. L’incursion de troupes ukrainiennes dans la région de Koursk interroge

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°° WEBTUBE : Comment des unités ukrainiennes lourdement équipées de blindés et d’artillerie ont-elles pu pénétrer en Russie à la surprise générale et en toute tranquillité sans qu’il y ait aussitôt une réaction rapide du commandement russe ? Ou bien les services de renseignement de Poutine sont au-dessous de tout, ou bien ils ont parfaitement analysé les préparatifs de cette opération majeure, mais c’est alors le haut commandement qui n’aurait pas cru à leurs mises en garde. Ce qui ne serait pas nouveau, la parole des “rens” étant souvent mise en doute par ceux qui les écoutent.

Le fait est qu’une force mécanisée importante a pu s’enfoncer de 25 kilomètres en territoire russe avant que des forces spéciales et des troupes aéroportées n’arrivent sur place.

De nombreux civils, totalement désemparés et sans aucun plan d’évacuation prévu, y ont laissé la vie ou ont été blessés. Quant aux unités chargées d’assurer la protection des frontières, elles ne sont pas aptes au combat de haute intensité. Ce sont souvent de jeunes soldats peu aguerris qui n’ont pas vocation à aller en première ligne.

En clair, rien n’était prévu pour faire face à ce raid audacieux. Une faille inexcusable.

Évidemment, l’issue des combats ne fait aucun doute et peu de soldats ukrainiens en ressortiront vivants. Ils seront tués ou capturés pour la plupart. Mais à quel prix pour les Russes ?

Le camouflet est sévère pour le commandement russe, pris en flagrant délit d’incompétence et d’amateurisme, pour avoir ignoré la menace, alors que de nombreuses incursions ont déjà eu lieu dans la région.

Poutine a beau s’indigner de cette “provocation à grande échelle” et dénoncer des “tirs aveugles sur des civils”, le vrai problème est la grave défaillance de l’armée russe, incapable de protéger les villages frontaliers.

Certes, la tâche est difficile sur une frontière commune de 1600 kilomètres, mais si la Russie, avec une population de 144 millions d’habitants, n’est pas capable de se protéger d’une armée ukrainienne exsangue, qui lance ses dernières forces dans des opérations suicides hautement médiatisées, c’est que toute la stratégie russe est à repenser.

Si Poutine continue de faire la guerre avec une main dans le dos, refusant de cibler les centres de décision civils et militaires ukrainiens, s’il refuse de mobiliser davantage pour forcer Zelensky à négocier, il ne fera qu’encourager les faucons occidentaux à l’escalade sans fin. Mais le Tsar a sans doute ses raisons, à commencer par le refus d’anéantir un peuple frère et par le souci de préserver au maximum la vie de ses soldats.

En attendant, les hostilités continuent. Or, toute escalade nous rapproche du nucléaire tactique, une option ultime qui pourrait embraser la planète. Ni Poutine, ni les Occidentaux ne veulent prendre le risque… pour l’instant.

Il se dit sur Telegram que le chef d’état-major russe, Valeri Guerassimov, avait été informé depuis deux semaines de cette possible incursion majeure. Information classée sans suite.

Il faudra bien entendu rendre des comptes au Tsar. Mais en attendant, les combats font rage.

L’avancée des troupes ukrainiennes a été stoppée, mais Kiev serait en train d’envoyer des renforts pour tenter de conserver le terrain conquis.

https://tass.com/politics/1827023

Il est bien entendu difficile de connaitre la véritable situation sur le terrain, même s’il est clair que les Russes n’ont pas l’intention de laisser les Ukrainiens s’incruster.

Voici ce que résume l’agence Tass. À chacun de se faire une opinion.

– L’opération visant à détruire les formations armées ukrainiennes dans la région frontalière de Koursk se poursuit, a rapporté le ministère russe de la Défense.

– Au cours des dernières 24 heures, les troupes russes ont déjoué les tentatives de l’armée ukrainienne de mener des raids en profondeur sur le territoire russe.

– Les troupes russes ont porté des frappes contre des effectifs et du matériel militaire ukrainiens près des localités de Daryino, Gogolevka, Melovoy et Nikolsky et dans la banlieue ouest de Soudja.

– Des avions de combat russes ont frappé des réserves de l’armée ukrainienne dans la région de Soumy.

– L’armée ukrainienne a perdu jusqu’à 945 soldats et 102 véhicules blindés, dont 12 chars et 17 véhicules blindés de transport de troupes depuis que Kiev a lancé une attaque massive sur la région frontalière de Koursk en Russie, a rapporté le ministère russe de la Défense.

– Au cours des dernières 24 heures, les pertes de l’armée ukrainienne se sont élevées à plus de 280 soldats et 27 véhicules blindés, dont quatre chars, a-t-il précisé.

– La situation opérationnelle dans la région de Koursk reste tendue et les autorités locales ont organisé un système d’assistance aux personnes déplacées de force, a déclaré le gouverneur par intérim Alexeï Smirnov sur sa chaîne Telegram.

– Les opérations d’évacuation des habitants du district de Soudja se poursuivent pendant une accalmie dans les bombardements de l’armée ukrainienne, a déclaré à TASS le chef du district, Alexandre Bogatchev.

Cela dit, on peut se demander quel but poursuit Zelensky, dont l’armée est à bout de souffle et recule sur l’ensemble du front depuis des semaines.

Cela ressemble davantage à un coup médiatique et à un ultime soubresaut d’une armée moribonde qu’à un coup d’éclat militaire apportant des gains opérationnels significatifs.

Zelensky veut montrer aux Occidentaux que l’Ukraine est encore bien vivante pour que les armes et les milliards de dollars continuent d’affluer, alimentant encore et toujours les comptes off-shore des oligarques ukrainiens, qui ont amassé en deux ans des fortunes inespérées.

Que pèsent les 600 000 morts ukrainiens face à cette manne occidentale inépuisable ?

Il est grand temps de mettre un terme à cette guerre ignoble, voulue et entretenue par l’Occident pour dépecer la Fédération de Russie et piller ses immense ressources minières.

30 mois de mensonges et plus d’un million de morts et de blessés, des centaines de milliers de veuves et d’orphelins pour défendre les seuls intérêts américains, tandis que l’Europe ressort ruinée de l’aventure, ça suffit.

Jacques Guillemain, Riposte Laïque

. Brésil : Que sait-on ce matin sur le crash d’avion qui a fait 61 morts hier ? Le bilan a été révisé à la baisse, le 62e passager annoncé comme décédé a, en réalité, raté l’avion

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°° WEBTUBE : Un avion avec 62 personnes à bord s’est écrasé vendredi dans un quartier résidentiel d’une ville de l’Etat de Sao Paulo au Brésil, a annoncé la compagnie aérienne brésilienne VoePass. La compagnie aérienne a confirmé dans un communiqué qu’un avion à destination de l’aéroport international Guarulhos de Sao Paulo s’est écrasé avec 58 passagers et 4 membres d’équipage à son bord. Le communiqué ne précise pas les causes de l’accident.

Dans un communiqué, la compagnie précise que l’avion, du constructeur franco-italien ATR, avait décollé de Cascavel, dans l’Etat brésilien de Parana et se rendait à l’aéroport international Guarulhos de Sao Paulo. Après une chute brutale, il s’est écrasé à 13 h 25 (18 h 25, heure de Paris) à Vinhedo. Tous les passagers sont morts, selon la mairie de Valinhos (76 000 habitants), commune voisine qui a participé aux opérations de secours.

Les pompiers ont confirmé que l’avion s’était écrasé dans la ville de Vinhedo, la mairie de la ville a indiqué qu’il n’y avait pas de survivants. La chaîne de télévision brésilienne GloboNews a montré des images d’une vaste zone en feu et de la fumée s’échappant du fuselage apparent d’un avion dans un quartier résidentiel rempli de maisons. D’autres images diffusées par GloboNews montrent un avion dérivant verticalement vers le bas, en spirale.

« Ça a été horrible, on a vu l’avion faire plusieurs tours sur lui-même et tomber, a raconté Edna Barbosa, une habitante de Vinhedo, sur la télévision brésilienne SBT. C’est Dieu qui nous a sauvés, parce qu’il s’en est fallu de peu que [l’avion] ne tombe sur ma maison. Je suis en état de choc, je n’arrête pas de trembler. » Un autre résident, Ricardo Rodrigues, a relaté sur la chaîne locale Band News avoir « vu beaucoup de corps par terre, beaucoup » sur les lieux de l’accident.

Lors d’un événement organisé dans le sud du Brésil, le président Luiz Inácio Lula da Silva a demandé à la foule de se lever et d’observer une minute de silence.

. Venezuela. Isadora Zubillaga : « Il est temps que Maduro et son entourage acceptent une transition pacifique négociée »

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°° WEBTUBE : Le Venezuela est une fois de plus plongé dans une crise politique majeure à la suite des élections présidentielles de 2024. Le président sortant, Nicolás Maduro, a été réélu dans des conditions fortement contestées, plongeant le pays dans un chaos politique qui s’ajoute à une situation économique déjà fragile. La réélection de Maduro a été immédiatement rejetée par l’opposition, qui l’accuse de fraude électorale massive. Les résultats de cette élection ont été marqués par des allégations de manipulation des votes et d’intimidation des électeurs. L’opposition, dirigée par plusieurs figures clés, dont María Corina Machado, a appelé à des manifestations massives pour contester les résultats. Dans ce climat de tension, la communauté internationale reste divisée, certains pays reconnaissant la victoire de Maduro, tandis que d’autres soutiennent l’opposition.

La crise actuelle rappelle celle de 2019, lorsque Juan Guaidó s’était autoproclamé président par intérim, soutenu par de nombreuses nations occidentales. Aujourd’hui, bien que Guaidó ne soit plus sur le devant de la scène, le scénario d’un double gouvernement se profile à nouveau, avec l’opposition cherchant à établir une alternative légitime au gouvernement de Maduro. La situation est exacerbée par l’impact économique de la crise politique, avec une inflation galopante et une pénurie de biens essentiels qui poussent de plus en plus de Vénézuéliens à l’exil. L’opposition a averti que si Maduro restait au pouvoir, une nouvelle vague migratoire pourrait voir des millions de personnes quitter le pays, aggravant ainsi une crise régionale déjà difficile à gérer plan international, les tensions sont également palpables. Les sanctions économiques imposées par les États-Unis et l’Union européenne continuent de peser lourdement sur l’économie vénézuélienne, tandis que des pays comme la Russie et la Chine apportent un soutien diplomatique et économique à Maduro. Cette dynamique internationale renforce le statu quo, malgré les appels répétés à des élections libres et transparentes .

Face à la contestation, le gouvernement de Maduro a récemment suspendu l’accès à certaines plateformes de réseaux sociaux, notamment X (anciennement Twitter), pour une durée de 10 jours, invoquant la nécessité de préserver la stabilité nationale . Cette mesure est perçue sition comme une tentative de museler les critiques et de limiter la diffusion des informations sur la crise en cours.

En somme, le Venezuela reste plongé dans une impasse politique où le dialogue entre le gouvernement et l’opposition semble plus que jamais nécessaire pour éviter une aggravation de la crise humanitaire et politique. Cependant, les perspectives de résolution restent incertaines, laissant le pays dans un état de tension permanente.

Isadora Zubillaga est l’ancienne ambassadrice du gouvernement vénézuélien en France et l’ancienne vice-ministre des affaires étrangères du Venezuela. Elle est titulaire d’une licence en économie et en sciences politiques de l’université de Boston et d’une maîtrise en relations internationales de la Sorbonne.

Elle a été interviewée par Jaime Nogueira Pinto pour The European conservative, par rapport à la situation dans son pays. Nous avons traduit cette interview et vous la proposons ci-dessous.

Les communistes au pouvoir le cèdent rarement de manière pacifique. Nous avons vu en Europe de l’Est qu’ils ne quittaient le pouvoir que sous la pression populaire, lorsque, avec Gorbatchev, les Soviétiques les ont laissés tomber. Il y a aussi la voie polonaise : négociée. Ou la voie roumaine, combattue jusqu’au bout, avec Ceaușescu exécuté par son propre peuple. Quelle sera la voie de Maduro ?

Isadora Zubillaga : En ce qui concerne le Venezuela, il est difficile de prédire exactement comment Nicolás Maduro et son régime finiront. Toutefois, comme l’a souligné María Corina Machado, chef de file de l’opposition, le meilleur scénario pour toutes les parties concernées, y compris Maduro et son cercle rapproché, est de poursuivre une transition pacifique, ordonnée et négociée vers la démocratie. Cela minimiserait les souffrances et ouvrirait la voie à un avenir stable et prospère pour tous les Vénézuéliens.

Malheureusement, Maduro semble choisir une autre voie, marquée par le mensonge, la répression et la violence. La réponse du régime aux vastes manifestations a été brutale : plus de 20 personnes ont été tuées et ce nombre est malheureusement en augmentation. Des centaines de personnes ont été arrêtées et, pas plus tard qu’hier soir, Maduro lui-même a annoncé que 2000 personnes avaient été arrêtées pour avoir manifesté.

Pourtant, malgré cette répression, le peuple vénézuélien ne recule pas. Il s’agit d’une lutte existentielle contre un régime tellement corrompu et prédateur qu’il ne laisse aucune place à l’épanouissement du peuple vénézuélien. La détermination du peuple vénézuélien à recouvrer sa démocratie est inébranlable, et je suis convaincu qu’il continuera à aller de l’avant, quels que soient les obstacles placés sur son chemin par ce régime moribond.

Pour que cela se produise, il faut que les forces armées, la police et les services de sécurité se séparent. Pensez-vous que cela soit possible ?

Isadora Zubillaga : Oui, nous pensons que c’est encore possible. Les hommes et les femmes en uniforme, ainsi que leurs familles, ne sont pas à l’abri des dures réalités de la situation actuelle au Venezuela. Eux aussi endurent des conditions économiques incroyablement difficiles, le manque d’opportunités et l’effondrement des services publics. Ils sont tout à fait conscients qu’endurer six années supplémentaires sous le régime de Maduro est une perspective insupportable.

Cependant, des obstacles importants empêchent l’alignement des forces militaires et de sécurité sur les aspirations à la liberté partagées par tous les Vénézuéliens. L’un des principaux facteurs est la présence d’agents de sécurité étrangers, notamment cubains et russes, qui occupent des postes clés et influencent les processus décisionnels au sein du régime. Un autre facteur est l’appareil de surveillance sophistiqué du régime, qui est géré par des unités de renseignement formées pour surveiller et réprimer tout signe de dissidence. Enfin, il existe au sein de l’armée une culture profondément ancrée qui rappelle constamment au personnel les conséquences désastreuses de la trahison de la révolution. Ceux qui ont osé entrer en dissidence ont été torturés et soumis à des traitements inhumains en détention, voire à la mort, ce qui constitue un avertissement brutal pour les autres.

Ces facteurs compliquent certainement la situation, mais nous pensons que l’aggravation de la crise au Venezuela pourrait encore conduire à un changement de loyauté, à mesure que le désir de changement et d’un avenir meilleur se renforce dans les rangs.

Il est très intéressant de voir l’attitude de présidents latino-américains comme Lula et Boric, que nous dirions idéologiquement proches de Maduro, mais qui exigent maintenant un respect plus clair et plus transparent du vote populaire.

Isadora Zubillaga : Jusqu’à présent, nous avons vu trois réponses distinctes de la part de la communauté internationale :

– La Bolivie, le Nicaragua, le Honduras, Cuba, l’Iran, la Russie et la Chine soutiennent et félicitent Maduro pour le résultat de l’élection ;

– La critique et la non-reconnaissance du résultat des élections par l’Uruguay, l’Argentine, le Costa Rica, l’Équateur, le Guatemala, le Panama, le Paraguay, le Pérou, la République dominicaine, le Chili, le Salvador, les États-Unis, l’Espagne, l’Allemagne, le Royaume-Uni et le reste de l’Union européenne ;

– une position neutre et des appels à la transparence de la part du Brésil, de la Colombie et, dans une moindre mesure, du Mexique.

Nous pensons que les gouvernements qui sont d’une certaine manière proches du régime, comme ceux du Brésil et de la Colombie, ont un rôle essentiel à jouer. Ils pourraient être essentiels pour convaincre Maduro du caractère irréalisable et insoutenable de son plan visant à voler les élections et à se maintenir au pouvoir en tant que gouvernement de facto.

En outre, il est réconfortant de constater que, pour de nombreux gouvernements d’Amérique latine (comme le Chili), les principes démocratiques et la protection des droits de l’homme transcendent les clivages idéologiques. Cette adhésion aux valeurs démocratiques est louable et je félicite les dirigeants qui s’engagent fermement en faveur de la démocratie. Je les encourage également à poursuivre leurs efforts pour aider le Venezuela à restaurer son ordre démocratique.

Sun Tsu conseillait (du moins, c’est ce que prétendent les Occidentaux) de “ne pas pousser trop fort les ennemis désespérés” et de “leur donner (à vos ennemis) des ponts d’or”. Est-ce quelque chose que Nicolas Maduro et son peuple accepteront, c’est-à-dire un pont, une porte de sortie honorable ?

Isadora Zubillaga : Lorsque María Corina Machado parle d’une transition ordonnée, ce concept est largement inclus. Il y a eu des signaux clairs de la part de l’opposition et de divers partenaires internationaux exprimant une volonté de fournir un tel “pont d’or” à Nicolás Maduro et à son cercle rapproché.

Il s’agit d’une proposition difficile à envisager, en particulier compte tenu des violations atroces des droits de l’homme et des crimes internationaux commis par le régime. Toute proposition de cette nature devrait être élaborée avec le soutien du peuple vénézuélien, qui souffre de ce régime depuis si longtemps.

Malgré les offres faites, Maduro et ses alliés semblent opter pour la voie de la violence et de la répression. Cependant, nous pensons qu’il est encore temps pour Maduro et son entourage d’accepter ces offres – une transition pacifique négociée avec des garanties, conçue pour réduire leurs coûts de sortie et leur offrir un moyen de s’en sortir. Les Vénézuéliens sont impatients d’aller de l’avant et de reconstruire leur pays.
Breizh-info.com

. La chanson du jour, Cymande – Dove

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°° WEBTUBE : Morceau iconique du groupe de funk btitanique Cymande sorti en 1972. Ce morceau a été repris de nombreuses fois, voici une interprétation plus cool que la version originale. Plus actuel mais aussi plus planant.

°° WEBTUBE : Iconic track from the British funk group Cymande released in 1972. This track has been covered many times, here is a cooler interpretation than the original version. More current but also more atmospheric.

. Lucie Castets croit Matignon réservé aux homos-socialos

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°° WEBTUBE : Pierre Cassen commente la grosse manoeuvre de Lucie Castets qui, voyant Matignon s’éloigner, révèle sa vie intime, son homosexualité, le fait qu’elle ait une épouse et un enfant. Penserait-elle, après les passages des socialistes Elisabeth Borne et Gabriel Attal à Matignon, le poste de Premier ministre réservé à des homosexuels, pour faire plaisir aux LGBT ? Par ailleurs, plusieurs exemples confirment que Lucie Castets, malgré tous ses diplômes affichés, ne paraît pas, dans le domaine économique, d’une compétence incontestable.

. L’Angleterre nous confirme que la France sera la prochaine cible islamique

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°° WEBTUBE : En Angleterre, les beaufs se rebellent. Les caves sont énervés. On se demande bien à quoi pensent nos médias français. Même sur la chaîne CNews, que l’on ne peut pas dire inféodée au macronisme ambiant, au carpettisme des Républicains à la Wauquiez ni aux gauchisants islamo-compatibles, il n’y a pas de vrais discours explicatifs autres que “ce serait l’œuvre de l’extrême droite”. Après les différents scandales des dernières années qui ont vu des centaines de jeunes filles mineures, de jeunes enfants capturés, violés, mis sur les trottoirs de Telford et d’ailleurs, par des racailles pakistanaises (Source) (Source), d’autres gamines sont poignardées dans une garderie par un jeune, un mineur, venu d’ailleurs, dont il ne faut pas connaître les origines sous prétexte que ce serait raciste et entraînerait une condamnation.

N’en doutez pas une seconde, si un jeune Anglais de souche avait seulement giflé une petite Pakistanaise pour lui piquer sa sucette, cela aurait fait un scandale.

En France, nous avons l’habitude de ces deux poids, deux mesures !

Nous avons une justice gauchiste, des magistrats syndicalisés d’extrême gauche, des coupables devenus des victimes et de vraies victimes devenues des personnages suspects, mis en doute, et qui demain, dans quelques semaines, devront croiser leurs bourreaux, leurs violeurs, l’assassin de l’enfant qui était là au mauvais moment !

La France avait, il y a quelques semaines, l’occasion de renverser la table !

Elle ne l’a pas fait ! Certes, nous ne savons pas ce qu’un gouvernement Bardella aurait foncièrement changé, diamétralement modifié, radicalement transformé ! 

Nous ne le savons pas et nous ne le saurons sans doute jamais. Simplement parce que des électeurs ont été incapables de faire face à l’avalanche médiatique, à la peur de l’inconnu, comme ils ont eu peur du covid, de l’avion qui vole trop bas, du chien qui passe, de la mer qui monte, de la pluie qui mouille, de l’orage, du soleil trop chaud, de la neige, du verglas, etc.

Ce peuple est devenu un peuple de peureux, de traumatisés par cinquante ans de gauchisme ouvert (PC/PS/Écolos) et celle de droite molle (Modem/Centristes) et de faux durs (RPR-UMP-LR), tous des alliés des footeux et de supporters débiles non pas parce que payés au SMIC, mais tout heureux de participer volontairement à la fortune des Mbappé et consorts, en achetant des billets et des fringues à leurs mômes à la gloire de ces joueurs ! Ah misère de misère ! Quel triste peuple es-tu devenu ! 

Je ne suis pas un fan de Madame Le Pen, c’est une certitude, son idée de l’islam compatible ne passe toujours pas. Avions-nous le choix, en tant que patriotes, de voter pour ce cheval un peu gauche, un peu flou, mais qui au moins, était sur une ligne juste ?Elle aurait été bien obligée de la suivre cette ligne, sans risque de tout perdre finalement. Même si elle n’en avait fait que le tiers sur l’immigration, la justice, la police, le changement d’air aurait été salutaire. Il y a des outils qui sont utilisables et nous le savons bien comme l’article 25 du code civil :

Selon l’article 25 du Code civil, la déchéance de la nationalité française peut être décidée dans les cas suivants : (Source)

Vous avez été condamné pour un crime (infraction la plus grave punissable par une peine de prison : homicide volontaire ou viol par exemple) ou un délit (acte interdit par la loi et puni d’une amende et/ou d’une peine d’emprisonnement inférieure à 10 ans) constituant une atteinte aux intérêts fondamentaux de la Nation. 

Vous avez été condamné pour un crime ou un délit constituant un acte de terrorisme (infraction commise, préparée ou financée dans le but de troubler gravement l’ordre public par l’intimidation ou la terreur). L’infraction comprend l’acte lui-même et les moyens pour le mettre en place. Par exemple, atteinte volontaire à la vie, séquestration, enlèvement, détournement d’un moyen de transport, détention d’armes.

Vous exercez une fonction publique et vous avez été condamné pour un crime ou un délit constituant une atteinte à l’administration publique. Par exemple, atteinte à une liberté individuelle, discrimination.

Vous avez accompli des actes au profit d’un État étranger, incompatibles avec le fait d’être Français.

La lutte légale peut se faire avec des outils comme la surveillance des sorties d’argent vers l’étranger, le vote de la suppression des aides sociales données à des étrangers en situation irrégulière (clandestins), le fait de réinstituer le délit de séjourner en France sans autorisation, l’interdiction de la naturalisation à vie, l’interdiction de mariage avec une française ou non, une action forte sur les pays qui nous envoient leurs citoyens en les obligeant à les reprendre, etc.

Éric Zemmour a raison sur cette bataille qu’il faut mener. Madame Le Pen, si elle n’en faisait déjà que la moitié, la France aurait des chances d’éviter ce qu’il va nous arriver dans quelques années.

L’Angleterre est un phare qui avertit la France des futurs écueils.

Le Premier ministre anglais libère des assassins, des criminels ayant fait seulement quarante pour cent de leur peine, afin de libérer plus de places pour enfermer les résistants anglais. Cela devrait nous rappeler ô combien ceux qui nous gouvernent, de droite comme de gauche en Europe, sont compromis dans la volonté d’éradiquer les populations de souche.

Les dernières élections leur ont prouvé, par la peur des nationaux, l’expérience du covid, qu’ils pouvaient frapper encore plus fort.

Gérard Brazon  dans RL