. « Grève générale », la stratégie du chaos de La France Insoumise


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#webtube : « Monsieur Mélenchon est en train de sortir du champ républicain », s’indigne Bruno Retailleau. Du 21 au 24 août, La France Insoumise tenait ses universités d’été à Châteauneuf-sur-Isère dans la Drôme. L’occasion pour la formation d’extrême-gauche de préparer sa rentrée sous le signe du chaos.

Un rassemblement qui commença par une petite polémique, quelque peu savoureuse, lorsque le parti de Jean-Luc Mélenchon refusa au journaliste du Monde, Olivier Pérou, son accréditation pour couvrir l’évènement. La raison ? L’homme est l’auteur de La Meute, cet ouvrage paru en mai, qui révèle au grand public les méthodes obscures de La France Insoumise et de ses dirigeants. Mathilde Panot, députée LFI du Val-de-Marne, justifiait ce refus ce 25 août sur BFMTV : « Quand un journaliste nous compare à une secte, c’est contraire au code de déontologie des journalistes. » Amusant d’entendre soudainement les Insoumis demander à la presse de « respecter la vie privée des gens » ; on ne constate pas les mêmes pudeurs lorsqu’il s’agit de traquer la vie privée des candidats du Rassemblement national par exemple. Alors que le directeur du Monde dénonçait une « entrave caractérisée à la liberté de la presse et à l’accès à l’information »Libération décidait de cesser de couvrir sur place la manifestation en la boudant. Croustillant.

Le PS hué

Une université où le parti insoumis s’est distingué dans sa volonté de faire cavalier seul à gauche. Le PS a été maintes fois hués par la foule participante, ce qui a fait réagir son président, le député de la Seine-et-Marne, Olivier Faure : « Autrefois la gauche radicale chantait “la jeunesse emmerde le Front national”, aujourd’hui visiblement, elle préfère détester le PS et applaudir un LR », en référence à la présence de Charles Consigny, l’avocat médiatique, ancien candidat LR aux élections législatives de 2022, qui débattait lors d’une table ronde. Des tensions résumées par la publication de la députée de Seine-et-Marne Ersilia Soudais qui réagissait à la volonté de François Hollande de négocier avant de brandir la censure du gouvernement : «Traître un jour, traître toujours » écrit-elle.

À ce sujet — « Des misérables » : l’extrême gauche à couteaux tirés

Plusieurs parlementaires se sont distingués, comme Manuel Bompard, le député insoumis des Bouches-du-Rhône qui fut surpris lors d’une de ses interventions à nier l’existence du phénomène en vogue ces derniers mois : le fameux Nicolas. Ou encore la députée écologiste, Sandrine Rousseau qui a réitéré ses propos après sa sortie débusquée par BV , qui fit scandale en juillet :  « Je dis aux agriculteurs : n’ayez pas peur de dire que vous ne voulez plus de la rentabilité ! »

« Grève générale » : mot d’ordre de Jean-Luc Mélenchon

C’est Jean-Luc Mélenchon qui trace la ligne des Insoumis pour cette rentrée, en se joignant au mouvement de protestation qui se profile et prend de l’ampleur : « Il faut que le 10 septembre convergent dans un même effort nos forces politiques rassemblées aux côtés de ceux qui sont en action, le peuple lui-même et la classe salariale. Que le 10 septembre soit un jour de blocage général, c’est-à-dire, pour le salariat, la grève générale », a lancé l’ex-député des Bouches-du-Rhône. « Il nous faut la grève générale le 10 septembre, parce que le 23 septembre, nous déposerons la motion de censure pour faire tomber le gouvernement de M. Bayrou ». Alors que la formation d’extrême-gauche est hostile à une candidature unique de la gauche à la prochaine présidentielle, hormis si le rassemblement se fait derrière le fondateur de LFI, celle-ci agite la menace du chaos pour avancer ses pions électoraux et idéologiques. Chaos général dans la rue et zizanie parlementaire en faisant tomber le gouvernement et provoquer de nouvelles élections, qu’elles soient législatives en cas de dissolution ou présidentielles, en cas de démission d’Emmanuel Macron. « La crise, bien sûr, est un risque, mais c’est aussi une opportunité » a déclaré l’ancien sénateur de l’Essonne faisant la démonstration que ce qui déstabilise la société est facteur de satisfaction pour les héritiers de Lénine.

Le ministre de l’Intérieur a sèchement reproché à Jean-Luc Mélenchon de « sortir du champ républicain »« La République ce n’est pas vouloir le désordre, […] quand il y a le désordre, il n’y a plus de liberté, […], c’est la loi de la jungle, c’est la loi du plus fort, […] a regretté Bruno Retailleau. « Je constate que Monsieur Mélenchon est en train de sortir de ce champ républicain et je voudrais lui dire que les plus modestes, les plus vulnérables sont toujours les plus touchés par les désordres. »

Comme en réponse au leader insoumis et face à la menace d’un blocage du pays, le Premier ministre vient d’annoncer la convocation du parlement en session extraordinaire le 8 septembre, afin d’obtenir la confiance des députés lors d’une déclaration de politique générale. Le mois de septembre s’annonce sous très haute tension.

Yves-Marie Sévillia, dans BV

. Scandale de l’abattage des cheptels : après les vaches, les poules…


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#webtube : Sommés d’abattre leurs 8.250 poules, les Chaffangeon vivent un double drame, à la fois financier et humain. Depuis le 7 août dernier, un contrôle sanitaire de la Direction départementale de la protection des populations est à l’origine d’un véritable drame. En cause : une poussière de salmonelle retrouvée sur un mur d’un bâtiment de l’exploitation de Magalie et Maxime Chaffangeon, éleveurs de poules bio à Saint-Martin-la-Sauveté dans la Loire.

À ce sujet — [REPORTAGE] Cet éleveur a perdu ses 76 vaches, abattues par l’État

Ces derniers se sont vu intimer l’ordre d’abattre la totalité de leur élevage, soit au total 8.250 poules, dont 2.000 réformées, trop âgées pour suivre le rythme de ponte d’un élevage professionnel, et qui devaient être revendues à bas prix et finir tranquillement leur vie chez des particuliers. Malgré un coût d’environ 30.000 euros, ce couple d’éleveurs annonçait vouloir réinvestir pour remplacer son cheptel et assurer ainsi la continuité de son activité, mais les choses se sont alors compliquées, aucun abattoir ne pouvant prendre en charge l’abattage de leurs poules dans la région.

Le monde paysan ébranlé

L’affaire s’est rapidement ébruitée et n’a pas manqué de faire réagir un monde paysan déjà fortement ébranlé par les abattages forcés de vaches de ces derniers mois, notamment en Savoie, et plus récemment dans l’AinLa Coordination rurale est montée au créneau pour soutenir et défendre les Chaffangeon, et Alain Pioteyry, président de la CR 42, s’est confié à BV sur le développement dramatique de cette affaire. « On impose d’abattre ces poules, sauf qu’il n’y a pas d’abattoir disponible ici, il n’y a rien », explique-t-il, « il faut donc que les éleveurs attendent, et en attendant, il faut nourrir les poules. Or c’est un coût qu’ils ne peuvent financièrement pas supporter ». Un « détail » qui pourrait donc bien empêcher ces derniers de réinvestir et les mener à la faillite.

Il faut tout de même rappeler que tout est parti d’une simple poussière contenant de la salmonelle, comme on en trouve un peu partout. Vaccinées, les poules de l’exploitation sont en bonne santé et les œufs n’ont pas été contaminés. Les Chaffangeon ont donc demandé une contre-expertise, en vain. « Les autorités ont refusé et ne veulent rien savoir », constate Alain Pioteyry. « Qu’importe pour elles que l’élevage et les œufs soient sains. Il y a de la salmonelle sur un mur, donc il n’y a pas lieu d’autoriser une contre-expertise, même aux frais de l’éleveur… Il faut tout abattre ! »

L’incompréhension gagne toute la profession. « La loi française va bien au-delà des normes européennes. On est en train de détruire nos élevages, et sans raisons valables. Cela devient catastrophique », s’insurge Alain Pioteyry, pour qui « personne ne comprend ce qui se passe. D’autant plus qu’une fois abattues, ces poules seront vendues pour terminer dans des plats préparés, et leurs œufs partiront en casserie ».

Destruction des exploitations et concurrence déloyale

Dans son communiqué, le président de la Coordination rurale 42 rappelle par ailleurs que « l’éleveur français n’a plus le droit de vendre sa production pour une poussière, mais qu’en est-il des poulets et des œufs importés de l’autre bout du monde ? Quelles détections des salmonelles sont effectuées dans ces pays ? » Ici comme sur bien d’autres sujets, nos paysans sont confrontés à des différences de législations qui font d’eux les victimes systématiques d’une concurrence déloyale. Mais à l’arrivée, conclut le communiqué, ce sont les Français qui pâtissent de ces aberrations normatives : « Que mangera-t-on demain quand on aura vidé nos campagnes des agriculteurs ? Du poulet bourré d’antibiotiques ayant traversé les océans ? Des œufs de poules élevées en cage dans des conditions indignes ? »

Étrangement, sur ces questions, nous ne recevons jamais le moindre communiqué de la part des défenseurs des animaux et les organisations et partis écologistes…

En attendant, Magalie et Maxime Chaffangeon vivent un double drame, à la fois financier et humain.

Etienne Lombard, dans BV

. Bayrou engage la responsabilité de son gouvernement : fin de partie ?


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#webtube : Jugeant la situation budgétaire de la France gravissime et urgente, Bayrou a décidé, en accord avec Emmanuel Macron, de ne pas attendre la rentrée parlementaire du 23 septembre et de convoquer le Parlement en session extraordinaire dès le 8 septembre, pour solliciter un vote de confiance de l’Assemblée.

Son discours a duré environ 40 minutes devant un parterre de ministres et de journalistes, avant la séance des questions de la presse.

Le Premier ministre n’a pas repris l’ensemble de son programme visant à réaliser 44 milliards d’économies sur 1720 milliards de dépenses budgétaires. L’heure est avant tout à la prise de conscience de la nation, les responsables politiques comme les citoyens, sur la gravité de la situation, qui va mener au chaos tel que d’autres pays l’ont connu, si rien n’est fait.

Nous sommes à un moment décisif de notre histoire, alors que les convulsions du monde sont innombrables : guerres en Ukraine et au Moyen-Orient, guerre commerciale avec les États-Unis et la Chine, crise énergétique, réchauffement climatique mettent à mal une Europe divisée qui représente un immense marché de 450 millions de consommateurs.

La France, qui sait tout faire et maîtrise toutes les technologies de très haut niveau, subit un déclassement sans précédent dans le quotidien des citoyens. L’école s’effondre, 19 % des jeunes sont au chômage alors que les entreprises et les artisans manquent de main d’oeuvre. Il est impératif de réindustrialiser.

Mais le danger immédiat, c’est le surendettement. En 20 ans, la dette a augmenté de 2000 milliards, soit 12 milliards de plus par jour.

Les crises, 2008, Gilets jaunes, Covid, guerre en Ukraine, crise énergétique, droits de douane, n’expliquent pas tout. Notre accoutumance à l’emprunt est chronique et nous entretenons une mauvaise dette qui finance les dépenses courantes au détriment des investissements productifs.

En 2025, la charge de la dette est devenue le premier budget de l’État. 60 milliards en 2024, 66 en 2025, 75 en 2026 et 107 milliards en 2029 si on poursuit sur cette pente.

Or, notre PIB augmente de 50 milliards par an, en cumulant croissance + inflation.

C’est intenable. Et si nous devenons moins solvables, les taux d’emprunt augmentent, ce qui ralentit la consommation des particuliers, donc la croissance. 

La dette excessive, c’est une perte de liberté et de souveraineté, toujours sanctionnée par les marchés. C’est ce qu’ont connu les pays passés sous contrôle du FMI. Baisse des retraites de 30 %, baisse des salaires des fonctionnaires de 15 %, etc.

Au Royaume-Uni, le gouvernement de Liz Truss a été renversé au bout de six semaines pour avoir proposé un programme de baisse massive des impôts, compensée par l’emprunt. Les marchés ont jugé l’exercice impossible.

La France n’y échappera pas si nous n’agissons pas. Il y a urgence pour baisser les dépenses et augmenter la production.

Le but est de ramener notre déficit à 3 % en 2029, au lieu de 5,4 % cette année.

Ce qui est déplorable, c’est que certains veulent transformer le débat en chaos. L’appel à bloquer le pays le 10 septembre en réclamant une grève générale est irresponsable. Mélenchon veut la révolution. « Félicitations » en passant, à Sandrine Rousseau qui crache sur les agriculteurs, qui sont un modèle de courage et de travail pour le pays.

Le pays n’a pas pris conscience du danger. Il est temps de clarifier la situation.

– oui, le surendettement est une menace gravissime

– oui, il y a urgence à agir

– oui, on peut redresser la barre en quatre ans

C’est pourquoi nous allons convoquer le Parlement en session extraordinaire dès le 8 septembre.

« J’engagerai la responsabilité de mon gouvernement et solliciterai un vote de confiance de l’Assemblée »

Si nous sommes d’accord sur l’urgence et la gravité de la situation, et seulement à ce moment-là, alors les débats pourront commencer avec les partenaires sociaux et le Parlement. S’il n’y a pas d’accord au niveau national, il sera inutile de débattre.

Gouvernement et Parlement doivent prendre leurs responsabilités.

Enfin, il va de soi que chaque mesure proposée sera débattue.

Proposition, débat, adoption. C’est la démocratie.

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Personnellement, j’ai trouvé ce discours parfaitement adapté à la gravité et à l’urgence de la situation catastrophique de la France, au bord de la faillite.

Évidemment, il n’était pas question des mesures elles-mêmes, qui méritent débat.  Celui-ci sera pour plus tard si ce gouvernement n’est pas renversé.

Bayrou a voulu dissocier  son projet en deux temps.

– Y a-t-il urgence face à une situation gravissime ? Oui ou non ?

– Si oui, on continue, sinon, c’est fin de partie

Tout va donc se jouer le 8 septembre.

Les partis politiques vont-ils le débrancher en le censurant ? Le peuple va-t-il se révolter en enfilant de nouveau son gilet jaune ? C’est ce qui rend Macron fébrile.

Bayrou préfère remettre son poste en jeu, bien décidé à partir si la confiance fait défaut.

Ce que je déplore dans son programme d’économies de 44 milliards, c’est l’absence de mesures concrètes sur le coût de l’immigration et l’ampleur de la fraude sociale.

En neuf mois, il était possible d’agir sur ces deux postes éminemment ruineux. 

Depuis un an, la France paie au prix fort la décision irresponsable de Macron de dissoudre l’Assemblée. Irrité par la victoire du RN aux élections européennes, notre machiavélique Président a cru pouvoir reprendre la main en donnant une leçon au peuple français qui a sanctionné sa  politique désastreuse. Totalement ruinée, la France  est à l’arrêt.

Un grand patron familier de l’Élysée aurait demandé au président de la République : « Ça va, pas trop dures, ces journées ? ». Ce à quoi le chef de l’État aurait répondu : « Mais pas du tout ! Je prépare ça depuis des semaines, et je suis ravi. Je leur ai balancé ma grenade dégoupillée dans les jambes. Maintenant on va voir comment ils s’en sortent. »

Mais notre fanfaron, toujours ravi de ses inepties, a perdu son pari. Il n’a plus de majorité. La France continue de s’enfoncer dans les dettes et la violence, tel un navire sans capitaine.

Macron est un président angoissé, dont la survie à l’Élysée dépend de celle de son Premier ministre à Matignon. Il sait que son quinquennat peut très bien s’achever dans une révolte dévastatrice, dont le peuple français a le secret.

Dans ce contexte peu reluisant dont il est responsable à 100 %, Macron mise sur Bayrou pour sauver les meubles en appelant les Français et les partis politiques à la raison.

Du côté de la gauche, les carottes sont cuites. Mélenchon et ses supplétifs du PS et des Verts sont décidés à renverser Bayrou. Ils ne voteront pas la confiance.

Et on apprend que le RN suit le même chemin.

Marine refuse la suppression des jours fériés comme 75 % des Français et s’oppose à toute augmentation de la fiscalité dans le pays le plus écrasé d’impôts de l’OCDE.

En revanche, elle déplore qu’aucune mesure d’économie ne s’attaque à la ruineuse immigration de masse et à la gigantesque fraude sociale. Elle a raison.

François Bayrou a ainsi annoncé une « année blanche » pour 2026, c’est-à-dire la reconduction à l’identique des dépenses publiques de 2025, dont les prestations sociales, les retraites et le barème de l’impôt sur le revenu, d’une année sur l’autre sans tenir compte de l’inflation. Seule l’armée échappe à cette mesure, ainsi que la charge de la dette qui ne dépend pas de Bercy.

Bayrou nous rappelle qu’avec 57 % de dépenses publiques pour 50 % de recettes, la France est au bord de la falaise. Ce n’est pas nouveau, mais avec Macron, la dette a dépassé les 3400 milliards et cela continue.

Mais ce bilan désastreux, les Français le connaissent et en reportent la faute sur les politiques cigale menées depuis trop longtemps. Pas question de payer l’addition pour des dirigeants irresponsables qui vivent depuis 40 ans sur le dos du contribuable, sans tenir le moindre compte des souhaits du peuple. Ce ne sont que des bonimenteurs qui ne s’occupent que de leur carrière.

Plus le peuple paie, plus tout empire. Dette, immigration, insécurité, école, santé, transports, agriculture, industrie, dans tous les domaines, c’est le grand déclassement. Où va l’argent ? Pourquoi les élus ne sont ni responsables, ni coupables ?

Le 10 septembre, Mélenchon appelle au blocage du pays et attend que les syndicats lancent un appel à la grève généralisée. Ceux-ci n’ont pas encore tranché la question, peu enclins à se soumettre aux désirs de LFI. Nous verrons.

Car la nouvelle donne, c’est le 8 septembre, Bayrou ayant sans doute voulu savonner la planche à Mélenchon, qui rêve de sa VIe République depuis des années.

En fait nous risquons une démission du gouvernement le 8 septembre et un blocage du pays le 10. Vaste programme !

Jacques Guillemain, Riposte Laïque