. “Liberté à la Palestine, Inch’Allah !” : immersion dans la cité de Beauval


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°° WEBTUBE : La semaine dernière, beaucoup d’encre a coulé au sujet de notre nouveau magazine “LFI, le parti de l’étranger”. Mais tout le monde est-il bien au courant de sa sortie ? Nous nous sommes donc rendus à Meaux, et plus précisément dans le quartier sensible de Beauval, pour connaître l’avis des locaux sur notre nouvelle bombe.

Nous lançons FRONTIÈRES+ : une nouvelle plateforme streaming de documentaires et de longs formats, à partir du 24 avril et dirigée par Baudouin Wisselmann. FRONTIÈRES+, c’est l’occasion pour notre média de vous proposer des formats longs, des documentaires, des séries sur des thématiques variées telles que la culture, l’économie, l’histoire, la société, la géopolitique et la natalité, en plus de nos thèmes phares : l’immigration, l’insécurité et l’islamisme. FRONTIÈRES+ est ouvert au talent extérieur. Si vous voulez participer à une plateforme alternative aux documentaires du service public comme Complément d’enquête, contactez-nous ! 👉 Rendez-vous le 24 avril sur : https://frontieresmedia.com/plus

. Violence, rixes et vols le soir à la Foire du Trône: “toujours le même profil”


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°° WEBTUBE : La Foire du Trône est la plus ancienne et plus grande fête foraine de France. Hélas, depuis plusieurs années, les « incivilités » l’emportent sur le divertissement… BV s’est rendu sur place.

Installée sur la pelouse de Reuilly, dans le 12e arrondissement de Paris, la Foire du Trône s’étend sur dix hectares de terrain. Plus de 2.000 employés travaillent chaque année sur cet évènement qui s’étend sur deux mois. Cette année la fête, inaugurée le 4 avril, fermera ses portes le 9 juin. Tous les standards sont réunis : manèges, grande roue, tir à la carabine, pêche aux canards, stand de sucettes, gaufres, barbe-à-papa… La popularité de ce rendez-vous parisien est immense : chaque année, près de trois millions de visiteurs s’y pressent. Si toutes les conditions sont réunies pour faire de cette Foire du Trône un événement familial, joyeux et festif, des vols, violences et rixes récurrents viennent assombrir le tableau. Sur les réseaux sociaux, de nombreuses vidéos circulent montrant des bagarres. Des jeunes s’en prennent aux forains pendant que d’autres profitent de la confusion pour voler les lots destinés aux vainqueurs des différents jeux. Ce lundi 14 avril une bagarre a éclaté entre des jeunes et des forains pour un « différend commercial ». La police a dû intervenir pour faire revenir le calme et assurer la protection des visiteurs. Les policiers ont alors été copieusement hués, voire provoqués par des adolescents en casquette et jogging qui les invectivent par derrière. Un jeune homme venu de l’Essonne et âgé de 17 ans a été interpellé.

Les familles évitent la foire en soirée

L’entrée de la foire est gratuite, les activités sont payantes. Cela offre aux visiteurs la possibilité de gérer leur visite en fonction de leur porte-monnaie. Il permet à tous de s’y rendre, même aux lycéens ou grands collégiens non accompagnés. Effet pervers de ce système attractif: les « jeunes » y entrent comme dans un moulin.

À l’entrée de la foire, deux fourgons et deux voitures de police sont garés. Une vingtaine de policiers s’équipent pour prendre leur tour de surveillance autour des manèges. Dans les allées du parc éphémère, des groupes de jeunes adolescents traînent les pieds, regardent les stands du coin de l’oeil, quand leurs yeux ne sont pas rivés sur leur téléphone. La plupart des manèges sont à l’arrêt. Les vendeurs de gaufres et de pommes d’amour sont accoudés au comptoir en attendant les clients.

Quelques familles se promènent, avec des jeunes enfants et des poussettes. Une maman se confie : « On profite du calme de l’après-midi pour les enfants. Le soir, il y a beaucoup trop de monde. Beaucoup de jeunes qui ne sont pas là que pour les manèges. L’ambiance est moins festive l’après-midi, c’est sûr. Mais nous ne voulons pas emmener les enfants le soir, c’est trop risqué. »

Un forain, devant son stand de tir à la carabine abonde en ce sens : « Pour le moment c’est calme, parce que vous venez en milieu d’après-midi. Mais revenez ce soir, à la tombée de la nuit, je vous assure que l’ambiance n’est pas pareille. » Il confie à BV : « Les jeunes, toujours le même profil, débarquent en bande pour s’amuser. Parfois ça se finit mal, c’est sûr. Il y a des bagarres. Pas toujours mais parfois. C’est dommage, ce n’est pas du tout l’atmosphère que nous voulons installer à la foire du Trône ». Il ajoute avoir des craintes financières, liées à ces épisodes de violences. Les vols font perdre de l’argent aux forains, mais c’est surtout la réputation que ces jeunes font à la Foire du Trône qui pourrait finir par dissuader les visiteurs de s’y rendre, peste-t-il. Cette fête voulue populaire et accessible à tous devient, chaque soir ou presque, une zone de non-droit. Une de plus…

Raphaelle Claisse, dans BV

. Retour sur le décès d’Yves Boisset le 31 mars dernier, cinéaste exigeant et engagé


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°° WEBTUBE : Yves Boisset est mort, lundi 31 mars, à l’âge de 86 ans. Son œuvre, très politique, engagée à gauche et parfois contestable, a marqué les années 70. N’hésitant pas à s’attaquer aux pouvoirs en place ni à aborder des sujets politico-sociaux sensibles et délicats, il incarne le courage et l’indépendance d’un certain cinéma français aujourd’hui disparu. Pour lui rendre hommage, nous relayons l’entretien qu’il avait accordé à notre collaborateur Arnaud Guyot-Jeannin sur TV libertés, démontrant notamment là son ouverture d’esprit et son absence de sectarisme.

. Racisme anti-blanc institutionnalisé : vers la fin de l’égalité devant la loi au Royaume-Uni ?


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°° WEBTUBE : À quelques jours de la publication de l’ouvrage de François Bousquet sur ce grand tabou de l’époque qu’est le racisme anti-blanc, on apprend, via quelques lignes dans de rares médias, qu’une polémique en lien avec ce sujet agite actuellement le monde juridico-politique au Royaume-Uni. La cause de celle-ci : les « recommandations » du « Sentencing Council »1 suggérant que « les juges demandent désormais un rapport complémentaire pour les condamnés issus de minorités ethniques, culturelles, religieuses ou présentant des caractéristiques particulières ». Derrière cette formulation administrative, une scandaleuse réalité : la rupture avec le principe d’égalité devant la loi et l’instauration d’une justice à deux vitesses au détriment de la population autochtone (encore) majoritaire.

Si les juges suivent ces recommandations, il s’agira alors d’un extraordinaire et dramatique précédent puisque l’on assisterait à rien de moins que l’institutionnalisation d’une discrimination systémique en faveur des prévenus issus d’une quelconque minorité. En clair, les prévenus hétérosexuels blancs seraient désormais traités de façon plus dure et expéditive que les autres. Une rupture d’équité qui marquerait le passage d’un nouveau seuil dans la dérive ethnomasochiste qui infecte l’ensemble de l’Europe mais se révèle particulièrement prégnante au Royaume-Uni.

Si cette hallucinante, et terrifiante, perspective ne semble pas avoir suscité beaucoup d’émoi en France où certains activistes xéno-minoritophiles verraient sans doute d’un bon œil l’application du même type de mesures, ces nouvelles « lignes directrices » du « Sentencing Council » ont toutefois entraîné de légitimes remous au sein de la classe politique britannique. D’autant plus que ces recommandations discriminantes font écho à la répression particulièrement brutale et disproportionnée qui a frappé les manifestants, majoritairement issus des classes populaires blanches, s’étant révoltés cet été face au scandale des viols de masse de jeunes filles britanniques par des gangs pakistanais. Une répression impitoyable qui avait déjà choqué par contraste avec l’indulgence et le laxisme policier et judiciaire constatés vis à vis de la criminalité ethnique et des milices musulmanes.

Un ballon d’essai ?

À la chambre des Communes, le député Robert Jenrick, en charge de la justice chez les Tories, s’est élevé contre ces recommandations, estimant qu’elles « rendraient des peines de prison moins probables pour les personnes issues d’une minorité ethnique, culturelle et/ou religieuse », et dénonçant de ce fait une « justice à deux vitesses ». Interpellée sur cette question, la ministre de la Justice, la travailliste Shabana Mahmood, a répondu qu’elle « ne défendait aucun traitement différentiel devant la loi pour quiconque ». « Ces recommandations ne représentent pas mon point de vue, ni celui de ce gouvernement », a-t-elle déclaré avant d’annoncer qu’elle écrirait à cette instance pour lui faire part de son « mécontentement » et lui « recommander de revenir sur son changement de ligne directrice ». De son côté, le « Sentencing Council » s’est défendu en affirmant que l’objectif de ses nouvelles recommandations était « de garantir que les tribunaux disposent des informations les plus complètes possibles afin de pouvoir imposer la peine la plus adaptée au délinquant et à l’infraction, et donc la plus susceptible d’être efficace » et mettant avant les « disparités constatées dans les décisions des juges et les « désavantages » que subissent certains justiciables, qui nécessitent selon lui cette approche différenciée. »

Si, au regard de la levée de boucliers suscitée par le projet, on peut encore espérer que ce système discriminatoire ne soit pas (pour le moment) mis concrètement en place, le simple fait qu’une institution officielle ait pu l’envisager et la formuler se révèle particulièrement inquiétant quand à l’état de délabrement mental et moral de nos prétendues « élites » qui semblent ne plus avoir d’autres préoccupations que de brimer et d’humilier leur propre peuple.

Xavier Eman, dans la revue Elements

. Bruno Retailleau veut faciliter les expulsions vers le Maroc


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°° WEBTUBE : En visite officielle à Rabat, Bruno Retailleau a annoncé, ce lundi 14 avril, la création d’un groupe franco-marocain chargé d’identifier les ressortissants en situation irrégulière. Objectif : améliorer l’efficacité des procédures de réadmission vers le Maroc. Le dispositif doit permettre « d’instruire la nationalité marocaine ou non d’un certain nombre de clandestins, d’étrangers en situation irrégulière », selon les propos du ministre rapportés par l’AFP.

« Je pense qu’avoir des équipes mixtes françaises et marocaines pour mener ce travail d’identification changera énormément les choses », a déclaré le ministre de l’Intérieur, en déplacement depuis dimanche pour renforcer la coopération bilatérale sur les questions migratoires, mais aussi sur la lutte contre le trafic de drogue, le crime organisé et le terrorisme.

Bruno Retailleau s’est félicité de l’état des relations entre les deux pays, qu’il a déclaré être « au plus haut niveau », tandis que son homologue marocain, Abdelouafi Laftit, a affirmé « l’engagement total de la partie marocaine à œuvrer pour l’élaboration d’un référentiel commun ».

Une coopération efficace retrouvée

Après les tensions diplomatiques de 2021 – la France ayant réduit de moitié le nombre de visas pour inciter le Maroc à reprendre ses ressortissants expulsés -, les relations s’étaient nettement améliorées à l’été 2024, lorsque Paris avait reconnu la souveraineté marocaine sur le Sahara occidental.

Depuis, les résultats suivent : le taux de délivrance de laissez-passer consulaires est passé de 26 % à 52 % en un an, a indiqué BFM TV. Les éloignements vers le Maroc ont bondi de 60 %, entre janvier et février 2025, comparé à la même période en 2024. En début d’année, 96 % des Marocains en situation irrégulière disposant de papiers d’identité ont été reconduits.

Lu dans Boulevard Voltaire

. Économie : Meloni et Milei défient les prophéties catastrophistes de la gauche


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°° WEBTUBE : Lorsque Giorgia Meloni et Javier Milei ont pris les rênes de l’Italie et de l’Argentine, les Cassandre de gauche prédisaient le chaos. Meloni, que Libération taxait de « femme malade de l’Europe » aux « dérives posts-fascistes », devait plonger l’Italie dans l’instabilité. Milei, avec son libéralisme radical et ses airs de « rocker nauséabond », devait, lui, mettre son pays dans un « état catastrophique ». Pourtant, deux ans après, les chiffres racontent une autre histoire. En Italie, la croissance est modeste mais stable, le déficit public s’améliore, et Standard & Poor’s a relevé la note du pays à BBB+ en 2024, saluant une gestion prudente. En Argentine, Milei a réduit l’inflation de 211 %, fin 2023, à environ 117 %, fin 2024, tout en ramenant le déficit à zéro, un exploit pour un pays englué dans des décennies de crises. Ces résultats, loin des désastres annoncés, interrogent. Comment ces leaders, issus de courants honnis par l’élite progressiste, ont-ils déjoué les pronostics ? L’Italie profite d’une discipline budgétaire et d’un pragmatisme inattendu de Meloni, tandis que l’Argentine, en pleine cure d’austérité, récolte les fruits d’un libéralisme assumé.

talie : stabilité et pragmatisme sous Meloni

L’Italie de Giorgia Meloni, arrivée au pouvoir en octobre 2022, affiche une résilience certaine. Loin des secousses redoutées, l’économie croît modestement : +0,7 % en 2024, selon BNP Paribas, avec une prévision de +1,1 % en 2025. Le chômage, à 6,3 % fin 2024, est à son plus bas depuis 2008. Surtout, le déficit public a chuté de 7,2 % du PIB, en 2023, à 3,8 %, en 2024, grâce à une hausse des recettes fiscales (+3,9 % au 3e trimestre de l’année 2024) et une baisse des dépenses (-4,4 %). Standard & Poor’s a salué cette discipline en relevant la note souveraine à BBB+, un signal fort pour les investisseurs.

À ce sujet — [VU D’ARGENTINE] Javier Milei, le choix du courage et du mépris de la respectabilité

Meloni a surpris les plus sceptiques par son pragmatisme, poursuivant les réformes structurelles de Draghi tout en réduisant les cotisations sociales pour soutenir le pouvoir d’achat des classes moyennes, prévoyant 15 milliards d’euros d’allégement fiscal pour le budget de l’année 2025. En outre, la présidente du Conseil italien mise sur les fonds européens (200 milliards d’euros du plan Next Generation) pour moderniser les infrastructures et doper la productivité. Avec tous ces défis et sur un terrain semé d’embûches, Meloni évite la tempête annoncée, portée par une coalition stable et une opposition fragmentée. Les critiques de gauche peuvent bien hausser les yeux, l’arrivée de Fratelli d’Italia au pouvoir est bien loin de l’horreur annoncée.

Argentine : la tronçonneuse de Milei

En Argentine, Javier Milei a engagé une révolution économique. Élu en novembre 2023, l’homme a lancé une thérapie de choc face à une inflation galopante de 211,4 % et une pauvreté touchant 41,7 % de la population. En un an, il a ramené l’inflation à 117,8 % en 2024, avec une décélération nette : de 25,5 % par mois, en décembre 2023, à 2,7 %, en décembre 2024, sous les 3 % depuis octobre. Cette désinflation s’accompagne d’un équilibre budgétaire obtenu via une dévaluation de 54 % et des coupes massives dans les dépenses publiques. Le PIB rebondit (+3,9 % au 3e trimestre de l’année 2024), sortant le pays de la récession. Milei, rejetant le « socialisme » kirchnériste, impose un libéralisme audacieux.

Ce succès a un coût, mais les résultats émergent. La pauvreté, grimpée à 52,9 % au premier semestre 2024, chute à 38,1 % au second, selon l’INDEC, soit 6,9 millions de personnes sorties de la précarité. L’extrême pauvreté passe de 18,1 % à 8,2 %. La désinflation et des salaires réels en hausse (+145,5 %, contre 117,8 % d’inflation) expliquent ce progrès. Mais ce tableau reste fragile. Les données, limitées aux grandes villes, occultent les zones rurales. Toutefois, le président Milei reste largement populaire, avec 50 % d’opinions favorables – au moment où, en France, Emmanuel Macron atteint péniblement les 27 %.

Julien Tellier, dans BV

. Le vrai visage de LFI : enquête sur les extrémistes du parti de Mélenchon


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°° WEBTUBE : Dans les coulisses de La France insoumise, derrière la façade parlementaire, se cache toute une nébuleuse de collaborateurs qui propagent un discours radical. Entre soutiens aux Black Blocs en manifestation, pro-Hamas ou autres prêcheurs en ligne, l’univers gravitant autour de LFI ressemble moins à un parti qu’à un écosystème militant hors de tout cadre républicain. Enquête.