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#webtube : Brigitte est-elle un homme ? Ce 10 juillet, les juges reconnaissent le droit aux Français de le constater.
💬 "Je ne suis pas d'accord avec cette décision"
— BFMTV (@BFMTV) July 10, 2025
Jean Ennochi, avocat de Brigitte Macron, réagit à la relaxe prononcée en appel pour les prévenues jugées pour diffamation envers l'épouse du président de la République #BFM2 pic.twitter.com/zIMwYvolb0
La cour d’appel de Paris a relaxé ce jeudi 10 juillet deux femmes qui avaient propagé la rumeur sur internet selon laquelle Brigitte Macron était une femme transgenre, une infox devenue virale jusqu’aux États-Unis. Les deux prévenues, Natacha Rey et Amandine Roy, ont été relaxées concernant 18 articles mis en cause par Brigitte Macron et son frère.
“femme transgenre”, ça n’existe pas.
Le Figaro, le journal de la droite libérale, sombre en plein wokisme.
Seul un passage faisant référence à un détournement de mineur entrait dans le champ d’application de la loi sur la presse mais la cour a également prononcé une relaxe, cette fois au bénéfice de la bonne foi. «Je vais voir avec mes clients ce que nous allons faire mais bien évidemment, nous ne sommes pas d’accord» avec ce jugement, a insisté Me Jean Ennochi, l’avocat de la première dame.
«Natacha Rey, pourchassée, persécutée, condamnée. Mais finalement Natacha Rey relaxée», s’est, de son côté, félicité son avocat, Me François Danglehant à la sortie de la salle devant une trentaine de soutiens de la jeune femme.
En première instance, en septembre dernier, Natacha Rey et Amandine Roy avaient été reconnues coupables et condamnées à une amende de 500 euros avec sursis, ainsi qu’à payer un total de 8000 euros de dommages et intérêts à Brigitte Macron, et 5000 euros à son frère Jean-Michel Trogneux, tous deux parties civiles au procès.
Au cœur de cette affaire, une infox resurgissant régulièrement sur les réseaux sociaux depuis l’élection d’Emmanuel Macron en 2017, selon laquelle Brigitte Macron, née Trogneux, n’aurait jamais existé, mais que son frère Jean-Michel aurait pris cette identité après avoir changé de sexe.
La fausse information s’était exportée – notamment et encore récemment aux États-Unis, où elle est devenue virale à l’extrême droite, en pleine campagne présidentielle.
Plusieurs femmes politiques dans le monde ont déjà fait les frais d’infox à caractère transphobe, comme l’ex-Première dame des États-Unis Michelle Obama, l’ex-vice-présidente américaine Kamala Harris ou l’ancienne Première ministre néo-zélandaise Jacinda Ardern.
En quoi est-ce “faux” ?
Le Figaro ne le dit pas.
La seule façon de le prouver serait pour Jean-Michel de montrer ce qu’il a sous sa jupe.
D.P.
. Centre de rétention pour étrangers : le séjour passe de 90 à 210 jours
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#webtube : Une avancée, en mémoire du meurtre de Philippine ; une goutte d’eau, dans l’enfer migratoire français. En cette fin de session parlementaire, après la loi Duplomb et ses enjeux pour l’agriculture, le Parlement vient de terminer l’examen de la loi permettant l’allongement jusqu’à 210 jours de la durée de rétention d’étrangers en passe d’être expulsés et jugés dangereux. Jusqu’ici, seules les personnes ayant été condamnées pour terrorisme pouvaient être détenues dans les centres de rétention administrative (CRA) sur cette durée. Dans les autres cas, une rétention ne pouvait dépasser 90 jours. Désormais, cet allongement concernera notamment les étrangers dont le « comportement constitue une menace d’une particulière gravité pour l’ordre public » et ceux condamnés pour des crimes ou délits graves (meurtre, viol, trafic de stupéfiants…). Sont aussi visés ceux frappés d’interdiction du territoire français (ITF) ou d’une mesure d’expulsion.
Une loi provoquée par le meurtre de Philippine
Cette loi signée de la sénatrice Les Républicains du Val-d’Oise, Jacqueline Eustache-Brinio, a été rédigée après le meurtre de Philippine. La jeune fille de 19 ans était retrouvée morte, enterrée après avoir été violée, dans le bois de Boulogne en septembre 2024. Son meurtrier, un marocain sous OQTF, venait d’être relâché de son centre de rétention. L’homme avait déjà été condamné par la Justice, en 2021, à sept ans de prison pour le viol d’une femme de 23 ans dans le Val-d’Oise. Il ne fit, en réalité, que trois ans. À sa sortie d’incarcération, l’homme est placé en CRA afin d’être renvoyé au Maroc. Problème : son autorisation d’expulsion doit être validée par les autorités marocaines, qui traînent. Résultat : le délai maximum de détention en centre arrive à échéance et l’individu est relâché dans la nature. Le lendemain, le Maroc répondait enfin, Mais il est trop tard. Seize jours plus tard, la jeune Philippine était arrachée aux siens, sauvagement assassinée par un individu qui non seulement n’aurait jamais dû se trouver sur le sol national, mais encore moins libre de ses faits et gestes.
Les parents de Philippine ont assisté aux débats
C’est dans ce contexte révoltant que les sénateurs votaient, ce mercredi 9 juillet. La veille, il était approuvé par les députés. Le ministre de l’Intérieur a défendu vigoureusement ce texte et s’est réjoui de son adoption, évoquant une « avancée majeure », sur X : « C’est une loi qui peut sauver des vies, née d’un drame, en mémoire de la jeune Philippine. »
À ce sujet — 690 euros par jour : le coût faramineux de l’immigration clandestine
Un examen de la loi qui s’est déroulé en de poignantes circonstances. En effet, à l’Assemblée, Loïc et Blandine Le Noir de Carlan, les parents de Philippine, ont tenu à assister à l’intégralité des débats. Dans l’Hémicycle, assistant aux séances houleuses, ils ont subi les inepties indécentes d’une gauche qui, comme à son habitude, a dénoncé un texte « raciste » et « xénophobe », à l’image du locataire de la Place Beauvau. Dans un communiqué, ils se sont exprimés après l’adoption de la loi : « Nous ne cessons de penser à Philippine, qui nous a été enlevée le 20 septembre dernier. Elle a subi un calvaire avant d’agoniser dans la souffrance et l’angoisse. Sa vie lui a été arrachée à Paris en pleine journée, par un individu qui n’aurait pas dû se trouver sur son chemin. » Ils ont souhaité « rendre hommage » au député Les Républicains Olivier Marleix, rapporteur du texte, disparu subitement le 7 juillet, « qui a tant œuvré pour que [la loi] soit votée ». « La violence et la brutalité dont a été victime Philippine devraient mener à un consensus sur la nécessité d’assurer la sécurité de tous et partout », ont-ils ajouté.
Une goutte d’eau dans l’océan
Si la mesure peut légitimement rassurer les familles des victimes, il est tout de même sidérant que notre Parlement en soit réduit à débattre de l’allongement à 210 jours du délai de rétention en CRA pour les individus dangereux et sous obligation de quitter le territoire. Une mesure rendue nécessaire par le refus des pays d’origine de reprendre leurs ressortissants. Ce coût représente pour la nation une fortune : une journée en CRA coûte environ 700 euros par jour et par détenu. Or, un séjour moyen se prolonge autour de 25 jours. Avec plus de 45.000 personnes placées en CRA tous les ans, le coût de cette détention dépasse les 800 millions d’euros chaque année.
« La première rétention, c’est la frontière, sans laquelle on pourra toujours indéfiniment multiplier les places en centre de rétention », a affirmé, pendant les débats, le sénateur de Marseille Stéphane Ravier. Si les fondamentaux de la politique migratoire française n’évoluent pas radicalement (droit du sol, regroupement familial, frontières, aides sociales, aide médicale, etc.), notre pays continuera irrémédiablement à pleurer des victimes et à alimenter le tonneau des Danaïdes.
Yves-Marie Sévillia, dans BV
. Prénoms : Marie et Pierre disparaissent, Mohamed et Ibrahim s’imposent
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#webtube : Le traditionnel classement de l’été vient d’être dévoilé. Ce 9 juillet, l’INSEE a en effet publié sur son site le classement des prénoms les plus donnés en France, en 2024. Au niveau national, aucune surprise. Sur le podium des filles, on trouve ainsi Louise, Jade et Ambre, des prénoms déjà classés dans le Top 5 les années précédentes. Chez les garçons, de même, Gabriel, Raphaël et Louis, prénoms déjà très populaires les années passées, arrivent en tête. Mais à y regarder de plus près, les prénoms donnés aux enfants nés en 2024 en disent long sur le visage de la France. Dans certains départements, Louise et Gabriel laissent ainsi la première marche du podium à Inaya et Mohamed.
Disparition des Marie
Ce n’est pas un phénomène nouveau, mais l’année 2024 vient confirmer la tendance : les Marie n’ont plus la cote. En 2024, seules 530 petites filles ont hérité de ce prénom éminemment catholique. Marie est aujourd’hui relégué à la 96e position du classement. Un siècle plus tôt pourtant, en 1924, le prénom de la Sainte Vierge était attribué à plus de 32.000 fillettes, ce qui en faisait le premier prénom féminin. Et c’était sans compter sur les prénoms composés ! Même constat chez les garçons. Le prénom Pierre est à nouveau totalement absent du Top 100 des prénoms masculins, cette année, tout comme Jean. Et ce, alors même que ces deux prénoms occupaient les première et troisième places du classement en 1924.
La disparition progressive de ces prénoms chrétiens est, comme le souligne Jérôme Fourquet, dans L’Archipel français, « le symptôme d’une prise de distance progressive avec le catholicisme ». Désormais, les Français dans leur grande majorité ne se fient plus au calendrier catholique mais attribuent à leurs enfants des prénoms courts, à la mode et aux sonorités simples.
À ce sujet — Démographie : en Seine-Saint-Denis, les prénoms arabo-musulmans s’imposent
La banlieue face à la France rurale
Face à ce phénomène de décroissance, d’autres prénoms connaissent quant à eux une forte progression : ce sont les prénoms arabo-musulmans. En 2024, dans le Top 100 des prénoms féminins les plus donnés, on trouve désormais plus d’une dizaine de prénoms à consonance arabe. Chez les garçons, ce sont une quinzaine de prénoms communautaires qui y figurent.
Dans certains départements, ces prénoms arabo-musulmans monopolisent même les premières places du classement. Ainsi, en Seine-Saint-Denis, chez les filles, Inaya, Maryam, Fatoumata, Nour, Aminata, Aïcha et Fatima occupent les premières places. Côté garçon, Mohamed, Adam, Ibrahim, Issa, Imran, Isaac, Moussa et Ismaël arrivent en tête. Filles ou garçons, on ne trouve plus un seul prénom français, dans le Top 10 de Seine-Saint-Denis. Dans le Val-de-Marne, Nour et Ibrahim sont plébiscités. Et dans le Val-d’Oise, Inaya et Adam accaparent les premières places. Inaya arrive par ailleurs en tête dans tous les territoires et départements d’outre-mer.
Cette tendance déjà observée les années passées, en Ile-de-France et dans certaines grandes villes, commence à gagner de nouveaux départements. Dans le Var, par exemple, Anna arrivait en tête du classement féminin 2023, suivi de Alba et Giulia. Aucun prénom à consonance arabe ou musulmane n’apparaissait dans le Top 10. Un an plus tard, Inaya et Nour font leur entrée à la sixième position. À Belfort, on trouvait un prénom hébreu parmi les plus donnés à des petites filles nées en 2023. Chez les garçons, Mohamed (3e place) et Ibrahim (8e place) étaient déjà répandus. En 2024, la tendance s’accélère. Inaya et Nour arrivent sur la deuxième marche du podium féminin. Et chez les garçons, on trouve cinq prénoms arabes dans le Top 10. Ces prénoms (Inaya, Ayden ou encore Nour) commencent même à poindre dans la France rurale, comme dans l’Allier ou l’Indre.
Mais dans quelques départements, des Français résistent encore et toujours. C’est notamment le cas en Aveyron, où Julia, Louise, Charlotte et Léonie figurent dans le Top 10 féminin, tout comme Gabriel, Arthur, Jules, Louis, Léon et Paul chez les garçons. Dans le Cantal, le Gers et en Lozère, même constat. Et bien évidemment en Corse, les parents optent surtout pour des prénoms régionaux comme Ange, Lisandru, Ange-Marie et Santu pour les garçons ou Ghjulia, Livia et Anna-Dea pour les filles.
- Clémence de Longraye, dans BV
. Grand remplacement foncier : votre maison est-elle trop grande ?
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#webtube : L’INSEE vient de publier une étude recensant les logements « sous-occupés » en France, c’est-à-dire trop grands pour ceux qui y vivent, selon ses propres critères…. Ce qu’ils veulent, c’est la fin de la propriété privée. Ce dont ils rêvent, c’est d’une société à la chinoise, où tout le monde vit dans 18 m², surveillé, taxé, culpabilisé. L’écologie punitive comme cheval de Troie d’un néo-communisme progressiste.
C’est le rêve humide des technocrates de Bercy et des khmers verts de la planification écologique : fliquer chaque mètre carré, chaque chambre inoccupée, chaque espace vital un peu trop large aux yeux de leur dogme collectiviste. Voilà donc l’ogre bureaucratique qui s’invite dans nos foyers pour compter les pièces, mesurer les mètres et juger – depuis les couloirs feutrés de la technostructure – si nous vivons « trop confortablement ».
On nous dit que c’est pour « optimiser l’usage du parc immobilier ». En novlangue, cela signifie : rançonner les classes moyennes avec un nouvel impôt sur la « sous-occupation » pour mieux financer leur grande lubie : l’accueil sans fin de l’immigration. Car oui, ne soyons pas naïfs : derrière le vernis écologique et humaniste, il s’agit bien d’organiser le Grand remplacement foncier.
Après la voiture, la viande, la cheminée, voilà maintenant que le salon trop vide devient suspect. Le propriétaire devient coupable. Et bientôt, pourquoi pas, contraint d’ouvrir sa porte – sous peine d’amende ou de honte médiatique – à la nouvelle France importée. Une chambre d’ami ? Quelle indécence ! Une pièce vide ? Une trahison républicaine !
Ce qu’ils veulent, c’est la fin de la propriété privée. Ce dont ils rêvent, c’est d’une société à la chinoise, où tout le monde vit dans 18 m², surveillé, taxé, culpabilisé. L’écologie punitive comme cheval de Troie d’un néo-communisme progressiste. Mais qu’on se rassure : leurs palaces, leurs résidences secondaires, leurs duplex parisiens, eux, ne seront pas concernés.
Thomas Joly –Dans Riposte Laïque
. Saint-Quentin (02) : liens avérés entre cas d’E. coli et cinq boucheries halal révèlent un scandale sanitaire
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#webtube : Les premiers résultats, vendredi dernier, avaient permis de révéler des contaminations à la bactérie E.coli dans « plusieurs boucheries » suspectées. « Dans les premiers résultats des analyses obtenues, des traces de contamination ont été détectées dans les viandes ou les surfaces de certaines des boucheries qui ont fait l’objet d’investigation », écrivait la préfecture de l’Aisne. Seul le rayon boucherie de l’Intermarché de Gauchy avait été confirmé sain, il avait donc été réautorisé à rouvrir, les cinq autres boucheries, toutes halal, restant ainsi fermées.
Source base Alim’Confiance / ministère de l’agriculture
E.coli : « Si j’en crois le silence de la préfecture, je pourrais dire qu’il n’y a pas de contrôle sanitaire dans ces trois boucheries à l’origine des contaminations. » explique @EmmanuelLudot pic.twitter.com/43jZIubjLY
— Sud Radio (@SudRadio) July 10, 2025
04/07/2025
Les premiers résultats, vendredi dernier, avaient permis de révéler des contaminations à la bactérie E.coli dans « plusieurs boucheries » suspectées. « Dans les premiers résultats des analyses obtenues, des traces de contamination ont été détectées dans les viandes ou les surfaces de certaines des boucheries qui ont fait l’objet d’investigation », écrivait la préfecture de l’Aisne. Seul le rayon boucherie de l’Intermarché de Gauchy avait été confirmé sain, il avait donc été réautorisé à rouvrir, les cinq autres boucheries, toutes halal, restant ainsi fermées.
Il restait à confirmer le lien entre les contaminations découvertes dans ces établissements et les malades. C’est chose faite. Ce mercredi soir, la préfecture de l’Aisne annonce que les premiers résultats des analyses réalisées par séquençage génomique par le laboratoire national de référence (LNR) et le centre national de référence (CNR) de l’Institut Pasteur « apportent la preuve irréfutable d’une correspondance entre les bactéries retrouvées au sein de plusieurs des boucheries ou de la viande qu’elles ont commercialisée et les bactéries retrouvées sur plusieurs malades ».[…]
21/06/2025
Trois nouveaux cas ont été identifiés ce vendredi 20 juin. Parmi ces trois enfants, l’un réside dans l’agglomération de Saint-Quentin, où sont survenus les premiers cas, et un autre réside dans la Marne mais a consommé de la viande issue d’une boucherie saint-quentinoise dont l’activité a été suspendue par la préfecture. “Un dernier cas est en cours d’investigations”, précise la préfecture. (…)
Vendredi matin, la préfecture avait annoncé la fermeture administrative de deux boucheries de la commune, suspectées d’être à l’origine de la contamination. Ce vendredi soir, deux nouveaux établissements s’ajoutent à la liste, sans fermeture à ce stade. “Les investigations sont élargies à de nouveaux établissements dans lesquels des prélèvements ont été réalisés”, explique la préfecture de l’Aisne.
Les boucheries concernées sont les suivantes :
- “La Direction”, boulevard Henri Martin : fermée
- “Family”, boulevard Gambetta : fermée
- “El Baraka”, avenue Robert Schuman : ne plus consommer les denrées achetées
- “La Fayette”, rue Raspail : ne plus consommer les denrées achetées


20/06/2025
L’activité de deux boucheries de Saint-Quentin a été suspendue préventivement dans l’attente du résultat des analyses des prélèvements effectués et de la poursuite des investigations auprès des familles des malades ainsi que des enquêtes de traçabilité.
La préfecture de l’Aisne annonce la fermeture administrative de deux boucheries de Saint-Quentin : huit enfants malades ont consommé de la viande de ces magasins avant leur intoxication alimentaire, une fillette est décédée. Des résultats d’analyses sont attendus pour le début de semaine.
Il s’agit de la boucherie “La Direction”, boulevard Henri Martin : cinq enfants malades ont consommé des produits de ce commerce ; et de la boucherie “Family”, boulevard Gambetta, un enfant a consommé des aliments de cette boutique. “Des prélèvements ont été effectués afin de rechercher la bactérie en cause. Une enquête relative à la traçabilité des viandes utilisées sur ces deux établissements est en outre engagée”, écrit encore la préfecture de l’Aisne. Elle ajoute que les résultats sont attendus pour le début de la semaine du 23 juin.
En ce qui concerne la fermeture administrative de ces deux boucheries, elle “est motivée par le risque de persistance d’une contamination bactérienne des locaux, des équipements et matériels ou des produits pendant plusieurs semaines et par l’urgence à agir au regard de la gravité des symptômes observés dont un décès, détaille la préfecture de l’Aisne. La réouverture est conditionnée aux résultats des investigations et à l’évolution rassurante de la situation épidémiologique”.
Par précaution il est demandé de ne plus consommer les aliments achetés dans ces deux établissements : les deux gérants rappellent des denrées vendues entre le 1er et le 8 juin : “si vous avez acheté des merguez, saucisses et viandes d’agneau sur cette période dans ces deux établissements, il ne faut pas les consommer”.
Agence Régionale de Santé des Hauts-de-France