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#webtube : Des cas de plus en plus nombreux d’abattage de masse de bétail, notamment dans le département de Savoie, ont défrayé la chronique. Savoie et Haute Savoie sont célèbres pour huit grands fromages que sont l’AOP Abondance, l’AOP Beaufort, l’AOP Chevrotin, l’IGP Emmental de Savoie, l’IGP Raclette de Savoie, l’AOP Reblochon, l’AOP Tome des Bauges, l’IGP Tomme de Savoie. (AOP : appellation d’origine protégée, IGP : indication géographique protégée). C’est un patrimoine identitaire qui est mis en péril car la vente de ces fromages a été bloquée alors qu’il n’y a aucun risque.
Une nouvelle maladie est apparue en Savoie, la Dermite Nodulaire Contagieuse, due à un « pox virus » cousin de la variole.
Cette maladie est peu mortelle (1 à 2 % des cas) avec une morbidité de 10 à 25 % (taux de cas cliniques dans une population donnée). L’énorme majorité du troupeau ne sera donc pas malade car constitué de sujets résistants génétiquement et les animaux guéris seront immunisés naturellement et durablement. Elle sévit de manière enzootique en Afrique et dans les Balkans. Elle n’est pas transmissible à l’homme. Il existe un vaccin, et l’affirmation de l’absence de traitement est totalement absurde, comme pour le Covid, car on peut soigner toutes les maladies ne serait-ce que de façon symptomatique et avec des traitements adjuvants. Il semblerait d’ailleurs que l’Ivermectine a une efficacité notable ! Rien ne justifie médicalement l’abattage total pour enrayer cette épizootie contrairement à ce qu’affirment les services sanitaires, qui se basent sur des règlementations européennes ! Un isolement des malades, éventuellement un abattage des plus touchés, un isolement de l’exploitation avec une vaccination de tous les troupeaux voisins, avec des mesures de désinfection et de désinsectisation (le virus est transmis par des piqures d’insectes, et il y a de très bon produits insecticides d’action longue à répandre sur le dos des animaux) devraient suffire pour juguler l’épizootie après un temps de latence assez court.
On éviterait ainsi une catastrophe économique, humaine, environnementale et génétique (les animaux sains éliminés sont naturellement résistants et sont issus de souches patiemment sélectionnées pour leurs performances ou la qualité de leur viande ou de leur lait, notamment pour certains fromages !) Le comble du scandale est que l’Etat n’hésite pas à utiliser la force contre les éleveurs récalcitrants : escouade de gendarmes avec gilets pare-balle, garde à vue d’un éleveur qui a résisté et qui se voit menacé de 6 mois de prison et de 15000 euros d’amende. Un exemple supplémentaire de l’anarcho-tyrannie dans laquelle nous avons basculé, tout le monde ne peux pas être dealer, avec un casier à 18 trous et sous OQTF !
Là où les choses se compliquent c’est que cette « technique » de l’abattage total semble se généraliser.
En effet lors de la détection de tuberculose sur un bovin lors des contrôles annuels, au lieu d’éliminer seulement le sujet en question, on abat tout le troupeau (j’ai été témoin de ce cas récemment en Gironde), alors qu’on avait pratiquement éradiqué la tuberculose en utilisant l’élimination ciblée suivie d’une accélération des contrôles. Des contrôles sur les ganglions après abattage permettaient de confirmer le diagnostic car il y a de fréquents faux positifs, notamment en cas d’infestation de douve.
On peut mentionner également les abattages de masse de volailles lors de grippe aviaire et également le cas, un peu particulier, de Pierre Guillaume Mercadal dans le Tarn et Garonne, qui a dû tuer à 2 reprises son cheptel de porcs laineux en raison d’une suspicion de maladie d’Aujesky, bizarrement totalement asymptomatique et pour lequel aucune contrexpertise n’était possible. Il est en litige avec son maire et le cacique tout puissant du secteur, Jean Michel Baylet, ce qui pourrait être une explication…
En fait, il semble évident qu’il faut rapprocher tous ces éléments de projets officiels de l’Union Européenne : la « dépopulation » des troupeaux ! Ce projet fou a fait l’objet de nombreuses déclarations officielles et d’action sous l’impulsion de la religion écologiste, manipulée par la caste globaliste ! Comme aux Pays Bas où sa mise en œuvre sans justification sanitaire, sous l’impulsion du premier ministre Mark Rutte, avait entraîné une révolte massive et violente des paysans et sa démission ! Il est devenu, depuis, le chef de l’OTAN en compensation : dans ce petit cénacle mondialiste rien ne se perd, le recyclage des ordures est en place !
Ce précédent a certainement influencé la stratégie de l’UE qui cherche donc maintenant des justifications sanitaires étayées par la « science », devenue elle aussi une religion inquisitoriale, bien rodée lors de la dystopie covidiste.
Le projet globaliste n’en continue pas moins de se mettre en place, bien servi par une absence d’information du public, le zèle de petits hommes gris que les totalitarismes trouvent toujours à leur service, et une classe politique et médiatique inculte ou complice.
Ce projet globaliste est en cours depuis très longtemps et se poursuit sans interruption.
Le commissaire européen hollandais chargé de l’agriculture Sicco Mansholt (de 1958 à 1972) avait mis en place un plan de décroissance pour motif écologique visant particulièrement l’agriculture paysanne. Ce plan s’est déroulé jusqu’à maintenant sans interruption, quels que soient les aléas politiques, ce qui confirme le fait que notre démocratie n’est qu’un simulacre, bien assisté par la complicité des médias de grand chemin. On retrouve ce même phénomène pour l’enseignement avec le plan Langevin Wallon de 1948 qui se déroule lui aussi sans accroc avec les résultats qu’on connait sur la fabrique de crétin !
Les conséquences de ces politiques sont cataclysmiques comme on peut le voir avec les incendies de l’Aude, favorisés par la déprise agricole (disparition de nombreux viticulteurs : primes à l’arrachage, la vigne servant de pare-feu) et à l’interdiction de pacage des troupeaux par l’ONF entrainant l’accumulation des broussailles. Tout se tient et nous avons souvent de la peine à relier entre eux les divers problèmes qui nous assaillent. Cette démarche intellectuelle qui consiste à relier entre eux divers éléments concordants vous fait passer inéluctablement dans le camp des complotistes. Peu nous chaut ! La vérité monte par l’escalier et sort du puit pour celui qui s’en donne la peine, ce qui lui vaut d’avoir raison trop tôt.
Réveillez-vous les normies !
Alors oui, quitte à passer pour complotiste, c’est-à-dire être de ceux qui ont raison trop tôt.
Alain de Peretti, Riposte Laïque
. Sommet en Alaska : l’UE fulmine, oubliant que c’est Poutine qui a gagné la guerre
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#webtube : Pourquoi l’Alaska ? Parce que cet Etat, vendu par les Russes aux Américains en 1867, est proche de la Russie et parce que les États-Unis ne reconnaissent pas la juridiction de la Cour pénale internationale (CPI), qui a lancé un mandat d’arrêt international contre Poutine suite à l’invasion russe de l’Ukraine. Il y a un postulat incontournable que les Européens évacuent bien naïvement : Poutine ne rendra jamais les cinq régions que son armée a conquises au prix de lourds sacrifices, contre une coalition de 50 nations russophobes. Ce n’est donc pas aux vaincus, Ukraine et Otan, d’imposer leurs conditions de paix au vainqueur.
Par conséquent, les gesticulations des Européens sont grotesques et inutiles.
La Crimée et les oblasts de Donetsk, de Lougansk, de Zaporijjia et de Kherson, sont désormais intégrés à la Fédération de Russie et je vois mal qui pourrait déloger l’Ours russe de ces territoires. Près d’un million de soldats ukrainiens ont laissé la vie dans une guerre ingagnable, alors qu’il était possible de négocier la paix dès mars 2022. Ce sont les Occidentaux qui ont refusé la paix.
Avec Zelensky et l’UE, il n’y aura jamais de solution diplomatique pour mettre fin au conflit ukrainien. Je crains que la seule issue qui s’offre à Poutine soit la poursuite de la guerre jusqu’à la capitulation sans conditions de Zelensky.
La principale inconnue dans ce dossier reste l’attitude de Trump, qui souhaite la paix mais ne veut pas endosser la responsabilité de la défaite pour une guerre qui n’est pas la sienne, mais celle de Biden. Il ne veut pas non plus perdre la face.
Il a deux options : Continuer d’armer l’Ukraine et être coresponsable de l’inévitable débâcle otanienne qui se profile. Je ne crois pas à cette option. Ou bien stopper le carnage au plus vite, en abandonnant Zelensky au sort des armes, sachant que les Européens n’ont pas les moyens de leurs ambitions belliqueuses.
Auquel cas, l’Ukraine sera laminée et la paix se fera aux conditions du Tsar. Mais Trump pourra se vanter d’avoir mis fin à la stupide guerre de Biden. Le but étant de se sortir honorablement de ce bourbier ukrainien où se sont enlisés les crétins de démocrates. C’est tout l’enjeu de ce sommet en Alaska.
Pour Trump, l’Ukraine n’est qu’un boulet qui l’empêche de s’occuper en priorité de la Chine. Un boulet qui pourrait lui coûter cher aux élections de mi-mandat.
Déclaration commune des Européens avant le sommet en Alaska
Ecartés du sommet, Zelensky et les Européens font tout pour savonner la planche au duo Trump/Poutine, qui devraient se rencontrer en Alaska le 15 août.
https://ec.europa.eu/commission/presscorner/detail/en/statement_25_1952
Macron, Meloni, Merz, Starmer, Tusk, Stubb et von der Leyen, ont fait une déclaration commune, apportant leur soutien inconditionnel à Zelensky et réclamant des pressions sur Poutine pour mettre fin à sa « guerre illégale ». En voici les points essentiels :
– L’Ukraine est libre de choisir son destin
– La paix ne peut être négociée sans l’Ukraine
– L’Europe continuera de soutenir l’Ukraine
– Tout accord doit inclure des garanties de sécurité pour l’Ukraine et l’Europe
– Des négociations ne sont possibles que dans le cadre d’un cessez-le-feu préalable
– Les frontières internationales ne sauraient être modifiées par la force
– La ligne de contact actuelle doit être le point de départ des négociations
A la lecture de ce texte, on comprend pourquoi Trump et Poutine ont écarté Zelensky et l’Europe de ce sommet.
Pour Poutine, rencontrer Zelensky opposé à toute cession territoriale ne sert à rien. De plus, négocier avec des Européens qui l’ont toujours diabolisé et qui l’ont trompé sur les accords de Minsk, est sans intérêt. La perfide Europe n’est plus fiable.
Quant à Trump, il se souvient très bien que l’Europe a toujours misé sur Biden puis sur Kamala Harris lors des élections de 2020 et 2024. Cette Europe, faible, ruinée, sans armée ni matières premières, submergée par l’immigration et en extase devant le wokisme et la mouvance LGBT, il la méprise au plus haut point.
Nul ne sait ce qui ressortira de ce sommet en Alaska. Mais ce que l’on connait depuis trois ans, ce sont les objectifs de Poutine :
– Reconnaissance des nouvelles frontières de la fédération de Russie
– Démilitarisation de l’Ukraine
– Dénazification du régime, donc mise à l’écart de Zelensky
– Neutralité de l’Ukraine, donc pas d’intégration à l’Otan
– Elaboration de garanties de sécurité pour toute l’Europe
– Pas de troupes de l’Otan stationnées en Ukraine
– Fin des sanctions économiques
– Restitution des 300 milliards d’avoirs de la Banque de Russie, volés par les Occidentaux
Tout cela est difficilement compatible avec les exigences des Européens.
Conclusion
Ni Poutine, ni Zelensky ne changeront leur position. Mais c’est de la décision de Trump que dépend la suite de cette guerre.
Elle peut s’achever très vite si Trump lâche Zelensky, ou bien s’éterniser s’il poursuit la politique belliqueuse de Biden, mais ce qui reste gravé dans le marbre, c’est la victoire de Poutine. Jamais les Russes ne renonceront aux territoires conquis.
Par conséquent, toutes les gesticulations des Européens ne sont que broutilles sans intérêt. Sans armée digne de ce nom, l’UE reste un nain politique.
Les centaines de milliards donnés à Zelensky sont partis en fumée sur le champ de bataille et une bonne partie a servi à gonfler les comptes offshore des oligarques. Beau bilan ! Mais le pire, est que toute la clique des va-t-en-guerre veut que ça continue, alors que le peuple ukrainien est saigné à blanc.
Jacques Guillemain, Riposte Laïque