 islamistes fichés qui ont été expulsés de France. Des individus inscrits au Fichier de traitement des signalements pour la prévention de la radicalisation à caractère terroriste. « L’éloignement de tels profils demeure une priorité absolue pour le ministère de l’Intérieur, sur laquelle les préfets sont personnellement responsabilisés », assure-t-on, dans l’entourage de Bruno Retailleau.
« Combattre l’islamisme sur le terrain »
Parmi les préfets les plus zélés, celui des Hauts-de-Seine se distingue. Alexandre Brugère expulsait, en juillet, quatre ressortissants étrangers « auteurs de trouble à l’ordre public », sur les neuf au plan national. Parmi ceux-ci, le Tunisien Mohamed Fahem, dont la douce particularité est d’avoir pris ses distances avec Daech qu’il trouvait trop laxiste. L’ancien directeur de cabinet de Gérald Darmanin, à l’époque où l’actuel garde des Sceaux se trouvait place Beauvau, a fait de la lutte contre l’islamisme radical une de ses priorités. En mai 2025, il publiait un témoignage politique, fruit de son expérience de terrain, intitulé « Combattre l’islamisme sur le terrain ». Face à la menace terroriste, Bruno Retailleau appelle au « maintien d’une extrême vigilance ».
Par ailleurs, le premier flic de France a annoncé l’entrée en vigueur, ce mercredi 6 août, d’un accord passé avec le Royaume-Uni prévoyant le retour en France de migrants arrivés sur la terre britannique sur des « small boat », en échange de l’envoi outre-Manche de migrants se trouvant en France. Un accord qui se veut expérimental, valable jusqu’en juin 2026. Bruno Retailleau a défendu un dispositif qui n’est qu’une « première étape » et « dont l’objectif est clair : casser les filières ». « Je réaffirme la détermination de la France à stopper les flux et à sauver des vies », a-t-il souligné.
À ce sujet — 45 % des Britanniques sont contre l’immigration et pour… la remigration !
Le traité, basé sur le principe d’« un pour un », permettra aux Britanniques de renvoyer à la France les migrants dont ils n’auront pas jugé la demande d’asile admissible. Inversement, Londres s’engage à accepter les personnes se trouvant en France et ayant fait une demande sur une plate-forme en ligne spécifique.
« Un accord poudre aux yeux »
Le député RN du Pas-de-Calais, Antoine Golliot dénonce, auprès de BV, « un marché de dupe ». « Le Royaume-Uni bénéficiera d’une immigration choisie et nous renverra les migrants qu’ils ne veulent pas. » Le ministre de l’Intérieur britannique, Yvette Cooper, a précisé que « [l’accord] commencera avec un nombre réduit [de migrants] et augmentera ensuite, mais nous voulons pouvoir l’étendre ». Le chiffre de 50 personnes par jour a été évoqué. Une goutte d’eau, sur les 25.400 personnes arrivées au Royaume-Uni depuis le début de l’année, soit une hausse de 49 % par rapport à l’année dernière.
« Un accord poudre aux yeux et insignifiant comparé à la submersion migratoire dont nous sommes victimes », déplore Antoine Golliot. La mesure ne consiste qu’à « gérer les conséquences alors qu’il est urgent de s’attaquer aux causes ». L’accord interpelle, car s’il veut s’attaquer aux filières de passeurs, il ne diminuera pas le nombre de migrants qui resteront de l’un ou l’autre côté de la Manche. De plus, ceux qui partent seront inexorablement remplacés. L’élu mariniste le constate dans sa circonscription de Boulogne-sur-Mer, au cœur de la côte d’Opale, qui subit directement les effets néfastes de l’immigration clandestine qui « ravage nos territoires et nos cadres de vie » et dont les conséquences sont multiples : « squats, insécurité grandissante, saleté, etc. » Le député du Rassemblement national attend « plus de fermeté de l’État » et appelle au « retour des frontières » sans lesquelles toute cette agitation est vaine.
Yves-Marie Sévillia, dans BV
. Au Québec, une justice désormais ouvertement défavorable aux Blancs
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#webtube : Au Québec, un récent verdict ouvre la voie à l’instauration d’un système judiciaire défavorable aux Blancs. C’est un tournant, au Québec. Pour la première fois dans la Belle Province, un juge a rendu un verdict basé sur la couleur de peau du prévenu. Cela s’est passé le 28 juillet dernier. Une magistrate a ainsi décidé d’alléger la peine prononcée à l’encontre d’un trafiquant de drogue en s’appuyant sur une « évaluation de l’impact de l’origine ethnique ou culturelle » (EIOEC) de l’individu, une analyse des « barrières systémiques » auxquelles il aurait pu faire face durant son existence. En clair, le concept militant de « racisme systémique » peut désormais servir de circonstance atténuante aux délinquants et criminels « racisés ».
Dans le cas du dealer en question, le rapport indique qu’il a grandi sans son père et que la monoparentalité est plus importante chez les Noirs du Canada que chez d’autres groupes ethniques. L’EIOEC soulève également son enfance passée dans un « quartier défavorisé » de Montréal où la police aurait pratiqué le « profilage racial ». Cerise sur le gâteau victimaire, les auteurs dudit rapport invitent la cour à envisager « la possibilité de syndrome post-traumatique » associé au « traumatisme intergénérationnel de l’esclavage » dont pourrait souffrir le délinquant… Des arguments dignes des pires sociologues d’extrême gauche, mais auxquels la juge en charge du dossier a été manifestement sensible : la sentence a été réduite de 35 à 25 mois de détention, comme le voulait la défense. « Nous devons apprendre. Nous devons nous adapter », a estimé la magistrate, à deux doigts de présenter ses excuses au trafiquant de drogue.
La justice raciale québécoise.
— Alexandre Cormier-Denis (@acormierd) August 6, 2025
Si vous êtes Blanc, vous serez jugé plus sévèrement qu'un Noir.
Ce délire doit être dénoncé pour ce qu'il est : du racisme systémique anti-Blanc. pic.twitter.com/eoR2ZN2X1j
Nouvelle au Québec, cette procédure est appliquée depuis 2014 dans le reste du Canada. L’État fédéral y incite les juges à prendre en compte « l’origine ethnique et culturelle » des accusés dans leurs verdicts. Destinés à instaurer un traitement de faveur exclusif aux non-Blancs, les EIOEC s’inspirent des mesures dont bénéficient les délinquants autochtones depuis 1999. Un arrêt de la Cour suprême du Canada avait alors inscrit dans le marbre que les juges devaient considérer les « facteurs systémiques » propres aux autochtones, notamment l’impact de la colonisation, lors de la détermination de la peine.
Le privilège racisé
Cette décision québécoise – qui risque fort de faire jurisprudence – est symptomatique d’un monde judiciaire anglo-saxon de plus en plus acquis aux thèses woke. On se souvient notamment de ce demandeur d’asile algérien condamné à seulement 6 ans de prison, en 2001 à Dublin, pour le viol d’une enfant, à la faveur d’une étonnante clémence. « Si vous étiez un Irlandais, vous auriez pris 10 ans de prison ! », avoua le juge, expliquant qu’un trop long séjour dans une prison irlandaise serait une épreuve insurmontable pour un étranger tel que ce malheureux Maghrébin. Plus récemment, en mars 2025, de nouvelles directives de condamnation ont été émises au Royaume-Uni, incitant les juges à prendre en compte le facteur racial dans leurs décisions de justice…
Royaume-Uni : un système judiciaire bientôt défavorable aux Blancs ? – Par @jeankastoff#RacismeantiBlancs #RoyaumeUni
— Boulevard Voltaire (@BVoltaire) March 30, 2025
Au Royaume-Uni, une nouvelle directive incite les juges à se montrer compréhensifs lorsque l'accusé est un non-Blanc.https://t.co/cp5JGW4Ipa
À ce sujet — Royaume-Uni : un système judiciaire bientôt défavorable aux Blancs ? Affaire à suivre…
Jean Kast, dans BV