Articles : Juil. 2025 – Juin 2025 – Mai 2025 – Avril 2025 –
Facebook : https://www.facebook.com/profile.php?id=100069673161887 Twitter : https://twitter.com/OrtfNews Music 24/24 : http://DJMUSIC.fr

#webtube : Une petite victoire contre l’éolien peut en appeler bien d’autres, comme les petits ruisseaux font de grandes rivières. La Vallée de l’Orne et de l’Odon, à une dizaine de kilomètres au sud-ouest de Caen (Calvados), menaçait d’être saccagée par l’implantation d’un vaste parc d’éoliennes géantes (plus de 200 mètres de hauteur). Mais le 18 juillet, l’opérateur, la société Neoen, a annoncé qu’il renonçait à son projet.
Abandon d'un projet éolien dans le Calvados. Une première belle victoire pour le collectif @VigiEolien14 La force citoyenne, le travail d'équipe, la persévérance et la vigilance de tous les instants ont payé ! ⏬ https://t.co/46D6eqBqPS
— @VigiEolienOrneOdon (@VigiEolien14) July 21, 2025
Faire reculer l'éolien c'est possible !💪
S’achèvent ainsi par une éclatante victoire trois ans d’une âpre lutte menée par tout un territoire (habitants, agriculteurs, élus), fédéré au sein d’un collectif informel puis d’une association apolitique, Vigi Environnement Orne Odon. Qui aurait parié, pourtant sur les chances de ces quelques bonnes volontés issues du terroir local, contre le premier producteur indépendant français d’énergies renouvelables, mais aussi géant mondial présent dans quatorze pays et trois continents, avec quelque 200 sites en activité ?
Parfois pourtant, David défait Goliath
Au printemps 2022, l’alerte était donnée par des premiers démarchages auprès de propriétaires de la commune de Fontenay-le-Marmion, où une consultation immédiate de la population débouche sur une participation de plus de 50 % des habitants, dont 92 % refusent l’installation d’éoliennes. Le mouvement est lancé, et va rapidement faire tache d’huile. Le collectif informel qui fédère les premiers volontaires va trouver sur sa route Elisabeth Borne, alors Premier Ministre, en visite sur le marché d’Aunay-sur-Odon. Elle se veut rassurante. « Il faut l’aval des habitants pour installer des éoliennes », affirme-t-elle, même si l’expérience tendrait plutôt à constater le contraire. Quand le conseil communautaire des Vallées de l’Orne et de l’Odon s’empare de l’affaire, commande une étude puis lance une campagne d’information invitant à des débats publics, il s’avère que des éoliennes géantes pourraient être installées jusqu’à 500 mètres des habitations.

Shéma indiquant les différences de hauteur entre une éolienne, le Mont Saint Michel, le CHU de Caen, un pylône électrique et une maison.
Le collectif Vigi Éolien Orne Odon est alors créé et commence un patient travail de porte-à-porte. Il se constituera en association quelques mois plus tard afin d’être plus efficace, de pouvoir notamment ester en justice, et d’obtenir aide et conseils d’autres associations constituées.
Méconnaissance et appât du gain
Joint par BV, Henri Texier, vice-président de la Fédération Environnement Durable et président de l’Association Belle Normandie Environnement qui a combattu le projet Neoen aux côtés de Vigi Éolien Orne Odon, explique que « comme toujours dans ce type de combat, il faut s’attaquer à deux grands obstacles : la méconnaissance quasi générale par les personnes concernées des projets éoliens et de leur impact concret, et l’appât du gain, qui incite nombre de propriétaires terriens (agriculteurs bien souvent) à accepter de louer leur terrain sans même lire le contrat, et pousse certains élus locaux à soutenir les projets ». En trois ans, les militants anti-éoliens multiplient les visites chez les habitants et les propriétaires de terrains, les réunions publiques, les manifestations, recevant le soutien de personnalités comme Stéphane Bern ou André Bercoff.

Tout comme Stéphane Bern, André Bercoff est venu soutenir les opposants au projet éolien.
Les vices cachés des projets éoliens
Si les habitants comprennent assez vite la gêne que procure au quotidien une éolienne plantée à quelques centaines de mètres à peine de leur habitation, les propriétaires signent souvent trop vite, car « ce qu’ils ne savent pas, c’est qu’après les 20 à 25 ans de leur durée de vie, les éoliennes sont remplacées par de nouvelles, sur un emplacement voisin du même terrain ». Le propriétaire signe donc « un bail emphéotique, dont le niveau de rémunération est très variable, et qui l’engage, ainsi que ses descendants, sur 60 voire 80 ans ». Par ailleurs, en théorie du moins, « une clause du contrat oblige l’exploitant à mettre une réserve dans une banque permettant de remettre en état la partie du terrain dont l’éolienne arrive en fin de vie ». Mais en réalité, « nous avons constaté que le montant de cette réserve est très inférieur au coût réel de remise en état. Et dans la plupart des cas, le promoteur obtient de la préfecture une dérogation lui permettant de laisser en place le socle en béton ».
Il faut ajouter à cela le problème non résolu du stockage des pales, qui ne se recyclent pas, ce qui a conduit les exploitants de certains parcs à « laisser en place les anciennes éoliennes après en avoir installé des neuves à proximité ». Le renouvellement des premiers parcs éoliens français commençant tout juste, ces cas ingérables et litigieux vont donc mathématiquement se multiplier, promettant pour bientôt un gigantesque scandale écologique, que la ministre de la Transition écologique, Agnès Pannier-Runacher, se gardait bien d’évoquer lorsqu’elle défendait devant les parlementaires l’objectif de doubler à terme un parc actuel de 10.518 éoliennes en opération, tel que recensé en janvier 2025 sur la base OpenReMap.
La nouvelle de l’abandon du projet éolien Orne Odon, elle, commence déjà à faire le tour des réseaux sociaux.
ÉOLIEN – NORMANDIE – ORNE – PROJET ÉOLIEN DE BOUGIE-GAVRUS –
— vosgeshorizondurable (@88_ASPP88) July 21, 2025
« NEOEN JETTE L’ÉPONGE… »
COMMUNIQUÉ DE BELLE NORMANDIE ENVIRONNEMENT (BNE): pic.twitter.com/NCedzK1Vwr
À ce sujet — Moratoire sur les éoliennes : les sénateurs disent non
Etienne Lombard, dans BV
. E. R. Lombertie, maire de Limoges : « Il y a un grand danger ! »
Articles : Juil. 2025 – Juin 2025 – Mai 2025 – Avril 2025 –
Facebook : https://www.facebook.com/profile.php?id=100069673161887 Twitter : https://twitter.com/OrtfNews Music 24/24 : http://DJMUSIC.fr

#webtube : Le maire LR de Limoges revient sur les émeutes qui ont secoué sa ville. Sans langue de bois… Maire LR de Limoges depuis 2014, Emile Roger Lombertie a fait face, dans la nuit de vendredi à samedi, à d’importantes émeutes. Une centaine d’individus cagoulés s’en sont pris aux forces de l’ordre. Il a accepté de répondre aux questions de Boulevard Voltaire… sans langue de bois.
Marc Baudriller. Après les émeutes qui ont secoué plusieurs quartiers de Limoges, vous avez parlé de « guerilla urbaine ». A-t-on franchi un cap ?
Emile Roger Lombertie. Quand on est en bande organisée et qu’on tire sur les autres cela s’appelle la guerilla. Savez vous à quoi cela m’a fait penser ? On a appelé cela « les évènements », en Algérie (les troubles qui mèneront à la guerre d’Algérie). Aujourd’hui, ce que disait De Gaulle, l’huile et le vinaigre et Colombey-les-deux-mosquées, on y est ! Il y a un grand danger : quand on ne fait pas ce qu’il faut pour faire respecter la République française, on fait tout pour faire une république islamique. Je n’en dirai pas plus pour le moment…
M. B. Cette révolte très grave était-elle prévisible ?
E. R. L. J’ai été psychiatre avant d’être élu, j’étais responsable de la psychiatrie du département et coordinateur de la psychiatrie régionale avec la psychiatrie nationale : j’avais un intérêt pour cela et je connaissais un peu les quartiers. Il y a plus de vingt ans, je disais à un élu socialiste concernant le Val de l’Aurence, quartier de Limoges : « Est ce que vous vous rendez compte de la dérive dans laquelle vous laissez ces quartiers ? Priez pour qu’on ne soit pas obligés d’y mettre un jour la Légion étrangère, un genoux à terre et ouvrant le feu pour ramener l’ordre ». Vingt ans… J’ai un côté un peu prométhéen, je réfléchis très vite et j’ai deux ou trois coups d’avance bien souvent, cela m’arrive aussi de me faire prendre de vitesse par l’intelligence ou la réaction des autres, mais là, j’avais vu juste parce que je voyais ces quartiers se dégrader et se déliter à tous les niveaux.
M. B. Les populations des quartiers immigrés de Limoges ont-elles changé ?
E. R. L. On avait des populations pauvres, de plus en plus pauvres, venant de l’immigration, qu’on enfermait de l’autre côté du périphérique. Nous avions un “lumpen-prolétariat” et ce n’est pas bon du tout. Mais les premiers habitants dont j’ai fait partie étaient mélangés. Il y avait des autochtones, des Nord-Africains et des Africains subsahariens ou d’Afrique occidentale mais ils avaient tous un travail. Progressivement, ils ont été remplacés par des populations paupérisées dont une bonne part était au chômage.
Sur ce terreau-là, deux idéologies ont prospéré. D’abord l’idéologie musulmane car beaucoup sont musulmans salafistes intégristes : pas tous, mais cela suffit à pourrir la vie de ceux qui veulent s’intégrer. Ensuite, l’idéologie de gauche et d’extrême gauche LFI : on ne vous donne pas ce qu’il faut ? Vous devez revendiquer. On ne s’occupe pas de vous…
M. B. Y a-t-il d’autres facteurs de « désintégration » qui expliquent ces flambées de violence ?
E. R. L. Oui. A la misère, s’ajoute l’inculture. Beaucoup ne parlent pas français, même au sortir de l’école. On ne sait pas s’ils y vont ou pas… On verse les allocations sans accompagnement ou sans aide des familles et surtout, c’est la drogue qui leur permet de survivre. Depuis des années, lorsque la mairie va regarder les bâtiments à rénover, on entend : « Madame, tu peux pas rester là, le monsieur là-bas, tu gênes son travail ». Le Monsieur, c’était le vendeur de drogue. Donc on a laissé faire, on a fermé les yeux. En plus, on n’a pas assez de policiers. On envoie la police trois ou quatre fois par quinzaine pour faire des descentes, ce qui est très mal vécu. Les délinquants disent : « On va s’organiser et on va vous faire voir qui tient le quartier ». Et le soir, ils organisent des guet-apens. Mais cela dépasse Limoges, c’est partout en France, ils se passent le mot. J’ai eu Robert Ménard au téléphone. A Béziers, c’est exactement le même phénomène, la même stratégie. Certains me disent : il faut tirer dans le tas. Non, le jour où on aura un mort par tir de police qui aura cherché à se défendre, on aura une explosion pire qu’en 2023 [année des émeutes liées à la mort de Nahel, ndlr].
M. B. Y a-t-il une réalité derrière ce discours traditionnel de l’extrême-gauche qu’on verra refleurir pour les municipales ?
E. R. L. On est en train de casser des bâtiments pour les rénover. Nous sommes donc obligés de déplacer les populations. L’extrême-gauche explique : regardez ces salauds, ce qu’ils vous font subir ! Alors qu’on est en train d’aménager le quartier… C’est insupportable.
M. B. Limoges a lancé une opération « Quartiers en mieux » dotée de 6 millions d’euros en 2023. Apparemment, l’effet n’est pas spectaculaire…
E. R. L. “Quartiers en mieux”, c’est une propagande de l’ANRU (Agence nationale pour la rénovation urbaine) et de l’agglomération de Limoges. C’est de l’affichage. Ce que j’ai essayé de faire en tant que maire, c’est mettre en place un suivi et une prévention. On va investir 300 millions d’euros, tous investissements confondus ANRU, Etat et ville, sur deux quartiers, pour refaire des bâtiments. Quand je suis arrivé à la mairie en 2014, j’ai repris complètement le projet. On n’avait prévu aucun service à la population. Aujourd’hui, on a des écoles complètement refaites, un centre social. Pour les quartiers Beaubreuil et Val de l’Aurence, on est en train de travailler avec l’ANRU.
A Beaubreuil, un commissariat a été fermé il y a une quinzaine d’années… Il serait indispensable aujourd’hui. A partir de 14h, les personnes qui viennent travailler chez les particuliers sont soit interdites d’entrée, soit accompagnées de veilleurs pour savoir s’ils sont là au titre de la police ou pour des travaux. Dans certains bâtiments, ce sont les trafiquants qui décident quelle est l’entreprise qui va venir refaire le chauffage, l’électricité, la plomberie… Et c’est partout en France.
M. B. Comment en est-on arrivés là ?
E. R. L. On a eu un délitement de la fonction de l’Etat, des fonctions du département sur la prévention via la PMI, l’Aide sociale à l’enfance, etc. Catastrophique. J’ai mis tout le monde autour de la table, personne n’a joué le jeu. Un de mes opposants à la mairie qui est au département explique : « On nous dit qu’il y a des enfants qui ne vont pas bien dans ces cités, mais on ne vous les signale pas parce qu’on veut pas les stigmatiser ». Donc, laissez-les crever sous couvert d’humanisme ?
M. B. Quand vous parlez d’un problème idéologique culturel et social, vous pensez à cela ?
E. R. L. Bien sûr. Lors d’une interview récente, un journaliste de France Info me dit : « On va pas faire le procès de l’immigration ? » « Mais Monsieur, je ne fais pas le procès de l’immigration… Vous me demandez mon point de vue : on a entassé des gens et on les a laissés comme des bêtes. Et bien, ils nous le rendent. Vous ne voulez pas en entendre parler ? C’est votre problème, mais c’est la réalité ». Lorsqu’on dénie quelque chose ou quelqu’un, son existence et son identité, que fait-il ? Il se cherche un corpus d’identité. Son corpus d’identité, c’est la survie, au travers de la drogue, de l’islam et de LFI. Ce seront des soldats perdus de la République à qui on coupera la tête lorsqu’ils auront fait la révolution. J’espère me tromper…
M. B. On parle de quartiers pauvres, or l’argent de la drogue coule à flot et atteindrait sept milliards d’euros en France. Les 300 millions d’euros d’investissements prévus règleront-ils quelque chose dans des quartiers par ailleurs moins pauvres que la campagne limousine ?
E. R. L. Rien ! Ça ne règlera rien ! Si on n’a pas une politique d’accompagnement de la rénovation des quartiers et de renforcement de l’identité française. Si on ne leur apprend pas à parler la France, à écrire la France, à réciter la France et à aimer la France, ils ne peuvent pas aimer la France. On leur apprend à aimer le drapeau palestinien, le drapeau du Nigeria, de la Guinée, du Sénégal quand on fait des évènements ! C’est impossible, cela ne peut pas fonctionner : on est dans la négation même de ce constat : ils sont sur le sol français. J’aimerais qu’il y ait plus de gens qui réfléchissent. Manque de bol, nous sommes gouvernés par des incultes qui n’ont aucune idée de ce qu’est l’anthropologie et l’éthologie. Quand on considère les gens comme des bêtes et qu’on les laisse libres comme des bêtes, ils ont des comportements de bête, c’est-à-dire qu’ils perdent tout ou partie de leur humanité pour se contenter du côté obscur. Je me suis penché sur la misère humaine depuis que je suis tout petit et je vais bientôt être aussi vieux que Mathusalem, alors…
- Marc Baudriller, dans BV
. Rénovation énergétique : l’arnaque du siècle ?
Articles : Juil. 2025 – Juin 2025 – Mai 2025 – Avril 2025 –
Facebook : https://www.facebook.com/profile.php?id=100069673161887 Twitter : https://twitter.com/OrtfNews Music 24/24 : http://DJMUSIC.fr

#webtube : Les économies liées à l’isolation énergétique ont été largement surestimées. Les Français en sont pour leurs frais. Le 10 juillet dernier, l’Insee publiait une étude nommée : Effets de l’isolation thermique des logements sur la consommation réelle d’énergie résidentielle. Au vu du tapage qui a été fait auprès des propriétaires pour qu’ils rénovent leurs logements, tout un chacun pouvait s’attendre à ce que les bénéfices soient importants. Que nenni !
Mise en situation : en janvier dernier, Madame Lambda appelle un spécialiste pour faire entretenir sa chaudière à gaz. Le professionnel découvre, cachée dans un placard, une vieille dame (la chaudière et non la propriétaire) de 42 ans. S’ensuivent poussées d’urticaire et cris d’orfraie. Pourquoi madame Lambda, qui semble être une personne raisonnable, conserve son vieil appareil ? Le professionnel tente de le savoir. La réponse est sans appel : « Pourquoi je changerai ma chaudière alors qu’elle fonctionne ? » Le professionnel entend mais ne comprend pas. Il sort son meilleur argumentaire pour convaincre sa cliente. « Si vous tombez en panne, nous ne pourrons pas la réparer », « sur ce genre d’appareil, il n’y a pas de maintenance », « les révisions ne sont pas garanties »… Puis, il abat sa dernière carte : « Avec un nouveau modèle, vous pourrez faire jusqu’à 30 % d’économie ! » Madame Lambda reste droite dans ses bottes, elle ne flanche pas. Chauffant très peu, elle sait qu’elle ne rentabilisera pas l’investissement. L’Insee vient de lui donner raison.
Données erronées
L’institut de statistique prend des pincettes en précisant qu’à « ce stade, les économies réelles permises par les gestes de rénovation énergétique restent peu documentées » mais admet que « la littérature économique montre l’existence d’un energy performance gap, soit un écart substantiel entre les économies conventionnelles prédites par les modélisations ex-ante et les économies réelles mesurées ex-post ». Autrement dit, les économies liées aux rénovations énergétiques ont été surestimées. Et pas qu’un peu ! Les économies réelles sont huit fois moins importantes que les économies estimées.
Pourquoi ? Georges Le Breton, haut fonctionnaire en activité, spécialiste des politiques publiques et du logement, explique : « En France, les études d’impact n’intéressent pas. On produit des normes et on prend des décisions sans faire d’étude scientifique. Quelques années après, on mesure et on se rend compte que ça ne sert à rien. C’est pathologique ».
Quelques années après, l’Insee se rend compte et rapporte : « À la suite des gestes d’isolation thermique des logements, nous estimons une baisse de la consommation d’électricité de 5,4 % pour les maisons chauffées à l’électricité et de 8,9 % de la consommation de gaz pour les maisons chauffées au gaz. » Pour les personnes chauffées à l’électrique, « le coût moyen de l’isolation est de 14.300 euros, tandis que l’économie de consommation d’énergie pour ces ménages est de 120 euros par an en moyenne. » Pour celles chauffées au gaz, « le coût moyen de l’isolation est de 13.700 euros. Pour ces ménages, le gain annuel moyen estimé sur la facture est de 150 euros. » Pour rentabiliser leurs investissements, les ménages électricité et gaz devront respectivement attendre 119 et 91 ans. Ils ne seront plus là pour le voir et, d’ici là, leur installation sera devenue obsolète.
Résultats désastreux
Ces travaux ne valent évidemment pas le coût. Les Français ont été trompés et pas seulement ceux qui ont entrepris des travaux car rappelons-le, en matière d’isolation thermique, l’État n’a pas été avare en aides. MaPrimeRénov, la prime « Coup de pouce chauffage » et des aides départementales et régionales ont été largement distribuées. Elles sont évidemment faites d’argent public (3,6 milliards en 2025). Georges Le Breton résume : « Le modèle économique de la réhabilitation thermique des logements est problématique. » Il est fondé sur une idéologie de gauche et du centre « disant que la consommation énergétique des logements est une partie importante de la génération des gaz à effet de serre ». Puis, « on passe en force avec des normes, on crée une incitation pour les acteurs économiques et les ménages afin d’accélérer le mouvement. On dit qu’il va y avoir un bénéfice et en fait il n’y en a pas ».
Pire, à cause de ces normes, certains logements ont été sortis du parc locatif car jugés trop énergivores. Chose qui a contribué à accentuer la crise du logement et la crise économique. Avec des politiques publiques aussi coûteuses et néfastes, pas étonnant que la France soit proche de la banqueroute et que les Français tirent le diable par la queue.
Sarah-Louise Guille, dans BV
. Baromètre exclusif du prénom arabo-musulman, 10ème édition. En 2024 en France, plus d’un enfant sur 4 nait avec un prénom arabo-musulman.
Articles : Juil. 2025 – Juin 2025 – Mai 2025 – Avril 2025 –
Facebook : https://www.facebook.com/profile.php?id=100069673161887 Twitter : https://twitter.com/OrtfNews Music 24/24 : http://DJMUSIC.fr

#webtube : L’INSEE publie comme chaque année les chiffres de l’État Civil relatifs aux prénoms attribués aux enfants nés en France depuis 1900, (fichiers téléchargeables ici). Pour la 10ème année consécutive, Fdesouche publie en exclusivité le baromètre des naissances enregistrées en France sous prénom arabo-musulman.
En une génération, les chiffres départementaux montrent la transformation de l’identité du pays
La méthode de diffusion à légèrement évolué cette année, afin de fournir davantage d’informations tout en respectant le secret statistique : la liste des prénoms par sexe donnés au moins 3 fois depuis 1900 sont désormais proposées, ce qui améliore le périmètre de l’analyse des prénoms et a nécessité d’ajouter et catégoriser plus de 9000 nouveaux prénoms, pour une bonne partie “exotiques”, ce qui surpondère d’environ 1 point la part des prénoms arabo-musulmans au regard de la méthode précédente…
La méthode de secrétisation a également été modifiée par l’INSEE, les effectifs étant notamment arrondis au multiple de 5 le plus proche, ce qui ne change statistiquement rien à notre étude.
Au niveau national
Après la décrue de 2021, potentiellement en lien avec le confinement de l’année précédente, 2024 confirme, à l’image de 2021 et 2022, la reprise et la croissance de l’octroi de prénoms musulmans pour les naissances en France (+0,5 points entre 2023 et 2024).

En valeur absolue, constate une baisse régulière du nombre des naissances d’enfants portant un prénom non-musulman, quand celles d’enfants portant un prénom musulman progresse lentement, mais surement, nullement perturbée par quelque facteur extérieur…

Au niveau départemental
En une génération de 30 ans, l’identité de la France a profondément été modifiée.
Taux d’octroi de prénoms musulmans en 2024

Taux d’octroi de prénoms musulmans en 1994

Méthodologie
Afin de mener cette étude présentant la popularité spécifique des prénoms musulmans comparée aux autres prénoms aux niveaux national et départemental, il a été nécessaire de créer de toutes pièces un « référentiel » des prénoms musulmans.
Si le Coran indique que le prénom du musulman consiste en « une marque distinctive nécessaire pour faciliter la communication entre son porteur et les autres », il n’est pas évident de les identifier parmi les 35000 prénoms de la base de l’INSEE.
Plusieurs listings disponibles sur les sites communautaires suivants ont été passés au crible : www.halalbook.fr, www.prenommusulmanrare.com, www.pageshallal.com, www.katibin.fr.
Un référentiel des étudiants du monde, par pays d’origine www.studentsoftheworld.info a également été utilisé.
Plusieurs états civils de villes françaises ont enfin été examinés afin de valider l’association du prénom à des patronymes particuliers.
Certains prénoms sont systématiquement (sauf cas rares ex : chrétiens d’Orient) attribués à des enfants de familles musulmanes, ce sont les « prénoms musulmans stricts ».
D’autres prénoms, majoritairement attribués à des enfants de familles musulmanes, peuvent parfois être attribués à d’autres enfants, nous les suivons comme « prénoms islamo-compatibles ».
Afin de disposer de chiffres indiscutables, nous ne décomptons les « prénoms islamo-compatibles » que pour moitié dans le décompte des prénoms musulmans.
Liste des 100 premiers prénoms identifiés “musulmans stricts” ou “islamo-compatibles” : ADAM, INES, EDEN, MOHAMED, NAEL, RAYAN, INAYA, YANIS, LINA, IMRAN, NOUR, YASMINE, AYDEN, AMINE, ALI, SOFIA, ELIA, ISMAEL, SOHAN, SOHAN, SARA, AMIR, ISSA, MANEL, IBRAHIM, KAIS, HAMZA, NASSIM, AYA, ILYES, YASSINE, ASSIA, MYRIAM, NAIM, HAYDEN, YOUNES, WASSIM, YOUSSEF, AYOUB, MOUSSA, MAISSA, ADEM, IMRANE, NAHIL, ANIS, SOFIANE, ALYA, RAYANE, MARYAM, YACINE, MALAK, ARYA, ANAS, LOUISA, IMANE, NAHEL, TASNIM, SELMA, SANA, KENZA, ZAKARIA, AYMEN, MEHDI, NORA, ISMAIL, LEILA, AHMED, AICHA, NAELLE, ELIJAH, ALIYA, HANNA, AMINA, SAFA, FARAH, AMEL, NAILA, AMIRA, ILYANA, MINA, AIDEN, ALIYAH, RYAN, LILIA, ILYAS, FATIMA, JANA, SAMY, IDRISS, NELYA, HAJAR, MARWA, JAD, HAROUN, ASMA, MOHAMMED, ASSYA, NEYLA
FDS
. Pétition anti-agricole : un modèle de manipulation de l’extrême-gauche verte
Articles : Juil. 2025 – Juin 2025 – Mai 2025 – Avril 2025 –
Facebook : https://www.facebook.com/profile.php?id=100069673161887 Twitter : https://twitter.com/OrtfNews Music 24/24 : http://DJMUSIC.fr

#webtube : Plus d’un million de signataires après une campagne partielle, partiale et mensongère. Les victimes ? Nos agriculteurs. « Rien à péter de leur rentabilité », balançait Sandrine Rousseau à un média d’extrême-gauche, comme l’a relevé BV. La pétition lancée par une étudiante sur le site de l’Assemblée nationale montre que la députée verte n’est pas aussi isolée qu’on le croit. Cette pétition a largement passé le cap du million de signataire ce lundi soir.
Les Verts et les LFI, qui ont voté contre la loi, font à cette initiative ultime une promotion débridée. Les succès médiatiques ne sont plus légion à la gauche de la gauche. On savoure donc le succès tout en poursuivant donc une manipulation dans les règles de l’art, massive, sans la moindre subtilité et surtout, profondément malhonnête. Une opération soviétique menée de main de maître. Objectif : faire comme si les députés n’avaient pas adopté cette loi de survie du monde agricole le 8 juillet dernier par 316 voix contre 223. Une majorité très nette, qui va des élus macronistes aux députés RN.
Hénaurme astuce pour déstabiliser l’opinion : focaliser sur l’article de la loi le plus contesté, l’autorisation de la fameuse acétamipride, ce produit qui traite les noisettes et les betteraves. Parlons-en rapidement de l’acétamipride. Contrairement aux fake news méthodiquement diffusées à gauche, l’autorisation ne brave pas la totalité des études scientifiques, elle s’appuie au contraire sur de très nombreux travaux, décrits avec une précision d’entomologiste par la journaliste du Point Géraldine Woessner.
Les mêmes noisettes… produites ailleurs
Par ailleurs, le produit ne provoque pas les sept plaies d’Égypte, il est même utilisé dans plus de 80 produits courants de nos maisons. Il aussi autorisé largement… « en usage agricole, aux États-Unis, au Japon, au Canada, en Australie, sur les continents asiatiques et sud-américain, de même que dans l’ensemble de l’Union européenne, où son homologation a été récemment renouvelée jusqu’en 2033 », précise Géraldine Woessner, spécialiste de ces questions. Pourquoi ? Les autorités sont donc folles partout, sauf en France qui a justement assorti cette ouverture de conditions drastiques ? Ou bien nos écolos sont-ils un peu idéologues et excessifs ? L’enjeu est simple : si les agriculteurs français sont privés de ce traitement, les consommateurs achèteront les mêmes noisettes, traitées de la même manière mais… produites ailleurs. Un bel exemple de ces aberrations qui transforment un pays de producteurs agricoles performants en un marché d’importateurs passifs. Voilà pour l’acétamipride.
Deuxième astuce : ne jamais évoquer les autres points de la loi, qui, eux, emporteraient l’adhésion immédiate des Français… Les agriculteurs espèrent du texte qu’il rétablisse enfin un peu… les conditions de survie économique sans lesquelles ils disparaitront du territoire. Qui a lu la loi Duplomb ? Qui a vraiment compris, même parmi les signataires, qu’elle n’est que la maigre traduction des demandes des agriculteurs répétées lors des manifestations paysannes voilà un an, qui rencontraient alors la solidarité des Français.
À ce sujet — Agriculteurs : quand BV débusque Sandrine Rousseau
La loi autorise ainsi la création de retenues d’eau : on capte l’eau de pluie l’hiver pour arroser l’été. Scandale pour l’extrême-gauche. On se souvient des charmants manifestants anti-bassines de Sainte-Soline dans les Deux-Sèvres qui avaient brûlé des véhicules des forces de l’ordre et fait des dizaines de blessés chez les CRS… La France doit-elle sacrifier ses étangs créés depuis des siècles ? Ses barrages hydro-électriques ? Qui considérera que les fameuses méga-bassines, des retenues d’eau posées au sol, abîment davantage le paysage que les éoliennes imposées par… les écologistes ?
En embuscade, le Mercosur
Encore une clause : la loi Duplomb autorise les entreprises agricoles à élargir avec moins de contraintes leurs bâtiments d’élevage : il est grand temps… Les exportations agricoles françaises chutent. L’Ukraine déverse en France ses poulets, élevés avec bien moins de contraintes normatives…
Encore un scandale pour nos khmers verts ? L’Office français de la biodiversité, ces petits fonctionnaires en cravate qui viennent, armés, terroriser les entrepreneurs agricoles fragilisés devront désormais filmer leur intervention. Choquant, vraiment ? La loi Duplomb réussit encore ce tour de force d’alléger (un peu) les formalités administratives qui exaspèrent les paysans. Faut-il vraiment le regretter et pétitionner contre cela ?
Nos agriculteurs ne sont pas au bout de leurs peines. Le combat pour la survie de l’agriculture est vif en France : LFI attaque l’agriculture et préfère défendre les banlieues ethniques ou les centres bobos des grandes villes où le parti de Mélenchon cultive sa clientèle. Ce combat est par ailleurs presque perdu en Europe où le Mercosur avance tranquillement son bonhomme de chemin, avec la bénédiction d’Ursula von der Leyen. Évidement, pour les bobos du sixième arrondissement de Paris qui n’en ont « rien à foutre de la rentabilité » des agriculteurs et préfèrent acheter des produits toxiques venus de l’étranger plutôt que des produits sains cultivés ou élevés en France, peu importe que leur pays devienne un désert agricole. C’est pourtant l’enjeu, la désertification des campagnes, soit les trois quarts du territoire français, fermes et villages.
Saisi par des députés de gauche, le Conseil constitutionnel a jusqu’au 11 août pour se prononcer.
Marc Baudriller, dans BV
. Agressions dans les trains : 79 % des auteurs identifiés en Italie sont étrangers
Articles : Juil. 2025 – Juin 2025 – Mai 2025 – Avril 2025 –
Facebook : https://www.facebook.com/profile.php?id=100069673161887 Twitter : https://twitter.com/OrtfNews Music 24/24 : http://DJMUSIC.fr

#webtube : Alors qu’un touriste américain était violemment poignardé au cou par trois jeunes d’origine maghrébine dans le Milanais et qu’une femme subissait un viol particulièrement brutal par deux Marocains de 19 et 39 ans à Rovigo, FS security publiait des données faisant état d’une importante surreprésentation des étrangers dans les agressions à bord des trains et dans les gares d’Italie.
FS security, la branche entièrement dédiée à la sécurité des trains, des gares, des employés de la compagnie nationale des chemins de fer italienne, a enregistré, du 1er janvier au 5 juillet 2025, plus d’une agression par jour dans le secteur ferroviaire. Et les données confirment « le ressenti » d’un nombre toujours croissant de personnes :
sur les 154 auteurs d’agression arrêtés par les forces de l’ordre, 122 sont étrangers (79%) et 32 ont la nationalité italienne (21%). Les citoyens italiens, de souche ou d’origine immigrée représentent 91% de la population résidant dans la péninsule, quand les étrangers sont 9% de la population. La propension des étrangers à commettre des agressions y est donc 38,6 fois supérieure à celle des Italiens (de souche ou d’origine immigrée), au regard de leur poids dans la population.
Durant la même période, 135 agressions aux opérateurs ferroviaires ont été recensées : 68 étrangers et 18 Italiens ont été identifiés, tandis que 49 responsables restent inconnus ou introuvables. Pour les 132 voyageurs impliqués dans des rixes ou des saccages, 54 étrangers et 14 Italiens ont été arrêtés.
L’argument fallacieux selon lequel le nombre considérablement plus élevé d’étrangers appréhendés par les forces de l’ordre serait dû à un contrôle plus fréquent ou un délit de faciès est réfuté par les autorités. C’est même plutôt l’inverse qui est vrai : le fait que de nombreux agresseurs ayant pénétré le territoire clandestinement soient sans papier ou adresse identifiable, leur confère l’anonymat et donc une certaine impunité.
Un contrôleur poignardé à la gare de Gênes ©Corriere di Roma
Une impunité qui atteint des sommets en matière de règlement des titres de transport. Une donnée difficilement quantifiable tant les contrôleurs renoncent à verbaliser ou à faire descendre du train les fraudeurs, par crainte d’être agressés mais également parce qu’ils savent que la démarche est vaine : les amendes pour absence de titre de transport sont très rarement payées, et ont très peu de probabilité de l’être lorsqu’il s’agit de clandestins.
Face à cette injustice qui croit proportionnellement aux entrées irrégulières, des citoyens s’arment de courage et commencent à réagir. Dans la vidéo ci-dessous, un homme est venu en aide à une jeune contrôleuse de train qui venait de se faire cracher dessus par un fraudeur. Des images qui peuvent paraître anodines, mais qui se multiplient dans toute la péninsule.
Le métier de contrôleur de train consistant à vérifier les titres de transport des voyageurs, mais aussi à assurer leur sécurité à bord des trains et sur les quais attire de moins en moins les femmes et est en passe de se masculiniser. Étonnamment, la parité tant recherchée par les féministes ne suscite pas beaucoup de controverse dans ce secteur, où le silence semble de mise.
On se demande bien pourquoi.
Audrey D’Aguanno
. La violence des mineurs baisse ? Les médias jouent sur les mots, mais un rapport du Sénat est sans équivoque
Articles : Juil. 2025 – Juin 2025 – Mai 2025 – Avril 2025 –
Facebook : https://www.facebook.com/profile.php?id=100069673161887 Twitter : https://twitter.com/OrtfNews Music 24/24 : http://DJMUSIC.fr

#webtube : Ils sont unanimes. Pour les médias subventionnés, « non, la délinquance des mineurs n’explose pas, c’est même l’exact inverse« . Le thème serait instrumentalisé politiquement par une extrême droite en plein délire sur une « supposée flambée de la violence chez les jeunes« , « qui ne serait pas le reflet de la réalité. » Un peu comme pour l’immigration, les uns campent sur leurs positions en appelant au spectacle de la rue quand les autres pointent du doigt un « sentiment d’insécurité » alimenté par certains médias. Au milieu, peu de chiffres, qui laissent le champ libre à toute sorte d’interprétation.
Car ces chiffres, que disent-ils ? Tout et l’inverse de tout. Et quand ils ne vont pas dans le sens qu’on voudrait leur faire prendre, on les tord ou on joue sur les mots. Un exemple ? « Depuis 2016, le nombre de mineurs poursuivis par la justice a baissé de 25 % », sous-titre Le Monde. Houra ! Ce serait-là la preuve que les petits rejetons qui habitent la France seraient de moins en moins violents. OU BIEN cela peut aussi signifier que les magistrats rechignent à les poursuivre.
Un rapport du Sénat sur la délinquance des mineurs (n. 885, 2021-2022) ne dit pas autre chose :
« De manière assez étonnante, le nombre de mineurs poursuivis
entre 2012 et 2019 diminue en matière d’atteinte aux personnes (- 6,6 %)
alors que le nombre de mineurs mis en cause par les forces de l’ordre
augmente, dans une moindre mesure toutefois que les atteintes aux biens
(- 15 %). Dans les augmentations les plus notables, il faut noter les mineurs
poursuivis pour crime (+ 69 %) et pour infractions à la législation sur les
stupéfiants (+ 87 %) quand ceux poursuivis pour contraventions, infractions
les moins graves, diminuent de près de 48 %. Le nombre de mineurs de
moins de 13 ans diminue en revanche de 28 % sur la même période. »
La baisse célébrée par Le Monde dans son article est pour le moins surprenante puisque le rapport y est cité, le journaliste ne pouvant donc pas ignorer la donnée ci-dessus mentionnée. Malgré cela, il prétend : « Pour autant, la communauté des chercheurs qui travaillent sur la question de la jeunesse et les statistiques officielles se rejoignent pour décrire une réalité identique : non, la délinquance des mineurs n’explose pas, c’est même l’exact inverse« …. sans fournir aucune source pour étayer cette déclaration.
S’il est admis, dans un petit paragraphe et après avoir déclaré que c’est en gros la faute au « sentiment d’insécurité » (1), que « les actes les plus violents chez les mineurs, très minoritaires mais médiatisés, augmentent, eux, assez fortement« , jamais l’article ne l’énonce clairement : la délinquance, à savoir un ensemble d’infractions et de délits, baisse, quand la criminalité, à savoir des crimes plus graves, elle augmente bel et bien. Bref, on joue sur les mots pour faire croire que tout va mieux. L’auteur Grégoire Biseau, insiste même lors d’un podcast sur le thème : « ça va beaucoup mieux, (…) la délinquance des mineurs baisse depuis une quinzaine d’années, c’est un phénomène massif, le signe que la société s’est apaisée. » On se demande un peu comment, avec des violences contre les personnes en forte augmentation – ce qu’il admet lui-même – on peut en arriver à affirmer que la société s’est apaisée…
Eric Dupond-Moretti, alors ministre de la Justice, évoquait quant à lui, non pas une baisse mais une stabilité de la délinquance juvénile :
«Les chiffres sont clairs, la délinquance des mineurs n’a pas augmenté dans notre pays depuis dix ans»
Mais le rapport du Sénat est clair : cette stabilité est due à la baisse des atteintes aux biens compensée par une hausse des atteintes aux personnes :
« Si le ministère [de l’Intérieur] constate, sur la période 2016-2019, une stabilité
globale des mineurs mis en cause par les forces de sécurité, celle-ci
s’explique par une hausse des atteintes aux personnes, compensée par une
baisse des atteintes aux biens. Ainsi, les coups et blessures sur personnes de
moins de 15 ans ont augmenté de + 12,4 %, les violences sexuelles sur
majeurs de + 42,8 % et sur mineurs de + 28,3 %. »
Les données sont certes sensibles, difficiles à exploiter tant les rapports, les études, les comptes-rendus se contredisent. Mais on voudrait comprendre par quel miracle, une baisse de la violence des jeunes pourrait-elle avoir lieu. Par quelle magie, la violence des mineurs peut-elle baisser dans un pays rongé par le trafic de drogue, où les institutions ne sanctionnent plus par choix idéologique et saturation des tribunaux, où les services d’aides à l’enfance sont démunis quand ils ne sont pas carrément pourris jusqu’à la moelle, où la pornographie et les sévices les plus extrêmes sont à portée de clic ? Sans parler de l’arrivée ou de la permanence sur nos territoires emprunts de tolérance et « d’état de droit », d’enfants provenant d’autres cultures hyper-répressives.
Mais on ne saurait toujours leur donner tort. La violence chez les mineurs, si elle ne diminue certainement pas, n’est pas nouvelle. Depuis des décennies nos contemporains se prennent des coups de lame pour un regard, une cigarette ou un portable. Et persister dans la négation est une insulte à toutes les victimes d’agressions de rue qui pourrissent le quotidien des Français.
Audrey D’Aguanno
(1) citant Fabien Jobard, chercheur en sociologie : « Plus un phénomène social se raréfie, plus les formes de subsistance du même phénomène sont susceptibles de susciter une forte indignation dans l’opinion publique. »
Breizh-info.com
. À Argenton-sur-Creuse, l’agenda migratoire va bon train au nom de l’intégration
Articles : Juil. 2025 – Juin 2025 – Mai 2025 – Avril 2025 –
Facebook : https://www.facebook.com/profile.php?id=100069673161887 Twitter : https://twitter.com/OrtfNews Music 24/24 : http://DJMUSIC.fr

#webtube : Le 4 juillet, la mairie d’Argenton-sur-Creuse (Indre) a signé avec la préfecture le premier contrat territorial d’accueil et d’intégration (CTAI) du département. Ce dispositif, financé par l’État, vise à accompagner l’installation durable de réfugiés dans la commune. Derrière les discours sur la « cohésion sociale » et le « vivre ensemble », c’est une nouvelle étape du déploiement migratoire dans les campagnes qui se met en place, avec l’aval de la mairie socialiste… et du ministère de l’Intérieur.
« Jamais assez »
Avec ses 4.500 habitants, Argenton-sur-Creuse accueille déjà deux centres d’hébergement pour demandeurs d’asile : l’un dans le quartier du Merle Blanc, l’autre, plus récent, face à la gare. Ce dernier héberge les migrants initialement destinés à Bélâbre, commune voisine où l’installation d’un centre avait été suspendue après une vive opposition locale. « Ironie cruelle », commente Me Pierre Gentillet, pour qui ces gens « n’en auront jamais assez ». Car non seulement le projet n’a pas été abandonné, mais il a été déplacé au cœur même d’une commune déjà largement sollicitée.
Pour structurer cet accueil, la municipalité vient de signer avec la préfecture de l’Indre un contrat territorial d’accueil et d’intégration (CTAI), financé par l’État jusqu’à 20.000 euros. Le dispositif, décliné en fiches-actions (cours de langue, accompagnement professionnel, mobilité…), vise à « adapter la réponse aux besoins spécifiques des réfugiés souhaitant s’installer durablement sur la commune ».
Officiellement, la municipalité évoque l’accueil de « 5 ou 6 personnes ». Mais auprès de La Nouvelle République, le maire Vincent Millan est plus direct : selon lui, Argenton-sur-Creuse « peut accueillir jusqu’à une centaine de personnes ».
Un passage en force
« Jamais consultés, toujours submergés », résume Pierre Gentillet, qui connaît bien cette ville où il a grandi. Mais il ne semble pas être le seul à se montrer réticent au projet. Lors du dernier conseil municipal datant du 20 juin dernier, un élu d’opposition s’est fait l’écho des plaintes de riverains du Merle Blanc, où les nuisances liées à l’arrivée des migrants sont devenues suffisamment notables pour que le quartier soit rebaptisé par certains « le Merle Noir ». Réponse de la majorité : « À chaque fois qu’il y a un problème, la commune s’en saisit. Ça marche ou ça marche pas… » De toute façon, affirme-t-elle, « les problèmes, il y en aura toujours », mais la faute au racisme et au trop de questionnement des habitants, selon elle. Le témoignage d’une élue insultée et importunée par ses voisins ne semble d’ailleurs pas l’émouvoir davantage. Il faut dire que l’État est de son côté.
Dans ses communications officielles, la Délégation interministérielle à l’accueil et à l’intégration des réfugiés (DIAIT) se félicite de ces nouveaux contrats, déjà expérimentés dans 22 territoires. Une première évaluation, relayée par l’OCDE, recommande leur généralisation. Autrement dit, les CTAI ne sont qu’une première étape.
Une mécanique bien huilée
Ces conséquences, Pierre Gentillet les connaît. « On connaît l’issue de la recette, déplore-t-il auprès de BV. Il y a peu de chance pour que les mêmes causes produisent des effets différents : ces politiques finissent toujours par transformer les petites villes en cités de banlieues. »
Peut-être vous souvenez-vous de Bélâbre, cette petite commune du Berry (Indre) où nous nous étions mobilisés contre l’installation d’un centre pour migrants. Grâce à cette mobilisation, le projet avait été suspendu.
— Pierre Gentillet (@Pierre_GTIL) July 16, 2025
Mais aujourd’hui, c’est à Argenton-sur-Creuse, commune de mes… pic.twitter.com/bjoqpegpGX
À ce sujet — Bélâbre (Indre) : le projet de CADA bientôt enterré ?
D’une commune à l’autre, le même scénario se rejoue. Et l’enthousiasme flamboyant de la municipalité ne suffira pas à masquer ce qui s’apparente de plus en plus à un passage en force.
Alienor de Pompignan, dans BV
. Limoges et Compiègne : les derniers signes de la guerre civilisationnelle
Articles : Juil. 2025 – Juin 2025 – Mai 2025 – Avril 2025 –
Facebook : https://www.facebook.com/profile.php?id=100069673161887 Twitter : https://twitter.com/OrtfNews Music 24/24 : http://DJMUSIC.fr

#webtube : Il faut savoir regarder les choses en face, sans les affadir sous le vocable commode de faits divers. Les flammes qui ont embrasé Limoges et Compiègne ne sont pas de simples étincelles allumées par l’ennui ou la misère ; elles sont les torches brandies par des mains qui défient la Cité elle-même. Là-bas, ce ne sont pas seulement des vitrines qui volent en éclats, ce sont les vitres mêmes de la Maison France qui se brisent sous les coups.
Car enfin, que voyons-nous ? Non point des citoyens en révolte contre l’impôt ou la disette, comme jadis les foules de nos campagnes, mais des bandes hostiles aux uniformes, aux drapeaux, aux pierres mêmes qui portent nos armoiries. On ne s’en prend plus seulement aux agents de la paix publique, mais à la Police comme incarnation de l’État. On n’insulte plus un homme en képi, on crache sur l’uniforme comme sur un symbole. Le feu prend à la caserne, au commissariat, à la mairie. Ce n’est pas un hasard : c’est un choix.
Et dans ce tumulte, quels emblèmes s’élèvent ? Non pas la bannière tricolore, celle qui unit dans son pli la mémoire des provinces et le sang des héros. Non : d’autres couleurs claquent au vent. L’étendard algérien, l’oriflamme palestinienne se font voir au cœur même de nos villes, tandis que les trois couleurs de la République sont arrachées, brûlées, piétinées. Nulle ambiguïté : ces gestes signifient qu’on refuse d’être de France et qu’on revendique d’autres allégeances. Voilà bien ce qui donne à ces émeutes leur caractère tragique et neuf : ce ne sont pas seulement des désordres, ce sont des proclamations.
On dira encore qu’il s’agit de jeunes perdus, livrés à eux-mêmes. Mais qu’on y prenne garde : l’usage concerté des réseaux sociaux, l’appel organisé, la géographie précise des attroupements, tout cela désigne moins une explosion spontanée qu’une entreprise. Ces bandes n’errent pas au hasard : elles occupent, elles chassent, elles signalent par l’incendie que tel quartier n’est plus sous l’empire français mais sous leur loi. Elles s’installent dans la logique du défi territorial.
On se tromperait lourdement en enfermant ces événements dans les catégories commodes de l’assistance sociale et de la réforme urbaine. Il ne s’agit plus seulement de réparer des toits ou de bâtir des gymnases. Il s’agit de restaurer l’âme même du pays. Car ce que ces drapeaux étrangers dressés contre la nôtre proclament, c’est la négation de la France comme civilisation. C’est notre langue qu’ils bafouent, nos morts qu’ils insultent, nos lois qu’ils rejettent.
Devant cela, il ne suffit pas de gémir ni de promettre de nouvelles aides. Il faut rappeler ce que nous sommes : un peuple, une histoire, un État. L’émeute de Limoges et celle de Compiègne ne sont pas deux accidents locaux ; elles sont les symptômes d’un affrontement plus vaste, d’une lutte sourde qui se livre sur notre sol entre ceux qui veulent continuer la France et ceux qui entendent la dissoudre.
Voilà pourquoi, au-delà des larmes et des discours, il faut que la France retrouve sa voix ferme, sa volonté souveraine et son courage d’hier. Car, sans cela, ce ne seront plus seulement des drapeaux ennemis qui flotteront sur nos rues, mais d’autres lois, d’autres mœurs, d’autres maîtres. Et alors, ce ne seront plus des émeutes : ce sera la fin.
Jean-Jacques Fifre, Riposte Laïque
https://www.bvoltaire.fr/limoges-nuit-de-guerilla-urbaine-le-maire-denonce-un-plan-structure
. La France de la méritocratie de Sarah Knafo et celle de la magouille de Najat Belkacem…
Articles : Juil. 2025 – Juin 2025 – Mai 2025 – Avril 2025 –
Facebook : https://www.facebook.com/profile.php?id=100069673161887 Twitter : https://twitter.com/OrtfNews Music 24/24 : http://DJMUSIC.fr

#webtube : Sarah Knafo s’est attirée les foudres de toute la gauche, et principalement d’une obscure avocate lilloise, par ailleurs conseillère régionale socialiste. Quel crime a donc commis le député Reconquête ? Elle a osé, comme des millions de Français, s’indigner de la République des Coquins et des copines, et démontrer que Najat Belkacem n’avait aucune compétence particulière pour siéger à la Cour des Comptes.
Najat Vallaud-Belkacem est nommée conseillère maître (le plus haut grade) à la Cour des comptes.
— Sarah Knafo (@knafo_sarah) July 17, 2025
Pourquoi ? Quelles compétences pour mériter d’entrer dans cette si belle institution ? Quel concours ? pic.twitter.com/oy4KpLDxj3
Cela lui a naturellement valu les qualificatifs habituels, et le coup du racisme, ben voyons, comme dirait son compagnon Eric Zemmour. Mais il se trouve que Sarah Knafo n’est pas du genre à subir les injures de ses adversaires sans y répondre, toujours avec un joli sourire, mais avec des arguments et des exemples qui font mouche.
La bourgeoise, comme vous dites, a grandi en Seine-Saint-Denis, mais a travaillé dur pour réussir les concours que votre copine pistonnée n’a pas eus. C’est ce qui m’a permis d’entrer à la Cour des comptes sans l’intervention du Premier ministre.
— Sarah Knafo (@knafo_sarah) July 18, 2025
« L’expertise en politique… https://t.co/Had1yx4Blg
Finalement, si Sarah Knafo était une Najat Belkacem bis, elle n’aurait rien foutu à l’école. Elle se serait déclarée de gauche, parce que, bien que n’en ayant rien à foutre, c’est l’air du temps, et plus facile pour faire carrière. Juive, elle se serait plaint, comme BHL l’a fait toute sa vie, du racisme des Français et leur aurait demandé des excuses pour Pétain, en les qualifiant de vichystes. Elle aurait été élue conseillère régionale, serait devenue macroniste de gauche, et porte-parole d’un ponte du parti. Bien sûr, elle aurait couché utile, ce qui n’empêche pas d’épouser un futur ponte du parti, ainsi que tous les combats sociétaux de l’époque. Elle aurait gémi contre les Français sexistes, sans jamais rien dire contre les agressions des Africains, et aurait défendu le mariage LGBT tout en enseignant aux élèves que « Papa porte une robe ». Bien sûr, elle aurait demandé l’abolition des frontières, la libre entrée en France et la régularisation de tous les sans-papiers, l’interdiction de tous les sites « d’extrême droite » et des moyens supplémentaire pour lutter contre la haine !
Et comme il aurait fallu une juive de service au gouvernement, on l’aurait collée à l’égalité femmes-hommes, puis à l’Education nationale, bien que faisant trois fautes d’orthographe par ligne. Ensuite, vue sa nullité professionnelle, on l’aurait bombardée dans l’associatif, avant de la planquer à la Cour des Comptes, bien qu’elle ne sache pas davantage compter qu’écrire ! Et elle aurait traité d’antisémite tous ceux que cela indignait.
Mais Sarah Knafo est juive, amoureuse de la France, elle défend le droit d’Israël à exister, et à se défendre contre les islamistes, elle veut en finir avec l’Etat tentaculaire qui ruine les Français à cause de ses dépenses nuisibles et inutiles, elle veut construire 100.000 places de prison, parce qu’elle en a marre que des racailles multirécidivistes soient en liberté, et égorgent les nôtres. Et elle veut procéder à la remigration massive de ceux qui n’ont rien à faire en France, et que notre pays retrouve sa grandeur.

Et en plus, c’est une bête de travail, le fruit de la méritocratie républicaine, et elle ne doit sa réussite qu’à elle-même, et pas aux magouilles.
Bref, dans le langage de la parasite incompétente Najat Belkacem, c’est une raciste haineuse élitiste sioniste génocidaire d’extrême droite, et même une nazie bien que juive…
CYRANO, Riposte Laïque