Migrants dans les campagnes : ces marques qui mettent la main au portefeuille

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Le projet d’installation de migrants dans nos campagnes est bien beau sur le papier mais, outre les problèmes de vivre ensemble qu’il suscite, ce vaste plan a également un coût. Impensable, pourtant, de reculer devant ce magnifique programme humanitaire. C’est pourquoi un grand nombre de marques ont décidé d’y participer en apportant à l’État l’aide financière dont il a besoin pour donner à la France le nouveau visage dont il rêve.

L’État impécunieux a trouvé les moyens d’accélérer l’immigration en France. De nombreuses grandes marques participent au financement de l’installation de migrants dans nos campagnes.

Prenons le cas de Callac, en Bretagne, par exemple, et son projet d’hébergement de migrants largement dénoncé dans nos colonnes. Ce projet est lancé par le fonds de dotation « Merci », soutenu par des entreprises privées dont le nom mérite d’être évoqué au grand jour : l’agence de voyages Les Ateliers du Voyage, la marque d’habillement Sézane, le champagne Fleury, la bière artisanale La Parisienne, le groupe d’expertise RBA… liste non exhaustive (consultable ici). Des entreprises qui – accordons-leur le bénéfice du doute – ne savent peut-être pas elles-mêmes comment est employé leur argent…

Un fonds de dotation « philanthropique »

Nous n’aurions sans doute jamais entendu parler de Callac sans une certaine Marie-France Cohen, créatrice des magasins Bonpoint (vêtements pour enfants ; l’entreprise a été revendue depuis). Philanthrope au grand cœur, elle se déclare « convaincue que le luxe suprême, c’est de se donner » et lance d’abord un projet humanitaire à Madagascar, avant de s’intéresser à la France. Avec ses fils, afin de « faire comprendre aux Français que l’arrivée de ces réfugiés est une chance et pas un danger », elle mène, « en 2018, une réflexion collaborative en vue de repenser l’accueil de ces populations » par le biais de son fonds de dotation Merci. Une structure particulièrement souple. Selon un avocat fiscaliste spécialiste des fonds de dotation contacté par BV« c’est un statut juridique qui a une redoutable capacité fiscale et qui permet pas mal de choses : défiscalisations extrêmement avantageuses (jusqu’à 60 % des dons pour les entreprises et 66 % pour les particuliers), exonérations des droits de mutation et contrôles extrêmement légers – contrairement aux fondations “reconnues d’intérêt public” ». Sans compter que ce fonds de dotation Merci utilise, par ailleurs, le recours au mécénat de compétence qui permet, encore une fois, une défiscalisation plus qu’intéressante…

Un système juteux, donc, pour cette famille qui trouve là un moyen de satisfaire ses ambitions humanistes. Mais qui prive l’État d’une source de financement tandis que le contribuable français, lui, est tenu de supporter le poids d’une immigration incontrôlée. Notre consœur Clémence de Longraye évoquait, dans ces colonnes, les 690 euros quotidiennement déboursés par l’État pour la simple rétention administrative des clandestins qui arrivent en France. Un chiffre à ajouter à ce que coûtent réellement ces installations, à bien plus long terme, de migrants dans les territoires ruraux, installations voulues par Emmanuel Macron. Gérées par le gouvernement avec l’aide d’associations du nom de « projet Horizon » (famille Cohen) ou encore « Aurore » à la manœuvre pour la construction d’un CADA (centre d’accueil pour demandeurs d’asile), à Saint-Brevin-les-Pins, par exemple, ces associations vivent sous perfusion d’argent public versé par les départements, l’Union européenne et d’autres organismes d’État, en plus du soutien d’entreprises privées.

Pas de grand projet philanthropique à Saint-Brevin mais, là encore, des partenaires privés dont le nom mérite d’être connu : les magasins Bonpoint, L’Oréal, JP Morgan, Fondation Carrefour, Fondation Placoplatre, Total Foundation, Biocoop, Comme des papas, Conforama, la Fondation Monoprix, Axa, Harmonie Mutuelle, IBM œuvrent aux côtés de l’association Aurore pour installer des hébergements de migrants déjà construits à Goussainville, Nanterre, Aurillac, Orléans, Montargis, Beaugency…

Et des projets à venir

Le fonds de dotation Merci a publié une carte intitulée « À la recherche du village Horizon ». Elle fait la liste des sites repérés par l’association dans le cadre d’« une recherche active d’une commune d’accueil pour Horizon ». Y figurent Strasbourg, Dijon, Poitiers, Les Aix-d’Angillon, Grenoble, Nantes, Esplas-de Sérou, Châteaudouble, Saint-Jean-Mirabel, Montendre et d’autres communes. De quoi multiplier les projets d’installation de migrants partout en France….

Sabine de Villeroché, Boulevard Voltaire

Cet article a été publié la premoière fois le 28/10/2022.

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Emmanuel Macron : il paraît que tout va bien et que le gouvernement y travaille

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Voilà les Français rassurés. Ils savent désormais, depuis l’allocution officielle de ce 24 juillet, ce que c’est que d’avoir un Président à la manœuvre, qui leur explique ce qu’il fera demain, en tant que Président, alors qu’il ne l’a pas accompli hier, alors qu’il était déjà… Président.

Le gouvernement ? Tout va bien. La prolongation du CDD d’Élisabeth Borne ? « Le choix de la confiance, de la continuité et de l’efficacité. » Trois qualités que les Français avaient déjà plébiscitées. Lesquels se sont tout de même rendu compte que leur pays était devenu incapable de dignement accueillir le roi d’Angleterre, Charles III, qui nous honorait pourtant de sa première visite officielle. Et qu’ensuite, le premier des Français se retrouvait obligé de sécher un sommet franco-allemand pour cause d’émeutes urbaines. En attendant les Jeux olympiques de 2024 qui, grâce aux hordes de « supporters anglais », devraient encore redorer notre blason ?

Néanmoins lucide, Emmanuel Macron reconnaît qu’il y a des « jours avec » et des « jours sans ». Bien vu, Manu ! Un peu comme la météo ou le PMU. Et après, le tout est d’y croire. Ainsi nous promet-il que « devant chaque classe », il y aura désormais un « professeur » à la prochaine rentrée. Parce qu’il y avait quoi, auparavant, un plombier-zingueur ? Cela devrait donc être le futur « pacte enseignant » à l’occasion duquel les professeurs devraient être mieux « rémunérés » et « recrutés ». Pour compenser les démissions en masse, on imagine.

Du côté de l’ordre public, une seule réponse : « L’ordre, l’ordre, l’ordre », ce qui va toujours mieux en le disant trois fois plutôt qu’une. Soit l’occasion de plaider pour un « retour à l’autorité parentale » et en revoyant « la politique de répartition des difficultés, sans doute l’une des limites de notre République qui, pendant des décennies, a concentré les difficultés dans les mêmes quartiers et aux mêmes endroits ».

Voilà des arguments qui méritent d’être développés. En effet, on ne peut pas se satisfaire, « en même temps », qu’au nom d’on ne sait quelle modernité, la famille traditionnelle ait été taxée de passéiste ou de réactionnaire pour, ensuite, appeler à son retour. Faudrait savoir. Un papa, une maman ? Deux pères ou deux mamans ? Tout l’art de la politique consiste certes à surmonter ses contradictions ; il en demeure néanmoins d’insurmontables…

Quant à la concentration des « difficultés dans les mêmes quartiers et aux mêmes endroits », voilà qui porte un nom : l’aveuglement. Celui dont les prédécesseurs d’Emmanuel Macron ont fait preuve en « concentrant », tandis que lui, optant pour une politique de répartition, n’a jamais fait que les exporter dans des régions auparavant données pour être tranquilles sans s’être jamais donné la peine de résoudre les causes d’un mal de plus en plus envahissant, consistant à s’esbaudir que ces « sauvageons » puissent détester la France alors que, dès leur plus jeune âge, la haine de leur patrie d’accueil leur a été inculquée.

À ce titre, il n’est pas sûr que son « bon espoir » de voir les « oppositions républicaines » l’aider à « bâtir un texte » sur le prochain projet de loi relatif à l’immigration soit de nature à rassurer nos compatriotes. D’ailleurs, ce vocable même « d’oppositions républicaines »… Un concept bien flou dont on voit bien qu’en sont, de fait, exclus NUPES et Rassemblement national, qui sont pourtant les principales forces d’opposition au Parlement. Les négociations s’annoncent donc ardues avec LR, certes « opposition républicaine », à en croire le bréviaire macroniste, mais singulièrement minoritaire à l’Assemblée nationale.

Mieux vaut donc parler d’autre chose. Du dérèglement climatique, par exemple. Là, ce n’est plus un programme présidentiel mais la liste des courses, abandonnée à monsieur par madame, sur le frigo conjugal : « Faire deux fois plus vite qu’en cinq ans »« relocalisation de nos usines »« transition et investissements » et « plusieurs milliards d’euros en plus ». Un « pognon de dingues », une fois de plus, qui parvient à faire oublier, au passage, le colossal endettement de la France ; ce dont, bizarrement, plus personne ne parle. Il n’empêche, et ce quoi « qu’il en coûte », le roi est plus nu que jamais. Qui le lui dira ? Personne dans son entourage, probablement.

Mais dans le peuple des électeurs, ce pourrait être bientôt une tout autre histoire.

Nicolas Gauthier, pour Boulevard Voltaire

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Viré par les Brics, Macron n’ira pas se cuiter dans un bouge de Johannesburg

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Jupiter n’ira pas se cuiter dans un bouge de Johannesburg. Les BRICS ont dit non

Ne doutant de rien, Macron s’était invité au sommet des BRICS en Afrique du Sud. Mauvaise pioche. Les Sud-Africains ont dit non après que Poutine a signifié aux organisateurs du sommet qu’un président hostile à la Russie et artisan des sanctions antirusses n’était pas le bienvenu. Il n’y aura  pas de cheval de Troie occidental dans cette grand messe des pays émergents qui se tiendra à Johannesburg du 22 au 24 août 2023.

https://fr.sputniknews.africa/20230723/macron-finalement-laisse-a-la-porte-du-sommet-des-brics-1060712641.html

Poutine n’y assistera pas mais suivra les débats en visioconférence et sera représenté par Sergueï Lavrov, le ministre russe des Affaires étrangères. Personnellement, je ne crois pas que ce soit le mandat international de la CPI qui interdise au Tsar de se rendre à ce sommet, mais plutôt des raisons de  sécurité. Bien que Poutine ait affirmé qu’il ne s’en prendrait pas à la vie de Zelensky, dès le début du conflit, Ukrainiens et Anglo-Saxons seraient bien capables de fomenter un attentat contre le maître du Kremlin. Ce sont des fous capables de tout.

https://elwatan-dz.com/sommet-des-brics-du-22-au-24-aout-a-johannesburg-un-rendez-vous-tres-attendu-par-les-pays-emergents

Une bonne douzaine de pays frappent à la porte des BRICS (Brésil, Russie, Inde, Chine, Afrique du Sud), dont l’Arabie, l’Indonésie, l’Argentine, l’Algérie, l’Iran, la Turquie. Quatre ont posé leur demande officielle : Argentine, Arabie, Algérie, Iran.

Le monde bouge et pas dans le sens que souhaite l’Occident en perdition, mais dans le sens voulu de longue date par Moscou et Pékin. Les BRICS entendent bien se développer en dehors du carcan occidental et des diktats imposés par la Banque mondiale et le FMI, organismes dominés par les Occidentaux. Pourtant, les BRICS pèsent démographiquement 3,2 milliards d’habitants.

Et en parité de pouvoir d’achat (PPA), les BRICS pèsent davantage économiquement que le G7 (États-Unis, Allemagne, France, Canada, Italie, Japon, Royaume-Uni)

PIB des BRICS en 2020 = 31,5 % du PIB mondial

PIB G7 = 30,7 %

Au menu du sommet, il sera question de développement, les BRICS ayant créé leur propre banque de développement. Il sera question de dédollarisation future et du classement mondial des universités actuel, jugé trop politique.

Le président sud-africain Ramaphosa, s’il semble décidé à laisser Macron sur le pas de la porte, a en revanche invité les chefs d’État africains, ainsi que des pays d’Amérique du Sud et d’Asie. Une trentaine de pays devraient participer au sommet.

Le monde multipolaire de demain se met en place. Et l’Occident n’y aura pas le beau rôle.

Ce sont Poutine et Xi-Jinping qui rafleront la mise après la victoire russe.

Jacques Guillemain, dans Riposte Laïque

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Le discours de Macron : insulte à la police, aubaine pour les casseurs de flics

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Macronescu, à peine arrivé à Nouméa, a fait un discours. Et quel discours ! À part ses fans irrécupérables et lobotomisés, on en est tous restés sans voix, tremblants de colère et couverts d’urticaire géante. Macronescu n’a convaincu personne. Ce sont les journaux étrangers qui le disent.

Après avoir rappelé que nul n’est au dessus des lois, Macronescu s’est permis de dire au sujet de la police “ce n’est pas un camp” ! Mais il est parvenu à un tel point de contestation que même cette évidence ne lui sera pas pardonnée. Car il y a des évidences qui tuent tant on y sent de sous-entendus et de lâchetés.

Le pire moment a été quand le journaleux de service lui a benoîtement demandé si les policiers étaient au-dessus des lois.

Stupide question, piège à cons ! Comme si un seul policier se sentait au-dessus des lois. Il faut pour cela être Alexandre Benalla fustigeant des manifestants, leur faisant des clés et les tabassant lors d’une manif, se croyant couvert par Macronescu.

Aucun policier ne peut se croire au-dessus des lois puisque les policiers sont là pour appliquer la loi. Ou alors il sera vite détecté par ses supérieurs et mis sur la touche avant d’être orienté vers la sortie. Enfin c’est ce que les honnêtes gens pensent…

Le président de la Ripoublique (ce terme a échappé à Nathanaël de Rincquesen, l’un des interviewers, lapsus révélateur du fond de sa pensée) a répondu sérieusement et sans ciller que non, les policiers n’étaient pas au-dessus des lois.

Question piège, qui apparemment n’a pas été préparée par les communicants chèrement payés avec nos sous, du président de la Ripoublique. Ce faisant, il a donné des points aux musulmans et à la voyoucratie ennemis de la police.

Dans sa réponse, il a mis de l’huile sur le feu. Ce faisant, il a certainement ulcéré tous les policiers de France et de Navarre.

Il a surtout donné raison aux émeutiers et à la racaille, car dire que les policiers ne sont pas au-dessus des lois, c’est déjà ne pas les soutenir, c’est déjà les condamner, c’est déjà faire fi de la présomption d’innocence, c’est déjà prévoir que la justice va encore condamner des flics pour rien du tout, pour avoir juste fait leur travail avec conscience.

De la part du garant de nos institutions, c’est très grave.

Et là où c’est particulièrement vicieux, c’est quand on pense que les policiers sont engagés par l’État pour assurer la sécurité du pays, poursuivre les délinquants, et maintenir l’ordre…

Macronescu a beau avoir martelé la phrase « l’ordre, l’ordre, l’ordre », paraissant donner des gages à ceux qui veulent de l’ordre, on n’y croit pas.

Frédéric Veaux, patron de la police, a dit qu’un policier n’a pas sa place en prison tant qu’il n’est pas jugé. Une évidence. Mais Rachid Méluche, qui crève de ne pas avoir le pouvoir car il prend de l’âge et cela va bientôt être trop tard pour lui, et a de ce fait perdu toute mesure et les pédales depuis un moment, s’est étonné qu’il n’y ait aucune sanction du patron de la police. Encore heureux ! Frédéric Veaux est là pour parler comme il le fait. C’est son devoir. C’est son rôle.

Rudy Manna porte-parole national du syndicat Alliance a répondu à Macronescu : « On ne demande absolument pas à être au-dessus des lois. La seule chose qu’on demande, c’est de ne pas être en-dessous des lois. »

Comme c’est bien dit ! En ce moment les policiers sont largement en-dessous des lois, car ils sont les moins protégés des citoyens. Nous sommes dans une époque où ils ne peuvent plus utiliser le droit à la légitime défense, pourtant inscrit dans nos lois.

Nous sommes dans une époque où les magistrats préfèrent voir les policiers en prison et les délinquants dehors.

Nous sommes dans une époque où, en France, le policier par ailleurs très bien noté qui s’est légitimement défendu contre Nahel, délinquant multirécidiviste, est en prison sans aucune raison, depuis quatre semaines. Il n’a même pas le droit de voir son épouse et sa famille.

La famille de ce policier a pu recevoir la cagnotte créée par Jean Messiha, envers et contre toutes les tentatives de blocages. Mais les quatre policiers mis en examen dont un incarcéré à Marseille ont vu leur cagnotte bloquée, pour des raisons fallacieuses. On ne sait pas s’ils pourront la toucher.

La présidente du syndicat de la magistrature, Kim Reuflet, a comme d’habitude énoncé sur le sujet un chef-d’oeuvre d’hypocrisie. « Les policiers qui commettent des infractions dans l’exercice de leurs fonctions sont passibles d’une sanction pénale » a-t-elle dit. On s’en doute. Mais y a-t-il beaucoup de policiers qui commettent des infractions pénales dans l’exercice de leurs fonctions ? À entendre cette dame, ce serait une habitude, chez eux.

Quant à Cécile Mamelin, présidente de l’union syndicale des magistrats, elle estime que Macronescu doit remettre les pendules à l’heure sur les propos de Frédéric Veaux, et vite. Donc pour elle Macronescu n’a pas été assez ferme sur le fait que les policiers sont soumis à la loi.

On s’attend à ce que, dans un proche avenir, les policiers soient encore plus sanctionnés et empêchés de faire leur travail, traités en ennemis publics.

À bas la police, et on vivra plus tranquillement. Et d’abord, qu’on inscrive tout ce monde sur le mur des cons.

On n’a qu’à mettre tous les flic en prison, sans cagnottes et sans visites, et puis voilà ! Après tout, ils n’auront que ce qu’ils méritent.

Et même, supprimer carrément la police. Les bobos gôchos privés de police comprendront leur douleur, mais trop tard. Quant au commun des mortels, ceux qui ont besoin de la police, ceux qui la soutiennent, ils n’auront plus que leurs yeux pour pleurer et seront livrés aux voyous.

Ainsi va la vie, dans notre France aux valeurs inversées, munie d’un président de pacotille.

Sophie Durand, publié dans Riposte Laïque

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Guerre raciale à venir : Préparez-vous !

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++ WEBTUBE : Pas de panique tout de même mais il est exact que j’ai eu à effectuer un petit déménagement fin juin dans l’Essonne pendant les dernières émeutes ethniques. Je suis parti le matin de bon heure (des émeutes étaient encore en cours) Il a fallu réfléchir comment contourner les quartiers à risques pour éviter de se faire piller et de se faire brûler la camionnette de location. Pour la première fois je me suis senti en danger et piégé en région parisienne. Depuis je me suis installé à la campagne à un endroit encore préservé (mais pour combien de temps…) Bien qu’un peu alarmiste, cet article aborde intelligemment le fond du problème de sa survie en cas de nouvelles émeutes de grande ampleur)

Si ce n’est pas déjà fait, il est encore temps de prendre vos dispositions

Émeutes raciales à venir, dans certaines zones les Blancs seront chassés de chez eux. Je le disais dans un précédent article, la prochaine fois, les émeutiers s’en prendront directement aux personnes.

Ils rentreront dans les maisons pour y mettre le feu, pour piller, pour violer, pour égorger. Bref pour créer un climat de terreur afin de vider les zones à conquérir. La prochaine fois, ce sont plusieurs centaines de milliers d’insurgés qui mettront la France à feu et à sang, cette fois-ci avec de très nombreuses victimes blanches.

L’éloignement, seule manière d’échapper aux premiers massacres. Les plus avisés d’entre nous se sont déjà organisés et se sont relocalisés dans les campagnes, loin des villes.

Inutile de vouloir résister. Pour le moment, la classe moyenne blanche de souche, même dans les milieux patriotes, n’a pas encore parfaitement pris conscience du risque. Elle compte encore sur l’État et n’a pas jugé utile de s’organiser pour faire face et résister. Par conséquent, au moins au début, les insurgés ne rencontreront aucune opposition. Ni de la part de l’armée et des forces de l’ordre qui auront reçu des ordres pour ne pas intervenir, ni de la part d’une hypothétique résistance civile organisée. Dans ces conditions, sauf novation inespérée, et sauf à vouloir risquer sa vie, inutile de vouloir à tout prix rester sur place pour résister. Ce ne sera pas possible faute de moyens, faute d’organisation, faute de préparation. Ceux qui voudront survivre ne pourront que fuir, en attendant éventuellement de s’organiser dans la profondeur du territoire pour la suite des événements.

Par conséquent, ce qui suit s’adresse à ceux qui pour des raisons diverses, souvent faute de moyens, par habitude ou pour conserver leur travail, sont restés dans les zones à risque. Sachant que maintenant, à part la campagne loin des villes, tout le pays est à risque. Ainsi, des endroits où on se croyait en sécurité il y encore quelques années sont devenus dangereux.

Prendre conscience du risque pour pouvoir prendre ses dispositions. Bien entendu, le risque n’est pas forcément partout homogène en fonction de votre lieu de résidence et de votre lieu de travail. Certaines zones sont plus exposées que d’autres : métropoles, banlieues pavillonnaires blanches autour des métropoles, villes moyennes et petites ayant subi la submersion migratoire et l’épandage des populations afro-musulmanes. Et bien entendu, toutes les zones où se sont déjà produits des événements : qu’il s’agisse d’émeutes ou d’actes de violence isolés contre des Blancs.

Il est de la responsabilité personnelle de chacun d’évaluer son risque et son niveau de préparation : pour lui-même, pour ses proches et pour les personnes qu’il veut protéger.

Attention, le risque ne concerne pas que le lieu de résidence, mais aussi le lieu de travail, les lieux de scolarisation des enfants, les lieux de vie des gens qu’on souhaite protéger, les trajets d’un point à un autre. En cas de soulèvement dans sa ville, si on attend trop, on n’est pas sûr de pouvoir rejoindre son domicile depuis son travail, on n’est pas sûr de pouvoir passer récupérer ses enfants à l’école ou un parent âgé et invalide ailleurs dans la ville. On n’est pas sûr de ne pas rencontrer des difficultés en cours de trajet d’un point à un autre.

Identifier les personnes de sa famille ou de son entourage qu’on entend protéger. Quand ça tournera vraiment mal, il faudra faire vite et avoir fait ses choix à l’avance. On ne pourra pas protéger tout le monde. D’abord parce que certains ne le voudront pas. Ensuite parce qu’au-delà de 5 ou 6 personnes, ça sera très difficile d’évacuer tout le monde.

L’anticipation, clé de la survie. Sauf cas improbable, les choses n’arriveront pas brutalement, ni partout au même moment. Avant les émeutes, il y aura un crescendo de 24 à 48 heures, qui vous laissera le temps d’anticiper et de décrocher. L’observateur attentif veillera à identifier les signaux annonciateurs de l’explosion.

À partir de maintenant il faut être en veille permanente. C’est-à-dire, apprécier l’imminence du phénomène afin de prendre les bonnes décisions. Il vaudra mieux avoir décroché alors que rien ne se sera finalement passé, plutôt que d’avoir trop attendu et voir débouler plusieurs centaines de furieux au bout de sa rue ou en bas de chez soi.

Point de chute final. Première des choses, il faut avoir identifié un point de chute final où pouvoir se tenir pour une durée indéterminée. Peut-être quelques jours, peut-être des mois, peut-être pour toujours. Dites-vous qu’on a accueilli massivement des réfugiés du monde entier mais que lorsque ce sera à notre tour de devoir fuir nous n’aurons nulle part où aller. Les frontières autour de nous se fermeront, il n’y aura ni pays voisins, ni ONG ni ONU pour nous venir en aide. Les plus avisés et les plus fortunés trouveront toujours une porte de sortie. Les autres resteront coincés.

Moyens de paiement. Il est recommandé à ceux qui le peuvent de disposer de liquidités et de pièces d’or pour pouvoir payer un passage. En cas de chaos, pas sûr que le retrait bancaire soit possible dans l’urgence, pas sûr que les euros soient les plus recherchés… C’est la raison pour laquelle la personne avisée pensera à se procurer à l’avance quelques pièces d’or.

Le choix du point de chute final est une question fondamentale qu’il vaut mieux avoir explorée à l’avance et non pas dans la panique. Là encore, il appartiendra à chacun de faire son choix bien à l’avance.

Quand décrocher ? Le plus généralement, on ne quittera pas sa maison trop à l’avance, mais seulement quand on mesurera que la situation est réellement en train de se dégrader là où on est. La plupart ne quitteront pas tout, tout de suite, en une seule fois. Tout dépendra de la tournure que prendront les événements. Certains s’éloigneront pour quelques jours le temps de voir, puis reviendront si ça se calme. D’autres n’auront plus de chez eux, leur maison aura été brûlée, leur quartier dévasté. D’autres quitteront le pays. Toutes les situations sont à envisager. Il faudra s’être préparé à tout.

Il faut bien comprendre que si ça tourne vraiment mal, pour les plus mal placés, le choix sera entre la valise ou le cercueil. Mieux vaudra alors avoir tout perdu, plutôt que sa vie et celle de ses proches.

Pas de fuite en voiture au dernier moment à travers les zones d’insurrection. C’est le plus sûr moyen de se retrouver bloqué dans un gigantesque embouteillage à la merci de barbares qui remonteront la colonne de voitures pour vous liquider. L’hypothèse de départ en convoi est à déconseiller. Elle a été envisagée par d’autres, à mon avis elle est inadaptée, particulièrement à la dernière minute et depuis des zones de forte densité urbaine.

Cas particulier des métropoles cernées par un boulevard périphérique. Attention, pour s’extraire, il faudra franchir le périph. C’est-à-dire transiter par quelques points de passage obligés particulièrement exposés, le plus souvent des ponts. Attention, le périph est souvent en tranchée profonde ou bordé de murs anti-bruit impossibles à franchir. Une solution peut-être de sortir à pied par les voies ferrées moins connues et moins risquées, dont on peut espérer qu’ils ne penseront pas à les bloquer tout de suite.

Points délicats à éviter. Il faudra avoir identifié les points délicats à éviter : zones infestées à éviter à tout prix, zones commerciales soumises au pillage, autres zones pavillonnaires à majorité blanche visées en premier lieu, routes et voiries particulièrement infestées de ronds-points au-delà du tissu faubourien au sortir des villes.

Quelle heure choisir ? L’expérience montre que les émeutes se calment au petit matin et dans les premières heures de la matinée. L’heure la plus propice pour partir sera sans doute le petit matin, en espérant que l’État n’impose pas un couvre-feu, (uniquement pour les Blancs, pas pour les autres qui auront toute latitude de razzier) ; ceci de manière à nous maintenir séquestrés dans les villes. Ce n’est pas à exclure vu le niveau stratosphérique de perversité dont le pouvoir a fait preuve à notre encontre lors des dernières crises.

Il faut bien le comprendre, l’État n’est pas un ami de la classe moyenne de souche. C’est même strictement l’inverse, tout le démontre.

Cas des enfants et des personnes fragiles. Il faudra les avoir exfiltrés suffisamment à l’avance pour ne pas en être encombrés au dernier moment dans l’urgence. Cas délicats, solutions de relogement durable à prévoir.  

Une fuite en deux temps préparée à l’avance. Tant que la menace n’est pas encore trop prégnante, rester à son domicile, rester à son travail, poursuivre ses activités normalement. Dès que les premiers signes de complications apparaîtront, positionner une voiture dans un lieu sûr à une journée de marche maximum de son point de départ (généralement, son lieu de résidence). Cela suppose une certaine vigilance et une certaine acuité pour détecter les signes avant-coureurs. Il sera utile de s’être organisé en réseau de proximité pour échanger afin d’évaluer la situation et les risques.

NB : On n’est pas sûr de pouvoir tous partir du même endroit au même moment. Par conséquent, toutes les personnes à exfiltrer devront savoir où retrouver la voiture en cas de pépin. Cela se prépare, tout comme l’identification des itinéraires de fuite.

Pré-positionner sa voiture hors zone d’émeute. Selon les cas, il pourra être judicieux d’avoir pré-positionné son véhicule hors zone d’émeute. On y aura laissé des effets, des provisions et son matériel d’évacuation. Cela permettra ensuite de repartir beaucoup plus loin s’il le faut en direction de son point de chute final.

Départ à pied. Ce n’est que quand la menace deviendra trop directe qu’il faudra décrocher et partir à pied pour rejoindre son véhicule pré-positionné à une demi-journée, une journée de marche maxi. De là, on prendra son véhicule pour rejoindre soit son point de chute final, soit une maison-relais amie en attendant d’aller plus loin.

Trajet pour rejoindre son véhicule. L’endroit où on aura pré-positionné son véhicule sera choisi en fonction du trajet à effectuer pour le rejoindre. Il faut choisir l’itinéraire le moins exposé, même si ce n’est pas le plus direct. Par ailleurs, il faudra avoir prévu de devoir partir de n’importe où, dans l’urgence. Par exemple de son lieu de travail, de l’école où on sera allé chercher ses enfants. Ce ne sera pas obligatoirement de son domicile qu’on ne pourra pas forcément rejoindre. Le trajet doit avoir été repéré et effectué à pied à l’avance. Lors du repérage, penser à identifier les points de halte intermédiaires, les abris, les planques ainsi que les points où prendre de l’eau, du ravitaillement, etc.

Maisons relais en zone sûre. On n’est pas certain de pouvoir rejoindre directement son point de chute final, parfois assez éloigné. Par conséquent, il faudra s’être organisé avec son réseau de proximité pour pouvoir être accueilli quelques jours hors zones de chaos, le temps d’aviser, de digérer le choc, de se remettre de ses émotions. La maison relais pourra être organisée de manière à ce que les gens qui y seront reçus aient pu y pré-stocker des vivres, des effets personnels, des moyens d’abri et de couchage sommaires avant de repartir plus loin (une ou deux cantines par exemple). Il ne sera pas inutile d’avoir équipé et fortifié la maison relais. Ceux qui auront été obligés de fuir pourront y avoir pré-stocké leurs moyens de protection personnelle.

Entraide en zone sûre. Ceux qui le peuvent et qui sont positionnés à la distance voulue en dehors des zones à risque devront se mettre en condition de pouvoir accueillir les personnes de leur réseau de proximité obligées de fuir. Cela se prépare et se convient à l’avance. Qui accueillir ? Qui refuser ? Encore un choix personnel à faire. Attention, ça risque de se bousculer au portail… Vous risquez de vous découvrir des amis que vous n’attendiez plus…

Ne pas partir trop chargé. Si on doit tout perdre, un peu plus ou un peu moins, ce n’est pas ce qui fera la différence. Ne pas s’encombrer, partir léger pour dégager vite.

Agression isolée, panic room, fortification du domicile. Pour ceux qui habitent en maison individuelle, il est conseillé de prévoir un espace sécurisé à l’intérieur de la maison. Cela pourra toujours être utile, surtout en cas d’agression isolée (en cas d’émeutes de masse, il vaudra mieux être parti ailleurs, inutile de rester pour rôtir sur place). Si maison à étage, isoler la partie nuit au moyen d’une grille au débouché de l’escalier. Cela permettra de se réfugier à l’étage et d’attendre les secours en cas de pépin. Si vous avez de quoi tenir les assaillants à distance en faisant du bruit, c’est mieux. Si maison de plain-pied, isoler le coin nuit par une grille et placer des volets métalliques ou grilles métalliques fortes devant les fenêtres de la partie nuit. Budget de plusieurs milliers d’euros à prévoir. En copropriété, porte blindée obligatoire (prévoir un budget de quelques milliers d’euros pour une porte blindée sérieuse).

Bref, où que l’on soit, l’agression isolée au domicile devient un risque sérieux contre lequel il faut se prémunir et pour lequel il faut prévoir un certain budget. Pas d’électronique, pas d’alarmes, pas de trucs sophistiqués. Du métal, des grilles, des verrous et je le redis encore, des chiens. Même petits, ils vous préviendront toujours.

Ce document n’est pas exhaustif, il a pour but d’éveiller à la problématique. Il jette quelques hypothèses que chacun pourra enrichir et améliorer en fonction de son cas personnel.

Il est encore temps, préparez-vous.

Martin Moisan, pour le site Riposte Laïque

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Lien immigration-insécurité : enfin la vérité après 40 ans de mensonges !

Articles     : Juillet 2023Juin 2023Mai 2023Avr. 2023  – Facebook : https://www.facebook.com/profile.php?id=100069673161887 Twitter : https://twitter.com/OrtfNews

Lien immigration-insécurité : toute la vérité après 40 ans de mensonges

La vérité :

Selon une étude du CNRS, menée sur 15 ans, les Français autochtones sont 2 fois plus victimes de faits graves qu’ils n’en sont les auteurs. Les Africains d’origine (Afrique du Nord et subsaharienne) sont auteurs de faits graves trois fois plus qu’ils n’en sont victimes.

Les mensonges :

Il suffit de taper “immigration-insécurité” sur Google pour voir défiler un chapelet d’articles essayant de nous démontrer que l’immigration n’a rien à voir avec l’insécurité. Nos bien-pensants y développent des trésors d’imagination pour exonérer les immigrés de la violence de rue, celle qui transforme les quartiers paisibles en coupe-gorge. Et si les 7% d’étrangers vivant en France occupent 24% des places de prison, ce serait parce qu’ils sont persécutés par la police et la justice. 

– Ils sont beaucoup plus contrôlés que les natifs

– Ils sont donc arrêtés plus souvent

– Devant le juge, ils sont plus souvent condamnés

– Ils sont donc plus souvent incarcérés

Quant aux délinquants français d’origine immigrée, si nombre d’entre eux sont “défavorablement connus des services de police”, selon la formule consacrée, c’est parce qu’ils seraient victimes de racisme, de discrimination et de déclassement social, qui sont le terreau de la délinquance, c’est bien connu. Discours mensonger qui n’a pas changé d’une virgule depuis quarante ans.

Car c’est oublier qu’en 1950, le niveau de vie des citoyens était cinq fois inférieur à celui d’un immigré d’aujourd’hui, mais l’insécurité était pourtant cinq fois inférieure à celle que nous subissons.

Bien entendu, pour chaque crime et délit paraissant dans la presse, pas question de donner le nom ou l’origine d’un délinquant dès lors qu’il ne s’appelle ni Kevin, ni Mattéo.

Rappelons que Jack Lang réclamait davantage d’imams dans les prisons, puisque celles-ci hébergeaient 2/3 de musulmans. En tant que président de l’Institut du monde arabe, il n’a pas sorti ce chiffre de son chapeau…

https://fr-fr.facebook.com/institutdumondearabe/posts/1074560619237567/

Les 1 000 agressions gratuites par jour et les 120 attaques au couteau quotidiennes sont sans doute des délires d’extrême droite. Ces crimes étaient inexistants en 1970. La France est devenue le pays le plus dangereux d’Europe, l’insécurité ne cesse d’exploser, mais l’immigration n’y serait pour rien.

Assez de mensonges. Éric Zemmour a parfaitement résumé la réalité du lien immigration/insécurité dans son programme présidentiel, avec des chiffres issus de documents officiels incontestables (Assemblée nationale, Insee, ministère de l’Intérieur et de la Justice).

La délinquance des étrangers et des mineurs isolés explose d’année en année.

Et en 2020, une étude du Salon Beige donnait démontrait combien le discours officiel défendait l’indéfendable.

https://www.lesalonbeige.fr/lien-entre-immigration-et-delinquance-les-10-preuves-scientifiques-et-sourcees/

En voici la preuve en 10 points :

Preuve 1 : la surreprésentation de la criminalité étrangère selon le ministère de l’Intérieur

Alors que les étrangers représentent environ 6 % de la population française, ils représentent :

  • 16 % des mis en cause pour homicides
  • 15 % des mis en cause pour coups et blessures volontaires
  • 14 % des mis en cause pour violences sexuelles (viols, tentatives de viol et agressions sexuelles)
  • 17 % des mis en cause pour vols avec armes
  • 32 % des mis en cause pour vols violents sans armes
  • 27 % des mis en cause pour vols sans violence
  • 27 % des mis en cause pour cambriolages
  • 26 % des mis en cause pour vols d’accessoires et dans les véhicules
  • 14 % des mis en cause pour “escroqueries et infractions assimilées”.

Par ailleurs, alors que les étrangers originaires de pays d’Afrique correspondent à 3 % de la population vivant en France, ils représentent :

  • 9 % des mis en cause pour coups et blessures volontaires
  • 11 % des mis en cause pour vols avec armes
  • 24 % des mis en cause pour vols violents sans armes
  • 17 % des vols sans violence contre les personnes
  • 13 % des mis en cause pour cambriolage
  • 18 % des mis en cause pour vols d’accessoires et dans les véhicules
  • 8 % des mis en cause pour escroqueries et infractions assimilées.

On peut conclure de ces chiffres que les étrangers sont en moyenne 3 fois plus souvent mis en cause pour homicides que les Français, et 8 fois plus souvent mis en cause pour vols violents sans armes.

Preuve 2 : le pourcentage d’étrangers parmi les mis en causes selon l’ONDRP

  • 2009 : 15,7 %
  • 2010 : 16,4 %
  • 2011 : 17,9 %
  • 2012 : 18,6 %
  • 2013 : 20,2 %

Preuve 3 : l’étude de Hugues Lagrange

En 2010, le sociologue Hugues Lagrange publie “Le déni des cultures”, et conclut : à statut social égal, « les adolescents éduqués dans des familles (originaires de pays) du Sahel sont trois à quatre fois plus souvent impliqués comme auteurs de délits que les adolescents élevés dans des familles autochtones ; et ceux qui sont éduqués dans des familles maghrébines, deux fois plus ».

Preuve 4 : l’étude de Sebastian Roché sur le lien entre immigration et délinquance

L’enquête de délinquance auto-rapportée conduite en 2000 par M. Sebastian Roché et publiée dans La Revue Internationale de Criminologie apporte également des chiffres sur le sujet de la délinquance des jeunes d’origines étrangère en France :

  • Les jeunes d’origine maghrébine sont presque deux fois plus nombreux que les Français autochtones à commettre plus de dix actes peu graves
  • Les jeunes d’origine maghrébine sont presque trois fois plus nombreux que les Français autochtones à commettre plus de trois actes graves
  • 68 % des délits peu graves sont commis par des adolescents dont un parent ou les deux sont nés en France
  • 32 % des actes peu graves sont commis par des personnes dont les deux parents sont nés hors de France
  • 54 % des actes graves sont commis par des adolescents dont un ou deux parents sont nés en France
  • 46 % des actes graves sont commis par des jeunes dont les deux parents sont nés hors de France
  • Les jeunes d’origine étrangère ne sont pas l’objet d’un contrôle policier plus fort dès lors qu’on contrôle le nombre de délits commis.

Preuve 5 : l’étude de Roché et Dagnaud sur les dossiers judiciaires dans l’Isère

Selon l’étude menée entre 1985 et 2000 sur les dossiers du tribunal de Grenoble par des chercheurs du CNRS : les Français autochtones sont 2 fois plus victimes de faits graves qu’ils n’en sont les auteurs. Les Africains d’origine (Afrique du Nord et subsaharienne) sont auteurs de faits graves trois fois plus qu’ils n’en sont victimes.

L’étude montre également que 66,5 % des mineurs jugés ont un père né à l’étranger (pour 49,8 % dans un pays du Maghreb), et 60 % ont une mère née à l’étranger.

Ces résultats font donc apparaître une très large sur-délinquance des jeunes issus de l’immigration, puisqu’en 1999 selon l’Insee, l’Isère n’est pas un département particulièrement marqué par l’immigration : celle-ci représente 6,1 % de la population. Deux tiers des mineurs délinquants sont d’origine étrangère alors qu’ils représentent une proportion largement minoritaire.

Preuve 6 : le fichier Canonge

Le Système de traitement des infractions constatées (STIC) est un fichier de police informatisé français. Dans le cadre du STIC, on apprend qu’en 2006 à Paris, le fichier Canonge comprenait environ 103 000 hommes, dont 29 % de Nord-Africains et 19 % de Noirs, mais seulement 37 % de Blancs. Le lien entre immigration et délinquance est ici très clair.

Preuve 7 : l’origine des détenus selon l’INSEE

Selon une étude de 2000, près de 40 % des détenus avaient un père né à l’étranger ou dans les anciennes colonies, et un quart dans un pays du Maghreb. Les hommes nés à l’étranger sont également deux fois plus nombreux en prison que dans l’ensemble de la population : 24 % contre 13 %.

Preuve 8 : le pourcentage de détenus musulmans

L’un des chiffres qui fait souvent débat est le pourcentage de musulmans parmi les détenus dans les prisons françaises. Un article publié dans le Washington Post en 2008 estimait que “60 % à 70 %” des détenus étaient musulmans en France. Ce chiffre était repris la même année par Le Monde dans un article.

Le sociologue Farhad Khosrokhavar avançait des chiffres du même ordre de grandeur dans son ouvrage “L’islam dans les prisons” paru en 2004. On pouvait y lire que dans les prisons françaises, le taux de prisonniers musulmans dépassait souvent les 50 %, avoisinant parfois les 70 %, voire les 80 % dans les prisons proches des banlieues, soit huit prisonniers sur dix”. Lors d’une Commission d’enquête sur la surveillance des filières et des individus djihadistes en février 2015, Khostokhavar réaffirmait son avis sur la disproportion considérable existant entre le pourcentages de musulmans dans la population et dans les prisons :

“Lorsque j’ai évoqué, en 2004, la fourchette de 40 à 60 % de détenus musulmans, cela a créé un tollé, car ni l’administration pénitentiaire ni l’opinion publique n’avaient d’idée à ce sujet : pour la première fois, on pointait du doigt un phénomène de société massif, qui avait échappé à la vigilance des uns et des autres. En réalité, peu importe le chiffre exact : ce qui compte, c’est la disproportion entre le nombre de musulmans dans les prisons et les 7 à 8 % de personnes qui se réclament de l’islam en France. Nous pourrions connaître le chiffre exact si nous avions la possibilité de mener des enquêtes statistiques exhaustives en France, mais la loi ne nous y autorise pas.”

Preuve 9 : le pourcentage de détenus étrangers

Une autre preuve du lien entre immigration et délinquance est le nombre de détenus de nationalité étrangère en France. Les données du ministère de la Justice révèlent que 22 % des détenus sont étrangers : 14 964 ressortissants étrangers sont détenus dans les prisons françaises, sur un total de 69 077 détenus au 1er février 2017. Parmi eux, quatre pays d’origine rassemblent 42 % de l’ensemble des ressortissants étrangers. Il s’agit de l’Algérie (1954 détenus), du Maroc (1895), de la Roumanie (1496) et de la Tunisie (1102).

Preuve 10 : les viols à Paris selon l’ONDRP

L’étude intitulée “ Les viols commis à Paris en 2013 et 2014 et enregistrés par les services de police ”, effectuée par l’ONDRP, porte sur sur un échantillon de 688 viols commis dans la capitale et qui ont fait l’objet d’une plainte. Parmi les mis en cause dans les affaires de viols sur majeurs dont la nationalité est connue, 52 % sont de nationalité étrangère. Concernant les viols sur mineurs, la part d’étrangers est de 22 %. Ces pourcentages considérables sont à comparer avec la part de la population de nationalité étrangère en France, qui est de 6 % !

Le supplice des tournantes dont plus personne ne parle

Pour finir, notons que selon l’étude du psychiatre Patrice Huerre publiée au début des années 2000, 72 % des « tournantes » en France sont commises par des violeurs d’origine maghrébine ou subsaharienne. Pour la question de l’appartenance ethnique des familles, 52 % sont originaires des pays du Maghreb, 20 % d’Afrique Noire, le restant des sujets étant issu de familles d’origine française.

Conclusion

Qu’il s’agisse des étrangers, des immigrés ou des fils d’immigrés, qu’il s’agisse des crimes, des viols, des actes peu graves ou des vols, le lien entre délinquance et immigration est mis en lumière par de multiples preuves.

Voilà une étude qui prouve l’ignominie du discours bien-pensant, qui sacrifie les victimes des violences et des crimes commis par des étrangers et des immigrés sur l’autel de la religion du vivre-ensemble.

Ce qu’a dit Éric Zemmour est donc la vérité. Le lien immigration-insécurité est une sinistre réalité, même si tous les détenus ne sont pas des étrangers, des immigrés ou des descendants d’immigrés.

Rappelons que Zemmour termine son interview en précisant : “pas à 100 %…”

Ce qui est certain, c’est que le discours consistant à nier tout lien entre immigration et délinquance, comme le fait Dominique Sopo, est un hypocrite déni de réalité qui ne peut que diviser la société.

Quand un immigré reproche à un autre immigré de s’être intégré, et quand on nie le racisme antiblanc, c’est que la société est au bord de la désintégration.

Non seulement Zemmour a raison de briser un tabou, mais c’est en disant la vérité qu’il nous évitera le chaos racial qui se profile et que les élites ont peur de regarder en face.

Dès lors que certaines minorités ne veulent plus s’intégrer, et que ceux qui s’intègrent sont diabolisés, l’urgence est de fermer les frontières. Toute immigration supplémentaire ne peut qu’aggraver la dislocation de la nation.

Tout autre discours politique nous conduira au chaos identitaire et racial.

Jacques Guillemain, pour Riposte Laïque

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Nos enfants assassinés, dépouillés, massacrés par la racaille

Articles     : Juillet 2023Juin 2023Mai 2023Avr. 2023  – Facebook : https://www.facebook.com/profile.php?id=100069673161887 Twitter : https://twitter.com/OrtfNews

LE MASSACRE DES INNOCENTS

Nos enfants exterminés. Un gamin de 15 ans, dans un petit village de l’Eure, meurt poignardé par deux autres “jeunes” qui manifestement n’étaient pas du village, et dont on ne précise pas l’origine. Le coup du mauvais regard, selon les médias, manière de justifier le crime, et de qualifier l’attitude de quelqu’un qui ne baisse pas les yeux.  Mineur tué d’un coup de couteau dans l’Eure : un jeune de 15 ans mis en examen pour « homicide volontaire » – Le Parisien

Dans les Yvelines, c’est un gamin de 14 ans qui se fait tabasser par 6 racailles et piquer son vélo.

À Bezons, c’est un gamin de 15 ans en “urgence absolue” qui s’est fait démolir pour sa patinette. 
https://www.cnews.fr/france/2023-07-23/bezons-un-adolescent-de-15-ans-en-urgence-absolue-apres-avoir-ete-violemment

Une ancienne affaire. L’infinie horreur en mode halal. https://www.lefigaro.fr/faits-divers/cela-fait-31-ans-que-j-attends-votre-venue-et-enfin-la-petite-martyre-de-l-a10-eut-un-nom-2023072

Le Parisien dans ses (basses) œuvres

Riposte Laïque

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Pierre-Marie Sève : «Pourquoi l’Europe doit s’inspirer du modèle australien contre l’immigration illégale»

Articles     : Juillet 2023Juin 2023Mai 2023Avr. 2023  – Facebook : https://www.facebook.com/profile.php?id=100069673161887 Twitter : https://twitter.com/OrtfNews

Pierre-Marie Sève est directeur de l’Institut pour la Justice, une association œuvrant à une réforme de la Justice et à la lutte contre la criminalité.

(…)

Après huit jours de tensions, le capitaine du navire déclare l’état d’urgence et entre illégalement dans les eaux territoriales australiennes. Les forces spéciales australiennes sont alors immédiatement lancées pour aborder le bateau et elles en prennent le contrôle sans résistance. Dans la foulée, les migrants sont transférés dans des centres de rétention, sur le petit État souverain de Nauru, lequel est largement subventionné par l’Australie pour l’occasion. Toute cette affaire pose les prémices opérationnelles et idéologiques de la «Pacific Solution», la méthode anti-immigration illégale à l’australienne. Dans les heures qui suivent l’affaire Tampa, le parlement australien fait voter un projet de loi anti-immigration illégale qui se décompose en deux parties.

C’est d’abord un problème juridique qui est réglé. Tous les territoires du Nord australien sont ainsi exclus du droit habituel en matière de migration. Les passeurs sont prêts à utiliser la souveraineté australienne sur des petites îles clairsemées? Alors, ces îles n’offriront plus le droit migratoire habituel: entrer sur ces territoires n’offre plus les garanties judiciaires classiques et n’offre aucun droit en tant que réfugié ou demandeur de visa.

D’un point de vue très concret, chaque bateau de migrants détecté est intercepté, puis transféré dans des centres de détention: Nauru, Papouasie-Nouvelle-Guinée ou l’île Christmas, des territoires à l’écart du continent australien. Si une minorité obtient finalement le droit de s’installer en Australie, la majorité retourne dans son pays d’origine. Et la dissuasion fonctionne. L’année suivant la mise en place de cette opération, on enregistre une seule arrivée illégale par bateau. Moins de 500 arrivées illégales sont enregistrées sur les sept années suivantes.

Efficace, cette solution a en outre le mérite d’être très populaire. Deux mois après l’affaire Tampa, le parti libéral, en retard dans les sondages avant l’affaire, remporte finalement les élections face aux travaillistes. Et en 2010, soit près de dix ans après le début de l’opération, 62% de la population soutenait toujours la «Pacific Solution» (qui a changé de nom en 2013).

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