Articles : Avril 2025 – Mar 2025 – Fev 2025 – Jan 2025 – Facebook : https://www.facebook.com/profile.php?id=100069673161887 Twitter : https://twitter.com/OrtfNews Music 24/24 : http://DJMUSIC.fr

°° WEBTUBE : Dans un monde et un environnement de plus en plus hostile avec un Etat de plus en plus défaillant incapable de vous porotéger, Webtube met en avant ici un site qui récapitule les bonnes pratiques pour se préparer à un futur Chaos qui ne manquera pas survenir tôt ou tard…. C’est bien d’y penser, c’est encore mieux de s’y préparer.
http://webtube.fr/resilience-survie/
. La chanson du jour, Bee Gees – Alone
Articles : Avril 2025 – Mar 2025 – Fev 2025 – Jan 2025 – Facebook : https://www.facebook.com/profile.php?id=100069673161887 Twitter : https://twitter.com/OrtfNews Music 24/24 : http://DJMUSIC.fr

°° WEBTUBE : Des voix inimitables que l’on reconnait dès la première écoute. Une véritable Bee Gees “touch”. On n’aime pas, on adore !
°° WEBTUBE : Inimitable voices that you recognize from the first listen. A true Bee Gees “touch.” We don’t just love it, we love it!
. Géopolitique. Retour sur les fondamentaux
Articles : Avril 2025 – Mar 2025 – Fev 2025 – Jan 2025 – Facebook : https://www.facebook.com/profile.php?id=100069673161887 Twitter : https://twitter.com/OrtfNews Music 24/24 : http://DJMUSIC.fr

°° WEBTUBE : A la fin de la Seconde Guerre mondiale, le monde était divisé en deux entre le bloc communiste et ce qu’il était convenu de désigner comme « le camp de la liberté ». De même que la Première Guerre mondiale avait vu disparaître les empires monarchiques, les conséquences de la seconde furent la disparition des empires coloniaux. La voie était alors libre pour ceux qui, depuis plus de deux cent ans, aspiraient à dominer le monde, à l’unique condition de faire disparaître les souverainetés nationales. Un tel dessein ne pouvant s’accomplir qu’au détriment des peuples qui allaient voir leurs cultures et leur identités diluées dans un ensemble informe et déshumanisé, il était impératif d’entourer tout ceci d’un halo de mystère propre à dissimuler les intentions réelles de cette infime minorité.
La montée des puissances souterraines
Devant cette nécessité d’agir dans l’ombre, il fallait donner aux opinions publiques, et notamment à celle du pays le plus puissant, l’illusion d’un pouvoir issu de la volonté populaire.
Afin d’exercer la réalité de ce pouvoir, désigné aujourd’hui comme étant « l’État profond », celui-ci s’est progressivement mis en place et a patiemment et discrètement colonisé tous les étages de l’administration fédérale américaine avant de s’internationaliser, ou plus exactement de « s’extraterritorialiser ». Pour y arriver, il fallait continuer à contrôler l’émission du dollar qui, tout en restant la monnaie domestique américaine, était devenu la monnaie mondiale après les accords de Bretton-Woods de 1944. Mais il fallait également contrôler l’armée américaine, devenue sans rivale depuis 1945 et, plus important encore, prendre le contrôle des médias et plus particulièrement ceux de grande diffusion née des technologies récentes.
Peter Dale Scott a consacré trois livres à cette mise en place progressive de cet État profond devenu tentaculaire au fil du temps.
Pourtant, dès 1934, les mises en garde adressées au peuple américain n’ont pas manqué, telle celle-ci : « Nous avons dû lutter contre les vieux ennemis de la paix: le monopole commercial et financier, la spéculation, la pratique bancaire immorale, l’antagonisme des classes, la défense des intérêts particuliers, les profiteurs de guerre. Ils ont commencé à considérer le gouvernement des États-Unis comme un simple appendice de leur propres affaires. Nous savons maintenant qu’il est tout aussi dangereux d’être gouverné par le crime organisé que par l’argent organisée ».
Franklin Delano Roosevelt, 1936
Dwight Eisenhower puis JFK respectivement en 1961 et 1963 ont également lancé l’alerte.
La guerre qui surplombe toutes les autres
Il est dans la nature des choses (et des hommes) que tout pouvoir ayant une propension à l’absolutisme génère tôt ou tard un contre-pouvoir. Aujourd’hui, ce contre-pouvoir semble incarné par Donald Trump. Dès son arrivée à la Maison Blanche en janvier 2017, il n’a jamais caché que son adversaire était le « deep state » qu’il comparait à une sorte de « marigot qu’il fallait assainir » (drain the swamp) de même qu’il n’a jamais fait mystère de son opposition à un monde « monopolaire ». Il a pu se faire une idée assez exacte de l’étendue du pouvoir de l’État profond tout au long de son premier mandat et en perdant l’élection de 2020 qui l’a écarté des affaires, sans pour autant que cessent les attaques, notamment judiciaires, contre lui pendant les presque quatre ans qui suivirent.
Durant cette période, ses équipes ne sont pas restées inactives. Elles semblent avoir soigneusement mis au point le plan destiné à porter un coup fatal à cet adversaire.
Son récent retour à la Maison Blanche a démontré l’efficacité des actions entreprises et a conduit cet État profond à se replier là où il pouvait encore le faire, c’est à dire en Europe de l’Ouest. Il y dispose notamment de la City londonienne pour la finance et de l’OTAN pour la puissance militaire.
En outre il y dispose de la « bienveillance » de certains dirigeants européens qu’il a contribué, d’une façon ou d’une autre, à mettre en place.
Mais Donald Trump ne semble pas pour autant avoir cessé de combattre cet État profond supranational dont l’objectif principal est d’établir un monde monopolaire dirigé par un gouvernement mondial. Le discours remarqué du vice-président Vance à Munich contre les élites européennes et les actions de soutien aux partis souverainistes des pays membre de l’UE menées par Elon Musk participent de ce combat.
La recherche des alliances
Donald Trump a pu mesurer le pouvoir énorme dont dispose encore ses adversaires à la tête de cet État profond et il paraît logique qu’il cherche à s’allier avec des pays ayant un intérêt commun à lutter contre lui. D’après le principe quasi-mathématique « l’ennemi de mon ennemi est mon ami » le rapprochement entre Donald Trump et Vladimir Poutine trouve sa justification et on peut douter de la sincérité de ceux qui semblent s’en étonner. Par ailleurs, le rapprochement avec la Chine paraît également être amorcé et, en dépit d’une apparente guerre des droits de douane, va se poursuivre dans le but d’obtenir, à minima, une forme de « neutralité bienveillante » de la part de cette dernière dans ce combat de titans qui s’annonce, opposant l’État profond supranational et mondialiste au reste du monde.
Le détonateur de la guerre en Ukraine
Dans ce contexte, la guerre en Ukraine doit être examinée avec attention. Présentée comme une agression délibérée de la Russie envers l’Ukraine, les conséquences immédiates furent des sanctions économiques contre la Russie, sanctions qui devaient « mettre son économie à genoux »
Il est rapidement apparu que tout ceci n’était qu’une sorte de prétexte qui devait conduire à un affrontement entre l’OTAN et la Russie, ou plus précisément entre l’État profond et la Russie. Car les causes de ce conflit étaient bien antérieures à 2022 et remontaient à 2014 et les évènements de la place Maidan, dans lesquels Victoria Nuland, numéro deux du département d’État, avait reconnu être impliquée. L’attitude de Donald Trump face à cette guerre montre clairement qu’il en fait porter la responsabilité non pas à la Russie de Poutine mais bel et bien à l’État profond et que, si elle ne s’arrête pas, ce sont les États-Unis qui se dégageront et cesseront toute aide à l’Ukraine et (même s’il ne le dit pas clairement) sortiront de l’OTAN.
Car la crainte, probablement justifiée de Donald Trump est que cette guerre se transforme en un affrontement entre la Russie et des puissances nucléaires européennes toujours sous l’influence mondialiste de l’État profond. Ces deux pays sont la France et l’Angleterre et on ne voit pas à quel titre elles pourraient être menacées par la Russie. Par contre le danger grandissant est celui décrit dans « le piège de Thucydide », non pas entre la Chine et les États-Unis mais entre l’État profond et le reste du monde. Une guerre entre puissances nucléaires ne peut que déboucher sur un conflit nucléaire car on ne voit pas comment le perdant pourrait renoncer de lui-même à l’emploi de l’arme nucléaire si celui-ci lui évite la défaite…
L’enjeu est l’ordre mondial
La guerre en Ukraine a été un accélérateur prodigieux en faveur d’un monde multipolaire car elle a permis, au travers d’un certain nombre de votes dans le cadre de l’ONU, de constater que la Russie était de moins en moins isolée et qu’un nombre très important de pays ne voulaient plus subir la domination occidentale, souvent imposée par la puissance de l’armée américaine.
La réélection de Donald Trump et sa reprise en main de l’armée et de l’administration américaine a encore renforcée cette tendance lourde. Nombreux sont les observateurs qui, comme Jeffrey Sachs, admettent d’une manière quasi-officielle que la venue d’un monde multipolaire est inéluctable.
Aujourd’hui, l’inventaire des forces en présence est de moins en moins favorable aux partisans d’un monde monopolaire. L’État profond américain ne peut pratiquement plus intervenir sur la politique étrangère américaine, que ce soit sur le plan diplomatique comme sur le plan militaire. Son influence médiatique est très diminuée par la cessation d’activité d’USAID. Il lui reste, et c’est loin d’être négligeable, le pouvoir d’émettre des dollars, mais pour combien de temps encore ?
En face, nous avons la création de nouvelles alliances, reposant sur la perspective d’un monde respectueux des souverainetés nationales et dont les pivots seront les continents dans lesquels les grandes puissances exerceront naturellement leur influence en les dotant des infrastructures nécessaires au développement des voies de communication internes à ces continents.
Cela mettra probablement un terme à la domination vieille de plus de cinq siècles des puissances maritimes dont la propension naturelle a toujours été de dominer la planète en se rendant maître de tous les acheminements des denrées et des produits.
Tels sont les véritables enjeux de la partie qui se déroule sous nos yeux.
Jean Goychman
[cc] Breizh-info.com
. Après la manifestation monstre de Dublin. Yan Mac Oireachtaigh : « L’immigration massive a dévasté l’Irlande »
Articles : Avril 2025 – Mar 2025 – Fev 2025 – Jan 2025 – Facebook : https://www.facebook.com/profile.php?id=100069673161887 Twitter : https://twitter.com/OrtfNews Music 24/24 : http://DJMUSIC.fr

°° WEBTUBE : À Dublin, la contestation contre l’immigration massive monte d’un cran. Ce week-end, une manifestation placée sous le signe de la lutte contre l’immigration a réuni des milliers d’irlandais, venus dénoncer la politique migratoire du gouvernement et défendre l’identité nationale. Parmi eux, Yan Mac Oireachtaigh, membre du National Party, figure montante d’un mouvement qui gagne en popularité sur fond de crise du logement et de malaise social. Breizh-info.com a pu l’interroger à l’issue de cette mobilisation pour mieux comprendre sa vision de la remigration, son diagnostic sur l’état de l’Irlande, et les propositions concrètes de son parti pour inverser le cours des choses. Interview.
Breizh-info.com : Vous étiez présent ce week-end à Dublin avec votre parti derrière une banderole appelant à la remigration. Pourriez-vous expliquer ce que vous entendez exactement par « remigration » et comment vous envisagez sa mise en œuvre en Irlande ?
Yan Mac Oireachtaigh : Oui, j’étais présent, menant les chants aux côtés de mon collègue John McLoughlin. Pour nous, la réémigration est un concept assez simple : un système progressif de renvoi des ressortissants étrangers vers leur pays d’origine. Cela commencerait par le renvoi immédiat de tous les immigrants illégaux, suivi des bénéficiaires de l’aide sociale, des personnes inscrites sur les listes d’attente pour un logement et des criminels. Une fois cette étape franchie, tous les immigrants légaux présents dans le pays seraient soumis à un contrôle individuel, car ils constituent la majeure partie des ressortissants étrangers en Irlande et, par défaut, la majeure partie de l’immigration de remplacement. Cette mesure s’accompagnerait d’une forte diminution du nombre de personnes autorisées à entrer dans le pays.
Breizh-info.com : Pourquoi pensez-vous que la remigration est nécessaire pour l’Irlande aujourd’hui ? Quels problèmes spécifiques pensez-vous que l’immigration massive a causés ?
Yan Mac Oireachtaigh : L’immigration massive a dévasté l’Irlande, vidant notre pays au point que tous les grands centres urbains sont désormais méconnaissables. À première vue, la démographie peut nous sembler favorable, mais l’Irlande est un petit pays. Nous assistons à une augmentation monumentale de l’immigration et de l’émigration des jeunes, ce qui accélère notre remplacement à un rythme rapide par rapport à la plupart des autres nations européennes. La principale raison pour laquelle les jeunes partent est la crise du logement, qui est le problème le plus urgent. Cependant, la crise du logement n’est qu’une crise de l’immigration déguisée en autre chose par notre régime. Les gens n’ont plus les moyens de vivre en Irlande ou de fonder une famille, même en travaillant à temps plein. De plus, la criminalité augmente et la société irlandaise est de plus en plus marquée par la méfiance. Cela a été la goutte d’eau qui a fait déborder le vase, car les Irlandais sont généralement très soudés et en ont assez de l’immigration massive et de ses conséquences.
Pour faire simple, je ne prends pas la peine de répondre et nous ne donnons pas de crédit à ces groupes. Ce que nous faisons, nous le faisons par amour pour notre pays, notre peuple et notre patrimoine.
Breizh-info.com : Selon vous, quel rôle ont joué les événements récents, tels que la crise du logement ou les incidents impliquant des migrants, dans l’évolution de l’opinion publique en faveur de vos idées ?
Yan Mac Oireachtaigh : Je pense que cette question a atteint un niveau critique aux yeux du public, ce qui était évident lors des élections lorsque je faisais campagne ; le soutien était très prometteur. Les Irlandais étant très soudés, les vidéos ou les incidents impliquant des migrants se propagent comme une traînée de poudre, attisant la colère de la population. Ils sont furieux contre les politiciens qui ont provoqué cette situation et encore plus en colère contre les faux partis nationalistes d’opposition, tels que le Sinn Féin, pour avoir trahi leur base.
Breizh-info.com : Nous avons constaté une forte participation aujourd’hui. Pensez-vous que la classe politique irlandaise est complètement déconnectée des préoccupations des citoyens ordinaires en matière d’immigration ?
Yan Mac Oireachtaigh : Oui, je le pense. Je pense qu’avec le temps, nous pouvons nous attendre à une montée de la colère, qui se traduira par une participation encore plus importante aux manifestations. Cependant, l’essentiel est de traduire cette métapolitique dans l’arène politique, dans les urnes. Même si les progrès sont lents, je pense que les choses avancent bien ; les manifestations montrent à quel point le mouvement de remigration gagne en popularité. Le régime irlandais fonctionne, vit et occupe une bulle qui n’a pas encore éclaté, mais ce moment approche à grands pas. Les choses se passent lentement, puis tout bascule d’un coup.
Breizh-info.com : Comment faites-vous la distinction entre l’immigration légale, les demandeurs d’asile et l’immigration clandestine dans votre vision politique ?
Yan Mac Oireachtaigh : L’immigration illégale, l’immigration légale et les demandeurs d’asile sont autant de problèmes auxquels la nation irlandaise est confrontée. Les immigrants illégaux doivent être expulsés immédiatement, car ils n’ont pas leur place en Irlande. La grande majorité des soi-disant demandeurs d’asile ne sont que des opportunistes et des migrants économiques ; ils devraient également être expulsés. Comme indiqué précédemment, les immigrants légaux sont les plus nuisibles à l’Irlande en raison de leur nombre élevé. La solution consiste à réduire fortement le nombre d’arrivées et à examiner au cas par cas les personnes déjà présentes légalement afin de déterminer qui sont les invités bienvenus et qui ne le sont pas.
Breizh-info.com : Votre mouvement met souvent l’accent sur l’identité nationale irlandaise. Comment définissez-vous le fait d’être « irlandais » aujourd’hui, et comment voyez-vous cette identité menacée ?
Yan Mac Oireachtaigh : Il n’y a pas d’autre vérité que la vérité historique: un Irlandais est un Gaélique, ou du moins en grande partie gaélique. Un simple document, tel qu’un passeport, ne rendra jamais quelqu’un irlandais ; c’est dans le sang. Soit on l’a, soit on ne l’a pas. Notre importante diaspora, qui est irlandaise, n’a pas besoin – ou ne devrait pas avoir besoin – d’un document pour proclamer son irlandaisité. Si un passeport fait de vous un ressortissant irlandais, il ne fait pas de vous un Irlandais. La machine à confettis que sont les cérémonies des « Irlandais de papier » est l’une des menaces les plus graves pour l’identité irlandaise, car les politiciens du régime tentent de mettre un prix sur notre patrimoine, notre race et notre nation.
Breizh-info.com : Au-delà de l’immigration, quels sont les autres piliers clés du programme politique du National Party pour l’avenir de l’Irlande ?
Yan Mac Oireachtaigh : L’une de mes propositions préférées, en tant que locuteur irlandais, est notre vision de supprimer progressivement l’anglais de tous les établissements d’enseignement primaire et secondaire et de les transformer en écoles où l’irlandais est la seule langue d’enseignement. Cela permettra de redynamiser notre langue une fois pour toutes, et cela ne prendra qu’une génération. Nous proposons également une solution nationale globale aux problèmes posés par les financiers internationaux en mettant en place une monnaie nationale à la place de l’euro, parallèlement à une augmentation spectaculaire des dépenses de défense. Alors que nous entrons dans un ordre mondial multipolaire, nous devons veiller à ce que l’Irlande puisse défendre ses propres frontières.
Breizh-info.com : Certains observateurs internationaux rappellent que l’Irlande est, historiquement, un pays d’émigration. Comment conciliez-vous l’histoire de l’émigration irlandaise avec votre appel à la remigration ?
Yan Mac Oireachtaigh : Oui, l’Irlande est un pays aux mille adieux, et cela reste un problème important à ce jour. Les émigrants irlandais auraient dû être le premier groupe vers lequel notre gouvernement se serait tourné si nous avions eu besoin d’un coup de pouce dans un secteur spécifique de l’emploi ou pour rajeunir une population en déclin sans provoquer de conflits de diversité interne ou d’immigration de remplacement. Notre diaspora est notre famille bannie ; elle devrait avoir la possibilité de rentrer chez elle ! Notre appel à la remigration fonctionne dans les deux sens : renvoyez les autres chez eux pour ramener les nôtres !
Breizh-info.com : Enfin, si demain le gouvernement tombait et que vous aviez le pouvoir de changer la politique d’immigration, quelles seraient vos trois premières mesures ?
Yan Mac Oireachtaigh : Si une telle opportunité se présentait, nous mettrions rapidement en œuvre les trois mesures suivantes :
- Geler immédiatement tous les visas récemment délivrés, avec un examen mené par le ministère de la Justice nouvellement nommé.
- Mettre en place des contrôles aux frontières beaucoup plus stricts et commencer un examen au cas par cas de toutes les personnes présentes dans le pays afin d’identifier celles qui sont les bienvenues et celles qui ne le sont pas.
- Commencer l’expulsion de toutes les personnes indésirables avec effet immédiat.
Propos recueillis par YV
[cc] Breizh-info.com
. Panne d’électricité géante : le grand vertige
Articles : Avril 2025 – Mar 2025 – Fev 2025 – Jan 2025 – Facebook : https://www.facebook.com/profile.php?id=100069673161887 Twitter : https://twitter.com/OrtfNews Music 24/24 : http://DJMUSIC.fr

°° WEBTUBE : Le mot est de Barjavel. « Contrairement à ce que l’on pense, [notre monde] n’est pas solide du tout, il est extrêmement vulnérable, d’autant plus vulnérable qu’il est plus compliqué, plus parfait, plus technique. » La grande panne d’électricité qui a touché, ce 28 avril, l’Espagne et le Portugal ainsi que le sud de la France ramène à l’écrivain, auteur de Ravage, paru en 1943. « C’était l’histoire d’une civilisation qui s’écroule parce qu’elle manque d’énergie », expliquait-il à la télévision, vingt ans plus tard. Ce 28 avril, le réseau électrique portugais REN a confirmé l’ampleur de la secousse : « REN confirme une coupure massive de l’approvisionnement électrique dans toute la péninsule Ibérique, qui affecte aussi une partie du territoire français et dont l’impact a atteint le Portugal à partir de 11h33. » Le gouvernement espagnol a convoqué une réunion de crise, l’EDF local a lancé un plan d’urgence pour rétablir l’alimentation électrique progressivement. Aéroports, métros, chemins de fer sont paralysés, les systèmes de paiement sont en carafe… Si cette panne devait durer, les batteries électriques seraient à plat, les téléphones mobiles des objets inertes, les ordinateurs, les réseaux informatiques et les voitures électriques aussi utiles qu’une machine à vapeur conservée dans le formol. C’est le retour au monde d’avant, où on se déplaçait peu ou pas. Où la fée électricité, comme on l’appela, est partie sans laisser d’adresse.
« Le courant flanchait partout »
En fin d’après-midi, le courant est revenu dans le nord, le sud et l’ouest de l’Espagne. Reste la cause, inconnue à l’heure où nous écrivons. Pas rassurant. Et un constat : cette impression de gambader sur un château de cartes, un échafaudage instable. La panne espagnole jette à la figure de nos contemporains la dépendance des sociétés modernes, comparable à celle d’une fin de vie : l’autonomie n’existe plus.
« – Vous ne savez pas ce qui est arrivé ?, racontait Barjavel, dans Ravage. Tous les moteurs d’avions se sont arrêtés hier à la même heure, juste au moment où le courant flanchait partout. Tous ceux qui s’étaient mis en descente pour atterrir sur la terrasse sont tombés comme une grêle. Vous n’avez rien entendu, là-dessous ? Moi, dans mon petit appartement près du garage, c’est bien un miracle si je n’ai pas été aplati. Quand le bus de la ligne 2 est tombé, j’ai sauté au plafond comme une crêpe… Allez donc jeter un coup d’œil dehors, vous verrez le beau travail ! »
En 1943, ce scénario de science-fiction donnait déjà le vertige. Depuis, l’électricité et la technique portent toute une civilisation. La grande panne, régulièrement évoquée, fait trembler, et pas seulement les amateurs de sensations fortes au cinéma. Souvenez-vous : la menace de l’arrêt des ordinateurs, le 31 décembre 2000, a généré des milliers de contrats aux sociétés de service informatiques. Une pluie d’or. L’an 2000, c’est l’âge de pierre. On a encore, depuis, accéléré nos dépendances dans tous les domaines de la vie quotidienne.
Sur ces entrefaites, la guerre de l’énergie, animée par les États-Unis et la Russie, a brouillé les cartes et fait exploser les prix. La guerre en Ukraine et les délires écologistes ont fait le reste. L’homme des années 2020 découvre la précarité énergétique.
Écroulement
Barjavel ajoutait : « Je crois que notre civilisation approche d’une crise qui sera peut-être une fin de civilisation. Mais ce ne sera pas la première, il y en a bien eu d’autres », relativisait-il. Le fruit, selon lui, d’un faux « progrès ». « Un progrès accéléré vers la mort », disait-il. Les hommes « emploient pendant quelque temps [leurs] forces pour construire, puis un beau jour, parce que les hommes sont des hommes, c’est-à-dire des êtres chez qui le mal domine le bien, parce que le progrès moral de ces hommes est loin d’avoir été aussi rapide que le progrès de leurs sciences, ils tournent celle-ci vers la destruction. »
Vingt ans plus tard, en 1976, Barjavel ajoutait, à la télévision : « Imaginez ce qu’il se passe si tout à coup l’énergie s’arrête : c’est l’écroulement, c’est le commencement de la décomposition, c’est comme un corps où le sang ne circule plus. » On ne saurait mieux décrire notre temps. Et Bernanos ajoutait, dans le prophétique La France contre les robots : « Un homme gagné pour la technique est perdu pour la liberté. »
Il y a, derrière le mystérieux effondrement électrique espagnol, quelque chose du commandement du mercredi des Cendres : « Souviens-toi que tu es poussière. » La dépendance à l’énergie et à la technique court aussi vite que le ras-le bol qu’elle engendre. Une vis sans fin ?
Marc Baudriller, dans BV
. Manif « contre l »islamophobie » : larmes de crocodile et appel à la sédition
Articles : Avril 2025 – Mar 2025 – Fev 2025 – Jan 2025 – Facebook : https://www.facebook.com/profile.php?id=100069673161887 Twitter : https://twitter.com/OrtfNews Music 24/24 : http://DJMUSIC.fr

°° WEBTUBE : À l’appel de La France insoumise, un rassemblement « contre l’islamophobie » s’est tenu dimanche, place de la République. Une réponse de la gauche qui s’est levée comme un seul homme, comme nous l’avons décrit, après le meurtre dont a été victime Aboubakar Cissé, fidèle musulman tué dans une mosquée de La Grand-Combe (Gard), le vendredi 25 avril.
Jean-Luc Mélenchon s’est distingué par un numéro de compassion à tirer des larmes, les siennes. Le leader LFI est interpellé par une musulmane présente au rassemblement : « Monsieur Mélenchon, on ne se sent plus en sécurité, nous, les musulmans. On sort la boule au ventre. » Avec une mine déconfite, l’homme prend alors la femme dans ses bras dans une étreinte, comme Staline, le petit père des peuples, aurait pris le monde des travailleurs dans ses bras : il embrasse toute la communauté musulmane. Devants les caméras, Jean-Luc Mélenchon dénonce ensuite « une ambiance, un climat islamophobe », « entretenu, cultivé », « des mois durant », « et chacun, jusqu’aux plus officiels, s’est senti autorisé à faire des déclarations dont sans doute ils ne mesuraient pas toute la portée et toute la violence pour ceux qui avaient à la subir », sonnant la charge contre le ministre de l’Intérieur. « Lorsqu’on entretient une telle ambiance, on ne doit pas s’attendre à autre chose que les esprits les plus dérangés y trouvent une justification pour leurs actes. » Fermez le ban, les responsables, ne sont plus les criminels mais cette « islamophobie », « incitation à toutes les violences, jusqu’au meurtre ».
🚨🇫🇷🕌 FLASH – Jean-Luc Mélenchon, submergé par l’émotion, serre dans ses bras une femme en larmes. Entre sanglots, elle confie : "Tous les musulmans ont peur". (@CLPRESSFR) pic.twitter.com/wEK8CQiSOw
— AlertesInfos (@AlertesInfos) April 27, 2025
À ce sujet — [POINT DE VUE] Meurtre dans une mosquée : « récupération politique » de la gauche
Des appels « à l’insurrection »
Non loin de là, on retrouve Ritchy Thibault, le collaborateur parlementaire d’Ersilia Soudais, députée LFI de Seine-et-Marne. Il lance ses diatribes au micro de son mégaphone : « Oui, l’islamophobie tue en France comme l’antisémitisme a tué en son temps. » Il pourfend « les torchons d’extrême droite » : « C’est CNews, c’est Monsieur Bolloré, c’est Frontières », « ils ont du sang sur les mains, l’extrême droite tue ! » On a bien compris que, pour LFI, le contrôle des médias était une priorité. Le parti milite pour la création d’une commission d’enquête parlementaire « portant sur l’islamophobie » où serait surveillé « le rôle des médias », « dans la construction de stéréotypes négatifs à l’égard de l’islam ». L’homme poursuit ses harangues en appelant quasiment à la sédition : « Ce qu’il faut dire aujourd’hui, c’est qu’on ne peut pas compter sur les institutions : la police, la Justice véhiculent l’islamophobie et le racisme, explique l’homme à qui l’accès à l’Assemblée nationale a été interdit. Je le dis, je l’assume, il faut qu’on se défende par nos propres moyens. Il faut constituer partout dans le pays des brigades d’auto-défense populaire. » Des appels « à l’insurrection », selon le ministre de l’Intérieur, qui a annoncé avoir saisi la Justice. Bruno Retailleau avait déjà porté plainte pour injure publique contre cet assistant parlementaire lorsque, en octobre 2024, Ritchy Thibault avait comparé les policiers aux « enfants de Pétain ».
Dans un coin de la manifestation, le député PS de l’Essonne Jérôme Guedj est rejeté aux cris de « sioniste, dégage ». « Derrière les “sale sioniste” que j’ai entendus, j’entendais évidemment autre chose », a réagi le parlementaire, sous-entendant que ses origines juives étaient visées.
Des lois républicaines charia-compatibles
Ailleurs dans le rassemblement, les revendications des participants fleurissent dans les prises de parole : « 1re, 2e, 3e intifada », entend-on, « Aboubakar est victime de tout le poids du racisme d’État » ou encore « on va faire abroger les lois islamophobes, à commencer par l’interdiction du port du voile à l’école ». « Faire abroger les lois islamophobes, c’est rendre les lois républicaines charia-compatibles », a réagi l’anthropologue Florence Bergeaud-Blackler. « Les Frères [musulmans, NDLR] organisent une chasse à l’islamophobe avant même de connaître le mobile, la nature, la qualification pénale du crime », remarque-t-elle.
Il faut dire que l’extrême gauche ne s’encombre pas de ce genre de détails. Pour caresser ses intérêts électoraux, il n’y a plus de limite. Son indignation à géométrie variable ne trompe donc plus personne et se retrouve dans ce titre de L’Humanité en novembre 2024 : « Thomas, Lola, Philippine : comment l’extrême droite mise sur les faits divers avec le soutien des médias Bolloré ».
Même Abdallah Zekri, recteur de la mosquée Sud-Nîmes et vice-président du Conseil français du culte musulman (CFCM), ne s’y trompe pas. Il déclarait, le jour de la manifestation parisienne et d’une marche blanche organisée à La Grand-Combe : « Ce n’est pas le moment », critiquant les « élus qui tentent de récupérer politiquement » le meurtre. « Je comprends bien que les élections municipales arrivent, mais la décence s’impose. » Tout ceci est en effet limpide comme de l’eau de roche.
Yves-Marie Sévillia, dans BV
. La paix en Ukraine sera russe ou ne sera pas
Articles : Avril 2025 – Mar 2025 – Fev 2025 – Jan 2025 – Facebook : https://www.facebook.com/profile.php?id=100069673161887 Twitter : https://twitter.com/OrtfNews Music 24/24 : http://DJMUSIC.fr

°° WEBTUBE : Soit Trump adopte le plan de Poutine, soit il laisse l’Europe s’embraser et plonger dans l’inconnu. Mais le plan de Zelensky ne verra jamais le jour. Il est clair que les deux plans de paix proposés, celui de Trump et celui des Européens, sont aussi compatibles que l’eau et le feu. On voit donc mal quel compromis pourrait émerger de ces discussions sans fin. Quand tout le monde aura compris que Poutine ne remisera sa panoplie de missiles et de bombes que lorsqu’il aura atteint tous ses objectifs, on pourra réellement envisager la paix.
Ce que veut Poutine est connu et n’a pas changé :
– Reconnaissance comme territoires russes de la Crimée et des quatre oblasts de Donetsk, Lougansk, Kherson et Zaporijjia, qui sont inscrits dans la Constitution
– Neutralité de l’Ukraine avec impossibilité d’intégrer l’Otan
– Démilitarisation de l’Ukraine
– Dénazification du régime de Kiev
– Pas de troupes Otan déployées en Ukraine
– Garanties de sécurité pour l’Europe
– Annulation des sanctions économiques
– Récupération des avoirs de la Banque de Russie volés par les Occidentaux (300 milliards de dollars).
Celui de Zelensky et des Européens se situe à 180°
– Aucune concession territoriale, ni sur la Crimée ni sur le Donbass
– Réarmement de l’Ukraine pour prévenir toute nouvelle guerre
– Négation de la nazification du régime de Kiev
– Déploiement de soldats européens pour garantir la paix, sous protection américaine
– Financement de la reconstruction de l’Ukraine avec les avoirs russes
– Intégration de l’Ukraine dans l’UE
– Espoir de voir Kiev intégrer l’Otan après le mandat de Trump.
Mais c’est mal connaître l’âme russe et l’histoire de ce grand pays que d’envisager un tel scénario après trois ans de guerre, alors que Moscou domine sur le terrain et tient tête à une coalition de 50 nations pro-Ukraine.
Trump semble pencher du côté de Poutine, ayant bien compris que le Tsar ne lâchera rien et que cette guerre risque de s’éterniser aussi longtemps que l’Otan soutient Zelensky.
Mais l’hôte de la Maison-Blanche souffle le chaud et le froid. Il veut la paix mais continue d’armer l’Ukraine, même si la cadence des livraisons d’armes s’est ralentie.
Il maintient les sanctions et veut faire main basse sur les terres rares que possède Kiev. Veut-il réellement faire la paix pour en finir avec l’hécatombe ou veut-il la paix pour mieux dépecer l’Ukraine ? Ses déclarations ambiguës interrogent.
La propagande antirusse n’a pas désarmé. Plus le mensonge est gros, plus il passe.
– Les mêmes qui accusent Poutine d’être l’agresseur oublient l’agression de Kiev contre les populations russes du Donbass, une guerre lancée depuis 2014
– Les mêmes qui ont fomenté le coup d’État de 2014 à Kiev prétendent défendre la démocratie !
– Les mêmes qui engagent la France aux côtés de l’Ukraine, sans consulter le peuple ni le Parlement, violent la démocratie en prétendant la défendre
– Les mêmes qui ont refusé d’appliquer les accords de Minsk, Allemands et Français, accusent Poutine de les avoir violés !
– Les mêmes qui se gargarisent avec l’intégrité territoriale de l’Ukraine oublient qu’ils ont dépecé la Serbie en l’amputant de sa province historique du Kosovo
– Les mêmes qui réclament aujourd’hui des garanties de sécurité pour l’Ukraine oublient que Poutine a demandé maintes fois des garanties de sécurité pour toute l’Europe, mais sans aucun succès
– Les mêmes qui dénoncent le soutien militaire de Pyongyang à Moscou jugent normal que 50 nations soutiennent l’Ukraine et y envoient leurs « conseillers » sur le terrain.
Voici quelques remarques de l’ambassadeur de Russie en France, Alexeï Mechkov, au cours d’un entretien accordé au JDD :
» Les Russes ont annoncé une trêve pour Pâques. Mais en une journée, les Ukrainiens ont effectué 4 900 frappes sur les infrastructures russes «
» Le régime au pouvoir à Kiev est un régime nazi «
» Il suffit d’observer les décisions prises pour se faire sa propre opinion : oppression raciale, interdiction de l’usage de la langue russe, manipulation des esprits, glorification des criminels nazi… la politique menée par l’État ukrainien est problématique «
» La France ne nous a invités à aucun événement consacré à la victoire sur le nazisme «
» Mais cela m’évite de côtoyer les descendants de ceux qui ont tué 27 millions de Soviétiques, dont mes ancêtres «
» L’envoi de troupes européennes en Ukraine, s’il s’agit de forces de maintien de la paix, c’est une décision du ressort du Conseil de sécurité de l’ONU et des deux parties du conflit. Ces forces doivent venir de pays neutres et pas de ceux qui livrent des armes et envoient des mercenaires en Ukraine «
» Nous savons bien que les militaires ukrainiens ne savent pas opérer des systèmes de missiles longue portée. Il faut donc que soient présents les experts des experts des pays qui livrent ce type d’armements «
» Nous gardons espoir d’une normalisation des relations entre la France et la Russie, dans l’intérêt de nos peuples « .
Mais Macron a choisi le camp des perdants, tournant le dos à un pays ami, vainqueur de la Seconde Guerre mondiale et éternel ennemi du nazisme.
En 2017, recevant Poutine à Versailles, avant d’accueillir Trump l’année suivante, la politique étrangère de Macron s’annonçait très prometteuse. Mais c’était sans compter avec l’esprit torturé et la pensée alambiquée de l’hôte de l’Élysée, incapable de garder le cap de façon logique. Un esprit perturbé ne peut que mener une politique aussi néfaste et indécise qu’incompréhensible.
Le général de Gaulle, grand admirateur de la Russie, doit se retourner dans sa tombe. Macron semble bien décidé à poursuivre une guerre qui était évitable en respectant simplement les accords de Minsk. C’est devenu son obsession.
Il a tort, comme toujours, car jamais l’Ours russe ne reculera. L’Europe sera la grande perdante de cette aventure, après l’Ukraine. Il fallait jouer la carte de la paix, elle a choisi l’escalade. Mauvaise pioche.
Jacques Guillemain, Riposte Laïque
. Que dire après ces dernières attaques au couteau ? Que le niveau d’analyse de nos médias et de nos politiques est bien bas.
Articles : Avril 2025 – Mar 2025 – Fev 2025 – Jan 2025 – Facebook : https://www.facebook.com/profile.php?id=100069673161887 Twitter : https://twitter.com/OrtfNews Music 24/24 : http://DJMUSIC.fr

°° WEBTUBE : Au travers ces trois articles, nous revenons sur ces deux attaques, toutes liées aux conséquences d’une immigration non maîtisée. Face à ces événements nos politiques et les médias sont en dessous de tout. Comme d’hab !