. Contre l’insécurité, Mathilde Panot ( LFI) a la solution : désarmer la police !


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#webtube : E. Philippe et G. Darmanin dénoncent les propos de l’élue. Et, demain comme hier, favoriseront LFI pour “faire barrage”. L’inénarrable Mathilde Panot, députée LFI, est encore arrivée à surprendre. Dimanche 6 Juillet, ses propos sur la police ont sidéré. Sur BFM TV, la fidèle de Jean-Luc Mélenchon a plaidé pour le désarmement des polices municipales, désirant, au « niveau national », leur « réintégration à la police nationale avec de la police de proximité ». L’élue du Val-de-Marne s’est aussi exprimée en faveur de la suppression de la vidéosurveillance : « Je ne suis pas favorable à ce qu’on mette des caméras de surveillance partout, qui n’ont jamais prouvé leur utilité. » Elle s’est insurgée contre les « surenchères » sécuritaires, les « opérations Place nette », en dénonçant l’échec de ces méthodes. La France insoumise ne nous étonne plus guère, mais tout de même. En pleine explosion de l’insécurité, de l’ensauvagement de la société, des actes et de la menace terroriste, cette figure politique d’extrême gauche estime que la hausse de l’insécurité est la preuve que la méthode forte ou préventive n’est pas la bonne. Il vaut mieux, semble-t-il, laisser les délinquants œuvrer en tout impunité.

« La gauche sans le peuple »

Des propos auxquels la classe politique n’a pas manqué de réagir, y compris du côté de Gérald Darmanin et d’Édouard Philippe. « Traduction : avec cette gauche, vous n’aurez plus le droit à la sécurité. La gauche sans le peuple », a réagi, sur X, le ministre de la Justice. Curieux lorsque l’on sait qu’aux dernières législatives en 2024, ce dernier, appartenant à la majorité présidentielle, a bénéficié du barrage républicain qui a porté à l’Assemblée nationale une délégation massive de parlementaires LFI, à la surprise générale. Le désistement du candidat LFI a permis à Gérald Darmanin de l’emporter dans sa circonscription à Tourcoing (Nord). Parallèlement, des désistements par dizaines de candidats d’Ensemble pour la République (la coalition présidentielle) ont provoqué la victoire des candidats LFI dans leur duel face au Rassemblement national et ont favorisé, ainsi, la constitution totalement inespérée d’un groupe de 71 députés LFI.

Dénoncer LFI pour mieux s’allier ensuite

De son côté, l’ancien Premier ministre, qui ne cache pas ses ambitions présidentielles, réagissait aux propos de Mathilde Panot par ce trait d’humour, s’il en est : « Aux électeurs de ne pas tomber dedans. » Une remarque que n’a pas manqué de relever le RN. « C’est l’hôpital qui se fout de la charité », a répondu Guillaume Pennelle, candidat mariniste malheureux battu par sa rivale mélenchoniste au second tour grâce au retrait du candidat Horizons, le parti que préside Édouard Philippe. Est-il utile de rappeler, par ailleurs, qu’Édouard Philippe faisait élire dans sa circonscription du Havre un candidat communiste pour barrer la route au candidat RN ? Dans la même veine, les propos d’Olivier Faure ne passent pas inaperçus. « Je ne me mettrai pas derrière un maire insoumis qui annoncerait qu’il va supprimer la vidéoprotection ou qu’il va supprimer l’armement des policiers (municipaux), cela n’a aucun sens… Comment peut-on même l’imaginer ? », a indiqué, sur France Info, le Premier secrétaire du Parti socialiste. Lorsqu’il s’agit de constituer une coalition électorale comme le Nouveau Front populaire en 2024, Olivier Faure avait moins de pudeurs.

Du côté des Républicains, le maire de Cannes n’a pas caché son indignation : « Comment quelqu’un qui n’a jamais rien dirigé, rien décidé, rien affronté sur le terrain prétend-il vouloir imposer aux maires ce qu’ils devraient faire ou pas […] ?, commente, sur X, David Lisnard. Et comment être à ce point déconnectée de la réalité ? À moins que cela ne soit que l’expression de l’idéologie de cette gauche extrême qui préfère le casseur au policier. »

. Villes les plus criminelles d’Europe : sept communes françaises dans le Top 20


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#webtube : En matière de criminalité, la France sort du lot. Une victoire dont la population se serait bien passée… Sept sur vingt. Ce n’est pas une note du baccalauréat ou du brevet des collèges, mais le nombre de villes françaises citées dans le classement Numbeo des « vingt villes les plus criminelles d’Europe à la mi-2025 ». Un score effrayant.

Seule satisfaction : le leader de ce classement n’est pas français mais britannique. Il s’agit de la commune de Bradford, située dans l’ouest de l’Angleterre. Elle est dirigée par Mohammed Shafiq, du Parti travailliste. Elle doit cette première place à un taux de criminalité de 67,05 %.

À ce sujet — Marseille : l’influenceuse Soraya victime d’un violent home-jacking

Champion, mon frère !

Marseille suit de très près, avec un taux de 65,31 %. Un résultat qui n’étonne pas Rudy Manna, policier dans la cité phocéenne : « C’est cohérent. On a des trafics de stupéfiants, le développement du Ubershit, 49 morts par règlements de comptes en 2023 et 25 en 2024, on est confronté au quotidien à des violences… » Il revient également sur une récente et sordide affaire de home-jacking, une autre preuve de l’ensauvagement marseillais : « À Marseille, on a aussi cette influenceuse qui s’est fait massacrer. » Il fait référence à Soraya Riffy. Un brin fataliste, il conclut : « On n’est pas dans la folie, avec ce palmarès. Quand on vit ici, on sait. »

Les autres villes françaises classées sont : Grenoble (5e), Montpellier (6e), Nantes (9e), Paris (10e), Lyon (11e) et Nice (13e). Toutes, hormis Nice (quoique), sont des villes de gauche, soit socialistes, soit écologistes. Il s’agit évidemment d’un hasard. Le fait qu’Éric Piolle (EELV) se moque éperdument de l’insécurité qui règne à Grenoble ou que Johanna Rolland (PS) refuse catégoriquement d’armer les policiers municipaux nantais n’a, bien sûr, aucun lien avec les résultats de ce classement… Si combattre l’insécurité permettait de réduire le nombre de crimes et délits commis, cela se saurait.

Cette concordance entre la couleur politique de l’édile et la criminalité de la ville est une coïncidence mais pas une exception française. Les cinq villes anglaises du classement sont aussi toutes gouvernées par des personnalités du Parti travailliste, de gauche et de centre gauche. Même chose à Liège, ville socialiste qui figure en huitième position du palmarès, ou encore à Malmö, en Suède, et à Amadora, au Portugal. Sur l’ensemble des villes figurant dans cet anxiogène Top 20, dix-sept sont sous la houlette de la gauche locale. Conclusion ?

Les ravages de la gauche ?

Le classement est bidon ! C’est, en tout cas, ce que TF1 s’évertue à expliquer à son public. Sur le site de la première chaîne, un article est consacré au palmarès, ou plus exactement à débiner le palmarès. Premier argument : il a été relayé par un compte « patriote ». Pour la première chaîne si bien-pensante, c’est un critère suffisant pour le mettre hors jeu, mais pour être sûre qu’aucune brebis ne s’égare, elle enfonce le clou. Cela commence avec un énigmatique et dramatique « Ce site n’est pas inconnu de notre service »TF1 explique ensuite que la méthodologie de Numbeo se base sur les sondages des visiteurs de son site et, donc, qu’elle « n’a aucune valeur scientifique ».

La méthode peut en effet être critiquée puisque, étant participative, elle ne prend pas le pouls d’un échantillon représentatif de la population. Pour autant, les résultats sont en cohérence avec les données publiées par le Service statistique ministériel de la sécurité intérieure (SSMSI) en matière de délinquance.

Preuve que la perception des personnes vivant dans ces villes n’est peut-être pas très éloignée de la réalité. Concernant Marseille, cité où il est impossible d’aller à la plage après 13 heures, de peur de s’y faire agresser ou voler, où les cambriolages sont légion, où des quartiers entiers sont infréquentables car dirigés par les narcotrafiquants, où plus personne n’ose sortir avec un sac qui ne soit pas en bandoulière, où les personnes âgées se font arracher leurs colliers et autres, la deuxième place de ce classement ne semble pas volée. N’en déplaise à ceux qui refusent d’admettre que la France n’est plus un pays sûr, l’actualité des villes nommées donne aussi très souvent et malheureusement raison à Numbeo.

Sarah-Louise Guille, dans BV

. Macron a tout raté mais il prépare déjà son retour pour 2032


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#webtube : Il ne lâchera jamais prise. Pour les 10 ans des JAM, les Jeunes avec Macron, notre Président a rendu une visite surprise à ses fidèles, pour leur lancer avec une conviction inébranlable : « Je suis venu vous dire que ce n’était pas fini. J’ai encore besoin de vous pour dans deux ans, pour dans cinq ans, pour dans dix ans ! »

Frappé de plein fouet par le virus du pouvoir suprême, Macron ne décrochera jamais. Persuadé que la France a besoin de lui et qu’il est de très loin le Phénix des hôtes de l’Élysée, il fera tout pour revenir afin de poursuivre son entreprise de démolition de la nation, déjà bien malade. La récente nomination du fidèle Richard Ferrand au Conseil constitutionnel peut s’avérer utile…

N’oublions pas que Macron peut démissionner avant la fin de son mandat, ce qui lui donnerait le droit de se représenter en toute légalité en 2027.

Il est le pire de tous mais reste convaincu d’être le Mozart de la politique.

POLITIQUE INTÉRIEURE

Une France ruinée

Macron va partir en laissant une ardoise de plus de 3600 milliards de dettes en 2027.

La dette se sera alourdie de plus de 1300 milliards sous ses deux mandats.

À ce jour, avec 3400 milliards de dettes, chaque citoyen, bébés compris, est endetté de 50 000 euros. Un record inégalé sous la Ve République. Et aucun renversement de tendance ne semble se profiler.

Une France écrasée d’impôts

Nous restons le pays le plus fiscalisé de l’OCDE et le gouvernement va encore charger la barque.

Une France coupe-gorge

– Notre pays est devenu le plus dangereux d’Europe ;

– L’insécurité a été multipliée par 5 depuis 1980 ;

– 3000 agressions gratuites par jour dont seulement 1000 déclarées ;

– 120 attaques au couteau quotidiennes ;

– Les caïds font la loi tandis que le narcotrafic inonde le pays.

Une France qui a perdu le contrôle de son immigration

Les chiffres de 2024 battent tous les records. 500 000 immigrés légaux arrivent chaque année, auxquels il faut ajouter des légions de clandestins et de déboutés du droit d’asile qui ne repartent jamais. Seulement 10 % des OQTF sont exécutées, alors que Macron prétendait viser 100 % d’exécutions.

Une immigration qui coûte 3,4 points de PIB chaque année, soit plus de 100 milliards de PIB perdus à cause d’une immigration sous-qualifiée qui coûte plus cher en social que sa contribution à la richesse du pays. (dernière étude de l’Observatoire de l’immigration et de la démographie).

Une France islamisée qui n’intègre plus

Dès lors que les 3/4 des jeunes musulmans placent leur religion avant la loi républicaine, il est clair que l’intégration ne se fait plus et que l’État a perdu le contrôle de la situation.

POLITIQUE ÉTRANGÈRE

Le domaine réservé du Président se solde par un fiasco absolu de A à Z. Louvoiements, contradictions, incohérences, doublées d’un ego démesuré ont rendu la politique de Macron illisible. Plus personne n’écoute la voix de la France.

Russie

Parler de paix avec Poutine, tout en envoyant nos canons Caesar à Zelensky, c’est du « en même temps » qui ne passe pas auprès du Tsar. Après l’humiliation de la grande table, Macron se pose en pire ennemi de Poutine. Cet entêtement de Macron nous a coûté des dizaines de milliards (soutien bilatéral et européen à l’Ukraine), alors que Bayrou cherche désespérément 40 milliards d’économies.

Afrique

Un chapelet de désastres sans fin. Centrafrique, Burkina Faso, Cameroun, Niger, Mali, Sénégal, Tchad, partout la France est devenue indésirable.

Arrogance, condescendance, mépris, ego démesuré, mauvais choix  et méconnaissance totale de l’histoire coloniale et des mentalités africaines ont eu raison de notre politique en Afrique.

Mais comme toujours, Macron n’a jamais tort. Ce sont les autres qui ne comprennent rien.

Algérie

Depuis « la colonisation crime contre l’humanité » de 2017, huit ans de repentance et de soumission n’ont fait qu’attiser la haine d’Alger à l’égard de la France. Plus Tebboune nous humilie, plus Macron accorde des visas et ouvre des consulats algériens en France (22 au total !). Macron, otage de l’immigration, refuse toute fermeté. Il craint par-dessus tout l’embrasement des cités en cas de rupture avec Alger. Tel est le résultat de 40 années d’immigration incontrôlée. Boualem Sansal, littéralement abandonné par Paris, paie au prix fort cette lâcheté de l’Élysée.

Liban

Son ingérence dans les affaires intérieures du Liban, en copinant avec le Hezbollah, a été un désastre.

Gaza

Macron est passé de la coalition anti-Hamas à la reconnaissance unilatérale d’un État palestinien à la tribune de l’ONU. Projet abandonné suite au conflit Israël/Iran. Un bel épisode de en même temps. Et encore un dossier pour lequel Macron est l’otage des immigrés. Avec un nombre de musulmans 15 fois supérieur à la communauté juive de France, il se positionne contre Netanyahou.

Iran

Macron a joué la carte diplomatique du début à la fin, donnant tort à Israël pour son offensive contre le nucléaire iranien et le régime des mollahs. Mais en stoppant Netanyahou dans son élan et en sauvant le régime de Téhéran, les artisans de la solution diplomatique n’ont rien réglé. Le nucléaire est toujours là et la menace terroriste contre Israël toujours présente.

Bilan de huit années de pouvoir du banquier Macron

Tous les pays d’Europe diminuent leur endettement, sauf la France, qui va finir par passer sous la tutelle du FMI.

Les Français ne travaillent plus pour augmenter leur niveau de vie mais pour payer les intérêts de la dette à nos créanciers, étrangers pour la plupart.

Les intérêts engloutissent 2 points de PIB alors que la croissance est inférieure à 1 %.

Et comme la dette augmente, cette charge va passer à 3 ou 4 points de PIB dans le futur.

C’est déjà insoutenable, ce sera le terminus pour la France.

(certains exemples sont tirés du JDNews n°42)

Jacques Guillemain, Riposye Laïque