Invité de la matinale de cnews ce mardi, Jordan Bardella, président du RN, est revenu sur la décision du conseil municipal de Grenoble d’autoriser le port du burkini dans les piscines municipales.
Face à la polémique, le député européen hausse le ton. «Le burkini est un accoutrement islamiste, une provocation politico-religieuse. Si Éric Piolle pense que le burkini est un progrès social, il faut qu’il se présente aux élections à Kaboul en Afghanistan», a-t-il dit.
Au terme de deux heures et trente minutes de débats, les conseilleurs municipaux avaient adopté lundi à une courte majorité une modification du règlement intérieur des piscines de Grenoble, se traduisant par l’autorisation du port du burkini, mais aussi pour les femmes de se baigner seins nus et à tous les baigneurs de porter un maillot les protégeant du soleil.
Dans la foulée, le président (LR) de la région Auvergne-Rhône-Alpes Laurent Wauquiez a dénoncé une forme de «séparatisme» et annoncé que la Région cesserait immédiatement de verser tout subvention à la municipalité.
++ Webtune : Sans commentaires. Votre nouveau monde de demain commence aujourd’hui….. Il va falloir s’y habituer… vous avez bien votez pour Macron Non ?
Une majorité des électeurs NUPES (58%) aux élections legislatives rejettent le projet d’autorisation du burkini voté à Grenoble sous l’impulsion d’ Eric Piolle
De même, l’autorisation du burkini dans les piscines est rejetée par une majorité des sympathisants LFI (56%), EELV (56%) et PS (70%)
En matière de burqini (ou burkini, ou même « maillot de bain couvrant »), la chaîne CNews, qui a décidément le cuir solide quand il s’agit de se faire traiter de télévision fasciste, a fait le travail que font tous les fachos : elle est partie du réel. On sait qu’il y a deux écoles, à ce titre : l’école Jean-Jacques Rousseau (« Écartons d’abord les faits, car il ne touchent point à la question ») et l’école Charles Maurras (pays réel « qui travaille et qui vit » contre pays légal). Dans le pays légal, on est plutôt Éric Piolle : on ne voit pas où est le problème. Burkini ou topless, c’est la même chose, paraît-il : on fait bien ce qu’on veut. Tant d’angélisme laisse pantois, car il semble qu’à Kaboul, en ce moment même, on ne mette pas exactement le topless sur le même plan que le « maillot de bain couvrant ».
Dans le pays réel, donc, CNews a voulu savoir ce qu’il en était et a commandé un sondage à l’institut CSA. Les résultats sont éloquents : 73 % des Français interrogés sont contre le burkini. Bon. Tant mieux, vous me direz. Cela dit, une fois le sondage lu, se posent plusieurs questions. La première : qui sont les 27 % de Français pour qui le burkini doit être autorisé dans les piscines municipales ? Alors, d’abord, bonne nouvelle : ils ne sont que 26 %. 1 % des sondés n’a pas vraiment d’avis sur la question. Ensuite, cela dépend de l’âge des personnes interrogées. Sans énorme surprise, plus on est vieux, plus on est réac ; mais là, l’écart est énorme. Jugez plutôt : 37 % des 25-34 ans sont pour l’autorisation du burkini, chiffre qui passe à… 63 % d’opinions favorables chez les plus jeunes (18-24 ans). En d’autres termes, certes, on est plus réac à mesure que l’on vieillit, mais le matraquage idéologique de ce que l’on n’ose plus appeler l’Éducation nationale, couplée aux médias et aux réseaux sociaux, a également porté ses fruits jusqu’à provoquer un décalage hallucinant entre les jeunes et ceux qui les suivent immédiatement.
Deuxième question, corollaire de la précédente : cette évolution de la société est-elle uniquement due à la propagande contemporaine ? Certes, nos jeunes (enfin, pas les nôtres, mais les jeunes de notre pays) sont plus perméables que jamais à toutes les sottises à la mode. Ils pleurent pour un demi-degré de réchauffement mais se fichent bien de compter les avortements. Ils luttent pour les droits des LGBTQIA+, la déconstruction du patriarcat et tutti quanti mais n’ont pas l’intention de lutter contre les pays qui sont restés bloqués au VIIe siècle. On sait tout cela. Ce que l’on mesure mal, en revanche, c’est le rôle que joue cette théorie complotiste d’extrême droite que l’on appelle « Grand Remplacement » dans de tels résultats. En effet, si l’on se souvient que 74 % des musulmans de moins de 25 ans considèrent que les lois musulmanes (la charia) sont supérieures à celles de la République (sondage IFOP pour Charlie Hebdo de 2020), et si l’on prend également en compte les statistiques de l’évolution des enfants dont l’un des parents est extra-européen, on comprend peut-être mieux. S’il y a plus de partisans du burkini parmi les 18-24 ans, c’est aussi, possiblement, parce qu’il y a plus de musulmans chez les 18-24 ans que dans les autres catégories. À creuser.
Alors, qui peuvent bien être ces 26 % de partisans du « maillot couvrant » que l’on mettrait « par pudeur ou pour ne pas s’exposer au soleil » ? Des musulmans vindicatifs ? Des défenseurs de la liberté, encore aveuglés par l’image qu’ils se font du corps en décomposition de Marianne ? Et qui peuvent bien être ces 67 % de jeunes qui sont en faveur de son autorisation ? Des imbéciles lobotomisés par l’instruction publique ? De futurs combattants dans le sentier d’Allah ? On ne sait pas bien. Mais ça ne présage rien de bon.
Lors de son discours d’investiture, le président de la République a développé son habituelle rhétorique sur les « Lumières », la raison et le progrès qui fleure bon la Troisième République ou, pire encore, la Première. Le personnage se veut « progressiste », mais ce que produit le progressisme se traduit en pratique par une régression humaine et morale, une régression dans l’ordre de la civilisation. La pensée progressiste est, en fait, régressive.
Que constate-t-on, en Occident ? Un recul du sens même de l’humain dans sa réalité charnelle. Au nom de la théorie du genre, la différence et la complémentarité sexuée biologique sont quasiment niées alors que toute société humaine est fondée et organisée sur ces données de nature. Dans le même sens, le caractère sacré de la vie humaine devient relatif. L’avortement passe du statut d’exception motivée par des circonstances graves à « un droit » que M. Macron veut faire inscrire dans la Charte des droits fondamentaux de l’Union européenne. Rappelons-nous que, durant la législature qui s’achève, il avait été proposé d’autoriser l’avortement jusqu’au neuvième mois. Prolongement logique, à l’autre bout de l’existence humaine, le Président souhaite légaliser l’euthanasie, certes moins coûteuse que les soins palliatifs. Tout cela ressemble terriblement aux sociétés antiques païennes dans lesquelles l’infanticide était admis (« exposition » des enfants en Grèce, infanticide légal à Rome) et le suicide donné en exemple de stoïcisme.
Mais le discours « macronien » comporte aussi l’étrange notion de « peuple nouveau ». Outre le fait qu’on ne change pas de peuple comme de chemise, cette formulation évoque de bien sinistres périodes de l’Histoire de France et d’Europe. La régénération du peuple, au besoin dans le sang, était une obsession des jacobins. Marat, dans L’ami du peuple, réclamait l’extermination des adversaires de la Révolution (27 avril 1792). La Vendée en a expérimenté l’horreur. Dans le même esprit, Lénine qui voulait créer un homme nouveau, affirmait qu’« une révolution sans peloton d’exécution n’a aucun sens ». Quant à l’homme nouveau conçu par Hitler, nous savons malheureusement de quoi il fut capable. « J’ai vu l’homme nouveau. Il est intrépide et cruel », aurait confié Hitler à Hermann Rauschning (Hitler m’a dit). Bien évidemment, Macron n’a aucune intention de suivre ces exemples, mais il demeure que la notion de « nouveau peuple », plus qu’étrange, est inquiétante. D’autant que le Président réélu a, dans son discours, opposé un peuple éclairé et tourné vers l’avenir à un peuple replié sur lui-même et attiré par le « nationalisme ».
Y aurait-il un bon peuple et un mauvais ? Rappelons les mesures prises lors de la pandémie qui allèrent jusqu’à priver d’emploi ceux qui refusaient de se faire injecter un vaccin à l’efficacité limitée. Ou encore un Président qui avait « envie d’emmerder les non-vaccinés ». Le totalitarisme moderne est plus habile et moins brutal que celui que connurent nos pères. Il use de la loi et des tribunaux pour priver de liberté. Notamment d’expression. Marat, encore lui, avait dénoncé « la fausse maxime de liberté illimitée des opinions et de la presse » (Le Publiciste de la République française, 23 juin 1793). Force est de constater que nous y sommes. La liberté d’expression et d’opinion ne cesse de régresser en France : lois mémorielles, interdictions médicales, délit « d’entrave numérique » à l’avortement… la liste est devenue longue des restrictions à la liberté d’opinion et d’expression en France. Et nombre de journalistes, d’hommes et de femmes politiques ne cessent d’être traînés devant les tribunaux par des associations militantes dans le but de faire taire les voix indépendantes.
Dérangeante, aussi, la vision idéologique de l’école à laquelle est assignée la tâche de forger « des esprits républicains » et non plus de transmettre des savoirs. C’était déjà le projet de Jules Ferry. Retour en arrière à nouveau. Mais qu’est-ce qu’un esprit républicain ? Un esprit soumis à l’idéologie politiquement correcte, au wokisme, au mondialisme, à la théorie du genre ?
Enfin, Emmanuel Macron nous a parlé d’« un projet républicain et européen », pas d’un projet pour la France, citée de façon anecdotique au fil du discours. Le mot « république » lui fut souvent préféré. Une idée politique, donc, plus qu’une réalité historique. Ce qui est très éclairant. La France n’est pas la préoccupation du Président réélu. Ce qu’il aime, c’est le pouvoir. Sans doute assez peu les gens, comme son attitude et ses propos l’ont trop souvent démontré. Quant à la France, il semble bien pressé d’apposer le mot « fin » sur la dernière page de son histoire. Sa vocation serait de se dissoudre dans une Union qui ne se dit même plus européenne, muée en machine idéologique du commerce mondial et du relativisme sociétal. Pauvre France et triste sire.
Dommage que vous n’habitiez pas tous à Saint-Tropez. Vous y gouteriez du soleil du midi et, surtout, vous porteriez Eric Zemmour à l’assemblée dès le premier tour, semble-t-il. Commentant l’annonce de la candidature dans le Var du président de Reconquête, Michelle se prend à espérer : « Éric Zemmour fait preuve d’un certain panache, écrit-il. Il est de ces rares hommes qui font passer leurs convictions avant leur tranquillité. J’ose espérer que ces législatives seront une réussite pour Reconquête. Un grand merci monsieur Zemmour pour votre engagement, vous lire, vous écouter notamment dans l’émission de Christine Kelly ont éveillé bien des Français anesthésiés de propos stériles ». Et “com” rappelle avec justesse l’idéal et l’exemplarité portée par le candidat de Reconquête : « Pourquoi un baroud d’honneur ?, demande-t-il. (Zemmour) nous montre ce que doit être un homme d’État : être le premier à aller au charbon, avec panache et sans peur. Je sais que, pour beaucoup, d’Artagnan et Cyrano, c’est abstrait. Mais ceux de ma génération savent pourquoi beaucoup sont tombés en Artois ». La patrie appelle les grands sacrifices dans les moments cruciaux de l’histoire de France qui en a connu beaucoup. Bayellois inscrit cette candidature dans la grande geste française. « Éric, que j’apprécie énormément, est le chevalier Bayard par excellence, estime notre lecteur. Je serais tellement heureux s’il était élu ! Mais la politique ne récompense pas souvent les hommes nobles et idéalistes ». On le sait cependant, les seules batailles vraiment perdues sont celles qui n’ont pas été menées.
Et pour gagner la bataille des élections européennes, vous espérez un accord entre Reconquête et le Rassemblement national. Les mots sans aménité du président du RN Jordan Bardella vis-à-vis de Reconquête lors de la présentation des candidats RN vous ont déçus. Raymileg tance la candidate RN. « Marine ne veut pas trahir ses électeurs ?, demande-t-il. Mais voyons, Marine, vos électeurs souhaitent cette alliance à 75 % ». Et de trancher : « Rejoindre le RN pour voter utile ? Très peu pour moi. Pourtant, j’ai souvent voté FN, puis RN. Ça m’a passé. Trop lassé des perdants, je me tourne vers un parti d’avenir, j’ai nommé Reconquête. Je laisse le RN foncer dans le mur ». Déçu, Jean-Claude Gentil est plus sévère encore et parle de trahison : « C’est bien joli, Monsieur Bardella, de faire le beau en dédaignant quelqu’appui que ce soit, écrit notre lecteur. Pourtant, une majorité des électeurs de droite le souhaitent. Donc, votre comportement est anti-démocratique par nature et vous sabotez nos espoirs de vous voir accéder au pouvoir pour le plus grand bien de notre pays. Cela s’assimile à une trahison, non ? »
Pendant que les patriotes se déchirent, l’Europe tueuse de nations coule des jours heureux sous la présidence temporaire d’Emmanuel Macron. Un Macron qu’on a vu très attentif au Parlement de Strasbourg devant les pantomimes grotesques d’une bande de jeunes. Le spectacle est épinglé par Gabrielle Cluzel qui s’en amuse et y voit : « Une partition absurde sortant de nulle part, exécutée – dans tous les sens du termes – par des artistes incapables de jouer à l’unisson. Bref, l’Europe ». Michel Beraudo-March a de la mémoire : les gouvernants se suivent et le ridicule européen demeure. « Ce ballet grotesque est du même tonneau que la pitrerie honteuse voulue par Hollande pour le centenaire de Verdun, avec des jeunes batifolant au milieu des tombes à Douaumont ». Polaire30 met le doigt sur le fond du scandale : « Quelle niaiserie ! Quel ridicule !, écrit-il. Et ceci se réalise avec notre argent, surtout concernant la France, qui contribue au fonctionnement de cette Europe plus qu’elle ne reçoit d’elle. J’ai la conviction qu’on nous a montré la partie la plus grotesque de l’iceberg et que bien d’autres gaspillages sont commis sans que nous le sachions ». Comptez sur Boulevard Voltaire pour se pencher ces prochaines années sur ce dossier certainement très riche… Les médias officiels, bien-sûr, n’en diront rien. Pas plus qu’ils ne regarderont d’un œil critique les conséquences de la guerre en Ukraine.
Dans un article renseigné aux meilleures sources, comme d’habitude, notre journaliste, qui parle couramment l’italien a saisi les interrogations de nos voisins transalpins sur les ambigüités et les intérêts américains dans cette affaire. « Marie d’Armagnac, merci de cette information, réagit Christian Bernard. Si Joe Biden veut faire la guerre à Poutine, qu’il le fasse directement lui-même et ne se serve pas de viande européenne ! Comme toujours, au nom de la Paix, l’Amérique fait la guerre. L’Indochine, l’Algérie, le Proche Orient… Et nous suivons bêtement, en premier Sarkozy avec la Libye. Quand laisserons-nous les peuples à décider eux-mêmes de leurs destins ? » JP Drouin, fidèle commentateur de Boulevard Voltaire, va dans le même sens : « Les Italiens ont fort raison, cette guerre n’est pas la nôtre. C’est celle de Biden contre Poutine sur le sol de Zelinsky, hélas pour le peuple ukrainien qui paie l’addition de morts. Mais c’est nous qui paierons les pots cassés des sanctions, reconstruction de l’Ukraine et autres rétorsions. En attendant, peut-être, un conflit mondial ». Saint-Tropez sous les bombes ? Pas encore mais l’Europe résonne incontestablement du bruit de la guerre.
Un homme d’une trentaine d’années vêtu d’une djellaba, armé d’une paire de ciseau et d’une barre de fer, a agressé un automobiliste ce samedi matin à Yzeron, dans l’Ouest lyonnais. Les gendarmes ont ouvert le feu pour le maîtriser.
Les faits se sont déroulés ce samedi matin à Yzeron, vers 7 heures.
Un automobiliste emprunte la route de la Bourchourie, route dite de « la coursière » reliant Yzeron et Vaugneray. C’est là qu’un homme armé d’un couteau et d’une barre de fer l’agresse en tapant sur sa voiture.
Il parvient à poursuivre sa route et appelle la gendarmerie. D’après nos informations, l’homme aurait eu le temps d’agresser une deuxième personne mais il n’y aurait pas de blessé à déplorer.
A leur arrivée, les forces de l’ordre tentent de l’arrêter mais il refuse de se laisser faire. Sommations, pistolet à impulsion électrique… rien n’y fait.
Les gendarmes décident alors d’ouvrir le feu. Les sapeurs-pompiers de Saint-Martin-en-haut, rapidement sur place, procèdent à une réanimation du blessé avant son évacuation par l’hélicoptère du Samu vers Lyon Sud.
Un périmètre de sécurité a été mis en place et les gendarmes étaient toujours là dans la matinée, notamment pour rassurer les promeneurs, très inquiets de cette agitation.
Une enquête est en cours pour tentative d’assassinat et usage d’armes.
Faites des douas pour le frère persécuté par les kouffars !
Un très beau clip, une bonne chanson et une orchestration originale…. il n’en fallait pas plus pour que Webtube vous propose ce morceau. Bonne dégustation !
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La dynamique fédération costarmoricaine de Reconquête!, dirigée par le briochin Pierre-Yves Thomas, présente des candidats dans toutes les circonscriptions de ce département breton. Parmi ces candidats, l’un d’entre eux a retenu notre attention. Il s’agit de Bernard Germain (5e circonscription – Lannion Paimpol) qui s’est engagé il y a quelques années dans le combat contre la nouvelle escroquerie écologiste qu’est la méthanisation. Nous avons d’ailleurs édité son livre sur le sujet le mois dernier.
Mais ce qui nous intéresse aujourd’hui, c’est le côté atypique de ce candidat dont le passé militant ne devait pas, à première vue, l’amener dans les rangs de Reconquête!. Et pourtant…
Ce vendredi matin, il tenait une conférence de presse à Lannion pour expliquer le sens de sa candidature. Synthèse nationale était présente.
S.N.
Bernard Germain, vous serez le 12 juin prochain, le candidat de Reconquête! aux élections législatives dans la 5° circonscription des Côtes d’Armor. Votre profil est assez atypique et peut être qualifié comme celui d’un « homme venu de la gauche ». Pouvez-vous vous présenter ?
Durant ma jeunesse, je fus Président de l’UNEF-ID pendant deux ans dans la ville où je vivais en province. Après mes études universitaires, j’ai rejoint la vie active et adhéré immédiatement à Force Ouvrière.
En 1976, après avoir réussi le concours des PTT, j’ai été nommé à Paris au centre de tri de la gare Montparnasse dont je suis devenu le responsable local de ce syndicat.
En 1981, j’ai voté pour François Mitterrand et rejoint le PS. Je l’ai quitté à la suite du « virage de la rigueur » en 1983. À cette époque, j’ai fréquenté entre autres régulièrement Jean-Luc Mélenchon (Méluche pour les intimes)…
Après avoir quitté le PS, vous avez abandonné l’action politique ?
Définitivement « dégoûté » par la gauche, je n’ai plus été membre d’aucun parti pendant plusieurs décennies. Je me suis consacré essentiellement au syndicalisme.
Sur le plan professionnel, en 1982, j’ai quitté la Poste pour rejoindre France Télécom dans les Yvelines. Je suis devenu rapidement permanent FO de la DOT (Direction Opérationnelle des Télécommunications) des Yvelines. À ce titre, je fus également membre du Bureau de l’Union Départementale FO 78. Simultanément, j’ai passé des concours internes et suis devenu successivement, contrôleur, inspecteur puis cadre supérieur.
Cet engagement syndical vous a conduit à des responsabilités importantes dans les organismes sociaux de votre département ?
En 1989, lors des premières élections à la Sécurité Sociale, j’ai été élu administrateur de la CPAM (Caisse primaire d’assurance maladie) des Yvelines sur la liste présentée par FO. Je suis devenu vice-président du Conseil d’Administration pendant de longues années.
En 1990, je cesse mes activités de permanent FO à France Télécom (tout en restant membre du Bureau de l’UD-FO et administrateur CPAM) pour rejoindre les services à la Direction Régionale Ile-de-France. J’occupais le poste d’expert en infographie et en étant détaché à 50% à l’OCTAL (Office Central des Terminaux d’Abonnés et des Lignes – la Direction Générale Technique) en qualité d’expert national.
Avez-vous repris d’autres activités syndicales par la suite ?
En 1995, le Secrétaire général de FO-PTT m’a demandé de le rejoindre à la Fédération pour construire le « secteur privé » (Bouygues, SFR, Free…) en relation avec l’ouverture à la concurrence du secteur des télécommunications. J’ai construit des dizaines de syndicats et recruté des centaines d’adhérents, permettant ainsi à la Fédération FO de s’implanter durablement dans le secteur privé et plus seulement dans le secteur « public ».
Au titre de ces différentes responsabilités, j’étais membre du Bureau national et du Secrétariat national de FO-PTT qui deviendra par la suite FO-COM. L’ouverture à la concurrence du secteur des télécommunications imposait l’élaboration de textes conventionnels afin d’homogénéiser les règles sociales dans toute la profession. La négociation d’une Convention Collective Nationale de branche « étendue » (s’imposant à tous les opérateurs ayant les codes NAF concernés) était une nécessité. Logiquement, J’en fut l’un des négociateurs FO aux côtés de mon Secrétaire général. Après la ratification de cette convention, j’ai cessé mes activités syndicales en 2002 et rejoint les services de France Télécom (devenu Orange).
C’est à ce moment là que vous vous retrouvez en Bretagne ?
J’ai terminé ma carrière à Lannion – pendant huit années – dans le principal centre de Recherche et Développement d’Orange, en qualité d’Ingénieur Logiciel. Je suis à la retraite depuis mars 2020.
Vous êtes également un militant pour la défense de l’environnement. Durant l’été 2019, vous avez été confronté à la tentative d’implantation d’une structure de méthanisation proche de votre domicile. ?
Effectivement, la riposte de la population fut immédiate. J’ai participé à la création d’une association et en ai pris la présidence, pendant un an et demi. J’ai organisé la mobilisation, collecté des fonds pour payer les avocats et réalisé des adhésions pour notre association. Nous avons notamment tenu un meeting dans ma petite ville, réunissant plus de 400 personnes. L’affaire est actuellement en jugement.
Vous avez tiré de cette expérience de nombreuses leçons et écrit un livre ?
Oui effectivement. en octobre dernier, suite à une conversation avec votre directeur Roland Hélie, j’ai écrit un livre « Méthanisation, la nouvelle escroquerie écologiste »cliquez ici qui a été publié par Synthèse nationale.
Résumez-nous votre engagement politique et les raisons qui vous ont amenées à rejoindre Eric Zemmour ?
Toute ma vie a été marquée par mon attachement à la justice sociale, donc aux valeurs du Conseil National de la Résistance qui ont notamment permises la mise en place de la Sécurité Sociale, avec ses valeurs cardinales que sont la solidarité entre les générations et l’égalité sociale. Mais également à la défense de l’environnement, comme nous venons d’en parler au sujet de la méthanisation.
En revanche, je fus « douché » par le fonctionnement et la politique des partis de gauche, ce qui m’éloigna d’eux et de la « politique » politicienne. Ces éléments n’ont d’ailleurs fait qu’empirer avec le temps et ont abouti à un divorce définitif de la gauche, singulièrement du PS, d’avec les « couches laborieuses », du fait du virage stratégique « Terra Nova » d’une part. Mais également suite au référendum de 2005 où toute la classe politique, y compris la gauche, a trahi le vote du peuple pour un ralliement honteux à l’Europe, en parfaite contradiction avec le vote exprimé.
En 2019, j’ai découvert Éric Zemmour. D’abord lors de débats à la télévision. Interpellé par l’agressivité dont ce dernier fait l’objet, je me suis intéressé au personnage. J’ai donc lu ses livres et suivi quotidiennement ses émissions sur C-NEWS. J’ai été convaincu par l’honnêteté intellectuelle du personnage et pris conscience de la réalité des problèmes que celui-ci dénonce.
En 2021, lorsqu’Éric Zemmour annonce sa candidature à la présidentielle, j’ai adhéré à Reconquête! et milité pour lui dans la 5° circonscription des Côtes d’Armor à l’occasion de la campagne électorale qui précéda celle-ci.
Sans renier aucune des valeurs sociales auxquelles je suis attaché et ai consacré tant d’années de ma vie, je suis aujourd’hui le candidat de Reconquête! aux législatives du 12 juin, parce que je pense que pour sauver notre système social, pour sauver notre société, pour défendre notre identité, il faut sauver la France et pour ce faire arrêter les dérives mortifères constatées depuis des décennies.
Vous êtes donc un « homme venu de la gauche » mais votre suppléante est-elle une femme de droite ?
En effet, ma suppléante, Margaret Studler, fut candidate du Mouvement pour la France de Philippe de Villiers dans la circonscription en juin 2002. A nous deux nous formons une sorte de « Synthèse nationale » ce qui ne devrait pas être pour vous déplaire.
Propos recueillis par Guirec Sèvres dans Riposye Laïque
Les mauvaises nouvelles s’accumulent, les p’tites femmes de Paris c’est fini, le Lido tire le rideau…
++ Webtube : Dans ce nouveau monde fait de femmes voilées et de doctrines religieuses à tendance islamique il ne faut pas s’étonner que des spectacles mettant en avant le corps de la Femme disparaissent…. La France s’efface petit à petit.
Le Lido va disparaître pour faire place à un hôtel ou un projet immobilier et tout le monde s'en fout. pic.twitter.com/g9IUZp1ahV
La virée à Paris terminée, c’est le proprio, le groupe Accor, qui en a décidé ainsi. Faut dire qu’en matière commerciale c’est ce qu’il y a de plus tocard, leurs hôtels c’est le plus mauvais rapport qualité/prix qui puisse exister, c’est l’équivalent d’une Dacia vendue comme une Merco.
Le patrimoine ils s’en foutent, ils ont déjà sévi en détruisant partiellement l’historique piscine Art-Déco Molitor.
Comme par hasard, au conseil d’administration, on trouve le roi du bracelet électronique, Sarko le prince magyar des entourloupes et aussi des Qataris et là on voit la nullité commerciale de cette bande d’affairistes mondialistes sans imagination, ils pouvaient créer le premier cabaret avec danseuses en hijab, ils ont préféré réaliser une opération immobilière minable…
Des burnes de première, infoutues de savoir anticiper sur la tendance du marché ! Ils devraient embaucher Paul Piolle, il a le flair pour les bonnes affaires.
Puisque que nous sommes dans l’oriental, faisons un saut à Marseille, Bled City, l’Afrique à domicile, tout l’exotisme oriental à portée de TGV…
Des choses incroyables s’y déroulent, les wesh-wesh qui sont chez eux se font squatter leurs baraques par les nouveaux venus de Saga Afrika. S’ils se contentaient de leur piquer les logements, non ! en plus ils les évincent dans le trafic de came.
Du coup c’est l’énervement devant la perte des marchés, l’éviction par les nouveaux venus et hier deux houris ont failli s’arracher les cheveux sur le trottoir…
Bien entendu il ne pouvait en être autrement que de retrouver Samia l’incarnation de la classe marseillaise dans cette querelle entre maquerelles de la casbah…
Je ne ne sais si à ce moment-là elle étaient au courant du classement des villes les plus criminogènes, c’est Stan Rigault qui l’a diffusé, donc si c’est foireux vous savez à qui vous adresser.
Je comprends qu’ils aient les nerfs, les Marseillais, Nantes première en plus. Ils ont fait le doublé, coupe d’Afrique en foot et championnat de la délinquance !
40 ans de gestion socialo on constate les résultats brillants, avant Nantes était la capitale du biscuit maintenant c’est celle de la racaille, tu m’étonnes que Ligonès ait flingué toute sa famille !
Marseille faut qu’ils se ressaisissent, au fait y a pas Rachid Mélenchon député ? Il est dans une mauvaise passe mais il pourrait se refaire en combattant l’immigration illégale venue d’Afrique de l’Ouest chasser ses protégés islamo-barbaresques.
Marseille, à jamais les premiers… dans la connerie…