Les variants d’Omicron n’ont pas fini de faire parler d’eux. Le Centre européen de prévention et de contrôle des maladies avait déjà prévenu : une reprise de l’épidémie de Covid-19 est probable avec les variants Omicron BA.4 et BA.5 car ils continuent de progresser en Europe, notamment en France.
Mais c’est le Portugal qui se retrouve frappé par une sixième vague épidémique due au variant BA.5, une première en Europe. Selon les informations du Parisien, les deux tiers des cas sont positifs à ce variant au Portugal. Ainsi, le nombre de cas recensés chaque jour est en forte hausse passant de 650 à 2 500. À ce stade, la directrice générale de la santé recommande fortement le port du masque « dans les milieux fermés et surpeuplés », sans pour autant revenir à une obligation.
Identifié en premier en Afrique du Sud, le variant BA.5 se transmet plus facilement que le BA.2. Cela lui permet de s’imposer progressivement, notamment à cause de sa capacité à réinfecter des personnes contaminées il y a quelques mois. « Nous avons déjà des cas qui ont été infectés une première fois par le variant Omicron original et à nouveau par cette lignée BA.5 », a indiqué la directrice générale de la santé jeudi 19 mai.
C’est reparti pour un nouveau tour.
Il faut attendre la fin des élections legislatives, après ce sera le retour du masque et des vaccins.
Coronavirus : la vaccination "est une obligation morale", estime Brigitte Bourguignon 07/2021 https://t.co/QJ1aL06ZIO
++ Webtube : Cette information est publiée sur ce site surtout pour monter qu’obtenir la vérité sur ce qui se passe en Ukraine n’est pas simple. On ne sait pas où se trouve exactement la vérité mais restons vigilant. Ne prenez donc pas cette vidéo comme la vérité mais comme une possible vérité… et toujours se demander pourquoi et qui a envoyé toute information diffusée.
Ne croyez pas un seul mot des médias occidentaux, qui manipulent l’opinion et cachent toutes les informations pouvant nuire à l’image de l’Ukraine. Cette vidéo, signalée par le général Delawarde, nous explique comment le témoignage accablant d’une jeune femme ukrainienne, récemment libérée du labyrinthe d’Azovstal, a été occulté par la presse occidentale.
Je confirme : libérée et pas évacuée !
Si cette vidéo m’a paru mériter un article, c’est parce que Dominique Delawarde connait son auteur depuis dix ans et le juge digne de confiance. Un témoignage de vérité donc, que vous ne verrez pas dans les médias des pays occidentaux, qui l’ont totalement censuré pour ne pas contredire le narratif odieusement mensonger et antirusse de Washington et de Kiev.
Nos médias sont le déshonneur du journalisme, une offense à la vérité, un contre-modèle d’éthique professionnelle. Ce sont des menteurs par omission, des saboteurs de l’information, des manipulateurs d’opinion, indignes d’exercer leur métier.
Je comprendrais cette désinformation si la France était en guerre contre la Russie. Mais ce n’est pas notre guerre et les citoyens ont donc droit à la vérité. Nous n’avons pas à être à la botte du sénile Biden ou du pantin Zelensky, dont on tait les turpitudes pour en faire un héros de la croisade antirusse de Washington.
C’est donc sur le site belge Investig’Action qu’est parue cette vidéo riche d’enseignements.
Natalia, c’est son nom, est cette jeune mère de famille qui a témoigné devant de nombreux médias internationaux, lors de sa libération de l’usine d’Azovstal.
Elle nous dit être allée se réfugier volontairement dans cette usine, pensant y trouver la sécurité, au début des hostilités à Marioupol.
Mais ensuite, les unités Azov, acculées par les forces russes, sont venues aussi s’y installer, utilisant le site comme forteresse inexpugnable.
À partir de ce moment-là, ce sont les unités néo-nazies qui ont imposé leur loi, interdisant aux civils de sortir, alors que les Russes proposaient des couloirs humanitaires pour leur évacuation.
Natalia est très claire sur cette question. Les civils entendaient à la radio qu’ils pouvaient sortir en toute sécurité, mais les soldats ukrainiens les ont maintenus en otages, leur cachant l’ouverture de ces couloirs humanitaires.
Cela dément totalement le discours de Kiev relayé par les Occidentaux, affirmant que les Russes s’opposaient à toute évacuation.
Ce comportement criminel des soldats d’Azov est encore occulté par les médias aux ordres. Quelle ignominie, quelle bassesse ! J’aurais honte d’exercer un tel journalisme, aussi lâche que mensonger !
Mais ce n’est pas tout.
Natalia a expliqué que les soldats d’Azov tiraient à partir du bâtiment où étaient réfugiés les civils, utilisant ces derniers comme boucliers humains et attirant ainsi la riposte russe sur ce bâtiment.
Voilà donc pourquoi la vérité qu’exprime Natalia est insupportable à nos médias bien-pensants, totalement esclaves du politiquement correct.
Dans la plupart des pays occidentaux, France, Espagne, Royaume-Uni, Belgique, Suisse, Canada, Suède, la méthode a été la même : soit l’omerta totale sur le témoignage de Natalia, soit une séquence tronquée pour ne pas contredire le discours officiel antirusse.
La presse occidentale se vante d’être la plus démocratique au monde, alors qu’elle n’a rien à envier aux pires dictatures. Elle ne tient qu’un seul discours, le même dans tous les pays de l’Otan, fidèle au narratif mensonger de Washington. Il n’y a aucun débat. Par conséquent, ce n’est pas pire en Corée du Nord !
Enfin, la question a été posée à Natalia de savoir où elle désirait aller avec sa famille.
« En Russie » a-t-elle répondu, considérant que l’Ukraine était morte pour elle, et jugeant coupables les autorités de Kiev d’avoir été incapables de résoudre ce conflit pacifiquement.
Cela prouve que l’adhésion sans faille du peuple ukrainien au discours de Zelensky est un mythe.
Depuis 2014, le peuple ukrainien est divisé et Poutine n’aura aucun mal à intégrer tout le Donbass à la Russie. La partition de l’Ukraine est sur les rails.
Les Occidentaux, qui nous soûlent avec leur respect des frontières feraient mieux de restituer le Kosovo à la Serbie, illégalement amputée de sa province historique par la volonté de Washington. Ensuite, ils devraient demander à Erdogan de restituer la partie nord de Chypre, illégalement occupée par les Turcs depuis 1974, sans que ni l’UE, ni l’Otan n’y trouvent à redire.
Mais heureusement, dans cet océan d’ignominie et de mensonges, Poutine va remettre bientôt les pendules à l’heure.
Si les opérations sont longues et difficiles, c’est parce que les Russes ne veulent pas de pertes civiles inutiles. Sinon, ils emploieraient la méthode américaine : le tapis de bombes.
« Rasez tout et Dieu reconnaîtra les siens », pour paraphraser Arnaud Amaury, il y a 800 ans.
++ Webtube : Objectivement je pensais qu’on avait touché le fond avec le précédent septennat d’Emmanuel Macron… Difficile de faire pire ? et bien oui. Tout d’abord reconduire les mauvais (Darmanin, Le Maire et Dupond-Moretti) là déjà c’est pas mal comme trio de perdants mais cerise sur le gâteau, nommer Pap Ndiaye comme ministre de l’éducation nationale. Ce type adhère à 100% aux discours scandaleux d’Assa Traoré et toute sa clique…. là je pense qu’on est vraiment foutu !
L’hostilité que peut susciter Assa Traoré laisse l’historien Pap Ndiaye dubitatif : « Au fond, quand on la lit, quand on l’écoute, son discours est rassembleur. J’entends un discours de convergence plutôt qu’un discours de clivage et de séparation, un discours qui réclame l’égalité. »
“Diversité à l’Opéra de Paris : vers un racialisme d’État ?”
Isabelle Barbéris, essayiste et maître de conférences en art de la scène à l’université Paris-Diderot, dresse une analyse inquiétante du rapport sur la diversité à l’Opéra national de Paris.
L’objet s’intitule : Rapport sur la diversité à l’Opéra national de Paris . Ses auteurs : l’historien Pap Ndiaye* et Constance Rivière, secrétaire générale du défenseur des droits. Le commanditaire : Alexander Neef, nouveau directeur, armé de bonnes intentions, mais acquis au multiculturalisme et à ses représentants au sein de la vieille institution. Posons-le d’entrée : la diversité dont il est ici question, et que les auteurs entendent défendre, n’est pas plus celle des idées que des œuvres. En revanche, la vision racialiste de la « diversité » – notion qui à ce jour n’a toujours pas fait l’objet d’une concertation académique de qualité, et encore moins d’une consultation démocratique – y apparaît totalement décomplexée.
On y relève de page en page, l’influence évidente des lobbys et associations militantes défendant cette conception du monde, reposant sur la mise en concurrence des individus par critères de genre et de race, au détriment d’autres regards plus subtils, et de l’expertise académique. La tradition universaliste pluriséculaire de la France y est oubliée, balayée. Pouvait-il d’ailleurs en aller autrement du moment où l’on a confié cette mission à un pourfendeur du « blackface » des « Suppliantes », la pièce d’Eschyle dont des « antiracistes » avaient réussi à interdire la représentation en mars 2019 ?
(…) Parmi les originalités, on découvre qu’Arlequin serait l’inventeur du « blackface » européen (ou « blackface light »). On retrouve des falsifications déjà lues ailleurs, ainsi autour d’Impressions d’Afrique de Raymond Roussel. Tout déguisement est présenté comme suspect a priori, de même que tout regard sur l’autre et l’ailleurs, dans une méconnaissance totale de la diversité des pratiques et de l’histoire des représentations, du déguisement ou encore du grimage. Le contresens sur le « ballet blanc » frôle le ridicule : la blancheur – renvoyée à une essentialisation raciale par les auteurs – correspond en fait à une esthétique spectrale ( les Willis ), ainsi qu’à une convention désuète de représentation unifiée du groupe.
La méconnaissance des pratiques de maquillage en danse est tout aussi flagrante : les rapporteurs semblent ignorer que tous les danseurs de ballet, en premier lieu les « blancs », se talquent la peau afin de leur éviter de briller sous la rampe.
Autre passage lunaire : les défenseurs de la « diversité mélanique » ( sic ) déplorent que les danseurs « non blancs » recrutés ne soient pas assez noirs… Parmi les préconisations les plus folles et intrusives dans le contrôle des représentations, celle de « blueface » (visage grimé en bleu) est envisagée… bien que considérée comme encore insatisfaisante. Le rapport assure ne pas vouloir instaurer un « comité de censure » mais en appelle à considérer que « la très grande majorité [du répertoire] contient des éléments racistes et sexistes. » Il pose solennellement : « On ne se grimera plus pour jouer au noir ou à l’asiatique ». Tout en se défendant de vouloir les supprimer, il valide la « placardisation » d’œuvres comme Aida, La Bayadère, Raimonda – de toute évidence ni connues, ni travaillées par les rapporteurs. Turandot et Madame Butterfly, désignés comme coupables de « yellowface », sont à peine sortis du placard, mais sous conditions… Qui les dictera ?
(…) Les derniers chapitres s’enferrent dans les contradictions auxquelles le racialisme est de toute façon condamné : après avoir prôné la discrimination raciale, on en vient à la condamner. Ainsi (im)pensée, la « diversité » s’apparente paradoxalement à une réduction de la plasticité du jeu, et non à une ouverture, pourtant seule à même de diversifier le répertoire et les choix de recrutements.(…)
L’Intelligence Artificielle forte, aussi appelée Intelligence artificielle généralisée (AGI), est le graal des chercheurs en IA. Elle serait capable de rivaliser avec l’intelligence humaine, voire même serait consciente. DeepMind, société sœur de Google, vient de publier un article sur Gato, une nouvelle IA généraliste qui pourrait être le précurseur de l’IA forte. La majorité des IA actuelles sont spécialisées dans une tâche, entraînées avec des réseaux neuronaux dans un but spécifique comme celui de créer des deepfakes ou de jouer aux échecs. Avec Gato, DeepMind prend l’approche inverse et a créé une seule IA capable d’effectuer de nombreuses tâches très différentes.
Selon les auteurs, « le même réseau avec les mêmes poids est capable de jouer à la console Atari, identifier le contenu des images, discuter, empiler des blocs avec un vrai bras robotique et bien plus ». L’IA utilise le contexte pour décider sous quelle forme donner ses réponses. Au total, elle est capable d’effectuer 604 tâches avec un seul et même modèle, un véritable exploit. DeepMind a utilisé un réseau neuronal de type transformeur, généralement utilisé dans le traitement des langues. Gato a été entraîné sur un grand nombre de bases de données, contenant des images, du texte, ainsi que l’expérience d’agents dans le monde réel ou dans des environnements simulés.
Le problème est que l’IA ne parvient pas à réaliser ces tâches correctement tout le temps. Par exemple, les réponses lors d’une discussion peuvent être incorrectes. Gato a notamment indiqué que Marseille était la capitale de la France… DeepMind indique que, pour les trois quarts des tâches (450 sur 604), l’IA aurait de meilleures performances qu’un expert la moitié du temps. On serait donc sur un taux de succès à un peu plus d’un tiers.
Pour ceux qui n’ont toujours pas compris que Macron a été mis en place pour détruire la France que nous ont léguée nos anciens, ce nouveau gouvernement, qui n’est qu’un simple remaniement ministériel, prouve que le deuxième quinquennat sera le clone du premier, avec au menu :
Une fuite en avant dans l’endettement et la ruine économique, grâce à Le Maire, une aggravation de l’immigration et de la fracture identitaire, grâce à Darmanin, une explosion de l’insécurité faisant de la France le pays le plus dangereux d’Europe, grâce à Dupond-Moretti.
Un joli trio de bras cassés.
Le Maire va pouvoir alourdir la dette de 600 milliards supplémentaires, Darmanin va pouvoir se précipiter pour rassurer la communauté musulmane au moindre tag sur une mosquée, pendant que 20 églises brûlent chaque année dans l’indifférence générale, et Dupond-Moretti va pouvoir continuer de comptabiliser les 120 attaques au couteau quotidiennes sans lever le petit doigt.
Faut-il s’en plaindre ? Pas du tout ! C’est cela la démocratie.
C’est le choix indiscutable du peuple souverain, qui ne peut pas dire qu’il « ne savait pas ».
Pendant cinq ans et durant toute la campagne électorale, Zemmour et quelques sites de réinformation ont ouvert les yeux des citoyens sur la réalité du désastre économique et identitaire qui se profile avec les délires mondialistes de Macron. Un discours bien compris.
70 % des citoyens ont clamé « tout sauf Macron » pendant des mois
70 % ont affirmé qu’il ne voulaient plus d’immigration ni d’islam, jugé incompatible avec la République
70 % ont reconnu être en phase avec Zemmour sur la menace du Grand Remplacement
70 % ont avoué ne se sentir en sécurité nulle part
70 % ont déploré qu’au guichet social, les étrangers sont les mieux servis (AME, CMU, logement, retraite sans jamais avoir travaillé ni cotisé en France)
Mais à l’issue du scrutin, c’est encore Macron qui est plébiscité, Zemmour ne récoltant que 7 % des suffrages. Dans ces conditions, j’en conclus que les Français sont des grandes gueules, mais qu’ils ne pensent pas un seul mot de ce qu’ils disent. En réalité :
Ils sont amplement satisfaits de leur pouvoir d’achat
Ils sont majoritairement immigrationnistes et islamophiles
Ils sont heureux de se sentir en totale sécurité partout
« Peuple nouveau, président nouveau, mandat nouveau », déclarait Macron le 7 mai.
Il ment, mais il a raison. Avec un tel peuple de veaux, comme disait de Gaulle, il aurait tort de se priver.
Et cerise sur le gâteau, c’est un adepte du discours racialiste, un fan des thèses décoloniales et indigénistes, qui est nommé à l’Éducation nationale. Pap N’Diaye, tout un programme !
« Un indigéniste assumé, la dernière pierre de la déconstruction de notre pays, de ses valeurs et de son avenir », s’offusque Marine.
« Emmanuel Macron avait dit qu’il fallait déconstruire l’histoire de France. Pap N’Diaye va s’en charger, il a participé à des réunions interdites aux Blancs, c’est un vrai intellectuel indigéniste, un vrai woke », assène Zemmour.
“Pap Ndiaye est un militant racialiste et anti-flics. Sa nomination est un signal extrêmement inquiétant envoyé aux élèves français au sein de l’Éducation nationale, déjà minée par le communautarisme. Avec ce remaniement, Emmanuel Macron accélère la dislocation de la Nation », a renchéri Jordan Bardella.
« Un militant immigrationniste pour rééduquer nos enfants au « vivre-ensemble » avec les migrants et déconstruire l’Histoire de France. Cette nomination dépasse les bornes de la provocation », a écrit Julien Odoul.
« Une prime au gauchisme incarnée par le nouveau ministre de l’Éducation nationale : Pap Ndiaye, le promoteur des minorités et des migrants », a écrit Guillaume Peltier.
Et Zemmour de résumer le désastre qui se profile dans l’Éducation nationale :
« C’est toute l’histoire de France qui va être revisitée à l’aune de l’indigénisme, de l’idéologie woke et de l’islamo-gauchisme ». Le ministre de l’Éducation « va être chargé de reformater les esprits des petits Français pour leur apprendre que les Blancs sont éternellement coupables, que les Noirs sont victimes et que nous sommes une terre d’immigration et que nous devons surtout continuer à l’être ».
Tout est dit.
En marche, donc, pour la culture woke et la discrimination positive hissée au rang de dogme incontournable. Je crains le pire pour nos grandes écoles de renommée mondiale, où l’élitisme et la méritocratie risquent d’être la cible du nouveau ministre.
Attendons la formation du cabinet de Pap N’Diaye. Qui sait ? On pourrait y voir Houria Bouteldja, Danièle Obono ou Rokhaya Diallo !