Articles : Juil. 2025 – Juin 2025 – Mai 2025 – Avril 2025 –
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#webtube : Alors qu’un touriste américain était violemment poignardé au cou par trois jeunes d’origine maghrébine dans le Milanais et qu’une femme subissait un viol particulièrement brutal par deux Marocains de 19 et 39 ans à Rovigo, FS security publiait des données faisant état d’une importante surreprésentation des étrangers dans les agressions à bord des trains et dans les gares d’Italie.
FS security, la branche entièrement dédiée à la sécurité des trains, des gares, des employés de la compagnie nationale des chemins de fer italienne, a enregistré, du 1er janvier au 5 juillet 2025, plus d’une agression par jour dans le secteur ferroviaire. Et les données confirment « le ressenti » d’un nombre toujours croissant de personnes :
sur les 154 auteurs d’agression arrêtés par les forces de l’ordre, 122 sont étrangers (79%) et 32 ont la nationalité italienne (21%). Les citoyens italiens, de souche ou d’origine immigrée représentent 91% de la population résidant dans la péninsule, quand les étrangers sont 9% de la population. La propension des étrangers à commettre des agressions y est donc 38,6 fois supérieure à celle des Italiens (de souche ou d’origine immigrée), au regard de leur poids dans la population.
Durant la même période, 135 agressions aux opérateurs ferroviaires ont été recensées : 68 étrangers et 18 Italiens ont été identifiés, tandis que 49 responsables restent inconnus ou introuvables. Pour les 132 voyageurs impliqués dans des rixes ou des saccages, 54 étrangers et 14 Italiens ont été arrêtés.
L’argument fallacieux selon lequel le nombre considérablement plus élevé d’étrangers appréhendés par les forces de l’ordre serait dû à un contrôle plus fréquent ou un délit de faciès est réfuté par les autorités. C’est même plutôt l’inverse qui est vrai : le fait que de nombreux agresseurs ayant pénétré le territoire clandestinement soient sans papier ou adresse identifiable, leur confère l’anonymat et donc une certaine impunité.
Un contrôleur poignardé à la gare de Gênes ©Corriere di Roma
Une impunité qui atteint des sommets en matière de règlement des titres de transport. Une donnée difficilement quantifiable tant les contrôleurs renoncent à verbaliser ou à faire descendre du train les fraudeurs, par crainte d’être agressés mais également parce qu’ils savent que la démarche est vaine : les amendes pour absence de titre de transport sont très rarement payées, et ont très peu de probabilité de l’être lorsqu’il s’agit de clandestins.
Face à cette injustice qui croit proportionnellement aux entrées irrégulières, des citoyens s’arment de courage et commencent à réagir. Dans la vidéo ci-dessous, un homme est venu en aide à une jeune contrôleuse de train qui venait de se faire cracher dessus par un fraudeur. Des images qui peuvent paraître anodines, mais qui se multiplient dans toute la péninsule.
Le métier de contrôleur de train consistant à vérifier les titres de transport des voyageurs, mais aussi à assurer leur sécurité à bord des trains et sur les quais attire de moins en moins les femmes et est en passe de se masculiniser. Étonnamment, la parité tant recherchée par les féministes ne suscite pas beaucoup de controverse dans ce secteur, où le silence semble de mise.
On se demande bien pourquoi.
Audrey D’Aguanno
. La violence des mineurs baisse ? Les médias jouent sur les mots, mais un rapport du Sénat est sans équivoque
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#webtube : Ils sont unanimes. Pour les médias subventionnés, « non, la délinquance des mineurs n’explose pas, c’est même l’exact inverse« . Le thème serait instrumentalisé politiquement par une extrême droite en plein délire sur une « supposée flambée de la violence chez les jeunes« , « qui ne serait pas le reflet de la réalité. » Un peu comme pour l’immigration, les uns campent sur leurs positions en appelant au spectacle de la rue quand les autres pointent du doigt un « sentiment d’insécurité » alimenté par certains médias. Au milieu, peu de chiffres, qui laissent le champ libre à toute sorte d’interprétation.
Car ces chiffres, que disent-ils ? Tout et l’inverse de tout. Et quand ils ne vont pas dans le sens qu’on voudrait leur faire prendre, on les tord ou on joue sur les mots. Un exemple ? « Depuis 2016, le nombre de mineurs poursuivis par la justice a baissé de 25 % », sous-titre Le Monde. Houra ! Ce serait-là la preuve que les petits rejetons qui habitent la France seraient de moins en moins violents. OU BIEN cela peut aussi signifier que les magistrats rechignent à les poursuivre.
Un rapport du Sénat sur la délinquance des mineurs (n. 885, 2021-2022) ne dit pas autre chose :
« De manière assez étonnante, le nombre de mineurs poursuivis
entre 2012 et 2019 diminue en matière d’atteinte aux personnes (- 6,6 %)
alors que le nombre de mineurs mis en cause par les forces de l’ordre
augmente, dans une moindre mesure toutefois que les atteintes aux biens
(- 15 %). Dans les augmentations les plus notables, il faut noter les mineurs
poursuivis pour crime (+ 69 %) et pour infractions à la législation sur les
stupéfiants (+ 87 %) quand ceux poursuivis pour contraventions, infractions
les moins graves, diminuent de près de 48 %. Le nombre de mineurs de
moins de 13 ans diminue en revanche de 28 % sur la même période. »
La baisse célébrée par Le Monde dans son article est pour le moins surprenante puisque le rapport y est cité, le journaliste ne pouvant donc pas ignorer la donnée ci-dessus mentionnée. Malgré cela, il prétend : « Pour autant, la communauté des chercheurs qui travaillent sur la question de la jeunesse et les statistiques officielles se rejoignent pour décrire une réalité identique : non, la délinquance des mineurs n’explose pas, c’est même l’exact inverse« …. sans fournir aucune source pour étayer cette déclaration.
S’il est admis, dans un petit paragraphe et après avoir déclaré que c’est en gros la faute au « sentiment d’insécurité » (1), que « les actes les plus violents chez les mineurs, très minoritaires mais médiatisés, augmentent, eux, assez fortement« , jamais l’article ne l’énonce clairement : la délinquance, à savoir un ensemble d’infractions et de délits, baisse, quand la criminalité, à savoir des crimes plus graves, elle augmente bel et bien. Bref, on joue sur les mots pour faire croire que tout va mieux. L’auteur Grégoire Biseau, insiste même lors d’un podcast sur le thème : « ça va beaucoup mieux, (…) la délinquance des mineurs baisse depuis une quinzaine d’années, c’est un phénomène massif, le signe que la société s’est apaisée. » On se demande un peu comment, avec des violences contre les personnes en forte augmentation – ce qu’il admet lui-même – on peut en arriver à affirmer que la société s’est apaisée…
Eric Dupond-Moretti, alors ministre de la Justice, évoquait quant à lui, non pas une baisse mais une stabilité de la délinquance juvénile :
«Les chiffres sont clairs, la délinquance des mineurs n’a pas augmenté dans notre pays depuis dix ans»
Mais le rapport du Sénat est clair : cette stabilité est due à la baisse des atteintes aux biens compensée par une hausse des atteintes aux personnes :
« Si le ministère [de l’Intérieur] constate, sur la période 2016-2019, une stabilité
globale des mineurs mis en cause par les forces de sécurité, celle-ci
s’explique par une hausse des atteintes aux personnes, compensée par une
baisse des atteintes aux biens. Ainsi, les coups et blessures sur personnes de
moins de 15 ans ont augmenté de + 12,4 %, les violences sexuelles sur
majeurs de + 42,8 % et sur mineurs de + 28,3 %. »
Les données sont certes sensibles, difficiles à exploiter tant les rapports, les études, les comptes-rendus se contredisent. Mais on voudrait comprendre par quel miracle, une baisse de la violence des jeunes pourrait-elle avoir lieu. Par quelle magie, la violence des mineurs peut-elle baisser dans un pays rongé par le trafic de drogue, où les institutions ne sanctionnent plus par choix idéologique et saturation des tribunaux, où les services d’aides à l’enfance sont démunis quand ils ne sont pas carrément pourris jusqu’à la moelle, où la pornographie et les sévices les plus extrêmes sont à portée de clic ? Sans parler de l’arrivée ou de la permanence sur nos territoires emprunts de tolérance et « d’état de droit », d’enfants provenant d’autres cultures hyper-répressives.
Mais on ne saurait toujours leur donner tort. La violence chez les mineurs, si elle ne diminue certainement pas, n’est pas nouvelle. Depuis des décennies nos contemporains se prennent des coups de lame pour un regard, une cigarette ou un portable. Et persister dans la négation est une insulte à toutes les victimes d’agressions de rue qui pourrissent le quotidien des Français.
Audrey D’Aguanno
(1) citant Fabien Jobard, chercheur en sociologie : « Plus un phénomène social se raréfie, plus les formes de subsistance du même phénomène sont susceptibles de susciter une forte indignation dans l’opinion publique. »
Breizh-info.com
. À Argenton-sur-Creuse, l’agenda migratoire va bon train au nom de l’intégration
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#webtube : Le 4 juillet, la mairie d’Argenton-sur-Creuse (Indre) a signé avec la préfecture le premier contrat territorial d’accueil et d’intégration (CTAI) du département. Ce dispositif, financé par l’État, vise à accompagner l’installation durable de réfugiés dans la commune. Derrière les discours sur la « cohésion sociale » et le « vivre ensemble », c’est une nouvelle étape du déploiement migratoire dans les campagnes qui se met en place, avec l’aval de la mairie socialiste… et du ministère de l’Intérieur.
« Jamais assez »
Avec ses 4.500 habitants, Argenton-sur-Creuse accueille déjà deux centres d’hébergement pour demandeurs d’asile : l’un dans le quartier du Merle Blanc, l’autre, plus récent, face à la gare. Ce dernier héberge les migrants initialement destinés à Bélâbre, commune voisine où l’installation d’un centre avait été suspendue après une vive opposition locale. « Ironie cruelle », commente Me Pierre Gentillet, pour qui ces gens « n’en auront jamais assez ». Car non seulement le projet n’a pas été abandonné, mais il a été déplacé au cœur même d’une commune déjà largement sollicitée.
Pour structurer cet accueil, la municipalité vient de signer avec la préfecture de l’Indre un contrat territorial d’accueil et d’intégration (CTAI), financé par l’État jusqu’à 20.000 euros. Le dispositif, décliné en fiches-actions (cours de langue, accompagnement professionnel, mobilité…), vise à « adapter la réponse aux besoins spécifiques des réfugiés souhaitant s’installer durablement sur la commune ».
Officiellement, la municipalité évoque l’accueil de « 5 ou 6 personnes ». Mais auprès de La Nouvelle République, le maire Vincent Millan est plus direct : selon lui, Argenton-sur-Creuse « peut accueillir jusqu’à une centaine de personnes ».
Un passage en force
« Jamais consultés, toujours submergés », résume Pierre Gentillet, qui connaît bien cette ville où il a grandi. Mais il ne semble pas être le seul à se montrer réticent au projet. Lors du dernier conseil municipal datant du 20 juin dernier, un élu d’opposition s’est fait l’écho des plaintes de riverains du Merle Blanc, où les nuisances liées à l’arrivée des migrants sont devenues suffisamment notables pour que le quartier soit rebaptisé par certains « le Merle Noir ». Réponse de la majorité : « À chaque fois qu’il y a un problème, la commune s’en saisit. Ça marche ou ça marche pas… » De toute façon, affirme-t-elle, « les problèmes, il y en aura toujours », mais la faute au racisme et au trop de questionnement des habitants, selon elle. Le témoignage d’une élue insultée et importunée par ses voisins ne semble d’ailleurs pas l’émouvoir davantage. Il faut dire que l’État est de son côté.
Dans ses communications officielles, la Délégation interministérielle à l’accueil et à l’intégration des réfugiés (DIAIT) se félicite de ces nouveaux contrats, déjà expérimentés dans 22 territoires. Une première évaluation, relayée par l’OCDE, recommande leur généralisation. Autrement dit, les CTAI ne sont qu’une première étape.
Une mécanique bien huilée
Ces conséquences, Pierre Gentillet les connaît. « On connaît l’issue de la recette, déplore-t-il auprès de BV. Il y a peu de chance pour que les mêmes causes produisent des effets différents : ces politiques finissent toujours par transformer les petites villes en cités de banlieues. »
Peut-être vous souvenez-vous de Bélâbre, cette petite commune du Berry (Indre) où nous nous étions mobilisés contre l’installation d’un centre pour migrants. Grâce à cette mobilisation, le projet avait été suspendu.
— Pierre Gentillet (@Pierre_GTIL) July 16, 2025
Mais aujourd’hui, c’est à Argenton-sur-Creuse, commune de mes… pic.twitter.com/bjoqpegpGX
À ce sujet — Bélâbre (Indre) : le projet de CADA bientôt enterré ?
D’une commune à l’autre, le même scénario se rejoue. Et l’enthousiasme flamboyant de la municipalité ne suffira pas à masquer ce qui s’apparente de plus en plus à un passage en force.
Alienor de Pompignan, dans BV
. Limoges et Compiègne : les derniers signes de la guerre civilisationnelle
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#webtube : Il faut savoir regarder les choses en face, sans les affadir sous le vocable commode de faits divers. Les flammes qui ont embrasé Limoges et Compiègne ne sont pas de simples étincelles allumées par l’ennui ou la misère ; elles sont les torches brandies par des mains qui défient la Cité elle-même. Là-bas, ce ne sont pas seulement des vitrines qui volent en éclats, ce sont les vitres mêmes de la Maison France qui se brisent sous les coups.
Car enfin, que voyons-nous ? Non point des citoyens en révolte contre l’impôt ou la disette, comme jadis les foules de nos campagnes, mais des bandes hostiles aux uniformes, aux drapeaux, aux pierres mêmes qui portent nos armoiries. On ne s’en prend plus seulement aux agents de la paix publique, mais à la Police comme incarnation de l’État. On n’insulte plus un homme en képi, on crache sur l’uniforme comme sur un symbole. Le feu prend à la caserne, au commissariat, à la mairie. Ce n’est pas un hasard : c’est un choix.
Et dans ce tumulte, quels emblèmes s’élèvent ? Non pas la bannière tricolore, celle qui unit dans son pli la mémoire des provinces et le sang des héros. Non : d’autres couleurs claquent au vent. L’étendard algérien, l’oriflamme palestinienne se font voir au cœur même de nos villes, tandis que les trois couleurs de la République sont arrachées, brûlées, piétinées. Nulle ambiguïté : ces gestes signifient qu’on refuse d’être de France et qu’on revendique d’autres allégeances. Voilà bien ce qui donne à ces émeutes leur caractère tragique et neuf : ce ne sont pas seulement des désordres, ce sont des proclamations.
On dira encore qu’il s’agit de jeunes perdus, livrés à eux-mêmes. Mais qu’on y prenne garde : l’usage concerté des réseaux sociaux, l’appel organisé, la géographie précise des attroupements, tout cela désigne moins une explosion spontanée qu’une entreprise. Ces bandes n’errent pas au hasard : elles occupent, elles chassent, elles signalent par l’incendie que tel quartier n’est plus sous l’empire français mais sous leur loi. Elles s’installent dans la logique du défi territorial.
On se tromperait lourdement en enfermant ces événements dans les catégories commodes de l’assistance sociale et de la réforme urbaine. Il ne s’agit plus seulement de réparer des toits ou de bâtir des gymnases. Il s’agit de restaurer l’âme même du pays. Car ce que ces drapeaux étrangers dressés contre la nôtre proclament, c’est la négation de la France comme civilisation. C’est notre langue qu’ils bafouent, nos morts qu’ils insultent, nos lois qu’ils rejettent.
Devant cela, il ne suffit pas de gémir ni de promettre de nouvelles aides. Il faut rappeler ce que nous sommes : un peuple, une histoire, un État. L’émeute de Limoges et celle de Compiègne ne sont pas deux accidents locaux ; elles sont les symptômes d’un affrontement plus vaste, d’une lutte sourde qui se livre sur notre sol entre ceux qui veulent continuer la France et ceux qui entendent la dissoudre.
Voilà pourquoi, au-delà des larmes et des discours, il faut que la France retrouve sa voix ferme, sa volonté souveraine et son courage d’hier. Car, sans cela, ce ne seront plus seulement des drapeaux ennemis qui flotteront sur nos rues, mais d’autres lois, d’autres mœurs, d’autres maîtres. Et alors, ce ne seront plus des émeutes : ce sera la fin.
Jean-Jacques Fifre, Riposte Laïque
https://www.bvoltaire.fr/limoges-nuit-de-guerilla-urbaine-le-maire-denonce-un-plan-structure
. La France de la méritocratie de Sarah Knafo et celle de la magouille de Najat Belkacem…
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#webtube : Sarah Knafo s’est attirée les foudres de toute la gauche, et principalement d’une obscure avocate lilloise, par ailleurs conseillère régionale socialiste. Quel crime a donc commis le député Reconquête ? Elle a osé, comme des millions de Français, s’indigner de la République des Coquins et des copines, et démontrer que Najat Belkacem n’avait aucune compétence particulière pour siéger à la Cour des Comptes.
Najat Vallaud-Belkacem est nommée conseillère maître (le plus haut grade) à la Cour des comptes.
— Sarah Knafo (@knafo_sarah) July 17, 2025
Pourquoi ? Quelles compétences pour mériter d’entrer dans cette si belle institution ? Quel concours ? pic.twitter.com/oy4KpLDxj3
Cela lui a naturellement valu les qualificatifs habituels, et le coup du racisme, ben voyons, comme dirait son compagnon Eric Zemmour. Mais il se trouve que Sarah Knafo n’est pas du genre à subir les injures de ses adversaires sans y répondre, toujours avec un joli sourire, mais avec des arguments et des exemples qui font mouche.
La bourgeoise, comme vous dites, a grandi en Seine-Saint-Denis, mais a travaillé dur pour réussir les concours que votre copine pistonnée n’a pas eus. C’est ce qui m’a permis d’entrer à la Cour des comptes sans l’intervention du Premier ministre.
— Sarah Knafo (@knafo_sarah) July 18, 2025
« L’expertise en politique… https://t.co/Had1yx4Blg
Finalement, si Sarah Knafo était une Najat Belkacem bis, elle n’aurait rien foutu à l’école. Elle se serait déclarée de gauche, parce que, bien que n’en ayant rien à foutre, c’est l’air du temps, et plus facile pour faire carrière. Juive, elle se serait plaint, comme BHL l’a fait toute sa vie, du racisme des Français et leur aurait demandé des excuses pour Pétain, en les qualifiant de vichystes. Elle aurait été élue conseillère régionale, serait devenue macroniste de gauche, et porte-parole d’un ponte du parti. Bien sûr, elle aurait couché utile, ce qui n’empêche pas d’épouser un futur ponte du parti, ainsi que tous les combats sociétaux de l’époque. Elle aurait gémi contre les Français sexistes, sans jamais rien dire contre les agressions des Africains, et aurait défendu le mariage LGBT tout en enseignant aux élèves que « Papa porte une robe ». Bien sûr, elle aurait demandé l’abolition des frontières, la libre entrée en France et la régularisation de tous les sans-papiers, l’interdiction de tous les sites « d’extrême droite » et des moyens supplémentaire pour lutter contre la haine !
Et comme il aurait fallu une juive de service au gouvernement, on l’aurait collée à l’égalité femmes-hommes, puis à l’Education nationale, bien que faisant trois fautes d’orthographe par ligne. Ensuite, vue sa nullité professionnelle, on l’aurait bombardée dans l’associatif, avant de la planquer à la Cour des Comptes, bien qu’elle ne sache pas davantage compter qu’écrire ! Et elle aurait traité d’antisémite tous ceux que cela indignait.
Mais Sarah Knafo est juive, amoureuse de la France, elle défend le droit d’Israël à exister, et à se défendre contre les islamistes, elle veut en finir avec l’Etat tentaculaire qui ruine les Français à cause de ses dépenses nuisibles et inutiles, elle veut construire 100.000 places de prison, parce qu’elle en a marre que des racailles multirécidivistes soient en liberté, et égorgent les nôtres. Et elle veut procéder à la remigration massive de ceux qui n’ont rien à faire en France, et que notre pays retrouve sa grandeur.

Et en plus, c’est une bête de travail, le fruit de la méritocratie républicaine, et elle ne doit sa réussite qu’à elle-même, et pas aux magouilles.
Bref, dans le langage de la parasite incompétente Najat Belkacem, c’est une raciste haineuse élitiste sioniste génocidaire d’extrême droite, et même une nazie bien que juive…
CYRANO, Riposte Laïque