. Hystérisée par le conflit Israël/Hamas, la jeunesse de plus en plus politisée

Articles    : Juin 2024Mai 2024Avr. 2024Mar. 2024 – Facebook : https://www.facebook.com/profile.php?id=100069673161887 Twitter : https://twitter.com/OrtfNews Music 24/24 : http://DJMUSIC.fr

°° WEBTUBE : La jeunesse serait-elle prise en otage ? Dans une tribune récente du Cercle Droit et Débat public publiée par nos confrères du Figaro, plusieurs auteurs s’inquiètent de la « politisation rampante de l’enseignement » et dénoncent une montée de l’antisémitisme dont la « cause principale [est due au] retour de la bête immonde [qu’]est l’islamo-gauchisme ». Plus que jamais présente au sein de la jeunesse – en particulier chez les 18/24 ans –, la question du conflit qui oppose Israël au Hamas occupe les lieux d’enseignement secondaires et supérieurs. Le 7 octobre est un véritable tournant. Interrogés par l’IFOP, 35 % des jeunes estiment qu’il est normal de s’en prendre à des personnes de confession juive en raison de leur soutien supposé ou avéré à la politique d’Israël.

47 % des 18-24 ans voteront pour le Nouveau Front populaire

Enseignant d’histoire-géographie dans un établissement REP (réseau d’éducation prioritaire) de l’Oise, Martin* témoigne, pour BV, des effets dévastateurs de cette hyperpolarisation sur ses élèves. Ce jeune fonctionnaire, qui souhaite garder l’anonymat, décrit des classes « parfois hystérisée » par le conflit au Moyen-Orient. « Les élèves reprennent des informations non vérifiées de TikTok, croyant à des fake news sans discernement. » Il constate une radicalisation des opinions qui dépasse le simple débat académique, souvent en faveur de discours anti-israéliens. « J’ai même le cas d’élèves qui sont allés jusqu’à arborer des symboles militants ou des keffiehs en classe sans comprendre la complexité de la situation », ajoute-t-il, visiblement préoccupé par l’ampleur du phénomène.

Les derniers sondages confirment cette tendance : 47 % des jeunes de 18 à 24 ans déclarent soutenir le Nouveau Front populaire, attirés par son discours critique des politiques occidentales vis-à-vis de la bande de Gaza. Cette influence des réseaux sociaux sur les jeunes esprits soulève des questions sur l’impartialité et la neutralité de l’enseignement public. Les jeunes, de plus en plus exposés aux discours simplistes et très partiaux, sont ainsi victimes des contenus dont ils s’abreuvent, renforçant une polarisation dangereuse pour la cohésion sociale.

Des cours qui deviennent de la « pure propagande » ?

Le ministère de l’Éducation nationale est critiqué pour son manque de réaction face à cette dérive. Les manuels scolaires, comme le souligne la tribune du Cercle Droit et Débat public, semblent favoriser une lecture biaisée des événements historiques et contemporains. Les auteurs dénoncent ainsi un sujet du bac d’histoire-géographie qui donnait « à certains élèves, par l’énoncé retenu, l’occasion de déverser leur haine d’Israël ». De son côté, notre enseignant déplore « des cours d’histoire-géographie, censés promouvoir une compréhension nuancée et factuelle du monde, qui deviennent, chez certains de [s]es collègues, de la pure propagande ». Cette situation, exacerbée par l’absence de réaction appropriée des autorités éducatives, menace de transformer l’école en un champ de bataille idéologique.

Pour cet enseignant de l’Oise, les conséquences sont claires : « Les élèves ne sont plus dans une logique d’apprentissage critique mais d’adhésion à des idées préconçues, estime-t-il. C’est alarmant pour l’avenir du débat public et de la démocratie. » Les responsables de l’Éducation nationale devront répondre de cette situation et envisager des réformes pour garantir une éducation véritablement neutre et objective. Une remise en question des manuels scolaires et des sujets d’examen pourrait être un premier pas vers une meilleure formation des jeunes, leur permettant de développer un esprit critique face aux informations qu’ils consomment.

Julien Tellier dans BV

. L’Algérie inquiète d’une possible victoire du RN

Articles    : Juin 2024Mai 2024Avr. 2024Mar. 2024 – Facebook : https://www.facebook.com/profile.php?id=100069673161887 Twitter : https://twitter.com/OrtfNews Music 24/24 : http://DJMUSIC.fr

°° WEBTUBE : « Si je deviens Premier ministre du pays, au début du mois de juillet, je ferai de la question de l’immigration et du contrôle de nos frontières une de mes priorités », affirmait Jordan Bardella, le 14 juin, au micro de BFM TV et de RMC. À Alger, à quelque 1.300 kilomètres de Paris et à près de 800 kilomètres de Marseille, l’ambiance est morose. L’onde de choc provoquée par la victoire du Rassemblement national (RN) lors des élections européennes du 9 juin dernier s’est étendue jusqu’aux rives méridionales de la Méditerranée. En 2021, selon l’INSEE, 887.100 ressortissants algériens vivaient sur le territoire français, soit 12,7 % des immigrés vivant en France, rappelle Xavier Driencourt, ancien ambassadeur de France à Alger de 2008 à 2012, puis de 2017 à 2020, faisant ainsi des Algériens la première nationalité étrangère en France. Ainsi, l’inquiétude de voir le RN accéder à Matignon taraude de nombreux Algériens d’Algérie dont une partie de la famille est partie s’installer en France. Et pour cause, quand bien même le Rassemblement national a pu évoluer, sur les questions économiques et internationales notamment, une constante de son programme demeure, au gré des élections : la préférence nationale et la lutte contre l’immigration.

« Réduction drastique de l’immigration »

La réduction drastique de l’immigration – en particulier extra-européenne – portée par le RN serait un coup dur pour les ressortissants algériens détenteurs d’un titre de séjour. Au regard du lien historique qui unit – malgré tout – la France à son ancienne colonie, beaucoup se rendent dans l’Hexagone lorsque la situation algérienne se détériore. La question des visas est, à cet égard, très révélatrice des relations bilatérales franco-algériennes.

À ce sujet — [Exclu BV] Algérie : pas de visa pour réhabiliter des cimetières français

Parmi les mesures phares du RN, l’établissement d’une « loi d’urgence » sur l’immigration. Le RN souhaite, notamment, faciliter l’expulsion systématique des délinquants et criminels étrangers. La suppression du droit du sol et la remise en cause de la politique du regroupement familial sont également sur la table des négociations prioritaires, tout comme le rétablissement du délit de séjour irrégulier. Le renouvellement des titres de séjour ou encore l’obtention de la nationalité française – par naturalisation – seraient, par conséquent, accordés de manière plus stricte. « C’est un message clair : avec moi, la France n’aura plus vocation à être un pays d’immigration massive incontrôlée. » « Il est temps de briser le tabou de l’immigration de guichet social », déclare Jordan Bardella, ce 24 juin.

Dans la presse algérienne, le succès du RN auprès des électeurs français est décrit comme « un retour tragique vers le passé ». Un « péril », annonciateur d’un chaos social pour El Watan-dz : « Avec Marine Le Pen au pouvoir, des centaines de milliers d’étrangers et de binationaux seraient interdits d’emploi ». On accuse le parti de vouloir appliquer « la « rémigration » prônée par Zemmour », « de façon masquée » et en violation complète des conventions européennes, via l’inscription de la « préférence nationale » dans la Constitution ou la suppression du droit du sol par exemple. « Pour la première fois de l’histoire, ce parti aux thèses racistes et xénophobes, pourrait emporter la majorité des sièges au soir du 7 juillet […] » peut-on lire dans un article consacré aux élections législatives françaises. « Dans un sentiment de méfiance, faudrait-il pour autant confier sa destinée à un Dark Vador relooké, au côté obscur de la force […] ? » conclut l’article.

La fin annoncée des accords franco-algériens de 1968 ?

L’abrogation des accords du 27 décembre 1968 entre la France et l’Algérie, négociés au lendemain de l’indépendance de l’Algérie, suscite elle aussi un malaise. C’est ce qu’affirmaient Jordan Bardella et Marine Le Pen ou, plus récemment, Sébastien Chenu, au lendemain des élections européennes : l’une des premières actions du RN, en cas de victoire, serait la révision ou l’abrogation, de manière unilatérale, de l’accord qui réglemente la circulation, l’emploi et le séjour des ressortissants algériens sur le sol français. Une décision justifiée par la lutte contre les clandestins algériens faisant l’objet d’une OQTF, préconisée notamment par Xavier Driencourt.

Toutefois, le jeune président du RN se veut rassurant : « Nos compatriotes de nationalité étrangère ou d’origine étrangère qui travaillent, qui paient leurs impôts, leurs cotisations, qui respectent la loi, qui aiment notre pays, n’ont strictement rien à craindre de la politique que je vais mettre en œuvre », assurait Jordan Bardella, le 14 juin, à la question d’une auditrice de BFM TV et de RMC.

Un avenir franco-algérien encore plus incertain

Au regard de ce chamboulement politique, un sentiment d’angoisse s’empare progressivement des binationaux franco-algériens. Les relations bilatérales entre Paris et Alger étaient déjà houleuses, marquées par un passé colonial tumultueux. La culture de la repentance portée par la présidence d’Emmanuel Macron a jeté de l’huile sur le feu. En cas de victoire du RN, on peut redouter une détérioration des tensions diplomatiques, avec une répercussion multisectorielle.

Une réduction des investissements français en Algérie, contraignant le géant du Maghreb à se tourner vers d’autres partenaires économiques, modifierait ainsi en profondeur l’architecture de coopération franco-algérienne. L’Algérie serait, également, défavorisée dans le cadre du contentieux territorial du Sahara occidental, qui l’oppose au Maroc. Le parti de Marine Le Pen s’étant prononcé en faveur de la solution marocaine.

Côté algérien, aucune déclaration officielle n’a été rendue publique. En France, seule la grande mosquée de Paris s’est élevée « contre l’obsession des politiques et des médias envers l’islam et les musulmans », le 19 juin. Le recteur de la grande mosquée de Paris, Chems-eddine Hafiz, affirme qu’elle « ne soutient aucun parti »… mais qu’elle « appellera clairement à faire barrage à l’extrême droite ». Le mérite de la cohérence…

Anna Morel dans BV

. Et si Macron donnait le pouvoir à Mélenchon, comme Hindenburg à Hitler ?

Articles    : Juin 2024Mai 2024Avr. 2024Mar. 2024 – Facebook : https://www.facebook.com/profile.php?id=100069673161887 Twitter : https://twitter.com/OrtfNews Music 24/24 : http://DJMUSIC.fr

°° WEBTUBE : Le nombre de similitudes est frappant entre cette époque en Allemagne et la nôtre aujourd’hui en France. À l’époque, les élections en Allemagne faisaient suite à la dissolution du Reichstag le 1er février 1933 et la convocation de nouvelles élections. Tout comme en France aujourd’hui avec la dissolution de Macron. À l’époque, un parti antisémite faisait près de 30 % des voix, tout comme en France aujourd’hui avec le NFP et LFI, en caricaturant.Extrait d’un podcast de France culture à propos de cette époque :  « le rôle joué par la milice en uniforme du parti nazi, les SA attaquant les meetings de leurs contradicteurs, vandalisant leurs permanences, ces bandes de voyous faisaient régner la terreur dans les rues ».

https://www.radiofrance.fr/franceculture/podcasts/le-tour-du-monde-des-idees/hitler-et-les-elections-4604010

Ça ne vous rappelle rien, comme autre similitude ? Dans les rues françaises, qui fait régner la terreur actuellement ? Les membres du Rassemblement national et leurs électeurs ? Ou bien les antifas, les Blacks blocs (en uniforme noir) et les électeurs de LFI ?

Continuons l’extrait : « Les nationaux-socialistes se prétendaient révolutionnaires. La victoire politique ne pouvait donc procéder, à leurs yeux, du seul processus électoral. Elle devait procéder d’une prise du pouvoir par la force»

Ça ne vous rappelle toujours rien ? Qui se présente révolutionnaire (tout comme les nazis) aujourd’hui, le RN ou LFI ? Qui prône la force, le RN ou LFI ?

Question : peut-on faire un copié-collé du comportement des nazis de l’époque (début des années 1930) et des électeurs de Mélenchon aujourd’hui ?

Pour répondre à cette question provocatrice, amusons-nous encore et toujours à faire des caricatures, et caricaturons justement la situation via quelques questions fondamentales :

Aujourd’hui en France, tout comme se comportaient les nazis d’hier en Allemagne, quels sont ceux qui cassent, pillent et brûlent ? Les électeurs de LFI et de Mélenchon.

Quels sont ceux qui attaquent une partie de la population française ? Les électeurs de LFI et de Mélenchon.

Quels sont ceux qui sont prêts à utiliser la force pour prendre le pouvoir ? Les électeurs de LFI et de Mélenchon.

Quels sont ceux qui sont antisémites ? Les électeurs de LFI et de Mélenchon.

Quels sont ceux qui taguent des croix gammées dans « les territoires perdus de la République » pour  afficher leur hostilité aux Juifs ? Les électeurs de LFI et de Mélenchon.

Quels sont ceux qui attaquent, violent et tuent des Juifs ? Les électeurs de LFI et de Mélenchon.

Quels sont ceux qui agressent dans la rue leurs adversaires politiques ? Les électeurs de LFI et de Mélenchon.

Quels sont ceux qui attaquent les meetings, arrachent violemment les affiches et vandalisent les permanences de leurs adversaires politiques ? Vous connaissez déjà la réponse…

Fort heureusement, tous les électeurs de LFI et de Mélenchon ne sont pas comme ça, mais une partie quand même. Aussi on peut continuer longtemps à poser encore et encore nombre de questions analogues, et à toutes ces questions reviendrait invariablement la même réponse : LFI et Mélenchon. Tout comme revenait invariablement la même réponse à toutes ces mêmes questions dans les années 1930 en Allemagne.

En Allemagne, à toutes ces mêmes questions on répondait : les électeurs des nazis, c’est-à-dire les nationaux-socialistes d’Hitler !

Peut-on en conclure qu’une partie des électeurs de LFI sont les dignes héritiers des nazis vu leurs comportements antidémocratiques, antisémites, agressifs, violents et racistes ? Je vous laisse seul juge. Mais moi, j’ai ma petite idée…

Et quand je dis « antidémocratique », je n’exagère pas ; quand on veut imposer la charia à la place de nos lois républicaines, je n’appelle plus trop ça de la démocratie.

Poursuivons.

Si le Rassemblement national n’obtient pas la majorité aux élections législatives, Bardella refusera de devenir Premier ministre et de former un gouvernement RN. Il l’a dit et sans cesse redit.

Aussi, la logique voudrait que si le RN refuse l’accession au pouvoir, le Président de la République Emmanuel Macron offre le pouvoir à la deuxième force politique en termes de voix : au Nouveau Front populaire. Donc à Jean-Luc Mélenchon comme nouveau Premier ministre.

Mais, est-ce réellement possible ?

N’oubliez pas que beaucoup de gens font pression en ce sens. De partout.

Et justement, si sous la pression de tous ces anciens Premiers ministres, Dominique de Villepin, Laurent Fabius et Lionel Jospin on rajoute à cette liste de champions du monde de la connerie l’ancien président du FMI, le trop fameux ou fumeux Dominique Strauss Kahn (« Il n’y a pas de mal à se faire sucer par une femme de ménage », a encore dit Anne Sinclair) et d’un ancien Président de la République, François Hollande… eh bien tout ça fait du beau monde pour justement nous foutre dans de beaux draps ! Et donc, pourquoi Macron ne donnerait-il pas le pouvoir au Nouveau Front populaire, suite à toutes ces pressions politiques et médiatiques ? Puisque les médias roulent tous pour l’extrême gauche.

Oui, si sous la pression des tous ces hommes politiques de notoriété, Macron cédait ? Aussi bien par lâcheté que par cynisme. Cédait en offrant le gouvernement au NFP. Et le poste de Premier ministre à Jean-Luc Mélenchon. Car ne rêvez pas, la violence l’emportera. Et c’est avec lâcheté que tous les PS, EELV, PC, etc. finiront par se coucher devant les électeurs agressifs et violents de Mélenchon en lui offrant le poste suprême…

Mais Macron ne ferait pas cela que par lâcheté, mais aussi par plaisir d’être disruptif comme il aime à dire, par plaisir malsain de foutre la merde tout en se déresponsabilisant efficacement.

Car en cas de cataclysme, et cataclysme il y aura, Emmanuel Macron s’époumonera avec emphase : « Ce n’est pas moi le responsable, mais les anciens Premiers ministres, ainsi que François Hollande, ainsi que tous les médias qui l’ont exigé ! », tout en pensant silencieusement dans sa tête : « Bande de cons ! Je vous ai tous baisés, et je me réjouis du spectacle de la France s’effondrant sous mes yeux ! C’est tout bon pour l’Europe de détruire cette vieille nation française moisie devenue obsolète et inutile. Et je suis fier d’avoir été l’artificier de cet Hiroshima final. »

La trahison irait-elle jusqu’à ce que les députés macroniens ne votent aucune motion de censure pour faire sauter ce gouvernement d’extrême gauche comportant, peut-être, un ancien Président de la République, François Hollande ? Là est toute la question.

Oui, là est la question cruciale, les députés de Macron voteraient-ils une motion de censure pour dégager aussitôt ce gouvernement d’extrême gauche ? Ou Macron laisserait-il délibérément pourrir la situation, par plaisir malsain, au nom de la démocratie et du droit du peuple à choisir son destin ?

Et puis… si le programme de Macron est de détruire la France, comme le disent beaucoup d’observateurs, il rejoint dans ce cas le programme de Mélenchon, qui lui aussi détruira la France. Leurs chemins sont peut-être différents, mais ils conduisent au même objectif : la destruction de notre nation !

Emmanuel Macron est tout sauf con. Il sait très bien que s’il invoquait immédiatement l’article 16 lui donnant les pleins pouvoirs, cela lui serait reproché et lui retomberait sur le coin de la gueule. Alors que si, suite au refus de Bardella, il offre le pouvoir à Mélenchon, laisse la situation s’envenimer, laisse tout pourrir, tout s’effondrer, il pourra revenir en héros sauvant la démocratie en installant une dictature, justement via l’article 16. Et personne ne le lui reprochera. Tout au contraire. Il sera même acclamé comme un sauveur !

Macron a donc tout intérêt à installer Mélenchon si Bardella refuse le poste de Premier ministre par manque de majorité. Ainsi, tout comme le Président Hindenburg donnant le pouvoir à Hitler, Macron donnera le pouvoir à Mélenchon, sans hésiter une seule seconde !

Alors… alors Macron et Mélenchon, ensemble, s’épauleront pour détruire la France une bonne fois pour toutes. Car avec le programme économique de LFI, la France ruinée finirait rapidement sous la tutelle du FMI et sa souveraineté serait à tout jamais terminée ; et elle n’aurait plus droit au chapitre pour décider de son destin. Le rêve de Macron serait enfin réalisé : détruire à jamais les dernières volontés de souveraineté de la France, et l’enchaîner comme une esclave obéissante et soumise… à une future Europe fédérale. Dont il se voit déjà président.

Aussi, si vous êtes des patriotes et que vous aimez la France, je pense que vous connaissez votre devoir dimanche prochain.

Stéphane Fatrov, Riposte Laïque