Depuis plus d’un mois, l’espace médiatique est saturé par la crise bancaire qui sévit depuis la faillite de la SVB, la Silicon Valley Bank. Pourtant, avant ce dramatique événement et la perte monumentale enregistrée sur les portefeuilles obligataires, il ne fut pas oublier l’autre sujet qui s’est imposé à nous depuis le début d’année 2022. Un sujet que nous n’avions pas connu depuis quelques décennies : l’inflation. A coup de politique monétaire et de hausses de taux importantes, la FED et la BCE ont fait de leur mieux pour endiguer la hausse des prix. Mais les effets tardent à se montrer. Dans l’intervalle, les entreprises ont consentis des hausses de salaires pour que l’inflation soit un peu plus supportable. Mais cela a généralement pour conséquences de générer une boucle prix-salaire dans laquelle l’inflation ne trouve plus sa cause dans le facteur originel mais bien dans la hausse des salaires. Une telle situation ne fait que maintenir l’inflation et retarde donc le moment où les taux des banques centrales pourraient se permettre de baisser. Seulement voilà, lorsqu’une crise bancaire s’intercale dans cette conjoncture bien morose, cela n’augure rien de bon. Cette crise rappelle la fragilité de notre système et n’est pas sans faire écho à la crise de 2008 qui nous a laissé un âpre souvenir. Ce sont bien les portefeuilles obligataires qui ont pris une claque majuscule, alors même que ces actifs sont jugés – souvent à tort – moins risqués que les placements en actions par exemple. Avec une perte record sur les 150 dernières années, on peut se demander ce que cela va induire pour les investissements futurs, car au final, une obligation n’est jamais qu’une dette consentie pour un investissement donné. Si les portefeuilles obligataires dégringolent, alors l’épargne que ces actifs va capter va aussi s’écrouler. Cette épargne risque de glisser vers des actifs réputés sûrs et invariables tels que l’or. Mais l’or est inerte et ne développe pas l’économie. Ainsi, avec la chute des portefeuilles obligataires, c’est bien le tissu économique qui est menacé. menacé par une crise d’insuffisance d’épargne.
« Notre langage est-il important ? Pourquoi certains mots ne sont plus acceptables » Ce 25 avril, la direction générale du personnel du Parlement européen conviait l’ensemble des employés de l’institution à participer à une séance de questions-réponses sur le thème du… racisme par le langage ! Cette conférence en ligne, à l’image de la Semaine internationale contre le racisme organisée à la fin du mois de mars, illustre l’entrisme du wokisme au sein des institutions européennes.
Pas de racisme anti-Blancs
Contrairement aux apparences, l’événement de ce 25 avril n’a pas été organisé par une poignée de militants woke. « Au contraire, tout cela est très institutionnalisé », note Jean-Paul Garraud, député européen du Rassemblement national. Joint par BV, le parlementaire précise : « Ce n’est pas une initiative politique mais administrative, prise par la direction générale du personnel, et plus particulièrement par l’unité Inclusion, Égalité et Diversité. » En effet, dans un courriel que BV a pu se procurer, on découvre que l’administration européenne invite ses collaborateurs à « se pencher sur le rôle joué par la langue dans la lutte contre la discrimination raciale ». Au programme : près d’une heure de discussion animée par Susan Arndt, professeur d’études anglaises et de littérature à l’université de Bayreuth (Allemagne). Le profil de cette chercheuse a de quoi interroger. Auparavant enseignante de culture africaine, cette figure des études critiques sur la « blanchité » a notamment travaillé sur le sexisme, le racisme, le féminisme et, plus largement, sur l’intersectionnalité. Dans l’un de ses articles sur la « décolonisation de la langue », elle écrit ainsi : « Notre langue est encore empoisonnée aujourd’hui, notamment avec les héritages racistes de l’ère coloniale. »
Des propos, inspirés des théories décoloniales et antiracistes qu’elle réaffirme et amplifie devant le personnel du Parlement européen. Dans un extrait vidéo, tiré de cette séance de questions-réponses que BV a pu visualiser, l’enseignante affirme ainsi : « Le racisme a été inventé pour légitimer les conquêtes coloniales. […] Le racisme a été inventé par les Européens. » Et quelques minutes plus tard, à la question « Tout le monde peut-il être victime de racisme ? », Susan Arndt répond : « Un Blanc peut se sentir discriminé (il peut être victime de sexisme, par exemple). Mais ce n’est pas du racisme. » La chercheuse réfute catégoriquement l’existence d’un racisme anti-Blancs. Au contraire, elle insinue qu’être blanc, même si ça ne fait pas une mauvaise personne, prédispose à des comportements racistes.
Ces propos font écho à ceux tenus, au mois de mars, par la même Susan Arndt et sa consœur, Rolade Berthier, professeur d’anglais, invitées lors de la Semaine contre le racisme. Dans un entretien au magazine News Hound, relayé sur l’Intranet du Parlement européen, Susan Arndt affirmait ainsi que « le racisme a toujours été le glaive et le bouclier du colonialisme ; il servait à légitimer la suprématie blanche par l’affirmation d’une supériorité blanche. » De son côté, Rolade Berthier expliquait à des membres du personnel que certains mots ne devaient plus être employés, tels que « blacklist » – car renforcerait la notion que « le noir est indésirable et le blanc est désirable » – ou « immigrant illégal » – car « un immigrant est un être humain et un être humain ne peut être illégal ».
Pour Jean-Paul Garraud, l’organisation de ces deux événements par l’administration du Parlement européen montre que le wokisme est devenu « l’idéologie propre de l’institution ». Si le phénomène n’est pas nouveau, il s’accélère aujourd’hui, porté par des parlementaires « qui en font des tonnes avant 2024 et les prochaines élections européennes », se désole l’eurodéputé. Ainsi, selon nos informations, il aurait été évoqué que des réunions de ce genre, sur l’antiracisme mais également sur d’autres thèmes, se tiennent une fois par mois. Le Parlement européen prévoirait déjà un événement pour le 2 décembre prochain, journée de l’abolition de l’esclavage.
++ WEBTUBE :On se tire une balle dans le pieds avec ces clandestins que l’on accueille à bras ouverts…. et en plus ça nous coûte un pogne de dingue !
Paradoxe français : pour contrôler l’immigration massive et irrégulière qui arrive à ses portes, l’État français a, depuis plusieurs décennies, fait le choix de confier l’accueil, l’hébergement et le suivi des migrants à des ONG pro-migrants. Résultat : à l’heure de la clôture des comptes, la note se révèle à chaque fois très salée. Dans une réponse à la sénatrice centriste de l’Orne, Nathalie Goulet, le ministre de l’Intérieur confirme ainsi avoir versé, en 2021, 750 millions d’euros à près de 1.350 associations de soutien aux migrants, au titre de la mission « Immigration, asile et intégration ». Un montant élevé auquel il convient d’ajouter les subventions versées par de nombreuses collectivités locales – régions, départements et communes – qui savent se montrer généreuses, notamment en matière d’immigration. Ainsi que les aides européennes, notamment les crédits du « Fonds européen Asile, Migration, Intégration (FAMI) qui représentent, sur la programmation 2014-2020, 46,5 millions de subventions effectives à destination du secteur associatif », rappelle la Place Beauvau.
L’État délègue ses missions régaliennes
Si ces montants semblent pharaoniques, c’est que l’État, en matière de gestion et contrôle des migrants, délègue de nombreuses missions régaliennes au secteur associatif. Côté asile, des associations, spécialisées dans l’hébergement des plus précaires, se sont ainsi vu attribuer la gestion du volet « accueil et logement » des migrants. Parmi ces associations, on trouve notamment Viltaïs, qui ouvre des centres d’accueil pour demandeurs d’asile (CADA) aux quatre coins de la France. Une mission qui lui permet de bénéficier de plus de 8 millions d’euros de subventions versés directement par l’État, sans compter les aides des collectivités locales. Equalis, épinglée à plusieurs reprises pour le train de vie dispendieux de ses dirigeants, gère également plusieurs structures d’hébergement de migrants.
Une fois ces migrants logés et nourris, d’autres associations entrent en scène pour aider l’État à examiner leurs dossiers. À Paris par exemple, France terre d’asile – l’une des associations les plus subventionnées en matière d’immigration – a récupéré, en juin dernier, l’accueil des mineurs non accompagnés. Sa mission : mettre à l’abri et procéder à l’évaluation de la minorité des migrants accueillis. Et quand elles ne sont pas directement mandatées par l’État pour assurer certaines de ces missions, de nombreuses ONG pro-migrants réussissent tout de même à récupérer de nombreuses subventions.
L’ennui est que ces associations ne poursuivent pas le même but que l’État. Alors que l’exécutif entend lutter contre l’immigration irrégulière et, dans certains cas, freiner le nombre d’arrivées sur le territoire national, ces ONG militent pour un « accueil inconditionnel » des migrants. En effet, nombre d’entre elles n’ont aucun intérêt à ce que l’immigration de masse cesse. Au contraire, ces arrivées massives et leur gestion représentent une manne financière non négligeable. Ainsi, les subventions publiques représentent 34 % du budget de la Cimade, 10% du budget du Groupe d’information et de soutien aux immigrés (GISTI) et jusqu’à près de 100 % du budget de France terre d’asile (qui préfère parler de « dotations » plutôt que de subventions). Dès lors, ces associations œuvrent donc – par intérêt idéologique et financier – pour soutenir l’immigration. La Cimade, par exemple, aide les migrants à écrire leur récit avant de passer devant l’Office français de l’immigration et l’intégration (OFII), quitte à mentir pour obtenir plus facilement un titre de séjour. Sur son site Internet, l’association propose également une assistance juridique pour contourner une obligation de quitter le territoire français (OQTF).
Le paradoxe va même plus loin. Il arrive que certaines de ces ONG attaquent l’État, qui pourtant les finance, en Justice. C’est notamment le cas de la Cimade et de la Ligue des droits de l’homme, qui ont saisi, en 2019, la justice administrative pour « dénoncer la complicité de la France dans les violations des droits humains (sic) en Libye ». Un an plus tôt, une trentaine d’associations pro-migrants mettaient en cause, devant le Conseil d’État, une circulaire visant à permettre les contrôles d’identité des étrangers dans leur centre d’hébergement. Alors qu’un nouveau projet de loi sur l’immigration se profile, l’exécutif aura-t-il le courage et la ténacité pour reprendre la main sur la gestion de l’immigration ?
Cet humoriste est extraordinaire. Pour plusieurs raisons. D’abord, contrairement aux Guignols de France Inter ou à Yassine Belattar, lui, il est vraiment drôle. Il ne cache pas ses idées plutôt très à droite. Et il n’est même pas Français ! Il a la double nationalité, slovéno-suisse ! Et son vrai nom, c’est Gašper Pust. Mais il a étudié dans les écoles françaises, en Algérie, notamment. Et comme Choupinet, c’est un banquier, mais il en a eu marre de gagner de l’argent !
Mais il a du génie. Il travaille tous les jours avec Dimitri (Pavlenko), un Ukrainien d’origine, Sonia (Mabrouk) et Anissa, très souriante et très agréable. Et il peut tout se permettre, tout passe, avec lui, c’est cela, son génie ! Stéphane Guillon avait l’humour méchant et un rictus haineux, lui il est méchant avec le sourire, en faisant rire, c’est totalement différent. Et cela marche, ils en demandent tous et restent sur le plateau, après l’entretien avec Sonia Mabrouk.
Et les politiques en redemandent, ils reviennent. Un magicien, vous dis-je…
Le jeûne obligatoire est anachronique et inadapté aux besoins d’une société laïque et moderne
Le ramadan, fête religieuse islamique durant laquelle il est interdit de manger et même de boire du lever au coucher du soleil pendant un mois, est considéré comme l’un des cinq piliers de l’islam, que tout bon musulman – à partir de l’âge de la puberté (c’est-à-dire vers 7 ans) – est tenu d’observer. Il ne s’agit donc pas d’un libre choix, mais d’une obligation religieuse inscrite dans le Coran (sourate 2, versets 183-187). À tel point que dans les pays islamiques, celui qui ne la pratique pas en pensant qu’elle n’est pas obligatoire est considéré comme un apostat passible de la peine de mort. “Quant à celui qui ne la pratique pas par paresse, certains juristes envisagent de le tuer, d’autres de le châtier et de l’emprisonner jusqu’à ce qu’il meure ou se repente” : ainsi écrit le grand spécialiste de l’islam, le Dr Sami Aldeeb, citoyen suisse et chrétien d’origine palestinienne (lauréat en 2019 du prix “Swiss Stop Islamization”), dans son très intéressant livre “Comparaison entre les normes suisses et musulmanes”.
Une obligation anticonstitutionnelle “De nombreux pays musulmans – lit-on dans son livre – punissent toute violation publique du jeûne même par des non-musulmans” et dans ces pays “les horaires à l’école et au travail sont allégés et organisés pour répondre aux exigences religieuses durant ce mois”. Par exemple, la journée de travail se termine vers 15 heures. On pourrait dire que chaque pays est libre de faire ce qu’il veut chez lui. Mais attention à l’islamisation rampante qui nous touche de plus en plus près : “Les musulmans – écrit Aldeeb – essaient d’imposer le jeûne du ramadan à leurs coreligionnaires, même en Occident”. Et peut-être qu’un jour, lorsque l’islam dominera en Europe, nous, les incroyants, serons également punis si nous rompons le jeûne en public…
Pour les fanatiques islamistes qui visent à islamiser notre continent en essayant d’empêcher l’intégration des musulmans dans notre société, le ramadan est une occasion en or d’exercer une surveillance et un contrôle social sur leurs coreligionnaires, en particulier dans les quartiers islamiques qui se multiplient dans les villes européennes, et de rappeler à l’ordre et menacer ceux qui transgressent les règles. Mais une telle obligation n’est pas non plus acceptable au nom de la liberté religieuse, car elle va à l’encontre de la Constitution suisse (art. 15 §4), qui stipule que “nul ne peut être contraint d’adhérer à une communauté religieuse ou d’en être membre, ni d’accomplir un acte religieux ou de suivre une instruction religieuse”.
Questions de sécurité et de productivité Il est bien connu que les règles totalitaires en vigueur dans l’islam (c’est-à-dire la charia) n’accordent aux musulmans aucune liberté de choix dans aucun domaine de leur vie, et il est donc vain d’attendre des autorités islamiques qu’elles décident de sortir du Moyen-Âge en déclarant que certaines pratiques – comme les cinq prières rituelles quotidiennes, ou le port du voile – ne sont pas obligatoires. Mais, en ce qui concerne le ramadan, il serait bon de commencer à se demander s’il est compatible avec les besoins et l’organisation de la société occidentale, d’autant plus dans le cas de l’obligation mais aussi du libre choix.
Dans un article publié en 2018 dans le magazine “Le vif” (https://goo.gl/sK9SJU), la ministre danoise de l’immigration et de l’intégration de l’époque, Inger Stojberg, avait écrit : “J’invite les musulmans à prendre congé pendant le mois du ramadan afin d’éviter des conséquences négatives pour le reste de la société danoise. Je me demande si l’impératif religieux d’observer un pilier de l’islam vieux de 1400 ans est compatible avec la société et le marché du travail que nous avons au Danemark”. La ministre a ajouté qu’elle craignait les effets du jeûne “sur la sécurité et la productivité”, par exemple dans le cas des chauffeurs de bus qui n’ont pas mangé ou bu pendant plus de 10 heures, “parce que cela peut être dangereux pour nous tous”.
Comment la blâmer ? Et qui vérifie, par exemple, que pendant le ramadan, les enfants et adolescents musulmans scolarisés sont obligés par leurs parents de jeûner du lever jusqu’au coucher du soleil ? Et qui nous assure que, pendant le mois de jeûne (surtout lorsqu’il coïncide avec les mois les plus chauds), les musulmans pratiquants qui sont au volant d’un moyen de transport public ou privé, ou qui exercent des activités professionnelles à risque, ne constituent pas un danger pour les autres ?
Le mois de la violence et du djihad Il est également prouvé que, surtout dans les pays islamiques, le ramadan coïncide avec une augmentation de la violence, en raison des effets négatifs que le jeûne quotidien combiné à des excès nocturnes a sur la santé physique et mentale. Ce phénomène a été documenté par Sami Aldeeb dans un article publié sur son site web “Savoir ou se faire avoir” le 12 décembre 2018, dans lequel il soutient, entre autres, que les compagnies d’assurance devraient facturer une surcharge pour “risques accrus” aux musulmans qui jeûnent pendant le ramadan. Dans ce même article, Aldeeb souligne que “les mouvements terroristes accordent au mois de Ramadan une importance particulière et incitent les musulmans à commettre des attentats contre les mécréants pour commémorer l’exemple de Mahomet, qui a mené des batailles pendant ce mois”. Une affirmation également reprise, en citant divers exemples, dans un article rédigé par Amin Abdelmajid et Christian Bibollet et publié le 24 avril 2021 sur le site de l’Institut pour les Questions Relatives à l’Islam (IQRI). Les deux auteurs rapportent que “durant le mois de jeûne, les musulmans doivent consacrer tous leurs efforts à l’observance des prescriptions du Coran”, et que le djihad – c’est-à-dire la guerre sainte pour la propagation de l’islam dans le monde – “est bien le précepte le plus important de l’islam”.
Ce n’est pas un hasard, poursuivent les auteurs, si la deuxième sourate du Coran, celle qui prescrit le jeûne du ramadan, est celle qui prescrit également le djihad au verset 216, dans le même contexte : un mot, celui-ci, désigné en arabe dans le verset en question par le terme Qital, qui signifie “combattre pour tuer avec la possibilité d’être tué” ; il ne s’agit donc pas d’un combat de type spirituel, comme le prétendent les astucieux représentants des Frères musulmans pour tenter de dissimuler la relation inquiétante entre le ramadan et le djihad à une société occidentale qui préfère qu’on lui dise que l’islam est une religion pacifique. Peut-être qu’avant de souhaiter aux musulmans un “bon ramadan” et de participer à la célébration de la fête de clôture (l’Aïd-el-Fitr) dans les mosquées ou sur les places, certains politiciens et journalistes devraient se pencher sur la véritable signification de ce “pilier” obligatoire de l’Islam, anachronique et liberticide…