Élisabeth Borne : 3 priorités, 3 mots d’ordre, 3 oublis

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Il faut écouter la déclaration consciencieusement lue par Élisabeth Borne sur le perron de Matignon à l’issue de sa réunion de travail avec ses ministres.

On voit bien qu’on a changé d’ère : aux embardées syncopées et chantantes d’un Castex qui fleurait bon la France de De Funès a succédé le ronronnement monotone d’une voiture électrique ou hybride, qu’on n’entend pas arriver et que l’on regarde ensuite s’éloigner en méditant sur son degré d’autonomie.

Donc, Élisabeth Borne a fixé trois priorités et trois mots d’ordre à son gouvernement. Passons sur ces derniers (« rapidité, efficacité, résultats »), entendus mille fois. Les trois priorités sont intéressantes car ce sont des « urgences » : « pouvoir d’achat, santé, climat ». Urgence du moment, oui, le pouvoir d’achat, avec l’inflation. Mais santé et climat, urgence de plus long terme ? Non, pour la santé, il n’était pas question pour Élisabeth Borne de nous préparer aux futures pandémies mais tout simplement de faire en sorte que les hôpitaux fonctionnent cet été. Nous en sommes là.

« Nous devons répondre à très court terme au défi du manque de personnel dans les services hospitaliers et les établissements médico-sociaux. » Il y a en effet urgence aux urgences alors que de nombreux hôpitaux publics du pays font face à une pénurie de personnels, ce qui les pousse notamment à fermer la nuit ou à recourir à des bénévoles, comme à Bordeaux. Certains pointent la mise à pied de quinze mille soignants non vaccinés, un non-sens sanitaire et une aberration en termes de ressources humaines. Mais pour l’urgentiste Mathias Wargon, époux d’un ancien ministre et fervent partisan de l’exclusion de ses collègues non vaccinés, les réintégrer serait une mesure « clientéliste et démagogique ». Mais quel est donc le gouvernement qui a laissé une telle situation d’urgence à Mme Borne ?

Pour le climat, là, l’urgence est plus lointaine, malgré la sécheresse qui sévit déjà. Et tout ce volet du programme Borne est porté par un mot : « planification ». Le mot magique volé par Macron à Mélenchon et qu’il a scotché sur le front de son Premier ministre. C’est d’ailleurs curieux, ces gens qui prétendent planifier la fin du monde, le changement climatique, et qui ont tellement bien planifié les choses qu’ils ne sont pas fichus de mettre des médecins aux urgences cet été ni des profs de maths au lycée à la rentrée, etc.

Bien sûr, ces trois urgences sont celles de NUPES, et comme la barre Borne est à gauche, tant pis pour les trois priorités de l’électorat de droite, les trois oublis d’Élisabeth Borne, les trois i : insécurité, immigration, islamisation. Du temps de Macron I, ils avaient fait semblant de prendre ces sujets au sérieux, mais voilà, LR a été pressé comme un citron et n’a pu fournir qu’un Abad, qui est déjà un boulet pour le gouvernement Borne.

Et pourtant, plus que jamais, ces sujets sont des urgences, à la fois urgences du moment et urgences pour éviter la fin de ce que nous sommes. Urgences du moment, avec l’affaire du burkini, la défenestration à caractère antisémite d’un vieillard à Lyon et la mort, vendredi, du médecin militaire poignardé par Mohamed aux cris d’Allah Akbar devant une école catholique. Sur tous ces sujets-là, nous n’aurons droit à aucune planification protectrice.

La voiture Borne n’est même pas hybride et ne marche qu’à l’énergie NUPES. À droite, plus personne n’est dupe. Elle nous conduit droit dans le mur.

Frédéric Sirgant, dans Boulevard Voltaire

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40.000 migrants empêchés de franchir la frontière gréco-turque depuis le début de l’année

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40.000 : c’est le nombre de migrants illégaux que la Grèce, ce samedi, annonce avoir bloqués depuis le début de l’année en provenance de Turquie à partir de sa frontière terrestre. Un flux qui est supérieur de 30 % à celui de l’année passée pour la même période, d’après le ministère des Migrations hellène.

Pour passer de Turquie en Grèce, il existe deux possibilités : par la mer Égée et, au nord-est de la Grèce, en franchissant le fleuve Evros (ou Maritsa). Actuellement, le niveau de ce cours d’eau étant particulièrement bas, c’est par cette voie que se fait le plus gros des tentatives de franchissement de la frontière.

Par ailleurs, le 23 mai, les Grecs ont annoncé avoir empêché une tentative de traversée de la mer Égée vers son territoire à partir de la Turquie d’environ 600 personnes, embarquées sur neuf bateaux : la tentative la plus importante enregistrée cette année.

Tákis Theodorikákos, ministre de la Protection civile grec, a déclaré sur la chaîne Skai que la Turquie « n’est autorisée ni à tolérer le trafic de gens désespérés ni à les aider », rapporte RFI. Depuis 2020, Athènes a renforcé de façon drastique les contrôles à ses frontières.

Boulevard Voltaire

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Francis Cabrel et Eric Clapton : le grand retour… et ça fait du bien.

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Francis Cabrel est un artiste rare, consentant à nous livrer, de sa retraite d’Astaffort, un disque tous les cinq ou six ans. On n’y trouve plus de tube évident, le dernier en date, « Sarbacane », remontant à 1989, mais des albums de plus en plus épurés, comme s’il n’avait plus que l’essentiel à nous dire. À l’aube revenant, publié il y a peu, participe de cette même veine intimiste. Que dire à l’écoute d’un tel opus ? Rien, si ce n’est qu’il est bouleversant de beauté, que ce soit dans les mélodies, renversantes, et les textes, beaux à tomber.

Le plus bel exemple ? « Te ressembler », quand Francis Cabrel rend hommage à son père, se levant tôt et rentrant tard, entre usine et travaux de jardins, qui avait la parole rare et l’affection pudique, mort avant l’âge, épuisé par le travail. Dans « Difficile à croire », il déplore la disparition des librairies, écrasées par les géants de la vente en ligne, tandis qu’avec « Parlons-nous », il s’alarme de ces Français de plus en plus isolés dans leurs bulles respectives et qui, justement, ne se parlent plus, ou alors de moins en moins.

Il y a là une humanité profonde, une élévation d’âme qu’on ne peut que saluer ; ce, d’autant plus qu’elle se mêle d’une humilité non feinte. Francis Cabrel, dont on ne sait rien des opinions politiques, parle du pays qu’il habite, des terroirs l’ayant façonné et, surtout, des gens qu’il côtoie au jour le jour. Ensuite, est-ce l’âge, mais les arrangements de ses chansons se réduisent au strict minimum : guitares acoustiques, contrebasse, batterie discrète, mais à l’incomparable swing ; sans oublier les chœurs angéliques de trois fées dont les voix ont de quoi faire honte aux hordes de couineuses envahissant la bande FM.

Certes, Francis Cabrel a longtemps été raillé pour ses chansons d’amour (pourtant, « L’Encre de tes yeux » et « Je l’aime à mourir », ce n’était pas rien), son fort accent du Sud-Ouest, ses moustaches pas tout à fait cool, quand apparues en pleine période punk, à la fin des années soixante-dix. Il n’empêche qu’il est toujours là, faisant preuve d’une longévité devenue rare en ce métier sinistré. Les mêmes esprits chagrins dénigrent souvent Eric Clapton pour de semblables raisons : discrétion assumée, refus de jouer le jeu des médias, opinions parfois hétérodoxes, Clapton, même vacciné, a été plus que sceptique sur la politique de confinement généralisé. D’ailleurs, il y a bien longtemps que lui aussi n’a pas signé de tubes évidents, « Tears in Heaven » remontant tout de même à 1992.

C’est d’ailleurs à la faveur de ces mêmes confinements qu’il a choisi de louer un charmant manoir, niché au creux de la campagne anglaise, et d’y revisiter ses vieux titres, ainsi que d’antiques ritournelles qu’il n’avait jusqu’alors jamais interprétées, telles « Black Magic Woman » ou « Man of the World », signées du défunt Peter Green, fondateur du groupe Fleetwood Mac, avant leur période californienne et cocaïnée. Résultat ? Un concert à huis clos dans lequel l’électricité n’est que chichement invitée. Une relecture de « River of Tears » dont il disait qu’il avait voulu écrire la chanson la plus triste du monde, ne se rendant peut-être pas compte qu’elle serait aussi l’une de ses plus belles. Et puis, aussi et surtout, « Believe in Life », samba paresseuse et enamourée, ici jouée devant l’unique spectatrice de ce show hors du commun, madame Éric Clapton en personne, qui donne son nom à ce petit chef-d’œuvre qu’est « Lady in the Balcony ».

Voilà de la belle ouvrage. À l’ancienne. Au-delà des modes, donc. La recette des classiques ? Oui.

Nicolas Gauthier, Boulevard Voltaire

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Éolien : sur le terrain, dans le Calvados, Élisabeth Borne rame !

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Lorsque Élisabeth Borne visite le marché d’Aunay-sur-Odon, petite commune de la sixième circonscription du Calvados, en ce samedi ensoleillé, c’est l’élite parisienne qui vient vers la ruralité. À ses risques et périls… En témoignent les nombreux échanges qui s’y sont tenus entre de « vraies gens » qui mènent la « vraie vie » et une polytechnicienne techno que l’on sentait peu habituée à la confrontation inhérente à toute « vraie » campagne électorale…

Si la généalogie, sujet du moment pour la famille Borne (après le père israélite d’origine russe converti, sur Wikipédia, en une nuit, à la nationalité polonaise, merci au grand-père, maire de Livarot pendant la guerre…), peut être d’un grand secours au nouveau Premier ministre qui joue gros dans le Calvados, elle ne fait pas de miracles. Au menu du jour sur le marché : le pouvoir d’achat, les retraites, le sort des écoles hors contrat et l’implantation des éoliennes…

Un choc de deux univers, donc. Celui des élites décisionnaires incarnées admirablement pas cette technocrate peu habituée aux rencontres de terrain et les gens du terroir attachés à la conservation de leurs mœurs, de leurs coutumes et de leurs paysages. Quitte à sidérer encore bien des observateurs qui ne comprennent pas qu’on rejette une mondialisation à laquelle on n’a pourtant pas encore tout à fait goûté…

Car à l’instar de bien d’autres habitants de petites communes françaises éloignées des grands centres urbains, ces ruraux-là se savent encore privilégiés, tenus à l’écart des violences et autres réjouissances qui accompagnent les territoires du vivre ensemble. Ils tiennent à y rester et ne veulent pas de l’implantation de ces centres d’hébergement de clandestins que Paris tient à leur imposer. En témoignent ces très forts scores réalisés par le RN, parmi les plus élevés du département. De quoi inquiéter une Élisabeth Borne qui ferait bien de s’en soucier : aux dernières législatives, le candidat RN était arrivé en seconde position derrière le député LREM Alain Tourret malgré une forte abstention.

Une volonté de se préserver qui concerne aussi leur paysage sévèrement dégradé par les multiples parcs éoliens implantés et en projet qui provoquent les crispations. Même le député sortant Alain Tourret y voyait une certaine démesure : 83 parcs terrestres sont déjà en fonctionnement en Normandie et un vaste chantier de construction de 64 éoliennes en mer a débuté sur les côtes. « Un impact visuel, de jour comme de nuit, inéluctable, qui risque de nous faire perdre l’inscription à l’UNESCO », dénoncent les opposants qui n’ont rien pu faire.

À en croire les échanges tendus des habitants venus pour parler à Élisabeth Borne ce samedi matin, le sujet est épineux, inflammable : « Ça détruit les paysages et ça ne crée pas d’emploi pour une production d’électricité microscopique et aléatoire », lance cet habitant d’Aunay-sur-Odon qui ajoute : « Quand les éoliennes ne tournent pas, on utilise la gaz russe ou le charbon allemand. » Ce à quoi Élisabeth Borne, peu à l’aise sur le sujet, n’a pu qu’acquiescer avant de se retrancher derrière cette réponse : « Il faut en discuter avec les riverains. » Les écologistes et les riverains floués apprécieront…

Mais l’idée du jour a germé dans la bouche de l’interlocuteur du ministre : « Pourquoi ne pas installer des éoliennes à Paris, le long de la Seine ? » Une proposition à laquelle les défenseurs des circuits courts ne peuvent que souscrire : quoi de mieux que d’assurer sur place le carburant aux trottinettes, voitures électriques et autres gadgets des bobos parisiens ? Quitte à laisser tranquilles les ruraux, rouleurs en diesel, lassés d’être les éternelles vaches à lait des idéologues à poil vert…

Sabine de Villeroché, Boulevard Voltaire

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Dissoudre la fête des mères : la cancel culture, c’est aussi ça

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La Dernière Fête, c’est le nom d’un roman un peu nostalgique de La Varende. 2022 sera-t-elle l’année de la dernière fête des mères ? Si, du côté de l’Éducation nationale, aucune consigne n’a été donnée, les médias ne parlent que de ça : « Pour rendre cette fête traditionnelle plus inclusive et représentative des différentes situations familiales, ces professeur.es des écoles ont décidé de célébrer la fête des gens qu’on aime, voire de ne pas marquer le coup du tout », peut-on ainsi lire sur le site de Elle. Le magazine manie l’indigeste écriture inclusive pour faire montre de son grand féminisme mais ne s’insurge aucunement de la suppression d’une reconnaissance proprement féminine, de ce privilège exorbitant d’enfanter, comme disait Françoise Héritier.

Le procédé est toujours le même, la déconstruction plutôt que la destruction, entre lesquelles il n’y a qu’une différence de chronomètre : elle suscite moins d’opposition parce que progressive, mais le résultat est le même. Ce n’est pas une suppression qui est initiée, mais une dissolution dans un grand tout : comme François Hollande avait créé le ministère des Familles qui était en fait un ministère « défamille », avec un « dé » privatif (si tout est famille, rien n’est famille), d’aucuns proposent que la « fête des gens qu’on aime » remplace « la fête des mères ». Comme si l’amour que l’on porte à une mère était comparable à l’affection que l’on peut éprouver pour son camarade de classe, son instituteur ou son chien (qui, au train où l’on va, fera bientôt partie des « gens »). Comme si le dévouement de l’une ne méritait pas plus de reconnaissance que les marques d’intérêt superficielles des autres.

Comme pour Noël, on emballe le déboulonnage dans le papier de soie de l’inclusion et de la délicatesse. Selon Le Parisien« de plus en plus d’écoles décident de l’adapter pour les petits ayant perdu un parent ou issus de familles monoparentales ou homoparentales ». Mais aucun de ces enfants n’est né par parthénogenèse. Tous ont au fond du cœur une maman, à laquelle ils pensent même si les adultes évitent le sujet. Les maîtresses d’autrefois, en un temps où les orphelins étaient plus nombreux, savaient comment, délicatement, aider à fabriquer malgré tout un petit présent qui serait déposé dans un lieu dédié (sur un oratoire, devant une photo), c’était même l’occasion salvatrice pour l’enfant, une fois dans l’année, d’en parler. Dans le même Parisien, une pédopsychiatre s’émeut, d’ailleurs, de cette disparition programmée : « Les rituels sont importants, ils sont vecteurs de transmission de valeurs pour un groupe, ils servent à définir la place de chacun. Le jour de la Fête des mères, les mamans sont sacralisées. »

A-t-on le droit de penser que des institutrices déguisent en tact ce qui n’est qu’un mélange de flemme et d’idéologie ? Il faut trouver une idée et suppléer aux doigts maladroits des enfants sans complètement les remplacer. Quelle corvée ! Les maîtresses n’en imaginent pas la portée. Les mères non plus, d’ailleurs, qui ne savent parfois que faire de ces petits objets bricolés. Et pourtant… Que l’on me permette une anecdote : j’ai visité, il y a longtemps, un appartement venant d’être mis à la location parce que la vieille dame qui y vivait depuis cinquante ans venait de décéder. Le propriétaire – son fils – ne cessait d’en parler, y compris aux potentiels locataires, un peu surpris. Sa sœur et lui n’étaient pas en meilleurs termes avec leur mère. Celle-ci avait divorcé et leur reprochait à mots couverts d’être restés en contact avec leur père. L’âge n’avait rien arrangé, elle était devenue tellement acariâtre qu’il n’osaient guère l’appeler et passaient peu la voir. Elle était morte seule.

Mais c’était à eux, les enfants, de vider l’appartement. Et sous le lit, il avait trouvé une boîte à chaussures et, dans la boîte, une collection de cadeaux de fête des mères. Elle avait tout conservé, précautionneusement. Et lui, le sexagénaire grisonnant, en pleurait. Tout était pardonné. Je ne sais dans quel cimetière ni quel coin du ciel sont ces institutrices d’après-guerre, mais elles mériteraient d’être bénies, plus d’un demi-siècle plus tard, pour leurs deux heures de bricolage laborieux.

Comme Joyeux Noël, bonne fête Maman, de souhait innocent, deviendra bientôt marqueur politique suspect. Il est des moments où c’est à ces gens qui ne nous aiment pas que l’on aimerait faire leur fête.

Gabrielle Cluzel, Boulevard Voltaire

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Finale de la Ligue des Champions : la diversité prend d’assaut le stade

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Macron a volé la finale de la Ligue des Champions à la Russie qui devait avoir lieu à Saint-Pétersbourg.

Résultat : les arabes du 93 font le tour du monde. On attend avec impatience les Jeux Olympiques en 2024…

Lu dans D.P.

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Nos chances pour la France, les faits du jour…

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++ Webtube : Prêts à tout, bons à rien….

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UCLfinal : Affrontements entre des jeunes et la police aux abords du Stade de France, un journaliste espagnol évoque “des groupes de Français” qui “attaquent et volent les supporters”

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++ Webtube : Rien de nouveau dans ce pays qu’on appelle la France. Dès qu’on organise un événement sportif ou festif, toujours la même “zone” qui vient tout gâcher. C’est pas ce nouveau gouvernement fantoche qui règlera ce type de problèmes. Comme d’habitude on leur trouvera des excuses à ces racailles. Allez passons à autre chose….

« J’ai assisté à beaucoup de finales de Ligue des champions, de Coupe d’Europe et de Coupe du monde. Ce qui se passe au Stade de France, je ne l’ai jamais vu. Il y a des groupes de Français autour du stade qui attaquent et volent les supporters. Je ne parle pas de ouï-dire, je l’ai vu de mes propres yeux », déclare le journaliste espagnol Sergio Santos.

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