. JO 100% woke : la chanteuse d’envergure venue d’Afrique « Yseult » vociférera dans un micro lors de la cérémonie de clôture

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°° WEBTUBE : Une africaine “massive”, c’est ce qui manquait aux Jeux Olympiques inclusifs de Macron. La boucle est bouclée.

On est conquis par la femme française du troisième millénaire.

Il y a une constante narrative.

En complément, il y aura la femme blanche de service telle que le système la veut : hommasse en dépression chronique, la voix érayée par le tabac, l’abus de substances et autres vices , censée permettre à la trentenaire de base le moyen de rationaliser sa vie merdique.

Zaho truc.

D.P.

. Patrice Pellerin fête les 30 ans de l’Epervier (bande dessinée).

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°° WEBTUBE : Depuis 30 ans, dans la célèbre bande dessinée L’Épervier, un corsaire breton déjoue des complots avec droiture et panache. Son créateur, Patrice Pellerin, y mêle ses passions : la Bretagne, la mer et l’Histoire. Brest, XVIIIème siècle. Yann de Kermeur, ancien pirate, devenu un célèbre corsaire breton sous le nom de l’Épervier, est accusé d’un crime qu’il n’a pas commis. Abandonné de tous, son équipage emprisonné, Yann mène l’enquête dans un périple qui le mène en Guyane à la recherche d’un trésor aztèque. Innocenté, Yann est convié à Versailles en 1742. Louis XV le charge d’une mission secrète et périlleuse.

L’Épervier doit rejoindre la Nouvelle-France pour sauver l’immense empire colonial en Amérique du Nord. Il doit y remplacer un espion français qu’un certain Masque de fer à la solde des Anglais a assassiné. L’Angleterre n’admet pas qu’au Canada, les Français occupent, avec peu de soldats, un immense territoire allant de la baie d’Hudson au Mississippi. L’Épervier effectue la traversée à bord de son navire, la Méduse. Mais il doit affronter une escadre anglaise. Afin de tisser une alliance stratégique avec un peuple amérindien, l’Epervier apprend alors qu’il doit protéger une princesse indienne contre de multiples dangers… A Versailles, les intrigues destinées à contrarier la stratégie de Louis XV ne cessent pas. Un puissant lobby, payé par les Anglais, manigance dans le but de forcer le roi de France à abandonner le Canada. Pendant ce temps, l’Épervier ignore tout du danger que court la belle Agnès de Kermellec. Mariée de force au marquis de Beaucourt qu’elle exècre, elle s’enfuit pour retrouver l’Épervier. Mais son mari la rattrape et l’enferme dans une cave…

Né à Brest le 2 novembre 1955, fils d’un préfet qui ne restait jamais longtemps dans la même région, Patrice Pellerin a vécu dans vingt-deux villes différentes. Mais il revenait chaque été passer ses vacances sur les côtes bretonnes, berceau de sa branche maternelle. Passionné de littérature classique, à l’âge de 12 ans il avait déjà lu presque toutes les œuvres de Dumas, Hugo et Balzac. Il apprend le dessin tout seul, en copiant les peintres de la Renaissance ou du Grand Siècle. A l’âge de 15 ans, il découvre Prince Valiant de Foster et se passionne dès lors pour la bande dessinée. Après le bac littéraire, il est directement admis en 3 ème année de l’École d’arts appliqués de Reims, en atelier de bande dessinée, dont il était le seul élève, les autres préférant la section dessin animé. Admirant le travail de Pierre Joubert, il parvient à le contacter et emménage même dans la chambre de l’un de ses enfants, pendant une dizaine d’années. Bénéficiant des conseils de Pierre Joubert, il se consacre en 1977 à l’illustration de manuels scolaires d’histoire et d’ouvrages pédagogiques. Il illustre ainsi l’ouvrage Une histoire de la Bretagne de Jean Markale.

Après la mort de Jijé, Jean-Michel Charlier lui propose de dessiner la suite de Barbe-Rouge, célèbre série maritime entamée en 1961 avec le dessinateur Hubinon. Il crée ainsi deux albums de cette série : “Trafiquants de bois d’ébène” (tome 22) en 1983 et “Les Révoltés de la Jamaïque” (tome 25) en 1987. Puis, en 1985, il se consacre au scénario des trois premiers albums de la série médiévale “Les Aigles décapités” (dessinée par Jean-Charles Kraehn). Mais à la mort de Jean-Michel Charlier, la complexité de la reprise des droits incite Pellerin à abandonner Barbe-Rouge, même s’il a dessiné une dizaine de planches d’un nouvel album, afin de créer sa propre série.

Il s’installe en Bretagne en 1993, habitant aujourd’hui à Lampaul-Guimiliau, près de Landivisiau (Finistère nord). En 1994, sa nouvelle série, “L’Épervier”, parait dans le journal Spirou. Il utilise 7 planches qui étaient prévues pour le nouveau Barbe-Rouge, redessinant le visage du héros pour transformer Eric le Rouge en Yann de Kermeur. A l’origine, cette série devait d’appeler « Le seigneur des tempêtes ». Mais le titre paraissait trop long à l’éditeur Dupuis. Puis Pellerin découvre le récit d’un contrebandier de la presqu’ile de Crozon, qui se faisait appeler Ar Sparfell (l’épervier en breton). Le nom du héros est trouvé !

Depuis 30 ans, Patrice Pellerin maintient son cap. Il réalise tout, scénario, dessin et colorisation. Mais le lecteur doit être patient. Il ne faut pas moins de trois années pour permettre à Pellerin de finaliser un album. Peu d’auteurs peuvent se permettre de faire ainsi patienter leur éditeur !

Ce maître du dessin maritime construit des scénarios riches en rebondissements. Ainsi se mêlent complots historiques ou imaginaires, enjeux politiques et intrigues amoureuses.

Yann de Kermeur, le héros, est un noble qui, après avoir été contraint de devenir pirate, a été capturé par l’armée française, gracié, puis enrôlé comme corsaire. Pellerin explique que son héros reste « fidèles aux valeurs anciennes de son rang et que son statut social lui implique plus de devoirs que de privilèges » (Patrice Pellerin, A propos de l’Epervier, Ed. A propos, 2005). Pour découvrir la jeunesse de L’Epervier, il est conseillé de lire le hors-série Archives secrètes, qui contient de nombreuses planches inédites.

Par sa rigueur et son réalisme, Patrice Pellerin représente minutieusement les navires, les bâtiments et costumes de l’époque. On apprécie notamment la reconstitution particulièrement fidèle du château de Kerjean, de la ville de Brest et du fort Vauban à Camaret. Pellerin trouve en effet son bonheur à dessiner la Bretagne du XVIIIème siècle. Le souci du détail est époustouflant. A Versailles, Pellerin montre dans les moindres détails le cabinet du Conseil et le petit cabinet de travail de Louis XV. Pour reconstituer le salon ovale blanc et or qui n’existe plus, il a même dû rechercher les plans et le mobilier de l’époque.

Il travaille avec des archéologues, des historiens comme Régine Pernoud, Jean Favier, ou Alain Boulaire (auteur de la thèse Brest et la Marine royale de 1660 à 1790, Thèse Paris IV, 1988), le directeur du château de Brest… Comme François Bourgeon, il puise dans les ouvrages de Jean Boudriot, notamment celui consacré à La Renommée, frégate construite à Brest (“La Renommée” : frégate de VIII, 1744, Paris, ANCRE, coll. « Archéologie navale française », 1993, 356 p.).

Patrice Pellerin commence, pour chaque page, à faire une esquisse au format de l’album. Puis, sur chaque page agrandie, il crayonne puis encre. Il fait tout à la main, sans recourir au numérique, avec les mêmes outils qu’au XVIIe siècle : plume et encre de Chine pour l’encrage, pinceaux et gouaches pour la mise en couleurs.

Les couleurs réalisées à la main par Pellerin lui-même sont superbes. A l’heure des palettes numériques, rares sont les coloristes qui réalisent encore des peintures. Plutôt que la mise en couleur directe, il utilise l’ancien procédé des « bleus ». Il reçoit ainsi de l’éditeur une épreuve en gris, sur laquelle il appose ses couleurs à la gouache.

Cette technique traditionnelle procure beaucoup de charme au récit.

Un chef d’œuvre de la BD d’aventures.

On sera moins élogieux sur l’adaptation de cette série à l’écran : L’Épervier. Cette série française en six épisodes de 52 minutes, réalisée par Stéphane Clavier, diffusée pendant l’été 2011 sur France 3, a été tournée en Bretagne, à Locronan, Crozon, Fort-la-Latte, Dinan et à Saint-Malo. Mais pour limiter le budget, l’aventure a cédé la place au romanesque.

Le prochain album de l’Épervier devrait sortir fin 2025. Il se déroulera à Kerjean et à Brest, notamment lors de l’incendie de son port en 1742.

L’épervier, intégrale, 1er cycle, 288 p., 54 euros. Editions Dupuis.

L’épervier, tomes 7 à 10, 15,50 euros chacun. Editions Soleil Quadrants.

Kristol Séhec, Breizh-info

. La police allemande veut offrir un abonnement Netflix aux « jeunes » qui rendent leurs couteaux

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°° WEBTUBE : Ne pas laisser aux musulmans qui plantent des Allemands le droit d’entrer dans le pays semble la solution la plus simple au problème des coups de couteau, mais la police allemande voit le problème différemment...


Remix
 :

Le chef d’un syndicat de police allemand a exhorté le gouvernement à examiner une proposition visant à ce que les criminels qui rendent des couteaux reçoivent des récompenses substantielles, notamment un abonnement d’un an au service de streaming Netflix.

Jochen Kopelke, président du syndicat de la police (GdP), s’est dit préoccupé par l’épidémie de criminalité au couteau qui sévit dans les villes allemandes et a demandé à l’administration fédérale de gauche de sortir des sentiers battus pour s’attaquer efficacement au problème.

Cette épidémie est très mystérieuse.

C’est sûrement l’extrême-droite.


Il a proposé une amnistie pour toutes les personnes en possession d’un couteau et désireuses de rendre leur arme, mais a suggéré qu’une récompense matérielle était nécessaire pour inciter les jeunes en particulier à le faire.

« Pour que cette mesure soit efficace, le gouvernement fédéral doit créer des incitations sérieuses pour ceux qui font des dons », a déclaré Jochen Kopelke.

« Concrètement, cela pourrait se traduire par une année de Netflix pour la remise d’un couteau papillon interdit », a-t-il ajouté.


La loi allemande interdit la possession d’un couteau dont la longueur de la lame est égale ou supérieure à 12 cm. Cependant, les couteaux papillon sont devenus l’arme de prédilection de nombreuses personnes, et la criminalité liée aux couteaux a augmenté de façon vertigineuse au cours des dernières années.

Il y a autre chose qui a augmenté de façon vertigineuse en Allemagne.


Mardi, des chirurgiens de l’hôpital universitaire de Berlin, la Charité, ont révélé qu’ils avaient traité plus de victimes de crimes au couteau au cours du premier semestre de cette année qu’au cours de toute l’année 2023.

Selon Ulrich Stöckle, directeur général du Centre de chirurgie musculo-squelettique, les blessures sont également plus graves, avec des coups de couteau multiples et plus profonds, souvent infligés par des couteaux plus grands.

Les données récemment publiées par le ministère de l’intérieur révèlent un fait incontestable : les ressortissants étrangers sont représentés de manière disproportionnée dans les statistiques de la criminalité. En d’autres termes, l’immigration galopante qu’a connue l’Allemagne ces dernières années a entraîné une hausse de la criminalité.

Les ressortissants étrangers représentaient 41 % de tous les suspects de crimes en 2023, alors qu’ils ne constituent que 15 % de la population.

Si l’on analyse spécifiquement les niveaux de criminalité violente, dont font partie les attaques au couteau, on constate qu’un total de 214 000 crimes violents ont été enregistrés en Allemagne l’année dernière, soit une augmentation de 8,6 % par rapport à l’année précédente.

L’année dernière a également été un record pour les cas impliquant des lésions corporelles dangereuses et graves, avec 154 000 cas, soit une augmentation de 6,8 %.

Seuls les gens d’extrême-droite peuvent imaginer de ne pas laisser le monde musulman s’installer en Allemagne pour tuer des Allemands.

Heureusement pour l’Allemagne, la police du pays est entre les mains d’une femme d’ultra-gauche, extrêmement hostile aux idées de droite !

On observe avec satisfaction que sous la direction de Nancy Faeser, le gouvernement est beaucoup plus dur envers la droite et ses crimes odieux sur Twitter que contre les porteurs de couteau musulmans éligibles à un programme Netflix.

D.P.

. La psychologie évolutionniste explique parfaitement l’effondrement de la Grande-Bretagne

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°° WEBTUBE : Pourquoi l’Angleterre a-t-elle connu une semaine de graves émeutes provoquées par des « voyous d’extrême droite » (code du régime pour « Blancs de la classe ouvrière ») et des « voyous » (code du régime pour « Musulmans d’Asie du Sud ») ? La psychologie évolutionniste – l’examen évolutionniste du comportement humain – nous donne une réponse claire et nette. Dans son livre « Ethnic Conflicts : Their Biological Roots in Ethnic Nepotism », le politologue finlandais Tatu Vanhanen (1929-2015) a découvert qu’il existait une corrélation de 0,66 entre l’ampleur des conflits ethniques dans un pays et son niveau de diversité ethnique. En psychologie, il s’agit d’une relation très forte. Elle prouve que les sociétés multiraciales ne fonctionnent pas. ( Edward Dutton
The Occidental Observer
)

Comme je l’ai expliqué dans mon livre « Woke Eugenics », nous avons évolué pour vivre avec des personnes qui sont génétiquement très semblables à nous : nous coopérons avec ces personnes parce qu’elles nous transmettent indirectement une plus grande partie de nos gènes. Par conséquent, les étrangers issus d’un groupe ethnique différent activent notre réaction de fuite et de combat, ce qui signifie que, dans les sociétés multiraciales, nous sommes soumis à un stress constant de faible intensité. Les sociétés multiraciales ne peuvent connaître qu’une paix incertaine et sous tension, avec la possibilité d’un conflit ethnique à tout moment.

Pour ne rien arranger, et comme l’a montré le politologue américain Robert Putnam, dans les sociétés multiraciales, la confiance sociale s’effondre même au sein de la population autochtone. En effet, les membres calculateurs de la population autochtone – en fait, les traîtres – y verront une occasion de prendre le pouvoir sur leur propre groupe en collaborant avec les étrangers, et les autochtones patriotes s’en rendront compte.

En conséquence, il a été constaté que le cercle moral du gauchiste est plus éloigné de lui-même que celui du conservateur. Le cercle moral du conservateur est une série de cercles concentriques émanant de lui-même : vous aimez votre famille plus que vos proches, vos proches plus que votre milieu social, votre milieu social plus que votre groupe ethnique et ainsi de suite. Ce n’est pas le cas du gauchiste : il s’identifie à un autre groupe ethnique plutôt qu’au sien, à une autre race plutôt qu’à la sienne. Cela lui permet de trahir son groupe, de collaborer avec des étrangers, beaucoup plus facilement.

« Je pensais qu’on serait en sécurité ici, papa… » « Moi aussi »

Jouer sur la corde sensible. Issu du Guardian, bien sûr.

Si de tels collaborateurs arrivent au pouvoir, vous pouvez vous attendre à ce qu’ils mettent en place un système à deux vitesses à l’encontre de leur propre peuple : les étrangers, dont ils dépendent pour leur pouvoir, seront contrôlés moins sévèrement, seront autorisés et même encouragés à faire des émeutes contre vous en « mettant un genou à terre » […]

Ils ne seront pas poursuivis pour leurs crimes parce qu’une sorte d’anarcho-tyrannie obligera la population autochtone à se concentrer sur sa propre sécurité, ce qui ne lui permettra pas de s’organiser contre le régime collaborationniste.

En effet, ce régime adoptera des lois pour vous empêcher d’exprimer vos opinions sur leurs clients immigrés – « discours de haine » – et il est clair qu’il se préoccupe davantage de ces derniers que de vous : si vous êtes blanc et ouvrier, vous ne faites pas partie de leur coalition, vous êtes un danger pour leur pouvoir.

C’est ce qui s’est passé en Angleterre et c’est la raison pour laquelle la classe ouvrière anglaise se révolte. Le système à deux vitesses a été clairement mis en évidence et, le 5 août, le chef de la police londonienne, Sir Mark Rowley, a été tellement choqué par la mention de l’existence de ce système par un journaliste de Sky News qu’il lui a arraché de colère son micro des mains.


Vous pouvez également vous attendre à ce que les collaborateurs soient le fer de lance d’une nouvelle forme de morale commune selon laquelle rien n’est plus important que « les marginalisés », et vous pouvez vous attendre à ce que les personnes de la haute société, réalisant les avantages de se conformer « au truc du moment », adoptent cette morale. Et vous pouvez particulièrement vous attendre à ce que cela se produise lorsque l’on se trouve dans une situation d’évolution inadéquate.

Notre « évolution adéquate » est d’être entouré par la mort : la mortalité infantile élevée était la norme jusqu’à environ 1800 et la révolution industrielle. En son absence, nos instincts – tels que l’ethnocentrisme – seront induits à un degré beaucoup plus limité, comme je l’explore dans « Woke Eugenics ». En fait, il semblerait que les personnes à statut social élevé – ce que prédit l’intelligence – soient moins instinctives, car l’intelligence consiste à résoudre des problèmes cognitifs et, par conséquent, à dépasser les réponses instinctives.

Si nous nous tournons vers l’Angleterre de l’été 2024, tout cela s’est déroulé de manière presque parfaite et a été bien résumé par Nick Buckley, militant et critique de Black Lives Matter :


Le 4 juillet, lors des élections générales, plusieurs députés musulmans ont été élus à la Chambre des communes, uniquement sur un billet « Free Palestine », démontrant ainsi le pouvoir organisé de l’islamisme au Royaume-Uni. Le 11 juillet, le nouveau gouvernement travailliste annonce qu’il libérera 5 000 prisonniers au début du mois de septembre, la plupart d’entre eux n’ayant purgé que 40 % de leur peine, en raison de la surpopulation carcérale. Le 15 juillet, nous apprenons que la police métropolitaine de Londres, qui dépend d’un maire musulman, n’a pas résolu un seul délit mineur (cambriolage, vol de voiture, vol de téléphone) en trois ans, dans 166 quartiers. Le 17 juillet, on apprenait qu’un réfugié jordanien, Mustafa al Mbaidan, qui avait agressé une policière à Bournemouth, dans le sud du pays, avait été dispensé de travaux d’intérêt général au motif « qu’il ne parle pas anglais ».

Le 18 juillet, deux « demandeurs d’asile », Yousef Garef et Amin Abdelbakar, qui avaient volé une Rolex d’une valeur de 25 000 livres sterling à un touriste, ont été épargnés par la prison. Le même jour, des émeutes massives ont éclaté dans les communautés immigrées de Leeds après que les services sociaux ont pris en charge quatre enfants roms. Ils ont été dûment renvoyés, le gouvernement prônant la « compréhension ».

Le 18 juillet, des émeutes ont également éclaté dans la communauté bangladaise de l’est de Londres, à la suite de troubles politiques au Bangladesh, avec des jets de pierres sur les policiers et des voitures cassées. Le gouvernement travailliste n’a pas eu grand-chose à dire.

Le 23 juillet, il a été annoncé qu’Anjem Choudary, l’islamiste le plus tristement célèbre de Grande-Bretagne, allait être condamné pour avoir dirigé la terreur islamiste dans les rues de Grande-Bretagne. Le même jour, un officier de l’armée britannique a été poignardé à plusieurs reprises devant son domicile par Anthony Esan, un immigrant nigérian, vraisemblablement musulman.

Le 26 juillet, des manifestations ont éclaté après la diffusion d’images montrant la police du Grand Manchester prenant des mesures contre Fahir et Amaad Amaas à l’aéroport de Manchester. Ils avaient agressé des officiers armés, cassant le nez d’une policière. Des émeutes ont été organisées par des musulmans en faveur de ces hommes.

Le 29 juillet, un jeune homme de 17 ans, né au Royaume-Uni de parents rwandais, est entré dans un club de vacances sur le thème de Taylor Swift à Southport et a poignardé à mort trois petites filles (blanches), avant de poignarder un certain nombre d’autres personnes. Le 30 juillet, une rixe de masse impliquant des machettes a éclaté dans les rues de Southport ; les profils ethniques ont été supprimés par les médias. Par ailleurs, le 30 juillet, il a été rapporté qu’un migrant kurde sans domicile fixe avait poussé un homme sur les rails d’une station de métro londonienne après s’être senti « irrespectueux ». Il a également été révélé que 3 000 migrants supplémentaires étaient entrés illégalement en Grande-Bretagne sur de petits bateaux depuis l’arrivée au pouvoir des travaillistes il y a moins d’un mois, ce qui porte à environ 130 000 le nombre total de traversées effectuées par des migrants, principalement de jeunes hommes, originaires de pays tels que l’Afghanistan, l’Érythrée, le Soudan et la Syrie.

Il en a résulté des protestations, dont certaines se sont transformées en émeutes, dans les quartiers ouvriers blancs, qui se sont maintenant étendues à l’ensemble du pays ; des protestations contre l’immigration – le meurtrier de l’enfant n’était, après tout, pas d’origine anglaise – et contre ce qui est perçu comme une police à deux vitesses.

Ces manifestations auraient été déclenchées, à Southport le 30 juillet, sur la base « d’informations erronées » selon lesquelles le tueur était musulman, ce qui a entraîné l’encerclement de la mosquée, mais même lorsque ces informations ont été prétendument démenties par la publication du nom et de l’origine ethnique du tueur, les gens n’étaient pour autant pas prêts à avaler l’argument selon lequel « ce n’était pas un immigré parce qu’il était né au Pays de Galles ». C’était un étranger ; l’immigration en était la cause, tout comme les prix absurdes de l’immobilier, le sentiment d’être un étranger dans son propre pays et les files d’attente massives dans le service national de santé.

À Rotherham, un hôtel, dans lequel les « réfugiés » sont logés à grands frais, a été encerclé et incendié. C’est à Rotherham que les autorités « woke » ont ignoré pendant des décennies la sollicitation et le viol de plus de 1 400 jeunes filles blanches mineures parce qu’elles craignaient d’être qualifiées de « racistes ». Se méprenant totalement sur le degré de fureur de l’opinion publique face à ces meurtres et sur des décennies d’écran de fumée sur les « bienfaits du multiculturalisme », le Premier ministre travailliste, Sir Keir Starmer, et les médias ont proclamé que les manifestants étaient des « voyous d’extrême droite » et qu’ils agiraient pour « protéger nos communautés musulmanes ».

La réaction a été très différente de celle des émeutes de Leeds et de celle face à Black Lives Matter quelques années plus tôt. Des groupes musulmans, enfreignant la loi en défilant en uniforme (sans conséquence juridique), ont créé une « Ligue de défense musulmane » et ont déclenché des émeutes à Bolton, près de Manchester. Dans la nuit du 5 août, des émeutes ont éclaté à Birmingham, sans que la police ne tente de les contrôler, agressant des Blancs locaux et étant simplement qualifiés de « voyous » – sans mention d’appartenance ethnique ou religieuse. Sky TV a parlé de manifestations de « voyous d’extrême droite », alors que l’on pouvait voir en arrière-plan des hommes musulmans armés de machettes. L’une de leurs reporters, à Birmingham, a été contrainte de se réfugier dans sa voiture, où ils ont crevé ses pneus. Les « voyous d’extrême droite » n’ont rien fait de tel.

Les Anglais savent que le gouvernement, et en particulier la gauche, sont des menteurs ; ces mensonges ont provoqué un effondrement de la confiance dans « le récit » officel. Le gouvernement prétend que les émeutiers seront emprisonnés ; comme par magie, il trouve de la place dans les prisons mêmes qui sont complètement surpeuplées. Ces désordres ne montre aucun signe d’apaisement à l’heure où nous écrivons ces lignes (6 août). Elon Musk a prédit une « guerre civile » au Royaume-Uni, les voyous gauchistes exigeant – via des menaces à peine voilées dans le cas de Starmer – que X soit placé sous leur contrôle afin qu’il ne puisse pas exprimer son opinion.

Je soupçonne qu’une limite a été franchie. Ces émeutes finiront par se calmer, mais elles continueront à s’enflammer, comme une maladie chronique. L’avenir à court terme de l’Angleterre sera une division communautaire semblable à celui de l’Irlande du Nord. Ironiquement, cependant, catholiques et protestants ont défilé, unis et « d’extrême droite », dans les rues de Belfast, ne faisant finalement qu’un dans leur opposition à leur propre invasion. C’est exactement ce que prédit la psychologie évolutionniste.

L’humoriste Dominic Frisby, que j’ai interviewé il y a quelque temps, a chanté « We’re All Far Right Now » dans une satire du wokisme. Non, « Nous sommes tous des voyous d’extrême droite maintenant », ce qui a peut-être uni les Britanniques contre leur invasion, orchestrée par des collaborateurs tels que Sir Keir Starmer.

Source : Edward Dutton
The Occidental Observer
09 août 2024