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Asselineau, excellent, dégomme BHL : “Bide Hautement Lucratif”. Aux frais du contribuable bien sûr. Lumière décadente.
++ WEBTUBE : BHL est riche, pro-américain, se gave d’argent public et il vous emmerde !
ADDFREESTATS.COM AUTOCODE V4.0 –> Ecoutez DJMusic.fr Publié le Catégories Non classéLaisser un commentaire sur Asselineau excellent : BHL, le Bide Hautement LucratifReportage de Thaïs d’Escufon sur les terres de la Reconquista espagnole, en Andalousie.
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++ WEBTUBE : Et si on prenait enfin notre avenir en main ? Bien vue cette petite vidéo sur le Reconquista.
https://www.puf.com/content/Histoire_de_la_Reconquista
ADDFREESTATS.COM AUTOCODE V4.0 –> Ecoutez DJMusic.fr Publié le Catégories Non classéLaisser un commentaire sur Reportage de Thaïs d’Escufon sur les terres de la Reconquista espagnole, en Andalousie.L’excision : le drame des femmes qu’on ne veut pas voir
Articles : Avr. 2023 – Mar. 2023 – Fev. 2023 – Jan. 2023 – Facebook : https://www.facebook.com/profile.php?id=100069673161887
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Titouan d’HERVÉ est un ancien élu municipal ayant démissionné de ses fonctions pour protester contre le maintien d’un Adjoint au Maire mis en examen pour viol aggravé. Jeune adhérent des Républicains engagé dans la lutte contre les violences faites aux femmes, il dénonce aujourd’hui le silence autour des mutilations sexuelles en France.
Titouan d’Hervé, Omerta
125 000. En France, en 2023, le nombre de femmes victimes d’excisions se chiffre à 125 000. Deux fois plus qu’en 2009. Qui aurait pu croire que le pays des droits de l’Homme serait le théâtre d’une pareille tragédie humaine. À l’heure où tout se sait, où tout se communique, pourquoi la société semble-t-elle ignorante du drame de ces milliers de filles et de femmes qui vivent, peut-être, dans l’appartement d’à côté, dans la maison d’en face, dans le quartier voisin.
L’excision, l’ablation des lèvres, l’infibulation, le rétrécissement de l’orifice vaginal, et la clitoridectomie, l’ablation du clitoris, sont les mutilations sexuelles répertoriées par l’ONU. Ces mutilations, aussi horribles puissent-elles paraître, existent pourtant bel et bien dans notre pays. Principalement apparues dans la société française avec les flux migratoires en provenance d’Afrique, ces mutilations sexuelles sont souvent exécutées dans un contexte sanitaire déplorable. Depuis quelques années, et pour contourner la loi, on observe qu’une partie de ces atrocités ne sont pas commises sur le territoire mais à l’étranger, lors des périodes de vacances. L’excision, c’est la négation la plus barbare de la liberté des femmes à disposer d’elles-mêmes, le symbole ultime de la possession de la femme par l’homme. Ces violences envers les femmes renvoient à des codes sociétaux qui ne sont pas et ne seront jamais les nôtres. L’excision c’est la soumission de la femme. C’est le contraire de la République qui sacralise l’égalité des sexes. Ce combat pour l’égalité, il est le fruit de notre histoire française, mais aussi de l’histoire des Françaises qui y ont dédié leur vie. Nous sommes français et nous ne serions pas ce que nous sommes sans Simone Veil, sans Gisèle Halimi, sans Simone de Beauvoir. Nous sommes français, nous sommes les héritiers d’un vieux pays et nous portons en nous l’héritage de cette histoire. Ceux qui veulent soumettre les femmes n’ont rien à faire en France. L’excision, c’est une atteinte à la dignité, ceux qui veulent la pratiquer sur leurs enfants, leurs petits-enfants ou leurs nièces ne sont pas les bienvenus sur le territoire de la République française. Cette fermeté n’est ni une conviction, ni une position politique : c’est un sentiment qui devrait tous nous animer. Une vérité probablement trop difficile à admettre pour l’intelligentsia de gauche qui, dans un grand écart entre déconstruction et victimisation permanente, priorise les modes wokistes aux drames du quotidien. Le scandale des mutilations sexuelles, c’est celui de l’invisibilisation des violences perpétrées par un groupe d’individus répondant à des codes sociaux venus d’un autre temps et d’une autre civilisation. La dénonciation de l’une des pires atrocités humaines sacrifiée sur l’hôtel du politiquement correct. Où sont les médias pour dénoncer ? Où sont les élus pour agir ?
Plus encore que l’absence de traitement médiatique, c’est à nos responsables politiques de se montrer à la hauteur de l’enjeu. Le 14 janvier 2007, Nicolas Sarkozy évoque le sujet dans son discours d’investiture lors du congrès de l’UMP. Il est un pionnier, le premier responsable politique à briser le tabou. Et depuis ? Plus grand-chose. Un « Plan National d’action visant à éradiquer les mutilations féminines », dont les dispositions pratiques sont louables mais insuffisantes, est lancé le 19 juin 2019 par Marlène Schiappa, alors Secrétaire d’État à l’égalité entre femmes et hommes et à la lutte contre les discriminations. En 2021, deux propositions de lois sont déposées : une par les députés Les Républicains et une par la sénatrice Valérie Boyer. Aucune n’a été examinée en séance. Et la gauche dans tout ça ? Le tabou autour de l’excision, c’est le point de rupture, le croisement révélateur entre les idéologues faussement convaincus et les défenseurs de l’émancipation de la femme. Sur ce sujet, la NUPES tendance hypocrite est aux abonnés absents. Pourquoi donc ? La réponse est simple : au pays des contradictions, la gauche française, perdue entre câlinothérapie des minorités et défense des femmes, ne sait plus à quel saint se vouer. N’en découle que le silence pour seul arbitrage.
Pour autant, la seule indignation ne fera pas figure de réponse. Face à l’excision, face aux mutilations sexuelles, nous combattons un mal informe dont les solutions ne peuvent être ni palpables, ni immédiates. Plus que des paroles creuses, il faut des actes forts. Pour mieux lutter, il nous faut renforcer notre arsenal juridique en faisant passer de 5 à 10 ans la peine maximale encourue pour le chef d’accusation de mutilations sexuelles. L’État, garant de l’intégrité de chacun, doit s’astreindre à remettre chaque année au Parlement un rapport sur les mutilations sexuelles féminines pour suivre et ajuster les dispositifs mis en place. De plus, à intervalles réguliers, une visite médicale destinée à constater d’éventuelles mutilations sexuelles devra être réalisée par les jeunes filles avec l’obligation, pour les professionnels désignés, d’effectuer un signalement au procureur de la République si des suspicions ou des preuves de mutilations sexuelles sont constatées.
En ce 8 mars 2023, une seule conclusion s’impose à nous : les droits des femmes ne sont plus la chasse gardée politique de quelques-uns, mais l’affaire de tous. Se battre contre les mutilations sexuelles, ce n’est pas un combat politique. C’est un combat moral. Se battre contre les mutilations sexuelles, c’est se battre pour les droits des femmes. En ce 8 mars 2023, plus que jamais, le statu quo n’est plus une option. Trop longtemps, la société a regardé ailleurs, a fermé les yeux. Le temps du silence est révolu.
Titouan d’Hervé
ADDFREESTATS.COM AUTOCODE V4.0 –> Ecoutez DJMusic.fr Publié le Catégories Non classéLaisser un commentaire sur L’excision : le drame des femmes qu’on ne veut pas voirDirective européenne : coup de massue contre les passoires énergétiques
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Entre 2M et jusqu’à 11M de logements pourraient à terme être concernés par la directive de la Commission européenne.
Alexandre Cuignache est avocat diplômé d’Assas, ancien conseiller du Centre-Val de Loire. Il répond à nos questions concernant une directive européennes sur l’immobilier, presque passée inaperçue mais qui soulève des questions financières autant qu’éthiques.
Alexandre Cervantes
La Commission européenne a voté mardi une directive lourde de conséquences sur la population française, puisqu’elle oblige les propriétaires à rénover leur « passoire » thermique pour pouvoir la vendre. Les bâtiments classés G et F en performance énergétique devront passer à E d’ici à 2030, jusqu’à D d’ici 2033. Qu’en pensez-vous ?
Pour moi, c’est une attaque de plein fouet au droit de propriété privée. Cette directive, si elle est transcrite au droit français, empêchera tout simplement un des éléments essentiels du droit de propriété, c’est-à-dire la libre disposition des biens. À partir du moment où l’on ne peut plus disposer librement de ses biens, le droit de propriété est bafoué.
Je rappelle que le droit de propriété est un droit inviolable et sacré, d’après la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen. Ce n’est pas par hasard, c’est ce qui préserve la liberté effective du citoyen, sa vie privée, qui sinon n’a plus de refuge impénétrable face à l’État, ses normes, son contrôle. Sans cela, la liberté n’existe plus qu’en principe, et c’est pourquoi les rédacteurs de la Déclaration avaient insisté dessus. C’est le seul droit qui est décrit comme cela, qualifié d’inviolable et sacré. Ce ne sont pas des mots anodins.
Mais on pourrait se dire que cette liberté existera toujours, qu’elle sera simplement contrainte, comme elle peut l’être déjà. On peut penser aux locataires, qui ne sont pas propriétaires et pourtant se considèrent souvent suffisamment libres pour mener leur vie comme ils l’entendent. Quelle est selon vous le tournant majeur à ce niveau, qu’introduirait la directive européenne ?
C’est un pas dans le même sens, dans la même logique de contrainte permanente et de contrôle. D’ailleurs, je note que lors du débat sur ce texte au Parlement, l’argument utilisé pour faire passer le texte de manière assez consensuelle – y compris chez des conservateurs et des libéraux qui devraient tout de même être attachés au droit de propriété – c’est l’argument à la fois écologique et économique. Il y a une volonté de transformer radicalement le parc immobilier européen, en abandonnant les logements anciens, vétustes. C’est une vision du monde complète qui est poussée ici, et que l’on peut sans craindre l’outrance qualifier de totalitaire, c’est-à-dire un système de contrôle permanent sur les choses les plus importantes de notre vie quotidienne. Dans la location, c’est exactement le même cas, car tant qu’il paye son loyer, le locataire a le même droit que le propriétaire hormis la disposition. Ici il ne pourra plus louer un bien qui lui conviendrait pourtant.
Idéalement selon vous, la manière de concevoir notre rapport à la location et à la propriété pourrait être revue, pour aller à rebours de ce mouvement de contrôle que vous décrivez ?
Absolument. J’habite à la campagne, je vois le nombre de logements non occupés : ils peuvent être rénovés, isolés et utilisés à terme.
Je pense que l’on n’a pas besoin de construire plus. D’ailleurs, n’importe qui préfère vivre dans un logement isolé qui lui coûte moins cher : pas besoin de contrainte, c’est une question de bon sens.
Mais ici, avec une norme aussi dure, ce sont les ménages les plus modestes qui en pâtiront. Ils pouvaient louer un bien beaucoup moins cher parce qu’il est dans un moins bon état : ce n’était pas idéal, mais ça permettait au moins de mettre un toit sur sa tête.
Christophe Demerson, le président de l’Union nationale des propriétaires immobiliers (UNPI) disait à ce sujet « voilà comment transformer une bonne idée en catastrophe industrielle », en critiquant « un calendrier ultracourt, une pénurie de matériaux et un manque de main-d’œuvre ne peuvent qu’aboutir à des factures qui s’envolent ». Vous abondez donc dans son sens ?
Absolument, et ce qu’on voit dans cette évolution, c’est que l’argument écologique qui pousse à faire des bâtiments à faible émission, qui soient bien isolés etc., peut être tout à fait souhaitable, mais pose en fait de gros problèmes. D’une part, la contrainte induite est néfaste, et d’autre part sur un plan strictement économique cela va faire sortir du marché un nombre incalculable de biens [ndlr : environ deux millions d’ici deux ans d’après [l’UNPI]. On va voir une forte hausse des prix, puisqu’on va raréfier le marché. D’autant que la construction de nouveaux logements n’est pas du tout écologique en elle-même, par exemple parce que la fabrication de ciment est un des premiers producteurs de CO2 dans le monde [ndlr : 7% des émissions mondiales de CO2].
L’argument ne me semble pas tenir, surtout avec des implications économiques lourdes. Alors évidemment, derrière on nous dit « il y aura des subventions, ne vous inquiétez pas », mais on rentre encore et toujours dans un système de plus grande dépendance et de plus grand contrôle.
Alexandre Cervantes, Omerta
ADDFREESTATS.COM AUTOCODE V4.0 –> Ecoutez DJMusic.fr Publié le Catégories Non classéLaisser un commentaire sur Directive européenne : coup de massue contre les passoires énergétiquesLe peuple bêle mais revote toujours pour ceux qui le mènent à l’abattoir
Articles : Avr. 2023 – Mar. 2023 – Fev. 2023 – Jan. 2023 – Facebook : https://www.facebook.com/profile.php?id=100069673161887
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Les Français sont responsables à 100 % de l’effondrement de la nation et de leur malheur. Ils ont toujours refusé une véritable alternance, la dernière étant le programme Zemmour, un total renversement de la politique qui nous détruit depuis quarante ans.
https://programme.ericzemmour.fr/
Un programme complet, à 180° de celui de Macron, qui n’en avait aucun de sérieux en 2017. Et ceux qui prétendent que Zemmour n’avait aucun programme économique sont des menteurs.
Le programme économique de Macron, on en voit la couleur : nous sommes ruinés avec 3000 milliards de dettes et subissons un déclassement sans précédent, passant du 5e rang au septième rang mondial ! Le programme de Macron, c’est la soumission totale à l’Europe et à l’Otan.
Oui, nous sommes gouvernés par le pire fossoyeur de la France qui n’a cessé d’accumuler les pires crasses contre notre pays, l’accablant de tous les maux tout en humiliant constamment le peuple gaulois.
Mais à qui la faute ? Qui a élu Macron en 2017, après la terrible machination politico-judiciaire qui a torpillé François Fillon, donné largement gagnant ? Qui l’a réélu en 2022 alors que son quinquennat n’a été qu’une suite de trahisons, de mensonges, de fiascos dans tous les domaines ?
Le peuple gaulois est responsable de ce qui lui arrive. En réélisant Macron il a cautionné toutes ses turpitudes et les scandales à répétition qui jalonnent le parcours de notre Président. Le peuple a tout cautionné :
- L’opacité totale sur les comptes de campagne de 2017, sans aucune enquête sur les anomalies multiples, qui auraient disqualifié n’importe quel autre candidat
- Le discours d’Alger, accusant la France de crime contre l’humanité
- Les accusations de torture proférées à l’encontre de nos soldats en Algérie
- Le procès à la tribune de l’ONU, accusant notre pays d’avoir fait beaucoup de mal au cours de son histoire
- Le dénigrement permanent de la France, pays sans culture propre et sans arts
- Les insultes envers le peuple, traité d’alcoolique, d’illettré, de fainéant, de moins que rien
- L’affaire Benalla qui a révélé un État dans l’État, lequel a saboté les deux commissions parlementaires
- La braderie de l’outil industriel français avec, entre autres, le scandale Alstom, dépecé au profit de General Electric
- Le scandale McKinsey, où le contribuable engraisse à prix d’or des cabinets étrangers, alors que nos hauts fonctionnaires sont mis sciemment à l’écart des décisions
- La gestion catastrophique de la crise sanitaire, durant laquelle on a trié et liquidé les vieux malades faute de moyens suffisants
- La dure répression contre les Gilets jaunes, alors que les black blocs cassaient tout en toute impunité
- L’immigration démentielle, alors que toutes les structures d’accueil sont saturées et que l’intégration est un échec flagrant pour des légions d’immigrés
- L’islamisation de pans entiers du territoire, où la loi républicaine est rejetée par toute une jeunesse musulmane qui place sa religion au dessus des lois
- L’explosion de l’insécurité qui a fait de la France le pays le plus dangereux d’Europe
- Le saccage de notre outil industriel et de notre agriculture, qui faisaient encore notre fierté il y a 20 ans
- La destruction de notre balance commerciale, la pire depuis 1945
- L’endettement colossal avec 10 milliards de dettes supplémentaires chaque mois depuis six ans, portant la dette publique à 3000 milliards d’euros
- La fiscalité confiscatoire. Plus nous sommes écrasés d’impôts, plus les caisses sont vides
- L’effondrement de tous nos services publics, armée, police, école, santé, transports, justice
- Le saccage du nucléaire, sabordant ainsi notre indépendance énergétique et ruinant nos entreprises
- Et pour finir, le soutien à l’Ukraine, nous entraînant dans une guerre perdue d’avance, qui nous ruine, avec une inflation et des coûts énergétiques démentiels.
- Sans oublier les misérables frasques de Saint-Martin et les beuveries africaines de notre Président, qui salissent la France aux yeux du monde entier
Plus le peuple est malmené, méprisé et trompé, plus il en redemande.
Aujourd’hui, les Français sont dans la rue, pas seulement pour leur retraite mais surtout par haine de Macron, ce lider minimo qui les a trompés et trahis depuis six ans. Mais c’est un peu tard pour brailler, il fallait y penser devant les urnes.
Macron se traînant dans les bas fonds, les sondages annoncent Marine largement gagnante si l’élection présidentielle se rejouait aujourd’hui. Je n’en crois pas un mot.
Les médias appartenant tous à une poignée de milliardaires mondialistes et macronistes, il ne leur faudrait pas longtemps pour retourner l’opinion versatile, en agitant le spectre du retour au fascisme. Le peuple gobe tout.
Et malgré le déclassement gigantesque qu’il subit avec la mondialisation et le multiculturalisme imposés par le patronat tout-puissant, le peuple gaulois s’empresserait de faire barrage aux pires heures des années trente.
Le peuple français a le droit de vote, mais il est incapable de s’en servir à bon escient, se laissant manipuler par ceux qui veulent sa perte au nom de la mondialisation heureuse, qui veut la mort des nations et des peuples. Voilà 40 ans qu’il cautionne le mondialisme et la disparition de la France.
Nous vivons le plus grand suicide collectif de l’Histoire sans voir la tragédie qui se profile.
La dure réalité se chargera bientôt d’ouvrir les yeux de tous, avec guerre civile et ruine totale au menu. 78 ans de paix ont fait des Français un peuple de moutons sourds et aveugles, mûrs pour l’abattoir.
Jacques Guillemain, Riposte Laïque
ADDFREESTATS.COM AUTOCODE V4.0 –> Ecoutez DJMusic.fr Publié le Catégories Non classéLaisser un commentaire sur Le peuple bêle mais revote toujours pour ceux qui le mènent à l’abattoirPierre Brochand, ancien patron de la DGSE : “Les politiques ont construit leur propre impuissance… Il faut revenir à une législation nationale du droit d’asile”.
Articles : Avr. 2023 – Mar. 2023 – Fev. 2023 – Jan. 2023 – Facebook : https://www.facebook.com/profile.php?id=100069673161887
– Vos propos bruts de décoffrage ont troublé et même secoué les sénateurs. Que leur avez-vous dit ?
Je leur ai bien précisé que mon sujet n’était pas l’immigration en général et surtout qu’il fallait arrêter de dire que la France est depuis toujours un pays d’immigration. C’est faux. Cela a commencé en 1850. Il y a eu trois vagues.
La première a duré un siècle avec la venue de migrants d’origine euro-chrétienne, discrète, laborieuse, reconnaissante, régulée par l’économie et qui cherchaient à s’assimiler. Le modèle indépassable de fusion réussie.
La deuxième a commencé dans les années 1970 et n’a fait que s’amplifier. C’est un peuplement qui n’est calibré ni par l’emploi ni par le politique. Juste par des droits individuels soumis au seul juge national ou supranational. Un flux en roue libre qui nous submerge. L’écart culturel qui nous sépare des arrivants n’a aucun équivalent dans notre histoire. Tous viennent du tiers-monde, de sociétés défaillantes où règnent l’incivisme, la violence et la corruption. La majorité est de religion musulmane. Cela ressuscite une discorde religieuse dont on pensait être débarrassés depuis 1905.
La troisième vague a été déclenchée par les “printemps arabes”. Il y a aujourd’hui en France 25 fois plus de musulmans que dans les années 1960. L’islam est une civilisation totale, fière, guerrière, offensive, militante qui a très mal vécu d’être humiliée par l’Occident depuis deux siècles. La
globalisation lui a offert une opportunité, le volcan s’est réveillé. »
(…)
« Mitterrand parlait de “seuil de tolérance” ; Macron, lui, a introduit le mot “diaspora”. Pour moi, le grand préalable est de reprendre le contrôle de nos instruments juridiques. Nous sommes ligotés par ce que l’on appelle à tort l’État de droit et ses principes généraux, qui ne sont au service que des droits individuels mis en oeuvre par nos cinq cours suprêmes : la Cour de Luxembourg, la Cour de Strasbourg, le Conseil constitutionnel, le Conseil d’État, et la Cour de cassation, qui condamnent, de fait, la puissance publique à l’impuissance.
Il faut revenir à une législation nationale du droit d’asile. De Gaulle et Pompidou n’avaient pas ratifié la Convention européenne des droits de l’homme, Giscard l’a fait. C’est lui qui a voulu le regroupement familial en 1976. C’est Chirac qui a signé le décret. Apanage du Premier ministre.
Voyant le chômage augmenter, Raymond Barre l’avait suspendu, mais l’association Gisti avait saisi
le Conseil d’État, qui a annulé son décret au motif qu’un homme a le droit de mener une vie familiale
normale. Ce qui allait ouvrir les vannes d’une immigration de peuplement. L’immigration non pilotée
est désormais soumise aux juges. Pour moi, c’est l’État qui doit fixer les clôtures, dire qui peut entrer. Le juge l’en empêche. Et en conséquence, il est réduit au rôle d’agence de distribution de droits et de prestations. La France est le pays le plus généreux en Europe.
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Articles : Avr. 2023 – Mar. 2023 – Fev. 2023 – Jan. 2023 – Facebook : https://www.facebook.com/profile.php?id=100069673161887
La flambée de violence de cette semaine est le dernier épisode d’une féroce bataille opposant, par « petites mains » interposées, deux barons de la drogue en fuite à l’étranger. Marseille compte 13 morts depuis le début de l’année.
Ils s’appelaient Nassim, Mohamed, Léandre, Adlair, Lamin, Mohamed-Ali, Tarik et Kais. Ce sont huit des treize victimes d’assassinats enregistrés depuis le début de l’année à Marseille. Des meurtres avec préméditation, perpétrés le plus souvent au fusil d’assaut kalachnikov. Une série d’exécutions liée à une guerre sans merci à laquelle se livrent deux des principaux clans qui contrôlent le trafic de drogue dans la deuxième ville de France.
(…)
L’homme froidement abattu était un Gambien en situation irrégulière. Les acteurs de la lutte contre le narcobanditisme relèvent une évolution – encore une – dans le profil des petites mains du trafic, constituées désormais de migrants, venus principalement d’Algérie ou du Nigeria. « Cette nouvelle main-d’œuvre est recrutée le matin par les tenanciers des points de deal qui viennent les récupérer en fourgon devant des magasins de bricolage, comme s’ils allaient être embauchés comme ouvriers à la journée sur des chantiers », dévoile un enquêteur. Le salaire varie en fonction de la « pénibilité » de la tâche. Entre 80 et 100 euros pour un guetteur, jusqu’à 200 euros pour un vendeur.
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