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#webtube : L’actu du jour vue par Alexis Poulin Bayrou Ukraine Faillite EU Course à l’oie Brigade fluviale

. [CINÉMA] Last Stop : Yuma County, un charmant néo-western héritier des frères Coen


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#webtube : Nous sommes dans les années 70, sous le soleil d’Arizona. Lumière et chaleur frappent les étendues désertiques du comté de Yuma. Là, isolés de tout, se trouvent un motel et un diner qui vivotent grâce aux rares clients de passage. Parmi eux, un représentant en coutellerie japonaise attend patiemment le camion-citerne censé ravitailler la pompe à essence pour pouvoir continuer son chemin. Il aperçoit alors à la fenêtre une Ford Pinto verte qui se gare en face du restaurant ; le même modèle de voiture qui a servi le matin même à un braquage de banque, dans la ville voisine de Buckeye. Les deux malfrats, a-t-il entendu à la radio, se seraient enfuis avec sept cent mille dollars. Soudain, deux hommes sortent du véhicule et pénètrent dans le diner…

Un cadre atypique…

Premier long-métrage réalisé par Francis Galluppi, Last Stop : Yuma County est né du hasard. Le jeune cinéaste, pressenti depuis pour réaliser un prochain opus de la saga horrifique Evil Dead, est tombé un jour sur un diner de Lancaster, dans le comté de Los Angeles, et après l’avoir mitraillé de photos, s’est laissé inspirer au point d’écrire un scénario pour cet endroit : « En l’occurrence, raconte-t-il dans le dossier de presse, j’ai d’abord trouvé le lieu avant d’imaginer l’intrigue. »

Le résultat est un mélange plutôt charmant de néo-western (évoquant Apportez-moi la tête d’Alfredo GarciaNo Country for Old Men ou le récent Cry Macho) et de film noir – le cinéaste revendique fortement l’inspiration de Don Siegel et d’Alfred Hitchcock.

…mais un récit impersonnel

En vérité, l’humour noir et l’ironie sous-jacente du récit nous renverraient plutôt au cinéma décalé des frères Coen. Des influences par trop écrasantes, tant le cinéaste se limite à reproduire scolairement, en jeune cinéphile surexcité, des situations et des figures archétypales sans réellement se donner la peine d’apporter à l’ensemble une touche personnelle. Le récit de ce western des temps modernes n’en demeure pas moins sympathique et agréable à suivre, bien que son évolution narrative s’avère tristement prévisible.

Plus embêtant, peut-être, est le changement de direction opéré aux deux tiers du film, passant du huis clos tendu à une cavale sans grand intérêt ; les personnages auxquels on s’était attachés jusque-là ayant été éliminés en deux temps trois mouvements.

On retient tout de même pour ce premier film un cadre atypique, sublimé par des plans storyboardés à l’étalonnage des plus réussis, et une brochette d’acteurs parfaitement assortis (Jim Cummings, Jocelin Donahue et Richard Brake).

3 étoiles sur 5

. Barbiegate : le maire rétropédale et accable « l’extrême droite »


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#webtube : Sans surprise, ce n’est pas aux barbus intégristes que le maire de Noisy-le-Sec réserve ses critiques les plus vives… Une ligne de défense à géométrie variable. Pointée du doigt pour avoir annulé la projection en plein air du film Barbie, la mairie PCF de Noisy-le-Sec (Seine-Saint-Denis) se défend en déployant un argumentaire qui évolue savamment, au fil des jours.

Retour en arrière. C’est le 11 août que la polémique éclate, à l’initiative de l’équipe municipale qui publie un communiqué sur son site officiel. Elle y dénonce les agissements d’un « petit groupe du quartier » qui refuserait que soit diffusé sur son territoire un film qui « prône l’homosexualité » et porte « atteinte à l’intégrité de la femme ». Des « arguments fallacieux, traduisant l’obscurantisme et le fondamentalisme », condamne le maire, Olivier Sarrabeyrouse, qui, s’il se garde bien de nommer l’obscurantisme en question, affiche une certaine fermeté.

BV est alors un des premiers médias à se saisir de l’affaire. Au bout de 48 heures, l’ensemble de la presse a repris l’info, édulcorant au passage la portée d’une telle censure.

Le « ni-ni »

Face à l’ampleur de la polémique, Olivier Sarrabeyrouse se rend sur le plateau de BFM TV, jeudi 14 août. L’objectif est d’éteindre le feu qui couve. Face caméra, l’édile se défend de toute soumission, déclarant avoir pris la décision qui s’imposait. « Je n’ai pas cédé, assure-t-il. J’ai pris une décision responsable pour la sécurité des familles, des enfants et des agents. » Pour preuve de son courage, le communiste ajoute que le film Barbie sera bel et bien projeté en public, comme prévu… mais pas au lieu prévu. « Si ce n’est pas dans la cité du Londeau, ce sera ailleurs… », indique-t-il, tentant vainement de faire bonne figure.

Plus tard, dans la journée, paraît une interview du même Olivier Sarrabeyrouse, accordée à L’Humanité. La rhétorique utilisée n’est déjà plus la même. S’adressant au peuple de gauche, l’élu change de ton et opte pour la stratégie plus prudente du « ni-ni », renvoyant dos à dos islamistes et « extrême droite »« J’ai dû prendre une décision d’urgence responsable. Mais je ne cède pas, ni au fondamentalisme ni à l’extrême droite », déclare-t-il.

Que vient faire « l’extrême droite », dans cette affaire de police des mœurs chariatique ? Selon l’élu, l’infâme engeance aurait profité de cette affaire anodine pour stigmatiser une nouvelle fois les malheureux musulmans. « Je suis autant outré par l’intervention des auteurs pour empêcher la diffusion que scandalisé par la récupération raciste, xénophobe et islamophobe de l’extrême droite », affirme-t-il. Un partout, la balle au centre.

À ce sujet — Un petit air de charia : en Seine-Saint-Denis, le film Barbie censuré

Très précautionneux quand il s’agit de désigner les censeurs anti-Barbie, M. Sarrabeyrouse n’a pas hésité, en revanche, à pointer du doigt des militants de droite qui n’avaient pourtant rien à voir avec l’affaire en question. « La Manif pour tous s’est largement exprimée en matière d’homophobie et de patriarcat », a-t-il ainsi fait valoir, dans une contorsion argumentative visant à faire croire que « l’obscurantisme » était équitablement réparti dans la population française. Une opinion bien audacieuse, au vu de certains sondages.

L’inversion accusatoire

Jeudi soir, Olivier Sarrabeyrouse a tenu une conférence de presse au cours de laquelle il est allé encore plus loin dans sa mise en cause de « l’extrême droite ». S’il se disait, quelques heures plus tôt, « autant outré » par les uns que par les autres, l’édile a finalement décidé d’abandonner sa posture centriste. « Si je condamne avec toujours autant de fermeté les actes que j’ai qualifiés d’obscurantisme, de fondamentalisme, je condamne avec encore plus de fermeté la récupération politicienne, la spéculation de la haine raciste, islamophobe qui se déverse depuis 24 heures par la droite et l’extrême droite », affirme-t-il. À l’écouter, c’est donc « l’extrême droite » qui représente la plus grande menace.

Le maire aurait-il été rattrapé par sa base militante ? Sa dénonciation des jeunes de « quartier » lui aurait-elle valu des accusations de racisme en interne ? Aurait-il eu peur de payer cette polémique lors des prochaines élections municipales ? On peut le suspecter. « L’obscurantisme, terme que j’ai employé dans mon communiqué, n’est pas l’apanage de l’islam », jurait-il encore, jeudi soir, à deux doigts de présenter ses excuses. Une tentative d’amadouement visible, aussi, lorsque le communiste fait allusion au « génocide » gazaoui, au cours d’une conférence de presse dont le sujet est sans lien aucun avec le conflit israélo-palestinien : « Je regrette que vous, les journalistes, vous puissiez encore polémiquer sur notre sujet local, alors même qu’il y a quelques jours, plusieurs de vos confrères ont été lâchement assassinés par une armée israélienne qui revendique en toute impunité cette action. »

Ce clin d’œil permettra-t-il à l’élu de se rabibocher avec son électorat des quartiers ? Réponse en 2026.

Jean Kast, dans BV

. En sciant l’olivier planté en son nom, ils profanent la mémoire d’Ilan Halimi


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#webtube : Ilan Halimi est ce jeune Juif torturé à mort en janvier 2006 par le gang des barbares. Le gang des barbares a fait école : l’olivier planté à Épinay-sur-Seine en hommage à Ilan Halimi, jeune Juif torturé à mort en janvier 2006, a été scié. Dans la culture occidentale, l’olivier est depuis l’Antiquité le symbole de la paix. C’est en rapportant une branche dans son bec que la colombe, de retour sur l’arche de Noé, signifie la fin du déluge et le renouveau de la vie, dit la Genèse. L’ONU en a fait son emblème, lors de sa création en 1945, mais « le machin », comme l’appelait de Gaulle, n’a plus guère aujourd’hui d’olivier ni de colombes dans ses valises.

Une longue série de profanations

C’est en 2011 que la ville d’Épinay-sur-Seine avait planté cet arbre en hommage à Ilan Halimi, séquestré puis affreusement torturé, durant vingt-six jours, dans une cave de Bagneux avant d’être abandonné, nu et mourant, en bordure d’une voie ferrée. Ses tortionnaires, une vingtaine en tout, avaient pour chef Youssouf Fofana. Il faut rappeler les faits, tant ils sont sordides.

Ilan travaillait dans un magasin de téléphonie mobile. Une jeune fille – l’appât – le drague, puis le rappelle une semaine plus tard afin de faire plus ample connaissance. Il la rejoint à la porte d’Orléans pour prendre un verre, elle lui demande de la raccompagner chez elle, en banlieue sud. C’est un guet-apens. Roué de coups, assommé et jeté dans le coffre d’un 4×4, Ilan Halimi est entraîné vers la mort.

Le crime est ouvertement antisémite. Fofana le revendique : il fallait enlever un Juif « car ils sont bourrés de thune ». Les bourreaux d’Ilan Halimi veulent une rançon (ils réclament jusqu’à 500.000 euros) que la famille, modeste, serait bien en peine de payer. Alors, ils choisissent un rabbin dans l’annuaire, au hasard, et lui demandent de collecter les fonds auprès de la communauté juive. Pendant que ses petites mains sont à l’œuvre, Fofana tire les ficelles depuis la Côte d’Ivoire.

Le procès du gang des barbares aura lieu en 2009. À noter que si l’instruction a retenu la « circonstance aggravante d’antisémitisme », celle-ci, à l’époque, a largement été mise en doute. Pourtant, un premier arbre planté en 2006, là où l’on avait retrouvé le corps d’Ilan Halimi, a déjà été scié. Puis la stèle érigée en 2011, dans le parc Richelieu à Bagneux, a été saccagée en 2015. Reconstruite, elle a de nouveau été profanée en 2017, « couverte d’inscriptions antisémites et d’insultes ». La dépouille du jeune homme a été transférée en Israël, de crainte que sa sépulture ne soit, elle aussi, profanée.

Des tortionnaires bien tranquilles

Dans une tribune publiée en février 2021, pour le quinzième anniversaire de la mort d’Ilan Halimi, l’essayiste Barbara Lefebvre (coauteur des Territoires perdus de la République et de Une France soumise. Les voix du refus) soulignait combien les peines prononcées à l’encontre des barbares avaient été légères dans leur exécution. « Ce 13 février 2021, à l’exception de Fofana, tous sont libres », écrivait-elle alors. En 2014, déjà, 80 % des inculpés étaient dehors et, en 2019, seuls Youssouf Fofana et son bras droit Samir Aït Abdelmalek étaient encore incarcérés.

À ce sujet — [POINT DE VUE] Cette étude du King’s College qui prédit la guerre civile en France

« La majorité d’entre eux a bénéficié de libérations conditionnelles, quelques-uns avec l’appui d’élus locaux très soucieux de leur réinsertion », soulignait Barbara Lefebvre, relevant que « certaines “petites mains“ ont, depuis, fait l’objet de nouvelles condamnations pour faits de violence, écopant de quelques mois de prison ou d’amendes ».

L’affaire Halimi, écrivait-elle, et toutes celles, nombreuses, qui ont suivi « s’inscrivent dans un contexte, aujourd’hui bien connu, celui d’un antisémitisme nourri d’islamisme et de ressentiment des prétendus “opprimés“ de banlieues ». La haine s’est développée, encouragée par des partis politiques incendiaires qui se drapent aujourd’hui dans la défense de la Palestine. Et sans doute les tortionnaires d’Ilan Halimi ont-ils, eux aussi, endossé l’uniforme du keffieh.

L’indignation si tardive des politiques

François Bayrou postait, ce matin du 15 août, un tweet indigné : « L’arbre pour Ilan Halimi, vivant rempart contre l’oubli, a été fauché par la haine antisémite. Nul crime ne peut déraciner la mémoire. La lutte jamais achevée contre le mortel poison de la haine est notre devoir premier. » C’est bien, mais c’est un peu tardif. Tous ces politiques, habitués du déni, ont la mémoire aussi courte que la vue. Quant aux vertueux du Parti socialiste ou de LFI qui viennent aujourd’hui affirmer leur « plein soutien à nos compatriotes juifs » (Antoine Léaument), la honte devrait les faire rentrer sous terre.

Arnaud Florac, dans Boulevard Voltaire, relayait hier la tribune que David Betz, professeur du King’s College, à Londres, venait de publier dans le Military Strategy Magazine. Dans ce texte qui n’est « pas un billet d’humeur ou une chronique apocalyptique, mais bien un article de recherche, scientifiquement approuvé “par les pairs“ », il met en garde contre « le risque de guerres civiles dans les pays européens, et particulièrement en France ou au Royaume-Uni ». Nos sociétés, dit-il, se vivent comme des « entités politiques disloquées, des puzzles de tribus identitaires concurrentes, vivant souvent dans des communautés séparées ». C’est une guerre culturelle qui se double d’une perte de confiance des politiques – responsables de l’éclatement de la nation –, à la fois « incapables de saisir l’ampleur des défis et d’y apporter des réponses tangibles ».

Fracture sociale, fracture démographique, « détresse civilisationnelle » des Français de souche face aux territoires perdus de la République – les « Villes sauvages » –, tout est réuni pour l’affrontement. David Betz en déroule les étapes dont beaucoup, déjà, sont franchies : maintien de l’ordre impossible, violences intercommunautaires, chaos urbain, destruction du patrimoine culturel par le vandalisme ou le pillage…

Selon le chercheur, la France et le Royaume-Uni seraient donc les pays occidentaux les plus proches de l’explosion, où l’on recense déjà « des “incidents précurseurs“ comme des attentats, des violences intercommunautaires et des émeutes ».

La multiplication des crimes antisémites dans notre pays s’inscrit directement dans ce scénario. Le conflit israélo-palestinien n’est qu’un prétexte pour les idiots utiles de la gauche extrême qui l’instrumentalisent à des fins électoralistes.

En cela, la destruction de l’olivier planté à la mémoire d’Ilan Halimi se révèle dramatiquement prophétique ; il n’y a plus, entre nos mondes incompatibles, ni colombe, ni paix à espérer.

Marie Delarue, dans BV

. Tarifs et Ukraine : La Gifle de Trump aux Élites Européennes | avec Alexis Poulin


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#webtube : Donald Trump vient d’infliger une claque retentissante à l’Union européenne, une véritable gifle de proxénète sur les questions ukrainienne et tarifaire. En imposant ses conditions sans concessions, il expose la faiblesse des élites bruxelloises et leur dépendance vassale aux États-Unis, tout en forçant un réveil brutal face à une guerre prolongée artificiellement.

FAITS CLÉS

  • Le 27 juillet 2025, accord commercial US-UE : tarifs de 15% sur la plupart des biens européens importés aux États-Unis, évitant la menace de 30% brandie par Trump. Cela inclut autos et acier, avec des tarifs à 50% maintenus sur l’aluminium.
  • Tarifs représentent désormais 5% des revenus fédéraux US (contre 2% avant), boostant l’économie américaine de milliards.
  • Sur l’Ukraine, Trump donne “10 ou 12 jours” à la Russie pour avancer, sans préconditions, et offre des garanties de sécurité US conditionnelles à un achat massif d’énergie américaine par l’UE, évinçant Moscou.
  • Leaders européens supplient Trump de ne pas négocier directement avec Poutine, craignant un accord unilatéral qui mettrait fin à l’aide illimitée à Kiev (plus de 100 milliards d’euros déjà gaspillés par l’UE).
  • Résultat : l’UE paie le prix fort pour sa “sécurité”, avec des tarifs plus élevés en échange d’une protection américaine, musclant la Russie hors du marché énergétique européen.

CRITIQUE DES MÉDIAS MAINSTREAM Les médias dominants, ces chiens de garde de l’atlantisme, minimisent cette humiliation en la présentant comme un “accord équilibré” ou une “victoire partagée”. CNN, BBC et Le Monde pleurent sur les “dommages substantiels” pour l’Europe, sans avouer que Trump expose leur narrative belliciste : une guerre éternelle en Ukraine pour engraisser les complexes militaro-industriels. Ils occultent les faits, accusent Trump de “capitulation” face à Poutine, alors qu’ils sont complices d’une propagande qui a ruiné l’économie européenne avec des sanctions boomerang. Ces organes biaisés, financés par les lobbies de Washington, ignorent les voix dissidentes et censurent toute critique de l’OTAN expansionniste. POSITION ALTERNATIVE Il est temps d’applaudir cette claque salutaire : Trump brise l’hypocrisie d’une UE soumise, qui sacrifie ses citoyens pour une croisade proxy contre la Russie. Finies les illusions d’une “souveraineté européenne” fantoche ; les tarifs forcent Bruxelles à affronter la réalité géopolitique multipolaire. Sur l’Ukraine, cette pression accélère une paix nécessaire, évitant l’escalade nucléaire promue par les va-t-en-guerre. L’alternative est claire : rejeter l’hégémonie unipolaire, dénoncer les élites corrompues, et promouvoir un monde où les nations défendent leurs intérêts sans se plier à l’empire déclinant. CONCLUSION Cette gifle trumpienne marque un tournant : l’UE, giflée et rabaissée, doit choisir entre soumission totale ou renaissance souveraine. Les faits parlent d’eux-mêmes ; ignorez les mensonges médiatiques et embrassez le journalisme citoyen!.

. Les Rapetou de Kiev ont envoyé 50 millions chaque mois aux Emirats Arabes Unis


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#webtube : Une goutte d’eau dans l’océan de fraude qui submerge l’Ukraine. L’entourage proche de Zelensky envoyait chaque mois 50 millions aux Émirats arabes unis, alimentant quelques comptes mafieux avec la très généreuse manne occidentale.

Cette guerre n’est pas seulement un carnage insupportable, elle baigne également dans une criminalité inavouable avec la bénédiction des Occidentaux, pour ne pas dire leur complicité. Et cela, par pure haine de la Russie. Il est vrai qu’on ne peut demander à ceux qui ont voulu cette guerre, d’y mettre fin.

Tout un peuple est sacrifié, soi-disant au nom du droit international, alors que cette guerre est entretenue par l’Occident pour que des puissants bâtissent leur fortune en temps record.

Mais un média turc casse le morceau sur les gigantesques détournements de l’aide occidentale opérés par l’entourage proche de Zelensky. Ce sont des milliards qui s’évaporent sans que les Occidentaux, dont certains donateurs palpent quelques juteuses rétrocommissions, ne dénoncent ces fortunes colossales amassées en quelques années sur le dos du peuple ukrainien, saigné à blanc depuis 42 mois. Quant au contribuable français, il a donné sans le savoir 28 milliards à Zelensky alors que son pays est en faillite, un pactole comprenant les aides bilatérales et la part française de l’aide européenne.

Zelensky a récemment saboté les enquêtes anti-corruption qui menaçaient son pouvoir, ce qui a provoqué la colère de la rue dans toute l’Ukraine, ainsi que de molles protestations de Bruxelles. On a pu voir l’énergique Ursula von der Leyen réagir avec la plus grande fermeté… en diminuant légèrement la dernière aide financière accordée à Kiev.

Il faut dire que la russophobie ambiante est telle que l’UE ne saurait s’encombrer de vagues accusations sans preuves, qui voudraient l’empêcher de soutenir un pays mafieux et corrompu jusqu’à la moelle. Du moins jusqu’à présent, car la fraude gigantesque commence à faite désordre.

« L’indice de perception de la corruption (IPC) 2024 de Transparency International, qui a évalué 180 pays sur une échelle allant de 0 (« très corrompu ») à 100 (« très propre »), a attribué à l’Ukraine un score de 35. »

Chez les oligarques ukrainiens et autres prédateurs bien placés, civils ou hauts gradés, on achète des villas à 20 millions de dollars comme des petits pains, en Californie, en Floride ou sur les rivages les mieux fréquentés de la Méditerranée. Sans parler des yachts et des voitures de luxe, lesquelles rivalisent sans complexe avec le parc automobile de Monaco.

Avec plus de 400 milliards de dollars d’aide occidentale, accordés dans l’opacité la plus totale, il est clair que chacun tape allègrement dans cette manne miraculeuse aux ressources inépuisables. Zelensky a même déclaré que sur l’aide occidentale, il y a 100 milliards dont il n’a jamais vu la couleur ! C’est dire avec quelle transparence Occidentaux et Ukrainiens jonglent avec les milliards de la guerre. Pour certains, pourvu que ça dure !

Et quand il s’agira de la reconstruction du pays, estimée à 800 milliards de dollars, nous verrons les oligarques ukrainiens et les géants américains, BlackRock, JPMorgan, McKinsey et autres colosses de la finance… se partager ce fabuleux fromage. Avec pots de vin et juteuses rétrocommissions à la clé.

Mais revenons au journal turc Aydinlik, qui nous éclaire sur les menaces qui pèsent sur le régime ukrainien, car tout cela est connu depuis longtemps mais commence à trop se voir.

Pour Zelensky, qui a senti le vent du boulet, il s’agit de réduire au silence le Bureau national de lutte contre la corruption (NABU) et le Bureau du procureur spécial anticorruption (SAPO), créés en vertu des lois d’harmonisation de l’UE.

https://www.aydinlik.com.tr/haber/ozel-haber-ukraynada-yolsuzluk-skandali-zelenskiyin-yakin-cevresi-yolsuzluk-fonlarini-baedeki-sirketlere-aktariyor-gizli-hesaplari-acikliyoruz-541050 (la traduction Google est satisfaisante)

« Aydinlik a obtenu des informations saisissantes de la part de ceux qui, en Ukraine, sont préoccupés par le réseau de corruption dirigé par Zelensky. Ces informations incluent les numéros de compte alimentés par la fraude. »

Quand le NABU a lancé fin juin une enquête sur certaines personnalités du régime, le SBU, Service de sécurité ukrainien, a perquisitionné le NABU et le SAPO sur ordre du chef du cabinet présidentiel.

Opération qui a conduit à l’arrestation de quelques responsables de la lutte anti-corruption, accusés de « collaboration avec la Russie » et arrêtés, au grand dam de l’opposition qui refuse le démantèlement des institutions anti-corruption.

Le peuple est descendu dans la rue au cri de « Zelensky le Maléfique » et d’aimables  banderoles  telles que « Honte », « Trahison », « Nous ne sommes pas dupes ! »

Mais le black-out est de mise et l’obstruction aux enquêtes est systématique. Le régime verrouille les institutions pour dissimuler la corruption généralisée. Les enquêtes mettent le doigt sur une infime partie des détournements de l’aide occidentale. La plupart des personnalités visées par ces procédures font partie du cercle intime de Zelensky.

Et c’est ce régime de Rapetou que l’UE veut accueillir en son sein ! Voici ce que dit Aydinlik : 

« L’entourage proche de Zelensky transférait environ 50 millions de dollars par mois sur les comptes de deux sociétés liées au gestionnaire présumé des fonds corrompus. Les deux sociétés sont situées aux Émirats arabes unis (EAU). Pour la première fois dans la presse internationale, nous révélons les comptes émiratis où étaient déposés les fonds corrompus de Kiev… » (voir le lien)

Rappelons que Zelensky a été épinglé en 2021 par les Pandora-papers. Et quand des centaines de milliards se déversent sur un pays déjà corrompu, sans aucun suivi ni contrôle, il est évident que cela suscite des convoitises. C’est l’argent magique illimité.

Un oligarque a même acheté 9 appartements le même jour à Dubaï. Un record.

Ne soyons pas étonnés que certains décideurs à Kiev refusent la paix. Que pèsent les 1500 morts et blessés que l’Ukraine perd chaque jour sur le terrain, si cela peut faire la fortune de puissants sans foi ni loi ? Les guerres ne sont jamais bien propres, mais celle-ci est l’une des pires. 

Jacques Guillemain, Riposte Laïque