Eric Zemmour (Reconquête) se présente dans la 4ème circonscription du Var face à la députée sortante, Sereine Mauborgne (Ensemble), et à 7 autres candidats.
Devant l’incroyable agression qui s’est déroulée lundi matin à l’ambassade du Qatar, invoque-t-on l’état psychiatrique de l’assassin ? Les faits, cette fois en raison du contexte diplomatique, sont ahurissants. A 6 h 30 du matin, la femme de ménage appelle la police, avisant qu’une bagarre a lieu dans le hall de l’ambassade. Un individu est en train de massacrer le vigile. La police arrive cinq minutes plus tard mais ne peut entrer : il faut une autorisation écrite de l’ambassadeur ou de l’un de ses représentants. Selon le rapport de la police (consulté par Europe1), « Ce n’est que vers 6 h 50 qu’un ministre conseiller de l’ambassade du Qatar se présente devant la grille et demande aux policiers d’intervenir”. L’agresseur continue de frapper. A 7 h 05, arrive enfin le document nécessaire à l’intervention, signé d’un représentant de l’ambassadeur. En attendant que l’ordre redescende par la voix hiérarchique, les policiers et pompiers continuent d’assister en direct au massacre. « Finalement, c’est à 7 h 28 qu’ils obtiennent le feu vert de l’état-major de la direction de l’ordre public et de la circulation (DOPC) afin d’entrer dans l’ambassade du Qatar, soit 53 minutes après leur arrivée. » Le vigile est mort, roué de coups et étranglé. C’était un Français de 42 ans.
De son assassin on ne connaît que les initiales, Ilies S. et le passé tumultueux. Il est « bien connu des services de police » pour des faits de violences sur les forces de l’ordre, d’outrages et de rébellion. Contrôlé positif à la cocaïne, il « souffre de troubles psychiatriques », et s’il a crié à plusieurs reprises « Allah Akbar » avant de déclarer qu’il venait là pour « venger ses frères », ce n’est évidemment qu’un hasard. Puisqu’on vous dit qu’il est fou !
Depuis les attentats qui ont ensanglanté la France et occupent depuis des mois notre justice pour décortiquer les intentions et les humeurs des assassins du Bataclan et autre Charlie, la France peut enfin respirer tranquille : il n’y a plus de terroristes, rien que des fous en plein délire. Et ça change tout.
Comme Toinette déguisée en médecin devant Argan, on traite aujourd’hui les terroristes comme Molière son Malade imaginaire :
– De quoi, disent-ils, que vous êtes malade ? – Ils disent que c’est de l’islamisme. – Ce sont tous des ignorants, c’est du cerveau que vous êtes malade. – Du cerveau ? – Oui. Que sentez-vous ? – Je sens de temps en temps des douleurs de tête. – Justement, le cerveau…
C’est ainsi. Après avoir prédit la diffusion d’un terrorisme solitaire, fait d’individus radicalisés dans leur coin et pouvant passer à l’acte en tout moment et en tout lieu, on impute aujourd’hui systématiquement la commission de ces crimes au dérangement mental de leurs auteurs.
Bientôt sept ans ont passé depuis le Bataclan, marqués par 21 attentats majeurs, de nombreuses tentatives et plus de 60 attaques déjouées. Attentats islamistes de la Préfecture de police, de Villejuif, de Romans-sur-Isère ou de Rambouillet ; prêtre ou enseignant égorgés, passants poignardés en pleine rue, policiers attaqués à l’arme blanche, sexagénaire torturée puis jetée par le balcon… Qu’ils soient commis par un étudiant algérien, un réfugié soudanais ou un délinquant malien, tous ces crimes l’ont été aux cris de « Allah Akbar ». Qu’en a-t-on retenu ? Que leurs auteurs étaient des « déséquilibrés », des « individus fragiles psychologiquement » ou ayant « des antécédents psychiatriques », quand on ne les a pas tout simplement absous au prétexte qu’ils étaient drogués. Devant ces fous de Dieu, on ne retient que l’adjectif fou…
On le sait depuis que l’homme est homme. Il n’est que rarement taillé d’un seul bloc, étant souvent la somme de ses propres contradictions. Tel Jean-Luc Mélenchon qui, dans un interminable entretien accordé à L’Express, ce 23 mai, en dit un peu plus sur sa véritable personnalité.
Accusé de plus souvent « jouer la controverse que l’apaisement », il répond, non sans raison : « Ça s’appelle la démocratie. Et la ruse n’est pas interdite. Parfois, il faut savoir provoquer des polémiques et compter sur l’adversaire pour l’obliger à faire une partie du travail à votre service. Ceux qui ont répété sur tous les tons “qu’on n’élit pas le Premier ministre” ont été nos agents de propagande. » Voilà qui n’était pas si mal joué que ça, cette « ruse » lui ayant permis de revenir aux avant-postes des élections législatives, alors qu’il n’était que troisième au scrutin présidentiel…
Puis, il se lâche en tartarinades de circonstance visant les journalistes : « Il y a une pente autoritaire dans l’arrogance libérale. Vous n’êtes pas des vaches sacrées. Non, c’est ma personne qui est sacrée. C’est moi le tribun du peuple », argument qui n’est pas fondamentalement faux, et qui lui permet ensuite de viser plus que juste et d’affirmer : « Je trouve anormal que neuf milliardaires possèdent 90 % de la presse. » Pas faux, une fois de plus. Pour le reste, il s’agit d’une toute autre histoire, sachant que la Méluche d’aujourd’hui n’est plus tout à fait celle d’hier. Quand, en 2010, interrogé sur une femme voilée et présentée au suffrage universel par une autre officine trotskiste, celle du NPA d’Olivier Besancenot (l’ancienne Ligue communiste révolutionnaire du défunt Alain Krivine), il assurait à d’autres plumitifs, ceux de Marianne : « On a le sentiment que ces gens vont au-devant des stigmatisations. Ils se stigmatisent eux-mêmes – car qu’est-ce que porter le voile, si ce n’est s’infliger un stigmate – et se plaignent ensuite de la stigmatisation dont ils se sentent victimes. »
Il est vrai qu’entre-temps, lors de l’élection présidentielle de 2017, Jean-Luc Mélenchon s’est rendu compte que s’il avait été moins « laïc », un demi-million de voix issues des banlieues aurait pu faire la différence et lui assurer un second tour face à Emmanuel Macron. D’où son discours sur la « créolisation de la France ». D’où, encore, ce pas de deux en forme de triple salto arrière, à propos de la religion et d’un Robespierre, figure de la Révolution ayant porté « le premier discours politique cohérent, humaniste, laïc. » En effet, Robespierre « déduit un système politique d’un raisonnement et non pas de Dieu. Le roi, lui, est roi par la grâce de Dieu et ce système politique découle d’un acte de foi qui fonde sa légitimité. »
Mais alors, pourquoi aller draguer d’aussi vulgaire manière le « peuple musulman » des cités qui, souvent fort d’un islam des plus rudimentaires, met justement la loi divine au-dessus de celle des hommes, n’ayant que faire d’avancées sociétales, telle que le mariage homosexuel, véritable hérésie aux yeux d’une religion demeurée archaïque, au sens noble du terme ?
C’est peut-être Sébastien Le Fol qui, dans Le Point de ce 19 mai, fournit la réponse la plus convaincante : « Comme l’a écrit Antoine Menusier, ancien rédacteur en chef du Bondy Blog : “La gauche française se passionne pour la figure de l’Arabe. Elle l’idéalise et le plaint tout à fois. Sur lui, son origine, sa religion supposée, elle mise une partie de son capital politique”. » Plus terrible encore : « Ce qui est effroyable dans la défense des Insoumis, c’est son inhumanité glaçante. Au fond, Taha Bouhafs [privé d’élections législatives pour une affaire de harcèlement sexuel, Ndlr] n’est pas pour eux un individu doué de raison. C’est un concept, une victime éternelle et éternellement convocable. […] Ce n’est pas Taha Bouhafs qui intéresse les Insoumis, mais ses origines algériennes. À la vérité, ils le méprisent humainement. »
On ne saurait mieux dire, Jean-Luc Mélenchon démontrant, ici et maintenant, que pour lui, l’émancipation vaut assignation à origines ethnique, religieuse et sociale. Pas très républicain, tout ça…
Dès la nomination de Pap Ndiaye, les bonnes âmes de la gauche béate ont entonné le refrain qui évite de penser : les critiques envers le nouveau ministre de l’Education nationale sont d’origine raciste. Facile, tranquille, rapide, définitif. Le ministre ne peut donc être soumis à la moindre critique. Mais voilà, le fondateur du très radical Cran (Conseil représentatif des associations noires) n’a jamais mâché ses mots ni caché ses idées. Deux jours après sa nomination, il vient de montrer qu’il n’avait pas l’intention de changer.
Le nouveau ministre avait dit un mot, lors de sa passation de pouvoir, sur Samuel Paty, le professeur assassiné dans des conditions sordides par un islamiste en octobre 2020. Très bien. Pap Ndiaye a même souhaité se rendre dès ce lundi sur les lieux du crime à Conflans Sainte-Honorine pour lui rendre hommage. Encore mieux. On se dit qu’il en aura profité pour parler de la progression et des ravages de l’islamisme à l’école. Qu’il en profitera pour dire son intention de lutter pied à pied contre l’influence de cette idéologie. Qu’il défendra la France et ses institutions d’avenir, notamment celle qui lui est confiée, l’école. Pap Ndiaye a parlé. Longuement. Une heure durant sur place, avec les professeurs. Et il a délivré des messages. Un message « très simple, celui du refus de la barbarie et de la haine ». Parfait. Il pense que « la République plonge profond dans la nation ». Bon… « La République, par l’école, elle est plus forte, a-t-il dit. C’est la République qui gagne, finalement, malgré tout ». La France a du s’absenter, il ne reste que la République. Il parle, Pap Ndiaye. En bon intellectuel sorti du moule de l’université française, il s’enivre de concepts déconnectés, de mots creux, gentils, inclusifs, politiquement corrects. Et puis, il pense que cet exorcisme tiendra la réalité à distance. C’est donc cela, « la République qui gagne » ?
Mais ces intellectuels se révèlent surtout dans ce qu’ils ne disent pas. Pap Ndiaye n’a pas eu un mot pour dénoncer la cause réelle de la mort de Samuel Paty : l’islamisme qui ravage les sociétés musulmanes dans le monde entier et qui tue sauvagement et régulièrement en France. Pas un mot ! Pourquoi donc aller à Conflans-Sainte-Honorine ? Pourquoi aller visiter l’établissement de Samuel Paty ? Ce silence a un sens : il marque le refus du réel, le refus obstiné de constater que la France meurt sous le couteau des Islamistes et sous le laisser aller de ceux qui ont favorisé leur entrée et leur épanouissement sur le territoire. Dans cette paisible commune des Yvelines, c’est bien l’islamisme qui a défié un symbole de la France, de son Etat, de son savoir, de sa transmission, avec une sauvagerie rare. Face à ces maux gigantesques, face à ce terrible défi pour l’école française, de plus en plus gangrenée par l’islamisme, Ndiaye a choisi de biaiser, de ne pas nommer l’ennemi. Il a choisi de ne pas combattre, de ne pas dénoncer, de ne pas être clair. Or l’islamisme ne se noie pas dans un flot de paroles guimauves, il ne se dénonce pas à l’aveugle, il se combat pied à pied de manière concrète dans les classes et les banlieues où son influence est considérable. Pourquoi tant de précautions ? Les Français avaient d’excellentes raisons d’être inquiets lors de la nomination de Pap Ndiaye à la tête de l’Education nationale, les premiers pas du ministre ne les rassureront pas. Qu’en sera-t-il dans cinq ans ? C’est drôle, on se méfierait un peu de cette « République qui gagne »…
Le but est de réarmer les pensées. » Le 18 mai, lors d’un live organisé par la chaîne YouTube « Livre noir », Laurent Obertone livre l’ambition de La Furia. Ce trimestriel lancé en début d’année se présente comme un « Hara-Kiri de droite », célèbre magazine des années 1960 plusieurs fois interdit. La couverture rose bonbon du numéro 2, sorti le 24 avril, affiche, à sa « une », une caricature d’Emmanuel Macron, assis sur un tas de billets, vêtu d’une veste de costume et de bas résille. Les titres – « Les Dessous du pouvoir », « Politiciens : sont-ils aussi vicieux que les journalistes ? », ou « Sardine Ruisseau contre-attaque » – donnent un avant-goût de la ligne éditoriale subversive.
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Bien qu’assez sulfureuse, La Furia est bien en vue à la Fnac, en librairie ou dans la plupart des maisons de la presse. Une présence qui a permis au premier numéro de s’écouler à quelque 60 000 exemplaires (dont 25 000 en kiosque, autant par abonnement et 10 000 en librairie), indique Laura Magné. En revanche, aucun de ses artisans n’apparaît parmi les propriétaires des Editions des Furieux, qui éditent le magazine, créées en août 2021 par Arthur Bakerdjian, un professionnel du prêt-à-porter.
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L’ambition de ce petit monde : faire avancer le combat culturel, selon la conception gramscienne. « Il s’agit d’influencer la société sans passer par les urnes », poursuit le chercheur. Julien Rochedy s’est d’ailleurs félicité, le 2 mai sur Instagram, d’avoir signé « un article d’éloge sur Charles Maurras. C’est une très grande victoire idéologique ». Laurent Obertone ne disait pas autre chose le 18 mai sur « Livre noir » : « Le combat métapolitique, c’est le seul combat à mener aujourd’hui. » Avec La Furia, il espère ainsi toucher « la jeunesse en devenir » afin de l’amener ensuite vers des livres et d’autres auteurs. Dans cette quête, le papier permet d’échapper à la modération de plus en plus sévère des réseaux sociaux.
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De fait, La Furia n’est que le premier étage de la fusée. En parallèle du trimestriel, l’ancienne éditrice de Ring, maison d’édition dont elle est partie en 2021 avec ses trois auteurs fétiches, Papacito, Marsault et Laurent Obertone, a créé les éditions Magnus, qui visent à « devenir l’un des phares de la reconquête des esprits », comme l’explique Laurent Obertone sur le site Internet. L’ancien journaliste s’attelle à la tâche : il vient d’y sortir son dernier ouvrage, Game Over, et en prépare un autre pour la rentrée.
Éthique et morale ayant totalement disparu de la sphère politique, personne ne s’étonnera en apprenant que Dupond-Moretti, pourtant mis en examen pour prise illégale d’intérêts, est reconduit dans ses fonctions de garde des Sceaux. Macron ose tout, c’est bien connu.
En 2020, notre Président avait déjà sidéré le corps des magistrats en nommant le chouchou des malfrats au poste de ministre de la Justice. Une popularité indiscutable auprès des taulards, que King Kong avait pu mesurer lors de sa visite à la prison de Fresnes, où il fut ovationné comme un Zelensky s’adressant au Parlement britannique, ou comme l’ex-idole Greta, l’étoile filante du réchauffement climatique.
Et aujourd’hui, le forcené de l’Élysée récidive, assénant le coup de grâce aux magistrats médusés, en reconduisant Dupond-Moretti place Vendôme. C’est le retour de l’absolutisme.
On comprend la colère des magistrats, qui ont eux-mêmes porté plainte contre leur patron.
Et c’est ainsi que Dupond-Moretti va devoir comparaître devant la Cour de justice de la République, alors que la survie de cette juridiction est en débat au sein du ministère de la Justice. C’est vraiment la République des Pieds nickelés !
Avec Macron, une mise en examen préalable n’est pas indispensable pour être nommé ministre, mais reconnaissons que ce n’est pas un handicap non plus. De Gaulle doit se retourner dans sa tombe en mesurant le délabrement moral de la nation, qui ne fait plus aucune différence entre le bien et le mal.
Macron aura finalement tout saccagé. En cinq ans, il n’a accompli aucune réforme constructive, laissant le pays à la dérive et se contentant de signer des chèques sans provisions.
La justice s’effondre, laissant les malfrats en liberté, l’insécurité détruit le quotidien des citoyens, l’armée se paupérise d’année en année, le système de santé est à l’agonie, l’école ne transmet plus le savoir mais se politise toujours plus. On se demande s’il reste encore un seul domaine qui ne soit pas un champ de ruines comparé aux années fastes du gaullisme.
Mais tout va bien, puisque Macron est réélu. Il pourra continuer de semer les germes de la prochaine révolution, voire de la guerre civile.
Le jour viendra où une large majorité de Français dira : Le Pen et Zemmour avaient raison. Mais sans doute trop tard…
Quant à l’Ukraine, notre discours chez RL depuis le 1er jour est en train de se révéler exact. Le clown Zelensky va se prendre une raclée mémorable. Partout, les troupes russes avancent et les Ukrainiens se rendent, malgré les menaces de mort des chefs nazis, qui interdisent toute reddition.
L’effondrement de l’armée ukrainienne est inéluctable.
++ Webtube : avant quand on parlait de la France on imaginait : ses habitants avec leur baguette de pain, les cafés les bistrots, les française habillées à la mode en robe ou en jupe avec un joli chemisier. Ses restaurants et sa gastronomie etc… Aujourd’hui on a basculé dans un tout autre pays avec : ses rodéos urbains, son trafic de drogue, ses bars à chicha, sa nourriture halal , ses clandestins, ses femmes voilées et ses feux de voitures à chaque montée de fièvre. Un pays de “merde” et puis c’est tout.
++ Webtube :Ce chiffre montre à quel point l’immigration se fait plus par le rapprochement familial ou par l’attrait des aides sociales que par un réel désir de travailler et construire une nouvelle vie en Europe. Nous assistons à une immigration de peuplement passif et peu productive.
La situation n’est guère meilleure en Flandre et à Bruxelles, montre une étude de l’UGent sur les 25-64 ans.
Le dernier spectacle du comédien et humoriste Ricky Gervais, “SuperNature” est sorti aujourd’hui sur Netflix et il a choisi de choquer l’Amérique “bien pensante” et woke…
Une grande partie des bénéfices de son spectacle ont été versées à des associations pour la défense des animaux.
.@rickygervais Is not only a comic genius & one of the most compassionate people on the planet he’s also one of the most generous..absolutely brilliant : Ricky Gervais donates £427,000 from Supernature ticket sales to animal charities https://t.co/EOETuWFBqD via @MetroUK