Articles : Juil. 2025 – Juin 2025 – Mai 2025 – Avril 2025 –
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#webtube : Récemment, une horreur s’est produite dans une piscine publique en Hesse, en Allemagne. Une horreur que les médias mainstream ont d’abord tenté de minimiser, avant que l’ampleur des faits ne force l’information à éclater : au total, neuf enfants et adolescentes, âgées de 11 à 17 ans, ont été victimes d’agressions sexuelles dans un espace censé être sûr, public, surveillé. Le détail glaçant de l’affaire est désormais connu. Les auteurs présumés, tous de nationalité syrienne, ont profité de l’affluence estivale pour cibler des jeunes filles dans l’eau. La police allemande a rapidement interpellé quatre suspects, âgés de 18 à 28 ans. Un cinquième est parvenu à s’enfuir. Selon les forces de l’ordre, deux des suspects seraient frères. Les agresseurs n’étaient pas en groupe : leur mode opératoire semble avoir été plus insidieux, plus inquiétant encore – coordonné sans être visible, opportuniste mais structuré.
La réaction de la population ne s’est pas fait attendre. Angelika Kamperides, puéricultrice et mère de cinq enfants, témoigne : « Je vais à la piscine avec des sentiments mitigés. Je me sens en sécurité, mais c’est dommage que cette insouciance ait disparu. » Voilà la conséquence immédiate de ces agressions : la fin de l’insouciance pour les familles allemandes, l’angoisse désormais tapie dans chaque instant de détente, la peur diffuse qui se glisse dans les bassins d’eau chlorée. Car ce n’est pas un cas isolé. Le Land de Hesse a vu se multiplier les cas d’agressions sexuelles dans les lieux publics ces derniers mois, en particulier dans les piscines. Ce phénomène n’a rien de nouveau : il est le prolongement direct des années Merkel et de son irresponsable politique migratoire. Rappelons-nous 2015. Rappelons-nous Cologne. Rappelons-nous que ces drames n’étaient pas des exceptions, mais les premiers signaux d’alerte.
Une députée lucide : Anna Nguyen (AfD) tire la sonnette d’alarme
Face à ce climat de peur, certains responsables politiques osent encore dire la vérité. Parmi eux, Anna Nguyen, députée de l’AfD en Hesse, que nous avons rencontrée à la suite de ce drame. À 34 ans, responsable de la politique des femmes au sein de son parti, elle résume la situation avec sobriété mais fermeté : « Dans cette piscine, huit filles ont été agressées sexuellement par quatre Syriens. La plus jeune avait onze ans. » Plus que le choc, c’est la lucidité politique de Mme Nguyen qui marque : « La migration illégale a beaucoup de risques pour les femmes et pour les hommes aussi, mais surtout pour les jeunes femmes. Il faut vraiment fermer les frontières. Il faut expulser les clandestins. Et la justice doit vraiment sévir. » Tout est dit. Ce que Mme Nguyen exprime ici, c’est ce que des millions d’Allemands pensent tout bas mais n’osent plus dire dans un climat de terreur idéologique. La gauche morale, les bien-pensants des plateaux télé, les ONG subventionnées et les juges militants ont passé des années à diaboliser quiconque osait faire le lien entre immigration massive et insécurité croissante. Aujourd’hui, ce lien n’est plus un fantasme : il est une évidence statistique, un constat empirique, un fait social massif.`
« La migration illégale a beaucoup de risques, surtout pour les jeunes femmes. Il faut vraiment fermer les frontières » Anna Nguyen, AfD 🇩🇪 pic.twitter.com/S5WflmIXPs
— Voxeuropa Herald (@VoxEuropaHerald) July 24, 2025
La naïveté criminelle des élites progressistes
Le cas de cette piscine hessoise n’est pas un accident, c’est le symptôme. Le symptôme d’un État qui a trahi sa mission première : protéger sa population. Depuis dix ans, l’Allemagne accueille, loge, nourrit, soigne et défend juridiquement des centaines de milliers de jeunes hommes issus de cultures patriarcales, parfois profondément hostiles à notre civilisation. Certains n’ont aucun respect pour les femmes européennes. Pour eux, une adolescente en maillot de bain est une proie, pas une personne.
L’excuse sociologique ne tient plus. L’excuse du « désespoir », de la « précarité », de la « stigmatisation » a bon dos. Les victimes, ce sont les filles de onze ans, pas les agresseurs. Ceux qui sont à plaindre, ce sont les parents qui n’osent plus envoyer leurs enfants se baigner, pas les délinquants multirécidivistes protégés par un système judiciaire paralysé.
L’AfD, seul rempart politique ?
Alors que les autres partis multiplient les déclarations fades, appellent au « dialogue interculturel » ou évoquent de simples « dysfonctionnements », seule l’AfD semble encore parler clair. Fermeture des frontières. Rétablissement du droit. Expulsions massives. Voix des victimes. Voilà le programme. Voilà ce que Mme Nguyen incarne. La gauche, elle, préfère parler de « vivre-ensemble ». Mais vivre-ensemble avec qui ? Avec ceux qui voient dans nos enfants une cible ? Avec ceux qui ne partagent ni nos mœurs, ni nos valeurs, ni notre vision du monde ? Le multiculturalisme est devenu une machine à produire de la violence. Une idéologie qui exige de chaque peuple européen un sacrifice de ses traditions, de sa sécurité, de son avenir.
Les femmes, premières sacrifiées du grand remplacement
Ce qui se joue ici, au-delà de la seule question migratoire, c’est la guerre culturelle menée contre les femmes européennes. On les a incitées à se découvrir, à s’affranchir du patriarcat traditionnel – et c’est une conquête majeure de la modernité. Mais on les abandonne aujourd’hui, sans défense, face à des hommes élevés dans le mépris de cette liberté. L’État allemand, en ouvrant grand ses portes à une immigration incontrôlée, a sacrifié ses filles sur l’autel de la tolérance.
Il ne s’agit pas ici de stigmatiser tous les immigrés. Mais de dire une chose simple : l’Allemagne n’est pas un terrain d’expérimentation sociale. C’est une nation. Elle a le droit de choisir qui entre sur son sol. Elle a le devoir de protéger les siens. Et elle a l’obligation, surtout, de tirer les conséquences de ses erreurs passées.
L’agression de ces jeunes filles en Hesse n’est pas seulement un fait divers. C’est un moment de vérité. Le moment où une société se regarde dans le miroir et décide si elle veut continuer à sombrer ou si elle veut se relever. Les solutions existent. Elles sont connues. Elles sont portées, aujourd’hui, par une minorité politique courageuse que beaucoup s’efforcent encore de diaboliser : la droite identitaire.
Il est temps que les Allemands reprennent le contrôle de leur destin. Que leurs dirigeants entendent enfin leur colère. Et que la sécurité des enfants allemands soit une priorité absolue – non un dommage collatéral de l’idéologie immigrationniste.
L’histoire jugera. Elle saura dire qui a protégé les siens, et qui les a livrés.
Face à cette montée de l’insécurité, une nouvelle génération de femmes se lève, hors des sentiers battus du féminisme de gauche. C’est le cas de Lukreta en Allemagne et du Collectif Némésis, en France, des groupes de jeunes femmes européennes qui dénoncent le double discours des mouvements féministes. Contrairement aux Femen ou à Osez le féminisme, ces militantes de droite osent nommer les causes de l’explosion des violences sexuelles : immigration massive, multiculturalisme imposé, suppressions des frontières. Elles incarnent une révolte identitaire féminine, lucide et courageuse, qui refuse de sacrifier les femmes européennes sur l’autel de la diversité. Leur message est clair : protéger les femmes, c’est d’abord protéger notre civilisation.
Matisse Royer, pour Vox Europa Herald
Breizh-info.com
. [CINÉMA] Eddington, un coup de maître du cinéma de propagande
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#webtube : Très habile dans sa construction, dans son maniement des symboles et dans sa façon de brouiller les pistes sans arrêt. Nous évoquions, la semaine passée, le nouveau Superman, de James Gunn, un film de propagande tellement transparent dans ses allusions et prises de position qu’il en est comique. Beaucoup plus subtil, le nouveau long-métrage d’Ari Aster, Eddington, gagnerait à être vu et étudié par nos futurs cinéastes de droite. Sans ironie aucune, il faut clairement admettre que le réalisateur des excellents Hérédité et Midsommar, pépites du cinéma d’épouvante, a fait un très bon travail, en dépit du fait que ses idées nous hérissent le poil…
Le (juste) constat d’une Amérique fracturée
Le film commence en 2020, en pleine pandémie de Covid-19, dans une ville de six mille habitants au Nouveau-Mexique. Nous suivons alors un sympathique shérif, Joe Cross, suffisamment réac pour refuser la paranoïa collective, le grégarisme social, le port du masque obligatoire et l’ostracisme de ceux qui refusent de s’y plier. Très critique à l’égard des réseaux sociaux, des délires complotistes en tous genres et des adeptes fanatiques de Black Lives Matter – l’affaire George Floyd vient tout juste d’éclater –, Joe Cross a tout pour nous plaire. Proche des gens, « populiste », ce personnage jovial voit d’un très mauvais œil l’installation, dans la ville, d’un data center, prévue par Ted Garcia, le maire progressiste vendu aux puissances d’argent. L’opposition du shérif à ce dernier est motivée, en outre (et surtout !), par un vieux contentieux de vingt ans, lié à son épouse. Si bien que Joe Cross décide, sur un coup de tête, de se présenter aux élections locales pour renverser Ted Garcia et devenir maire à sa place. Dès lors, le sympathique shérif que nous suivions jusqu’à présent commence, de ci de là, à dévoiler une face plus sombre de sa personnalité : bonnes actions calculées, calomnies, utilisation outrancière de ses proches, déclarations publiques à des fins clientélistes, meurtres (!), désignation d’un faux coupable, etc.
Des procédés habiles de manipulation
Faussement neutre dans sa volonté de représenter une Amérique fracturée, Ari Aster a d’abord l’intelligence, dans la première demi-heure, de donner tous les gages possibles et imaginables au camp « populiste ». Les petits bourgeois blancs d’extrême gauche, fanatisés par Black Lives Matter, sont dépeints dans toute leur bêtise crasse et leur sectarisme ; le cinéaste leur jette au visage leurs incohérences idéologiques, leur schizophrénie intellectuelle et leur racisme fondamental, à peine voilé. Faux défenseurs de la justice sociale, ces hypocrites n’ont pas la moindre considération pour le clodo du coin – bien blanc – qui, lui, aurait véritablement besoin d’assistance.
C’est dans un second temps seulement, une fois que la méfiance du spectateur est au plus bas, qu’Ari Aster retourne les armes contre le shérif et, à travers lui, contre l’Amérique des républicains, principale cible de ce film. Car les assassinats perpétrés par Joe Cross mettent littéralement le feu à la ville. Et le coupable désigné, victime d’un coup monté, sera un sergent du shérif, un Noir… Comprendre, par là, que si les militants de Black Lives Matter sont bel et bien des charlots, leurs intuitions sont les bonnes : l’homme noir est une victime et les forces de l’ordre sont viciées…
À ce sujet — [CINÉMA] Superman, une nouvelle version plus politique signée James Gunn
Aveuglé par sa haine du maire, qu’il soupçonne injustement d’avoir autrefois violé son épouse, le shérif ne voit même pas que celle-ci est actuellement victime d’une emprise sectaire par un obscur gourou et qu’il est en train de la perdre définitivement. Quant au combat de Joe contre l’installation d’un data center dans la ville, il n’aura qu’un temps. Car une fois devenu maire, le républicain – devenu paraplégique et immobile – se rangera aussitôt du côté des industriels et des puissances d’argent.
Ne surtout pas boycotter
Très habile dans sa construction, dans son maniement des symboles et dans sa façon de brouiller les pistes sans arrêt, Eddington met le spectateur de son côté en jouant à fond la carte de la dérision et de la violence graphique (la scène de guérilla urbaine à la fin, complaisante et inutilement étirée). Cependant, plutôt que de crier bêtement au « wokisme » et de boycotter le film, nous conseillons vivement au lecteur d’aller le voir et d’analyser les procédés de fabrication d’une œuvre de propagande de haut niveau. L’exercice est stimulant intellectuellement et les plus malins en tireront des enseignements…
4 étoiles sur 5
Pierre Marcellesi, dans BV
. Emploi : le gouvernement britannique cherche un « administrateur de la charia »
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#webtube : En Grande-Bretagne, l’application de la loi islamique se banalise. L’Angleterre fait un pas de plus vers la charia. Le 24 juillet, le gouvernement britannique a publié, sur son site Internet, une offre d’emploi pour un poste d’« administrateur du tribunal de la charia ». Pour postuler, les candidats doivent être titulaires d’un diplôme en droit de la charia et justifier d’une expérience au sein d’un tribunal islamique dans un pays musulman. Il est également demandé aux postulants d’être en mesure de gérer des tâches administratives et de s’occuper de la coordination des services sociaux liés à la charia. La personne embauchée sera rémunérée 23.500 livres sterling par an, soit 27.730 euros. L’annonce est on ne peut plus sérieuse.
Vous ne faites rien pendant ces vacances ?
— Florence Bergeaud-Blackler 🎓 (@FBBlackler) July 27, 2025
Allez appliquer la charia au Royaume-Uni 🇬🇧 .
On y cherche un
Administrateur du Droit Islamique (Charia)
(source : site officiel d'offre et de recherche d'emploi) pic.twitter.com/hZZHZQi3Oh
À ce sujet — Le Royaume-Uni, nouvelle terre d’islam ?
Outre-Manche, elle a provoqué l’ire de certains élus. La tête d’affiche du parti conservateur Reform UK, Nigel Farage, est montée au créneau, sur X : « Notre pays et ses valeurs sont en train d’être détruits. » Zia Yusuf, membre de la même famille politique, a, lui, rappelé qu’« il n’existe qu’un seul système juridique au Royaume-Uni » et que « toute tentative de le renverser ou de le remplacer devrait être illégale ».
Tollé côté conservateur
Ils ne sont pas les seuls. Rupert Lowe, député conservateur sans étiquette, a fait court mais non moins percutant : « Les administrateurs de la charia n’ont AUCUNE place en Grande-Bretagne. » Enfin, Peter Bedford, député du Parti conservateur, s’est dit « consterné qu’un politicien ait approuvé le recrutement pour ce type de poste », avant de dénoncer une « fonction publique hors de contrôle » et d’affirmer : « Cela doit cesser », comme le rapporte le Daily Mail.
En réalité, l’annonce ne provient pas du gouvernement britannique mais a été postée par la mosquée de Didsbury, une commune proche de Manchester. L’institution publique n’a fait « que » la valider mais, pour ces politiques, c’est déjà trop.
Aveuglement du gouvernement
Le fait de donner son accord pour la parution d’une telle offre d’emploi prouve que l’application de la loi islamique est déjà banalisée, en Grande-Bretagne. Pour rappel et pour preuve, le Royaume-Uni est riche en conseils de la charia, l’Islamic Sharia Council (ISC) ou le Muslim Arbitration Tribunal (MAT), pour les plus connus. Ces instances religieuses ont vocation à faire appliquer les lois de la charia et à gérer les conflits au sein de leur communauté. Elles s’occupent notamment des divorces et des successions. Il y en aurait 85, au Royaume-Uni, principalement dans les grandes villes, comme indiqué par le Times.
Régulièrement, la presse britannique alerte sur ces dérives, notamment le Times et GB News. Ces titres pointent du doigt le traitement réservé aux femmes par ces conseils de la charia et alertent sur le fait que ces organes pourraient être en train de prendre le pas sur les lois britanniques. Le gouvernement s’en défend mais, sans les réactions des conservateurs et de la droite, il se laisserait doucement déborder et, dans le cas présent, l’annonce n’aurait pas été, finalement, retirée du site étatique. La cause du scandale a disparu, mais le problème de la charia « à l’anglaise » demeure.
Sarah-Louise Guille, dans BV
. Négociations avec Trump, TVA : l’Europe, cette machine à subir et à taxer
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#webtube : 15 % de taxes. C’est donc le résultat de cette petite heure de négociations entre Donald Trump et Ursula von der Leyen, avant que le président des États-Unis n’aille faire sa petite partie de golf. Bien que l’Union européenne promeuve la place des femmes dans la société, celle qui préside aux destinées du continent, alors que personne n’a voté pour elle, semble abonnée aux rôles de potiche – et ce, au moins, depuis la réception de Charles Michel par Erdoğan, quand elle était restée sur le sofa pendant que les hommes parlaient. Ici, même jeu : Ursula, mon petit, vous nous apporterez les contrats et j’irai faire mon parcours ensuite.
15 %, quoi qu’en aient dit les deux participants, c’est tout sauf un jour historique pour l’Europe, ou alors le jour historique de sa soumission définitive à l’Oncle Sam, par son incapacité à parler d’une seule voix. Et qu’est-ce que l’UE obtient, en échange de cette taxe à 15 % ? Rien. Comme dit Philippe de Villiers sur CNews, « c’est pour le moins léonin ». Ajoutons à cela les contrats d’achat massif de gaz américain, trois fois plus cher que le gaz russe (rappelé par Villiers, également). Oui, comme le dit Viktor Orbán, Trump a mangé Ursula von der Leyen au petit déjeuner.
Et la France, là-dedans ? Elle ergote, elle prend des positions tranchées dont elle n’a pas les moyens, elle dit (par la voix de ministres déjà largement déconsidérés sur leur propre sol) qu’elle va renégocier, ici ou là, tel ou tel accord. Il est vrai que si certains pays (Hongrie, Italie, Allemagne) s’en tirent bien, ce n’est pas notre cas. Dans le domaine des vins et spiritueux, pas de rabais. Et dans le domaine de l’armement, fleuron français, l’Europe s’engage à acheter américain. Alors oui, en effet, ce ne serait pas si mal de renégocier.
L’Union ne sait produire que de la soumission
Les politiciens, macronistes comme LR, ont beau jeu de blâmer la faiblesse d’Ursula von der Leyen : ils ont pourtant tous voté pour elle. Et la France, elle aussi, a décidé pendant des années de brader sa souveraineté à une commission non élue qui ne défend pas ses intérêts. On est surpris que tous ces défenseurs de l’Europe soient surpris. Ils obéissent depuis des années, y compris d’un point de vue économique, à tous ces fonctionnaires bruxellois nommés et non élus.
🔴 L’UE a ordonné au gouvernement d’uniformiser la TVA entre l’abonnement (5,5%) et la consommation (20%). Devinez dans quel sens ils sont allés ? (Tout à 20%). Et pendant ce temps, des spectacles subventionnés sont à 2,1% de TVA. Toujours les mêmes qui sont rackettés ! pic.twitter.com/bbnZ4nkxjF
— Guillaume Bigot (@Guillaume_Bigot) July 29, 2025
À ce sujet — Accords États-Unis/UE : le Royaume-Uni, vrai vainqueur ?
Pour comble d’écrasement fiscal, on apprend que la TVA, harmonisée par l’UE, va passer à 20 %, qu’il s’agisse d’abonnement ou de consommation. Jusqu’ici, l’abonnement aux services était taxé à 5,5 %. Hyper efficace, l’Europe ! Et, parce que nous sommes le pays de l’exception culturelle, les spectacles vivants, eux, resteront taxés à 2,1 % seulement.
On prenait, jadis, les partisans de la sortie de l’UE pour des illuminés. Marine Le Pen y a laissé des plumes, en 2017. On s’aperçoit, aujourd’hui, qu’à part des normes et des taxes, l’Union ne sait produire que de la soumission. Son seul rôle positif était (normalement) de parler d’une seule voix face aux grandes puissances, et même pour ça, elle est nulle… Le seul bon côté des choses, c’est que les États-Unis de Trump nous ont fait comprendre à quel point nous étions seuls et démunis. 450 millions d’Européens incapables de s’unir, sans l’OTAN, face à 144 millions de Russes ; 450 millions d’Européens infoutus de s’entendre, malgré l’UE, sur des droits de douane décents, face à 350 millions d’Américains. Tout cela, au prix de notre souveraineté nationale. Impeccable, les gars !
Arnaud Florac, dans BV
. Israël accusé d’affamer Gaza alors que 500 camions y entrent chaque jour
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#webtube : Israël seul contre tous, y compris contre ses alliés ! Si la Russie est la cible de tout l’Occident, qui prétend sauver la démocratie en soutenant une Ukraine mafieuse et corrompue, le Tsar a le soutien du Sud global et de la puissante Chine. Mais Israël, dans son juste combat pour sa survie après l’agression barbare du Hamas contre des civils le 7 octobre 2023, est désespérément seul. Car non seulement le monde musulman a pris le parti du Hamas, entité terroriste largement soutenue par les mollahs de Téhéran, mais tout l’Occident cède à la propagande mensongère diffusée par Gaza et ses relais du Qatar et de Turquie. L’humanitaire vole au secours du Hamas.
Écrasé militairement, le Hamas a fini par gagner les cœurs d’un Occident larmoyant et on voit mal pourquoi il céderait aux exigences d’Israël qui entend récupérer ses otages, dont beaucoup sont déjà morts. En fait, l’émotion de l’Occident après le 7 octobre n’aura duré que huit jours. Netanyahou est aujourd’hui la cible du monde entier.
C’est le paradoxe de l’Occident. Soit il initie des expéditions coloniales au mépris du droit international ou sans l’aval de l’ONU, soit il impose sa propre paix sans que les causes de la guerre ne soient éradiquées définitivement. La guerre ou la paix mais selon le seul droit américain à géométrie variable.
Trump trépigne face à Poutine pour imposer une paix dans 10 jours, alors que toutes les causes de la guerre qui remontent à 1990 sont toujours présentes. Poutine, que Trump traite d’ami ou de fou selon son humeur, n’a que faire des états d’âme d’un guignol qui change d’avis comme de chemise. La guerre ne cessera que quand Poutine le décidera ou quand Kiev capitulera. Assez de caprices immatures et de rodomontades stériles à la Maison Blanche.
Quant à Israël, le fait que 28 nations arabes ou musulmanes refusent de le reconnaître en tant qu’État ne choque apparemment personne. On a même vu Trump soigner sa réputation surfaite de pacificateur en interdisant à Netanyahou de renverser le régime des mollahs. Résultat : rien n’est réglé. Une guerre de 12 jours parfaitement inutile. Téhéran clame sa victoire et rêve toujours de détruire l’État hébreu.
Ce que l’on voit et entend depuis des mois est une ignominie, un monument de désinformation de la part de gouvernants occidentaux et de médias sans éthique, qui relaient sans aucune vérification toute la propagande du Hamas qui salit Israël et Netanyahou.
Oublié le massacre du 7 octobre, place à la famine orchestrée par Tsahal ! L’Occident pactise avec le Hamas par ses attaques continues contre Israël en guerre.
https://www.jforum.fr/quand-loccident-pactise-avec-le-hamas.html
La grande et noble cause actuelle, c’est la reconnaissance d’un État palestinien, sans en connaître les frontières ni le gouvernement futur, qui pourrait très bien être le Hamas, cette organisation terroriste qui a pris le pouvoir de force en 2007 à Gaza.
Après l’Irlande, la Norvège et l’Espagne, qui ont reconnu un État palestinien en 2024, ce sont Macron et Starmer qui envisagent de le faire, estimant que Netanyahou doit mettre un terme à la guerre. Les otages non libérés ? Mais qui s’en soucie en Occident ?
Si ce n’est pas pactiser avec le Hamas et lui donner raison, qu’est-ce que c’est ? Avec une telle légitimité internationale, le mouvement terroriste va bientôt pouvoir se draper dans le manteau de la vertu et revendiquer un label de virginité. C’est sidérant.
Il a le soutien occidental, inutile donc de négocier ou de libérer les otages.
Il est vrai qu’en Syrie, tout l’Occident coutumier du fait s’est prosterné devant Ahmad Al-Charaa, devenu président de la Syrie après avoir troqué son treillis de combattant djihadiste contre un costume- cravate. On dit que l’habit ne fait pas le moine, mais en Syrie, si ! Un costume vous transforme un terroriste aux mains rouges de sang en parfait démocrate éminemment fréquentable.
À Doha, les négociations n’ont rien donné. Selon un diplomate israélien :
« le Hamas sent qu’il a gagné l’opinion internationale, il n’a plus besoin de faire de concessions ».
La guerre psychologique que soutiennent le Qatar et l’ONU porte ses fruits.
« Les accusations de « famine » orchestrées par le Hamas ont été reprises sans vérification par des ONG comme Amnesty International et relayées massivement par Al Jazeera, média officiel qatari. »
Mensonges, photos truquées, vidéos falsifiées se propagent allègrement sur le net avec la bénédiction des gouvernements et médias occidentaux acquis à la cause gazaouie. « Certaines vidéos montraient des scènes filmées en Syrie ou au Yémen, non à Gaza. »
« Le renseignement israélien soupçonne désormais le Qatar de financer et d’organiser cette campagne médiatique mondiale visant à présenter Israël comme affameur — alors même que plus de 500 camions par jour entrent actuellement à Gaza. »
Des trêves quotidiennes sont organisées pour permettre le ravitaillement des familles en toute sécurité. Mais rien n’y fait. Tout accable Tsahal.
Israël se retrouve isolé, tout en étant accusé des crimes de ses ennemis.
Netanyahou est de plus en plus seul, lâché par une Europe décadente de poules mouillées, devenue l’otage de sa propre immigration musulmane. On peut même affirmer que toute la politique de Macron, étrangère et intérieure, se fait en totale harmonie avec la rue arabe.
La peur d’un embrasement des cités, de type 2005 à la puissance 10, plane constamment sur l’Élysée et Matignon.
Il n’y a pas qu’à Bruxelles que la France a bradé sa souveraineté, elle a aussi prêté allégeance à son immigration musulmane. Ce phénomène irréversible lui sera fatal.
Jacques Guillemain; Riposte Laïque
. Royaume-Uni : les émeutes anti-migrants reprennent dans de nombreuses villes
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#webtube : Depuis plus de quinze jours, plusieurs manifestations anti-immigration ont eu lieu dans le pays. Elles ont commencé après la mise en examen début juillet de migrants éthiopiens hébergés à Epping, dans la banlieue de Londres, accusés d’agressions sexuelles sur des adolescentes.
La semaine dernière, plusieurs rassemblements ont dégénéré à Epping, faisant huit blessés parmi les forces de l’ordre. Puis à Diss, dans l’est de l’Angleterre, pour réclamer la fermeture d’un autre hôtel hébergeant des demandeurs d’asile, ou encore près de Norwich, dans la même région, samedi dernier. Le Times rapporte aussi des manifestations ailleurs dans la banlieue de Londres comme à Wolverhampton ou encore devant des hôtels abritant des migrants à Leeds, Portsmouth, Bournemouth, Southampton et dans le Nottinghamshire.
Les autorités redoutent que ces tensions ne dégénèrent, à l’image des émeutes de l’été 2024, qui avaient embrasé le pays après le meurtre de trois fillettes dans la ville de Southport (nord-ouest de l’Angleterre), poignardées par un adolescent, fils d’un couple d’immigrants rwandais. Les événements actuels ne sont pas «qu’un incident isolé», a alerté la présidente de la Fédération de la police, Tiff Lynch, mettant en garde sur une situation explosive. «C’est un signal, un rappel de la facilité avec laquelle les tensions peuvent éclater, et de notre manque de préparation pour y faire face», a averti la responsable de ce syndicat jeudi dans le Daily Telegraph.
«Le feu couve depuis l’été dernier, et surtout, rien n’a vraiment changé», abonde Marc Le Chevallier, chercheur au UCL Policy Lab. Si le gouvernement du premier ministre Keir Starmer a en effet pris un net virage sur la question migratoire, promettant notamment de combattre coûte que coûte l’immigration illégale, les résultats ne sont pas encore là. Pire, près de 20.000 migrants ont réussi à traverser la Manche depuis le 1er janvier, un chiffre qui n’a jamais été aussi haut.
Quoi qu’il en soit, et malgré des positions tranchées des membres du gouvernement travailliste – la plus socialiste des ministres, Angela Rayner, a affirmé il y a quelques jours que l’immigration posait un grave problème pour la cohésion sociale -, Keir Starmer est très loin de convaincre les électeurs de Nigel Farage, chef du parti anti-immigration Reform UK.
«Je ne pense pas que quiconque à Londres réalise à quel point nous sommes proches d’une désobéissance civile à grande échelle dans ce pays», a affirmé Nigel Farage lors d’une conférence de presse lundi dernier.
Depuis plusieurs mois, Reform UK est en tête des sondages, frôlant les 30% d’intentions de vote en cas d’élection, devant le Labour et loin devant le parti conservateur à 17%, selon une enquête de YouGov parue ce week-end. Les attentes de l’électorat populaire n’ont pas été entendues. Les causes des émeutes de 2024, en tout premier lieu l’incapacité du gouvernement à réduire l’immigration, sont toujours aussi prégnantes.
«Nous ne sommes pas des nazis comme l’autre camp aime à nous appeler, mais des parents inquiets», a aussi expliqué au Times une mère de cinq enfants présente dans la manifestation anti-immigration dimanche. Mais au-delà des manifestants qui habitent le quartier, la mobilisation de groupes d’activistes anti-immigration, notamment sur les réseaux sociaux, est grandissante. «Les franges les plus extrêmes et les plus militantes sont de mieux en mieux organisées», explique Marc Le Chevallier.
Tommy Robinson, fondateur en 2009 de l’English Defence League (EDL), qui milite contre l’islamisation de la Grande-Bretagne, suivi par 1,3 million de personnes sur X, a soutenu explicitement les manifestations dans la banlieue de Londres. Ci-dessous son film « Silenced », interdit en Grande-Bretagne, qui remet à l’endroit l’histoire d’un jeune migrant Syrien faussement présenté par les médias anglais comme victime de racisme :
«Ne laissez pas les médias grand public contrôler le récit d’Epping. Une communauté est en colère parce que ses enfants sont agressés sexuellement par des envahisseurs que Keir Starmer a installés de force dans leur quartier», a-t-il écrit sur X avant d’annoncer sa présence dimanche, puis finalement d’y renoncer.
Le gouvernement travailliste a réaffirmé sa volonté début juin de mettre fin à l’utilisation très coûteuse des hôtels pour accueillir les demandeurs d’asile qui arrivent sur le territoire britannique. C’était un des engagements du Labour lors des précédentes élections générales. La ministre des Finances Rachel Reeves a promis en juin, dans un discours sur les priorités budgétaires, un milliard de livres d’économies sur le budget alloué aux demandeurs d’asile, en accélérant le traitement des dossiers en attente, ce qui permettra notamment de réduire «l’utilisation coûteuse des hôtels pour (les) loger». Une réduction des coûts de l’immigration n’est pas ce qui est attendue par la population. Laquelle exprime son ras-le bol de l’immigration elle-même.
Il existe actuellement environ 85 tribunaux islamiques au Royaume-Uni, chargés de rendre des décisions religieuses sur des sujets tels que le mariage ou la vie familiale des musulmans. Bien que ces instances soient informelles, elles tendent à se substituer au droit britannique https://fb.watch/B9W_PIHLX0/
Henri Dubost, Riposte Laïque