Dégringolade de la maison Disney : comme quoi la cancel culture peut coûter cher…

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Le 11 mai dernier, on pouvait lire, dans Le Figaro Économie, que le cours de Disney « a plongé de 32 % depuis le début de l’année », et « encore reculé de plus de 3 % mercredi soir […] après la clôture du New York Stock Exchange ». Conclusion de l’épisode : « Disney reste une des valeurs qui a le plus chuté en quatre mois, parmi les 30 actions représentées dans l’indice Dow Jones. » Cela, même si la fréquentation des parcs du même nom a repris avec le boom du tourisme post-Covid.

On apprend, aujourd’hui, que la cote de popularité de la grande maison est elle aussi sur la pente savonneuse. C’est ce qui ressort d’un sondage réalisé par Hart Research Associates/Public Opinion Strategies à la demande de NBC News auprès de 1.000 adultes interrogés du 5 au 10 mai. Soit une chute de 77 % à 33 % d’opinions favorables en un an.

Il faut dire que « plus “genrément” correct que Disney, tu meurs ! » La maison de Mickey se veut, en effet, en pointe dans la lutte contre les discriminations de tout poil. Aussi a-t-elle entrepris, dans cette optique, de revisiter tous les classiques ou presque qui ont enchanté notre enfance. Et s’ils ne le sont pas, ils sont interdits au visionnage des enfants sur Disney+ sans un consentement parental explicite.

Parmi les célébrités visées par les nouveaux gardiens de la vertu, citons :

Les Aristochats : désormais affublés d’un message de prévention et réservés aux profils adultes. La cause : un stéréotype envers les Asiatiques avec le chat siamois qui a les yeux bridés. Idem pour La Belle et le Clochard. Même sanction pour Peter Pan en raison de la façon dont les Peaux-Rouges sont représentés dans le film. Dans Dumbo, ce ne sont pas les grandes oreilles de l’éléphant qui posent problème mais une scène, devenue inregardable, où les corbeaux font caricaturalement référence à des Afro-Américains chantant le blues.

En mai 2021, une nouvelle polémique a touché Blanche neige et les sept nains, valeur sûre des parcs à thèmes qui s’est refait une jeunesse pour la réouverture post-Covid. Des travaux et de petites nouveautés ont été ajoutés sur certaines attractions, nous dit-on, notamment la scène mythique du baiser du prince venu dire adieu à Blanche-Neige, endormie par le poison de sa méchante belle-mère. Deux journalistes du San Francisco Chronicle s’en sont vivement indignées : comment Blanche-Neige peut-elle être consentante puisqu’elle dort ?

My body, my choice… Elles réclament une autre fin : « Ne sommes-nous pas d’accord pour dire que le consentement, dans les premiers films de Disney, est un problème majeur ? argumentent-elles. Ou qu’il faut apprendre aux enfants qu’embrasser, quand il n’a pas été établi que les deux parties ont la volonté de s’engager, ne se fait pas ? Il est difficile de comprendre pourquoi Disneyland, en 2021, fait le choix d’ajouter une scène aux idées si rétrogrades sur ce qu’un homme est autorisé à faire à une femme. » Etc.

Il faut que les petites filles aillent au bout de leurs rêves, a dit Mme Borne, mais pas question de rêver au prince charmant. On peut chanter « Nous entrerons dans la carrière » mais pas « Un jour, mon prince viendra ». C’est caca !

Problème : priver Blanche-Neige de son prince et introduire un Jedi transsexuel dans le prochain Star Wars risque de se révéler aussi très caca pour les actionnaires de Disney… Sans compter les démêlés de la firme avec Ron DeSantis, le sénateur républicain de Floride et sa loi baptisée « Don’t Say Gay » par ses détracteurs démocrates. Destinée à encadrer l’enseignement scolaire, elle entend lutter contre « l’influence de la théorie du genre et de la théorie critique de la race ». Du côté de Disney, on prétend ne faire que répondre aux exigences des salariés (80.000 en Floride) par une politique propre à « satisfaire toutes les sensibilités, intérêts et préférences ».

Est-ce que ça satisfait le public ? On dirait bien que non.

Marie Delarue, Boulevard Voltaire

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Celui qui appelait à décapiter Christine Kelly est… un antifa

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Le 18 novembre 2021, la journaliste Christine Kelly, qui anime « Face à l’info » sur CNews, évoque un message personnel dont elle est la cible : « Le couperet tombera immanquablement sur votre tête bien faite. La guillotine médiatique est en marche. » D’autres qu’elle auraient hurlé au racisme systémique et à la misogynie d’État. Mais pas la reine Christine, qui se contente de tweeter en retour : « La volonté de me voir décapitée, la détermination de me l’envoyer par mail ne changera rien aux idées des uns et des autres. Chacun reste libre. Avec ou sans moi. »

S’ouvrira bientôt le procès de l’apprenti coupeur de têtes, rapidement identifié par les forces de l’ordre. De qui s’agit-il ? D’un militant antifa, informaticien de métier, répondant au nom de Patrick B. et se définissant comme « militant antiraciste ». Petit détail : Patrick B. est camerounais. Comme quoi le racisme a le don de partout se nicher.

Il va sans dire que cette affaire n’a guère ébranlé le microcosme politico-médiatique. Et on imagine sans peine que si les rôles avaient été inversés, qu’un militant du Rassemblement national avait menacé une Rokhaya Diallo du même sort, la mobilisation humaniste aurait causé un peu plus de bruit. Au-delà de la sempiternelle question du deux poids deux mesures, argument certes pertinent, mais jusqu’à la corde usé, il paraît autrement plus intéressant de se poser quelques menues questions sur le féminisme antiraciste d’une mouvance si portée à la déconstruction du réel qu’elle en parvient à déconstruire son propre discours.

Tant qu’à faire, on remarquera que ceux qui tiennent la nomination d’Élisabeth Borne à Matignon pour une victoire de cette même cause féministe sont les mêmes à avoir fait barrage à une autre femme, Marine Le Pen, afin de l’empêcher d’accéder à l’Élysée.

Au fait, pourquoi ne pas laisser le mot de la fin à Christine Kelly qui, dans son dernier ouvrage, Libertés sans expression, affirme : « Nous sommes à l’heure où l’inversion des valeurs abîme la société : se trouvent paradoxalement menacés ceux qui sont des remparts contre les différentes formes de censure. Et si l’on ne peut ni convertir la bêtise en intelligence, ni interrompre ce désastre sous-estimé que sont les nouveaux intégrismes, au moins peut-on encore écrire des livres… »

Voilà qui est intelligemment et joliment dit. Vive Christine Kelly !

Nicolas Gauthier, Boulevard Voltaire

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Gouvernement : la fine équipe ?

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On ne peut pas dire qu’Emmanuel Macron se sera précipité pour que soit formé le nouveau gouvernement. Sa réélection remonte à pratiquement quatre semaines et son second mandat a commencé officiellement samedi dernier. L’art de faire durer le plaisir et de gagner du temps avant les élections législatives, cette formalité administrative barbante à laquelle il faut encore se soumettre avant de reprendre les affaires sérieuses. En déplacement aux Mureaux, ce jeudi 19 mai, le nouveau Premier ministre, Élisabeth Borne, se payait même le luxe de se moquer du monde en déclarant, aux journalistes qui l’interpellaient : « On veut la meilleure équipe, ne vous impatientez pas… On y travaille [en se rendant « sur le terrain » ?] et vous verrez ! On ne va pas se mettre la pression. » C’est vrai, ça, la France a tout son temps. Mais on se demande ce qu’a fait tout ce beau monde, depuis le 24 avril ?

Mais c’est fait. Enfin. Le secrétaire général de la présidence, Alexis Kohler (photo), celui qui gouverne en vrai la France en binôme avec Emmanuel Macron, est apparu sur le perron de l’Élysée, selon la tradition, pour annoncer la liste des ministres. La cérémonie est moins palpitante qu’autrefois à cause des réseaux sociaux qui font tourner depuis plusieurs jours les noms et les têtes, tout du moins pour ceux qui s’intéressent encore à la politique dans ce pays. Évidemment, ce gouvernement Borne 1 – car il y aura probablement un Borne 2 après les législatives – répond à tous les labels de qualité exigés de nos jours : parité quasi parfaite, contrôle des patrimoines et des déclarations fiscales, écoresponsabilité, Europe à tous les étages et jeunesse, parce que la jeunesse, c’est important. Soulignons que la liste des éconduits ou des non-retenus est tout aussi intéressante que celle des nominés.

Ainsi, Jean-Yves Le Drian quitte le gouvernement après dix ans sans interruption à la tête de deux ministères régaliens : la Défense sous Hollande, les Affaires étrangères sous Macron. Présenté comme un poids lourd de la politique, on retiendra que c’est sous son ministère que le Quai d’Orsay est devenu le ministère de l’Europe et des Affaires étrangères : un symbole ! Que l’influence de la France n’a cessé de reculer en Afrique : une réalité ! Pour lui succéder, Catherine Colonna, cette inconnue du grand public, ministre délégué aux Affaires européennes dans le gouvernement Villepin de 2005 à 2007, coche pas mal de cases du cahier des charges : une femme au Quai d’Orsay (la deuxième de l’Histoire après Michèle Alliot-Marie), une des rares femmes à avoir été élevées à la dignité d’ambassadrice de France et, actuellement, ambassadrice de France au Royaume-Uni. Une désignation qui vise probablement à essayer de raccrocher la barque anglaise au paquebot européen. L’Europe dans le viseur.

Autre éconduit, Jean-Michel Blanquer. Le mouton à cinq pattes du début du premier quinquennat Macron, présenté comme une sorte de Jules Ferry du nouveau monde, est donc remercié. Est-ce sa défense d’une laïcité de stricte observance et son combat contre le wokisme qui lui auront coûté son licenciement ? En tout cas, la nomination de Pap Ndiaye pour lui succéder est un message clair et net : ce normalien et agrégé est actuellement directeur du musée de l’Histoire de l’immigration. En 2005, lorsque fut créé le Conseil représentatif des associations noires (CRAN), il intégra son conseil scientifique. Ceux qui attendaient que l’on enseigne « Nos ancêtres les Gaulois » pour « faire nation » seront servis.

Outre la nomination de Colonna et Ndiaye et la promotion de personnalités comme Amélie de Montchalin, nommée à la Transition écologique et à la Cohésion des territoires, ou Sébastien Lecornu, aux Armées, pas d’autres grandes surprises. Si, peut-être, le nouveau ministre de la Culture Rima Abdul-Malak qui, elle aussi, coche toutes les cases, voire plus. On retiendra surtout qu’Emmanuel Macron a puisé dans sa garde rapprochée pour trouver un ministre de la Culture, puisqu’elle était jusqu’à présent conseillère Culture à l’Élysée. Roselyne Bachelot va donc pouvoir poursuivre sa retraite, depuis longtemps bien méritée, sous d’autres cieux. Peut-être un retour aux « Grosses Têtes » de Ruquier ?

Sinon, pour le reste, pas grand-chose de nouveau. Le Maire et Darmanin restent à leur poste en piliers du dispositif macronien, respectivement numéros deux et trois dans l’ordre protocolaire du gouvernement. Un premier clin d’œil, tout de même, avec le transfert de Véran aux Relations avec le Parlement. Les députés se souviendront peut-être du jour où il avait littéralement « pété les plombs » en demandant aux députés qui le chahutaient de sortir de l’Hémicycle… Autre clin d’œil encore – d’aucuns diront bras d’honneur : malgré sa mise en examen, Éric Dupond-Moretti reste à la Chancellerie. Comme dans toute tragédie – ou comédie -, il faut un traître : il a pour nom Damien Abad, ministre des Solidarités, qui, à la veille de sa nomination, se désolidarisait des prises de position des LR, son parti d’origine qui n’en finit pas d’agoniser. Enfin, un tout dernier clin d’œil : on note l’absence remarquée de Christophe Castaner dans cette fine équipe.

Georges Michel, Boulevard Voltaire

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Ukraine : une humiliante défaite de l’Otan se profile, une de plus !

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L’inéluctable victoire de Poutine signera une énième humiliante défaite de l’Otan, ce qui devrait calmer les délires antirusses rabâchés sur nos chaînes TV.

Après l’Irak, la Libye, la Syrie, l’Afghanistan, l’Ukraine sera un nouveau fiasco de l’interventionnisme occidental, malgré les 60 milliards d’aides apportées à Kiev, dont la partie financière va s’évaporer dans les dédales de la corruption gigantesque du pays, et dont la partie militaire va subir les tirs de missiles russes en passant la frontière.

Au plan économique, les sanctions se retournent contre les Européens. Marc Rousset nous a livré d’excellents articles sur ce conflit, dont le dernier sur le paiement du gaz russe en roubles.

Au plan militaire, les fanfaronnades de Zelensky et des experts des plateaux TV ne masqueront pas la réalité encore bien longtemps.

Xavier Moreau nous livre son dernier bulletin.

https://rumble.com/v15cx8b-bulletin-n84..html

La vérité est que ce n’est pas seulement l’Ukraine qui est en train de perdre la guerre et de subir l’inexorable avancée des troupes russes, mais c’est aussi l’ensemble de l’Otan et des 40 nations qui ont pris aveuglément parti pour Kiev, en s’engageant dans un conflit qui est d’abord celui des Américains et pas le nôtre.

Par conséquent, il faudra bien que politiques, généraux, médias occidentaux, rendent compte un jour de leurs mensonges, prétendant que Poutine allait perdre cette guerre.

Il ne se passe pas un seul jour sans que les forces russes ne poursuivent leur avancée, lentement mais sûrement. Et ce n’est pas l’odieuse désinformation du camp occidental qui changera la donne. Et les matériels les plus modernes arrivent sur le front, comme le redoutable char Terminator 2

Biden, Zelensky et leurs valets européens peuvent aligner les fake news, diffuser de fausses vidéos sur les revers russes, transformer les fiascos ukrainiens en victorieuses contre-attaques, monter de toutes pièces des scènes de crimes de guerre côté russe, faire de l’armée russe un ramassis de traîne-savates incompétents et de l’armée ukrainienne un modèle d’organisation et de compétence, tout cela ne change rien à la réalité. 

Il suffit d’observer une carte pour constater que la situation tourne au désastre pour l’armée ukrainienne. Elle finira bien par s’effondrer, malgré l’entêtement de Zelensky à faire massacrer ses soldats en pure perte.

Il ne suffit pas de médiatiser le procès d’un jeune soldat russe de 21 ans, accusé de crime de guerre après avoir tué un civil, pour faire oublier les atrocités commises par les unités ukrainiennes dans le Donbass depuis 2014. Des crimes de guerre largement dénoncés par l’ONU, Amnesty International ou Human Right Watch, mais jamais jugés ni punis.

Ce procès est une mascarade, une parodie de justice, un coup de com indigne pour diaboliser l’armée russe, alors que ce sont les soldats des unités nazifiées qui se comportent en barbares, comme en témoignent les prisonniers russes libérés après un échange.

Dans le Donbass, ce sont aujourd’hui 21 000 soldats ukrainiens qui sont encerclés, sans possibilité de ravitaillement, dans cinq petits chaudrons où 2 000, 3 000, 10 000, 2 000, et 4 000 soldats sont pris au piège.

Zelensky a beau gesticuler devant toute la planète, prenant à témoin toutes les instances internationales, ou s’accaparant l’Eurovision ou le Festival de Cannes, la vérité est qu’il est en train de perdre la guerre et qu’il a menti à son peuple, le saignant inutilement et détruisant l’infrastructure du pays.

Poutine est pour l’instant maître de 20 % du territoire ukrainien et n’a aucune intention de s’en séparer.

Malgré les chiffres bidon diffusés sur les médias, il est clair que les Russes n’ont utilisé que 15 % de leurs moyens, alors que l’armée ukrainienne est éreintée. Des unités isolées, coupées de leur hiérarchie, refusent de se battre. La reddition de Marioupol n’est que le début de la débâcle à venir.

Jacques Guillemain, dans Riposte Laïque

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I-média 396 – Le suprémaciste blanc cache la forêt

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0:57 Image de la semaine Portrait du nouveau premier ministre français. Ou devrions-nous dire “première” ministre ?

05:43 Le suprémaciste blanc cache la forêt La tuerie de Buffalo ayant fait dix morts dans une communauté afro-américaine est le fait d’un suprémaciste blanc auto-revendiqué. Les médias ont sur-médiatisé le drame dans le but de l’instrumentaliser politiquement. Dans ce cas particulier, un train peut en cacher un autre, ou disons qu’un arbre peut cacher une forêt … Jean-Yves Le Gallou vous explique ce qui se trame vraiment dans les rédactions lorsque le sang jaillit.

5:35 Revue de presse Un chauve obtient gain de cause, Marioupol tombe aux mains des russes, une épidémie de transgenrisme se répand par les médias et les publicités, le burkini est autorisé à Grenoble, la rock-star pardonne au terroriste et la justice française déraille. OTAN en emporte l’Eurovision

35:47 Une victoire méritée, politique, symbolique ou truquée? Quoiqu’il en soit, l’Ukraine sort vainqueur de l’Eurovision. Jean-Yves Le Gallou revient avec Jules Blaiseau sur les dix dernières années de propagande progressiste et atlantiste du concours de chant.

En lien, Mass Shootin Info : https://mass-shootings.info/

I-MEDIA de la semaine dernière :Ukraine : Les USA entrent en guerre ! (imedia 395)

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Après leur victoire à Grenoble, les activistes pro-burkini d’Alliance citoyenne visent en priorité des villes sensibles à leur cause comme Lyon, Villeurbanne et des communes de Seine-Saint-Denis

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++ Webtube : Le communautarisme fait tâche d’huile, c’était le but recherché. D’un autre côté on ne peut pas se plaindre, la France a voté Macron du coup on en reprend pour 5 ans de cette politique de déconstruction de la France. Les Français creusent eux-mêmes leur tombe et celles de leurs petits enfants. C’est un choix qu’il faudra assumer dans quelques années

Après leur victoire à Grenoble, les militants visent en priorité des villes sensibles à leur cause, comme Lyon, Villeurbanne et des communes de Seine-Saint-Denis

L’un des membres de l’association, Elies Ben Azib, mandaté pour répondre à l’Opinion, ne fait pas de ronds de jambe : « Après Grenoble, nous travaillons sur Lyon et Villeurbanne. Une pétition a été remise. Nous avons rencontré les élus du Grand Lyon. Il y a une volonté d’éviter une tournure polémique ». Le Grenoblois poursuit : « En Ile-de-France, la priorité est plutôt de permettre le hijab dans le sport. Une thématique que nous portons notamment en Seine-Saint-Denis, à Aubervilliers par exemple. Nous avons déposé une requête au Conseil d’Etat pour s’opposer au règlement de la Fédération française de foot interdisant le voile ». Une autre membre de l’association, également contactée et qui requiert l’anonymat, complète : « A Lyon, notre collectif a aussi demandé que les personnes transgenres puissent porter n’importe quel maillot. Par exemple, un maillot couvrant pour les personnes en transition [qui changent de sexe] qui peuvent ne pas être à l’aise avec leurs corps. » (…) Pour la députée LREM Emilie Chalas, les méthodes d’Alliance citoyenne fonctionnent sur un modèle éprouvé. « Au départ, ils vont dans les quartiers populaires et s’emparent de sujets tels que le logement ou le handicap, affirmant vouloir soutenir les plus précaires. En fait, ils victimisent. Taha Bouhafs [natif d’Echirolles et éphémère candidat LFI pour les législatives dans le Rhône] en a fait la promotion. Ils sont aussi à l’origine du “Mois décolonial” qui vient d’avoir lieu à Grenoble et dénonce le “racisme systémique”», décrit la députée.« Il n’y a que des coups à prendre dans ces dossiers. Les offensives, qu’elles soient pro burkini, burqa dans la rue ou hijab dans le sport, sont toujours instrumentalisées. Seuls les élus très attentifs et au clair sur la laïcité s’en sortent », analyse un préfet d’un département du sud. Dans le camp laïc, beaucoup regrettent que Grenoble n’ait pas suscité une plus grosse levée de boucliers. « Sous un fallacieux prétexte de liberté, Eric Piolle met en avant un symbole religieux d’oppression de la femme et un outil de propagande de l’islam politique », affirme Patrick Molinoz, délégué général du PRG, par ailleurs vice-président de l’Association des maires de France, qui regrette « une faible prise de conscience des enjeux ». (…) L’Opinion


En lien :

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la ville la plus dangereuse de France. Que fait le maire ? »

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++ Webtube : Si vous cherchiez une grande dynamique pour y fonder une famille ou pour passer votre retraite, fuyez Lyons ou Grenoble…. ce ne sont pas les seules villes à éviter malheureusement. Voir ce lien

“Que fait le maire de Lyon”, s’interroge Laurent Wauquiez, le président de la région Auvergne-Rhône-Alpes.

Entre le maire écologiste de Lyon, Grégory Doucet, et le président LR de la région Auvergne-Rhône-Alpes, Laurent Wauquiez, les sujets de désaccord sont (très) nombreux.

Lyon est devenue la ville la plus dangereuse de France. Notre ville. J’y suis né. On y vit. Lyon est même plus dangereuse que Saint-Denis maintenant“, a asséné Wauquiez, en citant “quelques exemples : 11 mai – fusillade dans le 7e arrondissement, 12 mai – agression homophobe à Confluence, 13 mai – un homme tué par balles à Vénissieux, 14 mai  – violences à Rillieux suite à un rodéo, 15 mai – trafic de drogue à Gerland, une femme agressée, 16 mai – deux hommes poignardés dans le 7e arrondissement“.

Que fait le maire de Lyon ?, a poursuivi le président de la Région. Il est là depuis 2 ans (juin 2020), il n’a même pas fini de commencer à lancer une pauvre étude pour faire le diagnostic pour savoir si les caméras de vidéoprotection de Lyon marchent. La ville de Lyon est la ville la plus dangereuse de France et le maire de Lyon n’a pas commencé ça

Lyon Capitale

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Nos chances pour la France, les faits du jour…

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++ Webtube : Il y a tellement d’articles autour des faits divers relatifs à Nos Chances Pour la France (nos CPF) qu’on n’a aucun mal à alimenter cette rubrique… Au moins on ne perd pas de temps à chercher.

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Le communautariste noir Pap Ndiaye nommé ministre de l’Éducation nationale et de la Jeunesse

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L’historien spécialiste des minorités est le nouveau ministre de l’Éducation nationale. C’est la première fois qu’il fait son entrée au gouvernement.

Son arrivée au gouvernement est inattendue. Ce vendredi 20 mai, Pap Ndiaye vient d’être nommé ministre de l’Éducation nationale et de la Jeunesse. Il remplace Jean-Michel Blanquer. Cet historien spécialiste des minorités et de l’histoire sociale des États-Unis, et auteur de La Condition noire (éd. Gallimard, 2009), fait ses premiers pas au sein du gouvernement.

Le Figaro


Parcours de Pap Ndiaye :

À son retour en France, il obtient un poste de maître de conférences à l’EHESS où ses travaux portent désormais davantage sur la question noire, les discours et pratiques de discrimination raciale en France et en Amérique. Il est l’un des pionniers en France à traiter de la question complexe de la population d’ascendance africaine vivant en France et de la diaspora que l’on nomme outre-Atlantique les Black studies , notamment à travers son ouvrage paru en 2008, La Condition noire : essai sur une minorité française, avec lequel il espérait « poser les fondations [de ce] nouveau champ d’études ».

En 2003, aux côtés d’autres intellectuels, tels que Patrick Lozès et Catherine Coquery-Vidrovitch, il participe à la création d’une association, le Cercle d’action pour la promotion et la diversité en France (Capdiv). Catherine Coquery-Vidrovitch témoigne : « Nous ne voulions pas apparaître comme communautaristes, mais traiter de la discrimination dont étaient victimes les Noirs. Pap était très impliqué. » 

En 2005, est créé le Conseil représentatif des associations noires de France (Cran), présidé par Patrick Lozès. Pap Ndiaye siège au conseil scientifique.

France Inter


Pap Ndiaye est aussi l’un des co-auteurs du rapport condamnant le manque de diversité ethnique à l’Opéra de Paris :

L’Opéra de Paris a pris la décision inédite de revoir ses critères de recrutement pour encourager l’entrée de davantage d’artistes non-blancs, et a annoncé la future nomination d’un “référent diversité”. Dans la continuité du rapport remis ce lundi, à l’initiative de son directeur, à ce sujet.

Pour la première fois, l’institution avait lancé en septembre une mission sur la question raciale, au moment où des salariés appelaient à abolir certaines pratiques au sein de l’établissement tricentenaire, avec un manifeste intitulé De la question raciale à l’Opéra national de Paris. Ce matin, Constance Rivière, la Secrétaire générale de la Défenseure des droits, et l’historien Pap Ndiaye ont révélé leurs préconisations, consultables ici.

France Culture

Pap Ndiaye, nouveau ministre de l’Education nationale, a participé à une réunion en “non-mixité” (interdite aux Blancs) avec les leaders indigénistes Maboula Soumahoro et François Vergès.


Florilège de déclarations de Pap Ndiaye :

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Le système libanais ébranlé par les élections législatives

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Les élections législatives du 15 mai ont été riches d’enseignement dans un Liban ravagé par la crise et les blocages institutionnels et communautaristes.

Les observateurs craignaient tout d’abord une abstention massive. Avec près de 50 % de participation, la participation est finalement conforme à ses scores habituels. Mais c’est surtout la poursuite de l’immobilisme qui suscitait les plus grandes inquiétudes.

Or, d’importantes évolutions se sont produites au cours de ce scrutin. Tout d’abord, et c’est le plus spectaculaire, 13 sièges (sur 128) sont allés à de nouveaux venus issus de la contestation populaire d’octobre 2019. On se rappelle que pour protester contre l’incurie des pouvoirs publics et sa corruption généralisée, un grand mouvement populaire avait secoué tout le pays. Sa manifestation la plus spectaculaire avait été la constitution d’une chaîne humaine ininterrompue du nord au sud du pays. Toutes communautés confondues, les Libanais s’étaient donné la main pour qu’enfin les choses changent.

Mais le système, s’il est incapable de remplir ses missions de service public les plus élémentaires, sait se défendre et rien n’avait bougé.

Puis il y eut la terrible explosion du 4 août 2020 et, enfin, la crise financière suivie d’une crise économique qui semble tout emporter sur son passage.

On pouvait craindre que le découragement empêche le succès de ces listes hors partis et en rupture avec le communautarisme. Ces 13 sièges constituent une surprise et sont peut-être (mais peut-être seulement) l’amorce d’une évolution plus profonde.

L’autre enseignement important est le recul du Hezbollah (13 sièges) et de ses alliés, ce qui va l’empêcher d’avoir la majorité au Parlement. L’autre mouvement chiite, Amal, obtient 15 sièges et la question est de savoir si son chef, Nabih Berri, va conserver son poste de président de la Chambre des députés qu’il occupe depuis 1992. Il est à lui seul le symbole de l’immobilisme sclérosant qui détruit le Liban.

Dans le camp chrétien, on assiste également à une recomposition. Le CPL (Courant patriotique libre), dirigé par Gebran Bassil, recule légèrement et n’a plus que 17 sièges. Il laisse la première place aux Forces libanaises (FL) de Samir Geagea, qui obtiennent 19 sièges.

Il s’agit là d’un changement important. Tout d’abord, cela remet en cause l’ambition présidentielle de Bassil, qui rêve de succéder à son beau-père, le général Aoun, dont le mandat, très décevant, s’achève cette année.

Surtout, cela met les FL en première ligne face au Hezbollah. On sait que la milice chiite est la seule à avoir conservé ses armes à l’issue de la guerre qui a ravagé le Liban de 1975 à 1990. Or, Samir Geagea a fait de ce sujet son cheval de bataille et exige le désarmement de la milice chiite. Il veut également contrer l’influence iranienne, ce qui promet de belles empoignades.

En octobre dernier, un épisode sanglant s’était produit à Beyrouth, dans le quartier de Tayouné. Une manifestation organisée par le Hezbollah et Amal, avec de nombreux militants armés, se dirigeait vers le palais de justice pour protester contre l’enquête du juge Bitar sur l’explosion du 4 août. Des hommes armés les en ont empêchés et ont ouvert le feu, tuant six miliciens chiites. Les FL ont été accusées par le Hezbollah et ont démenti, mais toute la communauté chrétienne est convaincue que ce sont bien les FL qui ont défendu le palais de justice et les quartiers chrétiens que la manifestation devait traverser.

Le mouvement des Forces libanaises est aujourd’hui perçu comme le protecteur de la communauté chrétienne et de l’indépendance du Liban. Le clan Aoun est en perte de vitesse et une recomposition est en cours.

Antoine de Lacoste, dans BV

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