Entre le 1er janvier 2019 et le 1er janvier 2020, la population résidant en France s’est accrue de 268 000 personnes, dont 140 000 au titre du solde naturel et 128 000 au titre du solde migratoire.
Le solde migratoire des seuls immigrés est de +182 000 en 2019, après +222 000 en 2018. Celui des non‑immigrés, nés en France ou nés Français à l’étranger, reste négatif, les sorties étant plus nombreuses que les entrées.
Dans un contexte de crise sanitaire, le nombre d’entrées sur le territoire en 2021 augmente par rapport à 2020 mais demeure inférieur de 13 % à son niveau de 2019. La baisse du nombre d’entrées entre 2019 et 2021 est plus forte pour les non‑immigrés que pour les immigrés.
La moitié des immigrés entrés en France en 2021 ont entre 19 et 37 ans à leur arrivée, et la moitié de ceux âgés d’au moins 25 ans sont diplômés de l’enseignement supérieur au début de l’année 2022.
Les femmes représentent chaque année plus de la moitié des nouveaux immigrés mais leur part diminue depuis le milieu des années 2010, tandis que les origines des nouveaux immigrés se diversifient.
++ WEBTUBE :Des actes d’un autre temps et d’une profonde cruauté. Certaines personnes n’ont rien à faire dans nos villes et nos campagnes. En France aujourd’hui c’est de l’inconscience de promener son chien passé 23 heures.
🔴 Chien battu à mort à Montpelliers par trois hommes qui voulaient racketter son maitre, les détails de l’affaire obtenus par @Cnews :
Les faits se sont déroulés dans la nuit du mercredi à jeudi 28 avril, aux alentours de minuit, à Montpellier (dans l’Hérault, 34). Après une… pic.twitter.com/oGLmCkzO6z
Chien battu à mort à Montpelliers par trois hommes qui voulaient racketter son maitre, les détails de l’affaire obtenus par CNews :
Les faits se sont déroulés dans la nuit du mercredi à jeudi 28 avril, aux alentours de minuit, à Montpellier (dans l’Hérault, 34). Après une longue journée de travail, et un diner avec sa conjointe, un homme de 29 ans, que l’on appellera Jérôme, a décidé de sortir la chienne dont il a la grade en l’emmenant faire une grande promenade dans le quartier du Plan des quatre seigneurs, à Montpellier.
La chienne, âgée de 8 ans et dénommée Zoé, est un croisement entre un Jack russel et un Epagneul breton (photo d’un chien de ce croisement plus bas: qui n’est donc pas Zoé).
Sa propriétaire, hospitalisée, en a confié à la garde à Jérôme quelques mois plus tôt. Cette nuit-là, aux alentours de 23h, Jérôme sort donc dans la rue avec l’animal de compagnie tenu en laisse, et commence à marcher. Après être passé devant la pharmacie des 4 Seigneurs, il décide de pousser la marche jusqu’au terrain de baseball pour pouvoir permettre à Zoé de gambader librement, sans sa laisse.
Là-bas, dans l’obscurité, ils font le tour du terrain, puis s’engagent dans un petit chemin de terre pour repartir. C’est alors que Zoé et son maitre croisent la route de trois individus aux intentions visiblement hostiles. L’un des trois hommes, le seul que la victime a été capable de décrire aux policiers (porteur d’une capuche et d’une fine doudoune noire, de “type nord-africain”, avec un léger accent de cité et âgé d’une vingtaine d’années), saisit Jérôme par le col et lui demande de lui donner le contenu de ses poches.
L’agresseur le fait ensuite chuter au sol, puis le palpe, pour être sûr qu’il n’a rien. Mécontent de ne rien trouver (Jérôme avait son téléphone rangé dans une poche au niveau du genou, qui n’a pas été fouillée), son agresseur le frappe alors au visage. Pendant ce temps, ses deux complices s’en prennent à la chienne, Zoé, et la rouent de coups de pieds. Ces coups semblent d’autant plus que gratuits que, selon son maitre, la chienne est restée immobile tout au long de l’agression, prostrée au sol, sans même aboyer, avant de partir se réfugier dans un coin.
Les trois voyous prennent finalement la fuite, non sans avoir lâché quelques éclats de rire, indique la victime dans son procès-verbal plainte. Dans les minutes qui suivent, la chienne décède des suites de ses blessures. Jérôme, quant à lui, a porté plainte pour violences aggravées (par une circonstance : la réunion) et pour sévices graves sur un animal domestique ayant entrainé la mort. Le préfet de l’Hérault, Hugues Moutouh, a fait part de son indignation dans un tweet, face à un « acte odieux ». Il indique que « tout est mis en œuvre pour retrouver les auteurs ». Sollicité par
Cnews, le parquet de Montpellier n’a pour le moment pas réagi.
28/04/2023
Trois jeunes ont agressé un homme de 29 ans pour lui faire les poches dans la nuit de mercredi à jeudi à Montpellier. Ils s’en sont ensuite pris à la chienne qu’il promenait. Ils ont tué la Jack Russel à coups de pieds. La police est à leur recherche.
Mercredi soir vers minuit, un homme de 29 ans promène la chienne d’une amie hospitalisée, cela faisait 6 mois qu’il en occupait. Il venait de faire une grande balade rue des 4 vents et rue du Pic Saint-Loup quartier du plan des 4 Seigneurs. Lorsqu’ il est abordé par trois hommes particulièrement agressifs qui lui demande de l’argent. Il n’a rien sur lui. Le premier le met à terre pour lui faire les poches mais il n’arrive même pas à trouver son téléphone dans son pantalon de survêtement.
La chienne n’avait pourtant manifesté aucune agressivité
Très frustré les deux autres s’en prennent à la chienne, une Jack Russel de 8 ans qui n’a pourtant pas bougé. “Zoé était prostrée” raconte l’homme agressé, “elle ne comprenait rien. Ils lui ont donné de violents coups de pied dans le thorax et sont repartis en rigolant”.L’homme a tenté de la ranimer en vain, Zoé est morte dans ses bras quelques minutes après l’agression.”
Il a déposé plainte pour violences aggravées pour les coups qu’il a lui même reçus, mais aussi pour sévices graves et actes de cruauté envers un animal domestique ayant entrainé la mort.
Depuis plus d’un mois, l’espace médiatique est saturé par la crise bancaire qui sévit depuis la faillite de la SVB, la Silicon Valley Bank. Pourtant, avant ce dramatique événement et la perte monumentale enregistrée sur les portefeuilles obligataires, il ne fut pas oublier l’autre sujet qui s’est imposé à nous depuis le début d’année 2022. Un sujet que nous n’avions pas connu depuis quelques décennies : l’inflation. A coup de politique monétaire et de hausses de taux importantes, la FED et la BCE ont fait de leur mieux pour endiguer la hausse des prix. Mais les effets tardent à se montrer. Dans l’intervalle, les entreprises ont consentis des hausses de salaires pour que l’inflation soit un peu plus supportable. Mais cela a généralement pour conséquences de générer une boucle prix-salaire dans laquelle l’inflation ne trouve plus sa cause dans le facteur originel mais bien dans la hausse des salaires. Une telle situation ne fait que maintenir l’inflation et retarde donc le moment où les taux des banques centrales pourraient se permettre de baisser. Seulement voilà, lorsqu’une crise bancaire s’intercale dans cette conjoncture bien morose, cela n’augure rien de bon. Cette crise rappelle la fragilité de notre système et n’est pas sans faire écho à la crise de 2008 qui nous a laissé un âpre souvenir. Ce sont bien les portefeuilles obligataires qui ont pris une claque majuscule, alors même que ces actifs sont jugés – souvent à tort – moins risqués que les placements en actions par exemple. Avec une perte record sur les 150 dernières années, on peut se demander ce que cela va induire pour les investissements futurs, car au final, une obligation n’est jamais qu’une dette consentie pour un investissement donné. Si les portefeuilles obligataires dégringolent, alors l’épargne que ces actifs va capter va aussi s’écrouler. Cette épargne risque de glisser vers des actifs réputés sûrs et invariables tels que l’or. Mais l’or est inerte et ne développe pas l’économie. Ainsi, avec la chute des portefeuilles obligataires, c’est bien le tissu économique qui est menacé. menacé par une crise d’insuffisance d’épargne.
« Notre langage est-il important ? Pourquoi certains mots ne sont plus acceptables » Ce 25 avril, la direction générale du personnel du Parlement européen conviait l’ensemble des employés de l’institution à participer à une séance de questions-réponses sur le thème du… racisme par le langage ! Cette conférence en ligne, à l’image de la Semaine internationale contre le racisme organisée à la fin du mois de mars, illustre l’entrisme du wokisme au sein des institutions européennes.
Pas de racisme anti-Blancs
Contrairement aux apparences, l’événement de ce 25 avril n’a pas été organisé par une poignée de militants woke. « Au contraire, tout cela est très institutionnalisé », note Jean-Paul Garraud, député européen du Rassemblement national. Joint par BV, le parlementaire précise : « Ce n’est pas une initiative politique mais administrative, prise par la direction générale du personnel, et plus particulièrement par l’unité Inclusion, Égalité et Diversité. » En effet, dans un courriel que BV a pu se procurer, on découvre que l’administration européenne invite ses collaborateurs à « se pencher sur le rôle joué par la langue dans la lutte contre la discrimination raciale ». Au programme : près d’une heure de discussion animée par Susan Arndt, professeur d’études anglaises et de littérature à l’université de Bayreuth (Allemagne). Le profil de cette chercheuse a de quoi interroger. Auparavant enseignante de culture africaine, cette figure des études critiques sur la « blanchité » a notamment travaillé sur le sexisme, le racisme, le féminisme et, plus largement, sur l’intersectionnalité. Dans l’un de ses articles sur la « décolonisation de la langue », elle écrit ainsi : « Notre langue est encore empoisonnée aujourd’hui, notamment avec les héritages racistes de l’ère coloniale. »
Des propos, inspirés des théories décoloniales et antiracistes qu’elle réaffirme et amplifie devant le personnel du Parlement européen. Dans un extrait vidéo, tiré de cette séance de questions-réponses que BV a pu visualiser, l’enseignante affirme ainsi : « Le racisme a été inventé pour légitimer les conquêtes coloniales. […] Le racisme a été inventé par les Européens. » Et quelques minutes plus tard, à la question « Tout le monde peut-il être victime de racisme ? », Susan Arndt répond : « Un Blanc peut se sentir discriminé (il peut être victime de sexisme, par exemple). Mais ce n’est pas du racisme. » La chercheuse réfute catégoriquement l’existence d’un racisme anti-Blancs. Au contraire, elle insinue qu’être blanc, même si ça ne fait pas une mauvaise personne, prédispose à des comportements racistes.
Ces propos font écho à ceux tenus, au mois de mars, par la même Susan Arndt et sa consœur, Rolade Berthier, professeur d’anglais, invitées lors de la Semaine contre le racisme. Dans un entretien au magazine News Hound, relayé sur l’Intranet du Parlement européen, Susan Arndt affirmait ainsi que « le racisme a toujours été le glaive et le bouclier du colonialisme ; il servait à légitimer la suprématie blanche par l’affirmation d’une supériorité blanche. » De son côté, Rolade Berthier expliquait à des membres du personnel que certains mots ne devaient plus être employés, tels que « blacklist » – car renforcerait la notion que « le noir est indésirable et le blanc est désirable » – ou « immigrant illégal » – car « un immigrant est un être humain et un être humain ne peut être illégal ».
Pour Jean-Paul Garraud, l’organisation de ces deux événements par l’administration du Parlement européen montre que le wokisme est devenu « l’idéologie propre de l’institution ». Si le phénomène n’est pas nouveau, il s’accélère aujourd’hui, porté par des parlementaires « qui en font des tonnes avant 2024 et les prochaines élections européennes », se désole l’eurodéputé. Ainsi, selon nos informations, il aurait été évoqué que des réunions de ce genre, sur l’antiracisme mais également sur d’autres thèmes, se tiennent une fois par mois. Le Parlement européen prévoirait déjà un événement pour le 2 décembre prochain, journée de l’abolition de l’esclavage.
++ WEBTUBE :On se tire une balle dans le pieds avec ces clandestins que l’on accueille à bras ouverts…. et en plus ça nous coûte un pogne de dingue !
Paradoxe français : pour contrôler l’immigration massive et irrégulière qui arrive à ses portes, l’État français a, depuis plusieurs décennies, fait le choix de confier l’accueil, l’hébergement et le suivi des migrants à des ONG pro-migrants. Résultat : à l’heure de la clôture des comptes, la note se révèle à chaque fois très salée. Dans une réponse à la sénatrice centriste de l’Orne, Nathalie Goulet, le ministre de l’Intérieur confirme ainsi avoir versé, en 2021, 750 millions d’euros à près de 1.350 associations de soutien aux migrants, au titre de la mission « Immigration, asile et intégration ». Un montant élevé auquel il convient d’ajouter les subventions versées par de nombreuses collectivités locales – régions, départements et communes – qui savent se montrer généreuses, notamment en matière d’immigration. Ainsi que les aides européennes, notamment les crédits du « Fonds européen Asile, Migration, Intégration (FAMI) qui représentent, sur la programmation 2014-2020, 46,5 millions de subventions effectives à destination du secteur associatif », rappelle la Place Beauvau.
L’État délègue ses missions régaliennes
Si ces montants semblent pharaoniques, c’est que l’État, en matière de gestion et contrôle des migrants, délègue de nombreuses missions régaliennes au secteur associatif. Côté asile, des associations, spécialisées dans l’hébergement des plus précaires, se sont ainsi vu attribuer la gestion du volet « accueil et logement » des migrants. Parmi ces associations, on trouve notamment Viltaïs, qui ouvre des centres d’accueil pour demandeurs d’asile (CADA) aux quatre coins de la France. Une mission qui lui permet de bénéficier de plus de 8 millions d’euros de subventions versés directement par l’État, sans compter les aides des collectivités locales. Equalis, épinglée à plusieurs reprises pour le train de vie dispendieux de ses dirigeants, gère également plusieurs structures d’hébergement de migrants.
Une fois ces migrants logés et nourris, d’autres associations entrent en scène pour aider l’État à examiner leurs dossiers. À Paris par exemple, France terre d’asile – l’une des associations les plus subventionnées en matière d’immigration – a récupéré, en juin dernier, l’accueil des mineurs non accompagnés. Sa mission : mettre à l’abri et procéder à l’évaluation de la minorité des migrants accueillis. Et quand elles ne sont pas directement mandatées par l’État pour assurer certaines de ces missions, de nombreuses ONG pro-migrants réussissent tout de même à récupérer de nombreuses subventions.
L’ennui est que ces associations ne poursuivent pas le même but que l’État. Alors que l’exécutif entend lutter contre l’immigration irrégulière et, dans certains cas, freiner le nombre d’arrivées sur le territoire national, ces ONG militent pour un « accueil inconditionnel » des migrants. En effet, nombre d’entre elles n’ont aucun intérêt à ce que l’immigration de masse cesse. Au contraire, ces arrivées massives et leur gestion représentent une manne financière non négligeable. Ainsi, les subventions publiques représentent 34 % du budget de la Cimade, 10% du budget du Groupe d’information et de soutien aux immigrés (GISTI) et jusqu’à près de 100 % du budget de France terre d’asile (qui préfère parler de « dotations » plutôt que de subventions). Dès lors, ces associations œuvrent donc – par intérêt idéologique et financier – pour soutenir l’immigration. La Cimade, par exemple, aide les migrants à écrire leur récit avant de passer devant l’Office français de l’immigration et l’intégration (OFII), quitte à mentir pour obtenir plus facilement un titre de séjour. Sur son site Internet, l’association propose également une assistance juridique pour contourner une obligation de quitter le territoire français (OQTF).
Le paradoxe va même plus loin. Il arrive que certaines de ces ONG attaquent l’État, qui pourtant les finance, en Justice. C’est notamment le cas de la Cimade et de la Ligue des droits de l’homme, qui ont saisi, en 2019, la justice administrative pour « dénoncer la complicité de la France dans les violations des droits humains (sic) en Libye ». Un an plus tôt, une trentaine d’associations pro-migrants mettaient en cause, devant le Conseil d’État, une circulaire visant à permettre les contrôles d’identité des étrangers dans leur centre d’hébergement. Alors qu’un nouveau projet de loi sur l’immigration se profile, l’exécutif aura-t-il le courage et la ténacité pour reprendre la main sur la gestion de l’immigration ?
Cet humoriste est extraordinaire. Pour plusieurs raisons. D’abord, contrairement aux Guignols de France Inter ou à Yassine Belattar, lui, il est vraiment drôle. Il ne cache pas ses idées plutôt très à droite. Et il n’est même pas Français ! Il a la double nationalité, slovéno-suisse ! Et son vrai nom, c’est Gašper Pust. Mais il a étudié dans les écoles françaises, en Algérie, notamment. Et comme Choupinet, c’est un banquier, mais il en a eu marre de gagner de l’argent !
Mais il a du génie. Il travaille tous les jours avec Dimitri (Pavlenko), un Ukrainien d’origine, Sonia (Mabrouk) et Anissa, très souriante et très agréable. Et il peut tout se permettre, tout passe, avec lui, c’est cela, son génie ! Stéphane Guillon avait l’humour méchant et un rictus haineux, lui il est méchant avec le sourire, en faisant rire, c’est totalement différent. Et cela marche, ils en demandent tous et restent sur le plateau, après l’entretien avec Sonia Mabrouk.
Et les politiques en redemandent, ils reviennent. Un magicien, vous dis-je…
Le jeûne obligatoire est anachronique et inadapté aux besoins d’une société laïque et moderne
Le ramadan, fête religieuse islamique durant laquelle il est interdit de manger et même de boire du lever au coucher du soleil pendant un mois, est considéré comme l’un des cinq piliers de l’islam, que tout bon musulman – à partir de l’âge de la puberté (c’est-à-dire vers 7 ans) – est tenu d’observer. Il ne s’agit donc pas d’un libre choix, mais d’une obligation religieuse inscrite dans le Coran (sourate 2, versets 183-187). À tel point que dans les pays islamiques, celui qui ne la pratique pas en pensant qu’elle n’est pas obligatoire est considéré comme un apostat passible de la peine de mort. “Quant à celui qui ne la pratique pas par paresse, certains juristes envisagent de le tuer, d’autres de le châtier et de l’emprisonner jusqu’à ce qu’il meure ou se repente” : ainsi écrit le grand spécialiste de l’islam, le Dr Sami Aldeeb, citoyen suisse et chrétien d’origine palestinienne (lauréat en 2019 du prix “Swiss Stop Islamization”), dans son très intéressant livre “Comparaison entre les normes suisses et musulmanes”.
Une obligation anticonstitutionnelle “De nombreux pays musulmans – lit-on dans son livre – punissent toute violation publique du jeûne même par des non-musulmans” et dans ces pays “les horaires à l’école et au travail sont allégés et organisés pour répondre aux exigences religieuses durant ce mois”. Par exemple, la journée de travail se termine vers 15 heures. On pourrait dire que chaque pays est libre de faire ce qu’il veut chez lui. Mais attention à l’islamisation rampante qui nous touche de plus en plus près : “Les musulmans – écrit Aldeeb – essaient d’imposer le jeûne du ramadan à leurs coreligionnaires, même en Occident”. Et peut-être qu’un jour, lorsque l’islam dominera en Europe, nous, les incroyants, serons également punis si nous rompons le jeûne en public…
Pour les fanatiques islamistes qui visent à islamiser notre continent en essayant d’empêcher l’intégration des musulmans dans notre société, le ramadan est une occasion en or d’exercer une surveillance et un contrôle social sur leurs coreligionnaires, en particulier dans les quartiers islamiques qui se multiplient dans les villes européennes, et de rappeler à l’ordre et menacer ceux qui transgressent les règles. Mais une telle obligation n’est pas non plus acceptable au nom de la liberté religieuse, car elle va à l’encontre de la Constitution suisse (art. 15 §4), qui stipule que “nul ne peut être contraint d’adhérer à une communauté religieuse ou d’en être membre, ni d’accomplir un acte religieux ou de suivre une instruction religieuse”.
Questions de sécurité et de productivité Il est bien connu que les règles totalitaires en vigueur dans l’islam (c’est-à-dire la charia) n’accordent aux musulmans aucune liberté de choix dans aucun domaine de leur vie, et il est donc vain d’attendre des autorités islamiques qu’elles décident de sortir du Moyen-Âge en déclarant que certaines pratiques – comme les cinq prières rituelles quotidiennes, ou le port du voile – ne sont pas obligatoires. Mais, en ce qui concerne le ramadan, il serait bon de commencer à se demander s’il est compatible avec les besoins et l’organisation de la société occidentale, d’autant plus dans le cas de l’obligation mais aussi du libre choix.
Dans un article publié en 2018 dans le magazine “Le vif” (https://goo.gl/sK9SJU), la ministre danoise de l’immigration et de l’intégration de l’époque, Inger Stojberg, avait écrit : “J’invite les musulmans à prendre congé pendant le mois du ramadan afin d’éviter des conséquences négatives pour le reste de la société danoise. Je me demande si l’impératif religieux d’observer un pilier de l’islam vieux de 1400 ans est compatible avec la société et le marché du travail que nous avons au Danemark”. La ministre a ajouté qu’elle craignait les effets du jeûne “sur la sécurité et la productivité”, par exemple dans le cas des chauffeurs de bus qui n’ont pas mangé ou bu pendant plus de 10 heures, “parce que cela peut être dangereux pour nous tous”.
Comment la blâmer ? Et qui vérifie, par exemple, que pendant le ramadan, les enfants et adolescents musulmans scolarisés sont obligés par leurs parents de jeûner du lever jusqu’au coucher du soleil ? Et qui nous assure que, pendant le mois de jeûne (surtout lorsqu’il coïncide avec les mois les plus chauds), les musulmans pratiquants qui sont au volant d’un moyen de transport public ou privé, ou qui exercent des activités professionnelles à risque, ne constituent pas un danger pour les autres ?
Le mois de la violence et du djihad Il est également prouvé que, surtout dans les pays islamiques, le ramadan coïncide avec une augmentation de la violence, en raison des effets négatifs que le jeûne quotidien combiné à des excès nocturnes a sur la santé physique et mentale. Ce phénomène a été documenté par Sami Aldeeb dans un article publié sur son site web “Savoir ou se faire avoir” le 12 décembre 2018, dans lequel il soutient, entre autres, que les compagnies d’assurance devraient facturer une surcharge pour “risques accrus” aux musulmans qui jeûnent pendant le ramadan. Dans ce même article, Aldeeb souligne que “les mouvements terroristes accordent au mois de Ramadan une importance particulière et incitent les musulmans à commettre des attentats contre les mécréants pour commémorer l’exemple de Mahomet, qui a mené des batailles pendant ce mois”. Une affirmation également reprise, en citant divers exemples, dans un article rédigé par Amin Abdelmajid et Christian Bibollet et publié le 24 avril 2021 sur le site de l’Institut pour les Questions Relatives à l’Islam (IQRI). Les deux auteurs rapportent que “durant le mois de jeûne, les musulmans doivent consacrer tous leurs efforts à l’observance des prescriptions du Coran”, et que le djihad – c’est-à-dire la guerre sainte pour la propagation de l’islam dans le monde – “est bien le précepte le plus important de l’islam”.
Ce n’est pas un hasard, poursuivent les auteurs, si la deuxième sourate du Coran, celle qui prescrit le jeûne du ramadan, est celle qui prescrit également le djihad au verset 216, dans le même contexte : un mot, celui-ci, désigné en arabe dans le verset en question par le terme Qital, qui signifie “combattre pour tuer avec la possibilité d’être tué” ; il ne s’agit donc pas d’un combat de type spirituel, comme le prétendent les astucieux représentants des Frères musulmans pour tenter de dissimuler la relation inquiétante entre le ramadan et le djihad à une société occidentale qui préfère qu’on lui dise que l’islam est une religion pacifique. Peut-être qu’avant de souhaiter aux musulmans un “bon ramadan” et de participer à la célébration de la fête de clôture (l’Aïd-el-Fitr) dans les mosquées ou sur les places, certains politiciens et journalistes devraient se pencher sur la véritable signification de ce “pilier” obligatoire de l’Islam, anachronique et liberticide…
++ WEBTUBE :Peut-être le même sort pour nos mamies en France dans quelques années…Déjà beaucoup d’agressions de personnes âgées à leur domicilie dans les villes moyennes….. Nos frontières sont ouvertes au quatre vents et laissent entrée toute la misère du monde…. Un désastre !
Elodè est ce que les Afrikaners appellent une “tannie”, une “tantine” en français, c’est à dire une vieille dame d’un âge respectable.
Ce dimanche, Elodè a été agressée à son domicile d’Edenburg dans le “Vrystaat”, l’Etat libre d’Orange, par trois Noirs aux cris de “Kill the Boer”, la chanson de haine à l’encontre du peuple afrikaner chanté habituellement dans les meeting de l’EFF, le parti extrémiste et raciste noir de Julius Malema.
Elodè a été laissée pour morte mais a réussi à survivre à ses blessures. Retrouvée blessée par des proches qui l’attendaient pour un anniversaire, elle est actuellement hospitalisée.
L’EFF encourage régulièrement les agressions et l’expropriation sauvage des Blancs.
Survenant après plusieurs tentatives de meurtres de “boers” (fermiers blancs), cette agression provoque une importante émotion dans la communauté afrikaner et ne manquera pas d’accentuer la fuite du pays par la communauté blanche.
Depuis la prise de pouvoir par l’ANC et la communauté noire, l’Afrique du Sud est devenue un enfer racial, économique et sécuritaire, notamment pour les Blancs dont les nombreux afrikaners présents dans le pays depuis le XVIIè siècle.
Les rodéos urbains empoisonnent la vie des Français, tant dans les quartiers « sensibles » que dans des zones pavillonnaires plus tranquilles et dans les centres-villes. 3 Hexagonaux sur 4 seraient désormais favorables à ce que les autorités engagent des courses-poursuites afin d’arrêter les auteurs de ces conduites sauvages, et ce, malgré le caractère dangereux d’une telle traque.
Rodéos urbains : une autre spécialité brestoise…
Toujours en pointe sur les dernières tendances importées en Bretagne depuis les banlieues françaises, nous n’avions pas manqué d’informer nos lecteurs, depuis plusieurs années déjà, du « succès » que rencontraient les rodéos urbains dans la région…
Ces rodéos, décrits par nos soins et à juste titre comme étant l’un des symboles de la « culture racaille », représentent ainsi un marqueur supplémentaire de l’ensauvagement des sociétés bretonne et française. On doit notamment leur popularisation auprès des jeunes générations aux clips de rap. Parmi les images les plus célèbres, celles du gang des Dalton, un collectif de rappeurs lyonnais qui, en 2021, narguait chaque fin de semaine la police lors de rodéos urbains.
Dans la banlieue de Lyon justement, la municipalité socialiste de Vaulx-en-Velin avait eu une idée « révolutionnaire » au printemps 2021 pour tenter d’endiguer le phénomène des rodéos urbains : proposer une activité « motocross », encadrée et sécurisée sur des circuits homologués, aux « jeunes » de la ville. Aux frais de la mairie.
En attendant, c’est du côté de Brest que les rodéos urbains ont refait parler d’eux ces derniers jours. Le 18 avril, Breizh-Info relatait la violente agression subie par un habitant du quartier « sensible » de Bellevue le dimanche 16 avril. La victime avait eu l’outrecuidance de demander à des individus de cesser les rodéos urbains qu’ils étaient en train de faire. Mal lui en a pris. Il s’est fait prendre à partie, puis frapper à la batte de baseball par une bande de 20 sauvages. Et a également reçu un coup de couteau avant de finir la soirée à l’hôpital…
76 % des Français favorables aux courses-poursuites contre les auteurs
C’est donc dans ce contexte d’ensauvagement maximal qu’un sondage réalisé par l’Institut CSA pour le compte de la chaîne CNews a révélé le 19 avril l’exaspération d’une majorité de Français face à ces rodéos urbains. Détail important, l’enquête d’opinion en question a été réalisée les 4 et 5 avril 2023 sur un panel représentatif de 1 010 personnes âgées de 18 ans et plus, soit plusieurs jours avant la violente agression de Brest et sa médiatisation à l’échelle nationale.
Mais au début de ce mois d’avril, les Français interrogés étaient déjà 76 % à se dire favorables à ce que la police puisse enclencher des courses-poursuites contre les auteurs de rodéos urbains, même si cela est dangereux.
Pourtant, comme le précise CNews, les fonctionnaires de police, bien que n’étant pas officiellement interdits de prendre en chasse les conducteurs, ont reçu une note de service (la note 89) affirmant que les poursuites d’un véhicule ne doivent être liées qu’à des faits d’une grande gravité. Sont considérées comme telles la fuite ou l’évasion d’un individu dangereux ou encore la traque d’un auteur d’un crime de sang.
À lire entre les lignes, on comprend donc aisément que les policiers ne sont pas incités à prendre des risques pour stopper la course de quelques conducteurs de deux-roues agités… Pour leur part, certains syndicats policiers ont déploré un tel laxisme.
65 % des sympathisants de gauche excédés par les rodéos urbains ?
Un sentiment qui serait donc partagé par une large partie des Français, toutes générations confondues, puisque les résultats du sondage montrent que toutes les tranches d’âge sont favorables à la poursuite des auteurs des rodéos urbains (de 69% pour les 25-34 ans, à 80% pour les 65 ans et plus).
En ce qui concerne les opinions politiques, on observe également un certain consensus quelles que soient les tendances puisque l’approbation de ces courses-poursuites policières afin d’arrêter les auteurs de rodéos urbains dépasse les 60 % pour toutes les affinités politiques. Même les sympathisants de La France insoumise (LFI) sont 67 % à se prononcer en faveur d’une telle action.
De l’autre côté du spectre politique, cette idée séduit 84% des sympathisants du Rassemblement national et 95% de ceux de Reconquête.
Pour mesurer l’ampleur du phénomène, il faut savoir que depuis le 3 mars 2023, gendarmes et policiers ont déjà dressé 7 000 verbalisations sur le territoire national selon les chiffres du ministère de l’Intérieur. En parallèle, plus de 100 deux-roues ont été confisqués à leur propriétaire. Ou supposés comme tels…