. Le poète de la rue… une histoire d’aujourd’hui


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°° WEBTUBE : Molière découvre un poète de Fontenay-aux-Roses 352 ans après son décès. Le bus ? Ses passager ? Rien à carrer ! C’est ça le vivre ensemble aujourd’hui dans nos rues.

. La chanson du jour, Jethro Tull – Bourée


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°° WEBTUBE : Retour sur ce bon vieux classique du jazz rock alternatif, basé sur la « Suite en mi mineur pour luth » de Bach. Peu importe combien d’années se sont écoulées depuis sa sortie en 1969, ce morceau reste toujours frais et unique. Quelle mélodie et quelle interprétation !

°° WEBTUBE : A look back at this good old alternative jazz rock classic, based on Bach’s “Suite in E Minor for Lute.” No matter how many years have passed since its release in 1969, this piece remains fresh and unique. What a melody and what a performance!

. La fin de la mondialisation ? Trump et l’accélération d’un bouleversement global


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°° WEBTUBE : Il est des moments où les plaques tectoniques de l’Histoire se mettent à grincer avec une brutalité inédite. Des instants de bascule où ce qui semblait immuable vacille. Ce que nous vivons en ce moment est de cet ordre-là. Après les soubresauts géopolitiques – de la guerre en Ukraine à la contestation de l’ordre mondial par les BRICS – le séisme gagne désormais l’économie. Et ce n’est pas un frémissement. C’est un renversement de paradigme, un coup de hache porté au tronc pourri de la mondialisation dérégulée.

Par un geste aussi simple que symboliquement explosif – le rétablissement de barrières douanières – Donald Trump a brisé le tabou fondateur de l’ordre globalisé post-1991. L’Amérique, mère du libre-échange mondialisé, envoie valser les dogmes qu’elle avait imposés au reste du monde. Et avec eux, une élite technocratique transnationale qui n’a eu de cesse, depuis trente ans, de dissoudre les nations dans un bouillon marchand sans frontières, sans peuples, sans racines.

Le projet de Trump ? Réindustrialiser. Redonner du pouvoir aux travailleurs. Remettre la production au cœur de l’économie réelle. Redonner aux États leur souveraineté monétaire, énergétique, industrielle. Bref, reconstruire ce que le capitalisme financier – celui de BlackRock, des forums de Davos et des cercles de Bruxelles – avait méthodiquement démantelé.

Ce n’est pas un simple revirement politique. C’est un acte de guerre économique et idéologique contre un système dont l’Union européenne est aujourd’hui le dernier bastion politique.

Quand Trump coupe les financements de l’USAID, c’est toute une nébuleuse d’ONG, de fondations, de réseaux médiatiques “progressistes” qui voit sa perfusion s’interrompre. Car ces structures n’étaient pas des philanthropes : elles servaient à préparer les esprits, à formater les élites, à faire entrer les nations récalcitrantes dans le moule mondialisé par la petite porte des « valeurs universelles ». Trump referme cette porte. Et c’est un choc.

L’Europe, déjà fragilisée par sa perte de compétitivité, sa dépendance énergétique et sa crise démographique, se retrouve en première ligne. Le discours du sénateur J.D. Vance à Munich n’était pas une mise en garde. C’était un ultimatum. Adaptez-vous au monde qui vient. Ou disparaissez. Une phrase qui résonne comme une sentence pour une Union européenne qui répond par plus de centralisation, plus de censure, plus de fuite en avant fédéraliste.

Les signes sont là : annulation d’élections, suppression de médias dissidents, encadrement croissant de la parole publique. Le camp mondialiste, acculé, se cabre. Mais en agissant ainsi, il dévoile sa nature profonde : celle d’un pouvoir post-national qui, pour se maintenir, doit désormais piétiner les principes démocratiques qu’il prétend incarner.

La confrontation ne fait que commencer. Elle est inévitable. D’un côté, un modèle fondé sur les peuples, les frontières, le travail réel. De l’autre, un empire d’abstractions, de normes et de marchés. La tension entre ces deux visions du monde est désormais ouverte, frontale. Et la France, comme la Bretagne, devra tôt ou tard choisir son camp.

La mondialisation ne s’effondre pas en silence. Elle crie, elle griffe, elle accuse. Mais elle tombe. Et ceux qui auront su reconstruire sur ses ruines une économie enracinée, une souveraineté restaurée et un peuple debout, auront écrit l’acte de naissance du monde d’après.

L’effondrement est en cours. À nous d’en faire une renaissance.

David Prenvide (inspiré du tweet ci-dessous)

Breizh-info.com

. Les maires des petites villes et villages tentent d’endiguer l’insécurité


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°° WEBTUBE : Une interdiction de consommer de l’alcool et de se réunir à plus de trois personnes : c’est l’ultime solution qu’a trouvée le maire de cette petite commune pour lutter contre les incivilités. À Colombier-Saugnieu, Pierre Marmonier affirme avoir épuisé tous les recours pour endiguer le problème. Il a dû se rendre à l’évidence : seule la manière forte semblait efficace face à la poignée de délinquants troublant la paix de ce village de 2.700 âmes, en banlieue lyonnaise.

Sollicité par des habitants excédés, l’élu a donc décidé d’interdire les regroupements de plus de trois personnes et la consommation d’alcool dans plusieurs zones du village. À l’origine de ces mesures radicales, de nombreuses plaintes visant des jeunes désœuvrés, souvent âgés d’une quinzaine d’années, certains déjà majeurs. « Une cinquantaine de pétards ont été sciemment passés par-dessus mon portail. Des coups de sonnette, jusqu’à 200 par jour. Des jets de pierres, des insultes graves », témoigne une habitante, auprès de BFM TV.

Saint-Omer : la mairie saisit le procureur

Colombier-Saugnieu est loin d’être la seule petite commune à voir sa sécurité se dégrader, au point d’obliger les élus à prendre de nouvelles mesures. À Saint-Omer, dans le Pas-de-Calais, c’est la longue rue d’Arras qui pose problème, révélait un reportage de BFM TV diffusé le 5 avril. Des rondes policières ont été renforcées dans cette ville qui compte 14.600 habitants et la mairie a annoncé avoir saisi le procureur pour réclamer la mise en place d’une cellule de veille. Elle serait chargée de faire face aux problématiques rencontrées par les riverains et commerçants qui se plaignent d’une augmentation de l’insécurité. Ceux qui évoquent des violences « quasi quotidiennes », verbales ou physiques, accusent des sans-abri d’être à l’origine de ce climat.

À Bosgouët, un petit village de moins de 800 habitants dans l’Eure, le maire a signé, au début du mois d’avril, un « protocole de participation citoyenne » pour affronter le même problème. Il a également installé des caméras de surveillance pour endiguer les incivilités récurrentes, selon Paris Normandie.

Le Territoire de Belfort en alerte

Une problématique également dénoncée, fin mars, par les maires du Territoire de Belfort lors de l’assemblée générale de l’Association des maires du département. Parmi différentes thématiques, celle de la sécurité est « récurrente », selon L’Est républicain. Trafic de stupéfiants, commerces de nuit qui dérangent : les raisons sont suffisantes pour faire intervenir la puissance publique. L’État a fait fermer plusieurs établissements, en quelques mois. Selon les informations relevées par le journal local, la sécurité se dégrade sur l’ensemble de ce territoire, « y compris dans les villages ». Au début de l’année 2025, les violences sexuelles se sont, ainsi, envolées de 54,64 % sur un an, selon Ville-data.com.

L’héritage des émeutes de 2023

Les émeutes de l’été 2023 avaient par ailleurs été un terrain propice à ce genre de dégradation de la tranquillité dans les petites et moyennes villes, comme en témoignait un reportage de CNews consacré à la commune de Bressuire, dans les Deux-Sèvres. Une bande d’une vingtaine d’individus avaient profité de la tension à l’échelle nationale pour faire un raid en centre-ville et piller des établissements. À Romans-sur-Isère, quelques mois avant le drame de Crépol, le quartier de la Monnaie avait déjà fait parler de lui. Durant la période d’émeutes, une cinquantaine d’individus avaient répandu la terreur dans ce quartier de 2.700 habitants, durant la nuit du 1er au 2 juillet.

De petites villes en villages, les mêmes scènes se répètent. Les maires alertent, les habitants craquent et les mesures se durcissent. En vain. Le sentiment d’insécurité n’est plus « de l’ordre du fantasme »…

Alienor de Pompignan, dans BV

. [MIEUX VAUT EN RIRE] Delogu complotiste ?


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°° WEBTUBE : Cette semaine, dans Mieux vaut en rire, Agnès Pannier-Runacher n’a rien retenu des gilets jaunes, la députée PS Estelle Mercier combat le sexisme en commission des finances et Anne Hidalgo a sauvé le PS, avec ses 1,7 % à la présidentielle.

. Poutine veut démilitariser l’Ukraine, l’UE veut la réarmer : mauvaise pioche !


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°° WEBTUBE : La frénésie de réunionites guerrières et de discours belliqueux qui s’est emparée des chancelleries européennes devient de plus en plus grotesque. Sans armées conséquentes, divisés comme jamais, totalement désemparés par la défection de Washington et surtout vexés d’être mis à l’écart des négociations qui se déroulent entre Poutine et Trump, les Européens s’agitent pour tenter d’exister dans le règlement du conflit ukrainien. Mais c’est le bon sens qui fait cruellement défaut à ces têtes brûlées, totalement inconscientes de leur faiblesse.

ous ces crétins devraient gesticuler un peu moins et essayer de comprendre le Tsar :

– Poutine mène une guerre existentielle après 35 années de trahisons et de mensonges de l’Occident, qui n’a cessé de nuire à la Fédération de Russie en rêvant de la dépecer ;

– Le Tsar ne cédera jamais la Crimée ni les quatre oblasts du Donbass rattachés à la Russie. Et si la situation l’exige, il aura recours à l’arme nucléaire tactique ;

– Il ne signera aucun traité de paix avec Zelensky, un saltimbanque mafieux et corrompu qu’il juge illégitime depuis que son mandat a expiré il y a un an ;

– Il ne négociera pas avec les Européens qui l’ont trahi en torpillant les accords de Minsk ;

– Il n’acceptera aucune paix aussi longtemps que ses objectifs ne seront pas atteints :

1°) démilitarisation de l’Ukraine

2°) dénazification du régime

3°) neutralité avec impossibilité d’intégrer l’Otan

Poutine refuse que des troupes européennes, donc de l’Otan, stationnent en Ukraine, que ce soit sous protection ou non de l’article 5. Mais Macron persiste sans avoir les moyens de ses prétentions.

Il est clair que les nains militaires européens n’ont toujours pas compris que les Russes tiennent tête à cinquante nations sans avoir eu recours à une mobilisation générale. Poutine recrute autant de volontaires chaque mois que Zelensky  perd de soldats sur les 1 200 km du front.

Si la Russie entrait en guerre contre l’Otan, option que Poutine n’a jamais écartée, ce sont 20 millions de soldats qu’elle pourrait mobiliser. En comparaison, les armées européennes ne parviennent même pas à honorer leurs quotas de recrutement annuels.

Pour toutes ces raisons, on voit mal à quoi riment toutes ces gesticulations de Macron et de Starmer. Non seulement les volontaires ne se bousculent pas pour rejoindre la coalition, mais l’Europe est incapable d’assurer des garanties de sécurité à l’Ukraine sans le soutien américain, avec notamment une protection aérienne crédible.

Comment régler autrement que par les armes un problème majeur où tout compromis est impossible ?

– Les Européens jugent inacceptable la démilitarisation de l’Ukraine ;

– Poutine ne fera la paix que lorsque cette démilitarisation sera acquise et irréversible.

En fait, l’Europe veut s’engager dans une mission de paix armée qui pourrait durer des années. Autant dire que c’est un fardeau qui dépasse ses moyens.

La solution d’une paix durable n’est certainement pas un conflit larvé entre la Russie et l’Otan, qui s’éterniserait comme le conflit israélo-palestinien, tel que les Européens le programment. La seule solution crédible passe par l’acceptation d’une paix aux conditions du Tsar.

Les Occidentaux peuvent brailler, mais ils n’avaient qu’à respecter les accords de Minsk pour éviter la guerre, au lieu de persécuter les populations russes du Donbass.

Quant à la souveraineté territoriale de l’Ukraine, ceux qui la mettent en avant pour combattre la Russie sont les mêmes qui ont dépecé la Serbie en décrétant l’indépendance unilatérale du Kosovo en 2008, au mépris du droit international.

Puisque l’Occident russophobe ne connaît que la loi du plus fort, c’est sur le terrain militaire que se réglera le conflit. Il n’y aura pas de paix aussi longtemps que les causes de cette guerre n’auront pas été éliminées et que des garanties de paix durables ne seront  pas clairement définies.

Le Tsar le répète depuis février 2022 mais l’Occident refuse d’écouter et préfère gesticuler tout seul. La prochaine réunion de Ramstein, où cinquante nations discuteront de l’aide à l’Ukraine, se déroulera sans la présence du secrétaire d’État à la Défense américain.

Des palabres sans lendemain puisque c’est l’Ours russe qui détient la clé du problème, fort de son armée de pointe, de ses 6 200 têtes nucléaires et de ses inestimables ressources géologiques. Autant d’atouts que ne possèdent pas les Européens qui ont préféré investir dans le social depuis 1990. On ne joue pas les Rambo après 35 ans passés à se prélasser sur un canapé.

Avant d’évoquer le réarmement de l’armée ukrainienne, les Européens feraient mieux de se préparer à son effondrement.

Jacques Guillemain, Riposte Laïque