Bois-Guillaume : libéré de rétention parce que fou, Ahcène, Algérien sous OQTF, retourne tuer son ex chez elle

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L’OQTF du jour.

France Bleu :

Samedi dernier, les corps d’une femme de 47 ans et d’un homme de 36 ans sont découverts dans un appartement d’un immeuble de la rue Konrad Adenauer, à Bois-Guillaume. La locataire de l’appartement était mère d’une fille de 15 ans et exerçait en tant qu’ATSEM dans une école maternelle de BIhorel. Une femme « discrète et gentille » selon un très proche de la jeune femme, qui explique qu’elle avait entretenu une brève liaison avec l’individu retrouvé lui aussi mort chez elle.

A ce stade de l’enquête, les hommes de la Direction territoriale de la police judiciaire n’excluent pas l’intervention d’un tiers, mais la plus probable des hypothèses reste celle d’un homicide. L’homme aurait tué la femme avant de se donner la mort. Le couple s’était rencontré l’an dernier, mais la jeune femme avait rompu au bout de quelques semaines, raconte un proche. Son ex-petit ami s’était alors rendu chez elle, et l’avait frappée. Elle avait donc porté plainte contre lui.
Le 15 octobre 2022, Ahcène Tayeb est donc placé en garde à vue pour ces violences, mais il est rapidement hospitalisé pour des troubles psychiatriques déjà diagnostiqués et pour lesquels il est sous traitement. Douze jours plus tard, il est de nouveau placé en garde à vue et écope d’une convocation pour être jugé le 28 août 2023. A ce moment là, le Parquet ne le soumet ni à un contrôle judiciaire, ni à une interdiction d’approcher la victime, comme c’est souvent le cas dans ces affaires de violences conjugales. Pourquoi ? Parce que l’homme est algérien, en situation irrégulière, et que la préfecture lui délivre aussitôt une OQTF, une obligation de quitter le territoire français, conformément à la circulaire du Ministère de l’Intérieur qui préconise depuis 2020 d’expulser en priorité les étrangers auteurs d’infractions.

Dans cette affaire, « tous les voyants étaient au rouge » reconnaît l’avocat d’Ahcène Tayeb. L’homme avait été condamné à quatre reprises pour des faits de violences entre 2013 et 2017. Ses antécédents judiciaires et psychiatriques auraient du alerter les services de l’État et la Justice bien plus que sa condition de clandestin. « On a privilégié la politique du chiffre des expulsions à la protection d’une femme » regrette Cécile Madeline, avocate et spécialiste du droit des étrangers.

Le 29 octobre, Ahcène Tayeb est donc envoyé au centre de rétention administrative de Coquelles dans le Pas-de-Calais. Et comme l’exige la procédure, le juge des libertés et de la détention du tribunal de Boulogne-sur-Mer est saisi d’une requête en prolongation de la rétention. Prolongation qu’il refuse, compte tenu de l’état psychiatrique d’Ahcène Tayeb est incompatible avec une mesure de rétention et que « cet état de vulnérabilité n’a pas été suffisamment pris en compte dans la décision de placement en rétention administrative » indique l’ordonnance du juge rendue le 31 octobre 2022. Le Parquet ne fait pas appel. L’homme ressort donc libre. Et c’est dans ce contexte qu’il a eu la possibilité de revenir sonner à la porte de la victime, et de la tuer selon toute probabilité. Les investigations se poursuivent.

++ WEBTUBE : On relâche des individus dangereux ( L’homme avait été condamné à quatre reprises pour des faits de violences entre 2013 et 2017. Ses antécédents judiciaires et psychiatriques auraient du alerter les services de l’État et la Justice bien plus que sa condition de clandestin. « On a privilégié la politique du chiffre des expulsions à la protection d’une femme » regrette Cécile Madeline, avocate et spécialiste du droit des étrangers.)

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Barilla : maintenant, la publicité vous fait la morale !

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++ WEBTUBE : Et si on s’amusait à repérer les pub moralisatrices à la télévision ? Vous allez être surpris de voir qu’en y faisant attention, pas mal de messages “subliminaux” sont présents dans toutes les publicités qu’on vous distille à longueur de journée.

Vous reprendrez bien une louche d’aplatissement culturel assortie d’une cuillère de mièvrerie ? Les Italiens découvrent, ces jours-ci, une publicité toute neuve pour la marque de pâtes, italienne entre toutes : Barilla. Une entreprise familiale basée à Parme, en Italie, qui en est à la quatrième génération depuis le fondateur, voilà 140 ans. Cette institution, premier fabricant mondial de pâtes, doit tout à l’Italie : son produit, ses origines, son image. Mais depuis le début du mois, Barilla ne vend pas seulement ses pâtes, l’entreprise fait aussi la nouille, avec un long film publicitaire scénarisé qui singe les belles histoires du cinéma. Un film, déniché par le lanceur d’alerte Damien Rieu, bien dans le sens du vent pour agrémenter le célèbre paquet de pâtes d’un paquet de mondialisation à la sauce démolition culturelle. On vous raconte.

Petit village italien typique en surplomb, l’Italie éternelle, à l’heure du déjeuner. Dans le réfectoire de l’école, les enfants se régalent de spaghettis. Idéal, les enfants, pour tirer des larmes dans les chaumières : la recette est imparable. Tous se régalent ? Non, un enfant venu d’ailleurs, charmant bien sûr, Gabriele, résiste à la tentation spaghetti sous l’œil apitoyé de sa camarade de classe. Le soir, chez son père, la petite Italienne refuse de déguster ses pâtes aux lardons « parce que Gabriele ne peut pas en manger ». Et ça fait tilt chez son père, qui se trouve être le cuistot de l’école ! Le lendemain, le papa cuistot donne des ordres stricts : « Aujourd’hui, nous faisons un carbonara inclusif. Objectif : rendre nos enfants heureux. » Mais Gabriele se méfie toujours : « C’est avec ou sans porc ? », demande-t-il. « Aujourd’hui, tu peux les manger », lui répond-on. Regards complices avec la jolie petite Italienne. Ce carbonara outrageusement chargé en sucre donne lieu à une longue, longue, longue leçon de morale sur le monde qui « devient de plus en plus inclusif » et « multiculturel », sur la nourriture qui « rapproche les gens » et autres pommes d’amour à vous filer le diabète avant d’y avoir touché. Conclusion à triple trappe pour refermer le couvercle sur ceux qui sentiraient le coup fourré : « C’est important si cela permet de se sentir membre d’une communauté. » Ben voyons : l’effacement de la culture italienne pour se sentir membre d’une communauté, mais laquelle ?

Du temps de sa splendeur, dans les années 70-80, la publicité cherchait à vous arracher l’effet « waouh » : c’était l’objectifs des chevaux vus du ciel qui formaient les chevrons de Citroën, chef-d’œuvre de Séguéla. L’objectif des bébés nageurs de Nestlé. La publicité cherchait à vous faire rire (Chaussééauxmoines, Quand c’est trop, c’est Tropico…), à vous provoquer (Benetton), à vous séduire, à vendre bien sûr. Avec la broyeuse mondialiste, la pin-up publicitaire est devenue vieille fille. Parée de tous les sacrements de la diversité et de l’inclusivité, elle vous rabâche le catéchisme niaiseux des institutions européennes et de l’ONU, jusqu’à la nausée. Elle cherche dans les recoins ce qui reste de culture locale pour la régurgiter en bouillie écœurante et prédigérée, sentant fort la manipulation.

Logiquement, les Français, les jeunes surtout, ne se passionnent plus pour cette publicité convenue, manipulatrice et moins créative qu’un atelier pâte à sel. Ils la subissent, tant on n’a jamais vu un cheval se prendre d’affection pour son mors et son licol.

La ficelle est épaisse, la manipulation lourdasse, mais voilà, la maîtrise de l’information, sur les chaînes publiques notamment, ne suffit plus. Les Français décryptent l’information et se prémunissent de cette dégoulinante doxa. La puissance de feu des médias publics, de France Télévisions et de Radio France, ne suffit pas à éviter la présence de Marine Le Pen au second tour des présidentielles dans un sondage récent. Les médias bien lisses n’ont pas empêché l’arrivée au pouvoir de Meloni en Italie, au pays du carbonara. Reste donc la publicité, jamais assez inclusive aux yeux de l’Arcom et que les peuples décryptent avec un peu plus de relâchement. Jusqu’à quand ? Le mondialisme est une faucheuse, une moissonneuse-batteuse jamais rassasiée. Mais comme les dinosaures qui dévoraient, parait-il, une forêt par jour et se sont éteints après les avoir épuisées, nos démolisseurs n’auront bientôt plus grand-chose de national à détruire.

Marc Baudriller, Boulevard Voltaire

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L’Algérie rejette des milliers de migrants en plein désert : silence des ONG

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Avez-vous déjà entendu parler d’ASSAMAKA ? Cela m’étonnerait car il s’agit d’un village au nord du Niger, à 15 kilomètres de la frontière algérienne. Vous ne le trouverez peut-être même pas sur une carte. Dans ce village vivaient en plein milieu du désert1500 habitants, mais ça c’était avant car depuis quelques années c’est devenu l’enfer, depuis que l’Algérie expulse vers Assamaka tous les migrants qui arrivent clandestinement. 

Actuellement ils sont environ 5 000 « refoulés », coincés dans cette petite bourgade, en plein désert, dans un environnement plus qu’hostile, pas d’ombre, allongés, quand ils trouvent une place, le long des murs. Seuls 1500 sont enregistrés par l’OIM (Organisation Internationale des Migrations de l’ONU) afin d’être « rapatriés ». Ils sont conduits vers la ville la plus proche, Arlit à 200 kilomètres, où un centre de transfert les accueille avant de les convoyer vers Agadez, la capitale régionale, d’où « ils sont censés regagner leurs pays », mais seuls les plus fragiles partent. Les « autres » sont livrés à eux-mêmes, bloqués durant plusieurs semaines, des mois. 

Entre le 24 et le 26 mars 2023, 1 277 nouveaux migrants sont arrivés à Assamaka. La police algérienne les a lâchés à la frontière, sans nourriture et sans eau, heureusement en pleine nuit, en leur indiquant d’un geste la direction pour parcourir ces 15 kilomètres. Ceux qui ont eu de la chance sont arrivés au petit matin, les autres, qui se sont perdus, arrivent tout au long de la journée, en plein soleil, enfin ceux qui ne sont pas morts dans le sable. Mais de ces morts on ne parle pas. Ils meurent discrètement, aussi nombreux que ceux qui disparaissent en Méditerranée. 

Un jeune Gambien d’une vingtaine d’années déclare : « Tout manque ici. L’eau est rationnée, on partage une portion de riz à quinze ». Un second montre une bouteille d’eau polluée : « Même les vaches ne boiraient pas ça ! ». Un troisième, la peau ravagée par la gale : « Le pire c’est le sable. Il s’infiltre partout, dans l’eau, dans la nourriture, dans les habits, dans la peau ». 

Samuel, natif de Conakry en Guinée, est arrivé en Algérie avec 1500 euros et 12 000 dinars pour tenter la traversée de la Méditerranée vers l’Europe. La police algérienne lui a tout pris avant de le mettre en prison puis, avec d’autres migrants (certains étaient malades ou blessés), ils l’ont conduit à la frontière et ont tiré en l’air pour les faire déguerpir. 

En 2021, 27 000 migrants ont été ainsi rejetés en plein désert – et 36 000 en 2022. 

Aujourd’hui ils sont environ 5000 coincés dans le village. Ils s’entassent partout où ils peuvent. Pour la population locale “cela est devenu invivable”. Les magasins sont pillés. « On veut qu’ils s’en aillent. Ils volent, ils se battent. Ce n’est pas bon pour nous » se plaint Youssef, l’épicier d’Assamaka. « Imaginez, vous êtes le père ou le mari d’une jeune fille ou d’une jeune femme : comment voulez-vous dormir la nuit ? »

Assise sur une natte à même le sol, ses trois enfants devant elle, immobiles, épuisés. Son mari a été tué en Algérie, Mme Bangura veut rentrer chez elle. “Tant pis pour le rêve européen, ça ne vaut pas la peine de mourir” sourit-elle. 

(Source : Stanislas Poyet – Le FIGARO) 

Voilà un aperçu de la manière dont sont traités les migrants sub-sahariens par l’Algérie et nous, en France, nous accueillons « avec humanisme, assistance et aides sociales » les milliers de migrants clandestins algériens. 

Vous toutes, ONG, associations, etc., qui vous “dévouez” tant, en France, bien à l’abri et grassement subventionnées, auprès des migrants clandestins une fois qu’ils sont parvenus sur notre sol, c’est là-bas, sur place, que vous pourriez vous dévouer davantage pour ceux qui en auraient bien besoin ! 

Manuel Gomez Riposte Laïque

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Quand François Hollande se fait piéger par des humoristes..

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