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Pascal Renaud, président de la toute nouvelle SAS La Grande Maison ; David Laurent, accompagnateur ; Françoise Plissonneau, présidente de Soutien migrants Redon ; Fabienne Mainguy et Anne-Marie Lambert membres ont lancé avec une soixantaine d’actionnaires la société visant à acquérir une grande maison à Redon pour du logement mixte et notamment des hébergements pour des migrants.
L’article dans : Ouest-France :
La société La Grande Maison vient de voir le jour. Avec Soutien migrants Redon et La Mutuelle des pays de Vilaine, 64 particuliers, prêts à être rejoints, sont sur le point d’acheter une grande bâtisse à Redon. Sa destination sera mixte : hébergement de migrants, logement solidaire et bail classique privé.
Et si on achetait une maison pour héberger des migrants ? C’est l’idée qui a germé et mûri en à peine un an dans le pays de Redon.
David Laurent, gestionnaire de métier qui s’apprêtait à investir dans un projet solidaire le reçoit et lance l’idée d’une acquisition. « On savait que ça existait, des sociétés montées pour ce type de projet notamment par Habitat et humanisme mais ici ça ne s’était jamais fait, on ne savait pas si on aurait pu collecter une somme conséquente », explique Françoise Plissonneau.
Habitat et islam.
« En juin 2021, une première rencontre a réuni une vingtaine de personnes afin de jauger la faisabilité du projet. Au tour de table, rien qu’avec les participants on a vu que l’on pouvait réunir 150 000 €.«
Commentaire de D.P. :
Dès qu’il est question de se divertir en retraite avec des animaux de compagnie du tiers-monde, les poches soudées de nos vieux s’ouvrent miraculeusement et l’argent coule à flots.
Demandez leur dix euros dans la rue avec vote visage pâle. Vous ne serez pas déçu du voyage.
Ces […] boomers ont ruiné le pays. Pour les sauver du Rhume19, Macron, leur champion, a achevé de détruire l’économie et ajouté une montagne de dettes gigantesque à la dette gigantesque déjà existante que les travailleurs blancs submergés par l’Afrique devront rembourser éternellement à la banque.
[…]
Pour l’homme blanc, c’est le bagne à perpétuité.
Mais pour que tout tourne pour eux, il faut que l’esclave blanc en âge de travailler continue précisément de travailler gratuitement, tout en se faisant cracher dessus par la totalité des médias, partis, stars du showbiz et autres associations antifas locales composées de tous les profs en retraite de la commune.
Essayez de créer une maison solidaire pour les jeunes Blancs et vous verrez comment ces mêmes hyènes réagissent.
Lu sur le site D.P.
Nos chances pour la France, les faits du jour…
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++ Webtube : Pas de week-end tranquille sans une petite pensée pour nos “Chances pour la France” qui vont certainement nous étonner d’ici dimanche.
++ Webtube : Les allemands aussi malheureusement sont concernés par ce cancer qui nous ronge….
Misère du monde paysan et prochaine pénurie de lait en France ?
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C’est bien la peine de vivre dans un pays façonné par le colberto-gaullisme, les plans quinquennaux, une technocratie censée tout anticiper pour mieux aider les politiques à gouverner et de bientôt se retrouver face à la disette annoncée de… lait ; alors que la France est le deuxième producteur européen en la matière.
C’est pourtant le triste constat dressé, aujourd’hui, par la presse économique, citant avec un bel ensemble des chiffres tous plus inquiétants les uns que les autres. Des labourages et pâturages, ces deux mamelles de la France jadis vantées par le duc de Sully, « bras droit » de notre bon roi Henri IV, que reste-t-il ? Plus grand-chose, aujourd’hui, sachant qu’en nos campagnes ne subsistent que cinquante mille éleveurs, contre deux fois plus, il y a seulement vingt ans…
Et les syndicats de cette filière de s’inquiéter du découragement de ces éleveurs, désormais tentés de se recycler vers des activités plus rentables. Dimitri Pavlenko, sur Europe 1, constate ainsi, ce 12 mai : « Certains ont déjà sauté le pas, d’autres y songent. Vendre leurs vaches, se séparer de leur main-d’œuvre et arrêter le lait pour devenir céréaliers, par exemple. » Toujours selon la même source, un jeune paysan témoigne : « On se pose la question forcément, parce que toutes nos charges ont doublé. »
À en croire Daniel Perrin, secrétaire général de la Fédération nationale des producteurs de lait : « Il faudrait augmenter le prix du lait d’environ 20 % pour que les producteurs parviennent à absorber l’inflation. Sauf qu’aujourd’hui, dans les rayons de supermarchés, nos briques de lait sont quasiment toujours au même prix… »
En ligne de mire, encore et toujours, cette grande distribution qui étrangle la paysannerie. Pourtant, pour Dimitri Pavlenko, il suffirait « d’une hausse de 0,05 euro sur le litre de lait, soit 40 euros de plus pour le producteur et un impact modéré de 25 euros de plus par an à débourser pour le consommateur » pour que cette filière puisse enfin permettre aux éleveurs de vivre un peu plus dignement du fruit de leur travail. C’est manifestement encore trop demander.
Certes, la consommation de lait est, chez nous, globalement en baisse, tandis qu’explosent les prix du carton et du plastique pour le conditionnement, tout comme celui du carburant pour le transport. Sans négliger la sécheresse attendue pour cet été, qui n’a rien pour mettre du baume au cœur de nos derniers agriculteurs.
Ces détails techniques une fois exposés, une dernière question se pose : comment expliquer que ceux qui nous nourrissent peinent, eux, à se nourrir ? À ce titre, le taux de suicide chez les paysans est plus qu’éloquent : 370 par an, soit plus d’un par jour et loin devant ces violences conjugales voulant qu’une femme décède tous les trois jours sous les coups de son compagnon… On notera que certaines victimes sont peut-être plus dans l’air du temps médiatique que d’autres. Peut-être, aussi, parce qu’il est plus facile de s’en prendre à un seul conjoint violent qu’à une société tout entière n’en finissant plus de violenter ceux sans lesquels nous pourrions bien tous mourir de faim. Et ce jour-là, il sera un peu tard pour pleurer sur ce lait imprudemment versé.
Nicolas Gauthier, Boulevard Voltaire
Comment le RN rouvre sa porte aux conservateurs
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C’est un vieux contentieux entre la droite conservatrice et Marine Le Pen. Les premiers reprochent à la seconde de ne pas les considérer, voire d’être hostile à ce qu’ils représentent comme aux idées qu’ils portent. Une inimitié qui aurait contribué à créer un espace politique pour la candidature d’Éric Zemmour. « Ces gens ne représentent que 7 ou 8 % de l’électorat », martèle un proche de Marine Le Pen joint par Boulevard Voltaire. 7 ou 8 %, c’est d’ailleurs le score que Marine Le Pen avait prédit pour son adversaire. En janvier dernier, la candidate à la présidentielle a assimilé, dans Le Figaro, le « zemmourisme » à un « communautarisme » agrégeant des « chapelles remplies de personnages sulfureux », les « catholiques traditionalistes », les « païens » et « quelques nazis ». Dans Causeur (1/2/2022), elle a reproché à Éric Zemmour de jouer « le communautarisme catholique conservateur contre le communautarisme musulman ». De fait, en regardant l’organigramme du RN et de Reconquête, force est de constater que la droite conservatrice est davantage représentée chez Éric Zemmour. Outre les transfuges du RN Nicolas Bay et Jérôme Rivière, que l’on peut classer chez les conservateurs, on retrouve aussi, chez Zemmour, Laurence Trochu, présidente du Mouvement conservateur, anciennement Sens commun, le président de Via Jean-Frédéric Poisson, Marion Maréchal et d’autres…
Deux mouvements irréconciliables ? Marine Le Pen a initié une ouverture vers les profils conservateurs lors de la présentation des candidats investis par le RN aux élections législatives. Avec, par exemple, Christophe Bentz, ex-délégué général du PCD (devenu Via) et actuel directeur du pôle « Recherche » de l’ISSEP, l’école de Marion Maréchal. Mais également avec Pierre Meurin, ancien cadre de l’ISSEP qui faisait partie de la garde rapprochée d’Éric Zemmour aux prémices de l’aventure présidentielle du journaliste qu’il a quitté avec fracas. Meurin a expliqué, dans les médias, que la stratégie d’Éric Zemmour allait le mener dans le mur. Investi par le RN dans le Gard, le jeune père de famille s’explique auprès de Boulevard Voltaire : « Mon opposition à la ligne choisie par Reconquête ne faisait mystère pour personne. En revanche, j’ai été séduit par le discours et la campagne de Marine Le Pen. » Pas d’opportunisme ? « Face au macronisme et au bloc de gauche, il faut impérativement faire gagner le camp national », affirme celui qui déclare ne pas « s’arrêter aux petites phrases » de Marine Le Pen, notamment sur les cathos. Même son de cloche chez Christophe Bentz, interrogé par Boulevard Voltaire : « Il faut à tout prix créer un bloc d’opposition patriote », déclare-t-il, avant d’ajouter : « Je crains que ces cinq ans soient bien plus violents que le mandat précédent. » Au point de rogner sur ses convictions conservatrices ? Celui qui fut un temps patron des jeunes du Mouvement pour la France de Philippe de Villiers (soutien d’Éric Zemmour) réplique : « Marine me prend comme je suis, on ne m’a pas demandé d’adhérer au RN, je suis d’ailleurs toujours encarté chez Via. » Dans le parti de Jean-Frédéric Poisson, on ne mélange pas tout. D’autant que la candidate qui portera les couleurs de Reconquête dans la 1re circonscription de Haute-Marne est Bénédicte de Dinechin, une cadre du parti Via ! « Nous n’avons qu’un seul candidat dans cette circonscription et c’est Bénédicte », affirme à Boulevard Voltaire le nouveau délégué général de Via Charles-Henri Jamin, lui aussi candidat pour Reconquête dans les Pays de la Loire. Bentz est donc « allié mais pas rallié », la consonne est importante. Pierre Meurin, de son côté, assume parfaitement : « Vous pouvez dire que je suis rallié parce que c’est la stricte vérité », sourit-il.
Ils ne sont pas les seuls, d’ailleurs, à porter ces idées. En Maine-Et-Loire, le RN a investi Pie-Louis Lecluse dans la 6e circonscription. Le jeune homme de 23 ans avait fait ses premières armes de militant à la Manif pour tous locale. « En matière de société et de bioéthique, les programmes d’Éric Zemmour et de Marine Le Pen sont sensiblement identiques », nous affirme-t-il. « Je travaille dans l’agriculture et me retrouve davantage dans la vision du RN que dans celle d’Éric Zemmour. »
« Marine Le Pen a accepté d’avoir des candidats qui ne soient pas des RN historiques. Elle a opéré une ouverture à des droites hors les murs et je m’en réjouis », déclare pour sa part Charles Millon, ancien ministre de la Défense de Jacques Chirac et l’un des artisans de l’union des droites. Millon est aujourd’hui derrière l’initiative « La Droite » qui a pour but de former de potentiels candidats aux élections législatives. Du côté de Reconquête, plus précisément du Mouvement conservateur (ex-Sens commun), on n’est pas dupe. Celle qui sera candidate dans les Yvelines fustige la main tendue de Marine Le Pen aux conservateurs : « Sa stratégie est une stratégie de débauchage, affirme-t-elle, elle n’agit pas par conviction mais par tactique. En refusant les alliances mais en tentant de recruter chez Reconquête, le RN n’est plus rassembleur. On revient au FN originel c’est à dire un parti qui fait front contre tout le monde. » Pourtant, c’est bien le parti d’Éric Zemmour qui avait accueilli Nicolas Bay, Jérôme Rivière, Gilbert Collard ou encore l’eurodéputée Maxette Pirbakas. Il faut le dire, Reconquête a misé sur l’anti-marinisme pour recruter une grande partie de ses cadres. En allant chercher des conservateurs, Marine Le Pen démontre qu’elle a partiellement compris le signal. Pour couper l’herbe sous le pied d’Éric Zemmour, elle a présenté une poignée de candidats issus de ce sérail. Tout en maintenant sa porte fermée aux négociations. La constitution d’un groupe parlementaire se fera bel et bien sans Reconquête.
Pénuries, croissance, inflation : chiffres en main, l’économie de la France sous Macron a de quoi inquiéter
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Quand la Banque de France elle-même vient tirer le bilan de l’État macronien, difficile de parler de diatribe à charge. Et pourtant… L’institution n’agite pas vraiment les palmes d’un franc succès. L’économie française ressemble de plus en plus à l’économie de la non regrettée… Union soviétique : pénuries dans les magasins (voir notre article sur le lait), inflation galopante, déficits monstrueux, difficultés d’approvisionnement pour les entreprises… On ne parle pas du poids de l’État ni des réglementations tatillonnes installées en France de vieille date et qui ont résisté à tous les régimes. Selon les chefs d’entreprise participant à cette enquête de conjoncture (environ 8.500 entreprises ou établissements interrogés entre le 27 avril et le 4 mai), les sources d’inquiétude ne manquent pas. Certes, « la guerre en Ukraine et les mesures de confinement en Chine ont continué de marquer l’économie française en avril », note la Banque de France. Et le guide suprême qui réside à l’Élysée n’y est pour rien. Bonne fille, la banque ne compare pas ses chiffres ni ses prévisions avec les pays voisins de la France. Ca pourrait faire plus mal encore.
Mais elle prévient : les prix vont monter pendant que la richesse nationale, le fameux PIB (produit intérieur brut) patinera dans les grandes largeurs : « Sous réserve des évolutions à venir en juin, nous anticipons à ce stade une progression modérée du PIB au deuxième trimestre 2022, autour de +0,2 % par rapport au trimestre précédent », explique notre banque nationale. Pas de quoi illuminer la salle des fêtes de l’Élysée… L’économie française redécouvre, en 2022, les joies de la pénurie. « La part des chefs d’entreprise qui jugent que les difficultés d’approvisionnement ont pesé sur leur activité augmente dans l’industrie (65 %, soit son plus haut niveau depuis l’introduction de cette question en mai 2021, après 60 % le mois dernier) », poursuit la Banque de France, qui précise que « les stocks de produits finis sont jugés particulièrement bas dans les secteurs agroalimentaire et automobile, témoignant de la persistance des difficultés d’approvisionnement ». Il faudra mettre au clair ce que cette situation doit à la merveilleuse mondialisation de Macron et ses prédécesseurs, cette mondialisation qui a ouvert nos frontières aux quatre vents et nous a rendus dépendants de l’étranger pour tant de secteurs dans lesquels nous étions un pays puissant – en premier lieu l’agriculture. Pour les chefs d’entreprise interrogés, « l’augmentation des difficultés d’approvisionnement s’accompagne de hausses des prix des matières premières et surtout ce mois‑ci, de façon décalée, des produits finis », note froidement l’institution. Autrement dit, nous n’avons pas fini d’assister à la valse des étiquettes.
Pendant ce temps, l’économie française est en panne. « Sous réserve des évolutions à venir en juin, et dans un contexte toujours fortement incertain, la hausse du PIB au deuxième trimestre 2022 s’établirait autour de +0,2 % par rapport au trimestre précédent », note la Banque de France. On va donc attendre avant d’acheter le champagne en l’honneur des résultats superlatifs du Président Macron. L’homme qui écrasait de son mépris Marine Le Pen sur les thèmes économiques durant le débat d’entre-deux-tours de 2017 n’a toujours pas fait d’étincelles, c’est le moins qu’on puisse dire.
Le coup de grâce est donné par l’Institut national de la statistique, qui prévoit lui aussi une croissance modeste accompagnée d’une inflation galopante, comme on ne l’avait pas vue depuis très longtemps : de 4,8 % en avril (estimation provisoire de l’INSEE), elle devrait dépasser les 5 % en mai et atteindre les 5,4 % en juin, sous la poussée des prix de l’alimentaire (+6,3 % prévus en juin) et des prix de l’énergie (+26 %) en juin. Résultat : la Macronie laisse aux Français leurs yeux pour pleurer… : un pouvoir d’achat en baisse de 0,5 point au deuxième trimestre après un recul de 1,5 point au premier trimestre. Le tout, malgré les faux cadeaux de la remise carburant ou du bouclier tarifaire sur le gaz et l’électricité.
À ce désastre, les M. et Mme Mauvaise Foi qui pullulent dans les sphères gouvernementales et parmi leurs obligés médiatiques ajouteront : « Avec Le Pen ou Zemmour, cela aurait été pire. » Il n’y a rien à répondre. Comme disent les rationalistes de comptoir, « là, on est dans la croyance »…
Marc Baudriller Boulevard Voltaire
Avec Marine, c’est haine, mensonge et trahison
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++ Webtube : La différence entre Le pen et Zemmour existe mais dans le fond ces deux personnes défendent l’identité française. Alors s’il y a vraiment urgence de sauver la France, pourquoi ne pas s’allier pour gagner du temps? Dans 5 ans il sera trop tard…. Il est d’ailleurs je pense déjà trop tard.
L’article ci-dessous:
Avec Marine, les scénaristes de Dallas n’auraient aucun mal à renouveler la célèbre série texane. Coups bas et règlements de comptes en série sont le quotidien du RN.
Ayant transformé son parti en pénitencier dont tout le monde cherche à s’évader, Marine vient de nous prouver qu’elle n’est pas là pour sauver la France du naufrage identitaire, mais pour vivre grassement de la politique en entretenant son fonds de commerce. Elle n’est pas la seule, d’ailleurs, car il faut dire que la soupe est bonne.
En déclarant sur RTL : « J’aurais pu m’allier avec Eric Zemmour mais ce serait une trahison de mes électeurs. Je ne me vends à personne », Marine ment effrontément et nous prouve que son patriotisme a ses limites. Il est clair que l’avenir de la France passe après sa rancune envers Zemmour.
Elle se drape dans le manteau de la vertu, se disant bien loin de la tambouille électorale et des petits arrangements entre partis. Mais en réalité, elle trahit tout le monde et ne roule que pour elle même.
Elle trahit son propre camp, elle trahit les électeurs de Zemmour et elle trahit le camp patriote.
1° Un sondage Odoxa a montré que 76 % des électeurs RN et 89 % des électeurs de Reconquête souhaitent une union des droites. Par conséquent, Marine trahit ses propres électeurs.
🎙️ @MLP_officiel : Pour les #legislatives2022 "j'aurais pu m'allier avec @ZemmourEric (…) mais ce serait une trahison de mes électeurs. Je ne me vends à personne"#RTLMatin avec @VenturaAlba ⤵ pic.twitter.com/J2XfDhPjhP
— RTL France (@RTLFrance) May 11, 2022
2° En acceptant les voix de Reconquête et en refusant toute alliance, elle trahit les électeurs de Zemmour qui lui ont fait confiance et ont voté pour elle au second tour.
Accepter ces voix en sachant très bien qu’il n’y aurait aucune alliance pour les législatives, cela s’appelle une trahison. Alors que l‘honnêteté lui commandait de refuser ce report de voix, accordé par Zemmour sans contrepartie, Marine a sciemment trompé cet électorat de soutien. Sans ces votes, elle faisait 35 % !
3° Enfin, c’est l’ensemble du camp patriote que trahit Marine en jouant les modèles de vertu.
Il était sans doute possible d’obtenir un puissant groupe patriote à l’Assemblée, alors que l’Union de la gauche va peser lourd dans l’hémicycle.
Mais ce n’est visiblement pas le problème de Marine.
4° Le RN n’a cessé de dire que Zemmour divisait le camp patriote. Mais qui divise aujourd’hui et qui va faire perdre des dizaines de sièges aux patriotes de ce pays en perdition ? Hypocrisie totale.
5° Depuis des années, Marine se vante d’être la première force d’opposition à Macron. Or, elle vient de refuser une alliance qui lui promettait un puissant groupe à l’Assemblée, preuve qu’elle n’a rien de la patriote qui se bat pour sauver le pays. Hypocrisie, encore !
6° Depuis des décennies, le FN s’est battu à juste titre pour la proportionnelle. Mais à quoi servirait la proportionnelle puisque Marine refuse un grand groupe à l’Assemblée, dans le seul but de nuire à Zemmour ? Hypocrisie, toujours.
Tout cela nous montre le vrai visage de la présidente du RN, pleine de contradictions et ne roulant que pour elle-même. L’avenir de la France est le cadet de ses soucis, c’est une évidence. Elle fera de la politique jusqu’à 90 ans, se contentera d’un siège de députée à vie, sachant très bien qu’elle ne sera jamais élue.
Marine ne se vend pas , mais elle trahit très bien le camp patriote !
Jacques Guillemain Riposte Laïque
Fraudes à l’Assurance maladie : sous la pression de la Cour des comptes, les premières estimations de la Cnam révèlent un préjudice de près de 855 millions d’euros
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++ Webtube : Faisons un parallèle, vous savez que vous perdez de l’argent quotidiennement, cela dure depuis plusieurs années, vous allez prendre des mesures ça c’est sûr…. Mais avant toute chose en attendant d’arrêter l’hémorragie vous perdez votre temps à vous demander combien vous perdez au lieu de résoudre le problème… C’est le meilleur moyen de s’appauvrir encore plus… et de laisser les crapules s’enrichir sur votre dos. On est bien en France !
L’Article du Point :
La Cour des comptes a demandé, en septembre 2020, une évaluations de la fraude a la Caisse nationale d’assurance maladie. Le préjudice est évalué à 176 millions d’euros pour la complémentaire santé solidaire et entre 286 millions et 393 millions pour les infirmiers libéraux.
Combien représente la fraude à la Sécu ? Sous pression des commissions parlementaires et de la Cour des comptes, laquelle avait publié un rapport assez critique en septembre 2020, la Caisse nationale d’assurance maladie (Cnam) s’est lancée dans un vaste travail d’évaluation des montants en jeu. Pour l’instant, inutile d’espérer une somme globale. « Notre objectif n’est pas de sortir un chiffre en disant la fraude à l’Assurance maladie, c’est tant, assume-t-on d’emblée à la Cnam. La réalité de la fraude à l’Assurance maladie se mesure sujet par sujet : qu’on parle de faux arrêts de travail, de fausses déclarations de ressources pour obtenir la complémentaire santé solidaire, de fausses facturations d’un professionnel de santé, ces sujets n’ont rien à voir les uns avec les autres. » […]
Nos chances pour la France, les faits du jour…
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Après avoir fait scandale, le mur “anti-migrants” de la Hongrie est désormais un modèle pour de nombreux pays européens
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En 2015, alors que les réfugiés fuyant la guerre en Syrie affluaient en Europe, l’initiative de Viktor Orbán était perçue comme un nouveau “mur de la honte”. Mais les temps ont changé… Sept ans plus tard, “Complément d’enquête” a pu constater combien le dispositif “anti-migrants” du président nationaliste hongrois, s’est perfectionné… et a servi de modèle à de nombreux autres pays. En quelques années, 1 200 kilomètres de clôture ont été érigés aux portes de l’Europe.
C’est l’une des zones les plus surveillées d’Europe, à son extrémité Est : la frontière entre la Hongrie et la Serbie. Entre les deux pays, un mur de grillage de 3,50 mètres de haut et de 175 kilomètres de long. En 2015, sa construction, en pleine crise des migrants, avait suscité une vive polémique. Comparée au mur de Berlin, l’initiative de Viktor Orbán avait notamment été condamnée en France par Laurent Fabius, le ministre socialiste des Affaires étrangères : “La Hongrie fait partie de l’Europe ; l’Europe, elle a des valeurs, et on ne respecte pas ces valeurs en posant des grillages comme on ne ferait pas vis-à-vis d’animaux.”
Mais les temps ont changé : le “mur anti-migrants” est désormais cité en exemple d’efficacité, et de nombreux pays s’en inspirent. La Grèce et la Bulgarie ont renforcé les leurs ; la Lituanie, l’Autriche, la Slovénie en ont construit. Le dernier en date est celui que la Pologne a érigé il y a quelques mois à sa frontière avec la Biélorussie.
Demandes de titres à saturation, systématisation des contentieux lancés par des associations, engorgement des tribunaux administratifs : le rapport choc du Sénat sur la gestion kafkaïenne de l’immigration en France
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«Un droit des étrangers devenu illisible et incompréhensible» ; «source de difficultés quotidiennes pour les agents de l’État chargés de le faire appliquer»; «véritable fonds de commerce pour certains cabinets d’avocats ou de juristes qui n’hésitent pas à en exploiter les failles à des fins lucratives»… Le dernier bilan de la commission des lois du Sénat sur la gestion de l’immigration , que Le Figaro livre en exclusivité, ne fait pas dans la litote.
(…)
Selon la mission Buffet, «les services de l’État sont confrontés à un nombre toujours plus élevé de demandes d’admission au séjour» (271.675 premiers titres délivrés en 2021). Cette spécialité occupe plus de la moitié des quelque 4000 agents des services des étrangers des préfectures. La «tension» y est telle que le rapport propose de mutualiser d’urgence ces services entre les départements (et encore le rapport fait-il l’impasse sur la situation en outre-mer, mais aussi sur le regain d’activité occasionné par l’accueil des Ukrainiens ).
(…)
Il est rare que les étrangers saisissent eux-mêmes la justice administrative, mais les associations de défense des droits des étrangers, certains cabinets et syndicats d’avocats, ainsi que le Défenseur des droits sont «à l’origine d’un volume considérable de recours devant les tribunaux administratifs», constate la mission Buffet. Selon elle, «ce contentieux de masse inédit se caractérise (…) par un taux de succès élevé, les tribunaux administratifs faisant droit à la grande majorité de ces référés». À Paris, 90% de ces procédures ont abouti en 2021, pour 2838 actions intentées. Les sénateurs s’inquiètent des «conséquences néfastes» d’un tel système.
(…)
Selon eux, le recours à ces procédures est «désormais quasi systématique», ce qui «tend à faire basculer le rôle du juge administratif vers un rôle de secrétariat de préfecture, chargé de gérer les plannings de rendez-vous et les files d’attente, et alimente ainsi un fort sentiment de perte de sens chez les magistrats administratifs». (…)
Cette dérive kafkaïenne désorganise l’ensemble de la chaîne administrative. Au-delà même des services de préfecture au bord de la crise de nerfs, «en 2021, les tribunaux administratifs ont été saisis de 100.332 requêtes relatives au droit des étrangers (dont environ 80.000 portaient sur les titres et les visas de séjour) sur un total de 240.384 affaires enregistrées, ce qui représente 41,6% de leur activité». En appel, c’est plus de 50% des affaires! Sans même parler des demandes d’asile, traitées à part. Le seul coût annuel de la défense des étrangers au titre de l’aide juridictionnelle dépasse désormais les 60 millions d’euros par an. Réponse publique perfectible, donc. Le rapport Buffet contient 32 mesures pour tenter d’enrayer un naufrage annoncé.
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