. La gauche prétend organiser une journée d’action le 10 septembre


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#webtube : Les éléments qui ont refusé de s’engager dans le mouvement des Gilets Jaunes dans sa phase violente (novembre/décembre 2018) — marxistes et les syndicats du système en tête — font mine de vouloir en découdre le 10 septembre prochain. Bien après les vacances car le théâtre révolutionnaire, en France, n’a jamais lieu lors des congés payés. En lisant les noms, on sait déjà que le ministère de l’Intérieur y a les mains jusqu’aux coudes.

La CGT, les complices du Parti communiste de Roussel, préparent activement cette opération de communication en vue des présidentielles de 2027… Que ces mois qui nous séparent des élections vont nous paraître longs !

Rappelons aux moins informés que la CGT a été fondée en 1895, il y a donc 130 ans. Si ce machin était révolutionnaire, nous le saurions depuis longtemps.

Avec 650 000 adhérents sur 25 millions d’actifs français, la CGT représente 3% des actifs du pays. Plus de 60% de ses membres sont des fonctionnaires.

Chaque année, cette structure marxiste perçoit des sommes considérables du gouvernement français, ainsi que des versements de la part du patronat en échange du contrôle qu’elle exerce théoriquement sur les crétins qui y sont affiliés.

Elle est également assise sur un patrimoine immobilier considérable dont l’usage est discrétionnaire.

Saviez-vous que la CGT, via l’Union des syndicats CGT de la RATP, possédait le Château de Fontenay-lès-Briis (*) , dans l’Essonne ? 75 hectares, terrains de tennis, mini golf, etc., mis à la disposition exclusive des défenseurs du prolétariat de la RATP qui sèment régulièrement le chaos par des grèves lors des grandes fêtes ou évènements populaires.

Le peuple a interdiction de savoir ce qui s’y passe, qui y va, et pour quoi faire.

La CGT règne sur un vaste réseau de centres de vacances, de campings, de propriétés diverses dont la gestion est secrète, par décision de l’État.

Si vous prétendiez faire la même chose, vous finiriez en prison.

Le rôle joué par la CGT depuis des années est ambiguë . Elle est couverte au plus haut niveau, et d’abord par le patronat qui en arrière plan s’appuie sur les communistes et coordonnent avec eux de pseudo troubles sociaux lorsqu’il faut donner le change.

Typiquement quand la plèbe est mécontente.

Ses cadres ne font pas dans la charité. Permanents ou responsables de haut niveau, ils bénéficient d’avantages énormes par rapport à un salarié classique :

  • Détachement ou mise à disposition : ils sont détachés par leur employeur (souvent dans le secteur public) pour exercer des fonctions syndicales à plein temps, avec maintien de leur salaire et de leurs droits (retraite, ancienneté).
  • Indemnités : Les responsables confédéraux peuvent recevoir des indemnités pour leurs fonctions, mais les montants exacts ne sont pas publics.
  • Formation et réseau : Les cadres ont accès à des formations syndicales et à un réseau influent, ce qui peut offrir des opportunités professionnelles ou politiques.
  • Protection juridique : En tant que représentants syndicaux, ils bénéficient d’une protection contre le licenciement et d’un statut renforcé dans les négociations.

Les puceaux gauchistes ne font pas le poids face à ces structures éprouvées par un siècle de “combines”, rompues à toutes les ficelles du jeu politico-médiatique républicain.

Le gouvernement entend bien racketter le peuple cet automne pour financer cet État en faillite, et pour cela rien de tel qu’une agitation anarcho-marxiste mobilisant tous les “pue-la-pisse” du pays.

Face aux inévitables images de violences perpétrées dans les rues par des black-blocks sans répression crédible du ministère de l’Intérieur envers eux, le gouvernement appellera l’opinion à faire preuve de sagesse et de responsabilité en soutenant son budget en préparation au parlement, expliquant que l’alternative serait l’anarchie et le communisme.

L’extrême-gauche, plus chauffée à blanc que jamais, expliquera à une opinion déjà excédée par la charge écrasante de l’impôt que la solution est au contraire de l’accroître phénoménalement, de “taxer les riches” (tous les pelés qui gagnent plus de 2000 euros par mois), pour réaliser l’utopie multiraciale planétaire.

De quoi faire passer Macron et Bayrou pour des amis des contribuables.

Le 10 septembre est une arnaque, un simulacre, et nous allons pouvoir compter tous les idiots utiles pour jouer leur rôle.

Source : D.P.

(*) Qui finance ce chateau ? L’argent des personnes syndiquées ? Le contribuable ?

Le financement du Château de Fontenay-lès-Briis, propriété de l’Union des syndicats CGT de la RATP depuis 1937, repose principalement sur les fonds du Comité social et économique (CSE, ex-comité d’entreprise) de la RATP. Voici les détails basés sur les informations disponibles :

  1. Fonds du CSE de la RATP : Le CSE reçoit une subvention annuelle de la RATP, équivalant à environ 2,3 % de la masse salariale de l’entreprise, soit plusieurs dizaines de millions d’euros par an (83 millions d’euros mentionnés dans un rapport de 2011). Ces fonds, alloués par la direction de la RATP, servent à financer les activités sociales et culturelles du CSE, y compris l’entretien et l’exploitation du château. Cette subvention provient des revenus de l’entreprise publique, qui incluent les recettes des billets et des financements publics, ce qui implique indirectement une contribution du contribuable.
  2. Cotisations syndicales : Les cotisations des salariés syndiqués à la CGT-RATP ne financent pas directement l’entretien du château, car celui-ci est géré par le CSE, pas par le syndicat lui-même. Cependant, la CGT, majoritaire au CSE, influence la gestion des fonds, et une convention entre le CSE et l’Union des syndicats CGT assure que l’entretien du domaine est pris en charge par le CSE. Cela a suscité des critiques, notamment de l’UNSA, qui pointe une opacité dans la gestion et une confusion entre les intérêts du syndicat et ceux du CSE.
  3. Contribution du contribuable : Étant donné que la RATP est une entreprise publique financée en partie par des subventions de l’État et de la région Île-de-France, une partie des fonds alloués au CSE (et donc au château) peut être considérée comme provenant indirectement des contribuables. Un rapport de la Cour des comptes de 2011 a critiqué la gestion du CSE, notant que les dépenses pour le château, comme les fêtes annuelles coûtant 447 000 euros, étaient financées par ces subventions, sans toujours bénéficier à l’ensemble des salariés.
  4. Autres revenus : Le château génère des revenus via des locations pour des événements privés (mariages, séminaires) ou des activités comme la fête annuelle du CSE. Cependant, le rapport de la Cour des comptes a pointé des irrégularités, comme des recettes en liquide non contrôlées (50 000 euros entre 2007 et 2010) et des facturations abusives, suggérant une gestion financière opaque.
  5. Situation récente : Depuis 2023, le château est fermé aux promeneurs, et un autre syndicat, majoritaire au CSE, juge son exploitation trop coûteuse (300 000 euros par an pour l’entretien minimal, incluant gardien, jardinier et chauffage hors gel). Malgré un bail obligeant l’entretien jusqu’en 2030, le maire de Fontenay-lès-Briis indique que la CGT ne souhaite pas vendre et envisage des projets touristiques, ce qui pourrait diversifier les sources de financement.

Conclusion : Le château est principalement financé par les subventions du CSE de la RATP, alimentées par les revenus de l’entreprise publique, ce qui inclut une part indirecte des contribuables. Les cotisations syndicales ne semblent pas directement impliquées, mais la gestion par la CGT a été critiquée pour son manque de transparence. Aucun élément récent ne contredit ces informations, mais la situation financière reste tendue en raison des coûts d’entretien élevés.

(Source : IA Grok)

. Les Macron engagent des enquêteurs américains à prix d’or pour attaquer Candace Owens en vue de son procès en diffamation


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#webtube : Candace Owens a révélé à l’opinion américaine le pénis le mieux caché de l’histoire de France ! Je n’en crois pas mes yeux.
Il s’agit littéralement d’un chef d’État qui engage des enquêteurs pour enquêter sur une mère qui diffuse des podcasts depuis son sous-sol.
@EmmanuelMacron,
votre femme doit absolument suivre une cure de désintoxication.

Jean-Michel dépense sans compter pour faire taire Candace ! Pourquoi ne pas s’expliquer tout simplement et désamorcer l’affaire ?

The Financial Times :

Les avocats d’Emmanuel et Brigitte Macron ont engagé des enquêteurs pour mener des recherches sur la podcasteuse américaine Candace Owens en vue de la poursuivre en justice, ce qui a permis de rassembler des informations détaillées, notamment sur ses liens avec des personnalités d’extrême droite françaises et sa popularité dans les médias d’État russes.

Les Macron poursuivent Owens, une influenceuse de droite très en vue aux États-Unis, pour ce qu’ils qualifient de « fictions extravagantes, diffamatoires et farfelues » dans une série de podcasts qui a attiré des millions d’auditeurs. Son argument central est que Brigitte Macron est née homme.

L’enquête, menée par le cabinet américain Nardello & Co, a été réalisée avant que le président français et la première dame n’intentent leur procès contre Owens le mois dernier.

Certains détails de l’enquête ont été communiqués au Financial Times. Outre ses liens avec l’extrême droite française, les enquêteurs ont mis en évidence ses relations avec des personnalités populistes de droite aux États-Unis et au Royaume-Uni, ainsi que ses interactions en ligne avec un nationaliste russe.

« Les Macron ont intenté ce procès en sachant parfaitement avec qui Owens s’est alignée », a déclaré Dan Nardello, président exécutif de Nardello & Co et ancien procureur fédéral à New York.

La décision d’engager des enquêteurs souligne le sérieux avec lequel le président français et la première dame traitent cette affaire et les ressources qu’ils sont prêts à y consacrer. Il s’agit d’un exemple rare où un dirigeant mondial en exercice poursuit un influenceur en ligne pour son contenu.

Leur décision d’intenter un procès a été motivée en partie par le désir des Macron de comprendre pourquoi une podcasteuse conservatrice américaine s’était intéressée à eux, a déclaré leur avocat Tom Clare, cofondateur du cabinet Clare Locke spécialisé dans la diffamation, au FT. Il a ajouté que ces recherches pourraient également aider à expliquer au jury le contexte dans lequel Owens avait formulé ses accusations.

Owens a déclaré : « Brigitte Macron a de nouveau été prise en flagrant délit, et entre les avocats, les équipes de relations publiques internationales et les enquêteurs, le couple dépense beaucoup d’argent pour apaiser la paranoïa liée à son passé. »

« Combien d’argent a-t-on dépensé exactement pour déterminer que sur un total de 12 704 tweets, j’ai retweeté deux fois un philosophe russe ? Ou que sur des centaines de conférences à travers le monde, j’ai pris la parole une fois lors d’une conférence à Paris avec Marion Maréchal ? »

Les avocats commandent souvent des enquêtes sur les personnes qu’ils ont l’intention de poursuivre dans le cadre de la préparation des affaires ou des procès. Les enquêteurs avaient pour mission de documenter les déclarations publiées par Owens et de détailler son parcours et son profil, sur la base d’informations accessibles au public.

Ils ont souligné le changement d’orientation d’Owens, qui s’identifiait comme libérale au début de sa carrière et est devenue conservatrice après avoir été victime, selon elle, de harcèlement en ligne. Elle est devenue une fervente partisane de Donald Trump, mais a récemment rompu avec le président américain et s’est dite « embarrassée » d’avoir fait campagne pour lui.

Les enquêteurs ont examiné l’origine de l’affirmation selon laquelle Brigitte Macron serait née homme. Ils ont découvert qu’un blogueur espagnol avait publié un article à ce sujet en mai 2017, mais que cette idée avait gagné en popularité en France à partir de 2021. Fin 2023, Xavier Poussard, ancien rédacteur en chef d’une publication d’extrême droite française marginale appelée Faits et Documents, a contribué à diffuser ces allégations.

Dans une vidéo en ligne publiée en avril 2024, M. Poussard a déclaré avoir traduit en anglais son travail sur Brigitte Macron et l’avoir envoyé à Mme Owens et à « d’autres trumpistes » qu’il n’a pas nommés.

Les informations qu’il a partagées comprenaient les conclusions de sa propre enquête et plusieurs articles d’autres médias, tels qu’un article publié par le Daily Mail qui traitait de ces allégations.

« Je pense qu’elle [Owens] ne savait rien de Brigitte Macron il y a seulement un mois, et soudainement, elle se saisit de l’affaire et dit qu’elle met sa carrière en jeu » pour révéler cela, a-t-il déclaré, ajoutant que cela avait été « un véritable coup de pouce de la part de l’entourage de Trump ».

Poussard a ensuite écrit un livre intitulé Becoming Brigitte, un titre qu’Owens utiliserait pour son propre podcast sur les Macron.

La première référence d’Owens à cette théorie est apparue dans un épisode de son émission diffusé en mars 2024, dans lequel elle mentionnait un article du Daily Mail de 2021 intitulé « La preuve que la première dame de France n’est PAS née homme », selon les conclusions de l’enquête. Elle a également réalisé une longue interview de Poussard dans son podcast, le présentant comme un défenseur de la vérité que les Macron tentaient de faire taire.

Les enquêteurs ont découvert qu’après la sortie de la série Becoming Brigitte d’Owens, les médias contrôlés par l’État russe en ont fait état. Elle a été relayée par Tsargrad, une chaîne de télévision dirigée par Konstantin Malofeev, que les chercheurs ont décrit comme un allié du président russe Vladimir Poutine. La chaîne russe RT a publié plus de 30 articles sur Owens depuis 2018, ont-ils découvert.

Ils n’ont trouvé aucune preuve qu’Owens ait rencontré des responsables russes ou des personnalités des médias d’État, ni qu’il ait eu des liens personnels ou professionnels directs avec la Russie.

Mais Owens a interagi sur les réseaux sociaux avec Alexander Dugin, un nationaliste et philosophe russe, selon l’enquête, les deux hommes republiant plusieurs fois les messages l’un de l’autre.

Les enquêteurs ont également découvert qu’Owens avait des liens avec la politicienne d’extrême droite française Marion Maréchal, nièce de la leader d’extrême droite française Marine Le Pen. Maréchal ne fait plus partie du Rassemblement national de Le Pen, ayant rejoint un parti rival qui défend des positions plus radicales sur l’immigration et les questions sociales.

Le procès intenté par les Macron dans le Delaware accuse Owens d’avoir publié des « mensonges », notamment en affirmant que Brigitte était née homme sous le nom de Jean-Michel Trogneux. Le président français et la première dame sont prêts à se rendre dans le Delaware pour comparaître en personne au procès, a déclaré leur avocate, Clare, au Financial Times le mois dernier.

L’État français consacre d’énormes moyens pour faire taire ceux qui enquêtent depuis le début sur l’affaire. Avec quel argent ?

Si les Macron tiennent tant à se défendre, c’est simple : il suffit de répondre point à point à toutes les questions sans réponse posées par les gens qui les ont posées.

C’est d’autant plus simple que “Brigitte” n’a que ça à faire.

À la place, ils passent par la bande, et à par les USA, pour essayer de noyer le poisson.

Qui peut prendre “Brigitte” pour une femme ?

Source : D.P.

. Un petit air de charia : en Seine-Saint-Denis, le film Barbie censuré


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#webtube : À Noisy, la projection prévue en août a été annulée. À l’instar de l’Algérie, où le film fut retiré des salles. Comme un petit goût avant-gardiste de charia. La commune de Noisy-le-Sec, en Seine-Saint-Denis, a élaboré tout un programme pour égayer l’été de ses 45.000 habitants. Dans cette localité à la périphérie de la capitale, la municipalité communiste tient à prouver qu’après les kolkhozes et les maisons du peuple, les héritiers de Staline peuvent encore promettre des lendemains qui chantent à leurs administrés. Dans le cadre des « Estivales de Noisy », on trouve notamment un cinéma en plein air, proposé gratuitement pour la cinquième année consécutive. Six films sont à l’affiche. « Retrouvez les films choisis par des Noiséen.ne.s lors de la campagne de vote participative », peut-on lire sur le programme des festivités du septième art. Il n’y a pas à dire, en matière de démocratie, les communistes en connaissent un rayon.

Pression et menaces

Parmi ceux-ci était programmé, le vendredi 8 aout, le film Barbie. L’œuvre, qui a réuni à sa sortie, en 2023, près de 6 millions de spectateurs dans l’Hexagone, est une incarnation cinématographique de la célèbre poupée et de son compagnon Ken. Le film fut plus ou moins apprécié par la critique, tantôt vanté, à gauche, pour sa représentation moderne d’une femme libérée, tantôt décrié, à droite, pour son wokisme, sa misandrie et sa mise en avant d’une société féministe qui s’émancipe d’un prétendu patriarcat. Dans les colonnes de BV, Arnaud Florac déplorait son « inanité » quand Pierre Marcellesi lui trouvait des qualités certaines de mise en scène et de scénario.

Mais à Noisy-le Sec, rien ne s’est passé comme prévu. C’était sans compter le communautarisme qui gangrène le quartier du Londeau où devait avoir lieu la projection du film de Greta Gerwig. En effet, par un communiqué daté du 11 août, on apprend par le maire, Olivier Sarrabeyrouse, que « face aux tensions, la séance a dû être annulée »« Je déplore qu’un petit groupe du quartier ait mobilisé son énergie sous la pression d’un individu pour empêcher la projection de ce film, […] nos agent.e.s du service public ont de nouveau été menacé.e.s de violence », explique l’édile. Que le lecteur nous pardonne cette atroce écriture inclusive, que nous ne faisons que retranscrire.

À ce sujet — Barbie : délire idéologique ou renouveau du féminisme ?

La loi islamique en application

Le maire évoque des « arguments fallacieux, traduisant l’obscurantisme et le fondamentalisme ». Que faut-il comprendre, derrière ces mots ? Tout simplement que la loi islamique gagne du terrain. Car ce qui a motivé la campagne à l’origine de la déprogrammation du film, ce sont les mêmes arguments qui ont mené certains pays musulmans à interdire le film. C’est l’idéologie d’une communauté qui voit dans cet opus l’incarnation du péché, la promotion de l’homosexualité ou de l’image d’une femme qui est l’exact inverse de la soumission.

Le quartier du Londeau, avec ses 86 % de logements sociaux, son taux de pauvreté atteignant les 45 %, ses 28 % de la tranche d’âge des 16-25 ans qui sont non scolarisés et sans emploi, est la parfaite illustration du ghetto urbain communautarisé où la loi de familles islamisées s’étend subrepticement, puis à visage découvert. Un quartier classé « prioritaire de la politique de la ville », appartenant au 450 quartiers où l’État a déversé 12 milliards d’euros depuis 2014, à travers le Nouveau programme national de renouvellement urbain (NPNRU) pour intervenir « fortement sur l’habitat et les équipements publics, pour favoriser la mixité dans ces territoires ».

Une censure identique à certains pays musulmans

Olivier Sarrabeyrouse est pris à son propre piège, alors qu’il dénonce des « zones de non-droit culturelles dans [s]a ville » et « une extrême minorité de voyous qui, sans doute, n’a pas vu le film, qui a transformé une simple séance de cinéma plein air gratuite et ouverte à toutes et tous en un mouvement d’opposition violent ». C’est pourtant cet électorat islamo-gauchiste qui maintient l’homme politique appartenant au PCF à la tête de sa ville. La députée LFI de la circonscription s’est d’ailleurs bien gardée d’intervenir devant ce qui est bel et bien une censure.

À sa sortie, Barbie fut interdit dans nombre de pays musulmans. En Algérie, le film était retiré des salles pour « atteinte à la morale ». Il était accusé de « promouvoir l’homosexualité » et de ne pas respecter la religion musulmane et les mœurs du pays. Le ministre de la Culture libanais justifiait l’interdiction d’un film qui fait « la promotion de l’homosexualité et du changement de sexe, soutient le rejet de la tutelle du père, mine et tourne en ridicule le rôle de la mère et remet en question la nécessité du mariage et de la formation d’une famille ». Au Koweït, le président de la censure cinématographique annonçait l’interdiction de la diffusion d’une oeuvre qui « contrevient aux valeurs et traditions de notre société ».

La Seine-Saint-Denis s’inscrit dans la longue liste des territoires où la morale islamique fait la loi.

Yves-Marie Sévillia, dans BV

. Femme de 82 ans agressée à Mulhouse : le collectif Némésis exige de la fermeté


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#webtube : Un homme lui a arraché son sac tandis qu’elle se rendait à la messe, la traînant sur plusieurs mètres. Dimanche soir, à 19 h 30, une femme de 82 ans a été violemment attaquée sur le parvis de l’église Sainte-Marie à Mulhouse : un homme, « de type maghrébin » selon Némésis, lui aurait arraché son sac tandis qu’elle se rendait à la messe, la traînant au sol sur plusieurs mètres avant de prendre la fuite, selon une information révélée par le collectif Némésis. Hospitalisée, elle souffre d’une fracture du bassin qui lui impose 45 jours d’ITT. Quelques instants plus tard, une seconde tentative analogue a visé une femme de 78 ans en ville ; la description de l’agresseur correspond à celle fournie par les témoins de la première agression.

Cocktail explosif : impunité judiciaire et immigration incontrôlée

Selon Mathilda, porte-parole de Némésis, ces actes ne sont pas des incidents isolés mais le signe d’un système défaillant. Pour elle, le laxisme judiciaire et le sentiment d’impunité des auteurs, renforcés par une immigration qu’elle qualifie d’« incontrôlée », sont au cœur du problème. Elle ajoute : « C’est un cocktail explosif », alimenté par des profils dont on ne connaît pas le passé et de cultures éloignées de la vision française des femmes.

À ce sujet — Les personnes âgées, proies faciles pour des agresseurs sans scrupules

Ce cas n’est pas isolé. Dans d’autres affaires récentes, la corrélation que souligne la porte-parole du collectif Némésis se retrouve. À Lyon, en mai 2024, deux jeunes hommes en situation irrégulière ont projeté au sol une femme de 79 ans pour lui arracher son collier, arrachant aussi ses vêtements, au passage. Un Tunisien sous OQTF a été jugé en juillet 2024 à Bergerac pour 18 vols ciblant principalement des personnes âgées à domicile ou dans la rue. En 2022, à Choisy-le-Roi, un sans-papiers algérien, connu de la Justice, a violemment agressé un couple de retraités, jetant l’homme au sol et blessant la femme de 79 ans. En Espagne, en avril 2024, un jeune Algérien de 18 ans a arraché le sac à main d’une femme de 88 ans, provoquant un traumatisme crânien.

Plus récemment, le 30 juin, BV faisait état d’une agression sur une personne âgée dans un HLM de Montreuil (Seine-Saint-Denis) L’octogénaire a été retrouvée avec un pic à brochette planté dans le thorax. Quelques semaines avant, le 29 mai, une retraité de 83 ans a été victime d’une violente agression à Marseille. Son agresseur lui a volé son sac avant de prendre la fuite. À toutes ces agressions s’ajoutent les nombreux viols de personnes âgées. Un phénomène dénoncé dans un article de BV par Gabrielle Cluzel, il y a plus de deux ans déjà.

Réagir avec fermeté

Face à ce que le collectif Némésis décrit comme une série alarmante de violences ciblant les plus vulnérables, ce groupe de jeunes femmes militantes réclame des mesures radicales : « fermer les frontières et stopper l’immigration de masse », renforcer les contrôles de profils, expulser immédiatement les auteurs étrangers condamnés et, dans une vision à court terme, déployer massivement la vidéosurveillance. Selon elles, ces dispositifs sont essentiels pour identifier rapidement les agresseurs, dissuader les passages à l’acte, et surtout garantir aux femmes, et notamment aux aînées, de circuler « sans craindre de se faire dépouiller, frapper ou violer à chaque coin de rue ». Dans toutes les civilisations, le respect des personnes âgées constitue un pilier de la vie en société. La France a démoli ce pilier…

. Intégrité territoriale de l’Ukraine ? Et si on parlait du Kosovo et de Chypre ?


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#webtube : Les Européens ne cessent de nous bassiner avec l’intégrité territoriale de l’Ukraine. Ces grands défenseurs du droit international ont la mémoire courte. « Les frontières étatiques ne peuvent être échangées par la force », vient de rappeler le Premier ministre polonais Donald Tusk, avant le sommet d’Anchorage. Il faut oser !

Ce qui est frappant chez tous les Occidentaux, c’est que le droit international ne les concerne que lorsque celui-ci sert leur intérêts. Car depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale, soit ils s’affranchissent des résolutions de l’ONU, soit ils exercent leur droit de veto quand bon leur semble.

Violer le droit international, c’est une spécialité de l’Occident qui ne connait que la loi du plus fort. Mais il se trouve qu’aujourd’hui la force est du côté russe. Retour  sur l’histoire récente :

Bombardement de la Serbie et indépendance du Kosovo

Rappelons tout d’abord que depuis 1990, l’Otan n’a plus rien d’une alliance défensive, c’est, au contraire, un outil offensif aux ordres de Washington pour régenter le monde.

Car c’est toujours l’Otan l’agresseur, en Serbie, en Libye, en Irak, en Syrie, en Afghanistan. Avec les succès que l’on sait…

En 1999, l’Otan a bombardé la Serbie alliée de Moscou avec une armada de 1000 avions et a dépecé le pays en l’amputant en 2008 de la province du Kosovo, devenu un État mafieux, siège de tous les trafics : êtres humains, armes, stupéfiants et organes.

L’Occident pleure aujourd’hui sur le sort de l’Ukraine, mais il applaudissait aux bombardements de la malheureuse petite Serbie, accusée injustement de génocide à l’encontre des Albanais du Kosovo. Ces bombardements criminels contre un petit pays qui n’avait agressé personne ont duré 78 jours. Les avions de l’Otan ont effectué 38 000 sorties, commettant de nombreuses bavures et faisant de multiples victimes civiles.

La récupération de la Crimée par Moscou n’est donc que le juste retour du boomerang pour l’indépendance du Kosovo, imposée à Belgrade en totale violation du droit international et au mépris de la Russie, encore trop affaiblie pour s’opposer à cette ignominie.

Occupation illégale de Chypre par la Turquie depuis 1974

En 1960, l’île de Chypre, possession britannique, devient indépendante. Deux communautés y vivent, les Chypriotes grecs (82%) et les Chypriotes turcs (18%).

Le Royaume-Uni, la Grèce et la Turquie sont déclarés garants de l’ordre constitutionnel du nouvel Etat indépendant.

Mais le 20 juillet 1974, cinq jours après une tentative de coup d’État de nationalistes chypriotes grecs pour rattacher l’île à la Grèce, l’armée turque envahit le nord de Chypre.

Prétextant un simple rétablissement de l’ordre constitutionnel menacé et niant toute invasion, les Turcs s’emparent finalement de 38 % de l’île. 51 ans plus tard, ils sont toujours présents, ignorant les pressions de l’ONU pour rendre à Chypre son statut initial.

Je n’ai guère entendu nos Européens, si soucieux de l’ordre international, remuer ciel et terre pour mettre un terme à cette occupation illégale, maintenue par l’usage de la force.

La Turquie est dans l’Otan et Ankara peut tout se permettre, pratiquant depuis toujours un double jeu permanent entre la Russie et l’Occident.

Il y a bien une centaine de litiges territoriaux actuellement dans le monde. Le plus souvent pour des confettis de territoire, des frontières non reconnues, qui ne mènent pas à des conflits armés.

Mais les deux exemples du Kosovo et de Chypre illustrent à merveille l’hypocrisie des Occidentaux quand ils défendent l’intégrité territoriale de l’Ukraine.

Moscou n’a rien à échanger. Je vois mal Poutine conserver la totalité des oblasts de Lougansk et Donetsk tout en cédant ceux de Kherson et Zaporijjia.

Zelensky a voulu jouer la carte territoriale en occupant 1200 km2 du territoire russe à Koursk. Il y a laissé 70 000 de ses meilleurs soldats, tués et blessés. Très mauvaise pioche.

On voit bien que ni Zelensky, ni l’Europe ne veulent céder sur les quatre oblasts annexés par Moscou et inscrits dans la Constitution russe. Par conséquent, je vois mal comment le dossier ukrainien pourrait se régler, autrement que par une intensification de la guerre jusqu’à la capitulation de Kiev. Il n’y a pas de compromis possible sur ces quatre oblasts, il faut qu’il y ait un belligérant qui cède.

Je comprends parfaitement que Zelensky refuse la paix car la poursuite de la guerre est son assurance vie. Il sait qu’il sera jugé coupable de la défaite après tant d’années à avoir promis la victoire à son peuple. Il sait qu’il devra rendre des comptes sur les deux millions de morts et blessés. Il sait qu’il devra rendre des comptes sur les dizaines de milliards disparus.

Mais en revanche, je ne comprends toujours pas l’acharnement des Européens à vouloir poursuivre une guerre ingagnable, qui les ruine chaque jour davantage.

À part Orban et Fico, il n’y a que des têtes brûlées en Europe qui nous conduisent à notre perte au nom du droit international. C’est sidérant.

Espérons que ces illuminés, totalement inconscients, ne nous entraîneront jamais dans une croisade américaine contre la Chine pour défendre Taïwan. Ce confetti est chinois depuis 1683, soit 177 ans avant que Nice et la Savoie ne soient françaises. Et si l’île a fait sécession en 1949, après la défaite de Tchang Kaï-chek face à Mao, ce n’est vraiment pas notre problème. C’est un problème chinois.

Jacques Guillemain, Riposte Laïque