. Après Mougins et La Grande-Motte, les étrangers délinquants toujours impunis

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°° WEBTUBE : Les récents drames de Mougins et de La Grande-Motte remettent en lumière le lien entre immigration et insécurité que peu de politiques osent établir. D’un côté, un gendarme, père de famille de 54 ans, a perdu la vie, lundi 26 août, après avoir été percuté par un chauffard lors d’une opération de contrôle routier sur l’A8, à Mougins, dans les Alpes-Maritimes. De l’autre, un attentat antisémite contre la synagogue Beth-Yaacov de La Grande-Motte (Hérault), commis le 24 août, a blessé un policier municipal. Point commun des auteurs présumés ? Ils sont tous deux ressortissants étrangers, légalement présents sur le territoire français. Le premier a rapidement été interpellé à Cannes après avoir mortellement renversé l’officier de gendarmerie Éric Comyn. Défavorablement connu des services de police, « le chauffard criminel », selon les mots de Gérald Darmanin sur BFM TV, originaire du Cap-Vert, « était un délinquant de la route » depuis quelques années. Le parquet de Grasse précise également que dix mentions figurent à son casier judiciaire, « principalement pour des atteintes aux personnes et des infractions à la circulation routière ». Le second, El Hussein Khenfri, Algérien de 33 ans, est titulaire d’un titre de séjour et relaie abondamment les propos hostiles de La France insoumise envers Israël sur les réseaux sociaux. Vêtu d’un drapeau palestinien lors des faits, il ne cache pas ses motivations.

Une théorie très éloignée des faits

Ces deux affaires distinctes font émerger une question simple. Une personne étrangère, vivant régulièrement sur le sol français, peut-elle se voir retirer son titre de séjour et, donc, peut-elle être expulsée du territoire national ? Interrogé par Boulevard Voltaire, un policier parisien, régulièrement confronté à des délits commis par des personnes étrangères, répond : « En théorie, oui, un étranger peut perdre son visa ou son titre de séjour s’il commet un crime ou un délit grave », explique le fonctionnaire. « Mais dans la pratique, c’est beaucoup plus compliqué, déplore-t-il. Il y a des procédures administratives, des recours, des protections légales. Parfois, même après avoir purgé leur peine, ils ne sont pas expulsés immédiatement, voire pas du tout, à cause de toutes sortes de raisons, comme le risque de persécution dans leur pays d’origine ou simplement parce que leur pays refuse de les reprendre. »

Cette différence entre les textes de lois et la réalité du terrain est pesante pour de nombreuses forces de l’ordre. « On fait notre boulot sur le terrain, on essaie de maintenir l’ordre, mais si, derrière, les décisions ne suivent pas, on a l’impression de ne pas pouvoir protéger les citoyens comme on devrait le faire », déclare l’homme qui n’a plus aucune confiance en sa hiérarchie. « C’est frustrant, parce qu’on se retrouve souvent à gérer des individus qui ont déjà causé des problèmes et qui pourraient en causer de nouveaux. Ça nous donne l’impression de tourner en rond », conclut-il.

Quelles réactions politiques ?

À droite, les réactions politiques ne se sont pas fait attendre, en particulier après le décès de l’adjudant Éric Comyn. Mais après le temps de l’émotion et de la compassion pour la famille du fonctionnaire vient celui de l’exaspération. Sur X, le député de la Drôme Thibaut Monnier s’interroge sur la présence d’un étranger « cap-verdien multirécidiviste » sur le sol français.

Même agacement du côté de Marion Maréchal, qui estime qu’« avec un tel CV, on devrait mettre ce Cap-Verdien dans un charter » et non lui offrir « une carte de séjour », déplorant que « l’irresponsabilité de notre politique migratoire se paye encore par la mort d’un gendarme ».

À ce sujet — [Point de vue] La Grande-Motte : tweet de Raphaël Arnault et autres indignités

Sur BFM TV, Laurent Martin de Frémont, secrétaire départemental Unité 06 (Alpes-Maritimes) s’est quant à lui emporté contre Raquel Garrido, qui refuse encore et toujours l’alourdissement des peines encourues pour délit de fuite. Des Français paient de leur vie l’incorrigible laxisme migratoire et judiciaire français.

. La France écartelée entre la dérive autocratique de Macron et la dictature LFI

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°° WEBTUBE : La France est sans gouvernement depuis plus de 40 jours. Même sous la 4e République de sinistre mémoire, on n’avait pas vu le pays dans une telle panade politique. Savoir si le pays ne s’en porte finalement pas mieux est une question à part. Après tout, les Trente Glorieuses  ont commencé avec cette 4e  tant décriée. Macron vient de déclarer aux élus Liot qu’il a reçus ce mardi qu’il était « pleinement conscient de l’urgence de la situation ». Une situation dont il est le seul responsable. S’il en était « pleinement conscient », il en tirerait la conséquence qui s’impose : démissionner. En commençant le second tour de ses consultations, le président veut imposer l’idée que seul un gouvernement Macron-compatible – i.e. issu de la macronie élargie à la “droite respectable” – celle des Wauquiez, Genevard et Retailleau – peut succéder au gouvernement démissionnaire, d’obédience strictement macronienne.

Ce second tour se fera sans la gauche ni le RN et ses alliés, la première parce qu’elle a décidé de ne pas y aller – Macron ayant déclaré lundi qu’il excluait un gouvernement avec participation LFI -, les seconds parce qu’ils n’ont pas été invités. Onze millions d’électeurs passés à la trappe… Ce scandale démocratique absolu ne gêne pas le reste de la classe politique. La gauche roule pour elle en boycottant ces consultations. Quant à la « droite », Laurent Wauquiez, Annie Genevard et Bruno Retailleau s’y rendront sans y voir le moindre déni de démocratie.

La France insoumise a annoncé ce lundi qu’une motion de destitution d’Emmanuel Macron “sera présentée par les députés insoumis au bureau de l’Assemblée nationale” et que “toute proposition de Premier ministre autre que Lucie Castets fera l’objet d’une motion de censure”. LFI a également appelé à “une grande manifestation, le 7 septembre, contre le coup de force d’Emmanuel Macron. Nous formons le vœu que les forces politiques, syndicales et associatives attachées à la défense de la démocratie se joignent à cet appel”. Quant à Marine Tondelier, la secrétaire générale des Écologistes, elle estime qu’“on est en train de se faire voler cette élection et on nage en pleine dérive illibérale”. L’extrême gauche est manifestement prête à “passer en force”. Ce qu’elle n’a pu obtenir par les urnes, elle l’attend des violences antifas-black blocs et des quartiers ethniques qu’elle manœuvre à sa guise.

“Comment peut-on en arriver à un tel déni démocratique ?”, a de son côté dénoncé Olivier Faure, le patron du PS, menaçant de censurer tout gouvernement qui ne serait pas de gauche. Même de la part de cette gauche socialiste réputée “démocrate”, pas un mot sur les 11 millions d’électeurs du RN frappés d’inexistence politique…

Pour éviter l’écueil mortel d’une dictature islamo-gauchiste – dont les idiots utiles socialos et écolos seront vite égorgés -, les Français sont-ils prêts à accorder les pleins pouvoirs à un Emmanuel Macron cocaïnomane et psychopathe ? Une dérive à la Ceaucescu, avec un Jean-Mi Trogneux dans le rôle d’Elena

Henri Dubost, Riposte Laïque

. Mélenchon appelle la gauche radicale à semer le chaos dans les rues le 7 septembre

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°° WEBTUBE : Les gens ont compris que Macron faisait ce qu’il voulait car un président nomme qui il veut. Macron ne veut pas nommer ses alliés de juin dernier à ce poste, donc ils n’y seront pas. Les gens savent aussi vaguement que la France n’a pas besoin de gouvernement car tout est piloté par un cartel de hauts-fonctionnaires, de grands patrons, de médias et de banquiers.

Ceci dit, Mélenchon appelle à semer le chaos dans les rues pour exiger que sa protégée Lucie Castets devienne premier ministre.

C’est dommage qu’ils n’aient pas choisi le 7 octobre. C’est vraiment dommage. Peut-être aurons-nous le droit à une manifestation de la gauche le 7 octobre avec des drapeaux palestiniens ?

Ce serait tellement drôle.

On verra.

En attendant, le 7 septembre la gauche sera dans la rue pour semer le chaos.

France Info :

Une première déclaration, à l’issue d’une série de consultations avec les partis politiques et groupes parlementaires. Selon un communiqué de l’Elysée, lundi 26 août, Emmanuel Macron exclut l’option d’un gouvernement du Nouveau Front populaire, pourtant arrivé en tête au second tour des élections législatives en juillet, au nom de la « stabilité institutionnelle ».

Dès mardi, Emmanuel Macron lancera « un nouveau cycle de consultations » pour trouver un Premier ministre, « avec les responsables des partis et des personnalités se distinguant par l’expérience du service de l’Etat et de la République », poursuit l’Elysée dans son communiqué.

« Ma responsabilité est que le pays ne soit ni bloqué, ni affaibli. Les partis politiques de gouvernement ne doivent pas oublier les circonstances exceptionnelles d’élection de leurs députés au second tour des législatives. Ce vote les oblige », pointe le chef de l’Etat, cité dans ce communiqué.

Ceci dit, Macron a totalement bloqué et affaibli la France.

En tout cas, il a décidé de monter un barrage républicain contre le « Nouveau Front Populaire », la NUPES bis.

Comme tout le monde, je dois dire que voir la gauche s’exciter toute seule en s’imaginant avoir « gagné » les élections est particulièrement divertissant.

Leur accusation de « coup d’état » montre bien à quel point ces gens sont mentalement déficients.

Tout le monde peut constater à quel point ils sont fous.

Macron s’amuse de cette situation. Plus la gauche s’excite d’impuissance contre lui en le menaçant d’insurrection, plus il jubile. Il a bien raison de jubiler. Uriner sur la gauche sans qu’elle ne puisse rien y faire comme il le fait est jubilatoire.

Pour le reste, rien ne changera.

Et dire que les gens se sont entretués pendant 6 mois à propos des élections européennes, puis des élections légilatives pour se retrouver avec le même pouvoir en place.

Mais le meilleur, c’est que le même cinéma va recommencer avec les élections présidentielles de 2027 que Marine Le Pen va encore perdre.

Et encore, Macron peut relancer le même numéro en déclenchant une nouvelle dissolution en juin prochain.

C’est du harcèlement démocratique comme jamais encore on en a vu en France.

D.P.