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°° WEBTUBE : Le jeudi 17 avril, France 2 diffusait un nouvel épisode de son émission Envoyé spécial. Au programme, divers reportages, dont un sur la submersion migratoire intitulé Vague de « submersion » chez les Bretons. Pour lancer le sujet, Élise Lucet, la présentatrice de l’émission, indique que son équipe s’est rendue dans la ville de La Guerche-de-Bretagne car, « selon une étude controversée [publiée par Marianne, NDLR], le nombre d’étrangers y aurait augmenté de 725 %, entre 2006 et 2021 ». Le reportage doit faire la lumière sur l’étude. Pas n’importe quelle lumière…
Il a vocation à prouver qu’elle est fausse. Les premiers instants de la séquence le démontrent. Une habitante de la commune donne le ton en affirmant ne pas s’être rendue compte que la part de la population immigrée de sa ville avait fortement augmenté. Le journaliste qui interroge la passante boit du petit-lait. La voix off poursuit : « L’hebdomadaire Marianne s’appuie sur une étude réalisée par l’Observatoire de l’immigration et de la démographie. C’est un groupe de réflexion pas franchement pro-immigration. » Le commentaire est savoureux et un brin orienté. Il est aussi quelque peu moqueur vis-à-vis de « la France des églises et du biniou », « menacée par un sentiment de submersion migratoire ».
Une étude à démonter
Une submersion migratoire que le journaliste de France Télévisions va pourtant mettre lui-même en avant. Dans les rues de La Guerche-de-Bretagne, il croise successivement un Angolais, un Marocain, des Bulgares et des Roumains mais pas le moindre Français. Il met cela sur le compte du hasard et non sur celui du nombre : « Apparemment, les étrangers de La Guerche sont les seuls à se promener, cet après-midi. »
Le reportage continue avec un focus sur un Roumain arrivé en France en 2010. Il a été recruté par une agence d’intérim dans son pays pour travailler dans un abattoir local. Cinq ans plus tard, « il a pu faire venir sa compagne ». Les deux tourtereaux se sont mariés et ont eu deux enfants. La famille est intégrée, elle n’en demeure pas moins étrangère. Le journaliste semble perdre de vue le sujet de son reportage en faisant l’éloge de l’immigration sans jamais parler de nombre, alors même que ce foyer roumain est passé d’une à quatre personnes en l’espace de dix ans.
À ce sujet — La submersion migratoire, c’est ça !
Après les Roumains, les Roms. Les images montrent que cette communauté est très importante, à La Guerche-de-Bretagne. Les locaux interrogés le confirment et racontent que cette population n’est ni avenante, ni civilisée. Une jeune femme relate : « Ils ont arraché le parquet d’un appartement en location à La Guerche. Ils n’avaient pas de chauffage, ils ont fait un feu avec le parquet. » Un élu local abonde : « On a une population un peu plus compliquée qui ne veut pas rentrer dans les clous. » L’occasion, une nouvelle fois, pour le journaliste, de dévier du sujet et de parler de « sentiment d’insécurité » plutôt que de submersion migratoire.
France 2 continue le reportage dans le cabinet du maire de la ville, Élisabeth Guiheneux, en précisant que « l’élue ne conteste pas les chiffres de l’étude mais ce qu’ils suggèrent ». Les chiffres, pointés du doigt au départ, sont finalement jugés corrects. Le journaliste précisera par la suite que la population de La Guerche continue d’augmenter légèrement, « +4 % en six ans, alors que d’autres villages ruraux perdent des habitants ». Ceci, grâce à l’immigration.
Une réalité démontrée
Enfin, la séquence se termine dans la salle d’un centre social où une quinzaine de « nouveaux arrivants » reçoivent des cours de français car ils doivent parler la langue pour obtenir des papiers. Parmi eux, un Angolais qui « est arrivé illégalement en France », avec sa femme (enceinte) et sa fille, « est hébergé par l’État » et « touche 400 euros par mois pour vivre ». Un clandestin qui, d’après France 2, « se mettra tout le monde dans la poche » s’il trouve un travail.
Encore une fois, la question n’est pas là ! L’étude publiée par Marianne ne s’intéresse pas à la capacité des étrangers à s’intégrer ou aux bienfaits de l’immigration, mais à ses chiffres. Des chiffres que les images diffusées sur la chaîne du service public ne parviennent pas à contredire. Tout au long du reportage, la présence massive d’étrangers dans la commune d’Ille-et-Vilaine est mise en évidence. Dans les rues, dans les entreprises, dans les centres sociaux, partout, les immigrés sont présents en nombre. Preuve que la submersion migratoire n’est peut-être pas qu’un sentiment…
Sarah-Louise Guille, dans BV
. Offensive contre les gardiens de prison : des pistes mafieuses… et politiques
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°° WEBTUBE : Depuis l’incendie de plusieurs voitures à Agen le 13 avril, il ne se passe quasiment pas une journée ou une nuit sans que des surveillants pénitentiaires soient visés par des attaques. La plupart de ces attaques est revendiquée par un groupe intitulé Défense des droits des prisonniers français (DDPF), une organisation jusque-là inconnue. Après une première série perpétrée du 13 au 16 avril dans le sud-ouest, le sud-est et en région parisienne, le périmètre d’intervention s’est élargi.
Agressions dans les prisons
Jeudi 17 avril, à la prison de Perpignan, un détenu « souffrant d’addictions » aurait pris en quelques minutes un traitement prévu sur deux jours. Devenu incontrôlable, il a mis le feu à sa cellule. Lors de son évacuation, il a menacé de mort et de viol les agents pénitentiaires, mais aussi leurs familles, hurlant « Démissionnez, ça va être la guerre. Je vais vous crever, vous et vos familles »,s elon un communiqué du syndicat Ufap Unsa Justice.
Vendredi 18 avril, le préfet de police de Paris Laurent Nuñez se voulait confiant, déclarant au micro de CNews : « Nous sommes extrêmement déterminés, on retrouvera les auteurs ». Au même moment, à la prison de Valence, un pensionnaire « souffrant de troubles psychiatriques » a jeté de l’eau bouillante « sur le surveillant d’étage, mais également sur l’auxiliaire d’étage », selon le syndicat pénitentiaire. Transporté aux urgences, l’agent a été brûlé au second degré à l’avant-bras. On a appris qu’une arme avait déjà été trouvée sur ce même détenu précédemment. Il faut aussi rappeler que c’est devant cette même prison de Valence qu’avaient été retrouvés deux voitures incendiées et un tag DDPF, dans la nuit du lundi 14 au mardi 15 avril.
Les surveillants dans le viseur
Dans la nuit du vendredi 18 au samedi 19 avril, c’est le véhicule personnel d’un surveillant du Centre pénitentiaire de Toulouse qui a été incendié devant son domicile, selon le Syndicat FO Justice. Après cette succession d’attaques sans fin, le procureur de la République antiterroriste Olivier Christen a tiré un premier bilan. Il a compté « 21 véhicules incendiés et une dizaine de véhicules dégradés » et a précisé qu’il n’y avait pas « de piste qui soit privilégiée ». La qualification des faits pourrait être « terrorisme par intimidation », car le but recherché « est de faire pression sur la population ou sur les pouvoirs publics pour qu’ils fassent, ou ne fassent pas, quelque chose ».
Cela n’a pas suffi à décourager les auteurs. La série s’est poursuivie dans la nuit du samedi 19 au dimanche 20 avril à la maison d’arrêt de Lyon-Corbas (Rhône), où deux véhicules ont été incendiés. Un troisième a brûlé par propagation et un nouveau tag DDPF a été apposé à proximité, sur le parking sécurisé des surveillants. Quelques heures plus tard, un mineur a été interpellé près de la prison et placé en garde à vue, a indiqué le parquet.
La nuit suivante, nouvelle alerte en Isère : des tirs par arme à feu et jets de cocktail molotov ont visé des pavillons dans un lotissement où résident plusieurs agents pénitentiaires. Le Parquet national antiterroriste (PNAT) a indiqué que « des graffitis DDPF ont été découverts sur place ». Mais selon le syndicat Force ouvrière local, « le garage a été tagué au nom de notre collègue. Par erreur, les agresseurs ont en réalité ciblé le domicile d’un voisin ». Lundi 21 avril, c’est au tour d’un agent pénitentiaire de la prison de Fresnes d’être agressé à bord de sa voiture. Selon la police, un autre véhicule avec cinq individus à bord l’a doublé pour s’arrêter devant lui et le bloquer. Un occupant, filmé par son voisin, l’aurait interpellé : « Surveillant, tu as peur maintenant ! ». La victime, qui a porté plainte, a reconnu un des agresseurs, qui serait un ancien détenu de Fresnes prénommé « Moussa ».
Survols de drones
Pour la nuit du lundi 21 au mardi 22 avril, plusieurs autres faits ont été signalés par le ministre de la Justice Gérald Darmanin. À Varces-Allières-et-Risset (Isère), dans le coffre du véhicule de trois individus contrôlés aux abords de la prison, les gendarmes ont trouvé un bidon d’essence de dix litres. À Caen, cinq voitures ont été retrouvées carbonisées devant le Service pénitentiaire d’insertion et de probation du Calvados, ce qui fait l’objet d’une enquête par la Division de la criminalité organisée et spécialisée. À Hermes (Oise), le véhicule personnel et la boîte aux lettres du domicile d’un surveillant ont été tagués DDPF. Et des survols de drones ont aussi été signalés au-dessus des centres pénitentiaires de Lutterbach (Haut-Rhin), de Lannemezan (Hautes-Pyrénées) et de Saint-Quentin-Fallavier (Isère).
Attaques contre des prisons : des personnes interpellées en Isère dans la nuit, annonce le ministre de la Justice
— franceinfo (@franceinfo) April 22, 2025
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À ce sujet — Prisons attaquées : l’État visé… à l’arme de guerre
Si les enquêteurs ne privilégient toujours aucune piste, les faits qui se succèdent semblent rendre crédible l’hypothèse de narcotraficants, possiblement en lien avec des activistes d’ultragauche. La coordination d’attaques aux quatre coins de l’Hexagone, la fréquence des revendications et la récurrence des modes opératoires plaident pour une offensive organisée, qui vise chaque fois les personnels de surveillance pénitentiaire. C’est pourquoi, à la qualification de « terrorisme » par le PNAT s’ajoutent des mots comme « intimidation ». Reste à savoir si les motivations de cette vaste entreprise de déstabilisation des services pénitentiaires de l’État sont maffieuses, commerciales (narcotrafic), politiques, ou tout à la fois…
- Etienne Lombard, dans BV
. FRANCE SACCAGÉE : MULHOUSE, son marché, ses attentats… et tout le reste
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°° WEBTUBE : Petite balade dans la ville de Mulhouse. Dépaysement garanti ! Malheureusement la France ressemble de plus en plus à cela… c’est un crève-coeur de voir son pays dans un tel état. Plus ça va et plus ça s’étend sur toute la France.
. Le pape François est mort : Jorge Bergoglio, un souverain pontife tout en contrastes
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°° WEBTUBE : Le pape François s’est éteint à l’âge de 88 ans en ce lundi de Pâques, a annoncé, ce 21 avril, le Vatican. Le jour de Pâques, il est apparu, affaibli, au balcon de la basilique Saint-Pierre d’où il a donné sa bénédiction aux fidèles présents place Saint-Pierre. Le 266e pontife romain laisse une empreinte contrastée dans un monde déchristianisé où les catholiques oscillent entre ouverture à un monde sécularisé et transmission de l’exigeant message évangélique qui n’est « pas de ce monde ». Un pontificat marqué par cette dichotomie.
Le 13 mars 2013, à la suite de la renonciation de Benoît XVI, le cardinal Bergoglio est élu pape. Il choisit le nom de François en hommage à saint François d’Assise, ami de la nature et des nécessiteux. Une dévotion qui illustre l’enfance et la vie sacerdotale d’un homme simple, marqué par la grande pauvreté des bidonvilles sud-américains. Né le 17 décembre 1936, à Buenos Aires, Jorge Mario Bergoglio grandit dans une famille modeste issue de l’immigration italienne (ses grands-parents s’installent en Argentine en 1929). Avec ses quatre frères et sœurs, Jorge est éduqué dans la foi chrétienne. Après avoir intégré le séminaire diocésain, il entre en 1958 au noviciat de la Compagnie de Jésus. Ordonné prêtre en 1969, il effectue quelques années plus tard sa profession perpétuelle chez les Jésuites. Il est rapidement remarqué dans un pays où la pauvreté et l’instabilité politique règnent.
En 1992, il est nommé évêque et deviendra, quatre ans plus tard, archevêque de Buenos Aires. Jean-Paul II le crée cardinal en 2001. À cette occasion, le prélat argentin invite les fidèles à ne pas se rendre à Rome pour fêter son cardinalat et à destiner aux pauvres l’argent du voyage. Une anecdote qui préfigure le style d’un futur pontificat tourné vers les pauvres et ceux qui sont éloignés de l’Église.
À ce sujet — Le pape François entre utopie et déni de réalité sur l’immigration et Marseille
François va déstabiliser une partie des catholiques
Lorsqu’il est élu pape par le collège cardinalice en 2013, Bergoglio est une figure incontournable et populaire de l’Église, en Amérique latine, mais il est inconnu des Européens. Rapidement, le successeur de Jean-Paul II et de Benoît XVI va imposer un style nouveau et bousculer une Église qu’il souhaite envoyer vers « les périphéries ». Pourtant, à vouloir « construire des ponts et non des murs » (expression qui lui est chère), François va déstabiliser une partie des catholiques. Son regard sur l’immigration, et particulièrement les migrants en Méditerranée, laisse perplexe, tant il est éloigné des enjeux européens. De sa toute première visite pastorale, à Lampedusa (2013), où il dénonce « une mondialisation de l’indifférence », à sa visite à Marseille (2023) dont il vante « le modèle d’intégration », en passant par le régulier transport de migrants dans son avion personnel (retour de l’île grecque de Lesbos en 2016), le pape semble insensible aux notions d’identité nationale et de montée de l’islam en Europe.
Malaise et indignation
Contrairement à son prédécesseur, François ne s’intéresse pas à la liturgie. Pourtant, il n’a de cesse de faire des remontrances aux prêtres et fidèles, au risque de créer malaise et indignation. Les catholiques ne doivent pas se reproduire « comme des lapins » ; la « dentelle », synonyme de « déguisement », doit disparaître ainsi que toute « pompe inutile » à la messe ; le prêtre doit bannir les homélies qui « endorment », fuir le « cléricalisme » pour préférer le peuple de Dieu, sentir « l’odeur des brebis » et ouvrir grandes les portes à la « synodalité ». Avec le motu proprio Traditionis custodes, qui met au ban l’ancien missel de saint Pie V, François rouvre une guerre liturgique que Benoît XVI avait apaisée.
Une écologie intégrale centrée sur le respect de la vie
Parmi ses quatre encycliques, Laudato si’ (publiée en 2015) est celle qui, incontestablement, trouve le plus grand écho. François y dénonce les « silences complices » face aux désastres environnementaux. Il invite à une responsabilité collective pour protéger « notre maison commune » qui « semble se transformer de plus en plus en un immense dépotoir ». François canonise plusieurs de ses prédécesseurs – Jean-Paul II, Jean XXIII, Paul VI – et, à leur suite, dénonce avec une extrême fermeté l’euthanasie et l’avortement, ce « faux droit au progrès » qu’il qualifie d’« homicide ». En octobre 2024, en visite en Belgique, il compare les médecins pratiquant des avortements à des « tueurs à gages », annonçant son intention de béatifier le roi Baudoin (qui avait abdiqué temporairement, en 1990, pour ne pas signer une loi dépénalisant l’avortement). « La vie humaine est sacrée et inviolable », rappelle-t-il en écho à son idée directrice d’écologie intégrale selon laquelle « tout est lié ».
Entre lignes courbes et manichéisme impossible, le pontificat du pape François est contrasté. Ses propos provocants, souvent contradictoires, ont lassé beaucoup de bonnes volontés mais sa parole empreinte de charité pastorale a su toucher nos sociétés athées. Aujourd’hui, un catholique peut se sentir orphelin. Nul ne sait comment la barque de Pierre sera prochainement conduite.
Yves-Marie Sévillia, dans BV
. Cinq mesures urgentes pour sauver les paysans
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°° WEBTUBE : La crise agricole a été invisibilisée par d’autres actualités, mais reste une urgence prioritaire. Le psychodrame algérien dans lequel s’engluent l’Élysée et le gouvernement, l’endettement de la France qui s’accroît de l’incurie des mêmes et de leur incapacité à réformer l’État dépensier, eux qui s’apprêtent à solliciter à nouveau le contribuable plutôt qu’à réduire le train de vie de cet État, l’orgueil des sachants au pouvoir, sans expérience ni bon sens et qui nous récitent leurs cours de Sciences Po pour nous faire croire qu’ils maîtrisent leur sujet… toute cette panoplie d’irrésolutions et de gabegies, à laquelle s’ajoute la prédominance de la compétition électorale en prévision d’échéances espérées rapprochées, éloigne d’autant l’examen des problèmes de fond porteurs de redressement économique, social et politique.
Des mesures ciblées
Voilà qui chasse de l’actualité le déclin de l’agriculture française, en recul pour le plus grand profit de ses concurrents internationaux et européens. Le ministre a cru y répondre par une loi : il enfonce les portes ouvertes. Cette loi ne servira à rien. Aussi, puisqu’il semble que l’imagination lui fait défaut, marions l’efficacité à la simplicité pour lui proposer dans l’urgence un train de mesures ciblées.
À savoir :
1) faire voter une loi rectificative de suppression des 137 surtranspositions agricoles françaises du droit européen qui créent des distorsions de concurrence au détriment des agriculteurs français ; car ce que la France a fait, elle peut le défaire, n’en déplaise à Bruxelles ;
2) diviser par deux le nombre des fonctionnaires du ministère de l’Agriculture, qui sont aujourd’hui 36.000 pour 300.000 agriculteurs alors qu’ils étaient, en 1990, 18.000 pour 1.200.000 paysans ;
3) intégrer les 3.000 agents de la mission biodiversité au sein des effectifs ci-dessus dans les directions agricoles départementales restaurées, ce qui les rendra plus sensibles au développement agricole et contribuera à la protection des terres cultivables, à l’inverse de leurs collègues de la direction des territoires, acteurs complaisants de l’artificialisation des sols ;
4) la profession agricole (8.000 salariés aux chambres d’agriculture) doit consentir au même effort. Elle ne peut exiger de l’État ce qu’elle ne veut pas faire elle-même. La technostructure des grands groupes coopératifs et du Crédit agricole doit privilégier le service aux agriculteurs à son appétit de puissance et en faire la démonstration maintenant par des aides conjoncturelles ;
5) supprimer les normes contraignantes dont le but est plus de donner des gages aux idéologues de l’écologie que de veiller à la conservation de territoires, et réprimer sans indulgence les atteintes aux biens et aux personnes dont sont victimes les agriculteurs, principalement les éleveurs.
Tout ce qui précède est immédiatement réalisable parce qu’il est de la seule responsabilité française. Après viendra le noyau dur, l’inévitable affrontement avec la Commission européenne pour mettre fin à son autoritarisme et à ses dérives. Une belle occasion que nous offre la remise en cause brutale du commerce international par le président des États-Unis Donald Trump.
François Guillaume, dans BV
. Liège : distribution de corans pour les mécréants
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°° WEBTUBE : Intense moment spirituel en Belgique où les indigènes découvrent leur nouvelle religion. Les mécréants trouvent encore le moyen de se plaindre quand on leur fait du bien. Ils exagèrent quand même… Une fois.
🔴 À Liège, Belgique 🇧🇪, après la prière, des musulmans ont déposé des corans sur toutes les voitures. pic.twitter.com/0lmLeZM0o5
— Rafael Sereti (@RafaelSereti) April 19, 2025
Une apparition qui pose question. Plusieurs centaines de petits corans ont été retrouvées sur de nombreux pare-brise de voitures dans la ville de Liège (Belgique) samedi 19 avril, rapporte l’agence de presse Belga. Ces livres religieux, rédigés en français, ont été apposés sur des véhicules garés dans plusieurs quartiers de la ville, ainsi que dans des boîtes aux lettres d’habitations et dans une synagogue.
Selon les premières informations communiquées, ce sont des citoyens des quartiers concernés qui ont contacté la police pour faire part de cette curieuse découverte. Deux personnes ont été aperçues en train de déposer ces petits livres sur les pare-brise des véhicules, mais leurs motivations restent pour le moment inconnues. Bien qu’aucune infraction n’ait été constatée, la police liégeoise a décidé d’ouvrir une enquête via l’analyse des caméras de vidéosurveillance.
La police de Liège s’est rendue sur place dans la matinée de samedi pour enlever les ouvrages, et pas moins de 800 exemplaires ont été ramassés en l’espace d’une matinée.
Contacté par la RTBF, un imam évoque parmi d’autres hypothèses une tentative maladroite de prosélytisme. Une habitante musulmane d’un des quartiers concernés confie au média belge que « ce n’est pas dans nos habitudes d’imposer ainsi », et que cela « risque bien de nous nuire ».
Identifié par les autorités, le véhicule qui a servi à distribuer les corans a été aperçu en partance vers l’Allemagne samedi après-midi.
Les mécréants trouvent encore le moyen de se plaindre quand on leur fait du bien.
Qu’Allah les maudisse !
D.P.
. La Route 66 française en “Traction” (vieux garages, véhicules abandonnés, publicités peintes etc)
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°° WEBTUBE : On l’aime bien cette chaine Youtube “Grarage 2 CV”. Dans cette vidéo il sera plutôt question de “Traction avant” et d’anciennes voies avec des trésors cachés… Bon vionnage !
Dans cette vidéo, je vous embarque avec moi à bord de ma Citroën “Traction Avant” 11CV Commerciale de 1955, pour découvrir la Route Nationale 66. Si ce numéro de route est mythique aux USA, en France la 66 est une route beaucoup plus discrète mais qui, fut un temps, reliait la ville de Bar-le-Duc dans le département de la Meuse à Bâle en Suisse. J’ai donc décidé de suivre le tracé originel de cette route oublié et de découvrir avec vous les reliques de cette ancienne Route Nationale.
. La France va-t-elle économiquement dans le mur ? par Charles et Emmanuelle Gave
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°° WEBTUBE : On les aime bien ces deux là ! Toujours aussi sypathiques et surtout leurs analyses sont toujours aussi pertinentes. A écouter sans modération.
Presentation 03:00 Les chiffres 05:36 Le plan Pinay-Rueff 10:38 Note de la France 13:29 Le niveau de vie va baisser en France 16:00 Les graphiques de Charles Gave 40:00 Perte des emplois en France
. La dérive d’une police qui ne peut plus rien pour nous. Ouvrage à lire d’urgence…
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°° WEBTUBE : Dans son livre La police ne peut plus rien pour vous, Éditions L’Artilleur, en librairie depuis le 9 avril dernier, le commissaire divisionnaire honoraire Maurice Signolet revient sur une longue carrière entièrement dédiée au service des Français. À partir de nombreux récits tirés d’une expérience de terrain longue de 40 ans, il explique en particulier comment il a vu, au fil des années, s’opérer la dérive de l’institution « Police nationale ».
Il démontre comment, peu à peu, de façon inexorable, la police nationale, à l’instar de la société française, s’est disloquée sous les effets de réformes hasardeuses et devant des revendications catégorielles auxquelles les ministres de l’Intérieur de tous bords ont le plus souvent cédé, soit par opportunisme, soit par connivence, soit pour ces deux raisons à la fois.
Fragilisée face à une criminalité qui, sur fond de narcotrafic, ne cesse de se renforcer et de s’étendre sur toute l’étendue de notre territoire, la police nationale a désormais besoin d’une profonde réforme. Une réforme qui ne reposerait pas tant sur plus de moyens et plus d’effectifs que sur une profonde réconciliation avec le peuple de France. Mais pour cela, il faudrait un vrai bouleversement des mentalités. Il conviendrait que l’institution renoue avec une organisation basée sur les compétences et non pas l’obéissance, comme c’est le cas aujourd’hui. Une obéissance aveugle qui a pu conduire, comme lors de l’épisode des « gilets jaunes », à des excès purement et simplement inadmissibles.
Comme le commissaire divisionnaire Signolet, et pour avoir traversé comme lui certaines époques et vécu de nombreuses expériences similaires, je sais qu’il y a encore de vrais policiers. Des femmes et des hommes qui ont fait le choix de « servir » et non pas seulement de faire carrière. C’est à eux que ce livre veut rendre hommage, en n’oubliant pas de souligner combien il y a urgence à ce que la police nationale retrouve sa vraie place aux côtés des Français, une place qu’elle n’aurait jamais dû quitter.
La police ne peut plus rien pour vous, un livre vérité à lire absolument pour comprendre les vrais enjeux sécuritaires à venir.
- Olivier Damien, dans BV
. Alexandre Jardin : « Avec Les Gueux, contre les ZFE », il veut soulever la France
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°° WEBTUBE : On lui souhaite bien du courage devant la passivité des Français ! Quoiqu’on leur fasse, ils ne réagissent pas. Si on les empêche de conduire leur voiture dans les ZFE ? Pas de réaction. Si on les surtaxe ? Pas de réaction. Si on déclare la guerre à la Russie en dépensant des dizaines de milliards ? Pas de réaction. Si on déverse toute la misère du monde dans leurs rues ? Pas de réaction. Si on leur ferme chaque jours des lits d’hopitaux ? Pas de réaction. Si on baisse drastiquement le niveau scolaire ? Pas de réaction. Si on laisse des multirécidivistes en liberté dans les rues ? Pas de réaction.… On pourrait remplir des pages et des pages. Alors la France et les Français cliniquement morts ? Seraient-ils déjà tous “grands remplacés” ?
Ci-dessous, L’interview d’Alexandre Jardin dans BV :
Face à l’issue incertaine du débat parlementaire sur les zones à faibles émissions (ZFE), Alexandre Jardin fédère associations et élus locaux autour du mouvement informel « Les Gueux » et prépare de grandes manifs. Écrivain, auteur de plus d’une trentaine d’ouvrages, prix Femina pour son roman Le Zèbre, adapté au cinéma par Jean Poiret, Alexandre Jardin a aussi travaillé pour le cinéma comme scénariste ou réalisateur.
Diplômé de Sciences Po Paris, passionné, il s’est engagé contre les ZFE en constatant comment elles créaient une ségrégation chez les plus modestes, révélant la sécession des élites déconnectées au pouvoir avec le peuple français et semant ainsi les germes d’une guerre civile. Le mouvement spontané qu’il a constitué autour du hashtag #Les Gueux ne cesse d’attirer des particuliers, mais aussi des professionnels, associations catégorielles et professionnelles, ainsi que de plus en plus d’élus locaux. Afin d’expliquer les ZFE, leurs conséquences et la démarche pour les supprimer, Alexandre Jardin vient de sortir un petit livre, #Les Gueux, édité chez Michel Lafon. Dés aujourd’hui, au micro de Boulevard Voltaire, il donne rendez-vous le 17 mai, à Paris et sans doute aussi dans d’autres villes, à tous ceux qui refusent le mépris que subit le tiers de la population touché par les ZFE.