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#webtube : Les deux rives de l’Atlantique ont fini par se rejoindre… Voici le résultat…
🇫🇷🇺🇸 À la suite d’un accrochage, le rappeur américain Jay Cinco s’est fait tabasser par un Parisien en plein live sur Twitch, alors qu’il se trouvait à Paris pour la Fashion Week. pic.twitter.com/6oJF6bKZLe
— Impact (@ImpactMediaFR) June 29, 2025
D.P.
. La droite française est-elle la plus bête du monde ?
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#webtube : Pour Guy Mollet, patron de la SFIO (Section française de l’Internationale ouvrière, ancêtre du Parti socialiste), cela ne faisait aucun doute, comme il l’avait affirmé avec force à Béthune, en 1957. Les choses ont-elles vraiment changé ?
Stupidité confondante
Il faut lire le livre d’Éric Ciotti Je ne regrette rien (Fayard, mai 2025). Généralement les livres commis par les hommes politiques sont inintéressants. Trop hagiographiques ou trop anecdotiques. Celui-ci fait exception. C’est un témoignage à la fois éclairant et désespérant sur l’ardeur avec laquelle la droite conformiste s’est enfermée dans le piège tendu par la gauche, et notamment François Mitterrand, avec le Front national et la ritournelle de l’antiracisme. L’habileté tactique et cynique de la gauche peut être dénoncée. Après tout, elle a joué son jeu politicien, au détriment de la France certes. En revanche, la stupidité de la droite demeure confondante. Et le pire est qu’elle ait duré jusqu’à nos jours, comme l’a démontré son attitude lors des dernières élections législatives, alors même que le Rassemblement national est bien éloigné de ce que put être le Front national dans certains excès de son président-fondateur.
De façon très volontaire, la droite conformiste s’est condamnée à la défaite, tout simplement parce qu’elle voulait se conformer à la doxa de la gauche, comme fascinée par une idéologie néo-marxiste qui a partout échoué, tant sur le plan humain qu’économique ou culturel. Il y a chez la droite embourgeoisée quelque chose qui tient d’une invraisemblable paresse intellectuelle qui la fait invariablement tomber dans le mirage aux alouettes d’une technostructure mondialisée, à la tête bien pleine à défaut d’être bien faite, et qui a conduit la France à l’état dans lequel elle se trouve sur le plan sociétal, financier, moral et culturel. Tout est à relever et tout n’est que ruine, incohérence et dérision. L’État le plus cher du monde est incapable d’assurer ses missions ! Et ces braves électeurs qui votent Macron en songeant à leur portefeuille semblent avoir oublié dans quelle situation financière il a mis la France.
Sans colonne vertébrale
Jamais cette droite sans colonne vertébrale n’a osé revenir sur des mesures désastreuses sur le plan économique (comme les 35 heures), sur le plan stratégique (comme le délaissement de la filière nucléaire au profit de la coûteuse chimère des énergies intermittentes), sur le plan de la sécurité intérieure (comme l’abandon de la mesure accessoire d’expulsion des étrangers délinquants, obtenu de Sarkozy par le gaulliste catholique de gauche Étienne Pinte !)… La liste pourrait être longue.
Si, en 1998, lors des élections régionales, Jacques Chirac, au lieu de se plier aux injonctions de la gauche et du centre, avait laissé en paix ceux qui avaient été élus à la présidence des régions avec des voix d’élus FN, ce dernier serait devenu à terme l’aile droite d’un vaste rassemblement de droite. Il est intéressant de citer l’entretien de Jean-Pierre Elkabbach sur Europe 1, le 27 mars 1998, avec Charles Millon : « Il n’y a que quinze jours, vous étiez, croyait-on, un chrétien social, un homme de conviction, de bons sentiments, sincère à la limite de la naïveté. Aujourd’hui, en acceptant les voix des élus du Front national, c’est-à-dire le tabou majeur, vous êtes vilipendé, blâmé, lâché par vos amis, cerné, coincé. Où est votre porte de sortie ? » À peu de chose près ce qu’Éric Ciotti a subi. Tout était dit du chantage et de l’hypocrisie du système qui défend sa peau. Notons qu’évidemment, personne ne trouvait rien à redire à ce que le PS s’allie avec les communistes, porteurs de l’idéologie responsable de la mort de plus de cent millions d’hommes, de femmes et d’enfants ! Tout comme Édouard Philippe partage sans états d’âme « les mêmes exigences démocratiques » qu’un candidat communiste. Qu’il aille raconter ça à l’est de l’Europe !
Lire le livre d’Éric Ciotti
Éric Ciotti fait la narration intéressante d’une déroute intellectuelle et politique. Au-delà de certaines formules heureuses comme « Chirac, combien de déceptions ? » (p. 104), il a aussi des phrases d’une acuité certaine telle « Maastricht, c’était la fin de l’Europe des nations au profit de l’Europe de l’administration » (p. 107) ou encore « à parler comme la gauche, on finit par penser un peu comme elle » (p. 112). Même beaucoup. Ses pages sur son enracinement niçois parleront au cœur de tous ceux qui sont attachés à un terroir, une culture et une histoire. Quand il en appelle à l’Espérance contre la résignation, c’est à une forme de transcendance qu’il en appelle. Et seule celle-ci donne sens à l’action politique.
Le singulier de Guy Mollet doit aujourd’hui être décliné au pluriel. Les droites françaises sont-elles les plus bêtes du monde ? Nous ne gagnerons pas de façon isolée. Le pouvoir n’arrive pas de façon mécanique ou inéluctable. Nous l’avons bien vu l’an passé. Plutôt que se disputer le même pré carré, allions-nous pour gagner. La soupe à l’union nie les différences, l’alliance les reconnaît pour en faire des complémentarités. Le temps de la bêtise et de la lâcheté doit faire place à celui de l’intelligence et du courage. Nous le devons à la France et aux Français.
- Stéphane Buffetaut, dans BV
. Immigration : Trump triomphe face à la Cour suprême, Bayrou… sécurise l’apéritif
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#webtube : Trump emporte une victoire décisive sur le dossier migratoire : mais que font Macron et Bayrou ? La semaine qui s’ouvre marque une nouvelle étape dans le renforcement des pouvoirs du président américain Donald Trump. Et une étape supplémentaire dans l’impuissance du pouvoir en France, alors que la catastrophe migratoire et économique approche, toutes sirènes hurlantes. Le contraste parle de lui-même.
Sur son réseau Truth Social, Donald Trump a salué, vendredi, une séquence décisive dans la guerre qui l’oppose aux juges, notamment dans les dossiers qui concernent l’immigration. Un cri de joie sous forme de message triomphal sur son réseau Truth Social : « Gigantesque victoire à la Cour suprême américaine ! », lance Trump. Pour une fois, le président des États-Unis ne survend pas l’événement. Il franchit en effet un pas décisif dans la difficile reprise en main de l’immigration, exigée par ses électeurs mais bloquée par les juges fédéraux, la gauche et d’innombrables lobbies. Tout rapprochement avec la situation française… Explications : jusqu’ici, les juges fédéraux américains pouvaient tranquillement bloquer à l’échelle nationale les décisions de l’exécutif qu’ils considéraient comme illégales. Mais pour la Cour suprême, ce blocage des juges relève « probablement » d’un excès de pouvoir. Un véritable coup de tonnerre lancé par la plus haute juridiction américaine, qui a voté en ce sens par six voix (celles des conservateurs) contre trois (celles des progressistes). Et une victoire politique nette de Trump, désireux de limiter drastiquement l’immigration, dans le bras de fer qui l’oppose aux tribunaux.
À ce sujet — Sans surprise : toujours plus d’immigrés en France, nous dit le ministère de l’Intérieur
Révoquer le statut légal qui protégeait ces immigrés.
« Grâce à cette décision, nous pouvons désormais nous pourvoir en Justice pour faire progresser ces nombreuses mesures qui ont été bloquées de manière erronée à l’échelle nationale », triomphe le président républicain, poursuivant : « Nous en avons tellement. » Trump souhaite surtout revenir sur le principe du droit du sol, consacré par le 14e amendement de la Constitution, disposant que tout enfant né aux États-Unis est automatiquement citoyen américain. L’enjeu dépasse largement les États-Unis : il s’agit de savoir si Trump peut décider de refuser l’octroi automatique de la nationalité américaine à des milliers d’immigrés. Et envoyer un coup fatal aux innombrables lobbies sans-frontiéristes qui sévissent des deux côtés de l’Atlantique. En mai dernier, la même Cour suprême avait autorisé provisoirement Trump à révoquer le statut légal de 530.000 immigrés cubains, haïtiens, nicaraguayens et vénézuéliens. L’instance va permettre de révoquer le statut légal qui protégeait ces immigrés. Dans cette résistance, Trump emporte une bataille décisive qui n’a pas fini de retentir aux États-Unis et au-delà.
Trump décisif en Iran. Trump toujours agressif sur les droits de douane. Trump à l’offensive contre les excès de pouvoir des juges. Trump implacable sur l’immigration… Comment le tandem au pouvoir en France regarde-t-il ce combat acharné, mené pied à pied pour respecter le vœu des électeurs et rendre à l’Amérique sa grandeur, comme le promet Trump ? Comment voit-il les efforts accomplis avec un certain succès pour tirer l’État le plus puissant du monde du mauvais pas migratoire où il est lui aussi engagé ? Le contraste avec la paralysie française est tragique. Le même dossier migratoire fait en France l’objet d’infinies palabres, alors même que les chiffres donnés récemment par le ministère de l’Intérieur confirment une situation dramatiquement hors de contrôle. Le combat mené par Trump n’est pas mené en France, faute de volonté pour Emmanuel Macron. Faute d’autorité et de volonté pour François Bayrou. Le gouvernement Bayrou est à peu près désormais assuré de passer l’été. Rendez-vous, donc, au mois d’octobre pour la rentrée parlementaire. Il ne s’est rien passé cette année, il ne se passera rien avant l’automne. Tandis que Trump secoue le système sans ménagement, Bayrou glisse sur les chiffres du désastre économique (3.346 milliards d’euros de dette), évoque la proportionnelle (bienvenue au serpent de mer), ne touche en rien au pouvoir des juges et poursuit l’invasion migratoire. Macron, lui, fait le tour des monarchies. Surtout rester à la barre pour… ne rien faire, ne rien décider, ne rien changer. Le naufrage en douceur. Surtout, ne dérangez pas le capitaine Bayrou, il prend l’apéritif !
Marc Baudriller, dans BV
. Marine Le Pen et Bruno Retailleau préparent leurs partis à toute éventualité…
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#webtube : Ce dernier week-end de juin, à moins d’un an des municipales et deux de la présidentielle, est d’ordinaire l’occasion pour les partis politiques et leurs leaders de prendre date, de tester un slogan et de bien montrer qui est le patron. C’est bien ce qu’ont fait Bruno Retailleau, qui vivait son premier conseil national LR en tant que nouveau président, et Marine Le Pen, présidente du groupe RN à l’Assemblée lors d’une « convention de l’Union nationale », réunissant des parlementaires nationaux et européens de l’alliance RN-UDR (ciottistes).
Bruno Retailleau rode son discours et impose sa ligne
Tout auréolé de son élection triomphale, il y a un mois, à la présidence LR qui a affermi encore une popularité acquise à Beauvau, Bruno Retailleau a profité de ce premier conseil national pour renouveler les instances du parti et y placer ses proches à des postes clefs : Othman Nasrou en tant que secrétaire général, François-Xavier Bellamy au poste de vice-président délégué et Pierre Danon comme trésorier. Il a repris son discours sur et à destination de « la France des honnêtes gens », « cette France qui ne pille pas, n’agresse pas, n’attaque pas mais qui paie cher le coût de la sécurité, qui travaille dur et paie cash le prix de l’assistanat ». Ensuite, dans la perspective des municipales, Bruno Retailleau a clairement désigné l’ennemi : « la gauche mélenchonnisée » : « La gauche insoumise ou soumise à LFI, voilà nos adversaires », a-t-il lancé. Quant aux macronistes, il a tenu à clarifier son positionnement en justifiant l’entrée au gouvernement des LR depuis Barnier. Selon Retailleau, c’était un « défi qui n’était pas gagné » d’avance. « Nous sommes et nous étions des opposants à Emmanuel Macron », a-t-il rappelé, en écho au « Nous ne sommes pas devenus macronistes ! » lâché avec force par Gérard Larcher, quelques minutes plus tôt.
À ce sujet — [ÉDITO] Macron, « au bout du bout » !
Question de responsabilité, la même certainement qui fait que le RN ne votera pas la censure du PS : « C’était un choix pour éviter le pire, éviter le chaos budgétaire et la crise financière », mais pour éviter aussi « la gauche mélenchoniste ». Et les accords locaux LR-macronistes pour les municipales ? « Hors de question de leur offrir des victoires. » « Nous voulons faire élire des maires LR partout où nous pouvons et imposer nos couleurs », précise Otman Nasrou. Il n’empêche qu’au niveau local « pour les municipales, ça négocie de partout et ça va continuer », comme le confie un cadre au Monde. Enfin, Bruno Retailleau a bien pris soin de ne jamais évoquer le Rassemblement national. Il n’en est pas encore au « pas d’ennemi à droite », mais il parle de faire « barrage »… à la gauche ! On progresse ! Pas évoquées, non plus, d’éventuelles législatives ou présidentielle anticipées. De toute façon, désormais, avec un leader populaire incontesté en son sein qui est aussi présidentiable crédible, et un parti qui engrange les adhésions et a retrouvé une dynamique, LR peut aborder toutes ces échéances plus sereinement que ces dernières années.
Marine Le Pen et son « Ne procrastinez pas ! »
Il y avait le « Il faut donner du temps au temps » de Mitterrand. Il y aura désormais le « Ne procrastinez pas ! » de Marine Le Pen. Lors d’une réunion des parlementaires RN et UDR à l’Assemblée, elle a appelé les élus à se tenir prêts à une nouvelle dissolution : « N’oubliez pas que notre pire ennemi, c’est le temps. » Citant le général MacArthur, pour qui « les batailles perdues se résument en deux mots : trop tard », elle lance aux parlementaires : « Ne procrastinez pas ! À partir du moment où il y a une possibilité de dissolution, notre devoir, c’est de nous y préparer. » Pour Marine Le Pen, il s’agit d’éviter que se renouvelle la contre-performance des dernières législatives où les sondages promettaient une majorité au RN.
Que fera Macron, une fois Bayrou tombé ?
La fin du gouvernement Bayrou est dans toutes les têtes. Le PS est désormais prêt à le censurer, le RN a fixé l’échéance lors du budget et même Bruno Retailleau a prévenu, samedi, lors du conseil national : « Si demain il y avait, soit par des actes, soit parce que les uns ou les autres voudraient nous engager sur un chemin qui serait contraire à nos convictions ou qui serait contraire aux intérêts fondamentaux de la nation, alors nous pourrions en tirer les conséquences. Il n’a jamais été écrit que nous appartiendrons à ce gouvernement ou à un gouvernement pour l’éternité. » Tout est désormais l’affaire de quelques semaines, et des circonstances. Du kairos, aurait dit un certain Emmanuel Macron, au temps où il se prenait pour Jupiter. De Jupiter, il ne conserve plus que deux éclairs : le pouvoir de dissolution et la démission. La dissolution, qui serait une dissolution imposée, consacrerait l’abaissement absolu du Président. Et elle n’accoucherait pas forcément d’une majorité… Devant cet échec final, la démission s’imposerait. À moins que ce ne soit l’option qu’Emmanuel Macron active en premier ressort. Les appels en ce sens se multiplient, ces derniers jours. Et la démission lui permettrait d’éviter de s’abîmer définitivement. En tout cas, LR et RN sont prêts dans les deux cas. Et la question du « Trop tard » se pose aussi à Emmanuel Macron…
Frédéric Sirgant, dans BV
. La guerre civile au quotidien : exemple en Lorraine…
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#webtube : La guerre civile au quotidien s’ajoute à la spoliation des Français de ce qu’ils ont déjà payé et qui donc leur appartient. Ainsi l’État et ses prétendues « valeurs de la République » ne sert plus qu’à nous voler et à nous laisser massacrer. Plus rien ne justifie que nous lui accordions notre confiance, notre argent et le futur de nos enfants, dans aucune de ses institutions.
La semaine dernière j’ai dû me rendre en Lorraine pour des obsèques. J’ai donc réglé les péages de ces autoroutes déjà payées par nos impôts (Montpellier-Nancy). Une heure de stationnement à l’hôpital de Nancy coûte 4,50€, soit environ 30 francs de notre ancienne monnaie. Pourtant cet hôpital avec son parking a aussi déjà été payé par nos impôts. Mis à part le gavage éhonté des politiciens, le fauteuil du gros goitreux Larcher au prix exorbitant et les subventions pleuvant comme vache qui pisse sur les associations gauchistes et immigrationnistes, les millions donnés à Zelensky pour faire la guerre à la Russie – notre alliée des deux guerres mondiales – on se demande où passe notre argent tandis que les fermetures d’entreprises se multiplient et que les Français de souche sont de plus en plus nombreux à devenir pauvres.
Dans cette jolie Lorraine, où j’ai rencontré des gens fort sympathiques, vient de se produire l’une de ces agressions devenue si dangereusement banales que beaucoup de gens n’y font même plus attention, tandis que d’autres préfèrent ignorer les informations. À Uckange, dans cette Moselle que nos glorieux Poilus avaient eu tant de mal à reprendre aux Boches, des individus – devinez lesquels – ont organisé une attaque* un peu à la manière des westerns, sauf que là c’était « en vrai ». Ni la première du genre, ni la dernière sans doute. Ils ont empêché un autobus de circuler, le conducteur a appelé un contrôleur. À peine arrivé, celui-ci a été attaqué sauvagement par une dizaine d’individus, plaqué à terre et roué de coups au visage. L’intention de tuer est là évidente. Deux semaines d’incapacité totale de travail pour lui, qui ne faisait justement que son travail.
L’exploitant des transports urbains annonce que la zone concernée ne sera plus desservie, sans limitation de durée. Une bonne manière de faire comprendre que tout n’est pas permis aux habitants de l’endroit. Mais cette mesure pourrait n’avoir que peu de portée. Les habitants de Gaza ne se débarrassent pas du Hamas qui, après avoir semé le vent, leur fait récolter la tempête. Comment des parents dont les enfants se comportent en barbares feraient-ils mieux ? Quelle éducation leur ont-ils donnée ? Ils vont se déplacer à pied et protester contre les transports urbains que leurs descendants s’appliquent à empêcher de travailler, pire encore agressent avec volonté de tuer. Au bout d’un temps, des élus de gôche prétendront que ces gens sont discriminés, hurleront au racisme (tiens pourquoi donc ?) et exigeront la reprise de la desserte de la zone. Tout recommencera comme avant. Jusqu’à la prochaine fois.
Parmi ces habitants se trouvent malheureusement encore des gens ordinaires, des travailleurs qui se lèvent tôt, qui paient des impôts afin que l’État entretienne des millions de ces parasites qui, eux, ne travaillent pas, sont assistés, et en plus leur gâchent la vie à longueur de temps. S’ils vont se plaindre à la police, on leur répond qu’ils n’ont qu’à changer de quartier. Facile à dire quand on a une adresse justement située dans un « mauvais quartier » dont les autres ne veulent pas hériter. Parce qu’il faut bien savoir que les individus coupables de ces exactions en commettent d’autres, c’est leur style de vie : tapages nocturnes, rodéos dangereux, boîtes à lettres et caves dégradées, vente de drogue, provocations verbales et physiques, ascenseurs sabotés, poubelles et voitures brûlées, etc.
Qui paie à chaque fois ? Il y a vraiment là de quoi désespérer de travailler. Ainsi le travail, l’une des valeurs fondamentales de toute société civilisée, est-il une fois de plus dévalorisé au profit d’un « vivre-ensemble » qui n’est que pure chimère et d’un laisser-aller généralisé conduisant à la ruine.
Pendant ce temps, les flics multiplieront les procès envers ceux qui fumeront devant les écoles, sur les plages ou dans les parcs. Il faut dire que ce sujet est de première urgence ! Protéger nos enfants et nos anciens, assurer la sécurité des gens qui travaillent, déloger les squatteurs, arrêter les voleurs de métaux, supprimer les points de vente de drogue, intercepter les trafiquants d’armes ou protéger les exploitations agricoles ne sont pas les priorités sécuritaires de l’État français. Ses dirigeants sont décidés à laisser se développer la ruine de la France et des Français, la guerre civile jusque dans les endroits les plus éloignés des métropoles peuplées de gauchistes citadins, à laisser s’amplifier le chaos pour justifier toujours plus de mesures coercitives contre le peuple de souche et au bénéfice des envahisseurs. Il faut que cela soit dit.
Daniel Pollett, Riposte Laïque
. Le peuple doit imposer l’union des droites ! Aucune voix aux candidats qui s’y opposent !
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#webtube : Un sondage CSA pour CNews, Europe1 et le JDD donne un résultat sans appel. 74 % des électeurs de droite réclament l’union des droites pour en finir avec la culture de l’échec et la sinistre politique du centre gauche qui a coulé le pays dans tous les domaines. Même chez les Républicains, l’électorat réclame l’union à 68 % !
Malheureusement, il n’y a rien à attendre d’un Wauquiez ou d’un Retailleau qui jouent leur carte personnelle et refusent cette union salvatrice qui a fait le bonheur de la gauche en 1981. Quant à Larcher, il ne sert strictement à rien mais cautionne cette politique du pire.
Les deux piliers LR qui pensent faire cavalier seul en siphonnant l’électorat RN, comme l’avait fait Sarkozy en 2007, se trompent lourdement. Ils n’ont rien compris au ras-le-bol des électeurs, et l’élan de sympathie dont bénéficie Retailleau, malgré un bilan insignifiant, se brisera très vite sur son refus de l’union. Les électeurs RN, abusés en 2007 par un Sarkozy gauchiste, ne retomberont pas dans le piège LR.
« Les étiquettes, on s’en fout. Ce qu’on veut c’est gagner », clame l’électorat LR.
Un discours qui n’a aucune chance d’être entendu par une direction LR hypocrite, dont la seule obsession a été de combattre le FN depuis quarante ans en menant une politique de gauche. Cette fausse droite est aussi nuisible qu’inutile. Elle est un obstacle à la victoire et au sauvetage de la France.
Seul Eric Ciotti a claqué la porte en 2024 et fait le bon choix.
L’infatigable Sarah Knafo, dont la compétence et le courage me bluffent chaque jour davantage, s’adresse aux responsables politiques dans le JDD pour en finir avec les divisions stériles qui font tant de mal au pays et qui conduisent à dérouler le tapis rouge à la gauche et au centre à chaque élection.
« Quand allez vous vous allier? » demande Sarah.
Chez Reconquête, 95 % des électeurs veulent l’union et 78 % au RN.
La droite au sens large, LR, RN + Reconquête, pèse 53 % de l’électorat au premier tour, nous rappelle Sarah.
Mais personne n’est assez fort pour gagner seul. Le peuple de droite le sait très bien et veut gagner, après les ravages des années Hollande et Macron.
Au Sommet des Libertés, mardi soir, la première pierre de l’union a été posée.
NDA, Bardella, Ciotti, Sarah, Marion étaient là, entourés de militants de toutes les composantes de droite. Mais pas une seule figure LR n’a voulu participer à cette grand-messe de la droite unie.
Après la fracassante rupture Zemmour-Marion, voir Sarah et Marion sur le même bateau a quelque chose de réconfortant.
Le temps presse. Ce sont les électeurs qui ont les cartes en main, mais plus particulièrement les électeurs LR, qui doivent imposer leur choix de l’union à des responsables sans éthique, qui réclament leur vote mais les ignorent, pour ne pas dire qu’ils les méprisent.
Par conséquent, c’est très simple, aucune voix de droite ne doit aller à un candidat qui refuse l’union. À commencer par Retailleau ou Wauquiez. Il faut boycotter les ennemis de l’union qui nous promettent la défaite et font le jeu des fossoyeurs de la nation.
C’est la seule façon de rappeler à ces élus méprisants que le peuple est souverain. Et c’est la seule façon de sauver notre pauvre France en perdition.
Jacques Guillemain, Riposte Laïque