À #Marseille, un médecin militaire, père de deux enfants de 3 et 7 ans, est ce soir entre la vie et la mort.
Il a été poignardé à la gorge sous les yeux de ses enfants par Mohamed L., 24 ans, à proximité d’une école catholique.
Le suspect dit avoir agi «au nom de Dieu».
— Guillaume Poingt (@guillaumepoingt) May 10, 2022
Un homme a été poignardé devant le collège catholique privé Sévigné à Marseille (13e) vers 18 heures ce mardi, alors qu’il venait récupérer ses enfants. Il a été évacué à l’hôpital dans un état grave et son pronostic vital est engagé. La victime aurait reçu plusieurs coups de couteau et a été touchée au niveau de la gorge selon nos informations. Elle était en arrêt cardio-respiratoire au moment de sa prise en charge par les secours.
(…) Cet homme qui serait âgé de 23 ans aurait crié avoir agi “au nom d’Allah” d’après une source proche de l’affaire. Il est déjà connu des services de police. (…)
Selon des informations de TF1-LCI, un père de famille a été poignardé par un homme de 23 ans devant un collège privé catholique à Marseille ’13e arrondissement) par un homme disant « agir au nom de Dieu ». Connu pour des faits de trafics de stupéfiants, l’auteur a été interpellé et placé en garde à vue. Le pronostic vital de la victime est engagé.
Selon les premiers éléments, l’assaillant présenterait des troubles psychiatriques. À ce stade de l’affaire, un lien entre la victime et l’auteur n’a pas été fait.
Un homme a été violemment agressé au couteau à Marseille devant un collège en fin d’après midi. L’auteur a été interpellé. Merci aux passants et aux services de police pour leur réaction rapide.
++ Webtube :On le sait déjà depuis longtemps (à part peut-être sur France Télévision), mais il n’est pas inutile de le rappeler, concernant la délinquance et les zones de non droit, toute la France est touchée : Grandes villes, banlieues et de plus en plus de communes rurales. L’état français n’a plus les moyens de protéger sa population face à cette invasion de personnes qui ne sont là que pour se remplir les poches au détriment de la nation. Cela ne pourra pas durer cinq années de plus…
Il n’y a pas qu’à Nantes que la délinquance est tentaculaire et très active. Saint-Herblain, juste à côté, a de quoi occuper les forces de l’ordre aussi. Petit florilège des derniers jours.
Le 9 mai dernier, deux jeunes hommes étaient en train de désosser une Citroën C2 rue de Quimper à Saint-Herblain. Dans une voiture à proximité, des optiques, pare-chocs et d’autres pièces ont été trouvées, ainsi que autour de la voiture. Un homme âgé de 18 ans a été arrêté et placé en garde à vue pour vol en réunion, l’autre s’est enfui.
Sous contrôle judiciaire en Ile de France, en rodéo à Saint-Herblain
Le 6 mai dernier, alors que des policiers étaient en patrouille dans une zone industrielle de Saint-Herblain connue pour ses rodéos du vendredi et samedi soir, ils ont repéré un groupe qui assistait à la course d’un motard. Ce dernier a mis les gaz, puis tenté de fuir à pied mais a été rattrapé.
Agé de 30 ans, il est sous contrôle judiciaire en région parisienne et a interdiction de quitter l’Ile de France. Par ailleurs, le numéro de série de la moto sur le cadre apparaissait meulé, ce qui semble indiquer que la moto pourrait avoir été volée.
Deal à Bellevue : deux arrestations dont un clandestin
Le 5 mai, la police a réalisé une opération de contrôle place Mendès France à Bellevue, alors que le deal battait son plein. Un jeune homme âgé de 18 ans, en situation irrégulière sur le territoire français – il est même sous le coup d’une interdiction de territoire, a été arrêté avec du cannabis sur lui. Un second a tenté de cacher du cannabis sous un véhicule – il avait sur lui 210 euros et des sachets de conditionnement.
Un pistolet 9 mm et 1.4 kilos d’héroïne saisis
Toujours en lien avec la drogue, deux hommes ont été interpellés au Sillon de Bretagne le 4 mai vers une heure du matin, après que les riverains se soient plaints du bruit. Quand les policiers se font enfin ouvrir, ils constatent que les occupants ont essayé de se débarrasser d’objets compromettants, retrouvés sur les toits et arbres aux alentours – un pistolet 9 mm dans un arbre en face de l’appartement, un chargeur et des cartouches, ainsi que 1.4 kilo d’héroïne sur un toit voisin – près de 50.000 euros à la revente au détail.
Les deux hommes, âgés de 21 et 22 ans, ont été déférés pour trafic de stupéfiants, association de malfaiteurs et détention d’arme de catégorie B. Ils sont originaires de l’extérieur du département et l’un d’eux est déjà défavorablement connu des forces de l’ordre pour infraction à la législation sur les stupéfiants.
Alors que les USA imposent à leurs vassaux européens de réduire ou d’annuler toute importation en provenance de Russie, depuis son entrée en guerre contre l’Ukraine et dans le but de l’affaiblir économiquement, on ne peut qu’être surpris du fait que, en Mars 2022, après le premier mois de guerre et donc de sanctions, les importations US en provenance de Russie ont battu un record vieux de plus de 10 ans pour un mois de mars avec 2,75 milliards de dollars de marchandises importées.
Des importations US record en provenance de …..Russie
Les importations US en provenance de Russie au premier trimestre 2022 ont battu un record historique depuis la fin de la 2ème guerre mondiale avec pour 7,28 milliards de dollars de marchandises pour un premier trimestre.
La Russie ayant, pour sa part, réduit considérablement, en mars 2022, les rares importations en provenance des USA, partenaire jugé peu fiable (allez savoir pourquoi) le déficit commercial des USA avec la Russie a donc atteint un record absolu sur le premier mois de guerre à 2,65 milliards de dollars et, sur l’ensemble du 1er trimestre 2022, à 6,29 milliards de dollars.
En conclusion provisoire, les USA semblent bien continuer à importer ce dont ils ont besoin de Russie, sans s’appliquer la moindre contrainte:« faites ce que je dis, mais pas ce que je fais » . Le commerce US avec la Russie continue, voire se développe, malgré la guerre en Ukraine. C’est à se demander si, en imposant à son partenaire européen de multiplier les sanctions antirusses, notamment sur les importations de gaz et de pétrole, les USA ne cherchent pas à affaiblir l’UE, ou à la mettre en difficulté, pour qu’elle n’ait pas d’autre choix que de rester dans leur orbite.
L’Union européenne a annoncé le 4 mai son intention d’interdire les importations de pétrole russe dans les six mois et de produits raffinés d’ici la fin de l’année, dans le cadre de sa dernière série de sanctions économiques contre Moscou. Selon Oil Price, le baril a grimpé à plus de 110 dollars pour le Brent et à 108 dollars pour le West Texas Intermediate à la suite de l’annonce de la Commission européenne. Par conséquent, interdire les importations de pétrole russe est non seulement une tâche assez ardue, mais le coût de cette décision sera élevé.
« À court terme, elle pourrait laisser les revenus russes élevés tout en impliquant des conséquences négatives pour l’UE et l’économie mondiale en termes de prix plus élevés – sans parler des risques de représailles [de la Russie] sur les approvisionnements en gaz naturel », a averti le groupe de réflexion économique Bruegel, basé à Bruxelles, après l’annonce de la Commission européenne. Un diplomate européen a toutefois déclaré à EURACTIV sous couvert d’anonymat que » politiquement, l’Europe ne peut pas se permettre de ne pas adopter le sixième paquet [de sanctions économiques]. «
L’UE sera une fois de plus divisée, car son rare exemple de posture géopolitique est remis en question par les intérêts économiques des différents États membres. La Hongrie et la Slovaquie s’opposent à la proposition de la Commission européenne alors qu’elles ont jusqu’à la fin de 2023 pour abandonner progressivement le pétrole russe. Dans le même temps, la Bulgarie et la République tchèque ont également demandé à bénéficier d’une telle prolongation.
Selon certaines sources, la Grèce a soulevé des objections à l’encontre d’une autre proposition visant à interdire à toutes les compagnies maritimes appartenant à l’UE ou ayant des intérêts européens de transférer du pétrole russe en Europe ou ailleurs, ce qui revêt une importance majeure puisque le pays méditerranéen possède la plus grande flotte marchande du monde. Bien qu’Athènes soutienne profondément toutes les actions hostiles de l’UE contre la Russie, comme l’expulsion de diplomates, l’imposition de sanctions et même l’envoi d’armes à l’Ukraine qui auraient pu finir dans les mains du bataillon Azov qui a persécuté la minorité grecque, la menace des profits des oligarques grecs provoque l’un des rares cas d’opposition du parti au pouvoir en Grèce, Nouvelle Démocratie. Nouvelle Démocratie est traditionnellement le parti pro-US/néo-libéral de la Grèce qui a servi les intérêts des oligarques du pays, ou plus communément appelés magnats ou magnats, en particulier les armateurs. Il faut savoir que 71% des Grecs ont déclaré dans un sondage que la position de la Grèce dans la guerre d’Ukraine devrait être neutre, ce qui a été catégoriquement ignoré par le gouvernement grec qui a plutôt soutenu l’Ukraine. Cependant, dès que les profits des armateurs sont menacés, et non au cours des derniers mois où les citoyens ont dû faire face à la hausse des coûts de l’énergie et des denrées alimentaires, Athènes a exprimé sa première inquiétude à l’égard des sanctions anti-russes de l’UE.
En théorie, bien que le pétrole russe puisse être éliminé de la plupart des pays de l’UE en six mois, la tâche sera néanmoins très difficile, surtout si l’on tient compte du fait qu’il y a actuellement une pénurie d’énergie. En outre, l’imposition d’une telle politique pourrait entraîner une accumulation de chocs dans l’économie de l’UE.
L’économie russe sera naturellement affectée puisqu’elle sera privée d’un marché important. Mais ce qui est plus préoccupant, pour les citoyens européens du moins, c’est la prise de conscience des effets que les sanctions anti-russes ont même sur leur propre vie quotidienne. Et tandis que les Européens souffrent de la hausse des coûts de l’énergie et des denrées alimentaires, l’Asie pourrait bien devenir le principal marché d’exportation de Gazprom d’ici cinq à sept ans.
Bien que cela ne compense pas la perte de l’UE en tant que marché pétrolier, le transfert de la plupart des exportations vers des marchés asiatiques beaucoup plus amicaux atténuera les effets des sanctions occidentales, même si ce transfert peut prendre plusieurs années. Bien que le problème soit le prix de l’approvisionnement et le développement de l’infrastructure de transport de gaz correspondante, y compris dans des pays comme la Chine, il est rappelé que le président russe Vladimir Poutine a donné une directive au gouvernement pour qu’il soumette un plan d’ici le 1er juin sur la manière de construire l’infrastructure correspondante. La directive demandait une proposition pour un développement à grande échelle d’un système de gazoducs en Sibérie orientale, visant à diriger le flux des exportations de gaz vers le marché chinois.
La Chine consomme actuellement environ 350 milliards de mètres cubes de gaz par an, tandis que la majeure partie du bilan énergétique (environ 70 %) reste constituée de charbon. La demande de gaz en Chine devrait passer à 450-480 milliards de mètres cubes d’ici 2025 et, dans les dix prochaines années, avec l’élimination progressive du charbon, peut-être même à près de mille milliards de mètres cubes de gaz par an.
Actuellement, les livraisons de gaz russe à la Chine se font par le gazoduc « Power of Siberia« . Les livraisons par cette voie ont commencé fin 2019 et ont atteint 4,1 milliards de mètres cubes en 2020. Il est prévu que le volume d’approvisionnement annuel augmente progressivement jusqu’à atteindre sa capacité de 38 milliards de mètres cubes en 2025. En tenant compte du nouvel accord signé en février, la capacité totale de gaz fournie à la Chine via le gazoduc Extrême-Orient pourrait atteindre 48 milliards de mètres cubes par an.
De cette manière, bien que la Russie soit pénalisée à court terme par la perte du marché européen pour son pétrole, cette action ne fera que propulser le flux d’énergie russe vers l’est, vers une Asie qui ne cesse d’augmenter sa demande. Il est tout aussi intéressant de noter que l’Europe promet sans cesse que les sanctions contre la Russie ne peuvent pas nuire aux citoyens européens dans la même mesure, mais le sevrage du pétrole russe dans un délai de six mois ne fera qu’augmenter la probabilité d’un tel résultat.
C’était beau, c’était bien, c’était grand, c’était généreux. Surtout, ça allait tout régler : la mondialisation allait nous apporter la paix, le bonheur, la migration heureuse et le gavage à toute heure. La réalité nous explose à la figure : en fait de mondialisation heureuse, nous découvrons l’asservissement énergétique, le déclassement économique, l’immigration de peuplement et l’extension du domaine de la pénurie.
Qu’à cela ne tienne, nos têtes chercheuses euromondialistes ne voient de salut que dans la fuite en avant. Ainsi le bruit court d’un projet d’extension de l’Europe de 27 à… 37 ! C’est déjà la cacophonie ? Pas grave, plus on est de fous, plus on rit. La perspective est pourtant sérieuse puisque Jean-Louis Bourlanges, président de la commission des Affaires étrangères de l’Assemblée nationale, expliquait, ce lundi matin, sur Europe 1, que cela risquait toutefois de poser des problèmes structurels car « on ne fonctionne pas à vingt-huit ou à vingt-sept comme on fonctionnait à six ou à neuf ou à douze, et on ne fonctionnera pas à trente-sept (sic) comme on fonctionne aujourd’hui à vingt-sept ».
Bien sûr, on sous-entend que cet élargissement forcené vers l’Est est une autre forme de soutien à l’Ukraine qui, vite fait bien fait, rejoindrait alors la Turquie, la Macédoine du Nord, le Monténégro, la Serbie et l’Albanie… avec sans doute, en prime, quelques joyeuses mafias caucasiennes. Et qu’importe si la non-adhésion de l’Ukraine à l’Union européenne et son entrée dans l’OTAN constituent le pivot des négociations de paix avec la Russie. Et tant pis si, de ce fait, le monde court à bride abattue vers une pénurie dramatique de gaz, de pétrole et de denrées alimentaires de première nécessité.
Pourquoi ? Parce que l’Europe n’est pas souveraine. Elle fait et va là où les États-Unis lui disent d’aller et de faire. La pénurie s’installe et absorber dix États de plus dans l’Union européenne n’y changera évidemment rien. Les prix s’envolent et les rayons se vident : plus d’huile, des pâtes bientôt au prix du caviar… Exemple de l’absurdité du temps par la moutarde qui ne nous montera plus au nez : alors que les Français croyaient encore que la moutarde est un produit français, on découvre tout à coup que les graines nous viennent en priorité du Canada et de Russie. Sécheresse ici, sanctions là : fin de la moutarde ! Quant à l’huile de tournesol, on la qualifie maintenant de « nouvel or jaune », tant elle se fait rare. Les prix, ce printemps, ont augmenté en moyenne de 7 à 8 %.
Si les rayons se vident, c’est parce que les Français font des stocks, dit Michel-Édouard Leclerc, patron des magasins du même nom : « En France, aujourd’hui, il n’y a pas de pénurie pour la consommation courante et il n’y en aura pas jusqu’à l’été », a-t-il déclaré sur BFM TV, voilà un mois (3/4/2022). S’agissant des pâtes, « il y en a », dit-il, mais pour combien de temps, sachant que « pour l’huile de tournesol, nos stocks vont jusqu’à juin » ? Et la viande ? L’Ukraine fournit 30 à 40 % du marché européen de certains maïs, donc l’alimentation pour le bétail va augmenter et entraîner un coût de production pour la viande. Et le blé ? Si la crise se poursuit à l’Est – ce qui est plus que probable -, nous allons connaître une crise mondiale, particulièrement dramatique autour de la Méditerranée, au Maghreb et en Égypte.
On va tenir jusqu’à l’été, disait Michel-Édouard Leclerc, il y a un mois. Mais l’été, c’est demain ! Et après ? Après, il faudra en plus rogner sur l’énergie et se préparer à grelotter. Nous avons abdiqué sur tous les plans, confié à d’autres l’entière gestion de nos vies. Nous voilà maintenant au pied du mur.
++ Webtube :Et chez nous, que faisons nous pour lutter contre la propagation du port du voile islamique ? Rien comme d’habitude, voir même on l’encourage…. Impressionnant !
Le couperet est tombé ce samedi 7 mai : les Afghanes seront désormais tenues de porter le voile intégral dans l’ensemble de leur pays dès qu’elles seront dans un lieu public. Le chef suprême des talibans a annoncé cette nouvelle mesure devant la presse, arguant que le port du voile, « c’est traditionnel et respectueux ». Pour celles qui envisageraient de se soustraire à la loi, les restrictions ont d’ores et déjà été annoncées : « Si elles ne le portent pas, les femmes seront identifiées et punies. Leurs tuteurs, père ou mari, devront s’expliquer et pourraient même être emprisonnés pendant trois jours. » Une nouvelle fois, donc, les talibans foulent gravement au pied les droits des femmes, quelques mois seulement après avoir interdit aux fillettes de se rendre à l’école.
Une saine indignation s’est emparée de l’Occident, les pays déplorant de concert « les récentes mesures prises par les talibans contre les femmes et les filles », l’Organisation des Nations unies soulignant que cette nouvelle obligation « va à l’encontre de nombreuses assurances concernant la protection des droits de l’homme pour tous les Afghans ». Une sainte colère, donc, qui sonnerait plus juste si ces mêmes dirigeants s’étaient abstenus, en novembre dernier, de diffuser une campagne publicitaire de grande envergure plébiscitant « la liberté dans le hijab ». Bien sûr, le voile n’est pas la burqa, et cette dernière est encore interdite par la législation française. Il faudrait cependant être de très mauvaise foi pour nier la proximité idéologique entre ces deux vêtements et refuser de voir que, dans les pays islamiques, le second a bien souvent succédé logiquement au premier. Pour la France, toutefois, toute ressemblance entre ces deux habits serait fortuite, et elle a paisiblement relancé les débats sur le voile à l’occasion de la campagne présidentielle.
Que dire de la France, qui a relancé le débat sur le port du voile à l’occasion de la campagne présidentielle ? Notre pays, qui avait demandé, lors de la campagne publicitaire du Conseil de l’Europe, le retrait « de tous les messages liés à cette campagne sur tous les supports » (Le Parisien, 3/11/2021), a vu son Président féliciter une jeune fille voilée… pour cette même « liberté » dans le port du voile. « C’est beau. […] Avoir une jeune fille qui porte le voile à Strasbourg qui demande : “Est-ce que vous êtes féministe ?” C’est la meilleure réponse à toutes les bêtises que je peux entendre. » Et d’ajouter : « Dans la rue, qu’une jeune fille porte le voile n’est à mes yeux pas un problème, si c’est son choix. Ce que je ne veux pas, c’est que ce soit subi. » Faudrait savoir. La vérité, c’est que Macron sait une chose : si le voile est interdit, « vous allez créer la guerre civile », a-t-il assené à Marine Le Pen, lors du débat d’entre-deux-tours. Terrible aveu qui sous-entend une conscience autrement plus profonde des enjeux que représente ce débat, pourtant traité comme une question de second rang.
Ainsi le voile est-il le bienvenu chez nous, mais pas chez les autres. Parce qu’on le porterait « en responsabilité », sans doute ? La France a beau jeu de pousser des cris d’orfraie devant les restrictions de liberté imposées à 6.000 km de chez elle. Il semblerait qu’elle soit pourtant confrontée à des problèmes de même type, notamment avec le retour des débats sur le burkini. Mais c’est tellement plus facile de s’indigner sur la scène internationale plutôt que de regarder en face les vrais problèmes. C’est humain, on sait toujours très bien ce que les autres devraient faire.
Un homme d’une quarantaine d’années est en garde à vue, suspecté d’avoir crevé les yeux de sa compagne et de lui avoir asséné plusieurs coups de couteau, a indiqué dimanche le parquet de Créteil, contacté par l’AFP. Le pronostic vital de la femme, dont l’âge n’a pas été précisé, est « très engagé », a ajouté une source proche de l’enquête.
Les faits se sont déroulés en début d’après-midi à Maisons-Alfort, dans le Val-de-Marne. C’est un voisin qui aurait donné l’alerte après avoir entendu des cris dans l’appartement qu’ils occupaient, selon les informations de BFMTV. L’alerte a été donnée à 13H37 et les pompiers sont arrivés sur place à 13h44.
L’individu mis en cause a refusé d’ouvrir la porte alors qu’une femme hurlait à l’intérieur. Il est finalement sorti quelques minutes plus tard. Les secours ont pu rentrer dans l’appartement et ont découvert une femme au sol.
La victime est alors consciente, son visage est entièrement tuméfié. Elle a reçu une douzaine de coups de couteau entre la région vaginale et la tête. Le parquet de Créteil indique également à BFMTV que l’auteur des faits lui a aussi coupé une oreille. Un couteau de cuisine avec une lame de 10 à 15 centimètres a été découvert sur place.
L’homme, né en 1981, a été interpellé et placé en garde à vue dans les locaux de la police judiciaire du Val-de-Marne, à qui a été confiée l’enquête. Mais, en état de choc, il a dû être emmené à l’hôpital Henri-Mondor de Créteil. Selon nos informations, il est connu pour de multiples délits routiers mais inconnu pour des faits de violences.
Le parquet a donc ouvert une enquête de flagrance pour tentative d’homicide volontaire avec la circonstance aggravante qu’elle a été commise par le conjoint de la victime.
Que s’est-il passé dans l’intimité du logement où vivent Maïté, 37 ans, et Abderahim, 41 ans, en couple depuis une vingtaine d’années ? C’est ce que l’enquête du Service départemental de police judiciaire du Val-de-Marne (SDPJ 94) va devoir déterminer. Ce dimanche soir, aucun des deux n’avait pu être entendu. Maïté était toujours dans un état critique à la Pitié-Salpêtrière (Paris XIII) et Abderahim, soupçonné de l’avoir poignardée et crevé les yeux, a été conduit en état de choc à l’hôpital Henri-Mondor de Créteil (Val-de-Marne). Rien ne laissait – apparemment – imaginer qu’un drame aussi effroyable puisse survenir. « C’était un couple stable », note une source proche de l’enquête confirmant qu’il n’y avait eu aucun antécédent avant ce déferlement de violence. Maïté et Abderahim ont quatre enfants, absents au moment des faits.
On comprend pas, c’était un mec toujours serviable.
L’invisible Roussel et son parti à 2% – le Parti Communiste – prétendent empêcher le racisé Taha Bouhafs de libérer Vénissieux des mangeurs de porc.
À Vénissieux, je comprends et je partage la colère de la maire Michèle Picard. Quand quelqu'un est condamné pour injure publique en raison de l'origine, il ne peut pas être candidat.
Le chauffard qui avait dérobé l’Audi RS6 impliquée dans l’accident a finalement été interpellé peu après le drame par un policier de la DSPAP (direction de la sécurité de proximité de l’agglomération parisienne) qui était hors service.
“Le suspect est un membre de la communauté des gens du voyage. Il s’appelle Francky D. et est né en 1997. Il avait 1, 30 g d’alcool dans le sang au moment de l’accident”, apprend TF1 d’une source proche du dossier ce lundi.
Par ailleurs, selon nos informations, le suspect “faisait l’objet d’une fiche de recherche, car il devait purger une peine de prison de 3 mois” et “son permis de conduire était révoqué”. Il est déjà connu de la justice pour une multitude d’affaires de vol, de recel, d’armes, de violences…
INFO LE FIGARO – Le jeune homme de 24 ans a été violemment percuté alors qu’il se trouvait sur son scooter à un feu rouge.
Antoine Alléno, fils du chef multi-étoilé Yannick Alléno, est mort dimanche soir après avoir été percuté à Paris (7e arrondissement) par un fuyard à bord d’un véhicule volé, a appris Le Figaro de sources concordantes.[…]
Dimanche 8 mai, peu après 23h, un homme a volé un véhicule de luxe, une Audi RS6, dans le 7e arrondissement de la capitale. Alors qu’il prenait la fuite, sans véhicule de police à sa poursuite, il a percuté un VTC et un scooter tous deux arrêtés à un feu rouge à proximité de l’avenue Bosquet.
Après le choc, le conducteur du véhicule volé a pris la fuite à pied avant d’être rapidement interpellé par un policier hors service de la DSPAP (direction de la sécurité de proximité de l’agglomération parisienne, NDLR). Le STJA (service du traitement judiciaire des accidents, NDLR) est chargé de l’enquête. Selon une source policière, le suspect était recherché, notamment pour conduite en état d’ivresse
Antoine Alléno était un jeune homme prometteur et talentueux sur le point de devenir chef cuisinier comme son père, auprès duquel il faisait ses gammes.[…]
Le bilan humain est lourd : l’homme qui conduisait le scooter est décédé. Le défunt est le fils du célèbre chef cuisinier Yannick Alléno, Antoine. Il était âgé de 24 ans et était lui aussi cuisinier. La jeune femme de 28 ans qui l’accompagnait sur le deux-roues a été grièvement blessée et transportée à l’hôpital Cochin (XIVe) avec un pronostic vital engagé. Il n’y a pas de blessé à déplorer dans le taxi.