IMMIGRATION : stop ou encore ? Un sondage de rue qui dérange.

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Faut-il stopper l’immigration extra-européenne en France ? Oui, selon 64% des Français. Faciliter les expulsions ? Même réponse pour 82% des Français. En bref, 60% des français pensent qu’il y a trop d’étrangers en France. Dans une démocratie saine et qui fonctionne, on serait alors en droit d’attendre d’un gouvernement qu’il écoute et réponde aux inquiétudes légitimes de son peuple. Qu’il pose et règle les seules questions qui vaillent, aussi fâcheuses soient-elles. Et pour poser, avant de la régler, cette épineuse question de l’immigration directement aux français, un moyen : le référendum. Cela tombe bien, Emmanuel Macron s’est récemment dit “prêt à tous les référendums !”. C’était sans compter qu’il ajouterait aussitôt : “sauf sur l’immigration !”. Alors si le gouvernement ne veut pas faire ce référendum, BV est allé le faire pour lui directement auprès des français dans la rue, avec un micro et des questions simples : « Y-a-t-il un problème d’immigration en France ? », « Faut-il en accueillir plus ? », « Faut-il faire un référendum ? ». Rendez-vous sur le terrain avec Jordan Florentin !

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Un bébé pour des papiers : ces migrants prêts à tout pour rester

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« J’ai été victime de l’escroquerie la plus honteuse du monde. » Il y a cinq ans, Claire* tombe enceinte d’un Marocain en situation irrégulière. Sans le savoir, son enfant doit servir de visa au père, désireux de rester en France. Le cas de Claire est loin d’être isolé. Les “bébés-papiers” – ces bébés conçus pour faciliter l’obtention d’un titre de séjour aux dépens du parent français et de l’enfant – restent un phénomène méconnu en France, et pourtant bien réel.

Les bébés-visas

Claire menait une vie sans encombre. Mais au cours de l’année 2018, son quotidien bascule. « J’ai appris que ma grand-mère adorée était en phase terminale de son cancer. Quelques jours plus tard, j’ai perdu mon emploi », confie-t-elle à BV. Au même moment, la jeune femme découvre qu’elle est enceinte. Vulnérable et déjà mère de trois enfants, elle pense à avorter. Mais le père, un jeune Marocain entré illégalement en France, lui demande de garder l’enfant. « Avec sa famille, ils sont venus me voir et ont tout fait pour que je garde l’enfant, alors j’ai cédé », raconte-t-elle. Les semaines et les mois passent quand, soudain, le père décide d’entamer une reconnaissance de filiation anticipée. « Il me disait que c’était pour nous protéger. Bêtement j’ai accepté », nous explique la mère de famille. Du jour au lendemain, une fois la reconnaissance actée, le jeune homme disparaît. Claire se retrouve seule à mener à terme une grossesse compliquée. « Il appelait parfois pour savoir si j’avais accouché, mais c’est tout. » Quelques heures après la naissance, le père refait surface. « Il n’a même pas regardé notre petite fille, se souvient la jeune femme. Il voulait juste les papiers de la déclaration de naissance pour son titre de séjour. Mais j’ai refusé. » Claire se voit alors traînée devant le juge aux affaires familiales. « J’ai tout fait pour prouver au juge que son seul intérêt, ce n’était pas notre fille mais sa régularisation », affirme-t-elle.

Habile, son ancien compagnon finit par lui verser une maigre pension alimentaire, effectue quelques achats sommaires pour leur fille et organise des visites dans des lieux publics. Un moyen de prouver au juge qu’il s’occupe de leur enfant, comme l’exige la législation française. En effet, le titre de séjour « Vie privée et familiale » est l’un des rares titre à ne pas exiger une entrée régulière en France. Pour obtenir cette carte de séjour temporaire, il suffit au parent étranger de prouver qu’il s’occupe de l’enfant depuis sa naissance ou, à défaut, depuis au moins deux ans (achats, visites, activités, etc.). Trois ans plus tard, il pourra alors bénéficier d’un titre de dix ans renouvelable. C’est ainsi que ce Marocain, visé par une OQTF selon Claire, a finalement pu être régularisé.

Ce parcours, Julie* le connaît bien. En 2019, elle rencontre un homme d’origine sénégalaise. « Je savais qu’il n’avait pas de papiers, ça ne me dérangeait pas », commence-t-elle. Mais après une soirée arrosée, Julie découvre qu’elle est enceinte. « Je voulais qu’il soit présent pour cet enfant, j’avais confiance en lui. » Rapidement, la jeune femme déchante. Pendant toute la grossesse, le père la harcèle pour ses papiers. Après la naissance, elle espère offrir un cadre de vie stable à son enfant. Mais lui s’intéresse peu au petit garçon. « Il a très peu donné signe de vie. La seule chose qui l’intéresse, c’est d’obtenir ses papiers », s’agace Julie, assignée en justice par son ancien compagnon pour attester la filiation. Elle décide alors de chercher de l’aide auprès de différentes associations de droits des femmes. Partout, elle trouve porte close. « Au départ, je suis pour le droit et l’accueil des étrangers. Mais ce n’est pas normal qu’il ait plus de droit que moi dans mon propre pays », s’agace-t-elle. Une colère partagée par Claire, qui a également « l’impression de crier dans le désert ».

Une filière d’immigration

À ce sujet — Plus ou moins d’immigration ? Notre sondage de rue qui dérange !

Avec leur témoignage, Claire et Julie espèrent lever le voile sur un sujet encore tabou. « On a honte d’avoir été aussi naïves, on a honte de s’être fait manipuler », expliquent-elles. Une culpabilité éprouvée également par Émilie*, mère belge d’un bébé-visa. « Quand je me suis mise en couple avec lui [un Tunisien arrivé illégalement en Belgique], je craignais les histoires de mariages gris. Naïvement, je me suis fait avoir avec un bébé-papier. » Toutes les trois espèrent alerter sur ce sujet aux conséquences dramatiques. Julie sort éprouvée de ces dernières années. Suivie par une psychologue, elle prend depuis peu un léger traitement pour tenir le coup. Claire, de son côté, s’inquiète pour sa fille qui développe des troubles du comportement. À cela s’ajoute les difficultés financières que connaissent de nombreuses mères célibataires.

Pour Valérie Boyer, sénatrice Les Républicains (LR), qui alerte sur les anarques aux sentiments depuis plusieurs années, ce phénomène des bébés-papiers est « une honte »« Au nom de quoi ces hommes seraient-ils régularisés alors qu’ils ont triché ? », s’interroge l’élue des Bouches-du-Rhône. Selon elle, les mariages blancs et les bébés-papiers sont autant de « filières d’immigration, responsables de la submersion migratoire » dont est aujourd’hui victime la France. Après avoir déposé, en 2018, une proposition de loi pour interdire aux clandestins de se marier, Valérie Boyer appelle aujourd’hui à « un référendum d’urgence sur l’immigration ». Et de conclure : « Malgré la vingtaine de lois adoptées sur l’immigration, les Français n’ont jamais été consultés. Il serait temps de leur demander leur avis. »

Clémence de Longraye, Boulevard Voltaire

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Immigration : LR nous prend pour des perdreaux de l’année

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Avant de rentrer dans le vif du sujet, il est important de noter que jusqu’à maintenant tous ceux qui parlaient d’immigration en soulignant que c’était la source d’une multitude de problèmes étaient qualifiés de fascistes, de racistes ou de xénophobes. Y compris par le parti LR.

Aujourd’hui, les LR semblent se réveiller et à cette occasion découvrent la face cachée de la lune, à savoir que oui, l’immigration est un grave problème pour notre pays et qu’elle a d’innombrables conséquences comme l’insécurité, un coût social délirant, de la fraude sociale, des atteintes à la laïcité, un refus de s’intégrer et encore plus de s’assimiler, la création de zones géographiques dans lesquelles les Lois de la République ne s’appliquent plus, etc. Bref ils ont découvert tout ce qui pourrit au quotidien la vie de notre pays et des Français.

La motivation de ces propositions LR est toute simple. Avec la Loi sur la retraite à 64 ans, les LR en sauvant le gouvernement Macron (49.3) se sont « grillés » aux yeux de l’opinion publique.

Il n’y a pas besoin d’être grand clerc pour comprendre que pour les Français, même les plus crédules, Macron et LR c’est maintenant blanc bonnet et bonnet blanc.

Si LR ne trouve pas le moyen de faire croire qu’ils sont différents, c’est leur disparition qui est à l’ordre du jour, à l’occasion des prochaines élections.

Ils ont donc trouvé avec l’immigration un sujet avec lequel ils pensent se refaire une virginité.

Sauf que le projet qu’ils présentent n’est qu’un projet à “l’eau tiède” alors qu’il faudrait un véritable projet de rupture avec les politiques suivies depuis des décennies par tout le personnel politique, qu’il soit de droite ou de gauche. De plus ils se heurtent à un problème constitutionnel.

Ainsi, ils proposent deux Lois.

L’une est une Loi constitutionnelle parce que le sujet de l’immigration n’est pas prévu, selon certains, dans les thèmes mentionnés dans l’article 11 de la Constitution de notre pays.

De qui se moque-t-on ?

Voilà ce que dit l’article 11 de notre Constitution :

« Le Président de la République, sur proposition du Gouvernement pendant la durée des sessions ou sur proposition conjointe des deux assemblées, publiées au Journal Officiel, peut soumettre au référendum tout projet de loi portant sur l’organisation des pouvoirs publics, surdes réformes relatives à la politique économique ou sociale de la nation et aux services publics qui y concourent, ou tendant à autoriser la ratification d’un traité qui, sans être contraire à la Constitution, aurait des incidences sur le fonctionnement des institutions. »

Ceux qui prétendent que l’article 11 ne peut-être utilisé pour organiser un référendum sur l’immigration, affirment donc que cette dernière ne relèverait pas d’une politique “sociale”. En conséquence l’article 11 ne peut être utilisé et il faudrait une modification de la Constitution.

Vraiment ?

Le regroupement familial, ce n’est pas un problème social ?

Les versements sociaux qui se chiffrent en dizaines de milliards, faits à des millions de personnes immigrées, ce n’est pas un problème social ?

Les fraudes sociales en tout genres, causées par de nombreux membres de cette immigration, ce n’est pas un problème social ?

La délinquance liée à cette immigration et le coût que cela entraîne pour notre pays, ce n’est pas un problème social ?

Cet argument « ce n’est pas social » est une manière de botter en touche qui ne trompe personne.

Alors, il reste la voie parlementaire. Là c’est l’article 89 de la Constitution qui doit être utilisé.

L’initiative de la révision, telle qu’elle est définie à l’art. 89 de la Constitution, revient soit :

  • au président de la République sur proposition du Premier ministre : on parle alors de projet de révision ;
  • soit aux membres du Parlement : il s’agit dans ce cas d’une proposition de révision.

Dans les deux cas, le texte de la révision doit être voté en termes identiques par l’Assemblée nationale et par le Sénat.

Pour devenir définitive, la révision doit ensuite être obligatoirement approuvée par référendum lorsqu’il s’agit d’une proposition de révision constitutionnelle.

Les révisions initiées par le président de la République peuvent être approuvées par référendum ou par la majorité des 3/5 des suffrages exprimés des deux chambres du Parlement réunies en Congrès.

Le chef de l’État peut, en tout état de cause, arrêter la procédure de révision, même si les deux assemblées sont parvenues à l’adoption d’un texte identique, puisqu’il dispose du pouvoir de convoquer le Congrès ou le corps électoral en cas de référendum.

Cet argument « constitutionnel » ne tient donc pas la route et ne résiste pas à la plus élémentaire critique. Quant à l’article 89, tout dépend du président de la République. S’il refuse, l’affaire est terminée.

Et tout le monde sait que l’affaire est perdue d’avance pour la modification de la Constitution et un référendum sur l’immigration. Puisque Macron bloquera.

L’initiative constitutionnelle LR n’a qu’un but : qu’ils se refassent une virginité en disant « Nous étions pour le référendum, mais Macron bloque toute possibilité d’y recourir. C’est lui le responsable, pas LR ».

C’est facile et ça ne coûte rien de jouer cette comédie dont tout est prévu à l’avance.

Chacun pourrait se demander : « Mais au fait, pourquoi Macron refuse-t-il le référendum alors qu’il sait que 70 % des Français veulent un arrêt de l’immigration ? ».

Là on pose la question de fond. La question « banco ».

Et la réponse est : à cause de l’Europe.

Au fur et à mesure de la construction de l’Europe, on a assisté à un transfert de compétences, donc à une perte de notre indépendance nationale sur de multiples sujets.

Ce n’est plus la France qui décide de sa politique sur nombre de sujets, c’est l’Europe. Plus exactement la Commission européenne qui n’a été élue par personne mais qui impose sa politique à tous les pays membres de l’Union européenne.

Il se trouve que l’une des « compétences partagée » est l’immigration. La réalité étant que sur l’immigration c’est une compétence « partagée » sur le papier, mais en réalité c’est l’Europe qui est seule maître à bord.

Macron n’est qu’un exécutant qui ne fait qu’appliquer la politique de l’Europe. Il n’a pas le choix et aucune marge de manœuvre. Il doit appliquer ce qui est décidé à Bruxelles.

Et même s’il faisait un référendum, contraire à la volonté de Bruxelles, le Conseil constitutionnel s’opposerait au motif des accords signés avec l’Europe sur ce sujet et que la France est obligée d’appliquer en vertu de l’article 5 de notre Constitution.

Ce qui prouve que nous vivons sous le règne du « gouvernement des juges » et que les hommes politiques français ne peuvent plus décider ou faire ce qu’ils veulent.

En conséquence, si la France voulait vraiment reprendre la main sur le sujet de l’immigration, il faudrait qu’elle dénonce les accords signés dans ce domaine avec l’Europe.

Ce qui déclencherait une crise majeure, car ou on est dans l’Europe et on accepte son fonctionnement, ou on n’y est pas. On ne peut pas y être et n’accepter que ce qu’on veut.

L’acceptation de la perte de notre indépendance nationale sur de multiples sujets a des conséquences dramatiques pour notre pays.

Nous sommes en train d’en vivre un tragique exemple avec l’immigration.

Ce qui n’empêchera pas TOUS les partis de se présenter l’an prochain aux élections européennes, avec nombre d’entre eux qui vous diront : « Votez pour nous, pour une autre Europe » alors qu’il savent parfaitement qu’il n’y aucune possibilité de modifier les traités, ni l’Europe.

Je rappelle que pour pouvoir modifier un traité, il faut l’unanimité des pays de l’Union européenne.

C’est pourquoi on ne peut que rire lorsqu’on entend un Mélenchon déclarer de manière péremptoire : « Si je suis élu, j’imposerai la renégociation des traités ».

Il n’y a que les imbéciles et les ignares qui ne savent pas ce qu’est l’Europe pour le croire.

Il en va de même lorsque LR écrit dans sa proposition de Loi constitutionnelle que LR compte inscrire dans la Constitution « la possibilité de déroger à la primauté des traités et du droit européen (…) quand “les intérêts fondamentaux de la nation” sont en jeu ».

En écrivant cela LR confirme ce que j’écrivais plus haut, à savoir que la question clé c’est l’Europe et notre présence en son sein, avec abandon de notre indépendance nationale sur moult sujets, dont l’immigration.

Mais en lisant cela, on a aussi envie de leur dire :

« Oh les gars, vous nous avez raconté des histoires pendant des dizaines d’années. Vous avez dit qu’avec l’Europe ce serait mieux et qu’on serait plus forts.

En 1992, vous avez dit qu’il fallait voter OUI à Maastricht (y compris Mélenchon) alors que vous saviez que le passage de la CEE à l’UE signait la fin de notre indépendance nationale et que nous perdions à cette occasion la possibilité de décider souverainement ce que veut ou ne veut pas notre pays.

Aujourd’hui on en paye le prix avec l’immigration, entre autres sujets. Vous trouvez aujourd’hui que ça pose un problème.

Vous ne pensez pas que vous auriez dû réfléchir un peu avant d’appeler à voter OUI à Maastricht ? Et de nous embarquer dans cette galère. »

Quant à la possibilité de « déroger (…) si les intérêts fondamentaux de la nation sont en jeu ».

Là, comme Mélenchon, LR nous prend pour des crétins. Aucune dérogation ne sera accordée.

Ils le savent parfaitement. Ou alors c’est qu’ils sont totalement ignorants et n’ont même pas compris ce que signifiait mettre le doigt dans l’engrenage de Maastricht.

Avec l’Europe, nous allons boire le calice jusqu’à la lie.

Sauf si nous sortons de l’Europe (Article 50 du Traité européen) comme l’ont fait les Anglais, afin de retrouver notre liberté et notre indépendance nationale.

Mais vous verrez l’an prochain, LR présentera une liste aux élections européennes et je parie qu’ils diront que ce sera pour « une autre Europe » en sachant pertinemment que c’est une escroquerie politique car l’Europe ne peut pas être changée de l’intérieur. La seule solution c’est d’en sortir !

Quant à la seconde Loi de LR, une Loi « simple », c’est un concentré de mesures à l’eau tiède qui ne solutionnera aucun problème, même si elle était adoptée, ce qui est impossible car la NUPES et les macronistes voteront contre. Donc il n’y aura aucune majorité pour la voter.

Au final, la seule chose qu’on puisse retenir de tout cela, c’est que LR vient de découvrir que l’immigration est un problème majeur pour le pays.

Ils viennent aussi de nous faire la preuve que leur tentative, qu’ils savent condamnée d’avance, vise avec cynisme à une seule chose : essayer de se refaire une virginité politique en prévision des prochaines élections afin de ne pas disparaître.

Bernard GERMAIN, Riposte Laïque

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De plus en plus de demandeurs d’asile orientés en région pour éviter la constitution de campements de rue sur Paris, la destination est choisie aléatoirement par un algorithme.

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Un rapport parlementaire dévoilé mardi fait un bilan « favorable » la politique d’« orientation directive » et préconise un accompagnement systématique des maires qui accueillent des migrants en région. Le principal objectif de cette politique est d’éviter la constitution de campements de rue à Paris.

C’est un document qui s’inscrit dans l’actualité. Depuis plusieurs mois, l’ouverture de centres d’accueil pour migrants suscite des manifestations hostiles de l’extrême droite en Bretagne, en Corrèze, dans l’Indre ou à Paris. Le maire de Saint-Brevin-les-Pins (Loire-Atlantique) a démissionné, le 11 mai, victime de menaces et de l’incendie de son domicile alors que sa commune accueille un centre d’hébergement pour demandeurs d’asile. Un rapport d’information fait à l’inverse un bilan « favorable » de la politique publique d’orientation en dehors de l’Ile-de-France de ces publics en quête d’une protection internationale.

Les députés Renaissance du Val-de-Marne, Mathieu Lefèvre, et du Maine-et-Loire, Stella Dupont, devaient présenter au ministre de l’intérieur leurs travaux – que Le Monde a pu consulter – mardi 23 mai. Ils reviennent sur la mise en œuvre, depuis janvier 2021, de la politique d’« orientation directive ». Il s’agit de répartir l’effort d’accueil, alors que près de la moitié de la demande d’asile est enregistrée en région parisienne.

Pour répartir les personnes, des critères sont pris en compte tels que les capacités d’hébergement, le taux de chômage ou le produit intérieur brut de chaque région. En théorie, les « besoins et de la situation personnelle et familiale » des demandeurs d’asile doivent aussi être considérés. In fine, la destination est « choisie aléatoirement par un algorithme », précisent les auteurs. Et si les personnes la refusent, elles peuvent se voir retirer le droit à bénéficier d’un hébergement et d’une allocation de subsistance pendant l’instruction de leur demande d’asile.  […]

Le Monde

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